#La blonde se rend chez sa copine et
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lolochaponnay · 6 months ago
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Une brune appelle sa copine blonde : - Allo, Brigitte ? C'est moi, Muriel ! Je suis en train de préparer un exposé sur mon ordi, mais il vient de planter. Il n'y a même plus moyen de l'allumer. Puis-je venir chez toi pour terminer mon travail sur ton p.c.? Ca me rendrait vraiment service ? - Ecoute, il vaut mieux que ce soit moi qui vienne chez toi. Tu sais, je suis fortiche en informatique et je peux probablement te dépanner. La blonde se rend chez sa copine et, après avoir observé la bécane, elle déclare : - Ben toi, t'es vraiment brune alors ! Regarde moi ça, il y a un nœud dans ton câble d'alimentation électrique ! Comment veux tu que le courant passe ?
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vulnerablequeen · 3 months ago
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Louis (partie 2)
On s’attable au fond du bar. Intime. Il n’y a pas beaucoup de monde dans le resto, étonnement. Des lumières tamisées et une toute petite chandelle nous éclairent. Ce décor charnel n’aide pas du tout mes pulsions. 
Il est charmant. Très charmant. Il a une douceur dans sa gestuelle, un regard animé, des propos qui font pleinement du sens. Il est mon genre. Ok, cette date me plaît. 
Les conversations coulent aussi bien que le vin blanc sec minéral pas trop fruité qu’on s’est commandé. C’est ce que je dis pour flasher le peu de connaissances en vin que j’ai. Des connaissances de fille basic, mais des connaissances pareil. J’ai envie de l’impressionner. Parce qu’il m’impressionne déjà par sa diction irréprochable et son humour pince sans rire. 
Oh god, suis-je dans’ marde? 
Je reviens dans ma tête quelques instants. Qu’est-ce que la blonde fait? Est-ce qu’elle l’attend? Est-ce qu’elle sait? Elle a l’air de quoi? Comment elle prend ça? J’espère qu’elle est OK. Je me pose trop de questions, et pas assez à Louis. Je crève l’abcès. 
« Fait que… c’est quoi ton deal, mettons? » 
Voyons, est-ce que j’essaie de m’acheter un char? J’ai pas trouvé de meilleure formulation? Je l’ai fait avec un air coquin, je sens que ça va passer comme dans du beurre. Il me raconte que ça fait 14 ans qu’il est avec sa copine. 
Quatorze ans. Pardon. 
Lui et moi avons le même âge donc, j’en déduis que… « Ça fait depuis le secondaire qu’on est ensemble. », m’annonce-t-il, avec un sourire en coin. Aw. Il l’aime, sa blonde. Je le vois. 
Pas le choix de me comparer, moi et mes quinze situationships de huit mois. Quatorze ans, c’est de l’engagement, mes ami·es. C’est connaître une personne de fond en comble et être encore comblé. Je trouve ça beau. Je suis émue. Et moi je veux intervenir là-dedans? 
Il renchérit en m’expliquant que ça fait cinq ans qu’ils sont en couple ouvert. 
AH! Que Dieu soit loué au Club Vidéotron. Il est rodé. Il sait comment ça marche, l’ouverture. Y’est pas en train d’essayer quelque chose et que je sois le pilot à ce début d’aventures en série. Les épisodes pilot, c’est jamais bon. 
Je lâche un « intéressant! » bien senti, je suis soulagée. C’est très intéressant, tout ça, effectivement. On décide de lâcher les buvettes qui ferment trop tôt, pour se diriger dans un bar pas trop loin de chez moi. J’aime comment il pense. Il pense bien. 
On est dans son auto, j’ai toujours mon casque attaché à ma sacoche. La prudence, je m’y connais. Mais ce soir, je n’ai pas le goût de me mettre trop de limites. Tout coule de source. Ce serait dommage de gaspiller quelque chose d’aussi potable. 
On s’arrête au Bily Kun, encore avec un éclairage tamisé. Ça commence à me travailler les hormones. Il est beau. Je suis tipsy, mais très lucide. J’arrive à le faire rire avec ma gestuelle et peut-être mes grands yeux bleus. C’est un attrait qui se passe de génération en génération dans ma famille. Ce soir, je sens qu’il me sert particulièrement. 
On s’assoit un à côté de l’autre. J’aime cette proximité. Je sens que tout est possible. 
Un moment de silence traverse notre conversation. On se regarde encore. On se déshabille du regard. C’est à ce moment que je pense: « osti, je ne me suis pas rasée. » Panique. J’ai le goût de lui. J’ai le goût de sa tendresse partout sur mon corps. Surtout à l’endroit où j’ai complètement oublié de me trimer. Erreur de débutante. Quelle erreur de débutante. 
Avant qu’on se rende là, faut ben qu’on atteigne la première étape (ma préférée). 
Je demande timidement ce qu’il pense de notre date jusqu’à présent. Habile, je sais. 
« Ça se passe bien, non? », me susurre-t-il à l’oreillette. Je frissonne. Oui, mon beau Louis, ça se passe très bien. Je lui réponds que c’est réciproque. Sa main élit domicile sur ma cuisse droite. Sa main gauche, elle, caresse doucement ma joue. Il sait comment utiliser ses mains. 
Nos visages se collent, nos yeux se ferment. Il m’embrasse, doucement. Et en toute réciprocité, je l’embrasse en retour. Il embrasse bien; tout en lenteur, mais avec une vigueur qui me chatouille le bas ventre. Ma main gauche empoigne son cou, je veux le dévorer. Les langues sont déliées et nos échanges sont, pour le moins, constructifs. 
Je me fous du décor, je me fous de nos verres à peine bus. Je le veux. Je descends ma main sur sa poitrine, son cœur bat fort. Je n’ose pas descendre plus bas, du moins, pas pour l’instant. On se parle dans une langue de passion en vivant le tout à la même intensité. Je regrette sincèrement de ne pas m’être rasée. 
On se fait kick out du bar. Pas parce qu’on est explicite, mais parce qu’il est maintenant 3 heures du matin. Je n’ai pas vu le temps passer, j’ai tout savouré. Tout savourer, en ayant oublié que j’avais envie de pipi. Je décide de me retenir. Je ne veux pas briser le momentum. 
Louis décide de laisser son char là. Sage décision. On baigne dans l’ivresse, avec mon casque toujours bien accroché à ma sacoche. On choisi de se rapprocher de chez moi à la marche. Il me dit que ce ne sera pas trop loin de chez lui par la suite, vu qu’il ne peut pas découcher. 
AH! Soupir de soulagement de la part de ma forêt boréale din’ culottes. Y'est en couple. C'est vrai. Il a des responsabilités. J’adore les limites qu’on s’impose en ce moment. 
On marche. On french. On marche en frenchant. On marche. Il commence à pleuvoir. On se french encore plus intensément. Je suis détrempée de tous les bords, tous les côtés, en haut comme en bas. Il m’accote sur le mur d’une maison de millionnaire sur le Plateau, j’ai déjà une mini jouissance en y pensant. Les rues sont vides, mais je connais quelqu’un qui ne l’est pas. 
On est rendu coin Rachel/Marquette et la pluie s’intensifie. Je me dis que mon maquillage doit couler, j’essaie de trouver refuge quelque part. Bingo: une cabine téléphonique n’est pas trop loin. 
Sous la faible lumière du lampadaire, on continue à s'entrelacer de tous nos membres, on veut fusionner d’envie. 
Il détache mon pantalon. Il glisse sa main rafraîchie par la pluie dans ma culotte. Ses mouvements de va-et-vient m’excitent à un autre niveau. Je me sens devenir faible dans les jambes, il fait (trop) bien ça. Je l’arrête. Je le retourne contre le mur de la pauvre cabine et insère ma main dans ses jeans. Fuck le chandail bien rentré. Je prends son sexe et, disons, je m’amuse avec. L’espace est limité, ça serait mieux si on était dans un lit, nus. On va faire avec ce qu’on a pour le moment. Il me demande d’arrêter. La tension est à son apogée. On se veut terriblement. Partout. 
