#Laurent Papot
Explore tagged Tumblr posts
Photo
Un monde sans femmes [A World Without Women] (Guillaume Brac, 2011)
#cinema français#French cinema#beach#plage#Picardy#Un monde sans femmes#France#moyen métrage#Picardie#A World Without Women#Guillaume Brac#seaside#flirting#Constance Rousseau#Vincent Macaigne#Laure Calamy#life#European cinema#amour#love#Laurent Papot#relationship#mother daughter relationship#2010s movies#Europe#estate#European society#vacance#été#summer
4 notes
·
View notes
Photo
#2017#vincent macaigne#pauline lorillard#pascal reneric#emmanuel matte#laurent papot#josephine de meaux#laure calamy#guerre de classes#heritage#orleans#changement de ratio#final#rideau#calvaire#paulinesque#dv
1 note
·
View note
Photo
Comfort and Consolation in France (Pour le réconfort), Vincent Macaigne (2017)
#Vincent Macaigne#Pauline Lorillard#Pascal Rénéric#Emmanuel Matte#Laurent Papot#Joséphine de Meaux#Laure Calamy#Mauro Herce#Nicolas Desmaison#2017#cannes film festival
1 note
·
View note
Video
youtube
JESSIE LEE & THE ALCHEMISTS - FERNANDO ROCK SHOW
Live from le Plessis-Robinson, Jessie Lee and The Alchemists se sont retrouvés (les pauvres) coincés avec Markus qui a taquiné les Laurent,fait le point sur les projets du combo (et ils sont nombreux) et papoter de plein de choses, toujours dans le calme et la finesse.
Cela dit, vu le live qu'il nous a rapporté, on le pardonne pour ses débordements, car une fois encore, ce fut frissonnant !
©FERNANDO ROCK SHOW
1 note
·
View note
Video
youtube
Elle s’appelait Maria. C’était la femme de ménage du Caveau de la République. Elle était âgée mais continuait quand même à venir travailler ici, avec son mari. Elle était portugaise et j’aimais son petit accent. Elle avait été embauchée dans les années 50. Elle les avait tous croisés et j’aimais bien venir, bien avant l’heure de notre passage sur scène, pour parler avec elle. Je pouvais l’écouter des heures me raconter les débuts ou différentes anecdotes sur Charles Aznavour, Edmond Meunier, André Rochel, Martial Carré, Jean Valton, Robert Rocca, Léo Campion, Pierre Destailles, Pierre Doris, Patrick Font, Les Frères Ennemis, Robert Lamoureux, Francis Lemarque, Ricet Barrier, Jean-Roger Caussimon, Enrico Macias, François Corbier, Serge Llado, François Morel, Jacques Ramade, Laurent Ruquier ou encore la pianiste-compositrice Gaby Verlor. C’était la mémoire vivante de ce lieu incroyable. Elle m’en a raconté des vertes et des pas mûres. Tremblez, grands de la terre, car j’en sais des choses sur vous grâce à elle !... Un jour, un de l’équipe du temps où nous y étions, nous surprends dans les coulisses en train de papoter sur le passé chansonnier du lieu. Maria panique. Comme si elle était prise en flagrant délit de ne rien faire, elle reprend vite ses chiffons et ses balais et s’en fuit. Et le type me dit (je ne vous dirais pas son nom car il ne le disait pas d’une manière méchante mais plutôt en usant, une nouvelle fois, de son humour cynique) : « Tu parles vraiment avec n’importe qui, toi !... C’est la femme de ménage !... » J’avoue que je n’avais pas perçu le second degré dans cette phrase. Heureusement, on s’est expliqué après. Mais sur le coup, j’ai été fâché. Je lui ai rétorqué : « N’importe qui n’est jamais n’importe qui ! ». Une pensée que je me suis empressé d’écrire dans mon carnet pour ne pas l’oublier. Je tenais là un bon sujet de chanson et sans aucun doute l’un de mes plus beaux refrains. Le jeudi 24 septembre 2009, je vais l’écrire complètement. Quand je décide de l’enregistrer sur mon troisième disque solo, je me souviens de Poune (alias Audrey Di Nardo) qui n’est pas n’importe qui non plus. L'été 2008, la compagnie de Théâtre Nihilo Nihil, dont j’ai l’immense honneur de faire partie, décide de monter « Thyl Ulenspiegel » pour le festival de théâtre de l’Arc Mosellan. Ce festival mélange des comédiens professionnels et des amateurs de grands talents tous sous la houlette du metteur en scène Rémi Barbier. Cette année là, nous faisons la connaissance de la jeune Audrey. Ella avait alors 19 ans. Son rêve : devenir comédienne. Elle le deviendra. Mais, à l’époque, rien n’était moins sûre et son avenir l’inquiétait. Elle découvrait la vie de comédien, avec nous, mais aussi les soucis liés à notre régime des intermittents. Bref autant de choses attirantes que répulsives chez, nous autres, les saltimbanques. On sympathise très vite. Je deviens, pour elle, une sorte de gros copain sur qui on peut taper en rigolant très fort et, elle, la seule fille que je gifle avec grand plaisir. Bref on joue aux cons et on adore ça. Comme c’est un spectacle en extérieur, une garde est prévue pour éviter que des malotrus nous piquent des projecteurs la nuit. A tour de rôle, on fait le guet. Une tente est prévue, près de la régie lumière, pour dormir un peu. Un soir que c’était mon tour, Poune me dit « je viendrais te voir vers 3h du matin pour te montrer un truc. » J’étais intrigué. Qu’est-ce qu’une jolie fille de 19 ans pouvait me montrer au beau milieu de la nuit ? Elle est venue et elle m’a dit : « voilà je sais que tu chantes aussi et que tu as fait des disques, aussi je voulais te montrer un truc pour que tu me dises ce que tu en penses ? » Et elle se met à chanter une chanson complète, en anglais et a capella. J’étais sur le cul. À la fois j’appréciais son culot et son talent car elle chantait très bien. Voilà pourquoi je l’ai embauché pour faire des chœurs dans l’album « Le Choléra » en 2009 puis pour chanter « N’importe qui » avec moi en 2013. Beaucoup de gens d’ailleurs m’ont avoué aimer cette chanson surtout à cause de sa voix. Merci à elle et une pensée émue pour Maria qui, peut-être, m’attend quelque part pour me raconter d’autres anecdotes sur mes amis chansonniers. Encore une chanson qui résonné étrangement à l'heure des révoltes.
