#La Très Grande Boucle
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La Mode nationale, no. 12, 17 juillet 1886, Paris. No. 3. — Coiffure historique, de la maison de Bysterveld, 4, boulevard Malesherbes. Bibliothèque nationale de France
No. 3. — Coiffure historique ou allégorique de la Nuit. Grande chute de boucles sur les épaules, pouf de frisures très légères sur le front, grand croissant sur le côté gauche, pose de voile à petit sable argent, étoiles de grandeurs diverses placées çà et là.
No. 3. — Historical or allegorical hairstyle of the Night. Large fall of curls on the shoulders, poof of very light curls on the forehead, large crescent on the left side, installation of a veil with small silver sand, stars of various sizes placed here and there.
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J'ai fait une paralysie du sommeil cette nuit. J'étais angoissée et impossible de me rendormir. C'était presque une nuit blanche. Puis, je suis sortie de mon lit et j'avais un mélange de peine et d'anxiété dans le ventre. J'ai pas aimé cette journée. Comme les autres. Les mêmes questionnements me fracassent la tête. J'ai l'impression que je ne vais pas tenir cette année scolaire, encore moins cette relation. Je suis vide de passion, la seule chose que je fais c'est créer du bordel, le ranger, pas dormir, un peu manger, faire des allées retours, regarder mes mails sans cesse, ne pas être intéressée, m'embrouiller avec mon mec, dire des mensonges à mes parents. En soi, rien ne distingue vraiment cette année des autres. On a souvent les mêmes sujets centraux. La solitude est pénible. Le temps à occuper aussi. Les respirations à prendre pareil. Les embrouilles qui me nouent l'estomac n'en parlons pas. Et les deadlines c'est peut-être le pire. En soi, rien de très grave. Rien n'a jamais été très grave, j'ai juste un faible seuil de tolérance je crois. En ce moment, la mutilation tourne en boucle dans ma tête, j'y pense quotidiennement mais là c'est percutant. Je serais plus capable de quitter mon copain pour pouvoir accéder à ces pensées intrusives que pour les réelles raisons, son insuffisance. Je pense qu'il ne retrouvera pas une fille aussi intelligente que moi car je fais déjà partie de la moyenne basse qui l'a accepté et qui a accepté tant de choses. Le ratio contribution rétribution ne cesse d'être alarmant. J'ai de moins en moins faim. Je regarde beaucoup mon téléphone. Les heures de creux s'enchaînent. Les prises de notes sont incomplètes. Les sourires défectueux. Les mensonges toujours très aboutis. Les nuits toujours éparpillées. Je dissocie tous les jours et je vois que de plus en plus de monde commence à comprendre que j'enregistre pas tout de mes journées. C'est dur à cacher. Je ne me souviens de rien, ou pas grand chose, peu importe la valence des événements. J'étais une gamine triste, je suis maintenant une adulte triste qui sait que c'est les années les plus libres qu'elle vit et pourtant, je suis enfermée dans beaucoup de choses. Je passe à côté de moi, de mes valeurs, de ce que j'aimerais faire j'imagine même si au fond, je sais pas trop ce qui serait plus supportable. Quand tout est difficile, la facilité c'est de se dire que n'importe quoi d'autre serait mieux, plus aisé. J'ai toujours fonctionné comme ça et pourtant, je me rends bien compte que non. C'est pas l'inconnu en soi le problème, c'est de partir dans l'urgence de situations qui nous déplaisent pour se jeter dans le reste. Je regrette et si je devais dire quoi, je ne saurais pas tout énumérer. Je ne me suis jamais sentie foncièrement mieux depuis l'hôpital mais j'ai fait comme si c'était reparti. La vérité c'est que je suis transie de tout, paralysée devant la ligne de départ. Je suis terne, amère et désagréable parce qu'au fond je ne sais pas comment gérer cet inconfort permanent lié au simple fait d'exister. Des fois, je me dis qu'il faudrait aller revoir un psy mais visiblement j'ai toujours la réponse à tout. Mon père m'a toujours appelée la moralisatrice, j'ai toujours été vexée mais finalement, ça doit être ça. Trop faible pour faire comme il faut alors j'emmerde les autres pour qu'il réussisse là où j'ai échoué. Personne ne me demande rien. Je me sens tellement triste et ça passe jamais et je me répète toujours. Je suis rongée par des insécurités qui ont lieux d'être mais qui sont bruyantes. Relationnellement parlant je ne sais pas comment faire et finalement je sais même pas si un jour j'ai su. Je sais pertinemment que si j'avais la chance de repartir à zéro, il faudrait très peu de temps pour que je revienne dans ces cercles vicieux. Je me demande vraiment si je suis emetophobe à force de ravaler chaque fois mon vomi.
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[In the pale dust I have discerned signs that frighten me.]
X - Mars Éditions
Sur le voyage du retour de Londres à Paris, j'ai lu Nuit Sans Fin encore et encore. C'était un livre très court; juste 9 poèmes étranges, chacun accompagné d'une photo encore plus étrange. Les première et dernière pages se composaient uniquement d'un triangle, un blanc et un noir. Les poèmes décrivaient une sorte de voyage à travers le monde souterrain. Des rituels magiques et une mythologie élaborée qui n'était pas facile à comprendre. Le vocabulaire était très compliqué; beaucoup de mots inconnus ou démodés.
Par exemple, la première poème, simplement intitulé I:
Pour se réadapter Ces nombreuses hyènes Qui tout blêmit disparaissent doucement
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai compris sans comprendre. Ce livre pourrait révéler quelque chose, mais quoi ? Je ne savais pas. Après l'avoir lu en boucle pendant quelques jours sans progresser, je me suis rendu compte que le nom de l'éditeur était bien sûr mentionné au dos du livre. J'ai trouvé leur numéro de téléphone et j'ai décidé de les appeler.