On s’embrasse langoureusement, comme pour se remercier l’un l’autre. 
« Je dois y aller, il est très, très tard. » Il devait être autour de 4h30 du matin. C’est légitime. « Mais c’était très, très le fun. », a-t-il ramené, habilement. J’acquiesce. On le sait qu’on va se revoir. 
Je vais le porter jusqu’à un taxi qui passait sur Papineau. On se donne un bec synonyme « d’à bientôt ». J’ai hâte. 
Je marche vers chez moi, il me reste peut-être dix minutes de marche à faire. Misère. Avec toute cette excitation, j’ai cruellement envie de pipi. Au point où j’ai de la difficulté à me retenir. 
Shit. 
Je me fais pipi dessus. En toute élégance. Sous la pluie battante. Mes pantalons étaient déjà détrempés, au moins. Ouin? C’est pas comme ça que j’aurais imaginé finir une date directement sortie d’un film de DreamWorks. 
Je reçois un message. C’est Louis. 
« Ah, tiens, j’ai oublié de te montrer ça. », m’écrit-il.
C’est une photo de moi en bixi avec mon casque sur ma couette.
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atticuswritersoul · 2 years ago
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04/12/18 : Son bébé
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Sa main droite se pose délicatement sur son ventre rond. Elle ressent des petits coups contre sa paume, de la douleur à cause des contractions. Ses cheveux n'ont pas cessé de changer de couleur depuis le début de sa grossesse, exactement comme lorsque ça avait été Cleo, dans son ventre.          Elle s'assoit sur une chaise, le dos qui commence à la tirer. Ses cheveux, pour l'instant mauves, sont attachés en un chignon rapide sur le sommet de son crâne, et elle compte les secondes dans sa tête. Un deux trois quatre cinq six sept huit neuf dix. La douleur est passée, elle souffle un peu. Charlie est en haut, en train de fermer les valises en stressant. Elle n'a même plus besoin d'être près de lui pour savoir comment il va, elle le connaît si bien. Elle tire ses bras en avant, craque ses doigts dans un petit bruit qui la fait grimacer. Les coups contre son ventre reviennent, plus insistants, et elle sent que d'une minute à l'autre, la chaise va finir trempée.       - Charlie, grouille-toi ! - Je suis là !       Il déboule en courant dans le salon, les valises flottant dans l'air à sa suite. Un sourire radieux recouvre son visage, mais elle perçoit ses yeux inquiets et sa pomme d'Adam, qui remonte et descend très vite, geste inconscient qu'il fait lorsqu'il est stressé. Elle le connaît, son blond. Elle s'efforce de se relever en gardant un air serein, et se contente d'attraper la main qu'il lui tend, avant qu'il ne la prenne de force. Il sait à quel point elle déteste se sentir dépendante. Cleo est chez ses parents, Damaris va passer la nuit dans la maison pendant leur absence, toute la famille a été mise au courant de la venue imminente du nouveau membre. Headley et Abby ont prévu de passer en douce chez eux durant la nuit, avec la complicité de Damaris, afin de finir la chambre du nouveau-né et faire la surprise au couple. Seulement, c'était mal compté le fait que Liddy n'est pas la sœur de deux Serpentard pour rien.       Un deux trois quatre... Elle pense au bébé, au visage qu'il pourrait avoir, à ses cris qui ne vont pas tarder, à ses pleurs assourdissants. Elle pense à ses cheveux, s'ils vont changer de couleur comme ça avait été le cas pour Cleo. Cinq six sept huit... Charlie et elle avaient décidé de ne pas prendre connaissance du sexe du bébé avant sa naissance, mais Liddy était quasiment certaine que ça allait être une fille. Une petite fille, avec les yeux de sa mère et le sourire de son père, des cheveux blonds et un air angélique collé sur le minois en permanence. Elle embêtera son grand frère, jouera les princesses avec ses copines, sautera au plafond quand sa marraine sera de passage à la maison. Elle fera tourner des têtes, au grand damne de ses parents. Elle se maquillera en cachette, volera les talons de sa maman, organisera des défilés illégaux, prendra le thé avec ses peluches. Mais, plus important par dessus tout, elle sera la personne qu'elle voudra, avec les rêves et les envies qui feront d'elle sa fille, son enfant. Liddy y veillerait personnellement, même si pour se faire, elle devra se sacrifier. Elle était prête à tout pour donner à ses enfants la vie qu'ils méritaient.       Neuf dix. Sa main serra un peu plus fort celle de Charlie, et elle grimace à cause d'une soudaine contraction. Ils se regardent, et d'un tacite accord, emboîtent le pas en direction de la porte de sortie. Elle ne peut s'empêcher de pester contre sa grossesse, qui rend le Transplannage trop dangereux pour le bébé. Il lui ouvre la portière de leur voiture, l'aide à s'asseoir confortablement, et ferme la porte. Il la rejoint quelques minutes plus tard, et la voiture démarre seule, comme par magie, les conduisant tous les deux vers Sainte-Mangouste. Et sous le crépuscule lunaire, Liddy songe avec douceur que Coraline Abraxas verra bientôt le jour.
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nanananerd · 4 years ago
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Le Bruissement
Jour 3/03.08.2021
Thème : Le bruissement
Je me rappelle du bruissement des feuilles. Aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai toujours habité près d’arbres. Même dans le centre-ville d’Agen où j’ai grandi il y avait un arbre. Jusqu’en 1999, mais c’est une autre histoire.
J’ai déménagé de la campagne pour Nancy afin de continuer mes études. Et c’est la première fois de ma vie que je m’entendais plus le bruissement des feuilles le matin. J’habitais une résidence universitaire miteuse, à la limite du salubre. Je me demande encore aujourd’hui comment le CROUS autorisait la location de logement rongé par la moisissure. Bref, j’habite au dernier étage, dans les hauts de Nancy, du coup j’ai une chouette vue sur la ville, mais pas d’arbres, juste un gazon mal entretenu. Mon étage est quasiment désert ; sur les 100 chambres disponibles, seules 6 sont occupées. Je m’entends quasiment jamais mes voisins. Seulement le bruissement de la ville. L’autoroute qui passe à quelques kilomètres, le ronron des moteurs au ralenti à chaque intersection, le bip des camions des livreurs.
Quand je me rends dans ma prépa, je passe à côté de parcs, mais le bruit de la ville est si assourdissant que je porte mes écouteurs dès que je sors. Et j’en profite pour danser quand je pense que personne ne peut me voir. Nancy est une jolie ville, j’aime beaucoup, mais la semaine, je passe la plupart de mon temps entre des salles de classes, des médiathèques et ma minuscule piaule moisie. On est encore au début de l’année, tous mes camarades de classe rentrent chez eux le week-end ; voir leur famille, leurs amis, faire la lessive… Je n’ai aucun des deux premiers qui m’attend, alors quand je vais faire ma lessive à la laverie du centre-ville, plus propre que celle de ma résidence.
Pendant que le linge tourne, je vais me poser dans le parc. J’espérais y retrouver le bruissement des arbres. Mais non, toujours le même bruit de fonds ; les moteurs au ralenti, les gens qui parlent, les enfants qui jouent. J’espérais pouvoir être au calme, mais à peine arrivée dans le parc, un homme d’âge mûr commencent à me draguer lourdement. Je l’envoie valser avec la grâce de la punkette que je suis. Finalement, le ronron des machines à laver n’est pas si dérangeant. La semaine suivante, je retente l’expérience, et je me fais à nouveau accoster dans le parc. C’est alors que je réalise ; je n’ai plus 16 ans, je me suis plus la petite fille grunge qui effrayés tout le monde. Mon corps a changé, j’ai pris de la confiance, et j’attire le regard des hommes. J’ai arrêté de fréquenter les parcs seules. J’en avais marre de m’énerver. Quand j’en ai parlé à mes camarades, elles m’ont confirmés vivre le même genre d’expérience. Finalement on a pris l’habitude de se poser ensemble. Et j’ai hérité du surnom de “Pitbull”. Moi qui aimais tant être tranquille dans les parcs, j’apprends à aimer y être avec des copines.
