#L’animal dans la décoration
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Maurice Pillard Verneuil (French, 1869 – 1942) “Lézard" Plate 25 in L’animal dans la décoration (Paris, 1897) NYPL collection
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Le marché de Noël
Je me suis inspirée d’un prompt du mois de Décembre de @creativepromptsforwriting : Marché de Noël. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Klaus ouvrit la boite en bois et prit l’objet qui s’y trouvait. Il s’agissait d’une décoration de Noël. Ce n’était qu’un simple renne sculpté dans du bois qui n’avait coûté que quelques dollars dans un marché de Noël. Mais pourtant, c’était devenu un objet auquel il tenait. Il ne put s’empêcher de sourire en repensant à la manière dont il l’avait obtenu. Il se demandait si Caroline s’en souvenait.
Disclaimer : The Vampire Diaries appartient à L. J. Smith, Kevin Williamson and Julie Plec.
@creativepromptfills
AO3 / FF.NET
Klaus regarda par la fenêtre. Il faisait nuit et la neige commençait à tomber. Noël serait bientôt célébrer dans quelques jours et toute la ville de Mystic Falls était décorée aux couleurs de cette fête.
Klaus monta au grenier et chercha un carton en particulier. Il sourit lorsqu’il le trouva. Il l’ouvrit et y sortit une petite boite en bois. Il redescendit dans le salon et se plaça devant la cheminée. Il ouvrit la boite en bois et prit l’objet qui s’y trouvait. Il s’agissait d’une décoration de Noël. Ce n’était qu’un simple renne sculpté dans du bois qui n’avait coûté que quelques dollars dans un marché de Noël. Mais pourtant, c’était devenu un objet auquel il tenait. Il ne put s’empêcher de sourire en repensant à la manière dont il l’avait obtenu. Il se demandait si Caroline s’en souvenait.
Cela s’était passé quelques mois avant son arrivé à Mystic Falls. À ce moment là, Klaus se trouvait à New-York. La nuit venait de tomber et il déambulait dans les rues jusqu’à ce qu’il arrive au marché de Noël. Il n’était pas du genre à fêter Noël et il se moquait de toutes ces décorations et de l’ambiance festive qui y régnait. Il était un vampire vieux d’un millénaire et Noël n’avait jamais rien représenté pour lui ou sa famille. Même si au fil des siècles, il avait vu cette fête évoluer.
Il entra dans le marché de Noël et se dirigea vers le stand qui vendait des sculptures de bois. Il y a une dizaine d’année, il avait trouvé ce stand par hasard. Il fut surpris lorsqu’il découvrit que le marchant vendait des objet qu’il avait sculpté il y a plus de cinquante ans. Ce n’était pas la première fois que Klaus retrouvait certaine de ses œuvres. Il avait même vu un dessin qu’il avait réalisé au XVIIème siècle dans un musée londonien. Mais il n’aurait jamais cru trouver ses sculptures d’animaux dans un marché de Noël. Le marchant lui avait expliqué qu’il avait acheté ces objets dans une braderie pour quelques cents.
Klaus s’arrêta à quelques mètres du stand et observa une jeune fille blonde qui regardait avec attention les sculptures. Elle était tellement concentrée, qu’elle ne l’avait pas vu arriver. C’était une grave erreur, pensa-t-il. S’il le voulait, il pourrait la tuer sur le champs. Il se demandait à quoi elle pouvait penser. Étrangement, il avait envie de savoir ce qu’elle pensait de son travail.
« Cette sculpture a l’air de vous fasciner. »
La jeune fille blonde sursauta et se tourna vers lui. Il vit qu’elle était très belle et il ne put s’empêcher d’humer son odeur. Elle était délicieuse. Il se demandait quel goût son sang pouvait avoir. Il n’allait pas la tuer tout de suite, pensa-t-il. Juste se nourrir. Elle lui sourit et il se dit qu’elle était suffisamment proche pour qu’il puisse l’hypnotiser. Elle lui montra la sculpture d’un renne qu’elle tenait.
« Je n’ai jamais vu un objet aussi détaillé. Ce renne à l’air tellement réaliste. Il sera parfait pour mes décorations de Noël. »
Klaus ne put s’empêcher d’être surpris. C’était la première fois que quelqu’un parlait de ses œuvres avec autant d’enthousiasme.
« C’est un objet fait main. On voit l’application de l’artiste à rendre l’animal vivant. On dirait qu’il va se mettre à bouger. »
Elle se tut et sourit, gênée de s’être montré ainsi devant un inconnu.
« Désolée, dit-elle. Quand je parle de Noël, j’ai tendance à m’emporter. Je veux que tout soit parfait. Un peu comme ce renne. »
Klaus essaya de cacher son étonnement. Bien sûr, ce n’était pas la première fois qu’on le complimentait. On avait souvent loué son talent, mais jamais avec autant de passion. Cette humaine le décontenançait. Il tenta de se ressaisir.
« Donc, vous allez vous en servir de décoration. »
Elle acquiesça.
« Je passe Noël avec mon père, son petit-ami et sa fille et aucun d’eux ne se préoccupe des décorations. J’ai décidé de prendre les chose en main. Et vous ? Vous êtes venu acheter des décorations ?
-Non. Je ne fête pas Noël.
-Désolée. J’avais oublié que beaucoup de personne ne fêtait pas Noël. C’est juste que je trouve qu’il y a quelque chose de magique et merveilleux pendant quelques jours. »
Il y avait bien quelque chose de spécial chez cette fille, pensa Klaus.
« Peut-être que je devrais acheter des décorations pour ressentir cette magie.
-Dans ce cas prenez-le. C’est un bon début. »
Elle lui tendit le renne et sourit. Klaus l’accepta. Il se retint de rire en pensant qu’elle venait de lui offrir sa propre sculpture.
« Je dois y aller, dit-elle. Joyeux Noël. »
Elle s’en alla et Klaus le regarda s’éloigner. Il n’allait pas la suivre et il ne la tuerait pas. Il voulait laisser quelque chose de beau dans ce monde. Pendant quelques minutes, cette humaine avait réussi à lui faire croire en la magie de Noël.
Klaus posa le renne sur la cheminée. Il n’aurait jamais cru que cette humaine qu’il avait rencontré dans un marché de Noël serait à Mystic Falls, ni qu’elle aurait été transformé en vampire.
Revoir Caroline lui avait fait retrouver la magie qu’il avait ressenti lors de leur première rencontre. Il lui avait été impossible de ne pas tomber amoureux d’elle. Il se demandait si elle se souvenait de leur rencontre. Probablement pas. Pour elle, il n’avait été qu’un inconnu avec qui elle avait parlé quelques minutes et qu’elle avait vite oublié.
« Tu as décidé de décorer la maison ? Ce n’est pourtant pas ton genre. »
Klaus se tourna vers Rebekah. Bien sûr, elle ignorait ce que cette décoration représentait pour lui.
« Tu ne devais pas sortir ? »
Rebekah leva les yeux aux ciel et s’en alla. Il n’avait aucune envie d’entendre les remarques de sa sœur. Il regarda à nouveau le renne en bois. Il avait appris que Mystic Falls avait installé un marché de Noël. Il décida de s’y rendre et peut-être qu’avec un peu de chance, Caroline s’y trouverait.
Fin
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"L’Animal dans la Décoration" Eugène Grasset 1897
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L’hôtel particulier (4)
Chapitre 4 : La chambre verte
- Tu es certain de ne pas avoir la clé ?
- Non, on ne me l’a pas donné, répondis-je.
- C’est peut-être fermé depuis trop longtemps, affirma Léo.