1 note
·
View note
Text
Tres nuevas películas que recomendamos ver en el 10º Festival de Cine Francés
Escribe: Luis Vélez.
Saludamos el regreso en formato presencial del Festival de Cine Francés, que para su décima edición cambia adecuadamente su denominación de Semana del Cine Francés. De entre las 37 películas, agrupadas en cinco secciones, aconsejamos no perder la oportunidad de ver en pantalla grande el clásico de terror Los ojos sin rostro (Georges Franju, 1960), el clásico de animación sci-fi El planeta salvaje (René Laloux, 1973), o la penúltima locura de Quentin Dupieux, Mandíbulas (2020). Asimismo, si se trata de películas recientes, sugerimos de primera mano, por haberlas visto en otros espacios previos: ¡Al abordaje! (Guillaume Brac, 2021), la extraordinaria Las cosas que decimos, las cosas que hacemos (Emmanuel Mouret, 2021), y Playlist (Nine Antico, 2021), que son muestra del cine más contemporáneo del país de los hermanos Lumière. No obstante, vamos a concentrar esta publicación en comentar y recomendar tres filmes, también recientes, que están siendo estrenados en Perú en el marco del festival:
Municipale, de Thomas Paulot (2021).-
Más que una película híbrida, Municipale es una inusual aventura política que no oculta ser en verdad una aventura cinematográfica, resultando ser al mismo tiempo experimento social, cinéma vérité y puesta en escena. Aunque puede verse alternativamente como un documental por el que se cuelan ficciones y una especial intervención en la que se es consciente de la penetración en y el desnudamiento de un sistema que nos va a oler familiar: el de unas elecciones municipales. Por otro lado, observado desde aquí (y además, con la carga simbólica de lo que representa la democracia francesa), el registro progresivo de esta campaña y subsecuente votación se nos hace un microcosmos extrapolable que en el caso galo no deja de tomar en cuenta el reclamo del movimiento de los chalecos amarillos, la amenaza del ultra derechista Frente Nacional (o como se llame hoy) y la llegada de la pandemia. Pero más allá de las intenciones del director Thomas Paulot y su aliado/actor Laurent Papot, Municipale consigue recabar las preocupaciones de estudiantes, desocupados, obreros y jubilados, siendo amargamente deducible que un experimento fílmico o una candidatura política pueden sostenerse en farsas.
Ver teaser aquí.
Municipale, de Thomas Paulot (2021).
Delicioso, de Éric Besnard (2021).-
Compatible para una visita en plan ameno es Delicioso, que combina comedia, drama, encanto y época. Hay chispazos de sátira social, más aún siendo una película ubicada en los preámbulos de la caída del Antiguo Régimen, en cambio los vientos de la revolución soplan todavía ligero; sin embargo lo que va a importar en este relato son los conflictos entre personajes arquetípicos: nuestro héroe el chef (Grégory Gadebois), la joven de agudo intelecto (Isabelle Carré), el duque petulante (Benjamin Lavernhe) y el buen elenco alrededor. Serán igualmente relevantes las dinámicas que contrastan palacio y campiña, pero sobre estas destaca la "dinámica culinaria": la preparación e invención de platillos, el arte de las sazones y los sabores, la destreza con ollas y cuchillos, las idea del emprendimiento, el concepto de la "comida democratizadora" (en ese sentido un filme hermano es Chef, de Jon Favreau), y así hasta llegar a esta historia (real o no tan real) del "primer restaurante". Lo cierto es que Delicioso, haciendo honor a su título, es una película para placer de audiencias y un pequeño homenaje a la gastronomía francesa. La salida de la sala irá acompañada de antojitos.
Ver trailer aquí.
Delicioso, de Éric Besnard (2021)
Albatros, de Xavier Beauvois (2021).-
Aunque tome algo de tiempo en alzar vuelo, sin duda Albatros es de esos filmes que se disfrutan en principio en su ritmo pausado y en el seguimiento de las rutinas familiares o laborales al interior de una comunidad granjera y pesquera de Francia. Curiosamente están entre estas rutinas los quehaceres en la comisaría de este pequeño pueblo de la Normadía de los gendarmes, colegas del protagonista. El sacudón llega y el drama se acentúa: una familia de clase obrera haciendo planes felices de pronto asaltada por una tragedia causada accidentalmente por el padre. Albatros se va así convirtiendo en una radiografía personal de la culpa y el trauma psicológico. Si bien una obra menor, establecemos vínculos con el cine de Bruno Dumont, acaso por el sentir áspero, tanto del paisaje como del acercamiento a la condición humana; y con el cine de los Dardenne, por el retrato social, o porque Jérémie Renier, de gran desempeño actoral, nos recuerda su trabajo con los hermanos belgas. Un drama social con un costado realista, que a ratos funciona como un thriller de pesquisa policial, Albatros, pese a no estar cerca de ser perfecta, golpea y conmueve, aunque hay una promesa de sanación.
Ver trailer aquí.
Albatros, de Xavier Beauvois (2021).
El festival continúa hasta el 15 de mayo y tiene sedes en Lima, Arequipa, Chiclayo, Cusco, Piura, Tacna y Trujillo. La programación y data de las películas la encuentran en las redes sociales del festival y el descargable aquí.