La plupart des bars de Nancy sont pris d’assauts le week-end par les étudiants. Il n’y avait pas moyen d’y être tranquille sans écouteurs. Mais une catégorie de bars résistaient à l’invasion des étudiants pochetrons ; les Bars PMU ! Et enfin, j’ai pu trouver le calme ; le bruissement des conversations autours des chevaux et des pronostics, le ronronnement du percolateur. Le bruit du second paquet de spéculoos que le serveur ajoutait, qui tombés immanquablement de l’assiette tant elle était petite. C’est vrai qu’il était plutôt mignon, il détonnait dans ce lieu, avec ses cheveux longs blonds, sa barbe de trois jours beaucoup trop bien entretenu, ses mains propres... Un jour, j’ai remarqué que je n’entendais plus le bruissement de ses conversations, mais un morceau de “Bonobo”. À cette époque, j’étais l’archétype de la métalleuse. Mais j’adorais Bonobo, alors je suis allée lui parler pour la première fois… Je suis retourné dans ce bar tous les jours, à faire la fermeture avec lui tous les week-ends, jusqu’à ce qu’il me propose de venir boire un dernier café chez lui.
Ce soir-là, j’ai découvert un nouveau bruissement ; celui des draps d’un presque inconnu. Je goutais à une forme de liberté dont je n’avais aucune idée ; C’est presque devenu une dépendance cette année-là. Je découvrais un tout nouveau pan de ma sexualité. Et malheureusement, je suis tombé malade. J’aurai pu éviter ça si je n’avais pas été si gourmande. Je m’étais évanoui, arasé par la fièvre, dans mes draps froids de ma chambre étudiante, pour me réveiller dans des draps propres de chambre d’hôpital. Et le bruissement des arbres. Malgré le bip des machines, le chuchotement des conversations des infirmières, j’étais au calme. Je pouvais apprécier le silence. Cette semaine à l’hôpital, le calme, m’a permis de prendre du recul, de me retrouver, et d’apprécier le bruissement unique de chaque lieu.
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femmechaudesurfacebook4 · 4 years ago
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mmsbp · 5 years ago
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Exécution
(26 janvier) 
J'ai calmement regardé l'homme qui me servait de démon. Il était loin dans mes souvenirs, présent longtemps dans mes rêves, en chair et en os devant mes yeux fixes. Lui et moi on sait. On sait ce qu'il m'a fait. On se reconnait. Il m'avait tuée et achevée il y a des années de ça, sans probablement même en garder un si grand souvenir.
Ce n'était pas particulièrement mon cas.
Il était devenu le boulet que je me trainais au gré des cours et des rencontres.
Je m'étais décarcassée à trouver des moyens de lui échapper. À lui, des années de cela, au collège. Et à ses petits camarades aussi. Mais sans leur chef, ils étaient devenus plus calmes. À toutes les petites boites traumatiques qui me servaient de bagages toutes les heures du jour et de la nuit.
Il avait fallu se saigner à parler. Concrètement les premières fois. Et de façon abstraite les suivantes.
J'avais dû continuer d'en parler aux autres. Pour qu'ils sâchent, comprennent. Qu'ils comprennent que je doive en passer par là pour aller mieux. Et m'améliorer. Et ils comprennaient. Enfin, elles comprenaient.
J'avais toujours fait une croix sur les garçons. Du moment où ce petit enfant blond m'avait plaquée contre un mur en plein cours de récréation en riant. Du moment où j'ai hurlé parce que je ne voulais pas qu'il me touche une seconde de plus. Je me sentais en danger. Du moment où la maîtresse de maternelle n'a rien dit à part "Oh, débrouille-toi !"
Il n'était pas réellement dangereux, à cet instant. Il jouait. C'était mon ami. Mais peut-être qu'aujourd'hui il a brisé la vie de quelqu'un. Quelqu'une.
J'ai fait une croix pour me protéger. À l'époque je ne savais pas à quel point. Mais j'ai compris en grandissant. J'ai compris avec le collège.
Ça ne m'a pas empêchée d'avoir un ami garçon proche à l'époque. Il ne se doutait pas de ce qu'il se passait. J'aurais sûrement dû parler ou laisser apparaitre la situation aux yeux des autres. De tous. Mais c'était inimaginable.
Je savais ce qu'il m'arrivait.
Si je n'avais pas su, je n'aurais jamais menti à mes parents en disant aller passer l'après-midi chez une copine. Mentir pour aller chez un médecin. Quelle tristesse.
J'aurais aimé pouvoir en parler, même aujourd'hui.
Mais encore une fois, c'est hors de question.
Parfois je me demande si je fréquentais mon meilleur ami parce qu'il aimait les hommes et pas les femmes. Parce qu'au fond il était un peu comme moi. Alors qu'en réalité il reste bien un bien un petit garçon, éduqué comme tel. Mais au moins avais-je l'espoir qu'il se rende compte de ce que les hommes font.
Enfin, bref, aujourd'hui, je suis en face du démon.
Le métro vrombit autour de nous.
Il est presque treize heure.
La mamie à ma gauche sent la rose. Elle a des chaussures absolument adorables. En face, un homme semble lire le Coran. Ses lèvres bougent en silence. Sa concentration est apaisante.
La cible de mes pensées est tendue.
C'est intéressant.
Il se tourne vers la sortie. Prochain arrêt, Jules Joffrin.
Je souris.
Il était temps.
Les talons de mes petites chaussures basses résonnent comme ceux de la jolie femme en costume qui sort du wagon de droite. Mes yeux échouent sur son corps. Elle est vraiment jolie. Sauf que ce n'est pas le moment. Je ne perds pas du regard l'homme de mes souvenirs pour autant.
Je le suis.
On dépasse la mairie.
Je sais où il va, dès qu'il prend la rue derrière l'école primaire.
Mon coeur ne bat pas plus vite. L'angoisse ne m'habite pas. Plus. Cela fait presque un an que je n'ai plus peur d'y retourner. Et que mon corps ne se pétrifie plus au fur et à mesure qu'on s'en approche.
On remonte la rue jusqu'au croisement. Puis on tourne à gauche.
On longe les vieux murs du bâtiment où des gens de ma famille auraient pû se faire rafler s'ils avaient eu le malheur de s'y retrouver à la mauvaise époque.
Le collège n'a pas changé.
Il se retourne vers moi.
Je lui souris. Je suis polie, tout de même. Et je sais parler.
"Bonjour."
Lui non apparemment, au vu de son absence de réponse.
On dirait une biche sur le point de s'enfuir. C'est ridicule. Et ça alimente une colère sourde en moi.
"Tu m'as harcelée, tu le sais non ?"
Son regard fuit le mien.
Évidemment qu'il sait.
"Tu m'as violée aussi."
Tout son corps se tend et ses poings se ferment.
J'étouffe un rire. C'est moi qui devrait froncer les poings et lui mettre le mien dans la figure.
Mais encore une fois je suis polie. Et je respecte la loi. Il en faut bien quelques un.es.
"Je ne devrais pas dire que tu m'as violée. Je devrais simplement dire que tu es un violeur."
Cette fois la rage bourdonne dans sa rétine.
La vérité donne souvent envie de s'arracher les veines.
