#Le Dernier Espadon

[la-base-secrete]

Projet de Couverture pour Le Dernier Espadon, par Peter Van Dongen

[lidensword]

I really didn't like how cruel and totally insensitive Olrik was in The Last Swordfish...

[resolutionsolange]

BILAN CULTUREL - NOV+DEC. 2022

Cinéma :

Close - Lukas Dhont

Eo - Jerzy Skolimowski

Livres & bandes dessinées :

Les Mystères de Larispem, tome 3 - Lucie Pierrat-Pajot

Hex - Thomas Olde Heuvelt

L’autre moitié de soi - Brit Bennett

Stone Butch Blues - Leslie Feinberg

Tea Rooms - Luisa Carnés

L’Été Diabolik - Thierry Smolderen, Alexandre Clerisse

Chroniques de Jérusalem - Guy Delisle

Une année sans Chtulhu - Thierry Smolderen, Alexandre Clerisse

Spa - Erik Svetoft

Blake & Mortimer : Le Cri du Moloch - Jean Dufaux, Christian Cailleaux, Étienne Schréder

Blake & Mortimer : Le Dernier Espadon - Jean Van Hamme, Teun Berserik, Peter Van Dongen

Blake & Mortimer : Le Dernier Pharaon - Thomas Gunzig, François Schuiten,

Les vieux fourneaux, tomes 5 à 7 - Wilfrid Lupano, Paul Cauuet

Les sœurs Fox (2 tomes) - Philippe Charlot, Grégory Charlet

Tant pis pour l’amour, ou comment j’ai survécu à un manipulateur - Sophie Lambda

Le Singe de Hartlepool - Wilfrid Lupano, Jérémie Moreau

Neptune, tome 2 - Leo

Blake & Mortimer : Huit heures à Berlin - José-Louis Bocquet, Jean-Luc Fromental, Antoine Aubin

De cape et de mots - Flore Vesco, Kerascoët

Koko n’aime pas le capitalisme et autres histoires - tienstiens

Expos :

Tintin, l’aventure immersive - Atelier des Lumières, Paris

Exposition vidéo numérique et poétique - Friche la Belle de Mai, Marseille

Biennale des imaginaires numériques - Friche la Belle de Mai, Marseille

Concerts :

General Elektriks - La Maroquinerie, Paris

Jeux vidéo :

The House of Da Vinci 2 - Blue Brain Games

Spiritfarer - Thunder Lotus Games

Projections privées :

The Princess Bride - Rob Reiner

Scare Me - Josh Ruben

Hidden (court-métrage) - Jafar Panahi

Valérian et la cité des mille planètes - Luc Besson

Enola Holmes 2 - Harry Bradbeer

Glass Onion : A Knives Out Mystery - Rian Johnson

Swiss Army Man - Daniels

Bound - The Wachowski Sisters

The Handmaid’s Tale, saison 5 - Bruce Miller

Only Murders In The Building, saison 2 - Steve Martin, John Hoffman

Station Eleven, saison 1 - Patrick Somerville

Mercredi, saison 1 - Alfred Gough, Miles Millar

Chair Tendre, saison 1 - Yaël Langmann

His Dark Materials, saison 3 - Philip Pullman

Le Cabinet de curiosités de Guillermo del Toro, saison 1 - Guillermo del Toro

Découvertes musicales récentes :

( Requin Chagrin - Crush (ft. Anaïs Demoustier)  /  Chicks On Speed - Wordy Rappinghood )

[byjoveblakeandmortimer]

Gossip… :I

[ladydenkiart]

colonel olrik

[morte-a-elle-meme]

Can’t believe I procrastinated 2 whole months before posting the entire page. Best page of the album too.

Translation:

Pilot: It’s over. Time For plan B.

Pilot: Sorry Professor, those are the orders.

Mortimer: What?!??...

Mortimer: I’m dreaming... This is impossible...

