#Le Premier Homme
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sigurism · 10 months ago
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Alain Delon après la première du film 'Le Gang'
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fallenangels95 · 9 months ago
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purééeeee mais je crois on m'a jeté un sort c pas possible pcq jamais un homme n'a autant été dans mon crâne pour aucune raison libérez moi j'en peux plus
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LE VOYAGEUR #shorts #tahahassineferhat @tahahassineferhat #cosmos #homme...
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lolochaponnay · 2 months ago
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Un homme dit à un autre: -J'ai fait couper la queue de mon chien car ma belle-mère vient dîner demain. L'autre homme: -Je ne vois pas le rapport. Le premier homme : -Je ne veux surtout pas qu'elle pense que quelqu'un est heureux de la voir.
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emiliemaria · 11 months ago
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#j'ai finis de lire les eff4cés#(je censure on sait jamais p-être l'autrice fouille aussi sur tumblr)#et c'est réellement la premiere fois que je lis un Y/A qui fait Y/A genre c'est très plat et 'enfantin' idk#jdis pas que la Y/A c'est forcément enfantin parce que j'en lis bcp quand même et jamais je me suis dit que j'etais pas la cible premiere#mais là c'est TELLEMENT adolescent genre si j'avais su j'aurais pas du tout lu#tout est prévisible. les relations sont nulles de chez nulles.#surtout que c'est 3 relations hétérosexuelles très clichés et pas du tt originales#genre y'a zéro enjeu tellement tout est téléphoné#et du coup j'me suis renseigné parce que de base g vu une review dire que y'aurait dla représentation#jsuis allé sur le tiktok de l'autrice elle disait que oui y'en aurait au fur et à mesure#sauf que là sur 2 tomes le seul homme homosexuel (ou bi je sais plus) meurt dans le tome 1#y'a une mention de grands mères lesbiennes mortes#et Ed l'un des persos principaux est à priori ace (wich. nice.)#mais l'autrice à mit trop d'hétéros genre 3 couples hello ??????????? that's a bit much ?#aussi j'ai vu dans les commentaires de ses tiktok que des gens avaient été déçus par rapport à la couverture du premier tome#et ça me rassure parce que same. quand j'ai vu la cover avec Prym et Ed je me suis dis à eux ils vont finir ensemble#et bien PAS DU TOUT#et l'autrice disait que c pour éviter la confusion qu'elle a fait des tiktok pour préciser ptdr#bref en + l'autrice fait mourir des personnages principaux mais on s'en fout genre ?#je sais pas jcrois les seules morts qui pourraient m'atteindre c'est si Ed ou Miko mouraient#(et si ça se passait ce sera tuer les deux seuls perso queer qu'il reste ptdr)#je crois que Miko est bi ou homo je sais plus ou alors il a les vibes#mais en tous cas c'est clairement le perso le + interessant (avec Ed) et on le voit 3 secondes dans le tome 2💀#bref très déçue mais bon je pense je suis clairement pas le public visé donc i get it si les gens aiment#triste de me rendre compte que je suis trop vieille pour ça
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jules-and-company · 1 year ago
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non mais écoutez pour une fois c’est pas ma faute. je regardais tranquillement une vidéo que je pensais être sur les coulisses de la CF (on reste quand même dans le thème, faut pas déconner non plus). quand soudain
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cet homme me suit partout
(c’est cadeau)
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chaotictomtom · 1 year ago
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post nut clarity qui me donne envie d'hurler de rire dans ma salle de bain à 2h je me suis souvenu de nul part du DE de ce matin qui m'a répondu ultra cocky et sérieux "oulah mais on a pas besoin de ça ma génération, j'ai pas été élevé au danone moi" quand je lui ai proposé mon dégrafeur. chaque fois il est grave grognon lui et nous prend comme des chiens mais j'accepte qu'on parle mal de ma génération si c'est pour sortir un truc aussi drôle
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camisoledadparis · 29 days ago
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
 Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m². Elle est séparées en  plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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flagbridge · 1 year ago
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The Raoul (de Chagny) Navy: An Exploration of the Vicomte's Naval Background:
Our beloved Vicomte, Raoul de Chagny, is a young junior officer in the French Navy ("le Royale"), but this hardly gets much exploration. It's a detail that is often glossed over--I anticipate because Naval historians and Phans often do not have much Venn diagram overlap--until now. Let's just say my username is a Naval reference.
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Note: the "Raoul Navy" is not my invention--our hilarious and wise "Phantom Dark Web" friends at Leroux Less Traveled (incl. @box5intern) came up with it, and I love it.