Enfin, en tout cas c'est ce que ça me fait.
"Et j'ai envie de te voir mourir."
Je lui sourie une dernière fois.
J'ai tout dit.
J'ai hâte qu'il meurt, à son tour.
Le voir être pûni pour ses actes serait agréable aussi. Mais je ne suis pas assez bonne pour ne désirer que cela. Parfois j'ai juste envie d'être cruelle.
Je me retourne après l'avoir regardé, dans notre silence amménagé.
Et je reprends ma route sans me retourner quand au moment où il traverse, une voiture rouge le fracasse.
Je sais très bien ce qu'il vient de se passer. Et j'ai menti. Je ne respecte pas toujours les lois. Mais ça, ce serait encore bien difficile à prouver. Et heureusement pour moi.
Je soupire de joie et souris, le pas chantant. Il est bientôt l'heure de prendre un bon thé.
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curiouscha-blog · 7 years ago
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2017
Livia et Hamza se sont croisés ce matin.
Lui, était à l'avant, contre une barre de maintien du bus 22, écouteurs aux oreilles.
Elle, assise aux places pour quatre du fond, regarde à travers la vitre les jolies bâtisses colorées de la ville.
Livia l'avait immediatement aperçu quand il est monté. Et c'est à ce moment-la qu'elle a commencé à regarder au dehors. Elle détourne le regard, mal à l'aise, malgré le fait qu'il ne l'ait pas vue. Et c'est bien ça le problème : son jeu d'actrice, à ignorer son Apollon n'aura aucun effet.
Hamza zonait sur son iPhone, trifouillait ses écouteurs dont les oreillettes tombaient à chaque soubresaut du bus. Quel ennui ! Le trajet ne fut jamais aussi long. Alors il pensait à son expérience d'hier soir, avec cette jeune fille blonde aux yeux clairs qu'il avait repéré depuis une semaine dans un bar du centre-ville. Ayant l'air assez drôle et ouverte d'esprit, il avait enfin osé aller lui adresser un mot en espérant la faire rire un peu, qu'elle lui file son numéro et les choses sérieuses auraient pu commencer.
En vain, la jeune blondasse esservelée (comme la qualifiait maintenant Hamza) s'était ouvertement moquée de la blague douteuse d'un certain pingouin sur une banquise … Une bonne meuf qui l'avait tourné en ridicule devant toutes ses copines. Ou est la suivante ?
Livia descend du bus et retrouve ses copines étudiantes devant la fac. Hamza la bouscule, s'excuse d'un petit mot, et elle, toujours dans son rôle, mime l'exaspération. C'est à peine s'il la calcule, il poursuit son chemin et Livia perd sa trace dans la foule étudiante.
Maintenant, sa cible la prenait pour une petite conne narcissique ! En plus du fait qu'il ne savait pas qui elle était. Et pourquoi c'est toujours comme ça chez Livia, elle joue un rôle qui la rend finalement mal à l'aise devant des hommes qui ne savent même pas qui elle est…
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songedunenuitdete · 5 years ago
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[box type=”info” align=”” class=”” width=””] Our Little Secrets T03
Nombre de page : 160 pages Éditeur : Pika Date de sortie : 21 août 2019 Collection : Pika Shôjo Langue : Français ISBN-10 : 2811650105 ISBN-13 : 978-2811650100 Prix éditeur : 6,95 € Disponible sur liseuse : oui à 4,49 €
Chroniques des tomes précédents : Tome 1 & Tome 2
De quoi ça parle ?
Mayo a avoué malgré elle ses sentiments à Aoba. Malheureusement, ce dernier la reconduit et lui dit même qu’il n’est plus la peine qu’elle lui prête l’oreille comme avant. L’avenir de la jeune fille à la Maison de l’écoute est-il compromis ? En parallèle, lors d’un match éliminatoire, le garçon tombe sur ses anciens camarades de basket et sa supposée ex du collège, qui connaissent tout de son passé. Des retrouvailles qui le bouleversent profondément… Comment Mayo va-t-elle réagir ?[/box] [box type=”info” align=”” class=”” width=””] Our Little Secrets T04
Nombre de page : 160 pages Éditeur : Pika Date de sortie : 2 octobre 2019 Collection : Shôjo Langue : Français ISBN-10 : 2811651551 ISBN-13 : 978-2811651558 Prix éditeur : 6,95 € Disponible sur liseuse : oui à 4,49 €
De quoi ça parle ?
Le secret d’Aoba est bien plus lourd que ne l’imaginait Mayo… Mais partager un secret rapproche nos deux héros… Nao, quant à lui, est pris par le doute suite aux insinuations de Haruma, un ancien coéquipier d’Aoba qui garde une rancune farouche à son égard. Alors qu’il se confie à Mayo, Nao commence à développer des sentiments pour la jeune fille…[/box]
Mon avis
La jolie Mayo s’est enfin décidée à avouer ses sentiments à la star du basket Aoba ! Mais hélas, le jeune homme est incapable de répondre à ses sentiments… Une petite distance s’installe entre eux dans ce tome 3 mais on a pas le temps d’y réfléchir plus que ça car les événements s’enchaînent !
Le match de basket commence et Aoba, d’abord brillant joueur est déstabilisé quand il se rend compte que son ancienne équipe est venue le voir jouer… Le jeune homme perd tous ses moyens et Mayo comprend qu’il se passe quelque chose en rapport au passé d’Aoba…
Ce tome 3 lève un peu le voile sur les secrets du charmant Aoba avec le personnage de Asuka Umeki qui se présente en tant que “sa copine”. La gentille Mayo, le choc passé, va tout mettre en oeuvre pour qu’Aoba et Asuka se retrouve ensemble malgré la peine qu’elle ressent…
Dans le tome 4, Aoba décide de révéler son secret à Mayo. Le jeune homme a du mal à supporter que la jeune femme soit proche de Nao, un autre membre de l’équipe de basket. Aoba décide donc d’ouvrir son cœur à Mayo et lui expliquer pourquoi il ne peut pas répondre à ses sentiments. Le jeune homme semble perdre tout intérêt à une passion quand il commence à l’aimer et il a peur que la même chose arrive s’il tombe amoureux.
En parallèle, le temps de la rencontre sportive tant attendue arrive ! L’équipe de basket d’Aoba va se retrouver contre ses anciens équipiers et le match qui en découle est palpitant ! Bien sûr, tout ne se passe pas facilement, les comptes sont réglés des deux côtés et Aoba en ressort plus serein !
Ces deux tomes font beaucoup avancer l’histoire et met en place une sorte de triangle amoureux entre Mayo, Aoba et Nao ! Un triangle que j’apprécie beaucoup ! Dans les mangas, je trouve toujours ça intéressant surtout que souvent l’un est blond, l’autre est brun et à chaque fois je préfère celui qui est recalé par la demoiselle ! Ici, mon coeur balance encore entre Aoba qui est charmant mais ne sait pas trop ce qu’il veut et Nao qui n’a pas encore pris complément sa place dans l’histoire !
J’ai par contre un peu de mal avec le personnage de Mayo qui est vraiment très innocente mais j’ai bien aimé le tome 3 où elle aide Asuka à renouer des liens avec Aoba. Mayo se met en retrait dans ce tome et même si ça la touche beaucoup, elle fait passer le bien être de ses amis avant le sien ! Une attitude que j’apprécie bien !
Les dessins sont toujours agréables et la mise en page reste assez chargée mais ça ne dérange pas la compréhension de l’histoire ! À suivre dans le tome 5 !