Mars Éditions, bonjour ?
Oui bonjour, je vous appelle parce que j'ai une question sur l’un de vos livres; Nuit Sans Fin.
Pas de problème, comment puis-je vous aider ?
J'ai beaucoup de questions, en fait. Tout d'abord, je me demandais si vous saviez qui l'a écrit ?
Malheureusement, non. Je ne pense pas que cette information soit connue.
Ah, vraiment ? Tellement bizarre. Mais plus curieusement, il n'y a pas de date de publication dans le livre, c'était publié quand initialement ?
La première édition date de 2017, mais je pense que les poèmes sont beaucoup plus vieux. Il y a environ 300 ans, probablement.
Je ne comprends pas. Normalement, un livre comme ça comprend une sorte d'explication; un avant-propos, n'importe quoi. C'est intéressant que vous l'ayez publié juste comme ça, sans contexte ni sans aucune autre information.
Oui, en fait…(longue pause)
Vous êtes toujours là?
Oui. En fait c’est un peu difficile à expliquer. On est une entreprise familiale. L’entreprise a été fondée en 1869 par mon arrière-arrière-grand-père qui s'intéressait aux livres obscurs et mystérieux. Mon arrière-grand-mère, qui a repris l'entreprise, n'était pas différente.
Mais le livre Nuit Sans Fin est beaucoup plus récent et a sûrement été publié récemment?
C'est vrai, mais les circonstances sont compliquées.
Compliqué ?
Oui, après le décès de Michal, l'entreprise était déjà dirigée par sa petite-fille Ray depuis de nombreuses années. Mais il y avait des instructions très détaillées dans son testament à propos de ce livre.
Des instructions?
Comment le publier, quelles informations inclure, quelles photos utiliser, les photos du livre sont évidemment beaucoup plus récentes que les poèmes. Même la date exacte de la publication.
En quoi est-ce si important ?
1er Février, 2017. Le 555e anniversaire de Jean Trithème, ou Johannes Trithemius si vous voulez.
Trithème ?
Un personnage très intéressant. Il était un abbé bénédictin allemand célèbre pour ses découvertes en cryptologie, pour ses chroniques, mais aussi comme ésotériste.
Quel était le lien entre Michal et Trithème ?
En fait, le premier livre que Mars Éditions a publié était une réédition de Stéganographie, son ouvrage le plus connu. Ce livre se présente comme un traité d'angéologie d'inspiration kabbaliste, avec des explications pour communiquer sur de longues distances avec les esprits. À l'intérieur de ce livre, Trithème cachait de nombreux secrets. Il a effectivement inventé la cryptologie, l'art de cacher des informations.
Quel type d'informations ?
Je suis désolé, je dois prendre un autre appel. Au revoir.
Juste comme ça, je suis resté silencieux.
#s08e07 and the kicker is..#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#pale dust#signs#terra incognita
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Pleurotes et moisissures
Sous l'Ancien Régime, la Toussaint était synonyme pour les gens de justice de repos, de même que la veille, et beaucoup de ses collègues célébraient leurs noces le 30 octobre, le 31 et la Toussaint étaient réservés au jeûn et à la pénitence. Charles-Henri se souvenait que la journée de la Toussaint, après la messe, était presque toujours célébrée d'une récolte de pleurotes, envahissant leurs bouleaux à Brie en automne. Ces champignons à texture de boeuf étaient grillés le jour même. Avec la Révolution, ce n'était plus vraiment le cas. Les jours saints étaient retirés, et le Parlement dissous. Maintenant, il était occupé au tribunal, en trains d'estimer le nombre de future condamnés qu'il aurait à décapiter. Le métier de bourreau exigeait de lui d'assister aux procès, non pas par obligation légale, mais pour pouvoir prendre en avance les mesures nécessaires au bon déroulé des exécutions. En rentrant chez lui, il se rendit immédiatement dans son laboratoire/pharmacie/bureau pour faire ses prières puis après prendre un bref repos. Il allait reposer sa tête, quand soudain…Il apperçue, ce qui ressemblait à une fillette nue aux longues boucles noires, ternes et duveteuses comme la fourrure d'un chat. "Jeune fille…Que faites-vous ici ?" Elle se leva sans la moindre pudeur. Il lui remarqua un teint de porcelaine cendrée avec des yeux très cernés, puis qu'elle n'était pas parfaitement nue, mais qu'elle n'avait qu'un petit pagne de tissus des plus rudes passant directement entre ses jambes. Son apparence n'était pas pleinement humaine…Bien que ses cheveux soient volumineux, ils ne cachaient pas entièrement ses oreilles pointues tant elles étaient larges et son ossature était anormalement gracile et ses grands yeux avaient des iris assez grandes et d'un bleu lavende. Bien que Charles-Henri savait qu'un tel regard était indécent, mais il jeta un coup d'oeil sous son corps. Les jambes étaient entièrement glabre, avec des fesses et des cuisses cadavériques, et l'avant de celle-ci striées d'eccymoses fraîches qui arrivait jusqu'à une ligne trançant les limites des tendons des genous, tracée au charbon et qui commençait à se délaver. Visiblement, elle était habituée à une discipline ferme. Son expression était proche de la panique, et elle s'était recorquevillée dans un coin de la pièce, se faisant aussi petite que possible. "Vous vous êtes enfuie d'une correction ?" demanda-t-il en se penchant à son niveau. Il répéta sa phrase en yéniche, en anglais et en latin, sans être davantage compris. Après un moment d'hésitation, il fit pour eux deux une tasse de tisane de sorbier. "Désolé, mais je ne peux rien vous offrir de plus efficaces pour les bleus. J'ai perdu le droit de fabriquer de l'axonge humaine." Elle attendit qu'il boive la première gorgée (et ils partageaient une théière), soit par politesse, soit par crainte d'être droguée. Elle s'assis en position du W pour la consommer.