- A ma première visite, c’était ouvert. Je suis même rentré.
- Et ils n’auraient pas gardé la clé ?
- Le clerc de notaire m’a précisé avoir bien tout donné.
- C’est peut-être coincé finalement, pensa Léo.
Léopold approcha la tête et vérifia que le pêne était enfoncé dans la gâche. Il appuya de nouveau sur la poignée qui n’ouvrit rien.
- C’est quand même bizarre. Quelqu’un a forcément fermé à clé.
Soudain, des bruits de pas nous firent sursauter. La veille, Léopold avait à son tour entendu des enfants courir. Mais cette fois-ci, il s’agissait de Tatiana. Son short serré mettant en valeur son sublime cul fit rougir mon pote. Toutefois, il haussa les épaules en signe d’impuissance face à la porte du troisième étage.
- Il ne reste plus que le pied de biche, affirma-t-il.
Je m’apprêtais à descendre lorsqu’il nous apostropha. Une étrange clé reposait sur le sol. Elle se cachait sous une couche de poussière, preuve qu’elle n’a pas été utilisée depuis des décennies. Léo récupéra donc la clé et après l’avoir essuyée avec un mouchoir en papier, il l’enfonça dans la serrure avant d’ouvrir la porte tout en affichant un large sourire.
Le grenier ne semblait pas avoir changé depuis ma visite. Il s’agissait d’une énorme pièce faisant tout le bâtiment et séparée par quelques fragiles cloisons. Nous admirâmes les poutres apparentes sous la toiture. Un nid abandonné reposait juste en dessous de quelques tuiles espacées par le vent. Mes amis furent surpris de constater son état magnifique. D’habitude, les toits non entretenus tombent en ruine.
Eclairés par la lumière qui traversait la toiture, nous marchâmes dans un dédale de couloir en se demandant pourquoi on trouvait autant de séparations. Des fils de toiles d’araignée se collaient sur notre passage, nous obligeant souvent à s’arrêter afin de les retirer tellement leur présence sur notre visage et nos cheveux irritait nos sens.
Soudain Tatiana eut un haut de cœur. Je tournai la tête pour en connaitre la raison. Une corneille momifiée reposait sur un tas de fientes. Dégouté par cette sombre vision, nous continuâmes d’explorer le grenier. Il n’y avait rien d’intéressant, ni meuble ni malle oubliée. C’était juste une salle immense avec des pans de mur.
- C’est quoi cette porte ?
Face à nous, se dressait une porte que je n’avais pas remarquée la première fois. En fait, elle était trop éloignée de l’entrée pour être visible. Je tournai la poignée et surprise ! La porte n’était pas fermée, elle s’ouvrit difficilement dans un grincement lugubre. Lorsque je passai la tête pour voir l’intérieur, je restai stupéfait ; c’était une chambre.
Nous pénétrâmes dans la pièce, surpris de ne pas découvrir de poussière ni sur les murs au papier-peint vert ni sur le parquet en bois. D’ailleurs, Léo signala sentir la cire tellement il brillait. Il y avait suffisamment de place pour loger deux personnes. Je scrutai du regard cette chambre étrange à l’apparence de maison de poupée. Une porte-fenêtre donnait sur un balcon, seulement, je n’avais jamais remarqué de balcon autour de la maison. Nous fouillâmes dans les meubles. L’armoire, la commode contenait du linge, quelques vêtements en très bon état mais très ancien. On pouvait dire qu’on avait affaire à des costumes de spectacle ou d’un film des années trente.
- Le vieux qui habitait ici connaissait cette chambre ? demanda Léo.
Je ne répondis pas continuant de fouiller.
- Donc, il y a dix-sept chambres dans ta petite maison, affirma Tatiana.
Son expression sans équivoque indiquait qu’elle était tentée de toutes les essayer en y faisant quelques galipettes crapuleuses. Je relevai les sourcils, histoire de lui dire qu’on avait de quoi s’amuser.
Tatiana s’approcha du lit recouvert d’une élégante couverture. Elle appuya les mains sur le matelas avant d’annoncer qu’il était encore ferme et presque neuf. Tout à coup, un cri nous fit tressaillir. Ma copine recula en hurlant, Léo s’apprêta à fuir ; en même temps, mon cœur s’emballa subitement. Le lit venait de bouger !
Nous surveillâmes la bosse qui glissait sous la couverture. La chose apparue en quelques secondes, s’avança doucement vers les oreillers dont la taie semblait neuve. Je retins ma respiration me demandant quoi faire. De quel monstre s’agissait-il ? Le bord du couvre-lit se releva laissant sortir un chat noir ; l’animal aux yeux jaunes nous regarda avant de cracher et de courir en direction de la sortie.
Tatiana montra un visage de stupéfaction. En effet, elle se demanda comment ce chat pouvait être entré et comment avait-il survécu sans boire ni manger car il n’y avait rien qui signalait la présence d’un animal domestique dans la chambre ; Il n’avait pas de litière encore moins de bol ou de soucoupe. Je voulus le rattraper, seulement, la bête était déjà partie.
Dès lors, j’approchai de la porte-fenêtre. Un brouillard anormalement épais dominait le paysage si bien que je ne pusse voir au-delà. Cependant, je remarquai qu’il s’agissait bien d’un grand balcon et non une terrasse. J’essayai d’ouvrir la porte-fenêtre, en vain. Celle-ci bloquait pour je ne sais quelle raison. Je repris donc ma fouille dans cette chambre à l’apparence magnifique.
Une étrange magie régnait dans l’atmosphère. Petit-à-petit, je me sentis comme émerveillé par la décoration florale. Pourtant, il n’y avait de fleurs que sur le papier-peint vert. C’était quelques roses rouges et blanches. Des dessins d’oiseaux donnèrent l’illusion d’être dans un jardin. Je marchai vers le lit afin de m’assoir quelques secondes car je me sentis brusquement troublé au point de tituber légèrement. Tatiana était allongée sur le lit tandis que Léo récitait un poème long et lent. Il dansait langoureusement comme s’il cherchait à draguer ma copine. Ce n’était pas son habitude d’autant qu’ils se connaissent bien et ont toujours été de très proches amis.
Je ne réagis pas de suite aux avances de Léo. Il retira son T-shirt exposant un torse bien fait. Tatiana le regardait avec un air malicieux. Sa langue humecta sa lèvre supérieure, de même, elle commença à laisser glisser ses doigts dans le sillon entre ses seins. Pendant ce temps, j’observai, attendri par cette scène en me disant qu’ils feraient un joli couple.
Soudain Tatiana se releva, elle sortit de la chambre précipitamment et s’arrêta une fois la porte franchie. Nous la regardâmes un peu effaré par sa course spontanée puis, nous la rejoignîmes. De retour dans le grenier, je n’avais plus dans les narines cet étrange parfum de fleurs. Je retrouvai une meilleure santé. Nous restâmes un peu tout en observant la porte ouverte avant de commencer à se poser des questions. Léo suspecta un gaz certainement provoqué avec le contact de l’air lorsqu’on avait ouvert la porte.
- Mais et le chat ? interrogea Tatiana. D’ailleurs, il est passé ou ?
Nous ne trouvâmes pas l’animal dans le grenier, nous devinâmes qu’il était descendu, peut-être sorti dans le parc car j’avais laissé les fenêtres ouvertes afin de créer un courant d’air et d’atténuer l’odeur de peinture dans mes quartiers habitables. Durant le retour entre les cloisons, nous découvrîmes un second oiseau mort. Celui-ci était mort récemment.