Organizan: Embajada de Francia en Perú, Ministerio de Cultura del Perú y Centro Cultural PUCP.
Curador de la programación: David Duponchel.
0 notes
Text
sortie du 26 mars
Dernier jour d'heure d'hiver et un temps printanier; quelques confusions relatives à l'heure de rendez-vous (par ma faute!) mais finalement, constitution totale du groupe au pont Mistral, vers 14 heures 10, où nous récupérons Gilles. Nous sommes 5, Claude, Éric,Philippe, Gilles et moi pour une randonnée orientée vers l'Ardèche : le long du Rhône, jusqu'à Beauchastel, une phase de plat qui nous permet de papoter, tout en pédalant...Pédaler... papoter sur les sujets d'actualité . Claude est en forme, bien entrainé, des kms à son actif. Philippe renoue avec le vélo (3 semaines sans), Éric s'est consacré le matin à diverses plantations, tout comme Gilles d'ailleurs : c'est effectivement le printemps.
L'allure de la progression et des échanges se ralentissent dès que nous attaquons la montée vers le col de Mérand à partir de St Laurent du pape et après un arrêt photo/regroupement nous abordons une descente étroite rapide jusqu'au col de Rôtisson avant de rejoindre Toulaud et la vallée.
Gilles a pris goùt aux descentes et tente de nous fausser compagnie à l'occasion d'un petit détour que nous pensions nous accorder. Il nous faut le rattraper sur l'itinéraire traditionnel vers St Péray...Petit geste " d'opposition" qui lui vale désormais l'attribution du surnom "révolutionnaire" mais tout amical de Che Guevara.
Retour dans nos pénates respectives, pour une fin de week end toujours dédié au soleil. Selon mon compteur St Marcellois : 74 km parcourus et un peu plus de 21 km/h de moyenne...Les palabres ralentissent nécessairement les performances physiques. Dans le cadre de nos papotages, la remise en forme de Patrick que nous espérons retrouver frais et dispo, au mieux du possible. Jacques.
0 notes
Text
QUI VA GAGNER LE GRAND RAID DE LA REUNION ?
François D'haene : pas d’UTMB® cette année, c’est donc logiquement le Grand Raid qui a été coché par l’amateur de jaja. Après avoir bien rigolé devant l’hécatombe de ses acolytes sur la course de quartier de Chamonix, la grande tige du Beaujolais prépare un nouveau succès. Comme d’habitude, il prendra la tête de la course dans les rues de St Pierre pour ne plus la lâcher. Comme d’habitude, il dira qu’il est très heureux et que c’est fantastique. Comme d'habitude, il affirmera que l’île de La Réunion est magnifique et qu’il aimerait bien revenir. Seul bémol au tableau : l’énorme rot saveur poulet / mayo qui lui échappera au moment de rendre le micro à un Ludovic Collet déjà éméché par les rhums arrangés de l’ami Eric Lacroix.
Antoine Guillon : celui qui fête son 253782902629ème départ du Grand Raid n’a qu’une seule idée en tête : ramasser les morts tout en les humiliant avec un délicieux « allez, c’est bientôt la fin ». Le métronome passera à la seconde près dans ses temps de passage tout en distillant à la presse locale des « c’est encore long » pour faire croire qu’il est entamé. Habile. Il fera même passer Cédric Villani pour un phobique des maths lorsqu’il calculera au mètre près quand il viendra croquer un François D'haene en perdition après une crise de boulimie dans la montée du Maïdo. À son entrée dans le stade de La Redoute, Tonio nous régalera même d’un succulent « ils ont changé une toute petite portion, je dois reconnaître que j’étais un peu chamboulé ».
Benoit Girondel : l’an dernier, le petit gars de la Drôme nous avait un joué un numéro que même Patrick Sébastien n’aurait pas pu imaginer. D’ailleurs, Jim Walmsley souffre encore de terreurs nocturnes. Cette année, le pote de Xavier Thevenard va nous refaire le même coup : une course prudente mais régulière pour s’installer confortablement en tête après Sans Souci. La suite, on la connaît : des messages illisibles sur FUJI Spirit, un Laurent Ardito ivre de bonheur et Salomon Running et Hoka One One en PLS après que les deux classiques du calendrier tombent dans l’escarcelle de ces deux lutins qu’on aimerait bien avoir comme potes.
Maxime Cazajous : Maxou, c’est le gars qui fait passer tes cuisses pour des avant-bras. Qu’on se le dise, le Béarnais ne vient pas pour papoter comme l’an dernier avec Ludovic Pommeret dans un cirque de Mafate aussi grandiose qu’impitoyable. « En 2017, je suis parti trop vite » avoue l’ancien rugbyman. Dernier à Cilaos, il plaquera alors un à un ses adversaires pour fondre sur un Tòfol Castanyer bien trop frêle pour résister aux attaques de Cazajous. « Ici, on ne joue pas à pousse-cailloux » grognera celui s’adjugera sa plus belle victoire de sa carrière avant un dernier coup de la corde à linge opéré sur le bénévole qui osera lui tendre le célèbre t-shirt « J’ai survécu » en taille XS.
Mimmi Kotka : Mimmi, c’est la fille qui fait passer les cuisses de Maxime Cazajous pour des avant-bras. La Suédoise, apparement soeur jumelle d’Emelie Forsberg selon Le Quotidien de la Réunion, vient sur la plus belle île du monde pour boucler son premier 100 miles. Dans le top 10 scratch depuis Marla, elle viendra écoeurer les plus machos avec son joli sourire. À la lutte pour la victoire dans l’ignoble chemin des Anglais, elle aveuglera ses derniers concurrents avec sa grande crinière blonde. Première au scratch, elle aura même le temps d’apprendre quelques mots en français avant qu’Antoine Guillon, second pour la 7628362ème fois, ne vienne lui rendre l’hommage qu’elle mérite.
