#L'enfant de Gaia
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Rétrospective de l'année (2019)
Wow. 2019. Je ne sais même pas où commencer. Cette année était importante pour La Poison et La Pomme. Nous avons terminé deux grand projets et nous avons débuté deux autres. Nous avons travaillé et collaboré avec beaucoup de jeunes personnes - oratrices, orateurs, graphistes, youtubeurs, cinéastes, photographes; nous avons grandi notre équipe à travers les emplois d’été et les stagiaires; et nous avons laissé un impact sur le plan environnemental au Canada.
Les Forces de la Nature
2019 était l’année terminale pour ce grand projet qui a lancé notre organisme. « Les Forces de la Nature: L’Enfant de Gaïa » est une allégorie remplie de magie et de danger qui explore notre connexion avec la nature. Cette oeuvre, issue d’un travail d’équipe, vise à promouvoir la protection de l’environnement et ce à travers les péripéties de personnages hétéroclites. Nous avons commencé ce projet en 2017. Ça fait deux ans. Nous avons travaillé sur ce projet pour deux ans! C’est fou ça!
Mais oui. Je me rappelle ce jour-là en juillet 2017 quand j’ai téléphoné à Sam afin de lui parler de m’aider écrire une bande dessinée. Tout d’abord, nous avons cherché le financement. J’ai assisté au sommet Génération Plein Air par MEC où j’ai partagé mon idée devant un panel des gens importants de MEC. J’ai eu 3 minutes de les convaincre et je n’y ai pas réussi. Mon idée était trop différente. Trop « out of the box ». Mais j’ai fait des bons ami(e)s et je suis resté au contact.
Quelques mois plus tard, en janvier 2018, j’ai reçu deux bonnes nouvelles: (1) MEC a décidé de financer mon idée; et (2), je venais d’être accepté joindre la première cohorte de Portail océan. Avec ce parrainage, nous avons écrit, révisé, rérévisé et rérérévisé un texte rempli d’amour pour la lectrice/le lecteur, pour la nature et pour l’ensemble de la jeunesse canadienne. Nous avons intégré nos âmes dans les mots, nos esprits dans les phrases et nos coeurs dans le message.
En janvier 2019, nous avons reçu les illustrations d’Andie Lafrentz et nous étions en train de bosser pour rérédiger le texte dans la langue de Molière (pas une traduction, mais une écriture à nouveau) pour assurer que notre histoire était disponible pour le Canada dans son entier avec ses deux langues officielles. Vickie Arsenault s’est joint à l’équipe afin de nous aider. Après la finalisation des textes dans les deux langues, on était prêt de tout mettre ensemble. Ceci était le travail de Sara Qarizada, graphiste extraordinaire de l’Université OCAD. Nous avons également décidé d’offrir une version audio, encore pour être plus inclusif. Nous avons envie de partager l’histoire avec celles et ceux qui ne peuvent pas, ou qui n’aiment pas lire. Pour la voix en anglais, nous étions chanceux d’obtenir Zico He, youtubeur de Toronto; et pour la voix en français, c’était Gabriel Tougas, cinéaste franco-manitobain.
En avril 2019, nous étions prêts et le 2 avril 2019, nous avons lancé notre livre. Voici où vous pouvez le trouver.
Dans le cadre du lancement de notre livre, nous avons organisé deux fêtes: une à Edmonton, et l’autre à Montréal. Les deux étaient des grands succès et je suis reconnaissant de tout le monde qui nous a aidé dans la planification et l’exécution des événements.
Projet Snorkel
Cette année j’ai eu le grand plaisir de travailler avec mon ami Curtis Onaczyszyn et son amie Taylor Penzes! Faisant partie de la nouvelle cohorte de Portail océan, Taylor a conceptualisé l’idée d’un projet visant à nettoyer les lits des rivières et des bassins-versants au sud-ouest de l’Ontario: Projet Snorkel.
Ils sont venu me voir et ensemble, nous avons ajouté quelques éléments: une serie sur YouTube pour sensibiliser les gens sur ce qu’ils ont trouvé dans leurs sessions de nettoyage; un rapport après chaque nettoyage pour renseigner la municipalité en charge sur le statut de la nature sur sa protection, fournissant quelques conseils pour maintenir la propreté de l’endroit; et, un nettoyage communautaire pour rassembler la communauté locale autour de leur bassin-versant.
