#Lauren Gros
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Showing Up, Kelly Reichardt (2022)
#Kelly Reichardt#Jonathan Raymond#Michelle Williams#Hong Chau#André Benjamin#Lauren Lakis#Jean Luc Boucherot#Heather Lawless#Izabel Mar#James Le Gros#Judd Hirsch#Amanda Plummer#Matt Malloy#John Magaro#Theo Taplitz#Christopher Blauvelt#Ethan Rose#2022#woman director
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A pop-up artists' books and zines display organized by Marshall Korshak. End of Century was a chic boutique that heralded the gentrification of the Lower East Side. In this pop-up, zines are absorbed into the fashion-art scene, just like any other product such as dresses and handbags.
Death of Print, Collection I At End of Century 175 Rivington NY, NY 10002 endofcenturynyc.com facebook.com/deathofprint
April 3, 2011 - June 3, 2011.
Information sharing is in the midst of its greatest transformation since the advent of the printing press.
As the core of the media system shifts towards digital, independents and artists are reacting by creating a new wave of works on paper.Â
This re- found interest is what motivated Death of Print, a platform for artists to sell their independently published artist books, zines, and other printed media.
Collection I will be Death of Printâs first installation. It will be built at the Lower East Side concept store End of Century, an unconventional platform for creatives that is staged as showroom, store, salon, and exhibition space.
The space and its contents are fluid, where everything is impermanent and available for exchange. Featured artists: Weiyi Li, Tuomas Korpijaakko, Stephanie Dodes, Raquel Nave, Rahel Zoller, Rachel Domm, Pierre Le Hors, Mike Geary, Luca Antonucci, Leslie Kulesh, Le Gros Monsieur, Lay Flat, Laurent Champoussin, Lauren Adolfsen, Kipp Edick, Kimm Whiskie, Josh Slater, Jesse Hlebo, Jenny Kroftova, Hailey Loman, Grant Willing, Fryd Frydendahl, Fairchild Fries, Christa Joo Hyun D'Angelo, Carissa Carlson, Andrea Aimi, Alex Hollander, Alex Barry
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Lâinsolente crĂ©ativitĂ© des chantiers / constructions artistiques
Les Chantiers sont une occasion unique de dĂ©couvrir des piĂšces encore en cours de crĂ©ation, de recueillir les commentaires du public, et surtout dâassister Ă un dĂ©bordement de crĂ©ativitĂ©, de sensibilitĂ© et dâintelligence. LâaccĂšs est gratuit (contributions volontaires) et lâon peut y assister jusquâau 5 juin).
On arrive dans la salle du thĂ©Ăątre Premier Acte en sachant que lâon va assister Ă quelque chose de peut-ĂȘtre imparfait, pas tout Ă fait fini, qui se cherche encore un peu. On en ressort avec des Ă©tincelles dans les yeux, devant tant de vivacitĂ©, de talent et lâenvie de revoir bientĂŽt sur scĂšne le rĂ©sultat final. Dâune durĂ©e maximale dâune heure, chaque chantier est suivi dâune pĂ©riode dâexcavation (logique, on est en chantier!), qui peut se faire sous la forme de commentaires Ă©crits, par courriel, ou en jasant directement avec les artistes impliquĂ©.e.s. La crĂ©ation se poursuivra ensuite, et les Ćuvres seront prĂ©sentĂ©es, on lâespĂšre, sur des scĂšnes plus Ă©tablies.
On aurait aimĂ© vous faire une liste de nos coups de cĆur. Mais, Ă la vĂ©ritĂ©, on a tellement tout aimĂ© quâil nâest pas possible de vous faire une sĂ©lection des artistes et piĂšces. La relĂšve de la scĂšne de QuĂ©bec est bourrĂ©e de talent et dâĂ©nergie. Alors on vous parle de tout ce Ă quoi nous avons pu assister depuis le dĂ©but des chantiers.
Modern Struggle â strudel moderne, de Samuel Corbeil
Attention, dĂ©bauche dâĂ©nergie au son du rock et des guitares saturĂ©es. Câest un spectacle de danse oĂč les guitares sont des appendices des corps, câest un show-rock axĂ© autour de captations de shows live. Partition dansĂ©e, lipsynch survoltĂ©, la musique devient aussi lâoccasion dâĂ©changer sur lâamour de la musique et comment cela rĂ©sonne dans nos vie. On en est ressorties avec une furieuse envie de karaoke et de rĂ©Ă©couter Radiohead.
Au Complet, dâElizabeth Baril-Lessard
Notre gros gros coup de cĆur, mĂȘme si oui, on a tout aimĂ©. Des mots mĂȘmes des adolescentes qui nous accompagnaient, cette piĂšce ou lecture (selon la forme finale) devrait ĂȘtre prĂ©sentĂ©e autant aux adolescents quâĂ leurs parents. Deux ados de 13 ans vivent leur premiĂšre expĂ©rience un vendredi soir. Enfin, disons que le french provoque une rĂ©action un peu vive chez Jules. Sâen suit une course folle dans les mĂ©andres de la culture populaire, des mythes sexuels, de Google, des rĂ©seaux sociaux, de lâunivers de lâĂ©cole secondaire, et des agressions sexuelles. Mention spĂ©ciale Ă Â Virginie Vagin, quasi-choryphĂ©e et personnage le plus adulte de la piĂšce, bien que coincĂ©e dans une jeunesse Ă©ternelle. On en est ressorties avec lâidĂ©e que oui, ça va faire, faut vraiment des vrais cours dâĂ©ducation Ă la sexualitĂ© au secondaire.
Amour, Amour, de Gabriel Cloutier Tremblay
Quelque part entre 1984 et la Servante Ă©carlate, la piĂšce revisite le mythe de âlâhomme nouveauâ propre aux sociĂ©tĂ©s totalitaires. Des citoyennes ânon-dĂ©sirablesâ renaissent (jetĂ©es sur la scĂšne dans des sacs-poubelle), sont rĂ©Ă©duquĂ©es, pour se conformer au rĂŽle, docile, que la nouvelle sociĂ©tĂ© attend dâelles. Que lâune dâelles ait de la difficultĂ© Ă trouver la voie quâon lui assigne, et tout dĂ©rape. On a adorĂ© le travail des corps comme moyen dâexpression, et on en est ressortie.s avec lâenvie de flipper des tables et dâimposer le matriarcat Ă tout le monde. Just sayin.
LâEnclos, de Lauren Hartley (lecture)
Normandie â 1997. Un homme en assassine un autre. Une histoire vraie, un fait divers, Ă lire en page 6. Vingt ans plus tard, la petite fille de la victime reconstruit ce qui sâest passĂ©. Jouant sur la polyphonie des voix, les perspectives, la chronologie, le tableau qui se peint sous nos yeux est un hommage Ă la mĂ©moire et Ă la façon dont on (re)construit ses souvenirs tout en voulant protĂ©ger ceux quâon aime. On en est ressorti avec lâidĂ©e que le silence est une solution qui nâa quâun temps.
Hakim à Québec, de Maxime Beauregard-Martin
Autant vous le dire tout de suite: toute la salle braillait Ă la fin de la prĂ©sentation. Hakim Ă QuĂ©bec rĂ©ussit le tour de force dâĂȘtre Ă la fois sensible, posĂ©, Ă©mouvant, drĂŽle, sur un sujet pourtant difficile, celui du racisme systĂ©mique Ă QuĂ©bec. La trame narrative est celle dâun journaliste qui doit Ă©crire un article sur ce thĂšme. PonctuĂ© dâinterludes musicaux (au son du oud et du tambour), les comĂ©diens et non-comĂ©diens nous parlent de ce que câest que dâĂȘtre musulman Ă QuĂ©bec en 2018, que lâon soit arrivĂ© hier, ou avant-hier, ou mĂȘme encore avant⊠Un hymne Ă lâidentitĂ© plurielle, selon les mots dâAmin Maalouf: âCe qui fait que je suis moi-mĂȘme et pas un autre, câest que je suis ainsi Ă la lisiĂšre de deux pays, de deux ou trois langues, de plusieurs traditions culturelles. Câest prĂ©cisĂ©ment cela qui dĂ©finit mon identitĂ©. Serais-je plus authentique si je mâamputais dâune partie de moi-mĂȘme ?â. Comme je vous le disais au dĂ©but, on en est ressorties en finissant notre paquet de kleenex tout en faisant croire que nan nan, câest juste les allergies.