Olrik: No, Professor, you are not dreaming. And I just saved your life.

Olrik: This agent had obviously been ordered by your friend Blake not to let you fall alive into the hands of the enemy, that is, into mine. Who can we trust anymore, right?

[lesansnom]

Cher @kochei0 ,

Chose promise, chose due,

Sous ce dernier chapitre de Gradalis , j'ai mendier comme un crevard pour que , par pur amour amoureux , cet enfoiré de Lamorak ne crève pas au prochain chapitre comme une veille crotte chevalresque .

J'ai donc subtilement négocier et donc voici un fanart de mon poto Lamorak

(aka best perso de Gradalis pour les vrais )

Ps : Si cela fonctionne, je ferai tout la bande par sécurité (on ne sait jamais )

Ps 2 : j'ai remarqué que l'épée de Lamorak est vachement grande , j'en ai donc déduit par déduction que c'était une espadon .

J'espère que j'ai raison , cela me gonflera mon ego >:D

[yes-bernie-stuff]

Le vieil homme et la mer

Vivre aujourd'hui

Le vieil homme et la mer

16 OCTOBRE 2021

Vanité des vanités, tout est dérisoire. Ecclésiaste 1.2

Dans son livre Le vieil homme et la mer, l’auteur Ernest Hemingway raconte l’histoire du vieux Santiago, un pêcheur cubain. Après 84 jours de pêche infructueuse, il accroche un énorme espadon qui le tire vers le large pendant trois jours et deux nuits. Enfin, il en est victorieux et entame le retour au port, le poisson attaché �� son bateau. Mais sa prise attire les requins, et une lutte âpre s’ensuit entre le vieux et les requins. Finalement, éreinté, il rentre au port avec l’arête et la tête de l’énorme espadon, maigre consolation pour tant de combats. Quelle parabole de la vie ! Voici l’homme qui se fait une place sous le soleil. Il se découvre une mission et part à la pêche. Mais quand tout est dit et que le rideau se baisse sur sa vie, il ne ramène que l’arête. Tout est perdu. Éreinté, déçu, désillusionné il s’en va à la mort. Nous sommes tous, quelque part, dans cette aventure. Les uns sont encore au port avec leurs rêves. Certains ont peut-être accroché leur espadon et voient leurs rêves devenir réalité. D’autres encore sont en plein combat contre les requins de la vie. Et les derniers sont de retour au port… et ne rêvent plus. Christ nous délivre des rêves de gloire. Il nous sauve du péché, de nous-mêmes et d’une existence futile. Il fait de ceux qui l’aiment ses serviteurs et leur donne la vie éternelle. Aucun requin ne peut leur enlever cela.

Egbert Egberts

__________________ Lecture proposée : Livre de l’Ecclésiaste, chapitre 1, versets 1 à 11.

1 Paroles de l'Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.

2 Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.

3 Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil?

4 Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.

5 Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau.

6 Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.

7 Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.

8 Toutes choses sont en travail au delà de ce qu'on peut dire; l'oeil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre.

9 Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.

10 S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.

11 On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

[frenews24h]

Le jeu de société Oceans capture la beauté et la férocité de la vie marine

Fre News 24h Le jeu de société Oceans capture la beauté et la férocité de la vie marine

Peut-être quelque part il y a un océan où le parasite transparent Invisy McSuckFace cherche son prochain repas. Le sangsue pourrait avoir à fuir l’hybride espadon-requin terriblement rapide Zoomy killa ou esquiver des dizaines de tentacules des écoles de la pieuvre Clique Grabbo. Mais plus vraisemblablement, ces bestioles n’existent que dans Océans, un jeu de plateau stratégique de North Star Games qui traduit magistralement les merveilles et les complexités de l’écologie marine dans un décor de table.

