#Le Premier Homme
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Alain Delon après la première du film 'Le Gang'
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purééeeee mais je crois on m'a jeté un sort c pas possible pcq jamais un homme n'a autant été dans mon crâne pour aucune raison libérez moi j'en peux plus
#le seul homme qui a eu autant de place dans ma tête ct un rappeur sur qui j'ai eu le premier crush de mv jdjddj#avec qui je discutais durant le confinement birn évidemment pcq avoir un crush sans avoir parlé à la personne chelou#sauf que là je pense vrmt pas que ça soit un crush#en fait je pense pas avoir eu de crush dans mv pcq le rappeur au final il m'interessait plus de cette façon là après lui avoir parlé +#bref dans ce cas là le gars jsp ce que c'est mais ça m'épuise émotionnellement parlant et ça prend trop de place dans ma tête#de façon involontaire en plus c'est pas moi je cherche à penser à lui genre ça pop dans ma tête soudainement#en plus je suis pas dans la capacité de developper un crush sur un gars qui follow autant de meufs c pas possible selon mes calculs donc no
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Deux hommes discutent à la terrasse d'un café : - J'ai raté mes deux mariages, pour le premier ma femme est partie.. - Ah bon et pour le second ? - Elle est restée !
#Deux hommes discutent à la terrasse d'un café :#- J'ai raté mes deux mariages#pour le premier ma femme est partie..#- Ah bon et pour le second ?#- Elle est restée !
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#j'ai finis de lire les eff4cés#(je censure on sait jamais p-être l'autrice fouille aussi sur tumblr)#et c'est réellement la premiere fois que je lis un Y/A qui fait Y/A genre c'est très plat et 'enfantin' idk#jdis pas que la Y/A c'est forcément enfantin parce que j'en lis bcp quand même et jamais je me suis dit que j'etais pas la cible premiere#mais là c'est TELLEMENT adolescent genre si j'avais su j'aurais pas du tout lu#tout est prévisible. les relations sont nulles de chez nulles.#surtout que c'est 3 relations hétérosexuelles très clichés et pas du tt originales#genre y'a zéro enjeu tellement tout est téléphoné#et du coup j'me suis renseigné parce que de base g vu une review dire que y'aurait dla représentation#jsuis allé sur le tiktok de l'autrice elle disait que oui y'en aurait au fur et à mesure#sauf que là sur 2 tomes le seul homme homosexuel (ou bi je sais plus) meurt dans le tome 1#y'a une mention de grands mères lesbiennes mortes#et Ed l'un des persos principaux est à priori ace (wich. nice.)#mais l'autrice à mit trop d'hétéros genre 3 couples hello ??????????? that's a bit much ?#aussi j'ai vu dans les commentaires de ses tiktok que des gens avaient été déçus par rapport à la couverture du premier tome#et ça me rassure parce que same. quand j'ai vu la cover avec Prym et Ed je me suis dis à eux ils vont finir ensemble#et bien PAS DU TOUT#et l'autrice disait que c pour éviter la confusion qu'elle a fait des tiktok pour préciser ptdr#bref en + l'autrice fait mourir des personnages principaux mais on s'en fout genre ?#je sais pas jcrois les seules morts qui pourraient m'atteindre c'est si Ed ou Miko mouraient#(et si ça se passait ce sera tuer les deux seuls perso queer qu'il reste ptdr)#je crois que Miko est bi ou homo je sais plus ou alors il a les vibes#mais en tous cas c'est clairement le perso le + interessant (avec Ed) et on le voit 3 secondes dans le tome 2💀#bref très déçue mais bon je pense je suis clairement pas le public visé donc i get it si les gens aiment#triste de me rendre compte que je suis trop vieille pour ça
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non mais écoutez pour une fois c’est pas ma faute. je regardais tranquillement une vidéo que je pensais être sur les coulisses de la CF (on reste quand même dans le thème, faut pas déconner non plus). quand soudain
cet homme me suit partout
(c’est cadeau)
#en vrai horrible de passer ton premier spectacle sans micro ?#tu dois gueuler six fois plus fort que les autres pour te faire entendre correctement#ptn le sourire de cet homme…bordel#bref pour une fois j’ai pas stalké c’est juste lui qui est venu à moi#comédie française
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post nut clarity qui me donne envie d'hurler de rire dans ma salle de bain à 2h je me suis souvenu de nul part du DE de ce matin qui m'a répondu ultra cocky et sérieux "oulah mais on a pas besoin de ça ma génération, j'ai pas été élevé au danone moi" quand je lui ai proposé mon dégrafeur. chaque fois il est grave grognon lui et nous prend comme des chiens mais j'accepte qu'on parle mal de ma génération si c'est pour sortir un truc aussi drôle
#vrai homme s'arrache les doigts à enlever les agrafes sans aide#CETTE NOUVELLE GÉNÉRATION D'ASSUSTÉS LÀ 😤 (date de l'accord du premier brevet du degrafeur en 1932)#*assistés#asSUStés amongous ou quoi putain#pardon cerveau entre la fatigue et post zerk off rien ne va#jsuis quasi sûr qu'on dis dégrafeuse#de base j'écrivais/disais désagrafeur#mais encore moins sûr#bref bonne nuit xoxoxoxo
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The Raoul (de Chagny) Navy: An Exploration of the Vicomte's Naval Background:
Our beloved Vicomte, Raoul de Chagny, is a young junior officer in the French Navy ("le Royale"), but this hardly gets much exploration. It's a detail that is often glossed over--I anticipate because Naval historians and Phans often do not have much Venn diagram overlap--until now. Let's just say my username is a Naval reference.
Note: the "Raoul Navy" is not my invention--our hilarious and wise "Phantom Dark Web" friends at Leroux Less Traveled (incl. @box5intern) came up with it, and I love it.