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La vallée des roses
En rejoignant la vallée des roses, nous avons visité la Kasbah d'Amridil. Cette très ancienne demeure appartient toujours à la même famille depuis le XVII ème siècle. De nombreux tournages de film y ont été réalisés (dont Lawrence d'Arabie) et elle figure sur les anciens billets de 50 dirhams, avec Hassan II.
En allant sur la vallée des Roses, nous apercevons au loin le Mont M'Goun (4067 mètres) qui est recouvert de neige, suite aux fortes intempéries de ces derniers jours.
Nous arrivons à la maison d'hôtes "Les jardins du M'Goun", petite maison traditionnelle en pisé, tenue par Lahcen et sa maman Fatima. Nous sommes accueillis et reçus avec une très grande gentillesse.
La soupe berbère du soir...
Le petit déjeuner avec le "pain cailloux" ( cuit sur les cailloux) et l'amlou (le "Nutella" marocain �� base de noix d'argan, amande, miel et huile d'argan).
Lahcen est également guide et nous retrouvons avec lui le plaisir de la rando. Nous partons à la découverte des jardins cloisonnés par des haies de rosiers et entourés des montagnes rouges (oxyde de fer).
Le lendemain, nous faisons une boucle qui relie 4 villages en altitude.
Nous rencontrons des enfants qui ne vont à l'école qu'une demi journée. Cela permet à tous les enfants de la famille d'être scolarisés...
Les petites filles rencontrées nous chantent l'alphabet arabe et Flo l'ABCD en français.
Le pont (tronc d'arbre) a été emporté par la crue récente, nous faisons comme les cow-boys au Rio Grande !
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Particularités innées - troisième œil
HÉRÉDITÉ ‧₊˚ Particularité se voulant génétique, être oracle signifie avoir un ancêtre possédant le don du troisième œil dans son arbre généalogique. L’héritage n’est toutefois pas systématique et il est fréquent que des générations sautent, la nature de la divination elle-même n’étant pas forcément celle de sa·on prédécesseur·se mais bien liée à sa personne propre. Ainsi le don d’oracle peut remonter à son père comme à son arrière arrière arrière grand-mère, tout comme ces derniers peuvent être affiliés au sang quand l'affinité du/de la descendant·e va à la lumière.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Possédant un instinct peu commun, l’oracle est parcouru·e de visions passées et futures d’une clarté et longévité variable suivant le niveau de maîtrise. Le déclencheur est propre à chacun·e, allant des cartes à la boule de cristal en passant par le toucher, tout comme la nature de la vision, certain·e·s entrant en transe tandis que d’autres le voient en rêve. La voyance n’est toutefois pas la seule corde à leur arc, maîtrisant également divers rituels, malédictions et bénédictions.
Les oracles appartenant à quatre ordres distincts, c’est l’affinité magique qu’iels possèdent qui les répartit dans l’un d’eux. A savoir qu’on ne peut changer d’inclination, celle-ci intrinsèquement liée à nous, à moins que notre nature profonde soit drastiquement altérée comme par exemple, avec une transformation vampirique.��� Les oracles de sang pratiquent l'hématomancie, l'utilisant pour leurs rites et traditionnellement en pacte avec des vampires. Iels sont à l’origine de leurs artéfacts familiaux, le sang du/de la voyant·e encapsulé magiquement dans une boucle d’oreille leur permettant de sortir à la lumière du jour. Iels acquièrent en contrepartie longévité et pouvoirs renforcés. ⭢ Les oracles nocturnes s’en remettent aux astres et lisent l’avenir dans le ciel, traditionnellement lié·e·s aux loups. Iels sont les seuls capables de pouvoir soigner une morsure, amenant à une transformation et non à la mort. Iels se chargent également du tatouage rituel permettant d’apaiser la cicatrice, encre mêlée à la poussière d’étoile et baignée par la pleine lune. Iels adoucissent ainsi le quotidien des loups tous les quarts d’année, la meute tatouée ensemble pour favoriser le partage d’énergie. ⭢ Les oracles de lumière sont attiré·e·s par l’astre solaire, ses rayons leur permettant d’entendre les chuchotis du monde, hypothèses ou certitudes fredonnées dans leurs esprits et s’y implantant. Iels sont traditionnellement affilié·e·s aux daemonis qu’iels apaisent dans leur inéluctable sentiment d’insatisfaction en faisant brûler sur leur piqûre un encens dont les vapeurs les font divaguer des heures durant. ⭢ Les oracles de la terre, autrefois voué·e·s à n'avoir aucune spécificité, souffrant d’un mal-être physique indéfinissable, se sont trouvé·e·s à l’éclosion de la brèche. Une fois en contact avec les particules de l’explosion appartenant aux créatures maltraitées, la souffrance devint limpide, échos de leurs appels à l’aide désespérés. Leur affinité éveillée par ce biais, iels sont relié·e·s aux non mages contaminé·e·s qu’iels peuvent aider à se contrôler via la création de canaux d'énergie magique nécessaire à leur santé, les particules ne cessant de les calciner. La potion qu'iels préparent à l'aide de rituels, nommée Shadowbane, leur permet également de limiter la souffrance infligée aux Tracés. Iels perçoivent aussi les pertes de contrôle futures de celleux n’ayant encore aucune marque, et alertent les traceurs du danger.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Suscitant l’intérêt des sorcier·e·s et plus encore du ministère car capables de "dompter" les fléaux, nécessaires à leur survie, iels sont très demandé·e·s et apprécié·e·s par la société. On ne peut toutefois s’empêcher d’éprouver un peu de crainte à leur contact, ces derniers délivrant autant un avenir parfois défavorable que possédant l’habilité de maudire son prochain.