VOTEZ ICI
Photo Peignée Verticale
1 note
·
View note
Text
LES TROIS SŒURS d’après Tchekhov de Simon Stone au Théâtre de l'Odéon
Dans l'adaptation de Simone Stone du classique "Les Trois Sœurs" de Tchekhov, la demeure provinciale prend des allures modernes de maison secondaire familiale. Le classique est revisité avec brio et inventivité avec des dialogues semblables à une discussion de tous les jours en conservant les thèmes principaux : la mort récente du père, la maison familiale héritée et partagée par la fratrie, l’ennui de la vie de cette famille rythmée par les visites des proches, le temps qui passe et les rêves déçus. Cette version dépoussiérée se passe dans une grande et belle maison vitrée de deux étages posée sur un plateau tournant ce qui permet une vue quasi-cinématographique de chaque scène : les spectateurs ont une vision directe de chaque recoins de ce qu’il se passe à l’intérieur.
Les comédiens sont équipés de micros permettant au public d’entendre les discussions, les apartés, mais aussi le souffle des personnages. Les bruits quotidiens de la maison sont aussi captés : la salade que l’on découpe, l’aspirateur qui est passé, la douche que l’on prend, les soupirs de plaisir dans une chambre résonnent.
Onze comédiens sur le plateau. Amira Casar en chef de famille convaincante. Les onze comédiens méritent d’être cités : chacun brille par sa partition dans ce chœur où l'intime s'exprime au travers du collectif : leurs discussions, bouts de quotidien, sont beaucoup plus profondes qu’elles n’y paraissent : elles dépeignent des angoisses et questionnements individuels qui sont en réalité universels et qui restent surtout actuels : Qui sommes-nous ? Sommes-nous sur le bon chemin ? Quel sens donner à nos vies ?
Les membres d’une famille confrontent leurs opinions, se disputent, se réconcilient, se pardonnent, s'affrontent et s'aiment pour trouver leurs réponses. Ce spectacle nécessite de se laisser porter par le flot continu de paroles : c’est un beau moment de poésie !
> “Les Trois Soeurs” d’après Anton Tchekhov Mise en scène // Simon Stone avec Jean-Baptiste Anoumon, Assaad Bouab, Éric Caravaca, Amira Casar, Servane Ducorps, Eloïse Mignon, Laurent Papot, Frédéric Pierrot, Céline Sallette, Assane Timbo et Thibault Vinçon Photo // Thierry Depagne du 10 novembre au 22 décembre 2017 du mardi au samedi à 20h dimanche à 15h Durée // 2h35 avec entracte
> Théâtre de l’Odéon - Théâtre de l’Europe 2 rue Corneille - 75006 Paris Métro : Odéon www.theatre-odeon.eu
#theatreetplus#theatre#spectacle#paris#odeon#public#Actualités et sorties#art#culture#stoneware#amira casar#sallette#soeurs#classique#russie#europe#poésie
2 notes
·
View notes
Text
« Vu du pont (A View from the Bridge) » by Arthur Miller, directed by Ivo van Hove (ODEON, Théâtre de l'Europe - Ateliers Berthier January 4-February 4, 2017)
Photo by myself
It was my first time visiting the Ateliers Berthiers of Théâtre Odéon, which situates at the North-west edge of Paris at Porte de Clichy, a site currently surrounded by autoroutes under construction, seeming to seclude the entire theatre from the liveliness of central Paris. Ivo van Hove first created his version of A View from the Bridge by Artur Miller in April 2014 at the Young Vic in London. According to Van Hove, his initial inspiration on directing this play occurred while he was researching for the creation of Rocco et ses frères(Rocco and His Brothers, 1960), which took its plot from the film by Luchino Visconti of the same title, which treated the immigration from south to north Italy. A View from the Bridge in turn tells the tale of the Italoamerican immigration, and the direction of the Italian version of the play in 1958 by Visconti is thought to have inspired him in certain ways in the creation of his aforementioned film. Now, the theme of immigration and its conflicts are extremely actual themes for the world today, and in this sense the direction of the play by Van Hove, or might I say his re-creation, was certainly a meaningful act.
Hear more from the director here:
youtube
The play was written upon the request of Miller’s friend, a lawyer, who shared with him a true story concerning the scandalous events which occurred to one of his clients, a longshoreman. The piece was originally conceived as an one act verse drama in 1955 and staged in Broadway, but the initial production being unsuccessful, the playwright revised the work into a two-act prose drama, premiered in October 11, 1956 at New Watergate theatre club in London under the direction of Peter Brook. The piece features the area surrounding Brooklyn Bridge in the 1950s, an Italoamerican neighbourhood in which the narrator, Lawyer Alfieri runs his business. The narrator first recounts how the majority of the inhabitants are now second-generation Sicilians, who have more or less assimilated into the American culture and society, and have learnt to « settle for half-measure », or « faire des compromis » according to the translation by Daniel Loayza. Yet Eddie, the protagonist of the play, is the few who could not learn to « settle for half ».
Photo by Thierry Depagne
He is a proud docker, living with his wife, Beatrice and her niece, Catherine, whom Eddie had sworn to raise and provide for when she was orphaned as a little girl. As the play opens, Kathie proposes to Eddie her plan to start working, which Eddie initially disapproves but later agrees to. It is on the same night that they welcome two newcomers, Marco, Beatrice’s cousin and his brother Adolpho, into their apartment. The strong bond that Eddie, Beatrice and Cathy shared is put to test when they welcome the two new members into their home, their little doll’s house, where time has stopped and all remained the same for years, where Cathy always stayed a little girl.
Photos by Thierry Depagne But when the clock starts ticking once again, they are all faced with the fact that she has indeed grown, that she can not jump into Eddie’s arms the way she used to. While Eddie refuses this change, Beatrice accuses his obsession with Cathy, and Cathy in turn rapidly ventures out to explore the new concept of independence, to work and to love. Eddie’s frustration is not understood by anyone, not even the lawyer Alfiéri, and the unstoppable descent towards the tragedy begins when he tries to take the matter into his own hand...