I've started digging into book Raoul and his Naval background and turns out we are missing out a whole lot about Raoul's character background if we don't dig into it. So I'm going to tell you what the book tells us and what that means. I'm going to give you the overall pieces up front, and then explain:
Raoul looks very young and feminine (except for his "little" mustache, which he effectively has grown to prove that he can)--and everyone treats him like a baby
Raoul at this point has already completed three years of Naval training including a world tour, so he is fairly experienced and even worldly for his age. He is described in the French as a "cadet", but he would likely be a sub-lieutenant at this point since he has graduated from the Naval Academy.
He's on a six month leave before going on a very dangerous mission to recover remains of a lost Arctic mission--a mission he himself is unlikely to return from.
And everyone still treats him like he's a baby (especially the old dowager widows), even though he has had quite a bit of life at this point--so he has something to prove.
What we know about Raoul and the Navy (Here is the English):
"He was admirably assisted in this work first by his sisters and afterward by an old aunt, the widow of a naval officer, who lived at Brest and gave young Raoul a taste for the sea. The lad entered the Borda training-ship, finished his course with honors and quietly made his trip round the world. Thanks to powerful influence, he had just been appointed a member of the official expedition on board the Requin, which was to be sent to the Arctic Circle in search of the survivors of the D'Artois expedition, of whom nothing had been heard for three years. Meanwhile, he was enjoying a long furlough which would not be over for six months; and already the dowagers of the Faubourg Saint-Germain were pitying the handsome and apparently delicate stripling for the hard work in store for him."
We also learn in another paragraph that the de Chagnys had admiral in the family, so the Naval connection is likely a family business for second sons. Raoul is a second son, so a career as a military officer would have been a distinguished career for him.
Borda: First ship
Brest is the main port of the French Navy and home of the Ecole Navale (or French Naval Academy. In the 20th Century it moved, but Brest is still, along with Toulon, a major naval base)
According to the French: Le jeune homme entra au Borda, en sortit dans les premiers numéros et accomplit tranquillement son tour du monde (Note that the French calls him a "young man", not a lad)
The Borda is traditionally the training ship of the French Navy, and there have been six of them. This would have been a cadet/midshipman cruise for Raoul. He would have been on the ex-Valmy, an 120-gun ship of the line, which became the Borda training ship in 1864.
The Borda is also the ship of the Ecole Navale (French Naval Academy)—this means that Raoul attended the academy.
The Naval Academy is two years in Brest, and then their third year is the World Tour—so that timing also aligns with where we are in the book. Raoul would have begun at the academy at 18, and he is at the start of the book, 21 years old.
After the Borda, which he completed with honors, he did an uneventful world tour.
This would have been his third year, still as a midshipman.
He could have been assigned to any ship for this training cruise—possibly a cruiser (the d'Estang is pictured below in 1884 in Algiers), which did long range missions. Note: Their max speed was about 15 Knots (which is a very respectable speed that some warships still transit).
This world tour cold have been as far east as what is now Vietnam, or through the Suez--but likely near French colonies.
With influence, he is assigned to the Requin expedition.
French: Grâce à de puissants appuis, il venait d'être désigné pour faire partie de l'expédition officielle du Requin, qui avait mission de rechercher dans les glaces du pôle les survivants de l'expédition du d'Artois, dont on n'avait pas de nouvelles depuis trois ans.
The Requin was a real ship in the Mediterranean fleet, but did not go on its first mission until 1885, which means that this is a deliberate or unintentional oversight of either Leroux himself or his narrator. The Requin was a steel hull—and the Artois was actually a 18th century Royal Navy ship so this piece is a complete fabrication. However, Arctic missions at this time were frequent and tended not to go well.
However, Raoul could also be excited about getting to go on a new steel-hulled ship. The Redoutable was already in commission—commissioned in 1876. Most of the rest of the fleet at this point were ironclads.
#naval history#phantom of the opera#raoul de chagny#vicomte de chagny#amwriting#phandom#military history#warships#poto#gaston leroux#the raoul navy#french navy#le royale#raoul navy
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
#dyslexic#dys en tout genre#dysorthographic#forum rpg#rpg#rpg francophone#Bisounours time#jé fé dé fote mé c pa grav
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Sunday -Edward Hopper- 1926
Huile sur toile, 73,7 x 86,4
Washington, The Phillips Collection.
Dimanche est l'une des nombreuses scène de rue de Hopper. Au premier plan, un homme solitaire et d'âge moyen est assis sur trottoir de bois éclairé par le soleil. Il fume cigare. Derrière lui se trouve une rangée de vieux bâtiments en bois, leurs fenêtres sombres et ombragées suggérant des magasins, peut-être fermées pour le week-end ou en permanence. En 1926, au moment où Dimanche a été exécuté, l'Amérique connaît les premiers effets de la Grande Dépression. Ce tableau illustre l'anxiété et la désillusion de la dernière partie de la décennie.
Indifférent au regard du spectateur, l'homme semble distant et passif. Sa relation avec les bâtiments voisins est incertaine. Qui est-il? Est-ce qu'il attend que les magasins s'ouvrent ? Quand cela se produira-t-il?
La lumière du soleil joue sur les formes, mais, curieusement, elle manque de chaleur. Entre énergie et drame, Dimanche est ambigu dans quant à l'histoire qu'il raconte mais donne une impression puissante de désolation. Hopper révèle ici aussi l'isolement essentiel de l'individu, ses relations tendues et troublées à son environnement.