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Paris, dimanche 3 mars 2024.
Carnaval des femmes, la fête des blanchisseuses de la mi-carême. Circuit en boucle, départ du Chatelet, le Marais. De la musique, de la dance, des boliviennes, musique d'Amérique latine. De la couleur (même si mes photos sont en noir & blanc) dans la grisaille de Paris, sous une pluie fine.
"Le Carnaval des Femmes est inspiré par la Fête des Blanchisseuses, qui se célèbre à la mi-Carême, soit vingt et un jours après Mardi Gras. La Mi-Carême est une grande fête féminine et populaire, qui remonte au moins au XVIIIe siècle. À Paris, la corporation des blanchisseuses, féminine, populaire et laborieuse, travaillait dans les dizaines de lavoirs et bateaux-lavoirs. Elle était composée de personnes de condition très modeste, énergiques, faisant un travail physique et aimant s’amuser.
À la Mi-Carême, les blanchisseuses élisaient une reine et lui donnaient un écuyer. La reine soutenue par son écuyer se rendait dans le bateau (le bateau-lavoir), où des ménétriers (Ménestrel) l’attendaient. Elle ouvrait le bal. La danse durait jusqu’à cinq heures du soir ; la reine montait alors avec son écuyer dans un carrosse, et toute la bande suivait à pied, jusqu’à une guinguette pour s’y réjouir toute la nuit."
Source https://www.evous.fr/Le-Careme,1181492.html
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Rafael Nadal, a annoncé ce jeudi 10 octobre 2024 de prendre sa retraite à l’âge de 38 ans
«Merci beaucoup à tous ». C’est avec ce message tant redouté par de nombreux fans, que le tennisman espagnol, Rafael Nadal, a annoncé sa retraite du circuit professionnel à l’âge de 38 ans « Je suis ici pour vous dire que je quitte le tennis professionnel. Dans la vie, tout a un début et une fin et je pense que le moment est venu de mettre un terme à ma carrière, qui a été longue et bien plus couronnée de succès que je n'aurais pu l'imaginer » je disputerais une dernière compétition, par équipe, avec l’Espagne en Coupe Davis à Malaga du 19 au 24 novembre 2024, avant de définitivement ranger sa raquette. « Je suis très enthousiaste à l'idée que mon dernier tournoi sera la finale de Coupe Davis, et d'y représenter mon pays. Je pense que c'est une façon de boucler la boucle quand l'une de mes premières grandes joies comme joueur professionnel fut la finale remportée en 2004 à Séveille. Sa retraite est donc désormais officielle pour celui qui avait passé les deux dernières années à tenter de retrouver sa forme après de nombreuses blessures. On pensait néanmoins qu’il poursuivrait jusqu’en 2025, après avoir, notamment, repoussé ses adieux lors du dernier Roland-Garros, le tournoi du Grand Chelem qu’il a le plus remporté avec 14 titres pour un total de 22 Grand Chelem. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle il avait été l'un des derniers porteurs de la flamme olympique, lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024, preuve du lien étroit qu'il entretient avec la capitale française.
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Flufftober 2024 : Rencontre mignonne en cherchant un animal perdu
1er octobre
Rencontre mignonne en cherchant un animal perdu (Lost pet meet-cute)
Luigi x Daisy (Mario)
Pour vous, les gens d'Escal'Atlantic : parce que je vous aime.
Le royaume de Sarasaland ne vivait pas sous les mêmes latitudes que le Royaume Champignon. Pour un 1er octobre, il faisait chaud et sec et ces dunes de sable et ces architectures en pierres étaient merveilleuses. Luigi avait envie d'en explorer chaque recoin.
Évidemment, il savait que certains cactus, coiffés de fleurs d'une couleur différente, étaient vivants et qu'il y avait des monstres du désert, des crapules cachées dans les anciens temples et des aliens, mais il n'avait pas l'intention de vraiment sortir des villes! Peut-être juste prendre de l'altitude sur un un promontoire à l'écart, afin de mieux profiter de la vue sur le désert, mais ce serait tout! Il n'était pas son frère, il n'était pas assez valeureux pour se permettre d'aller dans de nouvelles zones sauvages le nez au vent, ou assez fort pour risquer qu'on lui demande son assistance en tant que héros.
Cependant, Luigi était profondément gentil. Lorsqu'il vit un petit animal a l'air bien vulnérable et anxieux bondir par-dessus les limites de la ville pour s'enfuir dans le désert, il s'élança sans réfléchir à sa poursuite.
Il ne se posa plus la question de la dangerosité des lieux devant cet animal en détresse. Et pas d'avantage si cette innocente bestiole avait pu l'attirer volontairement dans un piège, lorsqu'il se retrouva à devoir grimper au sommet d'un cactus avec son protégé sous le bras. Encerclés par des termites cybernétiques du désert !
