#Le royaume assassiné
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-to kill a kingdom aesthetic-
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Emeutes au Royaume-Uni : déni d’invasion du système
Une semaine après que trois fillettes ont été assassinées au couteau de boucher le 29 juillet à Southport dans le Nord-Ouest de l’Angleterre, les manifestations se multiplient dans tout le Royaume-Uni y compris en Irlande du Nord, alors que les autorités, les médias et le nouveau Premier ministre travailliste Keir Starmer opposent une grande animosité à ce qu’ils nomment « l’extrême-droite » et…
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Willow (series 2022- article)
Série sortie : 2022 – Aventure – Héroïque fantaisie
De Jonathan Kasdan
Avec Warwick Davis, Ellie Bamber, Ruby Cruz, Eryn Kelliman, Amar Chadha-Patel, Tony Revodori
Synopsis :
L’histoire se déroule plusieurs années après les évènements qui se sont produits dans le film sorti en 1988. Après avoir sauvé Elora des ambitions meurtrières de la sorcière Bavmorda, Willow reprend du service aux côtés de 5 jeunes aventuriers. Kit une princesse arrogante, Jade sa meilleure amie et protectrice, Boorman un pilleur de tombes et menteur, Graydon prince et futur époux de Kit et Dove une cuisinière naïve amoureuse du prince Airk. Tous partent à la recherchent du prince kidnappé par les sbires de Bavmorda dont l’unique but est d’achever sa mission : bannir l’âme d’Elora dans un royaume de souffrances éternelles. Ils vont devoir s’unir, apprendre à se connaitre, s’entraider car leur quête dangereuse, les mènera bien plus loin. Ils devront affronter leurs propres démons et apprendre à se découvrir.
La série reprend là où le film s’était arrêté en 1988. Elora n’était alors qu’un bébé, quand elle fut sauvée par Wiilow des intentions meurtrières de la sorcière Bavmorda. Les années ont passé, Elora est devenue une belle jeune fille dont l’identité est tenue secrète même à elle-même. La reine Sorsha et le roi Madmartigan ont eu 2 jumeaux : la princesse Kit, arrogante et impulsive et le prince Airk coureur de jupons. La veille du mariage arrangé de Kit avec le prince Graydon, Airk est enlevé par des forces ténébreuses. Kit accompagnée de sa meilleure amie Jade, de Boorman, emprisonné par la reine qui en échange de sa liberté rejoint le groupe, le prince Graydon, Dove/Elora et Willow partent en quête de retrouver le jeune prince.
Les personnages.
1. Kit Tanthalos (Ruby Cruz qui a déjà joué aux côtés de Kate Winslet dans la série Mare of Easttown et Castle Rock adaptation d’un roman de Stephen King).
Fille de Madmartigan et de la reine Sorsha, princesse de Tir Asleen. Sous ses apparences de fille gâtée pourrie, arrogante, égocentrique, au caractère bien trempé avec une once de méchanceté, se cache une terrible souffrance. Celle de l’abandon, devoir grandir avec un père absent et avoir une destinée qui n’est pas la sienne au fond de son cœur. Elle rêve d’aventures, d’être aimée, de quitter cet univers tout tracé aux côtés de sa meilleure amie et amoureuse Jade. Tout au long de cette aventure, elle va se découvrir, grandir, évoluer, et apprendre à exprimer ses sentiments. Elle comprendra que non seulement elle a besoin de Jade dans sa vie pour arriver à s’ouvrir aux autres, aimer et être aimée mais aussi besoin d’Elora pour trouver sa place dans ce monde et savoir qui elle est vraiment et ce qu’elle veut réellement dans sa vie.
2. Jade Claymore (Eryn Kelliman connue pour avoir joué le rôle d'Enfys Nest, personnage secondaire dans Solo: A Star Wars Story)
Chevalier au service de la famille royale et plus particulièrement de Kit. Adoptée par Ballantine, son mentor, suite au meurtre de ses parents. C’est une amie fidèle loyale et mentor moralisateur pour Kit. Raisonnée et réfléchie dans ses actions. Elle ignore ses origines. Balantine l’a aidée à canaliser sa colère aux travers de son apprentissage de guerrière. Elle refoule tous ses sentiments, amoureuse secrètement de Kit mais ne l’avoue pas n’étant pas du même monde. Sa souffrance c’est de ne pas connaitre ses origines et de vouloir par tous les moyens ôter la vie de ceux qui ont assassiné ses parents : les Bone Reavers. Sauf qu’au cours de sa quête, elle apprendra que Sorsha lui a toujours menti et qu’elle est en fait la sœur de Scorpia cheffe des Bone Reavers. Fille du général Kael tué par Madmartigan.
3. Dove/Elora (Elie Bamber connue pour avoir joué le rôle d’India Hastings dans Nocturnal Animals)
Une cuisinière naïve folle amoureuse du prince Airk. Tout son univers bascule le jour où elle apprend lors de sa rencontre avec Willow qu’elle est en fait Elora Danan impératrice des 9 royaumes, l’élue destinée à sauver le monde contre les forces du mal. Elle doit désormais suivre tout un enseignement auprès du sorcier Willow afin de pouvoir maîtriser ce pouvoir qui sommeille en elle depuis sa naissance, s’unir et contrôler cette magie. Personne ne croit en cette révélation, même pas elle qui n’est seulement qu’une servante, la meilleure cuisinière du château. Au fil de l’intrigue, Dove va laisser sa place à Elora, la jeune femme naïve va acquérir de plus en plus d’assurance. Le changement s’opère aussi bien sur le plan physique que moral. Plus elle utilisera sa magie plus le charme qui dissimulait sa véritable apparence va s’estomper. Elle fera preuve d’une grande humanité, d’une confiance en elle et deviendra l’incarnation de courage, à pousser toujours le groupe vers la finalité de leur quête, à ne pas se laisser sombrer dans le désespoir. Ce qui fait la beauté d’Elora c’est sa croyance en l’amour et en la bonté qui se cache en chacun.
4. Boorman (Amar Chadha-Patel) pilleur de tombes et menteur avec une pointe d’humour, similaire au personnage que jouait Val Kilmer dans le film. Il fut l’écuyer de Madmartigan partis à la recherche de la cuirasse kymérienne. Seul Boorman revint de cette quête. Mais toujours hanté par cette relique qu’il désire par-dessus tout retrouver afin de racheter la plus grande erreur de sa vie.
5. Graydon Hastur (Tony Revodori)
C’est le personnage attachant de l’histoire. Prince de Galladoorn contraint d’épouser Kit Tanthalos. Ce n’est pas un combattant mais un grand romantique instruit, amoureux des lettres et langages et musicien à ses temps perdus. Il rejoint le groupe poussé par son père afin de racheter sa faute commise dans le passé qui ôta la vie de son frère. Possédé à 2 reprises par le Lich (démon) il ne sait plus qui il est réellement. Il va se découvrir des capacités magiques canalisées et centralisées par le biais de sa flûte, qui fera de lui un grand sorcier. Il tombe amoureux d’Elora mais un amour impossible.
6. Prince Airk (Dempsey Brick) héritier du trône de Tir-Asleen. Frère jumeau de Kit. Homme à femmes et valeureux soldat. Il tombe amoureux de Dove. Il sera kidnappé par la sorcière dans le but de le rallier à sa cause.
Revoir les 2 acteurs principaux du film :
1. Warwick Davis qui reprend son rôle de Willow 34 ans après. Le pouvoir de Willow ne réside pas en ses capacités de sorcier mais dans son courage, son esprit et la pureté de son cœur
2. Joanne Whalley qui reprend son rôle de la reine Sorsha fille de Bavmorda
3. Madmartigan malheureusement non présent physiquement dans la saison 1, pour des raisons de santé, Val Kilmer n’a pas pu reprendre son rôle, fait bel et bien partie intégrante de l’intrigue.
Plus on avance aux côtés de ces aventuriers et plus on se rend compte que Willow est malheureusement un peu léger, loin d’être le personnage principal. En effet, l’âme de cette aventure épique repose sur Kit, Elora et Jade qui évolueront au fil de leur quête.