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#oui les hommes s’en foutent#mais rassurez-vous ils se foutent aussi de tout le reste Je trouve ce que tu as dit hyper intéressant. C'est honnêtement ma thèse, de plus en plus, à mesure que j'avance dans la vie, sans que j'ai quoi que ce soit d'autre que mon expérience pour la soutenir. Je ne sais pas à quoi ça tient, mais j'ai le sentiment que nous, les hommes, les mâles humains, peu importe, ne tenons pas à la vie matérielle autant que les femmes. J'entends "tenir" au sens premier du terme. On y est moins connectés, ou on s'y connecte moins, je ne sais pas. Des religieux radicaux aux fans supposément ultra-rationalistes d'Elon Musk, par exemple, il y a toujours un gouffre de l'idéal vers le réel qui doit être franchi. L'idéal, c'est où le quotidien devrait être vécu, et le contact avec le réel est toujours difficile. C'est le moment des larmes, ou de la colère, ou, dans les pires des cas, de la destruction, j'entends la destruction entendue pour rectifier le décalage entre l'idée et le concret, ou signer un manifeste en faveur de l'idée au détriment du concret. J'ai la conviction que les hommes peuvent vivre une existence entière purement au travers de symboles et de structures esthétiques qui auront déterminé leur _histoire_. Je pense que la structure principal d'un homme, en général et pas en particulier, c'est une structure narrative. Je pense que si on sort de sa narration, il y a désarroi. Au mieux, pour lui-même, au pire, pour les autres.
Alors c’est juste mon hypothèse, mais je pense que ça a beaucoup à voir avec le fait de vouloir remplir le vide créé par l’incapacité de concevoir / d’engendrer.
D’un côté il faut contrôler les femmes et leur capacité à engendrer, de l’autre il faut créer de multiples formes de conception, voire tenter grâce à la technologie de les remplacer : par les mères porteuses puis les utérus artificiels, par la robotique, par la technologie …
Tout dans la nature rappelle que ce qui est nourricier au sens premier du terme est féminin. Plus les hommes se distancient du féminin pour essayer de trouver leur identité propre, plus ils peuvent se réfugier dans l’abstrait ou l’artificiel. Ou dans le mensonge, en racontant dans leurs mythes que les femmes ne sont que des fours, que l’âme vient de la semence masculine, que les femmes sont des hommes ratés etc…
C’est un mensonge et ils le savent. Mais pour le maintenir il faut non seulement se tenir à distance du féminin mais aussi le dévaloriser. Tout ce qui a trait aux femmes est humiliant, inférieur, niais, ce qui rentre en confrontation directe avec l’orientation sexuelle de la majorité d’entre eux. Comment réconcilier le fait d’être attiré sexuellement par un être qu’on jalouse et qu’on méprise?
En considérant que le sexe est par nature un péché. Que la femme est tentatrice, que son corps est sale, qu’elle est impure. Encore une raison de se réfugier dans l’abstrait et l’artificiel ! Mais ça ne protège pas de la colère, qui s’abat sur les femmes qui même quand elles n’ont rien ont toujours trop.
J’ai toujours envie de rigoler quand je vois des hommes écrire des scénarios catastrophe sur les robots qui tueraient l’humanité et dont il faudrait restreindre le libre arbitre. On voit bien ce que les hommes pensent d’eux-mêmes. Aucune femme n’a jamais pensé que ce serait une bonne chose de briser le libre arbitre de ses enfants et d’en faire des serviteurs dociles. Il n’y a qu’un homme pour se dire « je ferai mieux que les femmes » (une créature sur mesure) « qui ensuite me tuera » (parce que je suis incapable de l’aimer correctement).
Le jour où les hommes auront dépassé leur trauma collectif de ne pas avoir d’utérus on pourra peut-être avancer mais c’est pas pour demain.
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Deux hommes dans un bar discute, le premier dit: - T'habites où? - À Paris. - Oh ! Moi aussi je vis à Paris. Mais dans quelle banlieu? - La troisième. - Oh ! Moi aussi je vis dans la troisième. Mais, quelle rue? - Rue Foche. - Oh ! Moi aussi j'habite rue Foche. Mais, quelle numéro. - 582, dans un immeuble. - Oh, moi aussi j'habite dans cet immeuble. Mais, quelle étage? - Le deuxième. - Oh, moi aussi j'habite au deuxième. Mais, quelle porte? - La cinqième. Oh ! Moi aussi j'habite à la cinqième porte." À ce moment, un homme arrive et demande au barman : " alors, tout va bien? - Oh oui, il y a juste les deux jumeau qui son bourré."
#À ce moment#un homme arrive et demande au barman :#Deux hommes dans un bar discute#le premier dit:#- T'habites où?#- À Paris.#- La troisième.#- Oh ! Moi aussi je vis dans la troisième. Mais#quelle rue?#- Rue Foche.#- Oh ! Moi aussi j'habite rue Foche. Mais#quelle numéro.#- 582#dans un immeuble.#- Oh#moi aussi j'habite dans cet immeuble. Mais#quelle étage?#- Le deuxième.#moi aussi j'habite au deuxième. Mais#quelle porte?#- La cinqième.#Oh ! Moi aussi j'habite à la cinqième porte. alors#tout va bien?#- Oh oui#il y a juste les deux jumeau qui son bourré."
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Spend an afternoon with Hedwig, GN reader
Split headcanon
notes : j'avais vraiment envie d'écrire quelque chose de doux sur Hedwig parce qu'il est tellement touchant <3 ! no spoiler
! warning : aucun
2 512 mots
- Description à la deuxième personne
Vous vous connaissez depuis plusieurs années déjà, ou plutôt tu connais certains alters depuis plusieurs années. Dennis, Hedwig, Barry et Patricia ont été les premiers à se présenter à toi. Jade, Orwell, Mary et Kevin se sont ensuite exposés, mais il reste encore beaucoup d’alters méconnus. Barry a expliqué les principaux traits de caractères de ces inconnus pour que tu puisses ainsi te les représenter et même parfois les reconnaître lorsqu’ils prennent la lumière. Tu as exprimé beaucoup de reconnaissance pour ça, car il arrive quelquefois que tu te retrouves face à une personne que tu ne connais absolument pas. Barry a aussi expliqué que ces alters ne prennent que très rarement la lumière et que par conséquent ils sont toujours un peu perdus ou inquiets lorsque ça arrive. Heureusement qu’Hedwig est là pour reprendre le front et ainsi les soulager.