Ce projet a été choisi parmi des milliers autour du monde pour faire partie d’une exposition de la créativité jeunesse pour combattre les changements climatiques au sein du Sommet Action Climat à New York City! Curtis et Taylor ont touché plus de 40 jeunes personnes à travers l’été et leur travail ont affecté de centaines de personnes.
Personnel
En avril, nous avons eu le plaisir d'accueillir Vivian Walsh comme notre responsable de réseaux sociaux! Elle a pris contrôle de nos comptes Instagram et Facebook ainsi que notre blogue!
En octobre, trois nouvelles stagiaires se sont joint à l’équipe: Emily Hachmer, Shayna Cacciotti et Helen Mauch. Elles sont engagées pour nous aider construire nos projets pour l’année 2020. Donc, restez à l'affût!
#teampoison teamapple#rétrospective#de#l'année#nature#conservation#ProjectSnorkel#ProjetSnorkel#L'enfant de Gaia#Les Forces de la Nature#2019#2020
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Notre Dame de Paris, la reconstruire à l'identique, caprice de gamin qui refuse le tragique de la vie.
Notre Dame de Paris, la reconstruire à l'identique, caprice de gamin qui refuse le tragique de la vie. Non, il faut garder la béance en souvenir. Memento mori. La religion promet l'éternité. Vanité: la preuve. Cet incendie met les choses au clair.
Le gothique à l'époque c'était faire entrer la lumière. La lumière entre désormais et on a la technologie pour faire un toit de verre façon pyramide du Louvre. La béance maintenue ouverte, visible, nous rappellerait que nous sommes mortels: individus, œuvres d'art, civilisations, Gaia. La béance nous inviterait à prendre soin.
La cathédrale serait inondée de lumière: gothique sublimé. Ca coûterait beaucoup moins cher. L'argent ainsi économisé pourrait permettre d'initier des actions pour réparer la cathédrale du vivant. Ce serait le symbole universel d'un changement de paradigme, d'un nouveau départ: une révolution.
La cathédrale célèbrerait les noces du Soleil et de la Terre sous les auspices d'une humanité mieux veillante.
Si jamais cette approche te séduit, si tu penses comme moi qu'il y a vraiment une possibilité de faire de ce drame un nouveau départ de portée universelle alors, n'hésite pas à rebloguer, à partager ces quelques mots car, malheureusement, je ne pense pas que mon seul blog suffise à répandre cette vision sans parler des résistances fortes que je pressens: l'enfant veut qu'on lui rachète le jouet qu'il a cassé.
PS: le toit de verre pourrait être l'occasion de jeux de lumière façon vitrail, signe du chatoiement que l'humanité peut apporter en conjugant ses forces avec celles de l'Univers. Pour ma part j'imagine un vitrail inspiré du Douanier Rousseau, luxuriance de la canopée, animaux fantastiques, rêves du vivant. Une forêt tropicale, clin d'œil à la forêt disparue. La forêt, fille du Soleil.
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When The Doomsday Clock Struck Twelve
PROLOGUE: Ever since the timeless immeasurable coalescence of consciousness viz wrought higher thought propensity, and bequeathed the rudimentary tools of the then nascent malevolent (though unbeknownst to themselves, innocent looking, knee high primates, would attempt a futile declaration of independence, nonetheless their biological constitutional bound them to chromosomal amendments), would affix the seal of disapproval alluding to archaic contraband arms trade (those most primitive hominids forged sticks and stones as defensive means), yet unwittingly, jarringly, and alarmingly – in due millenniums got cursed with their own demagogic demise.
The prism of hindsight allows, enables and provides a peg leg up for us grand children to the power of googleplex from those nattering nabobs of…nature scant survivors to parse and piece together an anthropological spectrum analysis.
We can advantageously, yet delicately isolate (much more easily than those bipedal millennial lowbrow swedish, nor wee gin, and dane hush knuckle dragging forebears of contemporary residents of Lake Woebegone) that roamed vast expanses and virginal plains on the prowl for seedy stems, root stock, and grubs that formed a zigzag pattern of trial and error asper what did not kill them got the shortish brutes (yet to attain the realm noble savages).
These early primates rode a figurative and veritable zip line toward domination upon the healthy terra firmae, and unstintingly planted the spores for vast generational realms spelling beasty boy modern day prairie home companions, who accidentally stumbled upon the long lost culinary delicacy earning the equivalent of Michelin awards for high demand best selling powder milk biscuits comprising raw bits of NON GMO, gluten and msg free vintage Triceratops ground horn meal circa millenniums ago.