I've started digging into book Raoul and his Naval background and turns out we are missing out a whole lot about Raoul's character background if we don't dig into it. So I'm going to tell you what the book tells us and what that means. I'm going to give you the overall pieces up front, and then explain:
Raoul looks very young and feminine (except for his "little" mustache, which he effectively has grown to prove that he can)--and everyone treats him like a baby
Raoul at this point has already completed three years of Naval training including a world tour, so he is fairly experienced and even worldly for his age. He is described in the French as a "cadet", but he would likely be a sub-lieutenant at this point since he has graduated from the Naval Academy.
He's on a six month leave before going on a very dangerous mission to recover remains of a lost Arctic mission--a mission he himself is unlikely to return from.
And everyone still treats him like he's a baby (especially the old dowager widows), even though he has had quite a bit of life at this point--so he has something to prove.
What we know about Raoul and the Navy (Here is the English):
"He was admirably assisted in this work first by his sisters and afterward by an old aunt, the widow of a naval officer, who lived at Brest and gave young Raoul a taste for the sea. The lad entered the Borda training-ship, finished his course with honors and quietly made his trip round the world. Thanks to powerful influence, he had just been appointed a member of the official expedition on board the Requin, which was to be sent to the Arctic Circle in search of the survivors of the D'Artois expedition, of whom nothing had been heard for three years. Meanwhile, he was enjoying a long furlough which would not be over for six months; and already the dowagers of the Faubourg Saint-Germain were pitying the handsome and apparently delicate stripling for the hard work in store for him."
We also learn in another paragraph that the de Chagnys had admiral in the family, so the Naval connection is likely a family business for second sons. Raoul is a second son, so a career as a military officer would have been a distinguished career for him.
Borda: First ship
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Brest is the main port of the French Navy and home of the Ecole Navale (or French Naval Academy. In the 20th Century it moved, but Brest is still, along with Toulon, a major naval base)
According to the French: Le jeune homme entra au Borda, en sortit dans les premiers numéros et accomplit tranquillement son tour du monde (Note that the French calls him a "young man", not a lad)
The Borda is traditionally the training ship of the French Navy, and there have been six of them. This would have been a cadet/midshipman cruise for Raoul. He would have been on the ex-Valmy, an 120-gun ship of the line, which became the Borda training ship in 1864.
The Borda is also the ship of the Ecole Navale (French Naval Academy)—this means that Raoul attended the academy.
The Naval Academy is two years in Brest, and then their third year is the World Tour—so that timing also aligns with where we are in the book. Raoul would have begun at the academy at 18, and he is at the start of the book, 21 years old.
After the Borda, which he completed with honors, he did an uneventful world tour.
This would have been his third year, still as a midshipman.
He could have been assigned to any ship for this training cruise—possibly a cruiser (the d'Estang is pictured below in 1884 in Algiers), which did long range missions. Note: Their max speed was about 15 Knots (which is a very respectable speed that some warships still transit).
This world tour cold have been as far east as what is now Vietnam, or through the Suez--but likely near French colonies.
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With influence, he is assigned to the Requin expedition.
French: Grâce à de puissants appuis, il venait d'être désigné pour faire partie de l'expédition officielle du Requin, qui avait mission de rechercher dans les glaces du pôle les survivants de l'expédition du d'Artois, dont on n'avait pas de nouvelles depuis trois ans.
The Requin was a real ship in the Mediterranean fleet, but did not go on its first mission until 1885, which means that this is a deliberate or unintentional oversight of either Leroux himself or his narrator. The Requin was a steel hull—and the Artois was actually a 18th century Royal Navy ship so this piece is a complete fabrication. However, Arctic missions at this time were frequent and tended not to go well.
However, Raoul could also be excited about getting to go on a new steel-hulled ship. The Redoutable was already in commission—commissioned in 1876.  Most of the rest of the fleet at this point were ironclads.
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journaldesgrandschemins · 2 months ago
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J'ai aimé dans un au-delà invisible, qui cernait le mouvement des choses, la netteté des drames, des brisures, des fautes. C'est à dire que j'aimais dans le pelage d'or des choses, des regards et des actes, dont la caresse lancinante posée sur mon coeur était interminable. On me disait: les choses sont ainsi et elles portent ce nom. Je ne pouvais y croire. Les faits n'étaient que la marque visible de ce qui réellement se jouait entre nos deux vies. Nos paroles, nos gestes, nos silences sentencieux n'étaient que la chevrotante musique émanée de cet air où nous nous étions trouvés l'un dans l'autre.