Quoiqu’il en soit, on peut dire que tu t’entends assez bien avec tous les principaux alters. Certains ont des caractères bien spéciaux mais tu apprécies ce détail, ça leur donne un charme.
Patricia fait partie de ces alters. Les femmes sont peu nombreuses dans leur système comparées aux hommes, mais elles ont pour la plupart un fort caractère. Et dans ce lot, Patricia est certainement la plus complexe. Tu as mis beaucoup de temps à t’habituer à sa présence. Elle dégage quelque chose, une aura pesante. Elle a cette façon de parler sereine et douce qui au début t’effrayait énormément. Lorsqu’elle a pour la première fois proposé une discussion autour d'un thé, elle s'est mise à raconter à quel point les kilos de viandes qu’un lion peut manger sont impressionnants, et alors tu as imaginé beaucoup de scénarios où tu finissais en morceaux dans une cage à félins. Mais à présent les choses se sont calmées pour toi, enfin la plupart du temps. Patricia t’a bien fait comprendre qu’elle n’avait aucune mauvaise intention envers toi, mais tu ne peux pas empêcher les frissons dans ta nuque lorsqu’elle passe un peu trop près de toi. Mais au fond de toi, tu sais très bien que ces réactions ne sont plus vraiment dues à la peur.
✉ nouveau message de : Avengers
Ton attention lâche le plat de pâtes encore tout chaud que tu viens de commencer pour plutôt attraper ton téléphone portable. Un sourire illumine ton visage en voyant le destinateur.
✉Avengers
- cc !!
- tu peut venir à la maison ????? stp stp stp
Lorsque, plusieurs années en arrière, Dennis t'a donné leur numéro de téléphone, tu as désepéré devant l’option “nom du contact”. Tu ne pouvais pas mettre le prénom d’un des alters puisque c’était leur numéro à tous, et ils n'avaient pas de nom global pour leur système. Finalement tu as eu un souvenir de l’obsession pour les Marvels qu’avait développé Hedwig lorsque tu lui as parlé d’Iron Man, puis de la façon avec laquelle Dennis et Patricia ont des paillettes dans les yeux lorsque tu leur dis qu’ils sont extraordinaires. Par conséquent tu as décidé de les surnommer les Avengers, parce qu’ils ont tous des supers pouvoirs à leurs manières.
✉Vous
- coucou Hedwig
- oui je peux venir si tu veux ! D’ici environ trente minutes je peux être là, n’oublies pas de m’ouvrir le portail ;)
✉Avengers
- trop cool !!!
- mademoisele patricia a achetté un truc pour moi !
Tout en finissant rapidement ton plat, tu te diriges vers la salle de bain afin de préparer tes affaires pour gagner du temps.
✉Vous
- vraiment ? Génial et qu’est ce que c’est ?
✉Avengers
- plein de jouets animaux !
Un énième sourire étire tes lèvres au message alors que tu déposes l’assiette vide dans l’évier de la cuisine.
✉Vous
- wow plein ? On va pouvoir tous les essayer alors ;)
✉Avengers
- ouiiiii
- ah !!
- tu prend les bonbons bleus ???
✉Vous
- d’accord, mais je te préviens je te laisserais pas manger tout le paquet Hedwig
✉Avengers
- oui oui
- tfk ???????????
Tu poses ton téléphone contre le lit le temps d’attraper deux ou trois bagues, un collier et des vêtements propres.
✉Vous
- je t’ai déjà dis que c’était pas bon d’écrire comme ça, tu oublies les vrais mots à force
✉Avengers
- pardon !
- tu fais quoi ?????????????????
✉Vous
- je vais aller me laver puis je vais partir pour te rejoindre
- et toi ?
En tournant le robinet de la douche vers la gauche, tu commences à retirer tes chaussettes et ton pantalon. L’eau chaude a toujours pris beaucoup de temps pour arriver, mais comme ça tu peux continuer de répondre à Hedwig.
✉Avengers
- j’ai trouver des vieux dessins de barry
- ils sont beaux
- mais je dessines mieux !!
✉Vous
- fais attention à ne pas les abîmer, sinon il risque de bouder pour un long moment
- vous dessinez tous les deux de manière différente, et elles sont toutes les deux très belles ;)
Après avoir passé ta main sous l’eau pour voir la température de cette dernière, tu reprends une dernière fois ton portable.
✉Avengers
- t’s toujours trop cool !!!
- mademoiselle patricia elle a dis qu’elle aime bien ça et moi aussi j’aime bien ça
- et monsier dennis il penses que c’est rare d’être comme toi
- je suis d’accord moi persone à jamais été cool comme toi avant
✉Vous
- oh c’est adorable Hedwig, mais cette gentillesse vous la méritez tous
- en tout cas ça me touche beaucoup que les autres pensent ça de moi ! Tu pourras leur dire merci de ma part <3
- je suis désolé il faut que je te laisse si je veux pas arriver trop tard
✉Avengers
- derien !!!!
- d’accord à tt !