· Kit et Jade, grandissent ensemble à Tir-Asleen mais appartiennent chacune à un univers différent. Kit princesse du royaume, évolue dans un environnement de privilèges, dans sa bulle ignorant tout du monde extérieur, héritière du trône. Jade, recueillie par la reine Sorsha après le meurtre de ses parents, élevée par le commandant Ballantine, qui fera d’elle une grande combattante et la considérera comme sa fille. Elles ont toutes les 2 une souffrance au fond de leur cœur. Kit, l’absence d’un père et le sentiment d’abandon. Jade, la perte de ses parents, tués, elle ignore ses origines et canalise sa colère lors de ses combats. Kit, de part sa souffrance, n’exprime aucun sentiment et refuse d’aimer librement, d’ouvrir son cœur et se cache derrière sa méchanceté qui lui sert de bouclier de protection contre ses blessures. Leurs seuls moments de bien être c’est quand elles se retrouvent à s’entraîner au combat toutes les 2, isolées. Leur souffrance les a rapprochées l’une de l’autre. Une amitié fusionnelle s’est créée. Mais des sentiments d’amour naissent. Des sentiments puissants qu’elles refusent de s’avouer tellement prisent dans leurs blessures. Au fil de leur quête pour sauver Airk, elles vont apprendre à se connaitre et à accepter leur amour réciproque et finiront par se l’avouer. Leurs entraînements de combats à l’épée sont représentatifs de leur frustration sexuelle l’une envers l’autre et de leurs sentiments amoureux. Elles n’arrivent pas à les exprimer par des mots ou des gestes et leur relation est assez complexe donc c’est au travers de leurs entraînements qu’elles s’expriment. Leurs combats sont comme des joutes amoureuses. C’est donc logique que Kit avouera son amour pour Jade lors de leur entrainement. Elle comprendra que Jade compte énormément dans sa vie.
· Kit et Elora. Kit voue une véritable colère et inimitié envers Elora qu’elle rend responsable de la disparition de son père parti à la recherche de la cuirasse Kymerian. Elle reste persuadée qu’il l’a délaissée et sacrifié sa vie pour protéger Elora. Malgré sa colère, elle découvre chez Elora, tout ce qu’elle n’a pas eu, croire en l’amour, croire en quelqu’un et croire en l’espoir. Leur relation ira bien au-delà de l’amitié, leurs destinées étant liées l’une à l’autre.
La série
Je suis de la génération de ceux qui ont vu le film donc j’ai préféré attendre de visionner toute la saison 1 avant de faire mon article. Afin de voir l’évolution des personnages et de l’histoire dans le but d’éviter des spéculations ou de faux a priori ne sachant rien sur le déroulement de l’intrigue.
Tous ces acteurs, nouvelle génération dont pour certains c’est leur 1er rôle principal, interprètent leur personnage merveilleusement bien, se donnant à fond. Certains n’étaient même pas nés lors de la diffusion du film en 1988. Ils découvrent un univers de magie qui a fait rêver toute une époque. 34 ans après les fans sont toujours autant fidèles qu’au 1er jour. Cette série intégrant de nouveaux personnages apporte un nouveau souffle à cette aventure épique.
Si l’on joue sur la nostalgie du film il y aura forcément des déceptions. La série ne se présente pas comme une aventure d’héroïc fantasy noire mais plus centrée sur l’humour, des messages positifs, le courage d’affronter ses peurs, de quitter sa zone de confort afin d’affronter l’aventure qui permettra d’aller au bout de soi et de ses émotions. Quitter une vie qui ne nous ressemble pas afin d’aller vers ce pour quoi nous vibrons dans notre âme et notre cœur. Et bien sur l’amour dans toute sa grandeur, seul à pouvoir anéantir le mal qui sommeil en chacun de nous.
On retrouve cette épopée épique propre aux histoires de fantasy qui réunit des inconnus qui vont devoir s entraider, s’unir et s’aimer. Se soutenir, s’étriper, se réunir et de nouveaux s’étriper mais au final se protéger les uns les autres. Tout au long de cette aventure, chacun devra affronter ses peurs, ses angoisses, ses souffrances, ses doutes et accepter de s’ouvrir aux autres. Cette quête les mènera jusqu’au bout d’eux-mêmes, peu importe leur passé, leur histoire, de forts liens naîtront. Des liens qui feront des ces 6 aventuriers des amis loyaux.
Si au 1er abord, cette série parait un peu simpliste avec un scénario et des dialogues un peu trop puérils, voire des scènes de combats qui se finissent trop prématurément, ou les protagonistes se sortent de situations dangereuses de façon trop légères durant les 5 premiers épisodes, un changement s’opère dès le 6è. L’histoire prend une toute autre dimension avec des personnages plus sombres, des combats plus violents. Une Kit et une Elora bien plus puissantes et unies. Mais c’est dans l’épisode 7 que les protagonistes vont évoluer et passer à un autre stade de leur existence, face à eux-mêmes. Une étape de l’histoire centrée uniquement sur chacun des personnages. Enfin Kit avoue son amour à Jade. Elora apprend à maîtriser ses pouvoirs en passe de devenir cette grande combattante. Graydon découvre ses capacités de sorcier. Boorman comprend qu’il n’est pas digne de porter la cuirasse et perd tout espoir en lui-même. Jade ne cache plus ses sentiments pour Kit. Wiilow, pour la 1re fois, doute et se sent coupable sur le fait d’avoir abandonné sa famille. Quant à Kit, oubliant ses rancœurs, se lie puissamment à Elora afin de combattre ensemble The Crone. L’épisode 8 et dernier de la saison, nous mène vers une relation de plus en plus intense entre Elora et Kit. La 1re, protectrice des 9 royaumes seule à pouvoir vaincre la sorcière quant à la princesse, elle apprendra qu’elle est l’épée, le bouclier d’Elora et sa protectrice.
On reste dans l’univers Disney où les gentils sont lumineux en quête de justice et les méchants sont d���une noirceur sans âme dans l’unique but de détruire le monde. Avec une bande son mélange de musique de fantasy et moderne qui se marient très bien avec les scènes auxquelles elles sont associées. L’humour omniprésent apporte tout un enchantement à chaque épisode.
L’ univers Disney évolue avec notre société actuelle et met en scène une histoire d’amour d’un couple gay. Kit est la 1re princesse gay de Disney. Le charme et l’âme de cette série est cet amour véritable non sexualisé. Elles ne se posent pas de questions sur leur orientation sexuelle elles s’aiment tout simplement, naturellement. C’est la 1re fois qu’une histoire de fantasy met un couple gay en personnages principaux. Déjà le film innovait en mettant en scène pour la 1re fois un petit homme. C’est une bonne initiative pour tous les ados qui se cherchent et cherchent des réponses. Voir que s’aimer n’est pas une question de sexe mais tout simplement d’alchimie entre 2 êtres sincères.
Le final laisse une porte ouverte à une saison 2.
Reste plus qu’à espérer que Disney signe.
- Corinne Écrivaine –
Fait le vendredi 13 janvier 2023
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À la recherche de la clé de l'Histoire, carnet de recherches
A son bureau, Max lisait des extraits de son livre de légendes. Il passait pleins de contes en revue, de �� Liona et le tigre vaudou » jusqu’à « Mika et le vendeur de courage ». Amusé, Max se demandait qu’est-ce qu’il lui prenait de lire un stupide livre de contes et légendes dans une situation très sérieuse. Soupirant, Max le referma et prit son livre d’histoire. Il cherchait la réponse dans ce manuel, qui refermait, il en était sur, la réponse à toutes ses questions. Tout en le feuilletant lentement, il découvrit un article qui l’intéressait.
«Elvire, le fabuleux roi et sauveur de Bonama
Comme nous le savons tous, Bonama a subit plusieurs graves invasions qui ont détruit presque toutes ses ressources ( voir p.152 ). C’est en 1325 que l’ancien roi de Bonama, Post le paresseux, fut assassiné par Toutys, un des plus grands chevaliers de la tribu Zyr ( voir p.161). Le royaume semblait perdu, quand un grand et beau chevalier venu de nulle part, réussit à retenir toutes les armées des barbares. Il fut acclamé par tous les Bonamiens, et eut le surnom de Elvire le puissant. Quelques années après, Elvire décida de … »
Max remarqua avec horreur que la dernière page était déchirée. Qui avait pu faire ça, alors que la réponse à tous ces problèmes se trouvait peut-être à la fin de cette page ? Dégoûté, Max jeta son livre avec force sur le bureau, et se recoiffa ses cheveux qui lui tombaient sous le nez. Max en avait assez. Cela faisait des semaines qu’il travaillait sur ce livre, et jusque là, aucune page n’avait été déchirée. Il réprima un grognement sourd et se leva de sa chaise.