Programme triple de danse
P=UI, chorégraphié par Valérie Pitre
Trois corps dans lâespace, contraints par un poids sur leurs Ă©paules, cherchent une voie vers la redĂ©couverte de leur environnement, de lâautre et dâeux-mĂȘmes. Les trois danseuses, enchevĂȘtrĂ©es dans des cĂąbles ethernet, portent sur elles le poids de la technologie, et de la contrainte quâelle nous impose. Les fils sont une carapace dont on essaie de se dĂ©faire, parfois en sâĂ©loignant les uns des autres, parfois en le portant ensemble. Les danseuses AngĂ©lique Amyot, Claudelle Houde-Labrecques et Lory St-Laurent sont impressionnantes.
Oddychac, chorégraphié et interprété par Julia-Maude Cloutier et Robert Pretorius
Oddychac, ou respirer en polonais, nous amĂšne au coeur du souffle, cette action involontaire que nous faisons tous, et qui, avec un peu de travail, peut aussi nous aider Ă gĂ©rer notre stress, , nos traumas, nos Ă©motions. Une performance fascinante, de deux corps qui respirent lâun contre lâautre, et lâun envers lâautre.
Recherche sur le corps glorieux, par Karine Ledoyen
Le spectacle se crĂ©e sous nos yeux. Quelque part entre lâimprovisation en danse et celle en vidĂ©o, on suit deux danseurs, Jason Martin et Simon Renaud, qui vivent pendant 30 minutes au son des tĂ©moignages de danseurs qui ont quittĂ© la scĂšne. Câest drĂŽle, plein dâimprĂ©vus, et on reste admiratifs devant la force et lâendurance des danseurs.
Il reste encore quelques chantiers auxquels vous pouvez assister, jusquâau 5 juin 2018. LâentrĂ©e est gratuite (contribution volontaire). Ne manquez pas ça!
Pascaline Lamare
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Anjelica Huston
Anjelica Huston n'est pas seulement Morticia Addams et la fille d'un rĂ©alisateur connu. Cette femme est une de nos modĂšles. CrĂ©ative, interchangeante, Ă©motive, battante, elle a toujours incarnĂ© une certaine modernitĂ© et du charisme.â Elle a Ă©crit un livre poignant sur sa vie hors-norme.â
Ses portraits ont suivi le cours du temps comme un hommage aux Ă©poques, aux femmes et Ă la fĂȘte.
Créative, réalisatrice, actrice phenomenale dans les films : L'honneur des Prizzi en 1985 avec Jack Nicholson, Les Arnaqueurs 1990, La Famille Addams 1991, The witches 1990, Crimes et Délits, La Famille Tenenbaum 2001 , La vie auqtique en 2004, à bord du Darjeeling Limited 2007. Elle a reçu des prix prestigieux au cours de sa carriÚre, dont un Oscar pour son rÎle dans L'Honneur des Prizzi.
Images inspirantes et féériques qui suivent le long cours de sa vie devenue icÎne !
Portrait Bob Richardson, Ă droit Warhol Polaroid.
Revue de presse des Inrocks
"De son pĂšre John Huston Ă sa liaison avec Jack Nicholson, de son mĂ©tier de mannequin dans le Swinging London au Hollywood des annĂ©es 70, Anjelica Huston dit tout dans des mĂ©moires doux-amers... Ce qu'il y a assez vite de jubilatoire Ă lire Suivez mon regard, c'est qu'il nous plonge dans le Swinging London et le New York et le Hollywood des annĂ©es 1970, parmi une foule de gens tous plus extravagants et anticonformistes les uns que les autres... Il y a un endroit et un envers dans la vie d'Anjelica Huston, de quoi nous agacer et de quoi nous Ă©mouvoir : un cĂŽtĂ© face oĂč tout arrive avec une facilitĂ© exaspĂ©rante pour cette enfant du sĂ©rail, mais un cĂŽtĂ© pile plus sombre, torturĂ©, comme s'il y avait toujours un prix Ă payer. Sa mĂšre, plus ou moins dĂ©pressive depuis que son mari a fini par la quitter, se tue dans un accident de voiture Ă la fin des annĂ©es 60, alors qu'Anjelica n'a que 18 ans... Reste une vie hors norme, parce qu'elle est nĂ©e du bon cĂŽtĂ© au bon moment - quand Hollywood Ă©tait encore une fĂȘte. "
(Nelly KapriĂšlian - Les Inrocks, mai 2015)
"Je suis nĂ©e Ă 18 h 29, le 8 juillet 1951, au Cedars of Lebanon Hospital Ă Los Angeles. Un beau et gros bĂ©bĂ© de quatre kilos. La nouvelle a aussitĂŽt Ă©tĂ© tĂ©lĂ©graphiĂ©e Ă la poste de Butiaba dans l'ouest de l'Ouganda. Deux jours plus tard, un coureur aux pieds nus arrivait avec le tĂ©lĂ©gramme Ă Murchison Falls : c'Ă©tait autour de cette chute d'eau sur le Nil, au coeur du Congo belge, que se tournait L'OdyssĂ©e de l'«African Queen». Mon pĂšre, John Marcellus Huston, Ă©tait un metteur en scĂšne connu pour son tempĂ©rament audacieux et son goĂ»t de l'aventure. Le projet avait beau passer pour tĂ©mĂ©raire, il avait rĂ©ussi Ă embarquer dans cette pĂ©rilleuse entreprise non seulement Katharine Hepburn, une actrice dans la fleur de l'Ăąge, mais aussi Humphrey Bogart, qui lui-mĂȘme avait fait venir sa femme, la star Lauren Bacall. Ma mĂšre, enceinte de plusieurs mois, avait dĂ» rester Ă Los Angeles avec mon frĂšre Tony, ĂągĂ© d'un an Ă ce moment-lĂ . Quand le messager a tendu le tĂ©lĂ©gramme Ă mon pĂšre, celui-ci y a jetĂ© un rapide coup d'oeil, puis l'a rangĂ© dans sa poche. Katie Hepburn s'est exclamĂ©e : «Pour l'amour du ciel, John, enfin, qu'est-ce que ça dit ?» et Papa a rĂ©pondu : «C'est une fille. Elle s'appelle Anjelica.»
Extrait du livre
Elle sublime les oeuvres des artistes, stylistes de mode et les grands photographes comme ce collier de Calder "The Jealous Husband necklace" . On la retrouve dans les soirées mondaines de New york avec Warhol, les films à la mode et au bras de Jack Nicholson pendant 17 ans. Elle collabore avec Mickael Jackson et Francis Ford Coppola pour un film 3D en 1986 pour Disney "Captain EO" elle est une méchante reine extraterrestre appelée « The Supreme Leader ».
Anjelica Huston par Richard Avedon,1976
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Check out this listing I just added to my Poshmark closet: Lululemon Speed Up Shorts Gros Gingham Plaid Pink grey womens gym sporty yoga 6.
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THE FINAL GIRLS (2015) Grade: C+
Love the idea. The plot structure of the entire film is the best part. The comedy/Jokes fall flat 4 most of the film & drags it down
#The Final Girls#2015#C#Horror Films#Comedy Films#Camp#Fantasy Films#Todd Strauss-Schulson#Taissa Farmiga#Malin Akerman#Alexander Ludwig#Nina Dobrev#Alia Shawkat#Thomas Middleditch#Adam Devine#Angela Trimbur#Chloe Bridges#Tory N. Thompson#Lauren Gros#Daniel Norris#Cory Hart#Film within a Film#Slasher
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ok wait i'm a bit confused..,,,, lauren really gave a big fuck you to any other kinds of witcher lore and characters and is just not very talented but is she a actually bad person? bad meaning racist homophobic ableist etc? i can not find anything good and you always have 12/10 chefs kiss info (sry about my shitty english)
sheâs not done anything racist personally, but in regards to racism iâd like to point out how all of the black actors/characters are treated in twn. they all were relegated to antiblack tropes:
dara was black best friend trope (âa black character whose role either A) revolves almost entirely around a white character or B) serves as a conscious effort for a white character/writer to appear inclusiveâ),Â
queen eithne was magical n*gro trope (sorry thatâs the name for the trope but i donât feel like i should be saying that word) (âin order to show the world that minority characters are not bad people, one will step forward to help a "normal" person, with their pure heart and folksy wisdom.â)
the dryads in general were depicted very stereotypically as somewhat hollywood natives (â typical depictions will show the (usually dark-skinned) natives as unkempt and scantily clad, decorated with tribal face paint and brandishing spears or bowsâ) and iirc some the actresses who played most of them were white (anneke weerts, nĂłra trokĂĄn are listed on imdb as being dryads, and i do not think they are black?) yet they all had dreadlocks... itâs uncomfortably close to blackface. also my question is why did âpeople who live in a large forest and are close to natureâ garner one of the main black actresses involved in twn and the whole cast to have dreadlocks and spears (when dryads never used spears in the books)?