Une fois que tu as la certitude qu’il ne va pas envoyer d’autres messages, tu déposes ton téléphone sous ta pile de vêtements et finis de te déshabiller. Tu aurais très bien pu le faire tout en lui parlant mais il y a quelque chose de dérangeant dans le fait de se dévêtir en discutant avec Hedwig, ce n'est pas la même chose avec Dennis ou Mary par exemple. Il est déjà arrivé que vous parliez par messages pendant que tu te changeais ou même que vous soyez au téléphone lors de ton bain, et ce n’était vraiment pas la même chose.
Comme prévu, tu te dépêches de prendre ta douche et de t’habiller de nouveau. Tu enfiles les quelques bijoux que tu as pris précédemment et après avoir vérifié que tu n’as rien oublié, tu quittes ton chez toi. Heureusement pour toi, tu n’habites vraiment pas loin du zoo, et donc de leur appartement. Grâce aux nombreuses années à travailler là-bas, ils ont obtenu un logement de fonction dans la même rue que le parc animalier. Le seul problème est que cet appartement est assez petit, du moins trop petit pour avoir vingt-trois chambres, même s’ils n’ont pas réellement besoin d’autant de chambres. Mais par exemple Hedwig aime avoir sa propre pièce, où il peut afficher tous ses dessins et écouter de la musique, Dennis a besoin d’un endroit qui lui est totalement réservé, Barry aussi et encore d’autres. Ils n’ont pas tous besoin d’une chambre, mais les plus réguliers préfèrent en avoir une. Malheureusement cet appartement ne contient que deux chambres, une a alors été aménagée pour Patricia et l’autre pour Dennis. Hedwig, Barry, Orwell et d’autres ont les leurs ailleurs. Encore une fois, grâce aux années passées à travailler dans ce zoo, ils ont eu l’autorisation d'avoir une sorte de grand sous-sol rien que pour eux. Ce n’est clairement pas l’endroit le plus accueillant à première vue mais s’acheter une grande villa n’est absolument pas dans leurs moyens, et puis ils l’ont assez bien aménagé. Les murs restent rugueux et les lumières peu nombreuses, mais il y a malgré tout quelque chose d'apaisant là-bas. Leurs présences sont étalées dans chaque pièce, et c’est presque poétique de voir la façon dont ils doivent organiser la salle de bain ou la cuisine pour convenir aux envies de chaque alter.
Par automatisme, tu appuies sur l’interphone et fais défiler les noms jusqu’à trouver celui qui t’intéresse : Crumb. Sans avoir besoin de parler, la porte de l’immeuble s’ouvre devant toi et tu peux avancer vers l'ascenseur. Puisque cet immeuble est principalement occupé par des employés du zoo, ils ont fait installer un portail qui ne peut être ouvert qu’avec un badge ou un bouton chez les locataires, ça permet de limiter les squatteurs ou voleurs. Mais à cause de ça, tu dois attendre qu’Hedwig ou un autre alter t’ouvre ce qu’ils font toujours, sauf lorsqu’il y a un problème. Il est déjà arrivé qu’un alter “méconnu” prenne la lumière et dans ces cas-là il ne t’ouvrira pas le portail puisqu’il ne sait même pas ce qu’il fait ici. Pour cette raison, Barry a demandé un doublon de leur badge, prétendant que l’autre ne fonctionnait plus, et comme ça tu as toujours la possibilité de venir si jamais un problème survient.
Deux petits coups à la porte et Hedwig apparaît tout souriant devant toi.
« C’est trop bien que tu viennes ! Dit-il en te tirant par le bras vers le salon, les autres ont dit que je pouvais rester dans la lumière tout l’après-midi »
Sa façon de parler très atypique te réchauffe le cœur tandis que tu enlèves tes chaussures et les dépose avec soin sur un petit chiffon placé dans un coin de la pièce. Dennis a beau ne pas être dans la lumière, tu préfères respecter ses tocs.
« T’as pris les bonbons ? Te demande le jeune garçon en se mettant assis par terre »
D’un hochement de tête tu lui souris et sors le précieux trésor de ton sac à dos. Aussitôt, Hedwig se jette dramatiquement dessus, se mettant presque ventre contre le sol pour attraper le paquet de bonbons.
« Wow génial je vois qui tu préfères ici, déclares-tu en riant »
Le garçon te lance un regard avant de prendre trois sucreries dans sa bouche et de se tourner sur le dos pour te voir à l’envers. Son rire résonne faiblement dans la pièce alors qu’une conversation commence entre vous deux.
Hedwig est sûrement l’alter avec lequel tu peux le plus rire, il dit constamment tout ce qu’il pense, même si ça n’a aucun rapport avec votre conversation actuelle. C’est quelque chose qui manque dans beaucoup de relations à tes yeux, pas avec eux, mais avec d’autres personnes. Lorsque tu rencontres quelqu’un il y a toujours un moment de gêne, une envie de vite s’enfuir et de rentrer chez toi. Ce n’est pas toujours le cas, mais ça l’est presque toujours. Tu as du mal à t’intégrer dans le mode de fonctionnement des autres, leur façon de parler sur le dos de leurs amis et leurs obsessions pour la politique, ce n’est pas toi ça. Tu aimes tourner les mauvais événements au comique et admirer ce papillon qui se pose dans l’herbe. Les personnes que tu rencontres ramènent toujours le négatif au centre de la conversation, c’est mentalement épuisant de penser au réchauffement climatique et à la montée des impôts. Tu trouves ça dommage de revenir aux informations que les médias mettent déjà au centre de l’attention, pourquoi ne pas juste profiter du soleil dehors et du vent frais ? Bien sûr qu’il se passe des choses horribles dans le monde, mais y penser constamment ne les fera pas disparaître. Et Hedwig pense aussi comme ça, parce que c’est un enfant de neuf ans et qu’il a encore la chance de voir les beaux aspects de ce monde. Ça te fait vraiment du bien de passer du temps avec lui, il est ressourçant. Et même lorsqu’il évoque la mort, il le fait avec une façon tellement directe, sans pincette, que ça en devient rassurant. Ce qui le rend heureux c’est dessiner et danser, quoi de mieux pour oublier une mauvaise journée ?