Photo by Jan Versweyveld (London Production, 2014) For his creation, Ivo Van Hove and Jan Versweyveld created a simple yet efficient acting space as shown above, with one doorway and a white rectangular stage with black boards secured horizontally with acrylic boards at about 30cm from stage surface, having multiple functions on this decor-less stage. The thick black wall seen overhead was what actually functioned as the curtain, which was lowered to meet the black boards below to create a huge blackbox, closed before the opening of the act and concealing the entire stage from the view of the spectators, as shown below.
Photo by myself A certain use of water was also extremely important in this direction, which I will refrain from going into details but merely mention that it was to signify the shedding of blood at the climax of the play. The representation of blood is what amazes me and disgusts me at the same time in Van Hove’s direction, sentiments which strongly resembles that evoked by his direction of Les Damnés, of which I just saw the reprise at the Comédie-Française.
Photo by Thierry Depagne The actors’ performance, led foremost by Charles Berling who played Eddie, was formidable, oscillating between introspective reflection and sudden bursts of anger and ferocity. Alain Fromager, incarnating Alfieri, remarkably portrayed how the lawyer, born in Italy and raised in America, synchronised with Eddie, and by enacting how he himself was cornered as the tragedy proceeded. Caroline Proust too was the driving force of the entire play in discreet manner, with her nervous glances driving the plot into the inescapable crash. Nicholas Avinée and Pauline Cheviller, the lovers, were not only fresh but showed the depth that young reflections could reach in a very short period of time. Laurent Papot who played Marco was the opposing pillar to Eddie and Alfiéri, with his own anger and vengefulness, aroused especially because of the deep affection for his family. The physical ability of the entire cast was admirable, as their bodies represented any change in scenery or the passing of time.
The use of drums expressing the taught atmosphere were effective, especially during the conversation in the second half of Act 1, accompanying the technique Van Hove employed of the spacing between the lines, to signify the prolonging of time experienced by the uneasy characters. The drums also reminded me of Noh theatre, along with the use of chorus at the beginning of Act 1 and in Act 2 during the intense conversation between Rodolpho and Catherine, where the latter definitively obtains initiative over her own sexuality. Ivo van hove has likened Miller's drama to Greek tragedies in the interview linked earlier:
« I consider Arthur Miller as one of the most important playwrights of our time. He is capable of bringing to the stage real social, political, and moral issues, in the way that Greek tragedy is capable of doing. So I consider him on that height. » I have not seen reference however to Noh, so the association is for the moment purely mine.
The current presentation at the Ateliers Berthiers is the reprise of the French version created last year at the same theatre, and is being played by the same cast members as its creation. GÉNÉRIQUE : traduction française Daniel Loayza dramaturgie Bart van den Eynde décor, lumière Jan Versweyveld costumes An D’Huys son Tom Gibbons collaborateurs artistiques à la mise en scène Jeff James, Vincent Huguet avec Nicolas Avinée Rodolpho Charles Berling Eddie Pierre Berriau Louis Frédéric Borie Le policier Pauline Cheviller Catherine Alain Fromager L’avocat Alfieri Laurent Papot Marco Caroline Proust Béatrice
5 notes
·
View notes
Text
Nous sommes repus mais pas repentis (Déjeuner chez Wittgenstein)
A l’avant-scène, une pile d’assiette brisées devant une table pour trois. A droite une bibliothèque immense et vide, �� gauche un piano, autour, des meubles aléatoires figurant une maison familiale, avec trois petits lits au fond.
Dès la première prise de parole des acteurs, on voit dans quel type de théâtre on se trouve. Ça chuchote dans des micros. Dieu, que je hais ces représentations théâtrales où les acteurs parlent dans leur micro. C’est un symptôme d’une forme de théâtre que mon professeur de Conservatoire appelait “le théâtre content pour rien”. Et une fois encore, le signe ne fut pas trompeur : tout le reste de la pièce n’est que prises de paroles disparates. On part sur une phrase trop compliquée mais vide de sens, on échange à partir de ça sur quelques répliques, et quand on trouve rien de plus à dire on repart sur autre chose. Résultat : rien ne veut rien dire. On se retrouve avec une avalanche de mot sans aucun foutu intérêt, qui n’existe que pour exister et remplir l’espace. Pas de propos, pas de sujet. Le nouveau théâtre dans sa forme la plus dégénérée.
Soyons honnête toutefois : il m’est arrivé de rire deux ou trois fois. Quand on passe son temps à gesticuler, à faire du bruit et à dire des conneries, faut bien que des fois ça fasse mouche, ne serait-ce que par accident. Mais chaque rire timide et à contre-cœur est suivi de multiples grimaces ahuries, assommé que l’on est par une connerie débitée, encore plus abyssale que la précédente.
On pourrait croire à une erreur, un raté, bon, ce serait pas tellement grave, ça arrive, un faux pas. On pourrait pardonner. Mais non. Tout ceci est volontaire, pire : revendiqué. A un moment de la pièce, les trois personnages se mettent à apprécier un vin. Au début, ils lui font des reproches d’œnologues crédibles, quoiqu’absurde, rien d’inhabituel vu le machin qu’on a en face. Mais le registre change vite. Le vin manque de dramaturgie, il est stupide, il pue du cul (sic), il est bruyant, il manque de sens. Et on est forcés d’être d’accord : chaque reproche qu’ils font à cette pauvre bouteille qui ne leur a rien fait (et qui n’a certainement pas demandé à servir d’accessoire à ce navrant immondice), on pourrait le faire à la pièce. Ils vont jusqu’à commettre le pêché ultime, prononcer le mot qui sonne comme le dernier des clous dans leur propre cercueil : le vin “bourgeois”.