(2009, écriture personnelle. J'avais 12 ans.)
« La mer d'Aral (en russe, Аральское море, en kazakh, Арал теңізі/Aral teñızı, en ouzbek, Orol dengizi, en karakalpak, Aral Teńizi) est un lac d'eau salée d'Asie centrale situé entre 43° et 47° de latitude nord et entre 58° et 62° de longitude est, occupant la partie basse de la dépression touranienne ou aralo-caspienne au milieu d'espaces désertiques. Elle est partagée entre le Kazakhstan au nord et l'Ouzbékistan au sud. Elle tire son nom du mot kazakh Aral qui signifie « île » en référence aux milliers d'îles qui la couvraient. »
« Lors de sa création, Masashi Kishimoto souhaitait faire du personnage de Naruto un héros idéal. De ce fait, il a fait de Naruto un personnage franc, espiègle et qui partage de nombreux traits de caractère avec Son Goku de Dragon Ball. Il souhaitait également faire de Naruto un personnage plutôt simple - voire stupide - parce qu'il n'aime pas les personnages trop malins. Hormis l'influence de Son Gokū (Sangoku), Naruto n'a pas été fait d'après un modèle particulier. L'auteur voulait faire un contraste entre la personnalité enfantine de Naruto et son côté plus sombre dû à la dureté de son passé. Malgré cela, Naruto est toujours optimiste quelles que soient les situations, ce qui le rend, aux yeux de Kishimoto, unique.
Dans la version japonaise de Naruto, Naruto finit souvent ses phrases par « -ttebayo » (ってばよ) ou « dattebayo », ce qui lui confère un style tout à fait particulier. Dans les mangas ou les animes, les personnages ont généralement leurs propres particularités dans leur façon de parler, pour leur donner un ton féminin, dur ou mignon ou bien pour mettre en avant une appartenance culturelle et familiale. Par ce tic de langage, Kishimoto voulait renforcer le côté enfantin de Naruto.
La garde-robe de Naruto est inspirée des vêtements que portait Kishimoto lorsqu'il était jeune. Il voulait lui donner des vêtements classiques, mais suffisamment originaux pour le démarquer sans choquer. Grâce à son nom, Uzumaki qui signifie tourbillon, Naruto porte souvent des motifs en spirale sur ses vêtements. Les premières esquisses de Naruto le montraient portant des bottes, mais Kishimoto les a remplacées par des sandales parce qu'il aimait bien dessiner les orteils. Les lunettes que portait Naruto au début du manga ont été également remplacées par un bandeau frontal, car les lunettes prenaient trop de temps à dessiner.
Dans le manga, l'on apprend lors d'un flash-back explorant les souvenirs de Jiraya que son prénom (« Naruto ») lui vient d'un ingrédient des rāmen que mangeait Jiraya lorsqu'il écrivait l'histoire qui a inspiré le père de Naruto pour le prénom : le Narutomaki (鳴門巻, Narutomaki), qui est une décoration à base de pâté de poisson et cuit à la vapeur, et qui a une forme de spirale. »
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Je lis la suite du texte :
Quand Yéred fut âgé de 65 ans, il eut pour fils Hénoc. Quand Hénoc fut âgé de 65 ans, il eut pour fils Mathusalem. Après cela, Hénoc conduisit sa vie sous le regard de Dieu durant 300 ans et il eut d’autres enfants. La durée totale de sa vie fut de 365 ans. Hénoc vécut en communion avec Dieu puis il disparut, car Dieu le prit auprès de lui (Genèse 5:18-24).
Hénoc est comme la lumière au fond du tunnel. C’est à l’âge de 65 ans et après la naissance de son fils Mathusalem qu’il se mit à conduire sa vie sous le regard de Dieu. Rien d’autre n’est dit sinon qu’après 3 siècles il disparut, ravi, enlevé de ce monde. Dans un passage du Nouveau Testament, il nous est précisé ce qui s’est passé ; je le lis :
Hénoc a été enlevé auprès de Dieu pour échapper à la mort et on ne le trouva plus, parce que Dieu l’avait enlevé (Hébreux 11:6).
Quelle bouffée d’air pur ! Enfin un homme qui ne meurt pas. Il disparut remplace le morne refrain il mourut. Il est écrit qu’Hénoc vécut en communion avec Dieu, ce qui sera aussi dit de Noé, son arrière-petit-fils. Cet enlèvement miraculeux préfigure ce qui arrivera un jour aux disciples de Jésus-Christ, le jour où il reviendra pour établir son royaume sur terre.
Une fois, une petite fille est revenue du catéchisme et sa maman lui a demandé ce qu’elle avait appris ce jour-là. Alors, elle a répondu : On nous a raconté l’histoire d’Hénoc, c’est un homme qui au lieu de mourir a été enlevé par Dieu dans le ciel ; veux-tu que je te la raconte ? Mais bien sûr ! répondit la maman. Eh bien, voilà : chaque jour de grand matin, Dieu venait voir Hénoc et l’invitait à marcher avec lui. Avec le temps, Hénoc avait tellement de plaisir à se promener avec Dieu que chaque jour, il l’attendait au portail du jardin pour partir marcher avec lui. Un jour, Dieu lui dit : « Aujourd’hui nous allons faire une promenade encore plus longue que d’habitude, car j’ai beaucoup de choses à te dire ». Après avoir marché et marché toute la journée, il commençait à se faire tard et Hénoc était fatigué et proposa de rentrer à la maison. Alors, Dieu lui dit : « Hénoc, à présent nous sommes plus près de chez moi que de chez toi. Rentre donc chez moi ». C’est ainsi qu’après avoir marché avec Dieu, Dieu le prit chez lui. Fin d’une histoire bien mignonne.
On a coutume de dire qu’il n’y a que deux choses de certaines dans cette vie : les impôts et la mort. Pour ce qui est de payer son dû à César, certains arrivent à y échapper soit en magouillant, soit parce qu’ils sont vraiment démunis. Par contre pour ce qui est d’éviter le cimetière, c’est le chemin qu’un jour ou l’autre tout le monde emprunte, comme le dit si bien le roi Salomon que je cite :
L’homme n’est pas maître de son souffle pour le retenir et il n’a aucune puissance sur le jour de la mort ; il n’y a point de délivrance dans ce combat (Ecclésiaste 8:8).
Et pourtant, il y eut deux exceptions, deux hommes qui n’ont pas été mis en tombe. Le premier, Hénoc, est mentionné dans le chapitre 5 de la Genèse ; il est dit de lui :
Hénoc vécut en communion avec Dieu puis il disparut, car Dieu le prit auprès de lui (Genèse 5:24).
Le texte ne précise pas comment s’est passé cet enlèvement d’Hénoc par Dieu, alors, pourquoi pas l’histoire de la petite fille ? Hénoc est la 7e génération depuis Adam en passant par Seth, le fils cadet ; ses frères étaient Caïn et Abel qui fut assassiné. La Genèse décrit Hénoc comme un homme juste qui conduisit sa vie sous le regard de l’Éternel ; le Nouveau Testament dit de lui qu’il était agréable à Dieu.
Par comparaison, nous avons lu précédemment que la 7e génération depuis Adam de la lignée de Caïn est représentée par un nommé Lémek qui lui mène sa vie de manière opposée à ce que veut l’Éternel ; il est bigame et un assassin qui se vante du meurtre qu’il a commis. Dans la suite du texte de la Genèse, il ne sera plus question de Caïn et de sa descendance, mais seulement de la lignée de Seth qui fut le premier à invoquer l’Éternel.