Nous étions deux enfants si impatients de la fête approchante qu'ils déchiraient à l'avance leur costume, dans des sursauts d'excitation terrifiée.
La dernière fois que je l'ai vu, au bar, nous étions l'un face à l'autre. Il me parlait, je l'observais. On se disputait pour des histoires de tromperie et de jalousie. Il me dit brusquement: Est-ce que je te plais encore? Est ce que t'en es sûre?
Alors je me posai la question en moi-même. Je voyais cet homme cerné, dont les grosses mains baguées argumentaient la parole enfumée, les sourcils et les cils ouvrageant son regard mauvais, fumeux, de plus en plus éteint. Ses yeux ne frôlaient plus la corde sensible de mon âme. Sa grâce ne l'émouvait plus comme autrefois, ni ses ténèbres. Je ne l'admirais plus, je ne désirais plus sauvagement greffer en moi sa puissance. Ses yeux plats, profonds et noyés dans la rage et le vide, la sévérité triste de son visage, l'éloquence de ses mensonges, sa fougue, ses insultes, ses assauts à ma chair, toute cette danse perdue qu'il était, diffuse et offerte devant moi, ne me charmait plus. C'était plus grave encore, elle m'envoutait. Ce n'était plus les premiers rayons de la fascination, lunaires, éthérés, au goût originel. C'était le remous profond, réverbéré d'écho en écho, du premier coup, de la première rencontre, dont les propagations étaient infinies, successives et liées, et traversaient les régions souterraines par ces résonnements sourds. Mon être vibrait encore à sa vue comme sous un glas. Fixée par lui, il m'emportait encore, dans sa violence qui n'était plus ferme et arquée mais défaite et traînante, comme une roue qui tourne, étourdissante. Alors que j'aurais pu vendre sa peau et son âme au marché noir pour quelques centimes, il me tenait encore, il m'emportait encore dans ses contrées poreuses.
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ironfistred · 26 days ago
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Bonjour, je vais commencer par publier ma première histoire sur la croissance. Je tiens à préciser que je suis débutant en matière d'histoire donc elle risque d'être assez courte et peut-être pas aussi excitante que mes prédécesseur.
Alan était un jeune homme très fin, sans charisme et peu viril. Il aimait les hommes et les femmes mais personne le remarquait. Il passait inaperçu et avait peu d'ami. Il se sentait faible et manquait d'assurance. Il décida de prendre de se prendre en main. Alors, Alan s'inscrit à la salle de sport à côté de chez lui pour devenir plus fort et plus musclé.
Alan était trop timide et peureux pour partir à la salle de sport. Il avait peur du regard des autres et il était agoraphobe. Alan se mit en tête de partir à la salle de sport 1h avant la fermeture. Il se dit qu'il aurait le temps de faire sa séance et qu'il y'aurait peu de personne à cette heure-ci.
Le premier jour à la salle, il était perdu. Il ne savait pas quel exercices il devait faire. Il y avait quasiment personne. Les quelques personnes présentes était concentrées sur leurs exercices. Donc personne ne pouvait l'aider et le conseiller. Il essaya les différentes machines de musculation mais les charges étaient trop lourde pour lui. Il n'arrivait à rien. Il se sentait frustré de ne pas réussir à soulever des poids. Il commença à rassembler ces affaires pour rentrer chez lui. Mais juste avant de partir, il vit un bel homme musclé, viril et transpirant rentrer dans les vestiaires. Il devait avoir finis sa séance de musculation. Alan décida finalement de suivre ce bel homme dans les vestiaires. Il fit semblant d'avoir oublié quelque chose dans les vestiaires. Il voulait absolument se rincer l'œil discrètement sur ce bel étalon. Dès qu'Alan rentra dans les vestiaires il sentit une forte de transpiration et de pieds. Il reconnu l'odeur de ce mâle. Malheureusement pour lui, il n'y avait personne dans les vestiaires, aucun bruit. Alan était persuadé avoir vu cet homme rentrer dans les vestiaires mais il n'y avait rien en dehors d'un short blanc posé sur le banc. Ce short blanc n'avait rien de spécial mais Alan était étrangement attirer par ce short. L'odeur était de plus en plus forte près du banc. Alan se rendait compte que l'odeur émanait du short blanc. Il se rapprocha du short, puis de manière inexpliqué il le prenait dans ces mains. Il était hypnotisé par le short. Il sentit le short blanc. L'odeur était incroyable pour Alan. Le short sentait la transpiration, le musc et étonnamment les pieds. L'odeur était tellement enivrante qu'il commença à bander. Alan voulait absolument porter ce short, il était obnubilé par le short et ces odeurs. Son rêve était de garder ces odeurs sur lui, toute la journée. Il s'enferma dans les douches, il s'est mit tous nu. Il commença à enfiler le short au niveau de ces jambes. Ces jambes grandirent. Il senta ces pieds grandirent et grossirent. Ces pieds sentait le musc et la transpiration. Alan n'était pas horrifié, il aimait cette sensation de chaleur et cette odeur le parcourir.