Luigi était bien embêté et il était en train de se demander s'il était capable de crier assez fort pour qu'on l'entende, lorsqu'un petit tapotement poli se fit entendre sur la carapace d'une des termites. Le plombier en vert sursauta, autant que les monstres: comme il était occupé à scruter l'horizon, déterminer si la capitale de Sarasaland était très loin ou pas, il n'avait pas vu la nouvelle venue s'approcher. Ses talons aiguilles orange avaient pourtant dû faire du bruit dans le sable du désert. Elle portait une robe quatre tons plus clairs, avec un col, des jupons et des manches qui faisaient penser à des pétales de marguerite. Il y avait des fleurs aussi dans ses accessoires: dans ses boucles d'oreille et sur sa couronne.
« Princesse Daisy ? l'interpela timidement Luigi, car son frère lui avait parlé d'elle. »
Mais il avait une voix trop douce et la régente de Sarasaland était en train de bouter les termites cybernétiques loin du grand cactus, à coups d'escarpins experts! Elle avait dû entendre les lamentations de détresse de l'animal, elle aussi. Peut-être même que c'était le sien.
« Et que je ne vous y reprenne plus! lança la princesse aux monstres qui s'enfuyaient sans demander leur reste. »
Luigi voulut lui signaler de nouveau sa présence, la remercier, mais l'animal qu'il tenait encore sur son bras s'échappa soudain pour bondir dans l'étreinte de sa maîtresse. Le plombier moustachu se retrouva entraîné dans son élan.
« Oh là là ! s'écria Daisy en discernant soudain cette ombre qui lui tombait dessus. »
Heureusement, elle avait de bons réflexes. Ses bras gracieux et ses mains gantées de blanc rattrapèrent l'infortuné héros comme s'il ne pesait pas plus lourd qu'une plume – ce qui était loin d'être faux. Elle lui sourit. Ses yeux bleu foncé avaient la couleur du ciel à la tombée de la nuit.
« P… Princesse Daisy ? répéta Luigi, confus.
-Oh ! Tu dois être le petit frère de Mario, devina-t-elle avec enthousiasme. Il m'a beaucoup parlé de toi après m'avoir sauvée de cet horrible Tatanga. Et voilà que tu as secouru mon petit trésor à ton tour! Est-ce que tu n'as pas envie de rentrer avec moi au palais pour que je puisse te remercier ? »
Luigi acquiesça, le visage tout rouge. Elle le reposa par terre et ils reprirent le chemin de la capitale, l'animal retrouvé de Daisy s'emmêlant dans ses jupons. Pour une première rencontre, c'était étonnant. Il avait le sentiment de ne pas être au bout de ses surprises avec la princesse !
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Cover details
La Mode nationale, no. 36, 11 septembre 1897, Paris. No. 1. — Chapeau de jeune femme. Bibliothèque nationale de France
No. 1. — Chapeau de jeune femme en feutre gris, s'abattant légèrement sur le front en relevant sur les côtés. Devant, grande plume d'autruche très frisée et couchée. Sur le côté, nœud de velours noir, retenu au milieu par une boucle de strass et cachant le pied d'une autre plume blanche, retombant sur le côté; voilette de tulle blanc.
No. 1. — Young lady's hat in gray felt, falling slightly on the forehead and rising at the sides. In front, large ostrich feather, very curly and lying down. On the side, black velvet bow, held in the middle by a rhinestone loop and hiding the foot of another white feather, falling on the side; white tulle veil.
#La Mode nationale#19th century#1890s#1897#on this day#September 11#periodical#fashion#fashion plate#cover#detail#description#bibliothèque nationale de france#dress#hat#veil
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenêtre du salon, sa cigarette lui brûlait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensées.
Il s'assit sur le canapé, puis vérifia son sac de voyage remplit de ses dernières emplettes. Gabin vérifia encore une fois ses papiers d'identité. Tout était en ordre , il était prêt à partir, il n'avait plus qu'à poser les charges d'explosif, bien réparties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il était content de son dernier repas , il l'avait dégusté avec ferveur, il savait que c'etait sa dernière tranche de foie avant de tout faire péter.
Gabin se souvint soudainement du soir où ils avaient fait l'amour sous une porte cochère, c'était à l'initiative d'Amelie, il avait cèdé volontiers à ses désirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les caméras au-dessus de leurs têtes.
En pensant à cette soirée, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congélateur où se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- à l'avenir ! dit-il en levant un verre à nouveau remplit
C'était en novembre denier, ils avaient loué une maison pour quelques jours, arrivés là-bas, trempés par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient très bien qu'il s'était demandé si elle allait lui arracher ses vêtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle à cet instant là.
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait très bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouï peut-être
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en écartant une mèche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce séjour qu'il avait pris la décision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'était pas sûr d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus être quitté, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvé très belle, il avait préparé un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'était l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tête de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment là, Gabin pensa à sa mère, étant sûr que le dragon c'était elle. Petit il sentait les muscles de sa mère quand elle le serrait très fort. Elle lui transmettait certainement ses désirs, son amour. Il se rappelle qu'il étouffait dans ses bras là . il aurait aimé être à la place de l'homme sortit de l'ombre mais à l'époque il était trop petit.
Un autre personnage assistait au loin à la scène mais on le distinguait très mal.