D’après un passage du Nouveau Testament, Hénoc était un prophète qui vivait au sein d’une société dégénérée portée à faire le mal. Je lis le passage :
À eux aussi s’applique la prophétie d’Hénoc, le septième patriarche depuis Adam, qui dit : Voici le Seigneur va venir avec ses milliers d’anges pour exercer son jugement sur tous, et pour faire rendre compte à tous ceux qui ne le respectent pas, de tous les actes qu’ils ont commis dans leur révolte et de toutes les insultes que ces pécheurs sacrilèges ont proférées contre lui (Jude 1:14-15).
Une preuve supplémentaire que les hommes de cette époque étaient à peu près tous corrompus, est que le jugement du déluge est sur le point de frapper toute la race humaine. Finalement, de la descendance de Seth, il n’y a qu’une lignée qui est juste selon Dieu ; celle dont les principaux acteurs ont été mentionnés par le texte, qui passe par Hénoc et va jusqu’à Noé, son arrière-petit-fils. Ce dernier, comme chacun sait, est le constructeur de l’arche qui porte son nom.
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Un grand saut dans le temps...
J'avais prévu un autre sujet. Mais l'intensité de ce mardi 1er octobre est si lourde que je préfère... parler de choses plus légères. Par exemple.. .connaissez vous Thorin, votre (et mon !) arrière arrière grand oncle ? Bien sûr, je ne veux pas parler de cet autre Thorin, personnage créé par le célèbre Tokien, le nain-Hobbit héritier du ''Royaume Sous la Montagne'' d'où le dragon Smaug a chassé sa famille (cette littérature n'est pas celle que je préfère, ce qui n'empêche pas Tokien d'être un génie). Aujourd'hui, je suis plus fasciné par celui dont nous allons parler....
Ce Thorin-là est un de nos ancêtres indirects, un homo neandertalis qui vient d'être retrouvé dans la grotte de Saint-Maurin, à deux jets de pierre de notre chère Nationale 7, pas loin de Valence et de ses célèbres embouteillages, et pas loin de Crépol où fut assassiné le jeune Thomas par des racistes anti-blancs. Il attendait là depuis pas loin de 45 000 ans (chrono !) qu'un de ses descendants le retrouve et le sorte de son cadre de non-vie qui, depuis le temps, lui était sans doute devenu monotone... Son ''découvreur'' l'a affublé de ce nom. Admettons, même si on ne sait pas quel idiome parlaient nos ancêtres néandertaliens.
La découverte est forte : il s'agit, à n'en pas douter, des restes d'un corps humain... mais d'une autre humanité que nous, les ''Sapiens'' : Thorin est ou était un néandertalien, et la coexistence de deux humanités pendant un temps assez long de la proto-histoire m'a toujours fasciné. Si nous voulons imaginer ce qui se serait passé si cette cohabitation avait duré... on se dit très vite qu'elle était impossible : déjà que nous sommes absolument incapables de nous supporter entre français (et, de proche en proche, entre européens, entre nations, entre races, entre religions, entre couleurs de peau, et j'en passe : voyez comme nous avons du mal à comprendre un être dit trisomique -notre égal parfait en tout point, ne qui diffère de nous que par un seul chromosome, et encore... le plus petit de tous –il ne compte que 255 gènes, quand d'autres en ont des dizaines de milliers)...
En fait, une cohabitation entre 'Sapiens'' et néandertaliens n'était et n'est pas envisageable, depuis l'aurore de l'humanité, et bien plus encore en ces temps de violence et de rejet de ''l'autre'' juste parce qu'il est ''autre'' ! Elle ne pouvait tourner qu'à la confrontation.... ce qui a été, presque ''de manière normale et prévisible''.
Cela ressemblerait sans doute peu ou prou au choc culturel que peut être une rencontre entre ''habitants de souche'' et ''envahisseurs sans foi ni loi''... ou bien entre ''citoyens de bon aloi'' et ''dealers en mal d'exclusivité sur un point de deal'', ou bien ''entre membres de LFI et tout être normal''... Il semble évident que le coté ''sapiens'' de ce face à face aurait vite fait d'exterminer celui qui ne l'était pas... ce qui semble avoir été le cas, l'histoire ayant tranché, à l'évidence : le surnom de ''Sapiens'' que nous nous sommes attribués nous-mêmes à nous-mêmes est tout-à-fait usurpé, immérité, injustifié : nous sommes tout et n'importe quoi, mais pas ''sages'' !
Les lecteurs ''historiques'' de ce blog (que je me garderai bien d'appeler ''les plus vieux'') connaissent bien l'hypothèse à laquelle mes raisonnements et mes recherches me rattachent : un génocide (le premier de l'histoire. Pas le dernier, hélas...) des néandertaliens par les soi-disant ''sapiens'', qui aurait laissé dans la mémoire des survivants un choc tellement fort qu'on le retrouve, des millénaires plus tard, dans la saga biblique, sous le récit d'un frère assassiné par son frère, Abel par Caïn, avant que Sidoine Apollinaire, ne mentionne, en 470 de notre ère, l'existence de ''concava longævas asservant antra tenebras'', ce qui eut se traduire par : ''de longues cavernes ouvrant sur l'entrée des ténèbres'' : les Cavernes de Saint-Maurin ont dû en voir de belles, dans cette confrontation sanglante entre ''eux'' et ''nous'' !
Comme par hasard, on vient de trouver dans la grotte de Saint-Maurin des restes de mâchoires de ''sapiens'' mêlées aux restes de ''notre'' néandertalien. Pourrait-il s'agir de la découverte d'un des sites du génocide des seconds par les premiers ? Il faut tout de même savoir que si tous les mâles ont été (ou auraient été, plutôt) assassinés, les femmes –une partie inconnue d'entre elles, sans doute les plus sexy (?) ou les meilleures cuisinières-- ont été protégées et gardées... ce pourquoi chacun d'entre nous a en lui entre 4 et 5 % du génome de Neandertal... ce qui ne peut s'expliquer que par un partage ultérieur de la reproduction des sapiens avec des néandertaliennes. Le viol des locales par des conquérants sûrs de l'impunité est un classique de l'histoire, et ce n'est pas un français de 2024 qui va le nier.
Par un de ces hasards que nous réserve l'ironie de l'histoire ou de la science, une découverte d'un ordre très différent vient renforcer cette théorie de la cruauté infinie des espèces animales entre elles-mêmes : la découverte très récente d'un iso- ''Tyranosorus rex'' dans les falaises d'Etretat, d'habitude connues pour des raisons plus artistiques. Imaginez que, il y a quelque 100 millions d'années, de gigantesques monstres carnivores (celui qui vient d'être mis à jour mesurait dans les 6 mètres de long –la taille d'un éléphant : six mètres de puissance brutale, de force, d'agressivité et de cruauté inconscientes-- se baladaient sur nos si jolies côtes normandes ! On a du mal à y croire !
Eh ! bien, il se trouve que ce terrible prédateur a été trouvé non seulement avoir été mordillé par des dents de requin (sans doute après sa chute dans l'eau... qui n'était pas aux mêmes endroits qu'aujourd'hui, il s'en faut de beaucoup) mais ayant les dents d'un autre théropode proche de lui plantées dans un endroit (la colonne vertébrale) où aucun animal, même de la famille très peu fréquentable des Abélismuridés, ne met les siennes en général, masochiste ou pas !
Tuer son prochain (et le déguster !) semble donc être un passe-temps que toutes les espèces animales (dont nos très lointains cousins) ont pratiqué à travers les âges. Il est, d'ailleurs, une question à laquelle personne ne m'a jamais répondu : les sapiens de ce temps-là ont ils un peu croqué leurs rivaux néandertaliens, après les avoir réduits à… néant ? Lorsque l'on voit la cruauté dont certains de nos contemporains peuvent être capables... on est en droit de se poser la question, à la veille du premier anniversaire de ce festival de jazz de ce 7 octobre qui a vu la violence la plus abjecte et la plus inhumaine se donner libre cours...