Car en effet, mes bien chers frères, mes bien chères sœurs, nous sommes bien là en face d’un représentant typique du théâtre bourgeois subventionné validé par la classe dirigeante ! Il suffit de se retourner sur le public pour en avoir la confirmation : nous voyons là un étalage navrant de faces blanches, la plupart fripées, les yeux clos par l’ennui et la fatigue (et ce malgré les régulières séances de cacophonie militarisées -qui n’ont aucun rapport avec le reste de la pièce d’ailleurs-) comme à la messe socialement obligatoire. La mise en scène montre un profond mépris pour les classes moins privilégiées, comme le démontre la structure même des phrases, qui laissera de base sur le carreau (et volontairement) un certain type de public, et le fait que dès les personnages passent du champagne (ô combien distingué, mais oui ma chère Germaine) à la Kronembourg (boisson des gueux par excellence), les bonnes manière guindées laissent la place à une vulgarité obscène et grivoise, qui dit “poil”, “bite” et “couilles”, qui écarte les jambes en jupe et qui réclame des anecdotes cradingues au seul personnage qui, lui, ne boit pas et regarde consterné la bassesse des petites gens. Belle vision du peuple, connards de bourgeois que vous êtes ! Ces bels et bonnes gens viennent au théâtre pour s’affirmer dans leur goût délicat, dans leur répugnante Culture, qui les différencie pour toujours, n’est-ce pas, de la masse populaire ahurie, n’est-ce pas, qui va voir, les imbéciles, n’est-ce pas, la dernière pièce de boulevard de Laurent Ruquier, qui a sûrement plus à dire d’ailleurs sur le monde que ce merdier sous perfusion de pognon public.
Et entre deux fossiles hagards, on voit de jeunes pousses, fin collège - début baccalauréat, venant faire leur apprentissage au catéchisme du bon goût bourgeois, certains consternés d’avance (l’espoir en l’avenir n’est donc pas vain), la plupart comiquement concentrés, comme essayant de tirer du borgorisme insensé qui leur fait face une substantifique moelle qu’ils finiront par inventer pour ne pas avoir l’air con face aux leurs qui s’adonnent pourtant à la même gymnastique mentale bourrée de rance hypocrisie.
Qu’on se le dise, le théâtre public est un fléau ! Ce théâtre là a oublié ses racines populaires, les tréteaux et les places publics, s’est immunisé, par décret ministériel, contre les tomates dont il se retrouverait autrement criblé à en crever d’overdose de fibre et se transforme en réunion de classe et en démonstration de “bon goût” dégueulasse qu’on vient ensuite parader devant des prolos abrutis de travail qu’on renvoie à leur pseudo-inculture lorsqu’il ne peuvent pas (et ne veulent pas, si Dieu le veut) comprendre ces arcanes absconses. Et les prolos de déclarer ensuite que l’art “n’est pas pour eux” et qu’il ne “comprennent pas”, et retournent écouter Jul ou PNL, qui ne sont pas moins art ou culture, merde à la fin, sous les railleries des bobos de centre-ville, donnant ainsi le dos pour leur soumission culturelle à notre belle élite de fond de cuvette, en plaqué or s’il vous plaît.
Évitez à tous prix le théâtre public, mes amis. Il ne vous mérite pas.
Nous sommes repus mais pas repentis (Déjeuner chez Wittgenstein)
De Thomas Bernhard
Conception Séverine Chavrier
Avec Marie Bos, Séverine Chavrier, Laurent Papot
Vu au Centre Dramatique National d’Orléans
0 notes
Photo
Tournage de ma série audio Timide, à venir très bientôt! Avec Laurent Papot et Ayana Fuentes.
0 notes
Text
Pépites Magazine 2ème édition : toujours plus de talents et d'initiatives à mettre en valeur
La fine équipe d'indépendants derrière le trimestriel gratuit de qualité Pépites Magazine, qui se veut shibam ! splash ! boom ! vizzzzz ! positif et dynamique remet le couvert avec une deuxième édition d'hiver et Couteau Suisse a eu le plaisir de faire sa part avec des lieux et des gens avec qui ont pourrait juste passer la journée à papoter : le viticulteur utilisant la biodynamie Jo Landron, l'écrivain Eric Pessan, Laurent, le curieux brasseur derrière Namnèt...
Ce magazine, imprimé sur un papier de qualité, se veut un témoignage de tout ce qui fait briller notre vignoble, un magazine qui se garde, se lit et relit; qu'on peut apprécier juste pour la qualité des images comme pour l'intérêt du contenu éditorial.
Vous en êtes fan ? Vous aimez notre démarche ? Vous souhaitez nous soutenir ? Il y a plusieurs possibilités :
1- Vous abonner €36 pour 4 numéros
2 - Le stocker, devenir dépositaire ...nous contacter
3 - Devenir annonceur nous contacter
Retour sur les meilleurs moments capturés...