Une fois au ré-de chaussé, je sortis de suite pour faire le tour de la maison. Je cherchai le balcon. Je fis le tour deux fois sans rien trouver pouvant indiquer où situer la chambre. De même, je réalisai qu’il y avait un soleil magnifique dans le ciel…. pas un nuage…alors où était passé le brouillard que je vis par la porte-fenêtre ?
Alex@r60 – janvier 2021
Photo: attic room par Henry Davis Sleeper (antiquaire américain, 1878-1934)
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L'animal dans la Décoration Chromolithographic patterns from L'animal dans la Décoration (1897) by Maurice Pillard Verneuil (1869–1942), a French artist and decorator in the Art Nouveau and Art Deco movement. Verneuil studied and developed his style from Eugène Grasset, a Franco-Swiss pioneer of Art Nouveau design. Inspired by Japanese art, nature and particularly the sea. He is known for his contributions to the Art Deco movement through the use of bold floral designs on ceramic tiles, wallpapers, textiles, and posters. We have digitally enhanced the decorative illustrations from L’animal dans la décoration (1897) for you to download under the CC0 license. Download for free under the creative commons 0 license.
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ULTIME CONQUÊTE…
Sur le coup, je n’ai pas compris. Je l’avais abordée sans conviction, par habitude, presque par réflexe. Quand je suis entré, elle était assise au bar. Grande, brune, sexy, moulée dans sa petite jupe noire lamée, elle avait quelque chose d’incongru dans ce décor minable. Je me suis assis à côté d’elle. Joe m’a servi mon habituel whisky (ce devait être le dixième de la soirée...) et j’ai commencé la procédure d’approche classique. J’ai sorti mon paquet de cigarettes et je lui en ai offert une. Elle a tourné lentement la tête vers moi. Elle avait des yeux verts, incroyablement perçants. Des yeux de chat. Un regard presque insoutenable. Du coup, je l’ai observée plus en détail : un décolleté profond, une taille d’une remarquable finesse et de longues jambes fuselées à damner un saint. Un véritable chef-d’œuvre! Elle a dû lire mon désir dans mes yeux. Elle a souri, découvrant une rangée de dents pointues impeccablement alignées et d’une blancheur inouïe. J’ai eu envie de me mettre à hurler. Au lieu de ça, je lui ai offert un verre. Mes mains tremblaient légèrement quand je lui ai tendu le sien. Qu’est-ce qu’une beauté comme elle fichait dans un pareil taudis? On a commencé à causer.
Elle avait une voix grave et chaude, très sensuelle. J’en avais des frissons dans la nuque et le cœur qui battait la breloque! Je sais plus trop ce que je lui ai raconté (ni ce qu’elle m’a répondu d’ailleurs) mais au bout d’une demi-heure, elle m’a proposé d’aller prendre un peu l’air. J’aurais juré illico de ne plus jamais boire pour l’entendre dire ça! Dehors, il pleuvait. Une petite pluie mesquine et tenace, balayée par un vent glacé. J’ai refermé le col de mon imperméable. Curieusement, elle semblait ne pas ressentir le froid dans sa petite robe légère qui se soulevait par intervalles, découvrant des cuisses dans lesquelles j’avais envie de mordre.
Je lui ai proposé un petit tour en voiture. Elle a souri. J’ai pris ça pour un oui et on est monté dans ma vieille Jaguar, dernier vestige d’un temps où l’argent coulait à flots. Avant que je me mette à avoir un penchant un peu trop sérieux pour l’alcool... On a fait quelques kilomètres sans dire un mot puis elle m’a lancé de but en blanc qu’on pourrait aller chez elle. J’ai fait un brusque écart sur le côté et j’ai failli emboutir la voiture qui roulait sur la file de gauche. En même temps, j’ai entendu comme un grondement sourd et rauque. Instinctivement, J’ai tourné la tête. Elle me fixait avec ses yeux de chat et il m’a semblé que ses pupilles avaient un aspect étrange que je n’avais pas remarqué auparavant. Je me suis dit que j’avais trop picolé. Comme d’habitude… On est arrivé chez elle juste après. Un immeuble grand standing, genre tour de verre, avec une entrée en marbre blanc et un ascenseur capable d’embarquer un trente tonnes. Elle a appuyé sur le dix-septième et on est monté en silence. Là, j’ai eu une autre vision. Elle était de profil et j’ai vu soudain son menton s’allonger et son nez s’aplatir et s’évaser. J’ai entendu de nouveau le grognement rauque, plus fort que dans la voiture. Il semblait sortir de sa gorge. Juste à ce moment-là, elle s’est rapprochée de moi et a posé doucement sa tête sur mon épaule. J’ai senti son parfum, fort et musqué, envoûtant, et j’ai enfoui ma tête dans ses cheveux noirs et épais. Je me suis promis de ne plus toucher un verre de la soirée. L’ascenseur donnait directement dans son appartement. Une succession de pièces immenses avec des murs blancs, meublées sobrement et avec goût, sans luxe tapageur. Presque aucune décoration. Juste un immense tableau, dans ce qui devait être le salon, représentant une forêt tropicale ou un truc dans le genre.
Elle m’a dit de me mettre à l’aise et elle s’est éclipsée. J’ai ôté ma veste et je me suis vautré dans le canapé. Ça s’annonçait bien. Pourtant, j’avais une sensation bizarre, comme une sorte d’appréhension que je n’arrivais pas bien à définir. J’ai fermé un instant les yeux pour tenter de faire le vide dans mon esprit. Ce n’est pas dans mes habitudes d’avoir des états d’âme dans ce genre de situation. Je serais plutôt du genre fonceur. En général, je réfléchis après. Le grognement a retenti soudain, très fort, tout proche. J’ai fait un bond dans le canapé et j’ai senti mes cheveux se dresser sur ma tête. Dans l’entrée de la pièce, il y avait un tigre qui m’observait. Une bête énorme, colossale. Il a lancé un long rugissement en retroussant les babines, découvrant des crocs formidables. J’ai senti ma vessie qui menaçait de lâcher. Je me suis levé doucement et j’ai commencé à me diriger vers l’ascenseur. Le tigre s’est avancé et est venu se placer de façon à me couper la retraite. J’ai remarqué la taille de ses griffes et je les ai imaginées me lacérant le visage. J’ai senti mes jambes qui flageolaient dangereusement. Il s’est dirigé vers moi. Ses muscles roulaient majestueusement sous sa fourrure. J’ai fait un pas en arrière, puis deux, puis trois, incapable de réfléchir et d’ordonner mes pensées. L’animal avançait toujours et j’ai continué à reculer en lui faisant face.
Je me suis d’abord retrouvé dans un long couloir sombre et étroit puis, au bout d’un moment, il y a eu un petit bruit métallique derrière moi, comme un glissement. Toujours guidé par l’animal, je suis entré dans une petite pièce faiblement éclairée. J’ai senti une odeur épouvantable m’entourer et j’ai marché sur quelque chose de flasque et visqueux. J’ai baissé les yeux et j’ai eu le temps de distinguer une main déchiquetée et sanglante! J’ai cru que j’allais vomir. Le tigre a fait un bond dans ma direction. Toujours de dos, j’ai pénétré dans une sorte de cage en acier à peine plus haute que moi. Sans me quitter des yeux, l’animal a poussé la porte d’un coup de patte. Elle s’est refermée avec un claquement sec tandis que la lumière froide d’un néon s’allumait au plafond. Il y a eu un petit déclic et le pêne du verrou a coulissé sur lui-même. J’ai su immédiatement que ce serait inutile d’essayer de le forcer. Au moins, j’étais en sécurité. J’ai regardé autour de moi, à travers les barreaux. Il y avait des taches de sang partout. Le sol était jonché d’os de toutes sortes et de morceaux de tissu et de chaussures lacérées. Dans le fond de la pièce, il y avait plusieurs crânes humains. Sur l’un d’entre eux pendaient encore quelques lambeaux de chair putréfiée. L’odeur était pestilentielle.