La découverte de cet homme (car c'en était un), tué à l'arme blanche (par définition !) à l'entrée de sa caverne-domicile, nous ramène à notre problématique du jour : serions-nous en route vers un retour au ''bon vieux temps'' (?) des cavernes, où les hommes se tuaient pour un oui / pour un non, clan contre clan, tribu contre tribu (pas encore ''point de deal'' pour ''point de deal''.. mais ça viendra, nous l'avons découvert !). Mais ça, c'était avant que la ''civilisation'' nous fasse découvrir l'es avantages qu'il y a à ''respecter l'autre''. Depuis... avez-vous remarqué que personne ne parle plus de civilité, de progrès, de bien-être, de paix (sinon pour se disputer), de sérénité, de sagesse... et de nation, ce cocon autrefois protecteur ? J'ai peur que cela finisse par... finir mal... et même dans pas très longtemps !
H-Cl.
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Royaume-Uni : séances d’holocauste obligatoires pour tous les élèves du pays annonce le premier ministre par hasard marié à une juive
On ne plaisante pas avec la religion d'état des démocraties athées.
Un premier ministre britannique marié à une juive a d’étonnantes priorités pour son pays.
The Jerusalem Post :
Tous les élèves britanniques apprendront l’Holocauste à l’école, grâce à un nouveau programme scolaire présenté par le Premier ministre Keir Starmer lors du dîner annuel du Holocaust Education Trust, lundi soir, selon les médias et les déclarations faites par le dirigeant sur les médias sociaux. M. Starmer a annoncé ce plan à 500 invités, dont le grand rabbin britannique Ephraim Mirvis, selon Jewish News. « Pour la première fois, l’étude de l’Holocauste deviendra une partie essentielle et vitale de l’identité de chaque étudiant. Et pas seulement l’étudier, mais aussi en tirer des leçons et, surtout, agir en conséquence », a déclaré M. Starmer aux participants, ajoutant qu’un financement d’au moins 2,2 millions de livres serait mis en place pour permettre aux étudiants de visiter le camp d’Auschwitz.
Des esprits mal tournés pourraient interpréter ça comme un lavage de cerveau pour apprendre aux goyim à servir la race juive sans poser de question.
En réalité, ce ne sont que des cours de catéchisme obligatoires.
« Au cours des 20 dernières années, des dizaines de milliers d’étudiants ont eu l’occasion de visiter Auschwitz en personne et de partager leur expérience avec leurs camarades », a-t-il déclaré. « Les chaussures, les cheveux, les valises, les voies ferrées, la chambre à gaz. C’est tout à fait, tout à fait horrible. Mais c’est une vérité dont nous devons nous souvenir. » « Et je sais qu’il n’y a rien de plus puissant que de le voir de ses propres yeux. C’est pourquoi je me joindrai moi-même à l’Holocaust Educational Trust pour l’une de ces visites. Le gouvernement actuel continuera à financer le programme Leçons d’Auschwitz et je peux confirmer ce soir que nous fournirons au moins 2,2 millions de livres sterling l’année prochaine.
Ah oui, j’ai entendu parler de cette mise en scène.
Abordant les événements récents, M. Starmer a reconnu que « plus d’un millier de personnes ont été massacrées par le Hamas, pour la même raison : parce qu’elles étaient juives ».
Non, pas parce qu’elles étaient juives.
Parce qu’elles ont eu la mauvaise idée de vivre sur la terre des autochtones qu’ils ont parqués juste à côté dans le plus grand camp de concentration de la planète tout en organisant une rave party sous leur nez pour se foutre d’eux.
Ça fait une petite différence.
M. Starmer a déclaré qu’il s’était assis avec la famille d’un otage assassiné la semaine précédente.
« Nous disons « plus jamais ça » et pourtant, au cours de l’année écoulée, nous avons constaté des niveaux records d’antisémitisme ici même en Grande-Bretagne », a poursuivi M. Starmer. »
« Et pourtant », oui.
C’est curieux tous ces gens qui, sans aucune raison, refusent de servir aveuglément les juifs.
M. Starmer, qui est marié à une juive, s’est également engagé à visiter Auschwitz dans le cadre d’un voyage organisé par l’organisation caritative Holocauste. « Tout comme je me suis battu pour sortir mon parti de l’abîme de l’antisémitisme, je vous promets de faire de même en dirigeant le pays », a-t-il déclaré, en référence aux scandales qui ont suivi le Parti travailliste sous la direction de Jeremy Corbyn.
Je ne sais pas ce que les juifs espèrent réaliser avec cette débauche de propagande victimaire, mais s’ils pensent pouvoir extorquer les larmes des goyim tout se livrant au premier génocide du 21ème siècle, ils vont devoir réviser leurs ambitions à la baisse.
Ce petit numéro ne marche plus et surtout pas auprès de la diversité qu’ils ont importée massivement dans les pays occidentaux.
Démocratie Participative
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28 juin : Vidovdan, la date sacrée des Serbes
Beaucoup de peuples fêtent des victoires, les Serbes, eux, ont fait d’une défaite leur date sacrée. C’était en 1389, l’armée du prince Lazare était écrasée par les forces ottomanes qui s’établissaient dans la région pour 5 siècles. La bataille a eu lieu à Kosovo Polje le 15 juin du calendrier julien, jour de la Saint-Guy (Vidovdan) pour les orthodoxes.
Chaque 28 juin du calendrier grégorien, un grand rassemblement se forme sur le lieu de la bataille. C’est là que Slobodan Milosevic, le 28 juin 1989, avait prononcé un discours mémorable, début de son ascension politique et d’une fuite en avant nationaliste du peuple serbe. Aujourd’hui, la commémoration a lieu sous la surveillance de la police kosovarde. Ce matin, le patriache Irinej a prononcé une allocution au monastère Gracanica, enclave serbe entourée de fils barbelet, au sein du Kosovo. Tout ce que la Serbie compte d’ultranationalistes nostalgiques d’une grande Serbie mythique est présent, accompagné de hooligans et de fanatiques religieux pour célébrer une date symbolique de l’identité serbe.
En 1876, c’est un 28 juin que le royaume de Serbie a déclaré la guerre à l’Empire ottoman. En 1914, c’est encore un 28 juin qu’un nationaliste serbe a assassiné l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche ; ce fut un hasard du calendrier mais ce fut l’étincelle qui a déclenché la Première Guerre mondiale. En 1921, c’est le 28 juin que le roi Alexandre Ier proclame la constitution d’un royaume qui deviendra la Yougoslavie. En 1948, c’est aussi la date de la rupture de l’URSS avec la Yougoslavie communiste, gage d’une indépendance inespérée pour cette dernière. C’est évidement un 28 juin qu’Émir Kusturica a choisi d’inaugurer sa ville hommage à Ivo Andric, érigé en symbole de la nation serbe… Si important soit-il, Vidovdan (Видовдан), n’est pourtant pas un jour férié en Serbie.
Quant à la fameuse bataille de Kosovo, elle fait l’objet en Serbie d’une véritable mystification historique. Le discours nationaliste serbe en fait une bataille de Serbes chrétiens contre Turcs musulmans. En réalité, un certain nombre de princes serbes et leurs troupes, combattaient aux côtés des Turcs contre l’armée du prince Lazar qui d’ailleurs n’était pas composée que de Serbes mais aussi de très nombreux Albanais, Valaques, Grecs... Et l’issue de la bataille n’est pas aussi claire que cela, les historiens ne sont pas en mesure de désigner clairement un vainqueur. La destinée de cette date est assez étonnante.
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Un service militaire ou civique pour aimer le Canada? Ma réponse à Tasha Kheiriddin
Un service militaire ou civique pour aimer le Canada? Voici ce que j'en pense.
Tasha Kheiriddin semble jouer les sauveuses mais la proposition n'est pas sorti d'un chapeau à ce que l'on puisse lire dans sa chronique du National Post.
En lisant la chronique en question, je me dis que ce serait pas mal de faire un service obligatoire, militaire ou civique, à des jeunes de 18 ans comme au Royaume-Uni.
Une promesse électorale par Rishi Sunak dans un Royaume-Uni en pleine élection.
Plus qu'une promesse électorale, une façon de bâtir une société meilleure.
Faire tomber les barrières
Le Canada est désormais état multiculturel même post-national pour certains, nous sommes dans une victimisation extrême qui force certains canadiens et canadiennes à haïr leur propre pays. Bref on a volontairement entrer dans un iceberg!
Cet état critique remet en question l'histoire canadienne pour effacer des moments importants au profit de petits faits historiques.