[Chronique Manga - Mady] Mon #avis sur Our Little Secrets T03 & T04 de Ema Toyama, par chez les éditions Pika ~@pikaedition : L'histoire avance et les secrets sont dévoilés ! Our Little Secrets T03 Nombre de page : 160 pages Éditeur : Pika Date de sortie…
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belladonakrokette · 5 years ago
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Episode 3 - Les Doigts Noirs
Il commençait a y avoir du monde dans la charrette, si bien que la plupart des captifs étaient simplement posés au sol tel des sacs à patates. Parmi eux, Falras pu reconnaître Mika (ou Badre, c’est confus), un serveur du Coupe Jaret, un garde de la ville, Mike le forgeron ainsi qu’un fermier. Tout porte à croire que plusieurs notables de la ville s’étaient allié dans cette affaire. Mais tous semblaient être là et ils n’attendaient personne d’autre, il était donc temps de retrouver Zelda, la fille du forgeron, qui s’était enfuit à l’intérieur du temple. 
La petite troupe, Foulques avec son bouclier lumineux devant, retourne a l’intérieur du temple. L’odeur d’alcool et d’humidité est toujours présente et désagréable mais le groupe progresse assez rapidement et se retrouve dans la salle de garde. Zelda, effrayée par ces personnes qui avaient tabassé sa famille, s’était glissée dans la geôle et avait refermé la grille derrière elle. Chacun leur tour, les aventuriers tentent de la rassurer pour la faire remonter. Belladona tente de la gronder en parlant fort. Échec. Foulques, plus diplomate tente de la calmer en promettant de ne pas lui faire de mal. Zelda leur demande alors de jurer ! Ce que Foulques fait, il jure sur Lathander qu’il ne lui fera rien - smart- Zelda se méfie et insinue que ce n’est pas un vrai dieu. Farlas jure alors sur Beshalba ! Et cela fonctionne ! La petite remet l’échelle et remonte à la surface avec eux. 
Et heureusement que l’affaire a été réglée rapidement car lorsqu’ils remontèrent et virent que Clark était en train de ronger les liens d’un de ses compagnons ! Un coup de pompe plus tard, il se calme. Belladona part alors en quête d’une plante qui pourrait sortir la femme rousse du coma, afin de l’interroger. Elle fini par trouver une sorte de muguets puant qu’elle s’empressa de lui fourrer dans le nez. La femme n’est pas très coopérative. Heureusement les autres détenus leur avait expliqué qu’ils avaient été choisi parce qu’ils étaient les 7èmes à être passé par les différentes portes de la ville. Le chiffre 7 étant le chiffre de Beshalba, cela signifiait qu’ils avaient été choisi par la déesse. Du coup Belladona décide de leur faire peur en les comptant a voix haute. 1, 2, 3, les captifs lui demande d’arrêter ! 4, 5, 6 ...  et 7, elle s’arrête sur Salve, le fils du forgeron qui se fait dessus. Salve dit qu’il ne peut rien dire sinon on enverra les doigts noirs contre lui ! Ce sont les assassins de la secte. Les aventuriers remarquent d’ailleurs que certain prisonniers ont le bout de l’index et du pouce brûlés. Ce serait une sorte de signe de ralliement. 
Farlas, Belladona et Foulques font un point en aparté pour savoir ce qu’ils vont faire avec ces informations. Si plusieurs notables de la ville sont de mèche avec cette secte il peut être difficile de tenter une action officielle contre eux. C’est à ce moment qu’ils sont attaqué par le double de la femme rousse ! Mais il ne se font pas avoir encore une fois, Belladona assomme de nouveau la femme. Farlas décide de fouiller tout le monde et le butin est réparti équitablement. 
Clark faisant parti des gens qui seraient prêt à abandonner la secte, se fait chopper par les aventuriers qui lui proposent un marché ! En échange de son aide, ils l’aideraient à fuir la ville. Ils mettraient en scène sa mort et lui donnerait la possibilité de refaire sa vie à la capitale. Belladona propose alors de déchausser tout le monde (l’idée aussi c’��tait qu’ils galèrent à rentrer chez eux pieds nues et de mettre toutes les chaussures autour du puits pour que ce soit la marche de la honte pour eux), mettre la femme rousse dans la charrette, cachée sous des sacs et les chaussures et rentrer en ville pour récupérer les affaires volées avec l’aide de Clark. 
Le groupe arrive au niveau de la porte Sud et malheureusement, ils ne sont pas trop content de nous voir, surtout Belladona. Foulques essaye, encore une fois, de jouer de son influence, sans trop de succès, Clark essaye aussi, il explique qu’il est parti cueillir des plantes pour sa boutique et que Belladona est son apprentie un peu nulle et bête (ça lui plait pas beaucoup). Une fois les gardes hors de vue, Belladona plaque Clark au mur et l’engueule ! Farlas lui donne un coup de boule dans les boules (yeaah) pour certaine raisons ! Puis la petite bande se dirige vers le temple de Lathander.  Belladona fait un super jeu de mot à Pietre mais ça ne le fait pas rire. Ce dernier leur en apprend plus sur le culte de Beshalba et explique que la femme est surement une Mains Rouge, des gens qui pèsent dans le culte. Aussi que si Clark est membre de la secte il doit avoir un tatouage sur la cuisse. Belladona baisse alors le pantalon de l’apothicaire, en plein milieu de la cours du temple. Cela ne plait pas du tout à Pietre mais ! On observe bien un tatouage à l’intérieur de la cuisse. Pietre demande à tout le monde de monter dans son bureau pour examiner la femme rousse qui s’appelle Fridmavia. Après examen le groupe se rend compte qu’elle a un tatouage aussi mais différent de Clark. Ce dernier leur dit qu’elle vivait chez lui et qu’elle avait peut être laissé des affaires !
Après avoir laissé Fridmavia “temporairement” chez les prêtres de Lathander et récupéré une lettre de recommandation pour que Clark aille à la capitale, tout le monde se retrouve dans la grande maison de Clark. C’est assez classe et il a même du personnel ! Une fois dans la chambre de Fridmavia où Foulques et Farlas retrouvent leurs affaires ! Il est maintenant temps de savoir ce qu’ils vont faire après ! Belladona veut récupérer ses bijoux, toujours sur la tignasse de la meuf de Clark, Foulques propose de l’accompagner pour l’aider à les récupérer pendant que Farlas doit régler ses affaires. Une chose est sûre en tout cas, une fois que Bella aura récupéré ses bijoux, le groupe se retrouvera dans le magasin de Clark pour mettre en scène sa mort et ils quitteront ensuite la ville sans retourner au temple de Lathander (comme ils l’avaient promis à Pietre).
Le groupe, guidé par Farlas, par dans les ruelles de Bessalban et arrive dans une ruelle menant au marché, où ils sont sûr de trouver la copine de Clark. Mais au moment où Farlas allait les laisser... Le groupe se fait attaquer !!  Un gros roux avec une massue s’adresse à Farlas et lui dit un truc ! Ils semblent se connaitre, pui sil attaque Foulques, mais, heureusement, le rate !  Des jumeaux déboulent derrière et chopent Farlas dans un sac, et un barbu blond et maigre attaque et rate Belladona ! Plus loin, un archer décoche une flêche et touche Foulques à l’épaule. Farlas arrive à se sortir du sac en découpant le fond ! Les aventuriers se défendent comme ils peuvent, Foulques réussi à se soigner et à soigner Farlas qui apparemment était blessé ! Belladona se bat avec Basile (le blond) et arrive à l’assommer ! Foulques et Ferd (le roux à la massue) sont au corps à corps mais ne semblent pas se toucher, ils se contentent juste d’agiter leurs armes et se ratent ! Farlas tente de fuir, il se fait chopper par les jumeaux Hes et Les mais se débat et continue à fuir ! Belladona arrive alors au corps à corps avec eux ! Elle se bat aux côtés de Farlas et se défendent bien, les jumeaux sont en difficulté ! Ferd arrive enfin à toucher Foulques, Elveroy (l’archer) tire sur Farlas au moment où il portait un coup mettant à terre Hes. C’est un peu la panique chez les attaquants si bien que Ferd fait tomber sa massue au sol ! Les sort alors une boule de fumigène qu’il lance, enfumant toute la ruelle et rendant les aventuriers aveugles. Farlas pousse un cri, quelqu’un l’a attrapé (encore) et il se fait traîner en arrière. Belladona tente de le récupérer mais dans la fumer c’est impossible ! La garde arrive. Les aventuriers sortent de la fumer pour voir Les et Elveroy tirer Farlas dans une autre ruelle ! Belladona sort son arc et tire sur Les qui tombe et lâche l’halfelin, Foulques lance un sort d’éblouissement sur Elveroy qui lâche à son tour Farlas  “WEASEL VEUT TE VOIR !” cri t’il avant de partir en traînant Les. 