La vidéo avait connu un succès d'estime , elle était virale sur le net. Grâce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restèrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas être quitté, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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et la dernière révélation c'est qu'en vrai l'histoire de mon meilleur ami amoureux de moi dans le passé assez lointain et plus ou moins proche tellement proche que peut-être encore maintenant ça me soûle car je me dis que ça aurait peut-être pu être un super amoureux de lycée quand on était constamment collés tous les deux ça m'aurait peut-être évité certains traumas dont je me serais amplement passée et d'avoir le cœur brisé aussi et je suis sûre qu'on serait restés amis après bref je pense que ce sujet va encore tourner un peu en boucle dans ma tête quelques temps et j'ai envie de dire à tout le monde bouuuuhh il était amoureux mais j'ai pas grand monde à qui le dire et je crois que tout mon entourage de cette époque le savait déjà alors bon c'est juste marrant et ça me fait un peu du bien aussi de me dire que quelqu'un a pu être atrocement amoureux de moi comme ça sachant que c'est quelqu'un que j'aime aussi très fort même si pas comme ça
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20 juillet
au cimetière. j'ai réussi à retrouver mon banc préféré sous le sapin à côté de la pierre tombale noire qui ressemble au monolithe de 2001 l'odyssée de l'espace planté dans l'herbe tout seul. j'ai erré dans les allées pendant trois heures pour le retrouver, ce cimetière est encore plus grand que ce que je pensais et c'est en train de devenir mon endroit préféré sur terre. en venant j'écoutais modern love en boucle encore et encore, hier soir en rentrant à pied de la s bahn à trois heures du matin je la chantais toute seule sur le trottoir et quand je me rappelais plus des paroles je regardais sur mon téléphone comme si j'étais en train de répéter un truc. ça m'a tellement donné envie d'avoir un truc à répéter. je pensais aux autres qui avaient décidé de continuer la soirée dans un club et je les enviais pas du tout. j'étais contente d'être moi, toute seule sur la karl-marx-strasse en train de chanter modern love comme si j'étais vraiment toute seule. je pensais à lola de paris qui m'a écrit hier, elle boit pas d'alcool elle non plus et je me suis dit qu'elle aussi serait rentrée seule en chantant dans la rue. ça m'a réconfortée et ça m'a fait sourire. j'aime penser à des gens et sourire.
en chemin je pensais à n. et à son amant mystère qui sont rentrés à six heures ce matin et qui étaient encore au lit quand je suis partie et je me suis de nouveau dit que j'étais contente d'être moi avec ma vie bizarre en route vers le cimetière avec mes cheveux mouillés et mon journal dans ma banane. je veux dire que j'étais pas jalouse, je l'enviais pas et je me sentais pas nulle et moche et seule. je me sentais bien avec moi-même. ce matin au lit je me disais que n. était comme un moulin, un vrai moulin en état de marche, un moulin parfaitement fonctionnel qui fait de la vraie farine, de la bonne farine ou de la mauvaise farine je sais pas, mais elle en fait. alors que moi je suis un de ces faux moulins que j'ai vus dans le bus l'autre jour à la campagne quand on est passés devant un parc d'attractions avec des décors hollandais. de loin on voit pas que c'est un faux moulin. personne hier soir ne savait que je faisais pas de farine. je viens de me faire éclater de rire toute seule sur mon banc. en partant tout à l'heure j'ai vu des baskets noirs à côté de mes converse dans le couloir et je suis quasiment sûre que c'est ceux du catalan de la fête.
21 juillet
très bonne journée je me suis levée à onze heures et je suis partie au schlachtensee avec n. et j. parce qu'il faisait mille degrés. évidemment tout le reste de la ville avait décidé de faire pareil et c'était ma vision précise de l'enfer, la s bahn était bondée et quand on est arrivés on aurait dit qu'on allait à un festival, tous ces corps dénudés et joyeux qui se dirigeaient tous vers la même pelouse, mais j'étais contente de faire quelque chose avec mes nouveaux amis. et surtout ça m'a donné l'occasion de nager. nager m'a donné confiance en moi pour le reste de la journée. nager me donne toujours confiance en moi. j'en ai bouché un coin à j. alors j'ai j'essayé de lui apprendre à faire des mouvements amples et à se détendre pour dépenser moins d'énergie et avancer plus vite. ça me faisait du bien d'être celle qui est à l'aise. à l'aise avec son corps surtout. je lui disais que dans l'eau j'avais pas besoin de le porter, c'est ça qui change tout. dans l'eau y a pas de gravité, donc tout est léger. c'est la gravité qui gâche tout toujours. il faudrait que toute la vie se passe dans l'eau. c'est le seul endroit où j'arrive à être légère et détendue. quand j. est sorti parce qu'il était crevé à force de me suivre j'ai fait un aller-retour vers l'autre rive au crawl, il faisait très vert sous l'eau et c'était bizarre de pas avoir les yeux qui piquent. je me suis laissée flotter sous un arbre qui formait une grotte feuillue au dessus de l'eau, petit paradis, j'avais plus envie de repartir pour aller rejoindre les autres dans l'enfer.
au milieu de l'enfer y avait deux filles qui lisaient sur leur serviette avec leurs jambes entremêlées. elles avaient toutes les deux les cheveux courts, une était seins nus et lisait le journal, l'autre était un peu butch et elle lisait un livre qui ressemblait à une édition gallimard. j'ai dit à n. que c'est ça que je voulais. lire le journal seins nus allongée sur une serviette avec la jambe emmêlée dans celle de ma copine. comme j'avais pas pris de livre j'en ai profité pour écrire un message à la fille qui vend son microkorg sur kleinanzeigen parce que j'ai décidé que j'avais plus de temps à perdre, i got shit to do. r. m'a envoyé un morceau de starla online où elle chante juste accompagnée d'un synthé et il m'a dit que ses morceaux étaient assez simples à jouer et puis en trainant sur le site de la maison de la poésie locale j'ai trouvé un appel à performances poétiques deadline 28 juillet et je veux proposer un texte accompagné au synthé. une fille sur ig m'a parlé du réseau des autrices francophones à berlin aussi et ça m'a un peu réconciliée avec la ville. musique et mots musique et mots musique et mots. c'était le titre d'un article arraché dans un magazine de musique accroché au dessus de mon bureau quand j'étais au lycée.