Quand mon attention s’est reportée vers l’entrée, le tigre avait disparu et la porte, un panneau d’acier lisse et probablement blindé, s’était refermée. Sur le sol, juste devant, dans une mare de sang écarlate, il y avait les restes récents de ce qui avait dû être une cage thoracique, une jambe presque intacte et la main sur laquelle j’avais marché. Je me suis mis à pleurer comme un gosse. Je suis resté comme ça, prostré, pendant un temps interminable, avec l’impression de patauger dans un cauchemar épouvantable et terrifiant. Puis la porte s’est effacée et elle est entrée, moulée dans sa petite robe sexy. Je me suis agrippé aux barreaux et je lui ai expliqué tant bien que mal ce qui venait de se passer. Mais elle ne semblait pas m’entendre. J’ai senti la panique me gagner. Je n’arrivais plus à trouver mes mots. J’ai commencé à hurler et à la supplier de m’ouvrir. Je devais avoir l’air d’un dément. Et puis elle a semblé enfin s’apercevoir de ma présence. Elle m’a regardé longuement. Ses pupilles ont pris une étrange luminosité. Elles ont rétréci progressivement jusqu’à ne plus être que deux petites fentes. Je me suis tu instantanément. Elle a ouvert la bouche et a émis un long grognement sourd, bestial. J’ai senti la terreur s’infiltrer dans mes veines. Ses yeux se sont arrêtés un instant sur la carcasse par terre, juste à ses pieds. Sa langue est passée plusieurs fois sur ses lèvres puis elle m’a souri. J’étais tétanisé. Ce n’est que quand elle a quitté la pièce que j’ai retrouvé toute ma lucidité. J’ai revu le bar. Je me suis souvenu avec quelle facilité j’avais pu l’aborder.
Et là, j’ai compris...
V. H. SCORP
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 12]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11] Le jour 12, Gustave fut beaucoup sur l'ordinateur. Depuis le début de la nouvelle ère, Gustave se demandait, avec un peu plus de virulence chaque jour, après le déjeuner, ce qu’il aurait pu devenir, autrefois, quand il était temps encore. Il avait joué de malchance, concluait-il, catégorique. Mais il y revenait, malgré lui, d’heure conne en heure fine, à petits bonds furtifs. Que s’était-il donc passé ? Avait-il raté quelque chose ? Sa pensée dans le monde d’avant serpentait d’abord, multipliant les longs détours à travers de vagues paysages, allemands, italiens, où il se souvenait avoir marché, des années plus tôt, en Toscane, en Saxe, avec des amis dont il avait pour la plupart perdu la trace et presque entièrement le souvenir, à trente ans de là. Des beuveries jusqu’au petit matin dans des bars clandestins, des concerts, des théâtres, une aube d’été à Dresde, des trajets de trois heures en train jusqu’à Chemnitz où il donnait des cours de français, le dense ciel bleu qui baignait la ville dès cinq heures, un éblouissement. C’EST FLOU, QUAND MÊME. C'EST SUPER FLOU, GUSTAVE, C'EST COMME SI TU N'AVAIS PAS ÉTÉ LÀ. BLEU, MATIN, TERRE, DRESDE : TU N'AS RIEN DE PLUS PRÉCIS ? Gustave prenait la mouche. Il ne supportait pas quand il s’apostrophait ainsi et se manquait de respect. Alors il se relevait d’un bond, rejoignait la cuisine et son ordinateur ouvert sur la table. Il plongeait dans les sites d’informations, les fils, les réseaux, la toile, les liens. Le WWW. Il épluchait tout, en prévision de la période d’après la nouvelle ère, la Nouvelle Nouvelle Ère. Il recopiait. Il accumulait. Il rebondissait de fil Twitter en fil Twitter, s’exclamait, relayait, mettait des cœurs, haranguait, jetait des points d’exclamation, apostrophait avec rage. Il ouvrait des dizaines de pages web à la fois, sautait de l’une à l’autre, comparait, en français, italien, allemand, anglais. Il traduisait via les logiciels de traduction en ligne. Il vérifiait certains termes complexes. Il avalait tout, les yeux fixés sur l’écran, affamé, tremblant de rater quelque chose. Il avait échangé des insultes en ligne avec @Frédéric – « Consultant en prise de parole stratégique | Amoureux des mots » et avec @Louise – « Être humain du moins j’essaie | Je bloque les trolls direct. » Il cherchait une réponse cinglante à @Nicolas – « Si tu crois aux rumeurs t’es un fils de pute » qui avait fait une allusion fielleuse à son retweet de @Marie « J’espère que ça va péter | Je veux l’apocalypse maintenant. » Il supputait la possibilité d’un verre ou d’un repas un jour futur avec « @Rosanette – « Mon libraire mon univers ! | Passionnée par les Livres et la Nature | Mes tweets n’engagent que moi 😀 », mais ne se précipitait pas, se contentant de retweeter tous les deux jours un de ses posts. Il lui avait parlé des films de Lubitsch qu’il adorait. Il proposerait bientôt de lui envoyer via GrosFichiers Le ciel peut attendre, ce chef-d’œuvre de 1943. Elle comprendrait son humour, sa finesse, son goût. Il l’inviterait à boire un café en début d’après-midi, car il l’imaginait libre de son temps, comme lui, et vivant de minima sociaux. Un café en début d’après-midi n’engageait à rien, ne valait pas date comme un dîner ou un verre à 20 h. Il aurait laissé ses grosses lunettes Afflelou à la maison pour avoir l’air sportif. Ils évoqueraient leurs quatre mois confinés. Il la laisserait parler, ne lui couperait pas la parole, ne lui lirait pas ses poèmes de jeunesse, ne déclamerait pas les tirades de Radio-Plouc dont lui seul rirait. Après un troisième rendez-vous, il proposerait un dîner et elle accepterait. En attendant, Gustave dégueulait @LolaL « Chanteuse engagée | Folk et permaculture », 13 000 followers, qui annonçait la sortie d’un nouvel album. « Regardez-moi cette affreuse bonne femme ! » cria-t-il à l’adresse de ses enfants Charles et Léon, « elle a le toupet de faire de la retape pour vendre sa camelote. Ces artistes de merde n’ont aucune vergogne ! » « Chacun son flic, son curé, son artiste, tuez-les tous ! » rugit encore Gustave qui avait un peu fini la bouteille de rouge à midi. « On s’en fout tu sais, papa », répondaient les deux petits gars, déguisés ce matin en chefs de guerre, des décorations en papier doré collées avec du scotch sur leur T-shirt. Ils jouaient à rendre visite aux poilus du front, comme on l’avait vu faire au président la veille. Ils voulaient faire tous les deux le président. Ils avaient décidé qu’il y aurait deux présidents. « Alors, disait Charles, ça va mon brave ? Pas trop dur la vie sans masque ? » « Soldats ! Je suis content de vous, renchérissait Léon. Vous avez justifié tout ce que j’attendais de votre intrépidité ! Vous avez décoré vos aigles d’une immortelle gloire. Il vous suffira de dire "Je travaillais à l’hôpital public", pour que l’on réponde : Voilà un brave ». « Si vous survivez, vous jouerez à la Wii tant que vous voudrez ! » concluait Léon. Puis Gustave se souvint qu’il n’avait pas d’enfants. À intervalles réguliers, toutes les deux ou trois minutes, il fermait les nombreuses pages ouvertes sur Firefox et regardait ses pieds, puis le mur d’en face. Trois ou quatre heures passaient ainsi, à rouvrir et refermer les dizaines et dizaines de pages ouvertes sur le monde, avant qu’il ne finisse par éteindre l’ordinateur, qui le lâcherait bientôt de toute façon, espérait-il, pour