fringilla vigo was just straight up evil and does human sacrifice now for some reason, with no personality but being evil and mean to yennefer, who is played by white-passing anya chalotra. in canon, she wasnât even evil, but they made her a villain for... what reason, exactly?
vea and tea were... okay... âsexy women who donât speak a lick of the common languageâ was already a bad trope introduced by sapkowski, but sapkowski never specified that they were black (theyâre described with blonde hair iirc, i believe they were based upon the ancient steppe peoples), so taking that trope and saying âoh hey, these two are sexy warrior women who donât speak any english, they must be black!â is extremely uncomfortable to me
all the other black actors were relegated to background characters that have extremely few lines and appearances.
racism that isnât antiblackness off the top of my head includes:
they took the depth and emotion out of toruvielâs character, which strikes me as poor treatment of people of color because i believe that natasha culzac, her actress is mixed race (half caribbean).
casting vilgefortz (VILGEFORTZ... the r*pist and main villain of the entire series) as a man of color, and casting very very few men of color in other roles besides this one... like, let me repeat again, VILGEFORTZ...Â
yennefer is constantly shown naked and in pain in scenes that just were not canon at all, they cast yennefer as a woman of color and then made her naked and in pain MORE of the timem
since all of this racist treatment and also tokenization of characters is in twn, and lauren is the showrunner of twn, i believe she should answer for this, trying to appeal to a larger demographic to get more money.
her husband is michael hissrich, who won primetime emmy awards 3 times, which leads to how i believe that lauren got her position out of nepotism
and the two are filthy rich, i mean they listed their house in hollywood for $2 million
tldr sheâs not done anything horrific, but sheâs just another wealthy white woman. sheâs not your ally or my ally, she doesnât care about representation like she pretends to. sheâs a very rich cishet white woman who canât write, and attempts to appeal to more diverse demographics in order to rake in more cash
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Cherub, ou comment s'Ă©clater en se mettant du plomb dans la cervelle
Allez, pour ce deuxiĂšme article livresque, j'avais envie de parler d'une sĂ©rie vachement cool que j'ai dĂ©couverte au salon du livre de Paris, quand j'ai travaillĂ© pour le stand Casterman jeunesse. Il s'agit de Cherub, une saga de 18 tomes Ă©crite par Robert Muchamore. Vu le temps que j'ai passĂ© Ă aligner les dizaines d'exemplaires de chaque tome sur les Ă©tagĂšres du stand, Ă gĂ©rer la foule de jeunes qui se sont prĂ©cipitĂ©s dessus dĂšs que le salon a ouvert, et Ă parcourir les rĂ©sumĂ©s pendant les heures de creux, j'me suis dit que ce serait bien de les lire, quand mĂȘme.
Et j'ai pas regretté !
Moi qui d'habitude ne suis pas trĂšs portĂ©e sur les sĂ©ries Ă rallonge qui ne finissent jamais (les Chevaliers d'Ămeraude, non. Nein. Niet. MĂȘme pas j'en parle.), j'avoue que j'ai Ă©tĂ© conquise. Cherub, c'est l'histoire d'un organisme britannique ultra-secret qui emploie des jeunes de 10 Ă 17 ans comme espions pour dĂ©manteler des organisations frauduleuses, illĂ©gales, terroristes, etc. Bon dĂ©jĂ , la trame, elle a de quoi pĂ©ter quelques pattes Ă un canard, tu racontes ça Ă un gosse de 10-12 ans, il va se jeter sur le bouquin. Des agents secrets surentraĂźnĂ©s qui savent se battre comme Jackie Chan, waouh, c'est la fĂȘte du slip tous les soirs dans son lit ! Et ce qu'il y a de bien avec Cherub, c'est que la sĂ©rie a ses personnages principaux, qu'on va suivre d'un tome Ă l'autre. Le personnage central, James Adams, par qui on dĂ©couvre l'univers de Cherub et qu'on retrouve Ă chaque tome ou presque, et tous ses potes agents : Kerry, Kyle, Bruce, Lauren, Bethany, etc. De nouveaux personnages viennent se greffer Ă la sĂ©rie au fil des tomes, mais la trame gĂ©nĂ©rale reste toujours centrĂ©e sur eux, permettant Ă l'auteur de vraiment construire ses personnages en profondeur.
Cherub, c'est aussi une sĂ©rie qui se distingue des autres par le fait qu'elle mĂȘle des intrigues indĂ©pendantes les unes des autres et une trame de fond qui Ă©volue (je veux dire par lĂ que, contrairement Ă des sĂ©ries comme Grand Galop (ouais jâai eu ma pĂ©riode cheval ya quoi) que tu peux lire sĂ©parĂ©ment parce qu'il n'y a pas d'Ă©volution d'un tome Ă l'autre, Cherub a une intrigue Ă deux niveaux : la mission, qui ne concerne que le tome en cours (et encore, pas toujours, des fois il y a des liens entre deux missions) et la vie quotidienne des agents d'autre part, qui s'Ă©tale sur toute la sĂ©rie. Donc si tu commence par lire le tome 10 sans avoir lu les prĂ©cĂ©dents, tu vas pas comprendre pourquoi Kerry met une baffe Ă James sans prĂ©venir (CECI EST UN EXEMPLE RANDOM ET NON UN SPOIL). Je trouve ce concept super intĂ©ressant, parce que l'Ă©volution des personnages attĂ©nue un peu (mais pas totalement) le sentiment du pfou-c'est-toujours-la-mĂȘme-chose-cette-sĂ©rie-t'as-lu-un-tome-t'as-tout-lu. On voit les personnages grandir, perdre progressivement leurs prĂ©occupations d'enfants pour se glisser peu Ă peu dans la peau des adultes, et l'auteur fait ça avec une grande finesse. Ils dĂ©couvrent l'amour, l'amitiĂ©, la sexualitĂ©, font des conneries, endossent des responsabilitĂ©s et commencent Ă penser Ă leur avenir. Le James Adams du tome 12 n'a plus grand-chose Ă voir avec le sale petit con qui se traĂźnait en maillot d'Arsenal toute la journĂ©e (ceci nâĂ©tait quâun demi-spoil).
Il en va de mĂȘme pour les missions des agents : les premiers tomes abordent des sujets assez classiques, trĂšs manichĂ©ens, faciles Ă aborder pour des jeunes enfants. Le gros mĂ©chant se fait pincer grĂące aux petits agents, tout est bien qui finit bien. Mais au fil de la sĂ©rie, les thĂšmes se corsent, l'action devient plus violente et rĂ©aliste, le lecteur prend peu Ă peu conscience que rien n'est tout blanc ni tout noir dans le monde, et ça l'amĂšne Ă rĂ©flĂ©chir sur des sujets sensibles comme le terrorisme, le trafic d'armes, la prostitution, la drogue⊠C'est Ă la fois le grand atout de cette sĂ©rie et son dĂ©faut : un enfant qui a dĂ©couvert Cherub Ă ses dĂ©buts et qui attend donc entre trois mois et un an entre chaque tome a le temps de grandir en mĂȘme temps que ses personnages fĂ©tiches, acquĂ©rir la maturitĂ© qui lui permet d'aborder des thĂšmes de plus en plus controversĂ©s, s'intĂ©resser aux grosses polĂ©miques de ce monde, devenir un petit gĂ©nie en culture gĂ© et se la pĂ©ter en sociĂ©tĂ©. Par contre si on prend un gros lecteur de dix ans qui s'envoie 13 tomes d'un coup en six mois, il va avoir du mal avec les derniers, qui parlent quand mĂȘme de sexualitĂ©, de drogue, de violence et de terrorisme. Sans compter les scĂšnes un peu gores. Raison pour laquelle nous avons eu des mamans indignĂ©es qui sont venues nous dire « nan mais vous ĂȘtes fous de publier ça pour des enfants, c'est super violent comme sĂ©rie, moi je veux pas que mon gosse lise des trucs pareils ! », ce que je peux tout Ă fait comprendre (mĂȘme si j'rĂąle un peu pour le principe parce que j'adore cette sĂ©rie, et pis zut, t'as qu'Ă pas lui faire lire n'importe quoi Ă ton gamin, attends qu'il ait 12-13 ans pour lui faire commencer Cherub aussi, banane).