0 notes
Video
youtube
Eric Mie & Audrey Di Nardo - N'importe Qui
Elle s’appelait Maria. C’était la femme de ménage du Caveau de la République. Elle était âgée mais continuait quand même à venir travailler ici, avec son mari. Elle était portugaise et j’aimais son petit accent. Elle avait été embauchée dans les années 50. Elle les avait tous croisés et j’aimais bien venir, bien avant l’heure de notre passage sur scène, pour parler avec elle. Je pouvais l’écouter des heures me raconter les débuts ou différentes anecdotes sur Charles Aznavour, Edmond Meunier, André Rochel, Martial Carré, Jean Valton, Robert Rocca, Léo Campion, Pierre Destailles, Pierre Doris, Patrick Font, Les Frères Ennemis, Robert Lamoureux, Francis Lemarque, Ricet Barrier, Jean-Roger Caussimon, Enrico Macias, François Corbier, Serge Llado, François Morel, Jacques Ramade, Laurent Ruquier ou encore la pianiste-compositrice Gaby Verlor. C’était la mémoire vivante de ce lieu incroyable. Elle m’en a raconté des vertes et des pas mûres. Tremblez, grands de la terre, car j’en sais des choses sur vous grâce à elle !... Un jour, un de l’équipe du temps où nous y étions, nous surprends dans les coulisses en train de papoter sur le passé chansonnier du lieu. Maria panique. Comme si elle était prise en flagrant délit de ne rien faire, elle reprend vite ses chiffons et ses balais et s’enfuit. Et le type me dit (je ne vous dirais pas son nom car il ne le disait pas d’une manière méchante mais plutôt en usant, une nouvelle fois, de son humour cynique) : « Tu parles vraiment avec n’importe qui, toi !... C’est la femme de ménage !... » J’avoue que je n’avais pas perçu le second degré dans cette phrase. Heureusement, on s’est expliqué après. Mais sur le coup, j’ai été fâché. Je lui ai rétorqué : « N’importe qui n’est jamais n’importe qui ! ». Une pensée que je me suis empressé d’écrire dans mon carnet pour ne pas l’oublier. Je tenais là un bon sujet de chanson et sans aucun doute l’un de mes plus beaux refrains. Le jeudi 24 septembre 2009, je vais l’écrire complètement. Quand je décide de l’enregistrer sur mon troisième disque solo, je me souviens de Poune (alias Audrey Di Nardo) qui n’est pas n’importe qui non plus. L'été 2008, la compagnie de Théâtre Nihilo Nihil, dont j’ai l’immense honneur de faire partie, décide de monter « Thyl Ulenspiegel » pour le festival de théâtre de l’Arc Mosellan. Ce festival mélange des comédiens professionnels et des amateurs de grands talents tous sous la houlette du metteur en scène Rémi Barbier. Cette année là, nous faisons la connaissance de la jeune Audrey. Ella avait alors 19 ans. Son rêve : devenir comédienne. Elle le deviendra. Mais, à l’époque, rien n’était moins sûre et son avenir l’inquiétait. Elle découvrait la vie de comédien, avec nous, mais aussi les soucis liés à notre régime des intermittents. Bref autant de choses attirantes que répulsives chez, nous autres, les saltimbanques. On sympathise très vite. Je deviens, pour elle, une sorte de gros copain sur qui on peut taper en rigolant très fort et, elle, la seule fille que je gifle avec grand plaisir. Bref on joue aux cons et on adore ça. Comme c’est un spectacle en extérieur, une garde est prévue pour éviter que des malotrus nous piquent des projecteurs la nuit. A tour de rôle, on fait le guet. Une tente est prévue, près de la régie lumière, pour dormir un peu. Un soir que c’était mon tour, Poune me dit « je viendrais te voir vers 3h du matin pour te montrer un truc. » J’étais intrigué. Qu’est-ce qu’une jolie fille de 19 ans pouvait me montrer au beau milieu de la nuit ? Elle est venue et elle m’a dit : « voilà je sais que tu chantes aussi et que tu as fait des disques, aussi je voulais te montrer un truc pour que tu me dises ce que tu en penses ? » Et elle se met à chanter une chanson complète, en anglais et a capella. J’étais sur le cul. À la fois j’appréciais son culot et son talent car elle chantait très bien. Voilà pourquoi je l’ai embauché pour faire des chœurs dans l’album « Le Choléra » en 2009 puis pour chanter « N’importe qui » avec moi en 2013. Beaucoup de gens d’ailleurs m’ont avoué aimer cette chanson surtout à cause de sa voix. Merci à elle et une pensée émue pour Maria qui, peut-être, m’attend quelque part pour me raconter d’autres anecdotes sur mes amis chansonniers.