revenir à sa vraie, sa position préférée, allongé dans le couloir, prêt à lancer de nouveaux filets plus fougueux vers sa vie d’avant. En y repensant, et il avait tout son temps pour y repenser, il se demandait s’il ne partait pas un peu trop tôt, un peu trop tard, dans ses histoires avec les gens. Il ne cultivait aucune relation suivie. Rodolphe, Jérôme, sa mère, son ex-femme, ce n’était pas grand-chose. Il avait sans doute trop vécu avec Napoléon, adolescent, dont il s’étonnait de retrouver dans sa mémoire des petits restes coagulés, aujourd’hui encore : le pont d’Arcole, l’auto-couronnement sur le tableau du sacre par David, les visages gris bleu sur des chevaux décharnés pendant la retraite de Russie. Sur l’immensité ténébreuse de l’Histoire, saillissaient encore çà et là, sans aucun rapport entre eux, Bayard mourant, l’Appel du 18 juin, l’assaut du RAID à Marignane, Chirac repoussant un soldat israélien à Jérusalem. Tout cela ensemble composait son histoire de France. Il avait été sensible, quoi qu’il en eût, à la prestation du président sous la tente militaire à Mulhouse. Elle lui avait rappelé certaines toiles d’Antoine-Jean Gros, les grands formats qu’il avait vus dans les livres d’histoire puis au Louvre : Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa, par exemple. Bien sûr, dans le cas de l’ancien inspecteur des finances, l’improvisation, le ridicule, une sorte de comique presque assumé se mêlaient à la posture, mais cela aussi n’était pas tout à fait absent des toiles de propagande impériales. Un corbeau s’était posé sur le toit d’ardoise de l’immeuble en face, et remuait son bec par à-coups. Le soleil de la fin d’après-midi faisait luire son plumage, avec des éclats bleu-violet que Gustave n’avait jamais remarqués. Il regarda le gros oiseau, son œil noir et lourd qui vibrait. Outre Napoléon, Gustave s’était construit un bric-à-brac de vies tapageuses, chanteurs, acteurs, artistes des deux sexes, où il puisait son répertoire d’attitudes possibles, de destins sublimes. Longtemps, il avait ignoré la vie de ses semblables, moins portés que lui à la dévotion, et qui évoluaient dans des univers dont il ignorait presque tout. Alors, plein de bonne volonté, il s’était juré de rattraper son retard. Il était allé voir les films, avait écouté les disques, lu les livres des autres, s’était énormément saoulé aussi, pour passer du temps avec eux, et il surmontait sa timidité et son ignorance. Sur son téléphone posé sur le parquet à côté de lui, un petit message de sa banque s’afficha. « Hop, hop, hop, on ne bouge plus, Axa reste avec vous pendant la vie confinée ». Le corbeau s’était avancé sur la gouttière. C’était peut-être une corneille. On apercevait des coyotes à San Francisco, pourquoi pas d’authentiques corbeaux sur les toits de sa ville ? Avec Jérôme et Rodolphe, il s’était découvert une passion commune pour la vie du dernier président élu. Ils partageaient leurs informations, et le père de Gustave les aidait. Tous les trois aimaient tout particulièrement l’histoire du chien élyséen. Brigitte, depuis le début du mandat de son mari, visitait tous les dimanches un centre SPA. Elle cherchait pour le couple présidentiel un animal aux traits distinctifs précis. Depuis six mois, elle repartait bredouille, lasse et résignée. Quand sa Peugeot 5008 de fonction repartait, elle fixait longtemps la route, sans un mot, les traits tirés. Elle regardait les platanes qui perçaient le ciel avec une immobilité d’estampe. Elle pensait à la déception d’Emmanuel quand il apprendrait son nouvel échec, et à sa main si belle qu’elle prendrait doucement dans la sienne. Un jour cependant, en visite dans le chenil de Hermeray, dans les Yvelines, le personnel lui avait présenté Marin, qui correspondait en tous points à leur désir, un croisement de labrador retriever et de griffon noir. Né le 7 avril 2016 à Tulle, ville longtemps gouvernée par le précédent président français, Marin était arrivé en août 2017 dans le refuge. Les récits divergeaient sur sa vie d’avant. On disait qu’il avait été recueilli par un berger, sur un plateau des Causses, et qu’il avait mis en fuite une meute de loups. Brigitte était transportée, elle tressaillait de joie. L’entente fut immédiate, la confiance et l’écoute mutuelles, entre l’ancienne professeure de français et l’animal. Avec le président aussi, fou de joie, tout alla bien. Ils eurent une petite dispute au sujet du prénom, mais elle se rangea à ses raisons : Némo était plus souverain. Dans une interview à Der Spiegel, l’ancien pensionnaire mélancolique d’Amiens expliqua avoir volontairement choisi un chien qui ne soit pas de race, mais issu de la SPA, afin de se démarquer des autres présidents et d'offrir un changement disruptif de destin à l'animal. (A suivre).
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Vote des objets du kit Tricot !
Hier, les sims ont partagé le nouveau lien du vote pour les futurs objets du kit. Première super nouvelle, nous aurons un rocking-chair !
J’ai été super contente de cette nouvelle. Premièrement parce que je trouve que c’est un ajout super mignon, je vois bien nos vieux se balancer devant la maison en observant les voisins (quoi, je suis pleine de clichés?). Deuxièmement, j’espère que l’animation sera sympa et qu’elle amènera à plus, comme par exemple bercer les bébés sur le rocking-chair ou nourrir au biberon sur le rocking-chair?
Pour les objets présentés j’ai été agréablement surprise. Globalement je trouve que ça respecte bien le thème, on a beaucoup de choix. J’apprécie les deux premiers votes à part.
J’ai opté pour le bac “bazar”. Ceux qui me connaissent ou mes posts sur le forum, vous savez que je suis toujours en recherche d’objets qui rendent les maisons plus vivantes. J’ai donc choisi pas mal d’objets de décoration.
J’ai essayé de privilégier les objets craftables quand ils me plaisaient le plus. Et j’ai essayé de sortir un peu de ma zone de confort avec des objets pas forcément de mon style mais qui serait un ajout dans le jeu et qui changent de ce qu’on a déjà.
Le dernier vote des vêtements m’a fait réagir à ce niveau. J’avais tendance à choisir des choses que je trouvais belles, mais je veux maintenant prendre des choses qui compléteront le jeu.
Pour le fun, j’ai pris la petite faucheuse craftable parce qu’elle m’a beaucoup fait rire !
Et vous, quel a été votre choix ou votre objet préféré?
Si ce n’est pas encore fait vous pouvez voter via le jeu ou ce lien.
Pour aller plus loin, un guru a partagé des questions gameplay pour le kit sur le forum anglais. N’hésitez pas à aller y répondre si vous voulez faire parler votre voix et vos envies >ICI<.
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Lundi Soleil : le bonheur, un style de vie ?
Lundi Soleil : le bonheur, un style de vie ?
Juste un petite participation à l’animation avant la sortie du soir, avec cette inscription sur un coussin qui m’a inspirée :
Cette semaine, je suis encore allée dans un centre commercial, pour admirer les propositions de décoration et de cadeaux pour Noël en attendant que le garagiste change les pneus de ma voiture.