22 juillet
j'ai enfin acheté un tapis pour recouvrir l'horrible moquette. je suis allée le chercher ce soir au coucher du soleil dans une banlieue glauque dans un appartement glauque chez un type encore plus glauque qui m'a dit bonjour je m'appelle michel et je suis un homme et non une femme je sais que mon nom peut prêter à confusion et une puis une fois qu'il a eu détecté mon accent français il a dit michel comme michel platini! je crois que berlin me rend moins peureuse. pour ce genre de trucs du moins. j'ai peur nulle part. j'ai moins peur de l'altérité parce que j'y suis plus exposée. mais à la réflexion j'étais pas non plus hyper peureuse avant de venir ici. j'ai pris mon tapis neuf encore emballé j'ai payé sans marchander et je suis repartie avec mon tapis dans les bras. dans la rue j'ai croisé un homme qui promenait son chien qui m'a regardée comme si je sortais de chez mon dealer, je sais ce que tu viens de faire, dealeuse de tapis.
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LE REGNE ANIMAL - On a beaucoup entendu parler de ce film "coup de poing", alors oui, il est violent, certainement aussi choquant, anxiogène et parfois même bouleversant. Le propos est fort mais court, la portée de l'image est intense, mais la longueur du film délaye un peu la puissance d'un message qui au final manque un peu d'élaboration.
Et donc, Le Règne Animal est avant tout une attaque en règle bien sentie et légitime sur la folie humaine dans sa barbarie la plus crasse, faisant vivre avec force l’assertion hobbesienne de l’homme loup pour l’homme. C’est pour certains le besoin primal et instinctif de domination, y compris et surtout sur ce qu’ils ne maîtrisent pas. Pas besoin d’un certificat diplômant d’éthologie pour entrer au cœur du sujet. Mais point de catégorisation ou de binarité chez Thomas Cailley, ni homme ni femme, ni homme ni bête, encore quelques gentils et pas mal de méchants, mais il déclare aussi son amour à l’humanité quand celle-ci est portée par le cœur battant des héros discrets.
Mais le propos n'a pas toujours lieu de cité, Le règne animal, c’est aussi du grand spectacle visuel, auditif, bestial et quasi olfactif ! Croisement foisonnant et parfois délirant des genres, entre typiquement le film de genre, en mode univers SF totalement assumé et décomplexé, de la bonne grosse vanne au moment où l’angoisse nous étreint le plus, avec en supra la quête maternelle, le besoin de se renifler et une quête d’affection toujours dramatiquement inassouvie.
Nous sommes ainsi ramenés à notre condition animale de bipède social, dans cette magistrale démonstration Darwinienne qui remonterait le temps en sens inverse…
Le plus parfait exemple du coté très décalé du film, est la scène de la voiture avec le moment Pierre Bachelet, et l’anthologique Elle est d’ailleurs (1980) chanté à tue tête à travers la forêt. Un véritable délire père/fils que de rouler à tombeau ouvert dans ce territoire hanté par des créatures hybrides homme/animal, en cherchant la femme, la mère, avec "Et moi je suis tombé en esclavage" qui hurle dans le poste. Au-delà de l’atypisme de la situation et du jeu extrême du contraste, c’est un grand moment de cinéma. François embarque son fils au préalable sceptique sur la quête de la femme de leur vie, à tous deux.
Au-delà du traité didactique sur la condition humaine, Le règne animal, c’est un geste, une intention, une mise en scène. La forêt ici filmée, c’est le monde, évidemment. L’homme, le locataire dégénéré. La démonstration est visuellement magistrale sur l’homme et l’animal qui ne font qu’un. Le message est poétique, avec cette aspiration du retour à la terre, la prédominance du retour à notre condition première et une ode onirique où le cinéaste laisse exploser toute la brillance de son inventivité, qui va jusques dans les recoins un peu glauques de sa créativité.
Pas de morale, pas de chute, pas de conclusion, les images défilent parfois pour elles-mêmes, délestées de tout propos. C'est à la fois la force et la faiblesse de ce film, dont le scénario n'est pas à la hauteur d'une idée peut-être plus choquante que profonde. Sur la fin, l'adolescent rappelle à son père qu'il fut un temps où il admirait les prouesses technologiques des humains. L'insertion fait mouche alors que la caméra du réalisateur s'emballe dans les profondeurs de la forêt, elle semble avoir subi les mutations qui rapprochent les machines du fonctionnement humain… La boucle est bouclée.
NOTE 16/20 - Expérience originale dans un cinéma français qui semblait tourner en rond. Le règne animal nous sort de nos paysages habituels, c'est un film à la fois fantastique, onirique, cauchemardesque et pop et sa catégorisation dans les inclassables en fait un vrai moment de cinéma : rare, intense, perturbant.
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''Terre Sainte'', vraiment ?
Après les lignes écrites hier, il ne m'est pas possible de passer à côté du 'énième' chapitre de la version moderne de la Guerre de Cent ans qui, le progrès technologique aidant, se déroule dans nos salons et nos chambres à coucher. Tant de fausses analyses ont été déversées depuis une semaine sur les victimes (consentantes, souvent, hélas !) des chaînes dites ''main stream'' qu'Il ne va pas être facile d'échapper aux lieux communs, aux clichés et aux fausses évidences (sans oublier les bobards auxquels nos politiques et nos organes de presse nous soumettent... Mais je vais essayer de me libérer de cette fausse impression d'honnêteté qu'on appelle ''le direct''...