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Il commença à l'enfiler sur sa queue. Au bout de quelque secondes, il se sentit sa queue croître. Il ressenti un plaisir immense traverser sa queue. Il se mit à gémir. Le plaisir remonta vers ces abdominaux. Ils commençaient à devenir aussi dur que du béton
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Le plaisir monta jusqu'à ces pecs. Ces pecs devenaient proéminent et volumineux. Ces aisselles devenaient poilus et puante. Alan aimait cette odeur sous ces aisselles. Le plaisir monta jusqu'à sa tête. Une barbe commença à pousser sur son visage. Alan était imberbe jusqu'à présent. Son visage se remedola. Alan se mit à se branler. Il toucha sa longue queue sensible. Le plaisir devenait si intense qu'il se mit à éjaculer des flots de sperme sur le sol. Puis Alan s'est évanoui dans la cabine de douche.
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Lorsqu'il se réveilla, il oublia tous ces anciens souvenirs à propos d'Alan. Il s'appelait maintenant Aiden. De nouveau souvenirs commença à émerger. Il se rappelais qu'il était un pratiquant de muscu et un ancien capitaine de l'équipe de lutte au lycée. Il était adulé par tous les garçons de sa classe. Il s'est tapé beaucoup de fille et beaucoup de mecs dans sa vie. La chose qu'il aimait le plus en dehors du sport c'était le sexe. Il aimait qu'on s'occupe de sa queue mais aussi de ces pieds transpirant. Aiden aimait cette odeur après la muscu. Aiden s'est habillé. Il ne voulait pas se doucher après sa séance de musculation car un petit minet l'attendait chez lui. Ce petit minet devait lui décrasser ces pieds de taille 46 et lui pomper tous son jus.
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codumofr · 2 months ago
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La Deutsch Heer est le nom officiel de l’Armée de l’Empire Allemand entre 1871 et 1919. Elle est créée par le décret “Ordnung für Kriegsbundes Armee in Deutschland” ordonnée par Otto von Bismarck (1815-1898) alors Chancelier Impérial depuis 1871. “L’Oberste Heeresleitung” est le nom donné au haut-commandement de la Deutsche Heer et à sa tête se trouve l’Empereur Allemand (titre créé en 1871 et abrogé suite à la défaite allemande de 1918.) Entouré de ses proches qui forment l’État-major Particulier ; Les aides de camp, quatre officiers d’ordonnance, plusieurs officiers adjoints et deux médecins. Il y aura trois cabinets en place : Le Militätkabinett pour les affaires militaires, le Marinekabinett pour la marine et le Geheimes Zivilkabinett pour les affaires civiles. Ainsi les chefs de la Deutsche Heer sera du 18 Janvier 1971 au 9 Mars 1888, Guillaume 1er (1797-1888), du 9 Mars 1888 au 15 Mars 1888, Frédéric III (1831-1888) et du 15 Juin 1888 au 9 Novembre 1918, Guillaume II (1859-1941). Elle est alors constituée de vingt-cinq corps d’armée qui englobe 48 divisions d’infanterie, de cavalerie et d’artillerie confondue. Toutefois, après l’unification de l’Allemagne en 1871, l’armée allemande ne combat plus en Europe, mais sera active dans les colonies telles que lors de la Révolte des Boxers et se trouvera déployer partout où l’Empire Colonial Allemand est présent. Possédant ainsi une troupe coloniale du nom de “Schutztruppen” qui ne constituait pas un corps colonial autonome comparé à d’autres nations telles que la Légion Étrangère Française ou Espagnole, elle était même dépendante non pas du Ministère de la Guerre, mais des responsables et gouverneurs locaux. Ce n’est qu’en 1891 qu’apparaît là “Kaiserliche Schutztruppe für Deutsch-Ostafrika” sous l’impulsion du Commissaire et Colonisateur Allemand, Hermann von Wissmann (1853-1905). D’abord soumise à l’autorité de la Marine Impérial Allemande (Kaiserliche Marine) elle sera en 1896 suite à une loi, soumise au même titre que les troupes coloniales à l’autorité du Bureau Colonial Impérial (Reichskolonialamt). En termes d’opération, les troupes de Wissmann seront employées en 1891 contre les Héhé, durant la rébellion Maji-Maji (1905-1907), elle connaître le Siège de Tsingtau en 1914, puis quelque temps après, elle sera alors employé lors de la 1re guerre mondiale lors de la Campagne d’Afrique de l’Est (1914-1918).