Avec la manifestation des Gilets Jaunes, c’est assez difficile de se mettre…
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#bonheur#coussin#décembre#décoration#lundi#Lundi Soleil#Maxime#météo#message#noël#photographie#Sunny Monday#temps
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Micro folie
Qu’est-ce que la Micro-Folie ? A quoi sert-elle ? Pour quels genres de personnes est-elle dédiée ?
Ø Musée numérique/Espace scénique : regroupe plusieurs œuvre d’art populaire issues de douze musées et institutions partenaire sur le grand écran avec la possibilité de choisir les œuvres souhaiter grâce à des tablettes qui sont mise à disposition dans la salle
· Sur c’est même tablette, on peut jouer à des jeux en relation avec nos œuvres préférés comme le puzzle.
· Equipement :
§ Un grand écran
§ Une quinzaine de tablettes
§ Une scène
Il expose des arts d’une façon unique en reliant l’art de l’époque ancienne à une technologie moderne. Le musée numérique se transforme à des occasions rares en espace scénique pour des concerts, des conférences, des projections et des spectacles vivants organisés avec les associations et les structures culturelles locales.
Ø Le Fab - L ab : est une espace de création/production avec différent matériel comme support. Ces matériels ont été créer pour la plupart avec une technologie nouvellement développer, comme les imprimantes 3D, une brodeuse numérique ou encore la découpeuse vinyle.
Cette espace a été créer uniquement dans le but de développer leur créativité, qu’il s’agisse de designer, d’artistes, d’étudiants ou de bricoleurs. De nombreux ateliers y sont organisés pour y faire découvrir différentes les différentes méthodes de création d’art, comme celle d’art plastique. Certaine production sont mise en évidence comme décoration, comme les statuette créer par l'imprimante 3D.
Ø L’espace de convivialité : Des fauteuils, des livres, des jeux de société sont mise en place dans cet espace de rencontres, offrant notamment une place importante aux enfants et aux familles.
Ø L’espace de Réalité Virtuelle : un espace avec un ensemble d’équipement comme les casques VR et casque audio qui nous permet de voir plusieurs film, documentaires, spectacles réalisé par la chaine ARTE et tout cela en réalité virtuelle. Les associations, étudiants et toutes personnes compétentes dans ce domaine auront également la possibilité de présenter leurs films sur une quinzaine de casques VR indépendants.
Ø L’espace DATADADA : un espace pour l’amusement, un jeu qui a pour règle de faire tourner la roue et de reproduire la voix de l’animal qui y apparait, des pièces de PPT (points) sont données grâce à laquelle l’on peut acheter différents produits au stand DATADADA, les voix d’animaux sont diffusées par une Intelligence Artificielle, cette voix a en effet été créée officiellement avec un système d’intelligence artificielle qui reproduit les différents cris d’animaux et récolte les différents cris des joueurs.
Sources : Micro-Folie - Ville d'Évry-Courcouronnes (evrycourcouronnes.fr)
Lithumika Jeyakumar
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L’hôtel particulier (41)
Chapitres précédents
Chapitre 41: A la fenêtre
- Tu m’écoutes ?
Tatiana gardait la tête baissée, le regard fuyant mes commentaires pour s’enfoncer dans les yeux perçants du chat noir. Il était assis sur ses genoux, ronronnant comme toujours. Elle n’entendait rien, absolument rien ! A ce moment, j’intervins en m’approchant si brutalement que l’animal me dévisagea. Toutefois, il continuait de ronronner. Mon amie cligna plusieurs fois avant de répondre.
- Excuse-moi, j’étais perdu dans mes pensées. Tu disais ?
- Je disais que cette sale bête devrait être crevée depuis belle lurette ! marmonnai-je avant de reprendre mes vrais propos : La boite qu’on crée avec Arnold sera officielle bientôt. Il a rendez-vous à la chambre de commerce la semaine prochaine.
- Ah… très bien !
Le chat tourna sur les genoux de Tatiana puis reprit sa position initiale. Je remarquai son œil me surveillant du coin. Il eut raison car je m’assis sur le divan à côté d’elle. Dehors, le ciel présentait une couleur automnale malgré un soleil étincelant en fin de journée. C’est toujours à ce moment que ses rayons transpercent les carreaux éblouissant les salles et les chambres de mille feux. Tatiana caressa les joues du chat qui accéléra son moteur interne. Dès qu’il me regardait, ses crocs sortaient anormalement de sa gueule. Je ne sais pas pourquoi il n’a jamais cherché à se venger.
Plus j’observais ma copine, moins je la reconnaissais. Elle était devenue presqu’une étrangère préférant me fuir de plus en plus. D’ailleurs, elle ne sortait plus, elle s’enfermait dans la lecture, devant la télévision ou carrément dans sa chambre. Nos principaux propos concernaient surtout la bouffe, les courses et une phrase : « Tu veux faire quelque-chose ce soir ? » avec pour réponse : « Rien, je préfère aller me coucher ». Seule la présence de nos amis sortait ma compagne de cette mélancolie de plus en plus terrible. Parler avec elle des fantômes de la maison ne servait à rien. Elle montrait un certain intérêt mais je voyais toujours les pupilles de ses yeux se disperser en milliers d’éclats la rendant finalement complètement perdue. Par contre, elle portait une affection incroyable pour le chat noir jusqu’à passer une journée entière à s’occuper de lui.
Au début, j’acceptai la situation, persuadé qu’elle irait mieux. Seulement son état devenait de plus en plus inquiétant. J’étais prêt à crever l’abcès quand le félin bondit précipitamment sur le dossier du canapé et quitta la grande salle. Elle le regarda partir, se demanda où il allait et se préserva de me reprocher son départ. Puis, elle décida de le chercher. Je restai seul comme un con dans la salle à me demander pourquoi je persistai avec elle. Au fond, je n’avais qu’à lui dire que c’est fini et elle serait obligée de partir de chez moi. Parce qu’on oubliait que c’était d’abord chez moi !
Lors de sa dernière visite, Marc avait oublié un paquet de cigarettes. Alors, j’en grillai une pour la première fois depuis… depuis ma rupture avec Marion��; c’était presque hier ! Ses épaules dénudées pendant qu’elle se détournait de moi, restaient encore dans mes mémoires. A ce moment, j’avais sorti le paquet de la poche de mon jean et découvrant qu’il ne contenait plus qu’une clope, je pris la décision d’arrêter.
Tatiana monta rapidement l’escalier. Ses pas s’éloignèrent ensuite dans un couloir. Je ne sus pas lequel. Je me dirigeai à la fenêtre et après avoir admiré le ciel peint de belles couleurs vives jaune orange sur fond marine, je sortis profiter de la douceur du jardin. Le bruit de la ville ne venait jamais jusqu’à nous. Pourtant, je ne profitais jamais de ce calme tant apprécié d’habitude. D’ailleurs, l’espace vert fut aussi une des raisons de mon achat.
Je marchai ainsi dans le parc. Par moment, je m’arrêtai avec l’inquiétude de me trouver confronté à une entité. Mais il n’en fut rien. Tout était si calme, si serein que je voulus continuer de marcher. Je passai devant la fosse refermée depuis. Avant sa découverte, je voulais y créer un potager, je préférais attendre. Une légère brise frappa les arbres dont les cimes sifflèrent doucement. Les feuilles n’étaient pas encore tombées mais je devinai que cela ne tarderait pas. Je continuai ma promenade, me retournant de temps en temps par peur d’être épié. Personne ne se cachait derrière les troncs.