Au lieu de parler d'avenir et d'unité nationale, nous fessons du surplace.
Pour un patriotisme canadien
En résumé, il est beaucoup question de patriotisme dans la chronique de Tasha Kheiriddin. De quoi envier sur le voisin américain et pourtant le Canada avait tout à apprendre dès 1867.
Le Canada est un échec au niveau patriotique, toujours dans nos séquelles qui empirent avec les Femmes et filles assassinées et disparues, Black Lives Matter, Trans Rights Matter.
Oui, la proposition de Rishi Sunak peut redorer le nom d'un pays mais à un résultat à la barre haute. Le proposer est bien mais l'implanter ne sera pas un jeu d'enfants à certains détails près. Si j'étais britannique et gay, mon vote irait aux conservateurs.
Bref cette chronique a prêté attention à la jeunesse et comment la rendre plus utile que jamais dans la société. Il faut plus de proposition de ce genre.
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J’ai lu Yoga, d’Emmanuel Carrère. Ça faisait longtemps que je n’avais rien lu de lui, et je n’ai pas lu ses meilleurs je pense (j’ai lu L’adversaire, Classe de neige, La moustache). Je n’ai pas lu Le royaume qui m’intéresse et m’effraie à la fois, ni V13 qui a l’air passionnant mais éprouvant. Je n’ai même pas lu D’autres vies que la mienne qui a l’air si unanimement acclamé.
Je crois que j’étais tout simplement attirée par le titre, et le parallèle qu’il semblait faire selon la quatrième de couverture avec un épisode dépressif grave.
La vérité, c’est que j’ai commencé les premières pages, et que je n’ai pas pu m’arrêter.
Cette fois, contrairement aux précédentes fois, j’ai vraiment eu l’impression d’entendre une voix, la sienne. Son ton, juste, subtil et ironique, m’a beaucoup plu. Et les 150 premières pages sur le yoga et ce fameux stage augural, ascétique au possible m’ont passionnée, parce que je pratique un peu le yoga, mais pas du tout la méditation, et que j’y ai tout simplement appris beaucoup de choses, loin du rayon de développement personnel que j’abhorre.
Il y a d’ailleurs quelque chose de paradoxal dans la pratique du yoga intensive et ce que prônent les livres de développement personnel qui se rejoignent forcément par moments, c’est le profond intérêt porté à soi-même tandis que précisément, « dans d’autres vies que la sienne » se produisent des choses atroces (attentat à Charlie Hebdo, drame des jeunes réfugiés en Grèce). Paradoxe qui n’échappe évidemment pas à l’intelligence de l’auteur, mais qu’il ne résout pas totalement dans ce livre me semble-t-il, probablement car c’est insoluble, ou plutôt que c’est un paradoxe obligatoire. Irrémédiable.
Reste que le livre devient dès sa deuxième partie, un travail de couture étrange : on passe de l’échec du stage (l’auteur est exfiltré parce que sa meilleure amie, compagne de Bernard Maris, une des victimes de l’attentat, veut qu’il rédige son oraison funèbre) alors qu’il n’est absolument pas au courant de ce qui s’est passé en France pendant ces quelques jours, et donc du « livre souriant et subtil » sur le yoga, au récit de son amitié et au portrait de l’économiste assassiné, en passant par l’aveu illuminé d’une liaison, puis au moment, terrible, où l’auteur sombre dans une dépression sévère. Ensuite, sans logique nette ni chronologie très claire, on passe au récit d’une sorte de convalescence en Grèce, où il se déplace sur l’île de Leros, pour aider une association qui s’occupe de jeunes migrants afghans, pakistanais ou syriens.
Pour le dire clairement, le fil conducteur est obscur. Pire, il pourrait sembler obscène : les observations sur les sensations de ses narines (qui symbolisent de manière drolatique la pratique d’Emmanuel Carrère de la méditation) et la description clinique de sa dépression, de son hospitalisation, de son traitement violent (perfusion de Ketamine, électro-chocs), sa sortie piteuse, occupent plus de place dans le récit que la mort violente de l’équipe de Charlie Hebdo et les destins douloureux et vacillants de jeunes migrants. Cela pose un problème selon moi de cohérence et d’équilibre. On est ici dans un égocentrisme total, conscient de lui-même et s’en excusant souvent, mais tout de même. Je trouve le livre bizarre et mal foutu. Et pourquoi ce récit de son attention aux réfugiés ? Pour nous prouver qu’il n’est pas que centré sur lui-même ? Bizarre. Pourtant, allez comprendre, j’ai aimé.
J’ai même beaucoup aimé. Malgré cet égocentrisme, malgré ce qui a ensuite fait polémique, l’ellipse de son divorce (mais malgré cette ellipse, l’ancienne femme de Carrère lui a fait de vifs reproches et l’a même accusé de mentir, alors que son credo est de dire toute la vérité), malgré ces défauts, l’intelligence de la narration, les associations d’idées, la sincérité absolue que l’on sent, tout cela l’emporte. Le plaisir de plonger dans cet esprit troublé, inquiet, est immense. Et je suis sûre qu’il est sincère quand il dit rechercher à être un homme meilleur, vouloir façonner son esprit et son corps, oublier son égo. Ses tentatives ne semblent pas très bien fonctionner, mais n’en est-on tous pas un peu là ? La part d’humanité livrée ainsi me paraît donc réelle, et estimable.
Il a même réussi à me faire rire dans un des moments relatés les plus atroces du livre, c’est-à-dire lors de sa quatrième perfusion de Ketamine, au moment même où il souffre le plus et souhaite mourir… son récit rend compte d’une anecdote qui est tellement dingue que j’ai éclaté de rire alors que j’étais au bord de l’effroi. Voilà. C’est un peu un bon exemple pour parler de ce livre : bourré de paradoxes, maniant une chose et son contraire, plus ou moins habilement mais avec une sincérité confondante, qui fait que l’on comprend, on touche du doigt des vérités, on est court-circuité, on souffre, on rit.
J’ai senti que cet homme était comme un frère…
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Ou nous avons un antagoniste, car la coupe est volée au final, et avec cette coupe il y avait les écrits d'un Jésuite du temps de la Conquista qui explique que cette coupe est la secret d'un puissant royaume et d'immenses richesses, mais que dans tout état de fait elle ne doit jamais retomber entre les mains de l'Empereur Inca Et le secret est légué? Oui au descendant de qui a commis le vol, et qui est motivé par l'avidité et la peur, qui finit assassiné d'ailleurs car Rascar Capac récupère son bien après avoir percé le secret de la société occulte regroupant nombre de notables, comme il était fréquent a l'époque, surtout orientalistes, formée autour de cet objet pour empêcher a tout prix qu'il retombe entre les mains de son propriétaire Vous en arrivez au dénouement! Exact Professeur, décidé Rascar Capac l'était sans aucun doute, mais a présent il est amoureux de cette jeune fille a laquelle il ne peut pas imposer son existence nocturne de momie, car pendant son sommeil il se transforme Continuez, continuez Et donc ce choix, et cette sortie pour notre personnage moitié homme moitié momie est de choisir l'amour et la vie avec sa bien aimée quitte a perdre son immortalité, la coupe qu'il a tout fait pour récupérer est remise en terre, en boire c'est se condamner a l'existence qu'il connait pour un autre millénaire Bravo! Bravo! Merci Professeur Mais comment est il délivré de sa condition?! Il détourne la coupe de son usage Professeur, car il est Grand Prêtre et non uniquement Monarque, il connait cérémonie adéquate, un soir de pleine lune, et la concoction d'herbes a boire dans cette coupe pour se délivrer, il bois et tombe évanoui, quand il reviens a lui même il sent son cœur battre de nouveau, après presque 1000 ans Vous signez la sortie du personnage de Rascar Capac! Je signe, et je remercie Hergé absolument d'avoir laissé entrevoir cette sortie, cette délivrance pour Rascar Capac de sa condition, qu'il a fallu comprendre dans un premier temps, sa double existence
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L’épouvantable exécution de Ravaillac
Le 14 mai 1610, l’impensable est commis au cœur de Paris : on a assassiné Henri IV. Pour tous, c’est l’incompréhension. Comment a-t-on pu s’en prendre au père du royaume et lieutenant de Dieu sur terre ? Ce crime, considéré à l’époque comme un parricide, est l’œuvre d’un seul homme : le régicide François Ravaillac. Rapidement capturé et emprisonné, il est temps, désormais, de connaître les…
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Willow Part 3 - Jade
Fanfiction
Seule assise sur les rochers du Labyrinthe du Canyon où elle avait pour habitude de s’entraîner avec Kit, Jade observait l’immensité du royaume de Tir Asleen.