Au sein même de l’Armée, une hiérarchie se dessine. Le Corps d’Officier est généralement recruté parmi les “Junkers”, propriétaire terrien prussien et donc, noblesse foncière du pays. Les Sous-officiers sont généralement des artisans instruits, mais économiquement peu certains dû à l'industrialisation de l’Allemagne et les hommes de troupes sont généralement issus de tout horizon. En 1914, la Deutsch Heer est capable d'aligner 8 armées et qui seront en termes d'effectif de 840’000 hommes en temps de paix, puis montera rapidement à 3’750’000 hommes lors de la mobilisation. Très bien équipée, l’Infanterie Allemande possède en 1916 un casque en acier et un masque à gaz, son fusil Mauser 1898, des lance-flammes tandis que le corps de transmission possède le téléphone de campagne FF16 de Siemens. L’Artillerie et la composante blindée se composaient des canons de campagnes 7,7 cm FK 96, les énormes canons de Gamma-Gerät de 420 mm et les A7V, premier et unique char allemand développé lors de la 1re Guerre mondiale.
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ludivinevanckerwisky · 12 days ago
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Apprendre à recevoir
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Résumé : Alex, marquée par un passé difficile, lutte pour accepter de recevoir du plaisir. Avec Spencer, elle découvre la douceur et l'écoute, apprenant petit à petit à se libérer de ses blessures émotionnelles.
Avertissements :Thèmes sensibles, traumatisme passé, relation intime, exploration des blessures émotionnelles, contenu mature.
La chambre est baignée d’une lumière tamisée, la douce lueur de la lampe de chevet dessinant des ombres mouvantes sur les murs.
Le silence est seulement troublé par nos respirations mêlées et le bruissement léger des draps sous nos mouvements.
Je suis en califourchon sur Spencer, mes mains posées sur son torse, mes hanches effectuant un mouvement lent, calculé, maîtrisé.
Son regard est fixé sur moi, intense et brûlant, mais différent de ce que j’ai toujours connu. Il ne me scrute pas avec avidité, ni avec cette impatience possessive que j’ai toujours l’habitude de voir dans les yeux des hommes.
Il me regarde comme si j’étais importante, comme si j’étais... humaine. Je baisse les yeux, troublée. Depuis toujours, j’ai appris que mon rôle était de donner, d’être là pour l’autre, et jamais pour moi-même.
Mes gestes sont automatiques, parfaits, répondant à ce que je crois être ses attentes. Je ne cherche pas mon propre plaisir, seulement le sien.
Et je fais tout pour qu'il y arrive rapidement, en silence, sans jamais laisser transparaître mes besoins.
Mais Spencer n'est pas comme les autres. Ses mains glissent lentement sur mes hanches, exerçant une légère pression pour ralentir mes mouvements.
Je sursaute, mon rythme se brise un instant alors que je lève les yeux vers lui, inquiète.
"Alex..." murmure-t-il, sa voix grave résonnant doucement dans la pièce. "Pourquoi tu fais ça ?"
Je détourne les yeux, un frisson me parcourant. "Je veux que tu prennes du plaisir," dis-je automatiquement, comme si c'était une évidence.
Il fronce légèrement les sourcils, ses doigts dessinant des cercles réconfortants sur ma peau.
"Et toi ?" Sa voix est douce mais ferme. "Pourquoi tu ne veux pas en prendre aussi ?"Un sourire nerveux flotte sur mes lèvres. "Je suis bien comme ça," je murmure en haussant légèrement les épaules, évitant son regard.
Il ne dit rien pendant quelques secondes, puis il tente doucement de me donner du plaisir, ses mains glissant entre mes cuisses avec une infinie délicatesse.
Je me raidis aussitôt, attrapant son poignet dans un geste presque paniqué."Non." Le mot s’échappe précipitamment de ma bouche, et mon cœur s’emballe.