Le jeu, en vente ce printemps, est la suite du populaire film de North Star. Évolution jeu, et l’expérience de base est similaire. Deux à quatre joueurs – ou dans certaines éditions du jeu, six – rivalisent pour garder les espèces vivantes et bien nourries, la nourriture acquise étant finalement convertie en points. À chaque tour, un joueur déploie une carte trait pour créer une nouvelle espèce ou accorder de nouvelles capacités à celles existantes. Ces traits, tels que «prédateur de pointe» ou «chargeur de filtre», correspondent à des compétences et à des caractéristiques physiques qui aident de véritables créatures marines à survivre et à trouver de la nourriture. Certaines espèces peuvent être des butineuses de récifs, par exemple, tandis que d’autres sont plus agressives, volant la nourriture d’autres espèces.

C. Hamilton

Créé par North Star Games, Oceans sera mis en vente ce printemps.

Construire une liste de créatures qui interagissent bien entre elles ou avec les espèces des autres joueurs dans l’écosystème est essentiel pour remporter la victoire. Et de cette façon, le jeu imite les pressions évolutives réelles, les joueurs réagissant à la créature marine dominante et trouvant de nouvelles façons de puiser dans la générosité des océans. Un prédateur du sommet envahit-il les mers? Gardez vos espèces prisées en sécurité en utilisant une tactique de défense fiable de calmar – en jetant de l’encre sur un ennemi – ou profitez des prouesses du prédateur en mangeant les restes de l’animal.

Au fur et à mesure que le jeu progresse, des scénarios sélectionnés au hasard peuvent modifier la dynamique du jeu, incitant les joueurs à s’adapter à un environnement changeant. Par exemple, le scénario «fertile» récompense les joueurs pour la création de nombreuses nouvelles espèces, tandis que l’événement «épizootique» simule une épidémie en réduisant les populations de certaines espèces.

Tout comme les joueurs pensent avoir compris l’écosystème, l’explosion cambrienne frappe. Pour le reste du jeu, les joueurs utilisent deux traits par tour et peuvent accéder au deck «Deep», rempli des caractéristiques les plus bizarres de la vie marine et des créatures marines mythiques. «Oceans explore vraiment cet espace entre le monde connu, ce que la science sait et l’inconnu», explique le concepteur principal Dominic Crapuchettes. Alors que les cartes Deep coûtent des points pour jouer au départ, les avantages de devenir un redoutable kraken ou une baleine qui a maîtrisé les filets à bulles pour corriger les proies (SN: 9/11/19, p. sept) valent souvent le pari.

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North Star a consulté le biologiste marin Brian O’Neill de l’Université du Wisconsin – Whitewater dans la conception du jeu, et le contexte scientifique est payant dans une expérience cohérente et (surtout) scientifiquement exacte. Par exemple, l’explosion cambrienne inaugure une explosion d’évolution rapide et de biodiversité, un peu comme l’événement réel il y a environ 541 millions d’années (SN: 27/04/19, p. 14). Et les traits d’une espèce interagissent généralement de façon logique sur le plan biologique: «l’encrage» et la «scolarisation» rendent la créature plus difficile à attaquer, et la «vitesse» donne un coup de pouce aux espèces agressives.

Mais ce n’est pas toujours le cas. “La chose que j’ai du mal donne des choses biologiques qui n’ont aucun sens “, la terre et écrivain climatique Carolyn Gramling a noté quand Actualités scientifiques les membres du personnel ont essayé le jeu. Par exemple, il est possible de créer une espèce à la fois parasitaire et symbiotique avec la même créature, ou même un prédateur au sommet qui est aussi un filtre d’alimentation, bien que cela puisse être aussi discutable stratégiquement biologiquement.

C. Hamilton

Le trait de «prédateur de l’apex» fait d’une espèce une force avec laquelle il faut compter, comme cet imaginaire hybride requin-baleine vu sur une seule carte.