(pire résumé désolée :D c’était l’horreur) 
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unabashedlyartist · 7 years ago
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Hello tumblr,
La dernière chose que je t'ai dite était que Andreas était de retour... Ahah. Il est reparti. Ça fait 2 mois.
Il est reparti partiellement... Il a de nouveau une copine en fait.
Quand il est revenu, on était H24 ensemble, je vivais presque chez lui et quand il ne dormait pas chez lui il était chez moi. Puis il y a eu sa copine. Plus d'appelle plus de sorties à deux. Ils a trouver une autre meuf à qui promettre le ciel. Parce que je n'étais pas assez bien apparemment. Pas assez blonde. Je ne parle pas de blondasse sillonnées et bête. Je parle d'une blonde intelligente et drôle qui prend soin de lui au moins autant que moi.
La friendzone mon poursuit tumblr. Elle est collée à ma peau et ne souhaite plus me lâcher.
Et ça fait mal.
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Nicolas alors que ça fait 3mois que je me dis que je dois m'en tenir à des sms avec lui parce qu'il ne veut pas de moi et que le voir juste pour un verre me ferai du mal, j'accepte finalement le fait qu'on est amis et quand on se revoit il décide qu'il veut coucher avec moi. Il m'embrasse et me dit "C'est en toute amitié"... Et ma main dans ta gueule c'zst en toute amitié ? J'ai eu des sentiments pour ce mec. Il était parfait sous tout rapport, même notre rupture était parfaitemebt faite.. et là.. Tu mets mes sentiment à la poubelle pour tirer un coup ? J'ai dis non.
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Et le clou du spectacle putain. AKIM. Il m'appel un soir où j'étais au plus mal, je lui ai répondu automatiquement mais je pleurais. Il est arrivé chez moi direct... Il a été chou... Et il m'a annoncé qu'il avait une copine...
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Maintenant j'ai Loïc... Qui a l'air d'un mec bien. Qui est gentille et doux... Physiquement, ça me bloque un peu, j'ai un peu peur du regarde des gens par rapport à notre hypothétique couple. Je ne me vois pas avec lui physiquement mais mentalement je me vois grave avec lui. On s'entend très bien et on rigole très bien, mais... Je suis perdu. Puis je ne pense plus que je sois capable d'aimer de nouveau et j'ai encore le mal d'Andreas.
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Je t'ai parlé de l'amour mais en amitié j'ai aussi eu des déceptions.
Je me rend compte que j'ai mis de côté tellement de personnes qui ne le méritaient pas ces derniers mois. Et j'ai ouvert la porte à des gens qui venaient pour me faire souffrir. En même temps j'ouvre la porte à tout le monde.
Et je me retrouve, ma foi, très seule. Même entourée de gens qui, en soit, en vaudraient la peine.. ? J'ai l'impression de ne compter pour personne.
Je suis déjà restée cloîtrée 3 jours dans mon appart sans que personne ne me parle par sms ni ne m'appelle, ni ne passe me voir..
Voilà.
.....
J'ai de nouveau envie de mourir.
& je me suis fait du mal ce soir... J'ai fait une lettre d'Adieu. & à chaque fois que je m'apprêtais à passer vraiment à l'acte, je me disais "Oh putain, j'ai oublié cette personne dans ma lettre", "Oh putain, j'ai oublier d'aller jeter ma trousse de tous mes trucs pour fumer de la weed et si Mamoun tombe dessus je suis foutu" alors qu'en soit j'aurais été morte.. Puis "Oh putain j'ai pas envoyé ces photos à....".. Et je me suis rendue compte que j'avais plein de trucs à faire avant de mourir.. Même anodines... Du coup je me suis juste fais du mal. J'ai pris mon tout nouveau cutter à tirage.. je me suis fais un " ; " pour moi même et pour ma connerie.
Je vais me faire une liste de trucs à faire avant de mourir. Et ça sera ma priorité. Plus vite ce sera fait et plus vite je pourrai partir.
Non mais en vrai ? Pour qui je compte ? Genre vraiment ? Si je disparaît qui pleurera? Qui sera là pour m'accompagner dans mon trou duquel je serai ressorti qiand les cimetières jeterons mon corps dans une fausse commune pour cause de manque de place ? Il sera trop tard de toutes façons, qiand je serai morte pour être présents et je n'aurais jamais su du coup, puis que je serai morte.
" Ici gît @unabashedlyartist, dépendante affective, dépressive, friendzonée "Amie Géniale", qui a tenu 22ans et a checké toute sa liste avant de se donner la mort."
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La dernière fois la photographie m'a sauvé.. Aujourd'hui la weed.. Mais pour combien de temps encore ?
Au revoir tumblr.
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sirinelab · 8 years ago
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Changement de Vie.
ça faisait des années que Léa vivait au bord de l'océan et qu'elle avait quitté son ancienne vie.
Depuis qu'elle était partie de Paris, elle avait  l'impression de renaître tous les jours.
Elle avait eu un déclic un jour et quand elle y repensait, un prénom lui revenait en tête, Fabien.
Ce n'était pas avec plaisir qu'elle s'en souvenait mais avec un mélange de colère et de curiosité.
Elle se disait souvent que si elle ne l'avait pas rencontré, sa vie actuelle aurait sûrement été bien différente mais elle ne regrettait pas une seconde ce changement.
Elle savait que quelque part, elle le devait à Fabien et pourtant elle en avait eu si souvent marre de lui.
Leur histoire avait duré bien trop longtemps. Quand elle y repensait, elle se disait qu'heureusement qu'elle s'était réveillée un jour et qu'elle avait pris la décision de partir.  Cette décision lui avait sauvé la vie.
Ce matin d'avril, Léa s'était réveillée à côté de Fabien.
Elle l'avait regardé, il était encore en train de dormir, avec de la bave qui coulait au coin des lèvres. 
Elle s'était alors dit qu'elle ne pouvait plus continuer à vivre avec lui.
Il y avait plein de choses qui ne collaient pas depuis le début de leur relation. Ce filet de bave pourtant si anodin, l'avait convaincu que c'était aujourd'hui ou jamais.
Quand elle repensait par moments à ce qu'elle détestait chez Fabien. C'était en autres la fâcheuse tendance qu'il avait à tout prendre à la légère.
Tout était toujours cool même les choses les plus difficiles glissaient sur lui. Léa avait l'impression que rien ne pouvait l'atteindre, même pas elle ni ce qu'elle pensait.
Léa était au contraire une fille passionnée, engagée, militante.
Elle avait toujours besoin de défendre des causes. Elle était tout le temps en train de débattre sur tout et avec tout le monde.
De manière surprenante, elle avait été séduite par Fabien car il avait très vite lâché prise dans la discussion. Il n'avait pas essayé de la convaincre de quoi que ce soit.
Elle pensait que c'était parce qu'il était sous son charme et c'est pour ça qu'elle lui avait laissé une chance.
Elle prit conscience plus tard que toute leur histoire était en fait basée sur un malentendu.