Inconclusive questions still abound asper how one wimpy, scruffy, and outlandishly kooky band of ambling ape like creatures attained the rand and file of most dominant, hogtied, and lukewarm pygmies strode right topmost uber valiant warlords.
One school of thought ascertains highly touted punctuated equilibrium theory. This hypothesis ordains a sudden and inordinate burst of species differentiation versus gradual feints evolving determination to cope.
A brush stroke of chance graced one great descendent of a monkey’s uncle (christened matthew scott harris – who just by beginners luck linkedin with all in his family inside a radiation proof arched bunker) with empirical and unique wisdom – at least in comparison with other feral and furry jungle loving spoonful sized swinging creatures.
No matter whether one attributes bytes of divine intervention, a mere crapshoot in the dice throw of fate, the scattershot fits and starts among Darwinian survival of the fittest brought an undeniable net result, which in toto spelled light years away complete and utter extinction for a biological experiment that went seriously awry.
Over the course of millennial generations, a combination of beginners’ dumb luck, coevals of circumstance and happenstance proffered the L'Enfant terrible civilization with the subtle trappings of preponderant transcendence and imminent domain over all the other life forms great and small.
This godlike domination and mantle to rule with an iron maiden fist would eventually and in short order cook to a crisp the supposed ribs from cosmic creator.
Mushroom became a hot commodity and premium especially as invisible shackles proved to chain these prehensile beasts acquired, reveled in unbridled power.
This inimitable coterie of chest thumping missing links into deluded them into owning a fools’ paradise.
A parabolic trajectory arced elliptically toward chaos of lex Lucifer at that atrocious, nefarious, and heinous explosion.
An innocent, innocuous and subtle series of incremental transitions fostered physiognomy of arboreal mammals to climb, crawl, shimmy and slide across various and sundry terrain.
At some metastatic stage, these informal claques and clicks spurred an inexplicable brainstorm to tap out a manifesto and stand up for vaguely grunted inalienable rights.
Who knows really knows how, what or when precipitated one unsuspecting ring leader to prompt a horde of hairy brutes to lurch ahead of the pack?
Once in an upright pose, the de facto leader probably received the first standing ovation.
An erect and more upright posture stepped up the advantages, which ironically enough set the stage for one after the other epic tragic 2017 spatial odyssey.
In the end one nasty, shortish, brute could end up wielding a bigger club, rattle a sharper saber and sadly and lastly fire off a deadlier warhead.
Fain to argue against the existence of diabolic ambitions and concomitant sinister treason against scripted virtuous blueprint fleshed out on the divine creators’ drawing board, when tell tale signs abundantly litter the byways and highways of the actual and information superhighways of this human lot.
That slow but inexorable ascent from the primordial ooze thence reaching upon the highest summit of egoistic grandeur also condemned and forebode a relatively terrible swift descent from what would turn out to be a hollow and precarious precipice.
Difficult if not well nigh impossible to discern any traceable handy dance blues clue of such demonic motives in the rather cute and furrowed brow, heart and soul of those ape men, women and children that happened to be above average.
Although anthropological lineage can be traced with a rather jagged line from that hazy humid dog day afternoon, an ordinate amount of energy plus a preponderant exuberant expenditure of crusading conviction found pitched battles with battle axes and crucifixions following pomp and circumstances infusing the exploits with pomp and circumstances of the fighting machine.
Like overgrown children egging the enemy for a zealous fight, that lethal brinkmanship set in motion an irreversible lethal assault.
Instantaneous electronic and satellite communications automatically instructed formerly hidden weapons of mass destruction to get launched from their respective silos only to bore down heavily on the designated pre-coded targets.
Tracers arced and lit up one fatal view of the celestial orb, gamut of constellations and cosmic mysteries burned as one collective blinding nihilistic imprimatur – upon billions of seared retinas!
This veritable blitzkrieg zeroed in on major metropolitan centers before extinction of détente ripped a black hole in the heartland.
Time seemed to be suspended and still for one brief yet glorious moment before those sinister mushroom clouds sprinkled spores, sprouted and populated the radioactive heavens.
A deafening ear-splitting sound filled the air just before the cherished landmarks got rent a sundered by this encompassing apocalypse now, with critical up to date emergency specification blared via national public radio, yet audio soundcloud muted by the sonic threshold waking up the recently grateful dead.
All phenomena became liquefied into gruesome, macabre and twisted shapes.