0 notes
Text
『橋からの眺め』アーサー・ミラー作:イヴォ・ヴァン・ホーヴェ演出 (ヨーロッパ劇場オデオン座 - アトリエ・ベルティエ 2017年1月4日 - 2月4日)
Photo by myself オデオン座の別館であるアトリエ・ベルティエは、パリの北西ポルト・ド・クリシーに位置する。現在その周辺には至る所に道路工事のフェンスが立てられ、劇場全体がパリ中心部の賑やかさから隔てられてような感じを与える。 イヴォ・ヴァン・ホーヴェが最初にアーサー・ミラーの『橋からの眺め』を手掛けたのは2014年4月、ロンドンはヤング・ヴィクでのことだった。演出家によれば、この作品の上演を意識したのは『ロッコとその兄弟』の演出のために資料調査をする上でのことだったという。ヴィスコンティの同名映画(邦題『若者のすべて』, 1960)に題材をとる本作は、あるイタリア人兄弟の南から北への「上京」、あるいは「移民」を描いている。一方の『橋からの眺め』はイタリアからアメリカ合衆国への移民を描いており、さらに1958年にヴィスコンティにとってこの戯曲のイタリア上演の演出を1958年に手がけたことが、上述の映画の制作に影響を及ぼしたと考えられている。移民・移住とそれに伴う諸問題という極めて今日的なテーマに取り組んでいるという点で、ヴァン・ホーヴェによる今作の上演、あるいは再演には意義がある。 演出家自身のインタビューはこちら:
youtube
『橋からの眺め』はミラーの友人であったとある弁護士が、顧客であった港湾労働者に起きた出来事をもとに執筆されたとされる。当初は1幕韻文劇の形式だったが、ブロードウェイのコロネット・シアターでの1955年の初演が不評だったために、ミラーは戯曲を2幕散文劇へと書き換えた。これが1956年10月11日にロンドンはニュー・ウォーター・ゲート・シアター・クラブで、ピーター・ブルックの演出によって改めて初演された。
本作の舞台は1950年代ニューヨーク、ブルックリン橋周辺のイタリア系移民居住区であり、ナレーターとなる弁護士アルフィエリは地区内に事務所を構えている。アルフィエリによって居住者の大半がシシリア移民2世に当たること、そして彼らが多かれ少なかれアメリカの文化・社会に順応していることが語られる。彼らは「妥協」を覚えたのだという。しかし本作の主人公・エディーをはじめ、未だ「妥協」しない者たちもいる。
Photo by Thierry Depagne
エディーは港で働く荷揚げ人で、妻ベアトリスとその姪キャサリンと3人で暮らしている。エディーは幼くして両親を亡くしたキャサリンを引き取り、不自由なく育てることに心血を注いできた。幕開きとともに、キャシーはエディーに就職の話があることを打ち明け、エディーは反対の末にしぶしぶ同���する。その夜、ベアトリスの従兄弟マルコとその弟アドルフォがイタリアから密航者として到着し、エディーは彼らを招き入れる。新たに2人をその家庭に、時が止まり、キャシーがいつまでも小さな女の子でいられた彼らの「人形の家」に招き入れたことで、エディー、ベアトリス、キャサリンの絆、彼ら「家族」の有り方に疑問が呈される。
Photos by Thierry Depagne
けれど時計の針は再び動きはじめ、少女が今や大人の女性になっていたことに、これまでのように無邪気にエディーの腕に飛び込むことが、もはや許されないのだというその事実に、それぞれが向き合うことを迫られる。エディーが変化を拒否する一方で、ベアトリスは彼のキャサリンへの執着を非難する。キャサリンは新たな自由を得て、仕事に恋にと外の世界へ飛び立っていく。エディの苛立ちは誰にも理解されず、弁護士アルフィエリにもその正当性を否定される。遂に自ら解決しようと彼が決意したとき、物語は避けようのない悲劇への下降が始まる……。
Photo by Jan Versweyveld (London production)
本演出に際して、イヴォ・ヴァン・ホーヴェとヤン・ヴェルウェヴェルドは上の画像にみられるように、シンプルながらも効果的な演技スペースを作り上げた。短辺に出入り口が一つある長方形の白い舞台は、アクリルボードに支えられて舞台表面からおよそ30cmほどの高さに水平に舞台をぐるりと黒い板に囲まれている。道具類の少ない本演出において、この板が椅子や寝台といった様々な役割を兼ねることとなる。俳優の頭上に見える黒い分厚い壁は、緞帳の役を果たし、下ろされると前述の黒い板の部分に設置して大きなブラックボックスを成す。これは開演前には下ろされており、下の写真のように舞台全体を観客席から覆い隠していた。
Photo by myself また、その詳細を述べることは控えるが本演出では水の使用が鍵となっており、クライマックスで流れる血を表すのに用いられることとなる。ヴァン・ホーヴェの演出における血の表現には、驚きと嫌悪を同時に呼び起こされ、それは先日コメディ・フランセーズにて再演���鑑賞した『レ・ダネ』にも共通する所感であった。
Photo by Thierry Depagne エディを演じたシャルル・ベルランを筆頭に、自閉的な内省と爆発的な怒りの間を揺れ動く俳優陣のパフォーマンスはいずれも目を見張るものであった。アラン・フロマジェは、イタリア生まれアメリカ育ちの弁護士アルフィエリが悲劇の進行とともに追い詰められる様子を見事に演じることで、アルフィエリとエディとの共鳴を示す。キャロリーヌ・プルーストもまた、神経質な眼差しによって物語を破滅へと追い立てる作品全体の影の推進力となっている。ニコラ・アヴィネとポーリーヌ・シュヴィエの恋人同士は、ただ若々しいだけではなく、幼き省察が時に驚くべき速さで深みを増す、その過程を演じてみせた。アランを演じたローラン・パポはエディとアルフィエリと対置された柱であり、彼の怒りと復讐心は、家族への限りない愛情がゆえに一層激しく掻き立てられる。場面転換や時間の経過を示す俳優陣の身体の制御もまた見事なものだった。
緊迫した空気は規則的な太鼓のような音で高められていたが、これは特に第1幕後半の一同の会話のシーンで効果的に用いられていた。この場面でイヴォ・ヴァン・ホーヴェは、セリフの間に独特の「間」を設けることで登場人物たちの過ごす気まずさと、それによる時間の感覚の変化を表現している。また太鼓の使用は能舞台を思い起こさせる。1幕冒頭や、2幕のロドルフォとキャサリンの緊迫した対話の果てに、キャサリンが遂に自らのセクシュアリティの手綱を握る場面で用いられた合唱の使用によっても、能やギリシャ劇の構造が想起される。イヴォ・ヴァン・ホーヴェは上にリンクしたインタビューの中でミラーの戯曲とギリシャ悲劇を次のように語っている:「アーサー・ミラーは現代の最も重要な劇作家の一人だと思っています。彼は現実の社会的、政治的、そして倫理的な問題を、ギリシャ悲劇がそうすることが出来たように、舞台に上げることが出来るのです。彼はその高みにあるのだと、私は考えています。」今のところ演出家自身による能楽への言及は目にしていないので、その所感はあくまで私自身のものであると断っておく。
現在アトリエ・ベルティエで上演されている演出は、ロンドンでの制作を基に昨年同劇場で制作されたフランス���演出の同一キャストによる再演である。
GÉNÉRIQUE :
traduction française Daniel Loayza dramaturgie Bart van den Eynde décor, lumière Jan Versweyveld costumes An D’Huys son Tom Gibbons collaborateurs artistiques à la mise en scène Jeff James, Vincent Huguet
avec
Nicolas Avinée Rodolpho Charles Berling Eddie Pierre Berriau Louis Frédéric Borie Le policier Pauline Cheviller Catherine Alain Fromager L’avocat Alfieri Laurent Papot Marco Caroline Proust Béatrice
0 notes