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MANK part en tĂȘte dâune course aux Oscars bien bizarre
Je me suis rĂ©veillĂ© tantĂŽt, j'ai parti la cafetiĂšre, puis en checkant Twitter, je me suis dit: "Ah oui, c'est vrai, les nominations des Oscars ont Ă©tĂ© dĂ©voilĂ©es."Â
 Câest la premiĂšre annĂ©e depuis une Ă©ternitĂ© oĂč je ne suis pas au poste au moment oĂč les nominations des Oscars sont annoncĂ©es. Je lâai dĂ©jĂ dit, mais je suis assez dĂ©sinteressĂ© cette annĂ©e par cette course aux remises de prix oĂč sont honorĂ©s des films que presque personne nâa pu voir sur grand Ă©cran, pandĂ©mie oblige.Â
Oui, il y a dâexcellents films en lice, comme Nomadland, Sound of Metal et Promising Young Woman. Il y en a aussi que je vais essayer de voir prochainement, Minari notamment. Mais je nâai pas lâimpression quâil y ait de gros titres qui ont enflammĂ© la planĂšte cinĂ©ma comme par exemple Parasite, Once Upon a Time... in Hollywood ou mĂȘme le divisif Joker lâan dernier.
Jâai vu Mank de David Fincher sur Netflix, jâai trouvĂ© ça correct, mais câest loin dâĂȘtre un film marquant pour moi. Je reviens quand mĂȘme sur Nomadland, un de mes prĂ©fĂ©rĂ©s de 2020 (mĂȘme sâil ne sortira techniquement pas en salle au QuĂ©bec avant avril 2021) - ce sera un bon moment de voir ChloĂ© Zhao probablement remporter lâOscar de la Meilleure rĂ©alisation. Il y a plein dâactrices et dâacteurs talentueux qui sont en nomination. Je serais content que Trent Reznor & Atticus Ross soient rĂ©compensĂ©s pour la musique de Soul. Je trouve ça plate que TENET de Christopher Nolan ait presque Ă©tĂ© complĂštement ignorĂ©.
Mais dans lâensemble, je suis assez indiffĂ©rent face Ă tout ça. Je vais sĂ»rement regarder le gala quand mĂȘme, en espĂ©rant que ce ne soit pas un dĂ©sastre avec des fenĂȘtres Zoom comme les Golden Globes...
Best motion picture of the year
âThe Fatherâ David Parfitt, Jean-Louis Livi and Philippe Carcassonne, Producers
âJudas and the Black Messiahâ Shaka King, Charles D. King and Ryan Coogler, Producers
âMankâ CeĂĄn Chaffin, Eric Roth and Douglas Urbanski, Producers
âMinariâ Christina Oh, Producer
âNomadlandâ Frances McDormand, Peter Spears, Mollye Asher, Dan Janvey and ChloĂ© Zhao, Producers
âPromising Young Womanâ Ben Browning, Ashley Fox, Emerald Fennell and Josey McNamara, Producers
âSound of Metalâ Bert Hamelinck and Sacha Ben Harroche, Producers
âThe Trial of the Chicago 7â Marc Platt and Stuart Besser, Producers
Achievement in directing
âAnother Roundâ Thomas Vinterberg
âMankâ David Fincher
âMinariâ Lee Isaac Chung
âNomadlandâ ChloĂ© Zhao
âPromising Young Womanâ Emerald Fennell
Performance by an actor in a leading role
Riz Ahmed in âSound of Metalâ
Chadwick Boseman in âMa Raineyâs Black Bottomâ
Anthony Hopkins in âThe Fatherâ
Gary Oldman in âMankâ
Steven Yeun in âMinariâ
Performance by an actor in a supporting role
Sacha Baron Cohen in âThe Trial of the Chicago 7â
Daniel Kaluuya in âJudas and the Black Messiahâ
Leslie Odom, Jr. in âOne Night in MiamiâŠâ
Paul Raci in âSound of Metalâ
Lakeith Stanfield in âJudas and the Black Messiahâ
Performance by an actress in a leading role
Viola Davis in âMa Raineyâs Black Bottomâ
Andra Day in âThe United States vs. Billie Holidayâ
Vanessa Kirby in âPieces of a Womanâ
Frances McDormand in âNomadlandâ
Carey Mulligan in âPromising Young Womanâ
Performance by an actress in a supporting role
Maria Bakalova in âBorat Subsequent Moviefilm: Delivery of Prodigious Bribe to American Regime for Make Benefit Once Glorious Nation of Kazakhstanâ
Glenn Close in âHillbilly Elegyâ
Olivia Colman in âThe Fatherâ
Amanda Seyfried in âMankâ
Yuh-Jung Youn in âMinariâ
Adapted screenplay
âBorat Subsequent Moviefilm: Delivery of Prodigious Bribe to American Regime for Make Benefit Once Glorious Nation of Kazakhstanâ Screenplay by Sacha Baron Cohen & Anthony Hines & Dan Swimer & Peter Baynham & Erica Rivinoja & Dan Mazer & Jena Friedman & Lee Kern; Story by Sacha Baron Cohen & Anthony Hines & Dan Swimer & Nina Pedrad
âThe Fatherâ Screenplay by Christopher Hampton and Florian Zeller
âNomadlandâ Written for the screen by ChloĂ© Zhao
âOne Night in MiamiâŠâ Screenplay by Kemp Powers
âThe White Tigersâ Written for the screen by Ramin Bahrani
Original screenplay
âJudas and the Black Messiahâ Screenplay by Will Berson & Shaka King; Story by Will Berson & Shaka King and Kenny Lucas & Keith Lucas
âMinariâ Written by Lee Isaac Chung
âPromising Young Womanâ Written by Emerald Fennell
âSound of Metalâ Screenplay by Darius Marder & Abraham Marder; Story by Darius Marder & Derek Cianfrance
âThe Trial of the Chicago 7â Written by Aaron Sorkin
Best international feature film of the year
âAnother Roundâ Denmark
âBetter Daysâ Hong Kong
âCollectiveâ Romania
âThe Man Who Sold His Skinâ Tunisia
âQuo Vadis, Aida?â Bosnia and Herzegovina
Best animated feature film of the year
âOnwardâ Dan Scanlon and Kori Rae
âOver the Moonâ Glen Keane, Gennie Rim and Peilin Chou
âA Shaun the Sheep Movie: Farmageddonâ Richard Phelan, Will Becher and Paul Kewley
âSoulâ Pete Docter and Dana Murray
âWolfwalkersâ Tomm Moore, Ross Stewart, Paul Young and StĂ©phan Roelants
Best documentary feature
âCollectiveâ Alexander Nanau and Bianca Oana
âCrip Campâ Nicole Newnham, Jim LeBrecht and Sara Bolder
âThe Mole Agentâ Maite Alberdi and Marcela Santibåñez
âMy Octopus Teacherâ Pippa Ehrlich, James Reed and Craig Foster
âTimeâ Garrett Bradley, Lauren Domino and Kellen Quinn
Achievement in cinematography
âJudas and the Black Messiahâ Sean Bobbitt
âMankâ Erik Messerschmidt
âNews of the Worldâ Dariusz Wolski
âNomadlandâ Joshua James Richards
âThe Trial of the Chicago 7â Phedon Papamichael
Achievement in film editing
âThe Fatherâ Yorgos Lamprinos
âNomadlandâ ChloĂ© Zhao
âPromising Young Womanâ FrĂ©dĂ©ric Thoraval
âSound of Metalâ Mikkel E. G. Nielsen
âThe Trial of the Chicago 7â Alan Baumgarten
Achievement in music written for motion pictures (Original score)
âDa 5 Bloodsâ Terence Blanchard
âMankâ Trent Reznor and Atticus Ross
âMinariâ Emile Mosseri
âNews of the Worldâ James Newton Howard
âSoulâ Trent Reznor, Atticus Ross and Jon Batiste
Achievement in production design
âThe Fatherâ Production Design: Peter Francis; Set Decoration: Cathy Featherstone
âMa Raineyâs Black Bottomâ Production Design: Mark Ricker; Set Decoration: Karen OâHara and Diana Stoughton
âMankâ Production Design: Donald Graham Burt; Set Decoration: Jan Pascale
âNews of the Worldâ Production Design: David Crank; Set Decoration: Elizabeth Keenan
âTenetâ Production Design: Nathan Crowley; Set Decoration: Kathy Lucas
Achievement in costume design
âEmmaâ Alexandra Byrne
âMa Raineyâs Black Bottomâ Ann Roth
âMankâ Trish Summerville
âMulanâ Bina Daigeler
âPinocchioâ Massimo Cantini Parrini
Achievement in sound
âGreyhoundâ Warren Shaw, Michael Minkler, Beau Borders and David Wyman
âMankâ Ren Klyce, Jeremy Molod, David Parker, Nathan Nance and Drew Kunin