Le jardin était si grand que j’aurais pu construire un complexe sportif. Il y avait tellement d’arbres que je me décidai à acheter un livre détaillant chacun d’eux. Je marchai de plus en plus doucement. Le soleil disparut presqu’à vue d’œil. Déjà le ciel assombri commençait à jouer des tours. Cela commença avec une balançoire là où il en existait une. Je pris peur, je reculai presque à voir ce portique soudainement apparu mais après quelques secondes, je soupirai de soulagement en découvrant qu’il s’agissait d’une simple illusion créée par des branches. Et l’obscurité associée à ma crainte donna cette apparence glaçante.
Je partis ensuite en direction du portail d’entrée. Sur le chemin, j’entendis quelques voitures circuler sur la route. Une fois devant la grille, je suivis le mur de gauche pour retourner vers la maison. Je voulais profiter de cette ballade pour réfléchir sur un aménagement. Peut-être y planter le potager ; l’endroit semblait intéressant. Là aussi, je devais me renseigner sur le jardinage.
De retour sur le chemin principal, je remarquai avoir oublié d’éteindre la grande salle. De plus, une des chambres du premier étage était allumée. Etonnant car il s’agissait de notre ancienne chambre et Tatiana refusait d’y dormir. Tout en avançant, j’observai la fenêtre qui parut immense par rapport aux autres. Le carreau était ouvert et je fus pris d’énervement en découvrant le chat noir assis sur le bord. Il regardait à l’intérieur de la chambre. Sa queue remuait par moment avant de s’enrouler autour de ses reins. L’éclairage bien que sombre vacillait étrangement. Dès lors, je compris qu’il se passait quelque-chose d’anormal. J’accélérai le pas tout en gardant le regard sur la fenêtre. Soudain, je m’arrêtai brusquement ! Quelle fut mon incompréhension lorsque je vis un lustre de bougies accroché au plafond de la chambre. Je n’avais jamais installé de lustre !
Alors, un peu perturbé par le lampadaire, je regardai la fenêtre assez près pour observer mais pas assez pour entendre. J’attendais sa venue, la présence de Tatiana, parce que si le chat était là, elle était forcément présente. L’animal ne cachait rien de la décoration inexistante. Les murs entièrement blancs ajoutaient à l’effet d’immensité de la fenêtre. Sans sa queue remuante, on pouvait croire que la bestiole était un simple dessin, un jeu d’ombre sur le mur.
Soudain, une silhouette se présenta. Je restai figé devant ce personnage assez grand et loin d’être une femme. Je pensai à Joseph Von Meiderich. Il était revenu d’entre les morts pour travailler dans cette chambre qui fut son laboratoire. Seulement, le lustre ne collait pas aux souvenirs de ma régression ni à l’idée qu’on a d’une salle d’opération. Toujours attentif à la scène, je ne bougeai pas. Alors, elle apparut.
Je reconnus de suite les formes de Tatiana. Elle s’arrêta devant la silhouette. Ils semblèrent discuter sous le regard amusé du chat. Tout à coup, elle s’agenouilla mais il la releva immédiatement. Au même moment, de la musique surgit de la grande salle. Je n’avais pas remarqué les volets brusquement fermés ne laissant rien paraitre de la fête dont les rires fusèrent à grand fracas. A la façon de tenir sa tête, à l’approche de son visage contre le sien, la colère submergea ma raison. Je vis cet homme déposer le plus long des baisers sur les lèvres de ma compagne, de la femme de ma vie.
Dès lors, je rentrai en courant avec une idée en tête, me confronter à cet homme aussi homme qu’il soit ou qu’il pourrait être et tant pis si j’avais à faire avec le pire des démons. Il s’en prenait à Tatiana, il la séduisait avec je ne sais quelle magie et je ne pouvais pas le supporter. J’entrai dans le hall mais je fus vite attrapé par le portier qui réclama mon invitation. C’était la première fois qu’on demandait de justifier ma présence. L’homme portait une queue de pie d’un autre temps. Il me dévisagea tout en réitérant sa demande. Derrière moi, un homme à l’allure tordue, la main sur une canne, le visage masqué tendit une carte que le videur accepta avec un large sourire. Puis, il déposa son manteau sur un présentoir avant de se diriger vers la salle de fête. La porte ouverte permit d’entrevoir la soirée habituelle.
- Je suis venu sur invitation verbale de Diane. Je vous prie de l’appeler ! affirmai-je sur un ton assuré.
L’homme à la peau blanche me dévisagea. Il fit une moue sévère mais ne quitta pas le pupitre servant de bureau d’accueil. Alors, sans avoir son accord, je me précipitai dans la salle. J’entendis un « Monsieur » puis il se tut. La pièce gardait toujours les mêmes dispositions. Plusieurs tables cerclées de chaises permettaient aux filles et à quelques clients de discuter. Un piano ornait le fond et entre eux, une piste de danse proposait aux couples de se distraire. Le bar situé vers la cuisine était toujours le même avec le même serveur.
Le portier m’avait déjà oublié, tout comme Diane qui sourit en croisant mon regard. Elle proposa de lui offrir un verre et comme toujours, elle se présenta.
- Ecoutez Diane, je voudrais qu’on monte à l’étage, dis-je en l’interrompant.
Son visage fut marqué par la surprise. Elle sourit avant de dire :
- Au moins vous êtes direct ! Vous ne voulez pas discuter et vous amuser avant ?
- Je n’ai pas le temps ! Je voudrais rejoindre mon amie à l’étage. Elle est avec un homme et je voudrais…
- Encore un qui est tombé amoureux d’une collègue, soupira-t-elle en levant les yeux. Comment s’appelle-t-elle ?
- Non, elle n’est pas… Elle ne travaille pas ici. Elle est à l’étage avec un homme qui hante les lieux. Je… Vous le connaissez, je crois que c’est votre maitre… Il apporte toujours des roses bleues.
Le regard de Diane changea devenant plus sombre et plus triste. Une larme se présenta. Elle sembla paralysée jusqu’à ce qu’elle dise :
- Suivez-moi !
Alex@r60 – avril 2021
Photo : Budapest, Hongrie
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Stage de 3 mois pour validé mon MGE1 :
J’ai réalisé mon stage au sein de la Team Admissibles de l’ESC Clermont Business School.
A la base j’avais postulé pour les post « Animation/Sponsoring/Commercial » ou « Logistique/Achat/Comptabilité ». J’avais déjà de l’expérience dans l’animation ce qui m’a donné envie de réaliser ce stage, mais j’avais aussi vraiment envie de découvrir le métier de la Supply Chain pour ensuite trouver mon alternance dans ce domaine.
Durant mon stage j’ai donc occupé le post d’Assistant Commercial dans le service de promotion de l’ESC Clermont Business School.
Au départ (avant la crise sanitaire) j’étais responsable du Pôle rentrée, c’est-à-dire que j’ai du organiser l’accueil entière des futurs étudiants le 4 septembre prochain, combien de membre de la Team doivent être présent, à quel endroit, à quelle heure ? Qu’avons-nous besoin ? Proposer un pack d’accueil pour les nouveaux étudiants comprenant un flyer entièrement dessiné et réalisé par moi, quels goodies on leur donnait ? Quelle quantité pour quel budget ? J’ai donc pu réaliser toute l’accueil des futurs étudiants, je l’ai ensuite présenté au reste de la Team qui eux avaient d’autres responsabilités.
Après la crise sanitaire, les post ont changés, nous avions un peu moins de responsabilités, j’ai pu réaliser du phoning, avec environ 300 étudiants à appeler pour connaitre ses envies d’orientations, mais également assurer un suivis pour ceux qui étaient à la recherche d’une alternance pour la rentrée 2020.