Elle avait grandit avec cette vengeance en elle de détruire ceux qui avaient assassinés sa famille, The Bone Reavers. Elle avait appris à canaliser toute sa colère dans le but de l’utiliser le jour où elle se retrouverait devant ces meurtriers. Mais sa vie entière n’était que mensonge.
Elle entendait encore les dernières paroles de sa mère : « Jade, cours !!!! ». Ces paroles qui n’avaient jamais quitté son esprit ni les terribles images de cette journée. Elle ne put abandonner sa mère et resta, assise aux côtés de son corps sans vie, en pleurs, tenant ses mains. Puis, au milieu des cadavres, elle le vit, cet homme en armure, s’approcher d’elle.
- N’aie pas peur.
Tout en douceur, il la prit dans ses bras. Cette voix et cette chaleur humaine qui l’enveloppait, l’apaisa et la réconforta. Se sentant en sécurité, elle ferma les yeux et sombra dans le sommeil.
L’enfance de Jade se passa à nettoyer les écuries, s’occuper des chevaux et se battre afin de se faire accepter dû à sa différence dans un monde qui n’était pas le sien. Jusqu’au jour où elle fit cette rencontre qui changea sa vie.
La petite Kit comme à ses habitudes, s’amusait avec son frère en dehors du palais, au moment où elle vit une fille étrange se battre avec les garçons du royaume.
Kit : Qui est-ce ?
Airk : On dit que c’est une sauvage. Elle ne laisse personne l’approcher.
Kit : Il faut l’aider.
Airk : Non ! Kit attends !
Trop tard, la petite princesse était déjà partie pour défendre cette fille étrange.
Kit : Laissez la tranquille !!!!
Tout le monde se mit à rire et continua la bagarre.
Kit : Je suis Kit Tanthalos, ma mère est la reine !
Tous se figèrent et partirent en courant.
Airk : Oui c’est ça fuyez !!!!
Jade : Je n’ai pas besoin d’aide. J’aillais tous les massacrer !!!
Kit : Ce n’est pas ce que j’ai vu !!!!
A l’instant même Ballantine arriva. «Jade ça suffit. Excuse-toi auprès de la princesse !!!»
Jade : Mais…
Le regard de son mentor, suffisait à la faire céder.
Jade : Pardon.
Ballantine : Vas m’attendre aux écuries. Quant à vous 2 je vous ramène au palais.
Sorsha ne cacha pas sa colère : Qu’est ce qui vous a pris !!!
Kit : Ils se moquaient d’elle !!! Je ne pouvais pas laisser faire !!!
La reine donna l’ordre à une gouvernante d’emmener les 2 jumeaux dans leur chambre.
Sorsha s’adressa à Ballantine une fois seuls : Plus elle grandit, plus elle ressemble à son père. Qu’allons nous faire de la petite Jade ?
Ballantine : Ma reine, je sais comment canaliser sa colère et la rendre utile.
Sorsha acquiesça d’un signe de la tête.
De retour aux écuries, Ballantine s’assit aux côtés de Jade et entama la discussion.
Ballantine : Tu ne peux pas frapper tout le monde.
Jade : Je n’ai pas ma place !!!! Les gens ne m’acceptent pas !!! Je ne suis pas comme eux !!!
Ballantine : Viens avec moi.
Il l’emmena sur le terrain d’entraînement des chevaliers et lui donna un bâton.
Ballantine : Frappe ce mannequin de paille. Libère toute ta colère sans limite.
La petite Jade laissa exprimer toute sa colère. Elle frappa et frappa sans s’arrêter, de plus en plus violemment ce mannequin sous le regard de son mentor. Puis elle s’écroula à terre et se mit à pleurer.
Ballantine la prit dans ses bras : Je te donnerai ta place dans ce royaume et ta colère t’aidera.
C’est ainsi que commencèrent les entraînements qui firent de Jade la meilleure chevalier de Tir Asleen.
*******
Kit avait rejoint son amie au Labyrinthe du Canyon : Je savais que je te trouverais ici.
Jade la regarda, sourit mais ne dit mot. La jeune princesse posa sa main sur le bras de sa bien aimée.
La jeune chevalier se tourna vers celle qui comptait le plus dans sa vie.
Jade : Je… Je ne me suis jamais excusée de t’avoir menti sur nos entraînements.
Kit haussa les épaules, tout cela n’avait plus d’importance : Tu obéissais aux ordres.
Jade : Oui, les ordres. Toute ma vie je n’ai fait qu’obéir… Aux ordres.
La jeune princesse était si blessée de voir son amie en souffrance, qu’elle aurait voulu partager cette tristesse et la soulager.
Kit : Et si on allait chevaucher jusqu’à l’arbre de vie. La première qui arrive a gagné.
Jade : Une compétition. Elle gagne quoi ?
Kit lui sourit et partit : On se retrouve là-bas.
Arrivées à l’arbre de vie, les 2 amies se blottir l’une contre l’autre, adossées à ce gigantesque arbre de magie qui, suivant la légende, apportait la vie à Tir Asleen.
Jade : Te rappelles-tu notre 1re rencontre ?
Kit : Comment oublier tu m’as crié dessus.
Toutes 2 se mémorisaient cette amitié grandissante, devenant au fil des ans de plus en plus intense, inséparables l’une sans l’autre. Une force qui les unissait si puissamment. Toutes ces nuits qu’elles passèrent dans la chambre de Jade à refaire le monde, à vivre d’aventures épiques. Ces moments d’entraînements que l’une et l’autre chérissaient plus que tout, les seuls instants où elle se retrouvaient seules, loin du palais, loin de tous ces devoirs princiers que Kit avait toujours rejetés. Cette nuit où la petite princesse, allongée sur le lit, aux côtés de son amie, s’éclata en sanglots à cause du départ de son père sans en connaître les véritables raisons. Ce soir là, Jade lui offrit le collier de sa défunte mère, qu’elle porta à son cou et firent le serment de ne jamais s’abandonner.
Jade : Il appartenait à ma mère. Je l’ai pris sur son corps afin de ne jamais oublier. Je te le donne, en guise de notre amitié. Toi et moi, jamais nous ne serons séparées. Quoiqu’il arrive.
Kit : Toi et moi, toujours présentes l’une pour l’autre. Quoi qu’il arrive.
*******
Jade : Tu… Tu as changé ma vie. Pendant que tous me rejetaient, toi, princesse de Tir Asleen, tu m’as acceptée telle que je suis. Avec mes différences. Tu as été la seule dans ma vie qui ait comptée.
Kit se releva et plongea son regard dans celui de Jade : Tu as comblé le vide qui subsistait en moi. Tu as été et tu es ma seule et unique dans ma vie.
Puis, d’abord hésitantes, leurs lèvres se rejoignirent. Mais à l’instant où Kit devenait plus demandeuse, Jade la stoppa tout en douceur.
Jade : On ferait mieux de rentrer.
*******
De retour chez-lui, Wiilow fut accueilli comme il se devait en tant que grand Aldwin ainsi qu’Elora, impératrice.
Mims se jeta dans les bras de son père : Popa !!!
Willow : Tu… Tu vas bien.
Le sorcier se retourna vers la jeune femme, tous 2 comprirent, sa vision lors de la traversée de Shattered Sea n’était qu’un leurre. Son village, sa fille, tout le monde étaient sains et saufs. Puis elle s’approcha de la jeune impératrice qui se mit à sa hauteur et la prit dans ses bras.
Mims : Soyez la bienvenue.
Quelques heures plus tard, Elora se retrouvait seule dans les jardins privés de Wiilow, tenant la flûte de Graydon dans ses mains. Mais lorsque Mims la rejoignit, elle s’essuya aussitôt les larmes qui coulaient sur son triste visage.