âNews of the Worldâ Oliver Tarney, Mike Prestwood Smith, William Miller and John Pritchett
âSoulâ Ren Klyce, Coya Elliott and David Parker
âSound of Metalâ Nicolas Becker, Jaime Baksht, Michelle Couttolenc, Carlos CortĂ©s and Phillip Bladh
Achievement in makeup and hairstyling
âEmmaâ Marese Langan, Laura Allen and Claudia Stolze
âHillbilly Elegyâ Eryn Krueger Mekash, Matthew Mungle and Patricia Dehaney
âMa Raineyâs Black Bottomâ Sergio Lopez-Rivera, Mia Neal and Jamika Wilson
âMankâ Gigi Williams, Kimberley Spiteri and Colleen LaBaff
âPinocchioâ Mark Coulier, Dalia Colli and Francesco Pegoretti
Achievement in visual effects
âLove and Monstersâ Matt Sloan, Genevieve Camilleri, Matt Everitt and Brian Cox
âThe Midnight Skyâ Matthew Kasmir, Christopher Lawrence, Max Solomon and David Watkins
âMulanâ Sean Faden, Anders Langlands, Seth Maury and Steve Ingram
âThe One and Only Ivanâ Nick Davis, Greg Fisher, Ben Jones and Santiago Colomo Martinez
âTenetâ Andrew Jackson, David Lee, Andrew Lockley and Scott Fisher
Best documentary short film
âColetteâ Anthony Giacchino and Alice Doyard
âA Concerto Is a Conversationâ Ben Proudfoot and Kris Bowers
âDo Not Splitâ Anders Hammer and Charlotte Cook
âHunger Wardâ Skye Fitzgerald and Michael Scheuerman
âA Love Song for Latashaâ Sophia Nahli Allison and Janice Duncan
Best animated short film
âBurrowâ Madeline Sharafian and Michael Capbarat
âGenius Lociâ Adrien MĂ©rigeau and Amaury Ovise
âIf Anything Happens I Love Youâ Will McCormack and Michael Govier
âOperaâ Erick Oh
âYes-Peopleâ GĂsli Darri HalldĂłrsson and Arnar Gunnarsson
Best live action short film
âFeeling Throughâ Doug Roland and Susan Ruzenski
âThe Letter Roomâ Elvira Lind and Sofia Sondervan
âThe Presentâ Farah Nabulsi
âTwo Distant Strangersâ Travon Free and Martin Desmond Roe
âWhite Eyeâ Tomer Shushan and Shira Hochman
Achievement in music written for motion pictures (Original song)
âFight For Youâ from ïżœïżœJudas and the Black Messiahâ Music by H.E.R. and Dernst Emile II; Lyric by H.E.R. and Tiara Thomas
âHear My Voiceâ from âThe Trial of the Chicago 7â Music by Daniel Pemberton; Lyric by Daniel Pemberton and Celeste Waite
âHusavikâ from âEurovision Song Contest: The Story of Fire Sagaâ Music and Lyric by Savan Kotecha, Fat Max Gsus and Rickard Göransson
âIo SĂŹ (Seen)â from âThe Life Ahead (La Vita Davanti a Se)â Music by Diane Warren; Lyric by Diane Warren and Laura Pausini
âSpeak Nowâ from âOne Night in MiamiâŠâ Music and Lyric by Leslie Odom, Jr. and Sam Ashworth
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je chope son num mais en fait il habite Ă 500 mĂštres d'ici alors j'y vais
il y a un gros tas de bois devant chez lui, mec seul derriĂšre un arbuste
on parle
il a des yeux exorbités, il fait un peu peur, il me dit qu'il a 77 ans
on parle du bois, il adore ça, il entretient les forĂȘts autour notamment celle du Baron, comme il dit, le Baron de Linards
j'imagine un type avec un monocle et un polo Ralph Lauren troué
je lui dis que je veux du bois mais je me sens pas de lui mettre plus de boulot sur le dos
50 euros le stĂšre
je répÚte
50 euros la stĂšre ?
il me reprend : le stĂšre, pas la stĂšre
je me dis que quand on sait pas vaut mieux pas utiliser le déterminant
il me dit que c'est OK, on est voisin
je lui redemande, il me redit qu'il est OK, que j'ai de la chance parce qu'il a ça en stock
il me dit qu'il fait ça pour le plaisir et qu'il aimerait ĂȘtre enterrĂ© avec sa tronçonneuse
sur le retour je calcule ce qu'il gagne en faisant ça
je multiplie le nombre de stĂšres qu'il coupe par saison par le prix unitaire du stĂšre sachant que
le stĂšre de chĂȘne vaut 55 euros et que le mix ormes, chĂȘne, et je ne sais plus quoi, 50 euros
et c'est vraiment rien du tout
je me demande aussi si quelqu'un connaßt sa derniÚre volonté
à partir de ce jour-là le printemps et l'été sont ponctués de ses allers-retours avec sa vieille Peugeot verte décolorée et sa remorque pleine de bois
parfois il klaxonne en passant devant
quand il me livre, il lance les bûches par terre
un jour il me parle de ces problÚmes de santé
un jour il me dit qu'il a dû faire un séjour à l'hÎpital, rien de grave
et un jour il ne passe plus alors je passe chez lui et c'est fermé
l'herbe tondue rase commence à pousser au-delà de ce qui aurait été raisonnable pour lui
un jour je vois sa maison Ă vendre sur Le Bon Coin
je ne connais mĂȘme pas son nom
son numéro de téléphone est accompagné du seul mot BOIS, demeuré inchangé depuis le temps
je me demande si sous la terre, avec lui dans son cercueil
il y a sa tronçonneuse préférée
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âLa vie conne et fine de Gustave F.â [Ă©pisode 54]
[Lire les Ă©pisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53] Jour 54 : Rodolphe ou lâavenir. Rodolphe, lâancien camarade du PĂŽle Emploi que dĂ©pannait Ă lâoccasion Gustave, reconverti depuis dans le conseil immobilier de standingue, Rodolphe demeurait toujours en son coquet domaine des environs de Paris. Arbres luxuriants, oiseaux frĂ©nĂ©tiques. Il fallait aimer la campagne. Il lâaimait. Elle Ă©tait belle, elle Ă©tait riche, elle Ă©tait parcourue de petites routes sympas, dâenvironnements calmes et verdoyants, de situations privilĂ©giĂ©es, dâĂ©crins de verdure, de vues exceptionnelles, dâattractivitĂ© Ă©conomique, de piscines sĂ©curisĂ©es, de portails automatiques, de murets authentiques, de pierres du pays, de terrains arborĂ©s, de spacieuses dĂ©pendances, parsemĂ©e de biens immobiliers qui devaient rapporter un prestige facile et pas mal de thune. Cependant toute cette beautĂ© nâĂ©tait pas son terrain, ça le rendait maussade, lâherbe Ă©tait verte, ok, mais pas tellement pour sa pomme. Les quelques sorties pour effectuer des achats de premiĂšre nĂ©cessitĂ© nâĂ©taient guĂšre folichonnes et les Ă©tablissements autorisĂ©s pas bien affriolants non plus ; la liste sur Gouvernement.fr ne connaissait pas dâĂ©volution notable. Toutes les adresses un peu intĂ©ressantes quâil avait dĂ©gottĂ©es restaient fermĂ©es. Le « donjon » de MaĂźtresse LĂ©a par exemple, installĂ© sous les toits dâardoise au cĆur de la vieille ville de T⊠Ou le club « Cupidon » que renfermait trĂšs librement un ancien moulin du XVIIIe dans la pĂ©riphĂ©rie boisĂ©e de S⊠Sur la terrasse, le vieux Flaubert en poche Ă©tait ouvert sur un tabouret prĂšs du transat, entre un double pastis bien frigorifiĂ© et un paquet de Tuc au romarin. Parce quâil nâavait rien Ă penser dâimportant, et parce quâil se voyait beau dans cette pose, Rodolphe en lisait des pages au hasard, les doigts pleins de sel, lâĆil un peu vague derriĂšre les sunglasses. La Luxure. Pourquoi donc, comme un autre homme, ne prendrais-tu pas une compagne ? LâAvarice. Une matrone soigneuse, qui mĂ©nagerait ton bien, qui rendrait propre ta maison ; lâargenterie serait claire, les buffets luisants. La Gourmandise. Dans des plats creux quâon tient par