Côté scientifique, Oceans excelle à évoquer un sens d’émerveillement. L’art aquarelle saisissant de l’illustratrice Catherine Hamilton, sur le plateau de jeu et de nombreuses cartes de traits, invite les joueurs dans un écosystème. Le jeu récompense à la fois une planification minutieuse et une réflexion rapide, empêche le sentiment frustrant de redouter une certaine perte après un début erreur (un phénomène courant chez le prédécesseur d’Oceans, Evolution). Et il y a un humour bienvenu: la lecture du guide des noms scientifiques dans le jeu a dans Actualités scientifiques les employés développant des noms créatifs pour leur espèce, comprenant Invisy McSuckFace.

Ceux qui connaissent Evolution se sentiront comme chez eux dans un gameplay moins punissant mais tout aussi nuancé d’Oceans. Et pour ceux qui découvrent les jeux de stratégie, Oceans est une bonne introduction: il est suffisamment intuitif pour reprendre les bases après quelques tours, mais suffisamment nuancé pour être agréable après des dizaines de jeux. Alors que les joueurs se battent pour leur survie, ils découvriront bientôt que l’océan est, comme Actualités scientifiques l’écrivain Jonathan Lambert l’a dit, «rouge dans la dent et le tentacule».

Fre News 24h Le jeu de société Oceans capture la beauté et la férocité de la vie marine

http://frenews24h.com/le-jeu-de-societe-oceans-capture-la-beaute-et-la-ferocite-de-la-vie-marine/ Source: http://frenews24h.com/

[chicandswiss]

Mon amour inconditionnel pour la cuisine italienne n’est plus à démontrer, je pense que vous l’avez bien compris dans mes posts Insta…Et je suis bien heureuse qu’à Lausanne on ait en tout cas 5 très très bons restaurants qui changent de la simple pizzeria qui vous sert de la carbonara à base de crème (sacrilège!). Allora ecco i miei 5 ristoranti preferiti! (oui biliiingue presque 10 ans d’italien à l’école, ok on dirait pas)

Si vous me suivez sur Instagram, vous devez savoir qu’il est rare qu’une seule de mes journées ne se déroulent sans manger, de près ou de loin, quelque chose d’italien. Que ce soit de la burrata, des pâtes ou la pizza. Il ne manquerait plus que je me trouve un “fidanzato italiano” et ma vie serait comblée. Haha la bonne blague, rabattons-nous donc sur la nourriture!

C’est samedi soir, on mange où? la question qui tue et qui ne fait pas long à répondre: ben italien? (j’aurais pu répondre asiatique, ce sera pour le prochain top #5). Mais des vrais du “terroir” avec la bonne cuisine familiale. Comme je disais en intro, vous ne trouverez pas de banales pâtes à la sauce tomate Barilla (bien que je l’utilise tout le temps à la maison quand c’est pas celle de grand-maman Marcelle :-)) mais des associations peu communes, pour nous petits suisses, comme souvent du poisson, des fruits de mer à la sauce tomate, de la cime di rapa, etc. etc.

Je ne vais pas mentir, il est de toute façon rare que je sorte de ma zone de confort (comme dirait l’autre…), je préfère les valeurs sûres et du moment qu’il y a le mot burrata, pesto ou truffe, vous pensez bien que le choix est vite fait.

Voilà mon top #5

Par contre, vérifiez, mais la plupart sont partis dans le Sud pour les vacanze.

Amici

Le top du top pour moi! C’est tout petit, tout cosy, on vous parle presque qu’en italien (ce qui peut surprendre à la réservation), mais pas d’inquiétude on finit toujours par se comprendre et ça fait exotique.

Même si je n’y suis pas retournée depuis longtemps, il est tout le temps plein, pensez à réserver à l’avance surtout en weekend. Et si on vous propose les dernières places au bar, n’hésitez pas, vous pouvez en plus papoter avec les serveurs et avoir un œil sur la cuisine! Et il y a désormais même une mini terrasse dehors.