Mims : Il n’y a pas de honte à pleurer. Nous ne pouvons pas tout le temps être fortes.
Elora : Je… Tout ce pouvoir et je n’ai pas pu le sauver.
Mims : Il n’a pas agit pour être sauvé.
Elora lui sourit : Vous êtes tellement tous gentils et accueillants à mon égard. (Elle regarda la flûte). Je ne veux plus de sacrifices. Je dois apprendre à maîtriser cette magie.
Mims : Popa vous aidera. Maman s’est occupée de vous bébé avant de vous confier à Tir Asleen, je le ferai aujourd’hui. Même si vous n’êtes plus un bébé.
Toutes 2 se sourirent.
Lorsque Willow se retrouva seul avec Mims, il lui fit part de ses doutes.
Willow : Comment puis-je l’aider, je n’ai plus ma pierre, ma magie ?
Mims : Popa, Fine Raziel et Cherlindrea avaient foi en toi. N’oublie pas Elora t’a choisi.
Willow : Et si j’avais tout perdu. Elora serait la seule. Tant de responsabilités reposeraient sur elle.
Mims : La magie est en toi. Tu es le grand Aldwin. Et s’il en restait d’autres quelque part. Le monde est vaste.
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Jacques II d'Écosse
Jacques II d'Écosse régna de 1437 à 1460. Succédant à son père assassiné Jacques Ier d'Écosse (r. de 1406 à 1437), Jacques hérita du trône alors qu'il était enfant. La première partie de son règne fut marquée par d'intenses rivalités entre barons rivaux, qui plongèrent l'Écosse dans une guerre civile. Le jeune roi fut surnommé "face ardente" en raison d'une tache de naissance proéminente sur son visage. À partir de 1449, Jacques atteignit la maturité et commença à prendre le contrôle de son royaume. Il sut s'entourer d'alliés, réduire la richesse et le pouvoir des familles rivales et se faire le champion des nouvelles technologies militaires. Après avoir éliminé tous ses rivaux et mené plusieurs attaques contre le nord de l'Angleterre, le roi mourut à 29 ans en août 1460 dans l'explosion d'un canon à côté duquel il se trouvait. Son fils Jacques III d'Écosse lui succéda (r. de 1460 à 1488).
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Ézéchias : épreuve et délivrance
« Maintenant, Éternel, notre Dieu ! sauve-nous, je te prie … afin que tous les royaumes de la terre sachent que toi, Éternel, tu es Dieu, toi seul. » 2Rois 19:19
Ézéchias, roi de Juda, est revenu de tout son cœur au Dieu de ses pères, mettant sa confiance en l’Éternel, le Dieu d’Israël. Le résultat est une succession de victoires sur les ennemis. Ézéchias ose même se révolter contre le terrible roi d’Assyrie (l’Irak actuel), Shalmanéser, successeur de Tiglath-Piléser, qui avait dépouillé Achaz son père de toutes ses richesses quand ce dernier l’avait appelé au secours contre les Syriens.
Shalmanéser vient pourtant de montrer sa puissance en détruisant le royaume d’Israël, le royaume du nord, et en transportant ses habitants en Assyrie. Mais Ézéchias compte avec foi sur le secours de Dieu pour se libérer de la tutelle assyrienne.
Il compte sur Dieu, oui, jusqu’à ce que Sankhérib, autre roi d’Assyrie, s’empare de toutes les villes fortes de Juda ! Ézéchias prend alors peur et cherche à composer avec l’ennemi sans parvenir à l’amadouer par tout l’or qu’il peut trouver. Rien n’y fait, l’armée assyrienne réputée invincible est bientôt là devant les murs de Jérusalem et son chef se targue de ses précédentes victoires pour obtenir la reddition de ses habitants : non, prétend-il, l’Éternel ne pourra pas vous délivrer ; il ne sera pas plus fort que mon armée et mes dieux !
Comme autrefois David, son ancêtre, en face de Goliath, Ézéchias prend conscience que c’est la gloire de l’Éternel qui est en cause et que Dieu ne peut laisser sans réponse l’outrage qui Lui est fait. Il le fait dire au prophète Ésaïe pour qu’il prie à cet égard (2Rois 19:4). Il supplie lui-même l’Éternel de maintenir sa gloire par une grande délivrance (v. 19).
« Cette nuit-là », un ange de l’Éternel fait mourir 185 000 hommes dans le camp des Assyriens qui lèvent précipitamment le siège (v. 34-37). Sankhérib retourne à Ninive où il meurt une vingtaine d’années plus tard, assassiné par deux de ses fils, alors qu’il adore son dieu Nisroc. La délivrance est totale, l’Éternel seul en est l’auteur !
Ne cultivons pas un sentiment de culpabilité lorsque nous avons manqué de foi : confessons ce manquement au Seigneur en revenant avec confiance à celui qui sait que nous sommes faibles et faillibles. Il veut toujours répondre à la prière des siens qui font humblement appel à sa grâce.
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VOICI DEUX CHOSES QUE VOUS DEVRIEZ PRATIQUER CE MOIS-CI...
1. Implorez le sang de Jésus sur votre vie chaque jour.
J'ai récemment réalisé que de nombreux chrétiens qui implorent le sang de Jésus sur leur vie ne comprennent pas vraiment la profondeur de ce mystère.
Dans 1 Jean 5:8, la Bible dit : "Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre, l'esprit, l'eau et le sang, et ces trois-là concordent en un seul". Cela signifie que si Dieu a besoin de rendre un jugement ou de dévoiler la vérité sur une question sur terre, il n'y a que trois substances qualifiées pour être témoins, et ce sont l'esprit, le sang et l'eau. Ces trois substances diront toujours la même chose, et il est impossible qu'elles mentent.
En parlant du sang, nous comprenons d'après les écritures que le sang a une voix dans le royaume de l'esprit. C'est exact ! Le sang peut parler, surtout le sang versé. Après que Caïn a assassiné son frère Abel, les Écritures nous disent que le sang d'Abel a crié à Dieu pour se venger, et Dieu a honoré sa demande. Nous voyons également dans les Écritures plusieurs cas où le sang d'animaux a été versé pour expier un péché ou simplement pour rendre un culte à Dieu, et Dieu a honoré chacun d'entre eux. Le but du sang versé était toujours atteint.
Pour que Dieu puisse juger une affaire, trois substances sont nécessaires : l'esprit, le sang et l'eau. Vous comprenez maintenant pourquoi Jésus a dû mourir, un sang qui parle de rédemption durable et d'expiation a dû être versé pour racheter la création de Dieu, sans l'expression de ce sang sur la terre, racheter le monde du péché et de Satan aurait été une lutte. C'est ainsi que Dieu a créé la terre, il fallait qu'il y ait un témoignage de sang. Hébreux 9:12 dit : "Il n'est pas entré par le sang des boucs et des veaux, mais il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint par son propre sang, obtenant ainsi une rédemption éternelle".
Son sang est devenu la forteresse qui permet aux croyants de franchir toutes les formes de limites. Bien que nos péchés provoquent la colère de Dieu et que nous subissions des interférences démoniaques chaque jour, nous avons un accès illimité aux bénédictions de Dieu grâce à notre conscience des paroles du sang de Jésus. Je ne mérite peut-être pas ce grand sacrifice, mais c'est ce que Dieu a fait pour moi.
Alors, la prochaine fois que vous voudrez sortir de chez vous, implorez le sang de Jésus sur vos allées et venues. Et quand vous allez vous coucher le soir, plaidez le sang de Jésus sur votre vie. Quand vos enfants sont sur le point d'aller à l'école, implorez le sang de Jésus sur leur vie. Lorsque vous êtes sur le point de commencer un projet, implorez le sang de Jésus sur ce projet. Peu importe ce qu'un démon ou un sang quelconque dit contre vous, le sang de Jésus est un sang supérieur, et il dit de meilleures choses. Quand tu es sur le point d'entrer dans un culte, implore le sang de Jésus pour que la parole ait libre cours dans ta vie. Depuis que j'ai compris ce mystère, je n'ai cessé de plaider le sang de Jésus.
À suivre...
Bienvenue en septembre...
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