des anneaux elle tâapporterait des tranches de viandes fumant au milieu dâune sauce Ă©paisse. La Luxure. Elle serait Ă toi, Ă toi seul ; toujours vĂȘtue pour les autres, elle se dĂ©shabillerait pour toi seul, vous ne craindriez personne... et tous les jours comme ça... dans votre petit lit. ⊠LâAvarice. Oh ! Quelles insomnies ! Quels rĂȘves ! Je ne mange pas, je ne bois pas, je ne dors plus, je trafique, je dĂ©robe, jâassassine, et si quelquâun veut de mon sang, quâil lâachĂšte ! Jâai retirĂ© du trou mon argent, je lâai cachĂ© dans mon matelas ; comme jâavais peur, je lâai mis dans ma poche ; comme ma poche nâĂ©tait pas sĂ»re, je lâai placĂ© dans mon linge, je le sens lĂ qui me touche la peau ; je voudrais lây coudre, le faire entrer dans ma chair, lâencoffrer dans mon cĆur, ĂȘtre argent moi-mĂȘme ! Multiple comme lâaction, je voudrais vivre en tout pour rapporter de chaque chose quelque chose. Que nâai-je des facultĂ©s aspiratoires, afin de pomper Ă moi la substance et dâextraire de lâabsolu mĂȘme une valeur numĂ©rique ! Et ainsi de suite. Rodolphe nây comprenait pas grand-chose, mais ça lâimpressionnait quand mĂȘme. Et puis ça remontait le moral de voir que lui, comparĂ© à ça, il ne sâen sortait pas si mal cĂŽtĂ© placements et plans dâĂ©pargne. Il nâavait pas repris ses voyages Ă Paris pour les nĂ©go immobiliĂšres, mais, passĂ© les deux derniĂšres ventes du mois de mars, le patron de lâagence avait commencĂ© Ă sâimpatienter et mis Ă disposition de chacun de ses gagneurs de formidables joujoux pouvant transformer nâimporte quel espace en un jumeau digital stupĂ©fiant et immersif ; rien de tel pour de superbes visites virtuelles Ă 360°. Bien sĂ»r, ce nâĂ©tait plus comme en janvier ou fĂ©vrier, quand 2020 sâannonçait comme lâannĂ©e de tous les records : des appartements qui se bazardaient en une heure ! des fous furieux qui prenaient dâassaut le standard dĂšs la mise en ligne dâune annonce ! des notaires Ă genoux de fatigue tellement les gens achetaient, vendaient, hypothĂ©quaient, levaient des clauses suspensives !... LĂ , câĂ©tait plutĂŽt le calme plat, mais Rodolphe ne craignait pas trop « lâaprĂšs-11 mai », comme on disait dĂ©sormais. Le credo restait exactement le mĂȘme quâavant : Paris Ă©tait toujours une des villes les plus chĂšres du monde, mais prĂ©sentait encore de belles marges de progression sur le plan international. CâĂ©tait jouissif⊠Au PanthĂ©on, on se logeait Ă peine pour des vingt mille euros le mĂštre carrĂ©Â ! et la patronne de Paris, sainte GeneviĂšve, depuis sa montagne, ferait le nĂ©cessaire pour que dâautres arrondissements suivent lâexemple â les grands hommes lui en seraient reconnaissants. En tout cas les plus gros dâentre eux⊠Il y avait bien sĂ»r un risque de casse pour les petites agences de quartier et les indĂ©pendants. Tant mieux ! Car pour Rodolphe et son immobilier de classe amĂ©ricaine, pas de crainte Ă avoir ! et on rĂ©cupĂ©rerait les dossiers dans le moyenne gamme pour se remettre vraiment en selle. Dâailleurs, les internationaux finiraient par revenir, et puis il y avait encore assez de Français pour se jeter sur les valeurs refuges, des qui payaient comptant ou qui empruntaient Ă des banques volant aux pauvres pour prĂȘter aux riches⊠Ce qui chagrinait plus Rodolphe, câĂ©tait le manque de proximitĂ© avec la clientĂšle. Evelyne sâĂ©tait cantonnĂ©e en Irlande. Il avait reçu aussi un mot de la femme du chirurgien de province qui venait rĂ©guliĂšrement acheter des studios et des chambres de bonne de rapport : elle monterait Ă Paris dĂšs la mi-mai, mais son message dĂ©notait une froideur nouvelle : elle voulait sâassurer quâon avait « Ă©laborĂ© un protocole rigoureux ». Du reste, câĂ©tait le cas ; le boss avait dit : le client ne fout pas un arpion Ă lâagence ! Rendez-vous Ă lâadresse. Visite avec masque, gants, tout le bastringue  ! En fin de visite, vous me rĂ©curez les poignĂ©es de portes Ă la javel , et vous serrez pas les paluches. â Ah ! les oaristys ! les premiĂšres maĂźtresses ! Ah les culbutes avec des femmes du monde ou de riches hĂ©ritiĂšres dans un placard Ă balai, câĂ©tait Ă lâeau tout ça, Ă lâeau⊠Rodolphe en reversa justement de la plus fraĂźche dans son pastis. Il porta le glass Ă son front, puis Ă ses lĂšvres, claquant de la langue, il ouvrit un peu mieux le col de sa liquette Ralph Lauren, allongea les guiboles, repartit dans Flaubert. Elle serait Ă toi, Ă toi seul ; toujours vĂȘtue pour les autres, elle se dĂ©shabillerait pour toi seul, vous ne craindriez personne... et tous les jours comme ça... dans votre petit lit⊠Tous les jours ? petit lit ? Il se dit que ce nâĂ©tait pas Ă cette sauce que lui envisagerait de sitĂŽt les choses. (Ă suivre).
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Oh no you can have blankets obviously that's what people used to do but it's better with a gro bag. Its perfectly safe with a blanket if tucked in properly but this is Lauren we're talking about and even that screenshot said about suffocation.
you probably can have blankets but youâre not meant to, and if her baby isnât in a sleeping bag then theyâll be able to have full movement and would easily be able to manoeuvre themselves to wrap the blanket around their head, she baffles me man x
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Bonjour monsieur Dirnelli, Que pensez-vous des lookbooks Drakes oĂč tout le monde porte des chaussures en veau velours et semelle crĂȘpe ?
Je ne suis pas fan. Ils se font un gros dĂ©lire Ivy revisitĂ© Ă la japonaise (cf. le livrĂ© japonais ÂŽTake Ivy). Franchement, qui veut sâhabiller comme ça des pieds Ă la tĂȘte. Câest comme les lookbooks Ralph Lauren, ça claque sur papier glacĂ© mais ça fait cosplay dans la vie de tous les jours. La rĂ©alitĂ© de tout cet univers iconographique câest que chaque piĂšce prise individuellement vaut certainement le coup dâĂȘtre possedĂ©, mais la marque doit en montrer le plus possible dans chaque photo, donc on se retrouve avec un effetïżŒïżŒ too much, qui frĂŽle la caricature. MĂȘme dans les Prep School et les universitĂ©s Ivy amĂ©ricaine, dans lesquels jâai personnellement Ă©tudiĂ©, il est extrĂȘmement rare de voir des Ă©tudiants habillĂ©s comme on voit dans ce genre de photoïżŒïżŒ. Inversement, on voit Ă©normĂ©ment dâĂ©tudiants qui ont sur eux un ou deux Ă©lĂ©ments de la panoplie Ivy, et câest trĂšs plaisant Ă lâintĂ©rieur dâun ensembleïżŒ. Donc pour se rĂ©sumer: total look non, mais une ou deux piĂšces pour complĂ©ter une tenue, assurĂ©mentïżŒïżŒ.
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X-Factor: Staged "reality"........
I have been planning this post, for a while now, but I have had a sudden influx of question, about X-Factor, so I thought I better get the lead out of my ass, and get it up. Most want to know, If I know how it works, and if I can try to explain the whole process, in a way everyone can understand. I'll give it my best shot.