« Elle est jolie ta bague, c’est un serpent ? »
Tu relèves la tête du livre que vous étiez en train de feuilleter pour regarder le jeune garçon et ses grands yeux bleus.
« Oh celle-ci ? Réponds-tu en levant ton index où se trouve le bijoux, je pense qu’on peut dire que c’est une sorte de serpent oui »
Tu l’as trouvée lors d’une brocante il y a plusieurs années de ça, la forme originale a tout de suite attiré ton œil et au faible prix auquel elle était tu n’as pas vraiment hésité pour l’acheter.
« Moi j’aime trop les tigres, ils sont super grands et forts, explique Hedwig en tournant les pages de son livre d’illustration, il s’arrête sur un dessin de tigre et passe son doigt dessus, regarde ils sont genre méga costauds »
Ton regard détaille l’illustration et ses traits très simples. Hedwig est le seul dans leur système qui fête son anniversaire, même s’il ne prend pas en âge. Alors l’année dernière, tu lui as offert une dizaine de livres, parce qu’il aime beaucoup ça. Tu as pris un peu de tout, de courts romans comme des livres à illustrations comme celui-ci. Un sourire prend place sur ton visage lorsque tu repenses à cette journée, Dennis faisait tout pour garder Hedwig loin de la lumière pendant que Jade et toi vous occupiez de faire le gâteau. Lorsque l’enfant parvenait à passer au front, il posait mille et une questions à la seconde alors que tu essayais désespérément d’éviter qu’il découvre la surprise. Finalement toi et les autres alters êtes parvenus à tout organiser sans qu’il ne découvre la vérité, et tu te souviens encore de ses yeux larmoyants lorsqu’il a vu le salon décoré ainsi que la pile de cadeaux qui l'attendait.
« Pourquoi tu viens ici ? Demande soudainement Hedwig, t’as pas des amis ? »
La question pouvait être mal interprétée, mais heureusement, tu arrives à comprendre le fond de sa pensée.
« J’aime venir ici tu sais, passer du temps avec toi et les autres »
« Oui mais t’es tout le temps disponible pour venir, enfin sauf quand tu travailles »
Tes doigts passent contre les pages colorées du livre alors que le garçon allongé à côté te regarde avec insistance.
« Honnêtement à part vous je n’ai pas grand monde, dis-tu en déviant tes yeux vers Hedwig, tu sais que je n’ai pas vraiment de famille et puis- je crois que j’ai un peu de mal à faire des rencontres, créer de nouvelles relations et tout ça, c’est compliqué pour moi »
Le jeune garçon fronce pendant quelques secondes ses sourcils avant de faire rouler son corps sur son dos et tourner de nouveau la tête pour te regarder.
« Moi non plus j’ai pas d’autres amis, avoue-t-il, les gens ils me trouvent bête je crois et ils se moquent de moi »
Un pincement au cœur, tu délaisses le livre en face de toi pour poser ta tête dans ta paume de main.
« Les gens ont du mal à comprendre les personnes comme nous, mais c’est pas grave parce que ça veut dire qu’on est spécial tu vois ? Eux ils peuvent pas être aussi géniaux que toi, c’est pour ça qu’ils sont jaloux »
« Alors c’est comme un super pouvoir ? »
De nouveau, ton cœur se réchauffe en voyant le sourire sur le visage du garçon.
« Exactement, le super pouvoir d’être extraordinaire »
° split masterlist
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Et avant-dernier round le pire homme politique de droite !
Il en reste 5 ! Les deux premiers s'opposeront pour le round final !
Le choix est HORRIBLE, j'espère que vous avez le cœur accroché :
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
‑ « Chéri...Chéri... ! «
‑ « Oui mon Amour... ? »
‑ « Chéri, tu es où ? Viens, je suis dans le garage...Il faut changer l’ampoule du clignotant de ma voiture... »
‑ « Comment ça...Comment ça, il ne marche plus ? Tu t’en es aperçue comment... ? »
‑ « Oui, c’est à l’arrière droit...Je ne pouvais pas le voir...Mais je me suis faite arrêter par la gendarmerie, les motards...Si je ne change pas l’ampoule et que je ne me présente pas dans les 48 heures pour faire voir que je l’ai faite changer je devrais payer 150 francs d’amende »
‑ « Ah oui...Ok je dois en avoir dans ma voiture ou dans une boite de secours de la tienne...Tu as regardé ? »
‑ « Chéri...Tu ne me connais pas encore...Moi, changer une ampoule... ? » s’esclaffa-telle... !
Oui, il fallait le reconnaitre, le bricolage n’était pas tout à fait la qualité première pour laquelle je l’avais épousée non plus, alors...
‑ « Mais je veux bien t’aider si tu veux...ou si tu as besoin, mon amour... » me fit-elle en déposant un baiser bien sonore sur mon front tandis que je m’agenouillais près de sa voiture pour regarder comment se démontait le clignotant de sa Mini...
Elle portait ce jour une robe courte dont elle avait un goût si sûr à les choisir et en conséquence affoler les hommes qu’elle pouvait croiser.
Une fente sur le côté à faire douter de Dieu tous les évêques et missionnaires d’un séminaire apostolique ajoutait une touche « so sexy... ! »...
‑ « Quoique...me dit-elle, il faut aussi que je me refasse une beauté...Je vais retourner à la gendarmerie dès que tu auras effectué la réparation...Merci mon amour... » me fit-elle en me tournant le dos précipitamment...
‑ « Eh...Eh... »
Je la connaissais par cœur ma petite femme d’amour...