Comme pour les autres ci-après, la carte est composée d’antipasti, de pâtes (entre CHF 25.- et 30.-) et bien évidemment la belle pièce de bœuf! Je prends toujours les pâtes mais pour les gros mangeurs ce ne sera peut-être pas suffisant. Moi ça me laisse la place pour le tiramisù de fin.

pesto et espadon

Rue César-Roux 5, 021 311 54 58

Ristorante Saint-Paul

Le cousin d’Amici, situé à l’avenue d’Echallens (impossible de s’y parquer prévoyez le coup!), on y retrouve aussi cette cuisine italienne authentique. J’y suis retournée tout récemment donc j’ai des photos contractuelles ;-): ravioli à la BURRATA, non mais la tuerie!!! j’aurais presque repris une assiette complète…mais quand même.

Bon sinon on a quand même fait entrée (mozzarella di buffala, obligée), plat, dessert (tiramisù, obligée 2), autant dire que je pouvais plus dire papet!

Avenue d’Echallens 72, 021 544 73 91, mais ils sont en vacances 2 semaines je crois.

La Poesia

L’un des derniers sur la place, situé à Lausanne, certes, mais un peu excentré puisque proche de Malley, le parcage est pas évident non plus.

Nous y sommes allées lors de mon anniversaire en février. Le cadre est super joli, peut-être un peu plus cher que les deux premiers. Même type de carte que les deux autres, avec pâtes souvent aux fruits de mer ou poisson comme en ce moment entre homard, cigale de mer, anchois etc.  et la iiiaande.

Nous avions donc pris du relativement basiques avec des orecchiette à la tomate et mini boulettes de viande. Très bon même si on s’attendait à un chouilla plus original. Ce qui ne nous a pas empêché de ne pas laisser une “oreille”! C’est tellement bon la vrai cuisine della nonna.

Avenue du Chablais 53, 021 525 55 85

La Luigia

Je n’y vais que pour leurs pizze, jamais testé les pâtes même s’il parait qu’elles sont bonnes. Et il y a de la burrata à la carte, alors je ne peux que le citer!

Certains vont crier au scandale que je cite une chaîne mais les pizze sont vraiment vraiment bonnes, chères, mais bonnes.

Je sais que le système de non réservation en fait tiquer plus d’un mais, on se la joue à l’américaine en sirotant un (voire 2) spritz avant d’avoir une table. Il est en plus situé en plein centre, proche des bons bars de la ville, donc parfait pour se faire un petit fond!

Rue Saint-Pierre 3

Chez Mario

Une des meilleures pizzeria de Lausanne, si ce n’est la première d’ailleurs. D’antan, le repère des étudiants ou des restos du samedi soir avant d’aller en boîte (oui ça m’arrivait de temps en temps). Tout a été refait il y a quelques années (on dirait pas je sais), ben oui y avait plus de place pour gribouiller sur les murs…

photo “piquée” à MyLausanne

Elles sont bonnes pas trop chères (faut pas rêver, ça reste les prix suisses), à part si vous prenez, comme moi, la Bella Italia avec mozzarella, jambon de Parme, rucola, mozzarella di buffala, ricotta et copeaux de parmesan. Manquerait plus que de la burrata et de l’huile de truffe et j’en fais mon repas hebdomadaire!

Rue de Bourg 28, 021 323 74 04

Mais il m’en reste un à tester, l’Ulivo au Tunnel. Peut-être entrera-t-il bientôt dans le top #6 du coup ou en détrônera un des 5. Affaire à suivre.

Mes 5 (restos) italiens préférés à Lausanne #restaurantitalien #lausanne Mon amour inconditionnel pour la cuisine italienne n'est plus à démontrer, je pense que vous l'avez bien compris dans mes posts Insta...Et je suis bien heureuse qu'à Lausanne on ait en tout cas 5 très très bons restaurants qui changent de la simple pizzeria qui vous sert de la carbonara à base de crème (sacrilège!).