Spencer s’arrête immédiatement, son regard scrutant le mien avec une attention douloureuse. "Pourquoi pas ?" demande-t-il doucement, sans jugement, seulement de l’inquiétude dans sa voix.
Je déglutis difficilement, sentant mes doigts trembler sur son poignet. "J'ai pas besoin de ça," je murmure, ma voix à peine audible.Il observe mon visage un long moment, et je vois son expression se transformer, une ombre de tristesse voilant ses traits.
"Ce n’est pas que tu n’en as pas besoin," murmure-t-il, "c’est qu’on t’a appris à ne pas en avoir envie, c’est ça ?"
Des souvenirs remontent brutalement, des fragments de mon passé que j’ai essayé d’enterrer.
Je revois Daniel, mon premier petit ami, me reprochant d'être "trop passive" si je ne me donnais pas entièrement à lui.
Je revois Lucas, soupirant d’agacement quand je demandais une pause. "Tu peux tenir encore un peu, j’ai pas fini."
Et puis mon père... Sa voix, froide et implacable : "C’est normal, les hommes ont des besoins, tu dois apprendre à donner."Je ferme les yeux, un nœud douloureux se formant dans ma poitrine.
"Mon père disait que..." Je ravale mes larmes et inspire profondément. "Que c'était normal qu'une fille donne tout. Que je devais apprendre à ne pas être égoïste."
Je sens Spencer se tendre sous moi, ses mains se crispant légèrement sur ma peau. "Quoi ?"
Sa voix est à peine un murmure, mais je peux y sentir toute sa colère contenue.Je baisse les yeux, honteuse.
"Il... il me touchait..." Je me recroqueville légèrement sur moi-même. "Quand j'étais enfant."Spencer inspire profondément, et je le sens lutter pour ne pas laisser sa colère exploser.
Ses bras m'entourent doucement, m'attirant contre lui, son souffle chaud effleurant mon front."Alex..." murmure-t-il, la voix brisée. "Ce qu'il t’a fait... c'était mal.
Ce n'était pas normal."Je hoche faiblement la tête, nichant mon visage dans le creux de son cou.
Son odeur me rassure, me ramène à l’instant présent. Après un long silence, Spencer recommence à caresser doucement mon dos, cherchant à me rassurer.
Je hausse les épaules, mal à l’aise. "C’est juste comme ça. J’ai appris à être... utile."
Son expression se durcit légèrement, pas en colère, mais avec une détermination que je ne lui ai jamais vue auparavant.
"Tu n’es pas un outil, Alex. Tu es une personne. Tu mérites plus que ça."
Sa tendresse me trouble. Ses doigts effleurent ma joue, ses lèvres pressent un doux baiser contre mon front, comme pour effacer ces années de douleur imprimées sous ma peau.
Puis il reprend lentement ses mouvements sous moi, ses hanches cherchant un rythme doux, patient, mais je tente instinctivement de reprendre le contrôle.
J’essaye de bouger plus vite, de me concentrer sur lui, sur ce que je pense qu’il veut.Ses mains viennent alors saisir fermement mes hanches pour m’arrêter.
"Non, Alex," murmure-t-il, son regard brûlant plongeant dans le mien. "Laisse-moi faire. Laisse-moi prendre soin de toi."
Je veux protester, dire que ce n’est pas comme ça que ça marche. Mais il m’embrasse doucement, son baiser me faisant taire, et je sens mon corps céder petit à petit à sa tendresse.
Il murmure des mots rassurants contre ma peau, me guidant avec une patience infinie jusqu’à ce que je me laisse enfin aller.
Et quand l’extase me submerge, mon premier réflexe est de mordre ma lèvre, d’étouffer le moindre son, de ne pas faire de bruit.
Spencer le voit tout de suite. Ses lèvres capturent les miennes, sa langue caressant doucement la mienne pour m’encourager à relâcher la tension.
"Laisse-toi aller," souffle-t-il contre ma bouche. "Je veux t’entendre, Alex. Personne ne va te punir ici."
Je me fige, un sanglot étouffé m’échappant, suivi d’un gémissement que je ne retiens plus. Spencer me tient fermement contre lui, son regard tendre ancré au mien alors qu’il m’aide à franchir cette barrière invisible que je traîne depuis des années.
Et pour la première fois, je me laisse aller à ressentir, à recevoir.Après, blottie contre lui, ma tête nichée dans le creux de son cou, je murmure :
"T’es pas comme eux..."Il resserre ses bras autour de moi, déposant un baiser sur mes cheveux.
