#Le cinéma creusois
Explore tagged Tumblr posts
Text
Séance ciné à l'Alpha. Évaux-Les-Bains
Séance ciné à l’Alpha. Évaux-Les-Bains
Affiche séance public Article de presse- Lhttps://www.lamontagne.fr/evaux-les-bains-23110/loisirs/serie-humoristique-clips-video-et-courts-metrages-des-passionnes-font-leur-cinema-en-creuse_14069642/a Montagne Creuse
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
journaljunkpage · 7 years ago
Text
LA TRANSE DU 23
Tumblr media
Marc A. Bertin / D.R
Lieu de résidence de création artistique pluridisciplinaire, implanté dans la commune de Moutier-d’Ahun, en Creuse, la Métive accueille toute l’année des artistes du monde entier dans des espaces propices au développement de leur travail en cours. Ce projet de lien social et d’action culturelle en territoire rural fête ses 15 ans.
Depuis 2002, il y en a eu des artistes en résidence, tissant des ponts entre leur projet de création et les publics du territoire creusois. Quinze années de partenariats, d’oeuvres construites en commun qui donnent envie de poursuivre, d’approfondir, d’améliorer encore ces liens.
Par ailleurs, cela fait dix ans que la Métive a trouvé sa terre d’accueil : le moulin de l’abbaye de Moutier-d’Ahun, ce si joli village « préféré des Français », pour y implanter ses activités.
Aussi, cet automne, quoi de mieux qu’une Festive d’anniversaire ? Trois jours d’une programmation riche et variée, histoire de (ré)découvrir des oeuvres inédites d’artistes venus au cours des dix dernières années ou futurs invités.
Immanquable rendez-vous au menu des réjouissances : l’exposition « Arpenter, rencontrer, raconter », retour sur une décennie de photographes en résidence à la Métive. En effet, le lieu a toujours convié les photographes à questionner le rapport que l’Homme entretient avec son environnement ; comment il le transforme, le travaille, le vit, ou l’aime, et comment le paysage raconte ceux qui l’ont habité. À travers, le plus souvent, une écriture photographique à la lisière du documentaire et de la fiction, les photographes racontent l’histoire et les tensions singulières de ce territoire. Ces regards sont ceux de Philippe Bernard, Anne-Lise Broyer, Rémi Carayon, François Deladerrière, Émilie Flory, Nicolas Frémiot, Joseph Gallix, Lise Gaudaire, Camille Hervouet, Yannick Labrousse, Vincent Leroux, Philippe Mailleux, Laurence Nové-Josserand, Antoine Picard, Pierre Yves Racine, Hortense Soichet, Valentine Vermeil et Baptiste de Ville d’Avray.
De son côté, Delphine Ciavaldini, metteuse en scène, costumière, plasticienne et fondatrice de la compagnie Feydra Tonnerre, présente Blitz, une installation unique et originale, composée de tricots (pulls, gilets, jupes…) et de grillage à poule. Une multitude de silhouettes entières ou partielles flottent, dansent, se dépiautent, se relient, s’accueillent ou se tournent le dos. Entre elles, se créent de nouveaux agrégats, de nouveaux tissages moins formels, peut-être l’entre-deux du souvenir ou l’antre du soi.
Diplômés des écoles des Beaux-Arts de Nantes et de Bourges en 2013, Alexandre Chanoine et Marc Simonart se retrouvent autour de questions portées sur l’appréhension des lieux, des objets aux travers d’appareils qui dessinent, relèvent, sculptent, enregistrent des temps, des espaces. Ils détournent des techniques comme la photographie ou le moulage pour produire des formes détachées de la copie ou de la représentation. Une tentative d’intégrer du jeu entre des phénomènes et leur représentation. Le choix de travailler à deux les pousse à produire des objets qui par leur aspect ou leur matérialité laissent transparaître un dialogue.
Le point de départ de cette collaboration est un projet commencé en 2014 autour de possible trace de la durée d’une journée. Il s’agit d’une balance de 7 m de long qui exécute un mouvement continu imperceptible pendant 24 h. Le dispositif produit deux traces : une ligne de lumière sur un film 35 mm inversible, un sillon creusé dans une barre de plâtre, ces deux traces ayant un format équivalent. Ce projet a été montré aux Mariniers à Bruxelles en mai 2014 et à la Fonderie au Mans en novembre 2014. Ils mènent depuis un travail d’atelier constitué d’exploration de formes, de matières, de mouvements : une table à tourner des objets, une balise qui enregistre le mouvement de l’eau, un néon révélant les aspérités du sol.
Néanmoins, comme il n’est pas question de verser dans la rétrospective à tout prix, les agapes font aussi belle part à la nouvelle saison, notamment avec le danseur et chorégraphe Loïc Touzé, qui développe son activité dans le cadre d’ORO, à Nantes depuis 2010, initiant de nombreux projets en collaboration avec des artistes du champ chorégraphique mais aussi de la musique et des arts visuels. Également à l’appel : Alexandre Chanoine, Élodie Petit et Jeanne Moynot.
Un peu de danse, aussi, avec Ondine Cloez qui, après des études de danse classique, suit la formation P.A.R.T.S. à Bruxelles et Ex.e.r.ce à Montpellier. Depuis, elle travaille avec Laurent Pichaud, Mathilde Monnier, Linda Samaraweerova, Randy Carreno, Laure Bonicel, Rémy Héritier, Marcos Simoes, Sara Manente, Grand Magasin, Antoine Defoort et Halory Goerger, Loïc Touzé.
Enfin, Pauline Simon et Ernest « Sourdure » Bergez pour une exploration du potentiel d’invention du « traditionnel », à travers une perspective expérimentale de la musique et de la danse folklorique auvergnate.
Plus un dimanche consacré au cinéma et le tout est gratuit !
Festive, du vendredi 6 au dimanche 8 octobre, La Métive, lieu international de résidence de création artistique, Moutier-d’Ahun (23150). www.lametive.fr
0 notes