I have discussed some of this before, in a post, a while ago, but I'll go more in depth, with this one. This information, is readily available, on the internet. All one has to do, is search for it.
The truth is, these damn glorified televised talent shows, are a fraud, disguised as a last resort, to chase your dream. Do they actually find and discover talented people? Yes, they do...but not necessarily the way they portray it. It's a huge ploy, to get talent THEY can manipulate, control, and make money off of.
The X-Factor (and the others) is, for the most part, scripted and rigged. They are certainly NOT what they show us, on the TV screen. It is a lot more of a tedious, in depth, process, than what is put to the public. The actual audition process, is nothing like what we are shown. The contestants, have to want this pretty bad, to actually go through all the shit they have to go through.
The first lie, is that all the contestants just show up, on audition day, to follow their dreams. That's total bullshit. These shows, including X-Factor, employ talent scouts, to scour the country, for contestants, with talent. They look to YouTube, Facebook, Instagram, and other SM sights. They will call local talent agencies/agents and scouts, to see if they have anyone that might be interested, in doing the show.
Once the scouts find the talent, a producer, for the show, will contact them, and ask if they would be interested in auditioning for the TV show. If they really want you to participate, they will throw in incentives, like skipping some of the steps, in the audition process.
Those who weren't scouted and called, will sign up to audition, online. To sign up online, you give some basic information, about yourself, and a short video of you singing. If they think you fit, for the show, they will send you an E-Mail, telling you you have been invited to audition, and told when and where to show up, and what you should bring with you, to the audition.
There are actually four stages, to the audition process. The audience only gets to see one of them, and thatâs the last one, otherwise known as the live audition, for the celebrity judges.
The first three stages, of the audition process, isn't televised. These three phases, are really called "producer auditions" but they are eloquently dubbed, "the cattle call". You heard Lauren mention this term, in one of her latest podcasts she was on. These three auditions take place months in advance of what we see on TV. In fact, all the girls, except Ally, were still, just turned, or about to turn 15 years old, during the first audition phase.
The cattle call is, usually, a three day event. The first thing you have to do, is register so they will know how many are there, and who is there. If you are under the age of 18, you MUST have a parent, or legal guardian, with you. (BTW you usually register, the day before the auditions begin). On audition day, you must be prepared to do a shit load of waiting.
They will tell you, the earlier you get there on audition day, the better. The reason for this, is to get a shit load of people there, at the same time, so they can record footage, of thousands of hopeful contestants, waiting outside the venue, to audition and chase their dream. That is the only part of the "cattle call" we ever see on TV. The recorded footage, of everyone waiting to get into the venue, to audition. And boy, are they disappointed when they actually get into the venue.
The first audition, there is no stage set up, at all. There are no celebrity judges there, at all. On the arena floor, there were 36 tables set up, all separated by black curtains, for partitions.
You sit in the arena seats, and wait for your row, or section, to be called down to the floor. You line up, and they direct you to one of the partitioned tables. When you get into the little partition, you will find ONE producer there waiting to hear you. That producer will ask your name, and what you are going to sing. You will only be allowed to sing, about 15/20 seconds of the song, before they stop you. That one producer, will give you a yes/no. If it's a no, your audition process is over. If it's a yes, you move on to the next round, of producer auditions. These take place on day two, of the audition process.
If you made it to the next round, it's much like the first. The only difference, instead of 36 tables set up, there is half that many, still partitioned with black curtains. Instead of one producer there waiting to hear you, there are two. They will ask your name, and what you are going to sing. They MIGHT ask you a few more questions, depending on the producer's mood. You get to sing about 30/45 seconds of your song, before they stop you. Both producers HAVE to be in agreement, for a yes, if not, it's a no, and your audition process is over. If they both agree on a yes, you are on to round number three.
If you made it to number three, congratulations, you are driven to achieve your dream. Lord knows, you have jumped through hoops, to get this far. Audition three, is different. Here, you are introduced to the interview process. Here, you go into an actual room. In this room, is a table, with 3 or 4 Executive Producers, of the show, and there is a camera set up in there, as well.
These EP's will ask you about  why you want to be on the show, what you hope to achieve from being on the show, and they will start to ask you  more personal questions about your life. They want the juicy stuff, that they can exploit for the show.
If you went through a break-up, great. If you lost a love one recently, that's even better. Have someone going through cancer, or any other life threatening disease, perfect. Have you ever been abused in any way, they start salivating with giddiness. The more trauma for you, the more drama they can exploit, for them.
Once they get the "story", you are allowed to sing your song. If they think your story is good for the show, you are put through to the next round. If you have talent to go with that story, even better, but it's not a requirement. If they don't think your story is something they can exploit, you are done with the audition process.
If the EP's have put you through to the next round, congratulation, they are fixing to exploit the fuck out of you... and you have also made it through to the live round, to sing in front of the celebrity judges. Yea!!! Now. let the real "fun" begin.
If you make it to the fourth and final round, this is when the brevity of the contracts you had to sign, to participate, kicks in. You have to fill out, a lengthy questionnaire, where they really delve into your personal life. You have to go through a background check. You are interviewed by a psychologist, employed by the show, to see if you are mentally capable to go through the bullshit the show actually puts you through. (also to make sure you aren't a threat to the judges, if and when they piss you off, or purposely make you feel like you are worth less than the shit on the bottom of their shoes) This is also when you are required to hand over the passwords to all of your social media accounts. They don't simply want to look at what you have on there, they want unfettered access to your accounts. (can you think of a reason why? I sure can?)
As for Camila and Lauren, the first three phases of their audition, actually took place in late March/early April of 2012. Lauren said, she was contacted three months after her first auditions, to let her know she had made it to the final round. The whole, "I like your shirt" moment. happened months before we were lead to believe. The audition we got to see, actually took place in early July. A three day process, that started on July 9.
With the "live" auditions, nothing happens, as it seems. First of all, the judges don't see thousands of auditions. There is only around 100/150 people, at most, from each audition site, that is chosen for the final round, and a shit load of those, are people who can't sing, or aren't quite good enough for the show. (they have to put some of them through, so they can give the judges their moment to "shine", or act like a total dick)
So, when Simon asks "who lied to you and said you could sing?" The answer is, the shows producers. They give people hope, so the judges can tear them apart, all in the name of drama, for the damn show.
Anyways, a boat load of this phase, is prerecorded, or taped footage. Like, when we see the contestants walk out on the stage, that was recorded earlier and edited in. That's why they tell the contestants to wear the same outfit, all three days of the live auditions.
A shit load of the audience reactions, are prerecorded, and edited in. Like, if they want the audience to chant something, or to react a certain way, they will prerecord all that, to edit it in, where the producers want it, and for which contestants.
They will prerecord all the interviews, and edit them in, where they want them. They will also ask questions, that have been predetermined, to get the most reaction. It's all bullshit. The only damn part that isn't scripted, is the actual audition/singing by the contestants.
Each contestant, is told to be prepared to sing more than one song. They have to be prepared to sing at least 3. So, when Simon asks if they have another song they can sing, he already knows, the answer is yes. That's all for show.
So, yeah, nothing is as it seems, with these damn shows. Let's move on to boot camp. There is one whole round, they didn't televise, at all. That was the "group round". This round, is when they made ALL of the solo contestants, pair up into groups, and sing a song together. This, is so Simon can hear, for himself, which of the solo artists will sound good in a group setting. Why? Because he knew he was going to manufacture a girl group. He just "manufactured" a few other groups, to make it look like he wasn't set on a GG. Like I said before, he KNEW, when he eliminated all five of those young ladies, as solo artists, that he was going to put them in a group together.
Even that scene was recorded multiple times. All you have to do, is watch the footage, and you can tell, that "scene" of him putting them together, was heavily edited, from at least three different scenes. Hell, that's why the show, had so many of the eliminated contestants, waiting in that courtyard. They had to make it look like, the ones who's names were called, got a genuine second chance. All for drama sake. Literally, it's all bullshit, to make the show look like they are really giving these people the best chance to chase their dreams. UGH!!!!!
Even Camila's story has changed. I don't doubt, they told her she was an alternate, just to sell the story, of her determination. But, if you remember, the story used to be; on the third day, they told her there wouldn't be time for her, and that she seen Simon, and went to him, and all but begged for a chance to audition. Recently, when she talked about it, the story changed to; on the second day, they told her not to bother coming back, and that she told them, if there was even a 1% chance of her getting to audition, she would be back. That the producers seen how determined she was, and gave her an audition slot the next day...They told her what to say, about how her audition came about, all to make Simon look better. THEY had control of the narrative. She said what she had to say.
