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#Le bal des invertis
liminalflares · 1 year
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Un costume pour deux, au bal des invertis du “Magic-City”
Brassaï - Paris, 1931
Magic City became the hub for the city’s brightest drag balls (“Bal Travesti” or “Transvestite Balls”) to unfurl. “The cream of gay Paris was to meet there,” wrote historian David Higgs, “without distinction as to class, race or age.
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Le bal des invertis au "Magic-City", rue Cognacq-Jay
Brassaï - Paris, 1932
And every type came, cruisers, chickens, old queens, famous antique dealers and young butcher boys, hairdressers and elevator boys, well-known dress designers and drag queens.” Thankfully, Brassaï and his camera flocked to the eye of that creative storm, capturing the most intimate and ephemeral scenes of those Magic City nights…
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La duchesse de Zoë au bal des invertis du “Magic-City”
Brassaï - Paris, 1932
Otherwise known as the bal des invertis (inverti = outdated term for gay), Brassaï called the gatherings “an “immense, warm, impulsive fraternity.”
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Le bal des invertis au "Magic-City", rue Cognacq-Jay
Brassaï - Paris, 1932
Sadly, the party came to an end not long after the closing of the adjacent attractions in winter of 1934. The massive ballroom continued to host events, but the city made them explicitly outlaw “transvestites” from their dances. As time went on, the memory of the OG Magic City was quite literally paved over with the creation of Cognacq-Jay street. Under German occupation, its home at 180 rue de l’université was totally transformed into production studios and a theatre for Nazi use.
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Un couple au bal de "Magic-City", rue Cognacq-Jay
Brassaï - Paris, 1932
Photos from the Réunion des Musées Nationaux
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lounesdarbois · 6 months
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Renoir est l'un des derniers peintres à avoir restitué avec exactitude les caractères physiques particuliers du peuple français. Ses peintures sont imprégnées certes de tout ce que l'on sait déjà: la fraîcheur d'un bal ici, la gravité des attitudes là, le bonheur ménager encore ailleurs, mais elles vibrent surtout d'un trésor que nous oublions de regarder à force de le voir c'est la beauté physique au milieu de laquelle nous vivons. Le peuple français est un peuple d'une très grande beauté physique. Renoir a pris soin de rendre le plus fidèle hommage possible à la spécificité de ces yeux profonds, de ces figures symétriques, de ces teints très purs, de cet ordonnancement d'une race déployée sur son pays comme des couleurs sur un nuancier. Un équilibre tel, une variété telle que toute irruption étrangère n'y apporterait rien qui ne s'y trouve déjà, n'y enlèverait rien qui ne soit perdu pour toujours. D'autres peintres du 19ème siècle ont entrepris ce travail inconscient qui consiste à répertorier le peuple et son territoire, ce sont les Monet, les Bouguereau, les gens de l'école de Barbizon et du soi-disant style "pompier" dont les critiques d'art ont dit tant de mal. Renoir est au plan de l'exactitude figurative une sorte de point d'orgue à ce type d'entreprise, et au plan chronologique un point final.
Plus le temps ira plus ces peintres deviendront malgré eux subversifs, leurs oeuvres prenant la forme de vivantes accusations portées contre l'ivresse contemporaine de se rouler dans la boue et la merde, contre ce goût inverti de descendre vers le singe, de dégrader ce que l'on porte en soi, penchant dont Baudelaire avait démasqué les rapports souterrains avec le satanisme. Le legs de ces artistes deviendra alors l'arche d'alliance du dépôt divin que porte en soi le peuple français et plus largement toute la race blanche. «Le Blanc, c'est la sérénité, la pureté, le divin» (Morand), vérité que connaissent toutes les aires géographiques et toutes les religions du monde. Combien de barbares se sont voilés la face en pleurant lorsqu'ils ont vu chez eux débarquer les Aryens, croyant reconnaître les dieux dont parlaient leurs propres traditions? Sagesse de leur crédulité car l'Histoire est l'histoire d'une chute, l'histoire de la Chute. Combien d'adeptes de combien de religions vont à leurs pèlerinages respectifs drapés de vêtements blancs, depuis les Pythagoriciens de l'Antiquité? Le Blanc c'est le divin et Pierre-Auguste Renoir porte jusque dans son nom de famille l'hommage que l'ombre doit rendre à la lumière, clin d'oeil que Dieu nous adresse par ce peintre merveilleux.
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worldsandemanations · 5 years
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Le bal des invertis au “Magic-City”, rue Cognacq-Jay, 1932 by Brassaï
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