[seedsofstories]

IX. À l’horizon, le temps

Assis sur un rocher à l’orée du bois, Moahk massait sous sa cape de cuir usé ses côtes blessées, le regard porté vers l’horizon, où des pointes de lumière doucement apparaissaient derrière les hautes montagnes du Bout du Monde. Sa peau d’ébène était complètement couverte pour se protéger du froid des plaines enneigées, mais il avait libéré son visage, pour pouvoir siffler cet air qui venait de son enfance. D’une certaine manière, cet air le réconfortait, lui donnait du courage, en ce moment crucial.

Derrière lui, Naess était allongée dans la neige, sur le dos, tenant contre sa poitrine son bâton de voyage. Bien sûr, elle, elle ne craignait pas le froid, et son visage d’albâtre était levé vers le ciel pourpre. Elle souriait. Elle aussi, se sentait bien en écoutant cet air venu d’un temps lointain. Alors que les dernières notes étaient sifflées, elle rouvrit ses yeux et fronça très légèrement les sourcils. Son frère avait fini, mais quelque chose n’allait pas.

“Ce n’est pas ça, la fin de la musique.”

Moahk se retournait, surpris, vers sa sœur, qui s’était redressée en position assise, les jambes droites.

“Hm ?”

“L’air que tu sifflais, à l’instant. Ce n’est pas comme ça qu’il se termine.”

Moahk leva un sourcil interrogateur. Il était pour le moins inhabituel qu’il y ait désaccord entre eux deux, le sujet d’une mélodie semblait alors d’autant plus dérisoire. Pourtant, c’était un air qu’ils avaient tous deux appris durant leur enfance, un air qui était connu par leurs peuples. Il semblait à Moahk étrange que Naess ne reconnaisse pas la fin de cette musique.

“C’est ainsi que nous l’avons appris.”

“Non... Non, l’air de la musique c’est... C’est...”

Naess soupira, et fixa un instant ses pieds, perplexe. Elle se releva, et elle se mit à chantonner les dernières notes, telles qu’elle les connaissait.

“Da Lala Laaaa ! Da Na Na Lalaliiii !”

Moahk esquissait un sourire en coin, en ayant une moue à la fois amusée et surprise. Il s’était tourné, siégé sur son rocher, vers sa sœur qui avait chanté en bougeant les doigts pour marquer la hauteur des notes. 

“Ça ne finit pas si haut ! 'Lalalaaaa' !”

“ ‘Lalaliii’, je te dis !”

Elle affichait un large sourire, ce qui était rare ces derniers temps, et elle semblait convaincue. Moahk l’était tout autant, ils se connaissaient bien et savaient que ni l’un ni l’autre ne tiendraient tête à un argument sans raison. 

Le silence se laissait balayer par le vent qui se levait, soulevant à chaque nouveau souffle des vagues de poudreuse légère. Naess et Moahk se regardaient, tout en revenant à la réalité, au présent, aux enjeux. Le frère attrapa le manche de son espadon planté dans le sol, et s’en servit pour se relever. D’un vif mouvement, il fit décoller la lame qui pivota et vint se poser en équilibre contre son épaule. Il se tourna vers les montagnes, dont les silhouettes découpaient maintenant les teintes roses de l’aurore.

Moahk demanda à Naess :

“Tu es prête ?”

“Bien sûr. Et toi ? Ta blessure ne te fait pas trop mal ?”

“Elle me tire un peu... Mais ça ira. Nous n’avons plus le choix.”

“Oui... Nous manquons de temps.”

“Plus pour longtemps.”

Elle s’approcha de son frère, et posa sa main sur son épaule pour lui donner quelques derniers conseils.

“Ne force pas sur les mouvements larges, utilise tes appuis à l’avantage de tes pivots... Avec un peu de chance, tu n’auras pas à te servir de Zenisia. Puis...”

“Naess, serais-tu inquiète ?”

“Tu dois réussir, Moahk.”

“Hm.”