These damn shows, don't need alternates. They tell contestants they are alternates, so they can get a story out of it. That's what they did with Camila, so they could manipulate her, to get a story. They did the same fucking thing, during one of the Britain seasons of X-Factor. Only, with that girl, they actually televised the whole damn thing. They had the girl run out, in the middle of another girls audition, begging for a chance to sing for them. They even went so far as to say "hey, stop her. Stop that girl". Problem is, it was so "spur of the moment" they took the time to mic the girl up first. I can't make this shit up. The video is on YT. I watched it, and instantly thought of Camila's story.
Anyways, moving on. Once the girls were put in a group, it was time to make sure they made it to the finals. I'm not saying Fifth Harmony wouldn't have made it to the finals, on their own merit, because they would have. What I'm saying is, it was time to rig it, to make sure they made it to the final three, and that's it. Making it to the finals, gave Simon and Syco contractual rights, to sign the group, through their signed X-Factor contracts.
I don't know if you have noticed, but the third place finishers, almost always, with a few exceptions, actually go places in the Industry. The winner, rarely if ever, makes it through the first year of their recording contract. It's actually planned that way. People love to vote for an underdog, or a sob story. The winners of the shows, aren't always the most talented, of the final three. They usually have the best story.
The winners, make their money, get the contract. Syco will usually release a couple of singles, maybe a cheap EP, rarely an LP, and then they are shelved, or released. The winners win, because of a dramatized television show. They rarely have what it takes, to actually succeed in the Music Industry.
So, there it is. MY OPINION, on the truth about X-Factor, and other shows like it. Like I said before, all of what I wrote, I researched the hell out of. All of it, was in articles written, or videos that I watched, all available on the internet. You can research it all yourselves, if you would like. It takes a while, but itâs there. I read countless articles and stories from actual contestants. I watched hours upon hours of YT videos, to get all this information. You don't have to take my word for it. You can look into it yourselves, and you will come to the same conclusions I did.
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Set in the future, Logan and Professor Charles Xavier must cope with the loss of the X-Men when a corporation led by Nathaniel Essex is destroying the world
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Logan: Wolverine - 100 %
ZaÄneme tĂm, ĆŸe jsem fanouĆĄek filmovĂ© sĂ©rie X-men. VzpomĂnĂĄm na to, jak mnÄ prvnĂ film pĆed dlouhĂœmi 17 lety nadchl. Po skoro dvaceti letech se celĂœ filmovĂœ svÄt ukonÄil. UĆŸ nebudou ĆŸĂĄdnĂ X-meni a ani Wolwerine, kterĂœ se stal tou neslavnÄjĆĄĂ osobou v celĂ©m filmovĂ©m mutantnĂm vesmĂru.
Po dlouhĂ© dobÄ si hlavnĂ tvĆŻrci dali zĂĄleĆŸet, aby film ĂșplnÄ jinĂœ, neĆŸ veĆĄkerĂ© vĆĄechny pĆedchozĂ. UĆŸ to nenĂ hlavnÄ o sci-fi prvcĂch, ale to soukromĂ© drama o tom, jak hlavnĂ postava postupnÄ umĂrĂĄ a blĂĆŸĂ se jejĂ konec.
Po dlouhĂ©m ĆŸivotÄ, v roce 2029, existuje na Zemi pouze nÄkolik mutantĆŻ a nĂĄs zajĂmĂĄ pĆĂbÄh o dvou neslavnÄjĆĄĂch. Wolverine, kterĂœ uĆŸ mĂĄ za sebou hezkou ĆĂĄdku desĂtek let. StĂĄlĂĄ pĆĂtomnost smrti z nÄj udÄlala  psychickou trosku. DruhĂœ ze slavnĂœch mutantĆŻ je Profesor X, kterĂœ uĆŸ mĂĄ takĂ© tÄsnÄ pĆed smrtĂ. Jeho stĂĄĆĂ z nÄj udÄlalo jeĆĄtÄ vÄtĆĄĂ trosku, nÄĆŸ by se dalo Äekat. Jeho mutace se stala nebezpeÄnou, smrtelnou pro svĂ© okolĂ.
Tyto dva pĆĂrodnĂ poslednĂ mutanti zaĆŸijĂ svojĂ poslednĂ cestu do Edenu. PĆidĂĄ se k nim malĂĄ dĂvka, moĆŸnĂĄ i Wolverinova dcera, u kterĂ© jejĂ schopnosti nejsou vytvoĆenĂ© pĆĂrodnÄ, ale je genetickĂœm experimentem, kterĂ©ho hledĂĄ vlĂĄda a dalĆĄĂ zlĂ lidĂ©. Tato trojice proĆŸije svĆŻj pĆĂbÄh k vykoupenĂ jejich hĆĂchĆŻ a stĂĄĆĂ.
Hugh Jackman svojĂ postavu znĂĄ,  uĆŸ po sedmi dĂlech vĂ, co mĆŻĆŸe od svĂ©ho mutanta oÄekĂĄvat. VĂ, co proĆŸil a dokĂĄĆŸe svĂ©ho pĆestĂĄrlĂ©ho hrdinu, kterĂœ uĆŸ je dost starĂœ na umĆenĂ, zahrĂĄt tak dokonale, jak by to ani nikdo jinĂœ nezahrĂĄl.
Patrick Stewart zase patĆĂ mezi klasickĂ© herce z Anglie, kterĂœ dokĂĄĆŸe zahrĂĄt svĂ©ho Profesora X, jeĆĄtÄ lĂ©pe, neĆŸ by se Äekalo. Na tÄchto dvou hercĂch celĂœ film stojĂ. ZdĂĄrnÄ jim sekunduje mladĂĄ hereÄka Dafne Keen, pro kterou je to filmovĂœ debut. Vzala si od srdce rady od dvou zkuĆĄenĂœch hercĆŻ a svoji malou mutantku hraje srovnatelnÄ, i lĂ©pe,  s herci, kteĆĂ uĆŸ majĂ nÄkolik desĂtek ĂșspÄĆĄnĂœch filmĆŻ za sebou.
Kdo by oÄekĂĄval, ĆŸe druhĂĄ reĆŸie zkuĆĄenĂ©ho reĆŸisĂ©ra James Mangolda s sci-fi filmem bude stejnĂĄ, jako kdyĆŸ se prvnÄ objevil Wolverine v Japonsku, tak je zklamĂĄn. TentokrĂĄt poĆĂĄdnÄ prodiskutoval s herci o Äem by mÄl bĂœt celĂœ film, napsal povĂdku a ve spoleÄnosti s dalĆĄĂmi dvÄma scĂ©nĂĄristy postavil pĆĂbÄh, kterĂœ by se dal povaĆŸovat na film roku.  To, ĆŸe se jim to vlastnÄ povedlo, to se neÄekalo, ale opravdu se z nÄho stal druhĂœ nejlepĆĄĂ film po prvnĂm z roku 2000.
VĆĄemu samozĆejmÄ lehce dopomohly lokace, triky a masky, ale velkou souÄĂĄstĂ filmu je takĂ© hudba, kterĂĄ se Marco Beltramimu podvedla. MĂĄ sice zkuĆĄenosti s Hellboyem a JĂĄ robot, ale podle mÄ je to jeho nejlepĆĄĂ soundtrack, kterĂœ sloĆŸil. PĆesnÄ hodil k vyznÄnĂ filmu a hlavnÄ pĂsnÄ od Johnnyho Cashe jsou pĆesnÄ tĂm, co celĂœ film takĂ© drĆŸĂ nad ĂșrovnĂ HollywoodskĂ© produkce.
MĂĄm sice pro filmy ze svÄta X-menĆŻ slabost, ale tento poslednĂ snĂmek je pĆesnÄ tĂm, ÄĂm zavrĆĄit celou 17. letou historiĂ. SnĂmkem, kterĂœ je ĂșplnÄ jinĂœ neĆŸ pĆedchozĂ snĂmky a urÄitÄ by obstĂĄl jako sĂĄm o sobÄ, i kdyby byl pouze o dvou stĂĄrnoucĂch lidech, kteĆĂ rozjĂmajĂ o smyslu ĆŸivota a umĂrĂĄnĂ.
Logan: Wolverine â 100 % was originally published on Kritiky.cz
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