"Non. Et tu mérites quelqu’un qui ne soit pas comme eux."Je ferme les yeux, une larme solitaire coulant le long de ma joue.Avec lui, je suis en sécurité. Enfin.
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withgaby · 2 months ago
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De l'autre côté du miroir
Aujourd’hui, je voulais vous parler d’une scène en particulier de la série Pluto (2024), mais avant une petite mise en contexte.
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Ai-oon se fait passer pour sa jumelle, Ob-oom, auprès de May, sa petite amie secrète et aveugle afin de découvrir si elle a un lien avec l’accident de voiture qui a laissé sa sœur dans le coma le soir de ses noces avec un autre homme.
Même si May est mise hors de cause, Ai-oon continue de se faire passer pour sa sœur, car elle a développé de forts sentiments pour elle.
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Dans l’épisode 7, Lors d’un évènement, l’ex petite amie de de May, Ploy, confie à Ai-oon que May ne l’a jamais vraiment aimé, car elle n’a jamais pu oublier la première personne dont elle est tombée amoureuse. A ce moment-là de l’histoire, nous, nous savons que May sait que ce n’est pas Ob-oom qui partage sa vie ces dernières semaines et qu’il s’agit de Ai-oon. Un flashback au début de l’épisode nous dévoilait que May a rencontré son premier amour au planétarium, une adolescente venue à son secours portant un uniforme au nom de Ob-oom, mais déjà à l’époque il s’agissait de Ai-oon se faisant passer pour sa sœur (on ne va pas aborder le schéma qui se dessine).
Bien évidemment, Ai-oon n’a aucun souvenir de cette rencontre. Pour elle, leur première rencontre remonte à quelques semaines où elle a commencé à se faire passer pour sa sœur. Rencontre où elles ont échangé un baiser passionné, le seul jusqu’à présent, baiser qui fera naitre les sentiments qui ne cessent de grandir d’Ai-oon pour May.
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Petite note avant de continuer parce que c’est important pour la suite, en Thaïlandais, lorsqu’on parle, on nomme souvent les personnes, même soi-même. Plus clairement, au lieu de dire « je t’aime », Ai-oon dirait « Ai-oon aime May ».
Ploy explique à Ai-oon,  qu’elle appelle Ob-oom (oui parce que tout le monde est censé la prendre pour sa sœur jumelle) : « May a montré à tout le monde que c’est Ob-oom qu’elle aime. » Une Ob-oom qu’elle décrit comme belle, élégante et courageuse.
A savoir qu’Ai-oon s’est toujours considérée comme la mauvaise jumelle, elle a grandi dans l’ombre de sa sœur plus belle, plus intelligente, plus courageuse. Alors, quand Ploy lui dit cela, elle voudrait pouvoir y croire, mais ne peut prendre ces attributs pour elle.
Ai-oon observe son reflet dans un grand miroir, ce qu’elle y voit d’abord, c’est sa sœur, parce qu’elle joue son rôle, porte des vêtements qu’elle porterait, aime sa petite amie. Elle se souvient que tous les mots d'amour, toutes les marques d'affections de May ne sont pas pour elle, mais pour Ob-oom.
Son reflet dans le miroir change, Ai-oon s’y voit, médiocre dans sa tenue de tous les jours, une personne qu’elle ne pense pas être à la hauteur de l’amour de May. Malgré tout, Ai-oon ne peut pas renoncer à ce qu’elle vit avec May, parce que cet amour, même s’il n’est pas pour elle, la porte. Elle se sent plus forte, plus importante, plus aimer que jamais lorsqu’elle est auprès d’elle.
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Nous arrivons à la scène dont je voulais vous parler.
Plus tard, May et Ai-oon sont dans la salle de bain de l'hôtel où elles séjournent. May se rend compte qu’Ai-oon a ramené des bougies parfumées parce qu'elle sait que la chaleur et l'odeur lui permettent de s'orienter dans la pièce (et ça c'est trop mignon). Elle lui dit que grâce à elle, elle a l'impression de voir de nouveau et à Ai-oon de répondre qu'elle se sent une meilleure personne en sa présence.
May continue en disant "Voici mon Ob-oom, belle, brillante et courageuse." Ai-oon n'en dit rien, mais on voit sur son visage que c'est dur à entendre pour elle.
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Elles se rapprochent, la caméra recule et se décale, elle ne filme plus directement Ai-oon et May, mais leur reflet dans le miroir. Ce que nous montre la mise en scène, ce n'est pas une scène d'amour entre May et Ob-oom, mais une scène d'amour entre May et Ai-oon. Alors qu'elles s'enlacent, Ai-oon hésite, est-ce vraiment une bonne idée ? May est tout ce qu'elle a toujours voulu, elle remplit son cœur, mais May ne lui appartient pas, elle est la petite amie de sa sœur.