Il donna à sa sœur une tape amicale sur le dos, et fit quelques pas en avant, pour amorcer son départ. 

“Demain est un jour important.”

“Oui, c’est ce que semble croire le Narrateur.”

Sur ces paroles, leur chemin se sépara, jusqu’à leur prochaine rencontre.

[la-base-secrete]

Le Dernier Espadon (x)

[lisonetmatthieu-blog]

27 Décembre

Première étape de la journée : faire le ménage dans le gite avant de le rendre ! On en profite pour faire des pancakes à la noix de coco sur la plancha avant de ne plus avoir de cuisine .... 

Aujourd’hui , direction le volcan.  Mais sur la route, nous allons faire quelques détours. La première étape est le belvédère de BOIS COURT. C’est un point de vue sur un village inaccessible en voiture : Grand bassin. Une terrasse en bois (avec des barrières) construite dans le vide permet d’admirer une cascade en contre bas. Le ciel est dégagé, nous avons encore une fois de la chance. Nous pique-niquons donc en contemplant la vue. Nous mangeons un carri, le plat Réunionnais. Un carri c’est une barquette avec du riz, des grains (lentilles, gros haricots blancs ou haricots rouges), et un poisson ou une viande en sauce. Ici, c’est un carri espadon. C’est à ce moment que l’on se rend compte que l’on a oublié la poêle et la casserole pour cuisiner sur le réchaud. Sur la route, nous passons donc acheter ce qu’il nous manque. On se croirai en Normandie sur cette route, il y a des plaines, des pâturages, de l’herbe et même des hortensias. Ca continue ainsi jusqu’à la moitié de la route qui mène au parking d’où part la rando du volcan. La seconde moitié, c’est la Lune ! Des plaines de sables rouges entourées de falaises, des blocs rocheux et aucune trace de végétation. Un spectacle incroyable où l’on se sent tout petit. Le parking s’apelle le Pas de Bellecombe. Arrivés, nous décidons de monter le campement avant qu’il ne fasse nuit et pouvoir profiter du coucher du soleil.

Nouvelle surprise: nous avons aussi oublié le tire bouchon et plus important: la tente ! Apparemment, nous n’avons pas bien préparer nos affaires ! 

Trop loin pour retourner chez nous la chercher , nous décidons de dormir dans la voiture ce soir là. Nous aménageons donc notre bolide et même si ce n’est pas très grand, on arrive à s’y glisser à 2, les jambes pratiquement allongées! On profite ensuite de la vue dégagée sur le cratère pour prendre l’apéro avec les victuailles envoyés par Nelly : du bon vin et du foie gras. Des gens ont perdus la trace d’un homme qu’ils sont venus cherchés, nous participons donc aux recherches avec nos jumelles . Finalement, après l’arrivée de la gendarmerie, l’homme est retrouvé. Il ne reste maintenant plus qu’une seule voiture sur le parking et 5 petits chiens errants avec lesquels Matthieu sympathise à l’aide de galettes de maïs. Le soleil se couche et enveloppe le cratère et ses remparts petit à petit. Les derniers égarés retrouvent leur voiture et nous voilà seuls à 2300 m d’altitude ! Mais, avec la nuit arrive aussi le froid. Recroquevillés dans la voiture, on se couche donc très tôt sous les duvets, avec nos manteaux, nos pantalons en polaire et nos grosses chaussettes. Matthieu a l’impression d’être au gabion. Nous avons emporté des audiobook pour la semaine, nous commençons donc par Tintin. Un audiobook, c’est un livre lu. Nous aimons bien ça ! Là, c’est une BD lue par plusieurs personnages avec des bruitages. Nous nous endormons au pays du Lotus bleu, mais cela va être de courte durée.

[byjoveblakeandmortimer]

Apresentação das quatro capas do novo álbum Le Dernier Espadon by Peter Van Dongen.

[morte-a-elle-meme]

Guys I love the new album ok

[byjoveblakeandmortimer]