Il lui avait avoué lors d'une dispute, qu'en fait ce soir là, il voulait juste coucher avec elle et qu'il n'en n'avait jamais rien eu à foutre de cette discussion sur le féminisme.
Lui, il n'était pas compliqué comme elle, il voulait juste vivre sa vie tranquille.
Être en conflit, comme elle l'était tout le temps, ne faisait pas partie de son plan et que c'était pour ça qu'il avait lâché l'affaire dans la discussion.
Ce qui l'intéressait c'était de surfer et de faire de la musique. Il restait un surfer dans l'âme même s'il vivait à Paname.
Il avait grandi au bord de la mer. Il avait appris le surf très tôt. Il avait toujours voulu en faire son métier et avait un projet qui lui tenait à cœur, celui de monter une école de surf.
Mais, son projet tomba à l'eau quand il perdit ses parents, à l'âge de 20 ans, d'un accident de voiture.
Il s'était retrouvé sans le sou et avait dû monter à Paris pour faire des petits boulots pour survivre.
Cependant, il avait toujours gardé l'espoir qu'il repartirait dans quelques années à Lacanau, là où il avait grandi pour monter son école de surf et apprendre à surfer aux enfants.
En attendant, il travaillait dans un Pub Irlandais à Paris. C'était dans ce bar qu'il avait rencontré Léa. Il était barman et elle était de sortie avec des copines ce soir là.
Elle avait été attiré par son look cool, ses cheveux mi-longs, blonds et ses tatouages sur le bras.
Elle s'était dit que ça serait une histoire d'un soir mais sans savoir pourquoi, au fil du temps, elle s'était attachée à Fabien et lui s'était attaché à elle. Il formait un couple improbable car tout les opposait.
Léa avait été patiente au début avec le côté cool, glandu de Fabien. Elle se martelait que ça changerait, que de toutes façons, il n'aurait pas le choix.
Il allait bien finir par prendre conscience par lui-même qu'il ne pouvait pas rester comme ça, qu'il fallait qu'il fasse quelque chose de sa vie, avoir un vrai travail pour avoir une vie normale.
Mais Fabien, lui, n'avait aucune intention de devenir informaticien ou de travailler dans une banque comme elle lui proposait à chaque fois qu'ils discutaient à propos du travail.
Il lui disait que ça lui plaisait de travailler dans les bars, comme ça, il pouvait continuer à faire de la musique avec son groupe et se barrer le weekend pour aller surfer.
Il partait dans des délires mystiques sur le surf et ses bienfaits que Léa racontait à ses copines pour se moquer gentiment.
Elle leur racontait que Fabien  lui disait qu'il n'y avait que le surf qui le ressourçait vraiment, qu'il aimait la sensation de se retrouver seul sur l'océan, de glisser, de surfer, ce qui le rendait libre, seul face à la nature en mode into the wild.
Léa et ses copines partaient dans des fous rires quand elles parlaient de ça et se resservaient chacune un verre de vin en gloussant.
Fabien avait beaucoup être cool, il ne supportait pas trop longtemps la compagnie des gens et en particulier celle des amis de Léa qu'il trouvait trop intellectuels et bobos. 
Il avait besoin d'être seul et  Léa le supportait de moins en moins car ce n'était pas normal pour elle que son mec se barre un weekend sur 2 pour surfer avec ses potes.
Depuis le début de leur relation, Léa avait l'espoir de le convaincre d'arrêter de penser à son surf, à ses rêves de gamin.
Elle trouvait que le projet de monter une école était bien trop risqué. Elle se rassurait en se disant que de toutes façons, il n'avait pas l'argent et qu'elle ne lui en prêterait pas pour ça.
Elle n'avait jamais voulu essayer de faire du surf même si Fabien avait voulu l'entraîner au début dans ses weekends surf qu'il avait fini par faire seul ou avec ses potes surfers.
Quand, elle avait rencontré les potes de Fabien, elle lui avait dit après, qu'elle trouvait que le surf était un sport de frimeur, de feignant.
Elle ajouta qu'en plus les surfeuses donnaient une sale image de la femme, ce  qui était contre ses idées féministes.
Ce n'était que des godiches en maillot de bain et de toutes façons, à part pour les enfants et encore, elle ne voyait pas l'intérêt de faire ce sport.
Au cours de leurs disputes, elle se mettait en avant par rapport à lui, en lui disant que c'était elle qui ramenait l'argent à la maison en attendant lui, ne leur permettait que de vivoter avec son salaire de barman.
Elle, au moins, avec son boulot d'avocate, elle bossait, elle ne faisait pas que servir des bières à des mecs bourrés ou à des pouffiasses en chaleur.
Fabien avait résisté pendant longtemps à tout ce qu'elle lui disait. Pour la contrer, il lui disait qu'au moins, lui, il l'aimait comme elle était, qu'il ne comprenait pas pourquoi elle voulait qu'il change, qu'il devienne quelqu’un d'autre.
Il lui disait qu'elle n'avait pas le droit de tuer son rêve, que la vie lui avait déjà enlevé ses parents, qu'elle ne pouvait pas lui enlever le surf.
Il ajoutait avec des sanglots dans la voix, que c'était son père qui lui avait appris le surf, quand il était enfant, que c'était le seul héritage qui lui restait de ses parents.
Léa le trouvait de plus en plus geignard et pleurnichard et ça l'énervait.
Elle finissait par se demander ce qu'elle faisait avec ce type qui passait son temps à regarder des vidéos de surf et à servir des verres dans un bar et qui jouait de la musique avec ses potes aussi dans les bars.
La première fois qu'elle avait menacé de le quitter, il lui avait fait du chantage affectif. Il avait même été jusqu'à lui dire qu'il pourrait se suicider si elle le quittait.
Léa sous ses dehors de "méchante" avait un cœur d’artichaut, alors elle avait cédé. Elle avait eu peur qu'il le fasse en vrai et se disait qu'elle ne l'aurait pas supporté.
Et après, tout s'était dégradé. Fabien s'était enfermé dans son rêve, il ne pensait qu'à partir, monter son école de surf mais sans jamais mener aucune action pour aller dans ce sens.
Il rêvait de son projet assis sur le canapé dans leur séjour.
Il bossait de moins en moins et restait enfermé la journée. Il ne ne sortait plus, ne faisait plus aucun effort pour l'accompagner à des soirées chez les amis ni pour aller au ciné ni même pour faire les courses.
Il s'était effondré sans qu'elle s'en rende compte et avait fini par s'enfermer dans une sévère dépression.
C'était sa copine Sonia, qui avait fait prendre conscience à Léa, de l'état de Fabien quand il l'avait accueilli un jour en slip à 3 heures de l'après midi alors qu'elle était venue déposer une plante chez eux.
Il était reparti se coucher sur le canapé en la laissant se débrouiller.
Léa s'était rendue compte qu'elle ne regardait plus Fabien. Il vivait ensemble comme deux colocs.
Ils se parlaient pour le minimum et ne baisaient plus. Fabien dormait sur le canapé devant la télé et ne prenait même plus la peine de la rejoindre la nuit pour dormir avec elle.
Elle se disait qu'il y avait un problème mais elle n'avait pas le temps de le voir et de s'y pencher, trop de boulot, de soucis avec son chef.
Elle était obnubilée par son travail et aussi par le fait qu'elle venait d'avoir 30 ans.
Elle avait beau être féministe, elle n'en restait pas moins un femme. Elle voulait se marier un jour, avoir des enfants avant qu'il ne soit trop tard.
Elle avait beau retourner le problème dans tous les sens, elle ne voyait pas avoir d'avenir avec Fabien.
Alors, elle décida de quitter Fabien en douceur cette fois.
Même si ça lui faisait mal de le reconnaître, il n'était pas un bon parti, ce n'était pas possible de faire sa vie avec ce genre de mec, il était devenu un loser.