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Ai-oon dit "J'aime May". On notera qu’elle ne se nomme pas parce qu’elle ne parle pas en tant qu’Ob-oom, elle dévoile ce qu'il y a de plus sincère en elle. Lorsque May commence à répondre « May aime… », Ai-oon l’embrasse sans lui laisser le temps de finir sa déclaration, parce qu’elle ne veut pas entendre le prénom de sa sœur à cet instant. (Je pense qu’elle aurait pu dire « May aime Ai-oon », je le rappelle, elle sait qui elle tient dans ses bras et à ce moment précis, on ne voit que le reflet dans le miroir).
Quand Ai-oon et May s’embrassent pour la première fois depuis le baiser qu’elles ont échangé à leur rencontre. Ai-oon porte May et la fait s’asseoir sur le meuble, dos au miroir. Ce qui fait qu'on voit à la fois le couple Ai-oon/May et le couple May/Ob-oom avec May comme pont entre les deux facettes de Ai-oon qui se font face.
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Ai-oon demande à May pourquoi elle l'aime, toujours sans se nommer, alors que le cadre se resserre sur May et Ob-oom, la réalité pour Ai-oon et non le reflet qu’elle habite.
May : "j'aime Ob-oom... Tu es mon premier amour, Ob-oom. May est tombée amoureuse de Ob-oom au premier regard."
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C’est un électrochoc pour Ai-oon puisque pour elle, May était déjà aveugle lors de leur rencontre, c’est bien Ob-oom qu’elle aime.
Elle repousse May, la caméra s'éloigne, on voit à nouveau le couple et leur reflet dans le miroir. May essaie de retenir Ai-oon, mais elle se défait de son étreinte.
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May "Ob-oom ?"
Ai-oon "Je suis désolée May"
Le cadre change une nouvelle fois, on voit le reflet de Ai-oon, le reflet du dos de May, la May réelle, mais Ob-oom n’est plus dans le cadre. Ai-oon dit qu’elle a besoin de prendre l’air et elle s’en va.
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Peut-être que j’extrapole, mais je trouve que cette scène retranscrit très bien toute la dissonance qui se joue pour Ai-oon et la complexité de la situation dans laquelle elle ne fait que s’enfoncer au fur et à mesure des épisodes.
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lolochaponnay · 5 months ago
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Deux hommes discutent à la terrasse d'un café : - J'ai raté mes deux mariages, pour le premier ma femme est partie.. - Ah bon et pour le second ? - Elle est restée !
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angelap3 · 1 month ago
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"Le vieil homme et son chien
Seul et fatigué par les années, j'avais cru qu'un chien remplirait le vide de mon existence.
Je l'ai trouvé un soir d'automne, errant sur le chemin. Sale, maigre, l'espoir absent dans ses yeux ternis. Je me suis accroupi et, doucement, j'ai tendu la main. Il n'a pas reculé. Au contraire, il s'est approché, son museau froid contre ma paume, comme s'il m'attendait depuis toujours. Depuis ce jour, il est devenu mon chien, et moi, son maître.
Je lui parle comme à un vieil ami, et lui me répond par des battements de queue et des léchouilles au creux des mains. Chaque soir, il me regarde avec une patience infinie.
— "Fido, demain il n'y aura rien à manger. La retraite est finie, il va falloir attendre."
Il penche la tête, comme s'il comprenait. Et il attend avec moi.
Le jour tant espéré finit par arriver. Dans la longue file des retraités, je serre entre mes mains mon vieux livret aux coins usés par le temps. Chacun ici porte son âge sur les épaules. Fido, lui, ne se soucie pas de l'attente. Sa queue bat joyeusement contre mes jambes. Il sait qu'aujourd'hui, nous mangerons plus, peut-être même un peu mieux.
L'hiver s'installe, implacable. Ma maison est glaciale. Pas de feu pour réchauffer les murs, mais qu'importe. Fido est là, blotti contre moi. Sa chaleur vaut tous les feux de cheminée du monde.
Quand le printemps éclot enfin, il nous trouve dehors, assis côte à côte sous le premier soleil. Je ferme les yeux, et dans le silence embaumé de terre humide, une prière me traverse le cœur :
— "Merci, Seigneur, d'avoir créé le chien."
- Charles Bernal.
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