‑ « Pourquoi te refaire une beauté...Tu es magnifique mon Amour... ! »
‑ « Oui... ? Merci...mon amour...C’est vrai...mais je ne t’ai pas tout raconté... Voilà, en fait, je me suis faite arrêter par des motards qui étaient derrière moi...Jusqu’à là rien de particulier...Ils m’ont fait me garer sur une aire de bus et l’un d’eux est venu vers moi...Sûre de moi, je n’avais rien à me reprocher, je souriais en ouvrant la vitre... »
‑ « Alors, ma petite dame...On ne met pas son clignotant pour tourner... ? »
‑ « Euh... Si, si...Je l’ai mis... Monsieur l’agent...Je vous jure, je l’ai mis !»
‑ « Ok, on va voir...Gendarmerie Nationale, veuillez arrêter le moteur du véhicule, retirez votre ceinture de sécurité et montrez-moi vos papiers...carte grise, carte d’assurance, papiers d’identité... Vous mettrez le clignotant et vous descendrez vérifier avec moi... »
‑ « Au ton, je savais que je n’étais pas tombée sur Louis de Funés, pas du tout le genre comique, aussi je m’exécutais...Mais la voix...Waoooua, tu me connais chéri comment j’y suis sensible...Une voix... ! »
Oui, je savais l’émotions et même les émotions (je vous raconterais plus tard un jour à l’Opéra où elle en avait trempé sa culotte et plus encore son siège...) que pouvaient lui procurer une voix...
Une voix de ténor...Une voix profonde...
Cela l’a transporté toujours et résonnait, vibrait si incroyablement en elle comme pouvait le faire le plus performant des sextoys...
Je crois également, car je possédais aussi cet organe, que c’est avant tout et au quotidien ce qui l’attirait ou l’avait attiré chez moi en premier...
Je me demandais pourquoi, car d’un physique normal et banal, j’avais l’incroyable chance de vivre aux côtés d’une si belle femme, et même que cela dure, mais je crois que ma voix était une grande partie de la réponse.
Je n’y étais pour rien mais en savourais et bénissais parfaitement la chance.
Elle s’était rapprochée de moi telle une chatte affectueuse et rêveuse...
En chaleur diraient d’autres...
Là, maintenant près de moi, son visage juste au-dessus de moi qui commençais les opérations de démontage du feu clignotant de sa Mini, elle revivait clairement l’instant et je ne vis que les yeux qui s’étaient fermés en tournant littéralement sur eux-mêmes et ce petit rictus ou pincement de la lèvre supérieure toujours prémisses d’instants d’abandon ou de proche abandon...
‑ « Chérie...Chérie... ! »
‑ « Ah oui, je te disais... » me fit-elle en se rapprochant de moi pour me déposer un baiser souriant, taquin et coquin comme elle savait que je les aimais.
Je dois avouer que j’en profitais également pour plonger de mes yeux comme toujours conquis dans son sublime décolleté et moi aussi m’extraire un instant de la tâche imprévue consistant à changer l’ampoule de son clignotant...
‑ « Oh...toi... ! » lui dis-je tout en posant ma joue sur sa poitrine généreuse et chaude où dardaient déjà les magnifiques pointes perçant le tissu léger de sa si belle robe...
Elle passa sa main dans mes cheveux...
‑ « Chéri, ce ne serait pas raisonnable...Pas maintenant. Allez, je te laisse je vais me préparer...Appelles-moi quand c’est prêt...Il faut que je retourne à la gendarmerie au plus tôt montrer et prouver que j’ai changé l’ampoule...Sinon, 150 francs...Tu ne voudrais pas dépenser 150 francs inutilement quand même ...Même pour ta femme adorée...Non ? »
Les femmes ont ce don de vous ramener à la réalité...
Aussi, je poursuivais mon travail.
Mais en fait, elle ne s’éloignait pas...
‑« Aussi, dit-elle en restent près de moi et poursuivant son récit, je me suis penchée vers la boite à gant et comme de plus, il était grand et surplombait largement la portière, je suppose que lorsque je me suis penchée, il a dû voir mon cul, ah oui aujourd’hui chéri, je n’avais pas envie de mettre de dessous, et comme je me suis vraiment penchée pour aller chercher les papiers qui étaient tout au fond, je pense qu’il a vraiment dû bien se régaler à mâter mon cul...
Bien entendu, je râlais un peu car je n’arrivais pas à les attraper ces foutus papiers... Et je mis un certain temps...
‑ « Rien de grave, ma petite dame...Prenez tout votre temps me fit -il de sa si belle voix grave et chaude...Tu sais, combien je les aime, ces voix et ce qu’elles me font... »
Oui, je le savais et me doutais même un peu de la suite de son histoire...
Vingt ans de vie commune dont 19 ans de libertinage, de candaulisme, de pratique de « couple libre » et maintenant plutôt un style de vie «stag-vixen... » sans aucun remord ni regret et même et surtout d’immenses satisfactions et plaisirs...
Oui, je m’attendais un peu à la suite de l’histoire...
‑ « ...Ne vous inquiétez pas...Tout va s’arranger... Je suis sûr que vous n’avez pas tout oublié... !»
‑ « Comment ça tout oublié... ? » lui répondis ma femme en se retournant promptement
- « De mon point de vue et sans vous connaître plus que ça, il vous arrive sûrement parfois d’oublier des choses... Je dis ça, je ne dis rien... » lui fit-il dans avec un sourire ravageur et toujours cette voix si suave...