Cependant, elle s'était sentie un peu responsable de son état dépressif  car elle l'avait peut être un peu trop poussé dans ses retranchements même si elle se disait que c'était aussi une grande partie sa faute quand même.
Après y avoir réfléchi, elle décida de traiter le cas de Fabien comme une cause humanitaire et ça l'avait remotivé.
Elle voulait l'aider à se remettre sur pied avant de le quitter, elle en avait fait un défi personnel.
Alors, sans rien lui dire de ses intentions, elle changea son fusil d'épaule.
Elle décida de le booster, de lui faire croire que tout serait possible, que s'il allait mieux.
Elle décida de lui dire que s'il se prenait en main, elle l'aiderait, ils déménageraient en province.
Ils iraient s'installer à Lacanau pour faire du surf, ils monteraient son école tous les deux.
Elle s'en voulait un peu de le manipuler comme ça mais elle se rassurait en se disant que c'était pour la bonne cause si c'était la solution pour qu'il aille mieux.
Elle avait tellement bien vendu ce projet à Fabien, qu'il avait finit par y croire malgré les réticences énormes qu'il avait exprimé au départ à la grand surprise de Léa.
Quelques semaines après, quand il annonça à Léa qu'il était en train de sortir de sa dépression.
Il lui confia que son psy lui avait comprendre qu'il était passé à autre chose.
Il avait enfin fait le deuil de ses parents et avait fait en même temps le deuil du surf.
Il ne voulait plus en entendre parler même s'il appréciait tous les efforts que Léa avait déployé pour l'aider à se sentir mieux, c'était fini pour lui.
Il lui avait dit très sérieusement qu'il rejoignait son point de vue de départ, que c'était elle qui avait raison, qu'il fallait qu'il grandisse, qu'il arrête ses conneries, qu'il aille travailler comme tout le monde.
Même s'il n'était pas complètement heureux, c'était pas grave, car au moins il gagnerait de l'argent, ils pourraient voyager, faire du tourisme, aller chez Ikea, manger chez les amis.
Et surtout, il serait enfin un adulte à part entière, ils formeraient un vrai couple et elle n'aurait plus honte de lui.
Au début, quand il tenait ce genre discours avec son air illuminé, Léa avait de la peine et en même temps l'impression qu'il se foutait de sa gueule, qu'il lui disait ce qu'elle voulait entendre, pour lui faire plaisir.
A d'autres moments, elle se disait qu'il était en train de la manipuler ou qu'il lui  faisait payer tout ce qu'elle lui avait fait subir pendant toutes ces années où elle l'avait poussé dans le soit-disant droit chemin.
Mais il semblait sérieux et assuré quand il parlait de ce sujet et en plus elle le voyait faire des efforts et des actions dans le quotidien.
Il se levait le matin, s’était mis à faire du sport, à envoyer des lettres et des CV, à aller à des entretiens, à s'acheter des costards cravate.
Le pire c’était quand il s’était mis à faire le marché, à arrêter de boire de l'alcool et d'aller dans les bars.
Il l’écœurait et elle ne comprenait pas pourquoi.
Alors qu'il était enfin devenu l'homme de ses rêves comme elle l'avait espéré depuis 3 ans, elle ne le supportait plus.
Elle le trouvait terriblement chiant. Le pire c'est quand il s'était coupé les cheveux, là, elle s'était dit que c'était le début de la fin.
Sans s'en rendre compte, depuis qu'elle connaissait Fabien, Léa avait commencé à faire le chemin inverse dans sa vie.
Elle en avait marre d'être trop stressée, tendue surtout quand elle se rendit compte qu'elle était en burnout, le jour où elle avait failli envoyer chier son chef de manière violente.
C’était au moment où il venait de lui annoncer qu'elle allait être augmentée mais qu'il fallait qu'elle travaille jusqu'à 22h un soir par semaine.
Elle avait dit non à son chef et ne s'était pas reconnue.
Léa avait toujours été un bon petit soldat. Elle faisait ce qu'on lui demandait sans broncher et n'avait jamais dit non à personne.
Elle avait découvert après un instant de panique, que ce non avait été un oui à elle-même, tant pis pour l'augmentation.
Elle avait par la suite inspiré un nouveau respect de son chef à son égard.
Elle en profita pour ne plus faire tout ce qu'il lui demandait sans rien dire et à faire plus de choses pour elle.
Elle négocia avec lui de  partir plus tôt du travail un soir par semaine et s'était inscrite à un cours de flamenco.
C'était fini pour Léa de faire passer tout le monde avant elle.
Elle en avait marre de ne jamais rien faire pour elle, de ne jamais se faire plaisir et de passer sa vie à se bourrer de médocs.
Il était temps qu’elle arrête de passer sa vie chez le médecin ou le kiné pour son mal de dos lié au stress.
Son aventure avec Jamon, son prof de danse, l’avait aussi aider à se sentir mieux.
Il l'avait regardé comme Patrick Swayze dans DirtyDancing alors qu'ils étaient seuls dans la salle à la fin d'un cours et lui avait dit sur un ton charmeur, qu'elle ne pouvait pas continuer à vivre avec cette tristesse dans les yeux.
La baise endiablée qui s'en était suivie valait bien le coup d'être restée plus tard ce soir là.
Elle y repensait quand elle était au lit avec Fabien.
Comme Fabien se sentait mieux, ils s'étaient remis à baiser ensemble même si elle s'ennuyait royalement avec lui.
Cette baise avec Jamon et la discussion sur la vie qui s'en était suivie lui avait ouvert les yeux. Elle ne voulait pas gâcher sa vie pour Fabien.
Jamon qui était aussi coach de vie à ses heures perdues, avait fait comprendre à Léa  qu'elle n'avait jamais voulu que Fabien devienne ce qu'il n'était pas.
Il lui avait dit que c'était l'influence sociale qui l'avait poussé dans ce sens et qu'il fallait qu'elle s'en détache à tout prix pour penser à elle/
C’était la clé pour l’aider à trouver ce qui elle voulait être et elle serait enfin heureuse.
Léa se disait que tant pis, si Fabien avait changé et pensait que devenir un zombi, c'était sa solution au bonheur.
Elle y avait cru elle aussi et elle savait maintenant que ça ne menait à rien.
Elle ne voulait plus de cette vie, elle voulait foncer, ce qui impliquait de prendre la décision de partir.
Ce matin là, elle avait fait sa valise et avait laissé un mot à Fabien pour dire qu'elle était désolée et était partie sans regarder derrière elle.
5 ans étaient passés depuis que Léa avait pris la décision de changer de vie.
Léa surfait tous les matins avant de travailler. C'était pratique, car elle travaillait à la plage.
Elle était devenue la gérante d'une petite école de surf à Lacanau qu’elle avait repris alors qu’elle était sur le point de fermer.
Elle avait remonté l'école, embauché des profs et la gérait à merveille. Elle était enfin heureuse.
Elle avait rencontré l'homme de sa vie sur les vagues. C'était un  beau surfer, blond,  Brian, qui était aussi un riche homme d'affaire américain.
Ils s'étaient très rapidement installés ensemble dans une maison  qu'ils avaient acheté au bord de la plage.
Léa était fière de sa nouvelle vie.
Elle était rentrée chez elle.
Elle profitait du beau temps, allongée dans son hamac, un livre à la main quand  Brian lui donna une lettre.
Léa ressentit une onde de tristesse et de la curiosité quand elle vit le nom de Fabien sur la lettre.
Elle prit son courage à deux mains et l'ouvrit.
Elle découvrit une photo de bébé, c'était une petite fille.
Ce qui la surprit le plus, c'était la légende du faire part où il était écrit  :
Fabien et Hugo et Marita, sont heureux de vous annoncer la naissance de Sofia, leur petite fille.
La lettre lui tomba des mains.
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