1 - Il est inutile de rappeler les faits : depuis samedi dernier, les chaînes tournent en boucle sur des images épouvantables et, comme toujours, sur les explications biaisées de nos grands hommes si petits, sur des commentaires d'images qui s'en passeraient bien, tant elles sont terribles... et aussi sur l'engagement physique digne d'admiration de quelques jeunes femmes (pour la plupart ravissantes, ajoute le macho qui sommeille en moi), qui se révèlent comme de vraies journalistes, elles, et de superbes informatrices (NB : pourquoi ne vont-elles pas plus souvent en Ukraine ou en Arménie? On saurait, enfin, ce qui s'y passe, au lieu d'être soumis au tir à répétition en forme de psittacose de Pujadas et des experts en désinformation qui rendent LFI in-regardable !). Et inutile, aussi, de revenir sur le bilan, atroce déjà et qui risque de devenir cauchemardesque dans les jours qui viennent, des deux côtés, cette fois : nous sommes dans le royaume des grands chiffres !
2 - Devant les images et les récits, il m'est impossible de ne pas penser à un ouvrage –dire un ''brûlot'' serait plus précis-- dont je vous ai souvent parlé dans ce Blog : ''La Gestion de la barbarie'', qui est le livre de chevet des djihadistes, des terroristes et des islamistes lorsqu'ils deviennent fous : leur haine féroce pour tout ce qui n'est pas ''eux'' s'appuie sur une lecture officielle du Coran qui précise clairement que n'a droit au qualificatif d'Homme qu'un ''croyant''. Les autres, tous les autres humains à qui on nie ce titre, qu'ils soient chrétiens, juifs, athées, animistes, shintoïstes..., ne sont bons qu'à (ou doivent être) tués, ''juste parce que'' ... ou réduits en esclavage pour les deux premiers, en tant qu'appartenant à une ''religion du Livre''.
3 - Il faut bien comprendre qu'un esprit simple, endoctriné, façonné ''de traviole'' pendant toute sa courte existence dans ce qui est la plus grande prison à ciel ouvert du monde, conçue et imaginée par le Hamas mais maintenue en l'état par Israël (trop content !) finit par se sentir libre d'enlever, torturer et (pardon) tuer avant de pisser dessus... des ''choses'' qui ne sont pas des humains (des insectes ? des animaux ? des ''machins'' ?) puisque le Livre sacré le dit, mais qui sont des ennemis , puisque l'émir du jour l'affirme. Des ''cadres'' bien à l'abri dans leurs beaux hôtels de Téhéran ou de Qatar calculent des plans de Comm' qui vont forcer le monde à demander à Israël d'arrêter –après un ''baroud d'honneur'', le même depuis 40 ans : spectaculaire mais court, pour ne pas faire de ''dégâts collatéraux'' qui pourraient émouvoir certains de nos fournisseurs d'hydrocarbures...Déjà, au nom des otages ''bi-nationaux'', les Chancelleries tricotent, fantasment, et supplient.
4 - Un autre sujet d'étonnement concerne l'occurrence-même de cet événement, mais il relève d'une forme de ''complotisme'' : Israël dispose, de très loin, de la meilleure couverture en matière de Services Secrets, maillage très fin entre les services de la sécurité intérieure, appelés le Shin Beth, la branche du renseignement militaire, dite l'Aman, le renseignement extérieur (le célèbre Mossad), et les forces dites ''spéciales'' de Tsahal, le Sayerot, qui s'appuient sur une communauté séfarade originaire d'Afrique du nord qui parle l'arabe bien mieux que l'hébreu et dont chaque membre trompe facilement n'importe qui quant à son appartenance et son origine...
5 - Qui peut croire une seconde qu'une opération d'une telle importance ait pu être montée, lancée et réalisée sans que le moindre signal ait pu être perceptible par ces armadas de professionnels aguerris ? Il s'agit de plus de mille hommes lourdement armés, de pick-ups par dizaines, de motos plus nombreuses encore, de matériel lourd de destruction du ''Mur''... donc d'une logistique très importante et bien huilée (car elle a parfaitement soutenu les objectifs guerriers). Il va bien se trouver quelqu'un pour s'en étonner et remarquer que cette crise a transformé une dangereuse partition potentielle du peuple d'Israël en un peuple soudé devant l'horreur... la taille de la menace ayant, elle, été sous-évaluée. Il n'est pas interdit de se poser cette question, d'autant que l'Egypte vient de faire savoir qu'elle avait prévenu Israël de la proximité ''d'une action de grande ampleur''.
6 - Reste une question-choc : ''Et maintenant'' ? Des bombes, même en nombre effrayant, n'ont jamais arrêté un mouvement d'idées. Une opération terrestre lourde pose le drame des otages (cent cinquante? plus ? dont combien de multi-nationaux ?), tout comme un nettoyage par le vide --rejeter à la mer (car l'Egypte en crise économique ne va pas vouloir ni pouvoir les accueillir) dans les 2 millions d'arabes, pour la plupart très pauvres (dont un pourcentage conséquent de tueurs prêts à tout)-- ne va pas de soi, et la ''communauté internationale, prompte à déconner, va s'en donner à cœur-joie, dans le genre ''faux bons sentiments''. Décidément, entre l'horreur inracontable vécue samedi, les non-solutions réellement disponibles et la menace du Hezbollah sur le front nord, je n'aimerais pas être un dirigeant israélien, ce soir moins encore que d'habitude !
H-Cl.
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