Entire populations became hostage to an evil genii loosed from the bottle of atomic energy.
This entropy purportedly milked from noble heart felt blood sweat and tears for fears.
The long march of history presented a completely replete treat of supremely intelligent mortal men and women bestowed with the benevolent title of genius ineluctably contributed to the annihilation of planet earth.
Forsooth thy willowy young lass named lingua franc me childhood sweetheart and newfound bride long gone bonnie oh
abeyance promulgated by Prometheus
reigning eternal radiation to glow
no more splendiferous raiment
nor sylvan paradise
bloweth gale like from thine beau.
A small number of multi-cultural Homo sapiens from Lake Woebegone (myself included plus a claque of hearty strapping Norwegian Bachelor farmers, whose diet of powder milk biscuits and raw bits a possible preventive inoculation) in addition to a cadre of various and sundry other species chanced to be on a reconnaissance mission ironically to broker negotiate word peace.
This motley crew (a typical representative sampling of most all the gamut per creed, nationality, race, religion, et cetera) of humankind experienced a collective gasp of horror at the blinding flash that cleft the globe into smithereens and shattered the atmosphere into at least a millions little pieces.
No more ability to support life in all those various and sundry manifestations with a newly forged asteroid belt birthed into existence.
Such an ignominious end and total destruction of mother earth (formerly replete with all the attendant diversification of flora and fauna) far exceeded the ability of our shell- shocked vestigial eclectic tribe.
This emotionally tattered remnant (once part of a now vanished misty, mythic, swashbuckling and vainglorious past) awash with self proclaimed manifest destiny and emancipation a little to late swore unbridled allegiance to all manner of god and country (incorporating hidden and inconvenient truths to boot chrome windows) no longer inhabited the four corners upon the plane of Gaia.
Prognosticators of yore spouting this, that, and the other end of world hypothetical scenarios could never even approach this catastrophe on a biblical scale times the power of google.
Witnesses in now way, shape nor form could capture even a paltry approximation the fury nor wrath of these tectonic nuclear blasts.
Classic literature steeped in the annals of the noble savage banging the tom-tom and emitting that blood curdling and ear-piercing scream.
This eruption of ferocity meant to breed fear and sought (perhaps in addition to a scalp or two) nothing short of being heir apparent sovereignty, a salient trait to bank upon.
How quaint that now iconic image frequently reminisced by artists, musicians, writers, et cetera contrasted with those last surviving exploitative ideologues qua demigods, who in the name of busy whacking democracy similarly plundered and raped with reckless impropriety and nonchalance.
Those pulverized remain permanently ensconced forever pinwheel thru the air of those skeletal concrete and steel reinforced fortresses.
Hot vicious thermal winds blew the thick mass of cremated ashes across the rubble strewn and severely cratered landscape.
The devil made mince meat oye vay
as like one huge lumbering ogre massive as Uruguay
and grim reaper got feedstock upon lovely bone covered tray
rolled up into one not so jolly green giant did slay
good will to all men
and spat out pox with an emphatic nay
triumphing over godly salvation
using eponymous accursed pitchfork
made merry and rolled in the hay
simultaneously sneering out in delight
at wanton death and decay
whereby civilization forever mutilated
and perforated said spindled World Wide Web structure
where once proud and strong spikes radiated
now sundered in total chaotic disarray.
EPILOGUE: Ever since the beginning of time, when one select group of primates owned an advantage to survive and transcend pitfalls and predators, their abilities to forage, hunt and scavenge for food and safety likewise eclipsed other equally adept tribes.
Vagaries, vicissitudes and voices initially in the form of primal groans and grunts began to weave the rudiments of traditions, which in no short time seem to thrive on sacrifice, superstition and many aspects of the kill.
At some juncture, one branch from the tree of homo sapiens would practically subsume the entire trunk line, thus render the once almighty, beastie boy, crafty duty enemy fly guy humbled.
Thus, the varietal genes and chromosomes encapsulating latent internecine torture and extermination bred dreadful heathen jimmied, linkedin, nasty pirated reprehensible totemic vicars xing zone.
Eons would elapse with negligible yet faintly perceptible notches of sophistication. Ever more egregious methodologies would be dreamt up, employed in peevish mock war games
Only to be inflicted on innocent civilians or military personnel as collateral trophies in the name of mortal combat.
#one misadventure of chance events would not pave the figurative way for me#you any other mortal from yesterday
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