_ « Je dois t’avouer mon chéri que cela m’a mis dans un état, c’est d’ailleurs pour cela que je dois aller me refaire une beauté, enfin, me rafraîchir si tu vois ce que je veux dire...mais aussi que cela m’a tellement décontracté...Je lui passais alors les papiers enfin trouvés en toute décontraction, en attardant longuement mon regard sur ses menottes collées à sa taille, hummm les menottes, il y a longtemps qu’on a pas joué avec des menottes mon chéri, sa matraque, ses bottes en cuir et son cul si bombé, bien formé et mis en valeur par son pantalon de motard assez serré...Oui, je ne pensais plus beaucoup au clignotant, tu me connais mon amour et c’est aussi pour ça que tu m’aimes, non ?... »
Oh oui je la connaissais ...Oh oui je l’aimais !
C’est d’ailleurs comme ça et pour ça que je l’aimais...Joueuse, dynamique, ingénue tout en sachant ce qu’elle voulait et où elle allait, belle, rebelle, optimiste, gaie, retombant toujours parfaitement sur ses pieds, rêveuse et attentionnée, curieuse, libertine, libre et libérée avec un appétit de la vie et surtout quoiqu’il arrive vouloir vivre, aimer, célébrer la vie, les gens et l’amour ...
Alors qu’elle me tournait le dos, j’eus juste le temps de lui claquer une main sur les fesses, non pas, elle aurait détesté, en macho de base mais en homme épris de sa femme et lui signifiant par ce geste, non sa possession ou sa domination, non, mais bien une promesse, un intérêt fougueux et clairement sexuel de l’instant complice, une envie, un désir de l’honorer, là, maintenant, sur le champ, et aussi manifestant une certaine frustration de ne pouvoir réellement le faire car la connaissant parfaitement, elle, ses désirs, ses envies, ses besoins, ses habitudes...
Plus tard, ce serait plus tard...
Elle en avait clairement envie...mais faisait, toujours aussi joueuse, lucide, gourmande et gourgandine, taquine, durer l’instant pour plus tard en extraire les pleines saveurs et abondances...
‑ « Plus tard mon chéri...je te connais, rires, tu me connais...Plus tard, tu auras ta part plus tard...La plus belle part.…Je reviens... »
Je la laissais partir certes à regret mais aussi sûr d’elle et de sa promesse...
La confiance et l’amour ayant toujours tout emporté chez moi, je la regardais partir, fou amoureux comme au premier jour et me remis au travail.
« Chérie... ? C’est bon, c’est réparé, c’est prêt ! «
Sa voix derrière moi me surpris...Elle s’était effectivement dépêchée. Elle ne s’était en apparence pas changée juste sûrement rafraîchie mais objectivement pour moi toujours aussi belle et sexy...
Peut- être même plus belle encore, nimbée d’un je ne sais quoi et d’une aura sexuelle si perceptible qui émanait d’elle en cette instant me doutant de ce qu’elle allait réellement m’annoncer ....
Belle, sexy, conquérante...Irrésistible... Je l’aimais tant ainsi...
‑ « A tout à l’heure Chéri...Je t’aime. Merci...Je t’appelle pour te tenir au courant...Il se peut que je rentre tard...me nargua-t-elle de manière si complice et de son sourire adamantin...Je t’aime tellement pour tout ce que tu m’offres et me permets...Je te raconterai... ».
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
Elle était une Hot-Wife, ma Hot-Wife...J’étais un cerf...Son cerf...Nous nous aimions ainsi.
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Posséder un mousquet pour la défense du territoire, puisque c'est ce que les pères fondateurs avaient l'intention de faire. Quatre bandits font irruption dans ma maison. « Qu'est-ce que c'est que ça? » Alors que j'attrape ma perruque poudrée et mon fusil du Kentucky. Faites un trou de la taille d'une balle de golf à travers le premier homme qu'il est mort sur le coup. Je dégaine mon arme sur le deuxième homme, je le rate complètement parce qu'il est lisse et cloue le chien du voisin. J'ai dû recourir au canon monté en haut de l'escalier chargé de balles, « Tally ho lads » le tir de raisins a déchiqueté deux hommes dans l'explosion, le bruit et des éclats d'obus supplémentaires ont déclenché les alarmes de la voiture. Attachez la baïonnette et chargez le dernier rapscallion terrifié. Il saigne en attendant l'arrivée de la police car les blessures triangulaires à la baïonnette sont impossibles à recoudre. Tout comme les pères fondateurs l'avaient prévu.
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Les amies, ces perles rares qui illuminent le quotidien d'un peu de leur éclat, ne m'ont jamais laissée seule depuis que mes yeux ont décidé de faire bande à part. Au fil de leurs pérégrinations urbaines, elles captent et partagent avec moi des merveilles qui me relient encore au monde des voyants. (Je vois tout de même encore, je peux écrire, lire..., c’est énorme !) Grâce à ma chère Zaza, @zazaboumisa, voici une pépite d'aujourd'hui : l'enseigne de Félix Potin, une caresse visuelle directement envoyée depuis les rues de Paname. Mille mercis ma Zaza !
D'ailleurs, plongeons un instant dans le passé de cette enseigne qui éclaire encore les boulevards. Félix Potin, né en 1820 et disparu en 1871, fut non seulement un épicier mais un véritable pionnier du commerce moderne. Après avoir abandonné son idée de devenir notaire, il s'est lancé dans l'épicerie, où il a vite compris l'importance de la transparence et de la qualité. En 1844, il ouvre son premier magasin à Paris, instaurant des pratiques alors révolutionnaires comme la vente à poids exact, les prix affichés clairement et la qualité des produits, séduisant ainsi une clientèle fidèle. Son engagement envers l'équité s'est également manifesté pendant la période trouble du siège de Paris, où, face aux flambées des prix, il a bravé les critiques en maintenant des tarifs justes. Un homme de principes, dont l'enseigne brille encore de mille feux au cœur de la capitale.
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