J’ai également effectué un peu d’animation pour promouvoir la ville et l’école à travers les réseaux sociaux, on a eu l’occasion d’apprendre et de réaliser une danse, d’effectuer une journée de tournage avec un professionnel, de participer à la journée d’accueil de Major Prépa, et enfin, d’organiser une journée d’accueil sur site des futurs étudiants (en respectant les règles de distanciations sociales). Je me suis occupée de la mise en place des décorations du réfectoire, de la salle d’accueil, de la préparation des goodies à leur donner dès leur arrivée sur le campus, d’accueil les étudiants et les diriger dans l’école jusqu’à la salle d’accueil.
J’ai également appris a effectuer des parcours personnalisés en fonction de ce que l’étudiant envisage de faire ou aimerais faire durant son cursus à l’école.
Enfin, j’ai pu apprendre à utiliser une plateforme virtuelle afin de discuter avec des étudiants qui souhaitaient des renseignements sur l’école ou les différents cursus proposés , et j’ai également participer à des lives concernant l’école, les spécialités proposés, la promotion de la ville ou encore l’expérience de certains étudiants ou anciens étudiants de l’école.
La rémunération proposée est composée de 2 parties une partie fixe et une partie variable.
J’ai réalisé les 2 parties du stage (on avait la possibilité de s’arrêter en Juin et de faire que la première partie).
Pour ceux qui ont réalisé les 2 parties du stage, la rémunération fixe s’élevait à 500€.
La rémunération variable pouvait aller jusqu’à 200€ suivant les résultats d’admission qu’on a obtenu.
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L’agneau sauveur ! (188)
Le touriste qui visite le village de Werden, dans la Ruhr, peut être surpris d’apercevoir, sur le faîte du toit de l’église, un agneau en pierre, travaillé au ciseau sans autre décoration. Lors de la construction de l’édifice, un couvreur qui achevait son travail sur le toit fut déséquilibré par la rupture de la corde retenant son panier de tuiles. Il se serait tué s’il n’était tombé miraculeusement sur un mouton qui broutait par là. L’animal perdit la vie en sauvant celle de l’artisan qui, en signe de gratitude, fit réaliser cette sculpture et la plaça bien en vue sur le toit ... D'autre part, nous venons de sortir, une nouvelle vidéo sur ma chaîne : "Jean-Louis Gaillard" https://www.youtube.com/jeanlouisgail... en tant que pasteur elle s'appelle :"Qu’est-ce que le coronavirus nous apprend sur notre pays ?" https://youtu.be/HVRROHdn3co Le thème est : Le droit à la vie face à l'avortement. N'hésitez à la regarder et de vous abonner à la chaîne Merci ! Sous-titres : Français Auteur des sous-titres (Allemand) BARBIER TRADUCTIONS SARL Jean-Luc BARBIER Auteur des sous-titres (Norvégien) BARBIER TRADUCTIONS SARL Jean-Luc BARBIER Auteur des sous-titres (Danois) BARBIER TRADUCTIONS SARL Jean-Luc BARBIER Auteur des sous-titres (Suédois) BARBIER TRADUCTIONS SARL Jean-Luc BARBIER
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2 . “ Cendres de lune . “
Tadzio - 19 ans - Prostitué
Habitant dans un petit appartement miteux de temps à autre, Tadzio est un gamin aussi insupportable que charmant. Il a appris à user de ses charmes pour survivre, vendant son corps pour payer son loyer, ses clopes, son alcool et ses médicaments. Il est connu dans tout Andromedae comme le prostitué “it boy”. Certains connaissent son visage, d’autres juste son nom quand majorité a connu ses lèvres et la chaleur de son corps. Il est tel un fantôme dans la ville, et disparaît parfois plusieurs jours. N’aimant pas dormir seul chez lui, il est soit avec ses amis, soit chez ses clients. Une fois rentré dans votre habitation, si la décoration lui plaît, il sera difficile de le déloger. Il ne sait pas ce que veux dire “ce qui est à moi est à moi” ni “ ne touches pas à mes affaires”. Certains clients le séquestrent, charmés par le jeune homme, et il donne l’air de ne jamais vouloir s’enfuir, les laissant baisser leurs garde. Et lorsqu’il a bien dormi, mangé, qu’il se sent un peu plus en forme, il s’en va. Tadzio a vécu plusieurs années à la rue avant de trouver enfin un appartement après avoir mis de côté. Ce dernier est petit, comportant une salle à vivre où il a posé un matelas à même le sol, qui est jonché de cadavres de bouteilles et de vieux magasines, de vêtements. La petite kitchenette est toujours en bordel et il y a un nuage de fumée de cigarette dans l’espace. La salle de bains est plutôt propre, les meubles utilitaires très vieux, et il y prend souvent de longs bains. Il est insolent, et il n’a peur de rien, il semblerait. On pourrait penser parfois qu’il cherche à se faire tuer, violenter. En réalité, il ne se laissera pas faire, la seule raison pour laquelle il est encore en vie étant de se venger de son tortionnaire. Il répondra qu’il ne sait pas quoi faire d’autre comme métier si on lui demande pourquoi il se prostitue, mais en réalité, c’est dans l’espoir de l’avoir comme client, et de le tuer de ses mains. Par contre, personne ne sait ni comment ni pourquoi il s’est retrouvé à la rue. Si on lui demande son nom de famille il dit “Juste Tadzio”, si on lui demande où sont ses parents, il hausse les épaules, et personne ne sait ce qui lui est arrivé. Il paraît n’en avoir rien à foutre de tout, clope au bec, amorphe. Il parle mal, il est malpoli, parfois même vulgaire. Tadzio n’est pas timide du tout, même trop tactile, en manque d’affection. Il parle beaucoup et fait de grands gestes, il prend beaucoup d’espace, il s’impose. Il s’impose pour prendre toute la place qu’il n’a jamais pris dans la vie de ses parents, il est bruyant pour faire taire ses pensées noires, et à l’intérieur, il se sent mort, il a froid, il essaie de combler au mieux ce trou béant qu’à laissé le drame de sa vie dans son estomac. Le gamin se pense drôle, mais en général, il est juste chiant. Tadzio est un très bon ami, et la rage qui l’anime gronde si on essaie de s’y attaquer. Protecteur, il aimerait que personne n’ai à vivre pareille ou pire souffrance que lui. Quand la nuit arrive, il étouffe s’il est seul. Il a peur de refaire un cauchemar. Quand ça lui arrive, il se revoit vivre la scène de son agression, encore et encore, et il pourrait jurer sentir sur lui les mains de son tortionnaire après s’être réveillé en sueurs, paniqué, la gorge sèche d’avoir geint et crié dans son sommeil. Bouteille non loin, il se saoule jusqu’à se rendormir, et fume clope sur clope.
Tadzio est là, devant la porte de son client, sourire mutin aux lèvres, et sa voix grave, n’allant pas avec son visage et sa petite taille, se fait entendre alors qu’il le salue. -Je suis Tadzio. Vous m’avez appelé ?
[t] [a] [d] [ʒ] [i] [u] “Tadjiou”
LAST NIGHT I DREAMT THAT SOMEBODY LOVED ME NO HOPE, NO HARM. JUST ANOTHER FALSE ALARM.
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Nouveaux produits bâtiment : Evocations – Le nouveau concept couleurs de Guittet
Le Blog du bâtiment : Avec Evocations, Guittet, spécialiste des peintures professionnelles haut de gamme depuis 1864, confirme une fois de plus son expertise couleurs et toute la créativité de sa dimension décorative.
Nouveau concept couleurs signé Guittet, Evocations s’inscrit en effet dans une démarche globale : collection de 128 teintes, boîtage de 125 ml avec 40 teintes prêtes à l’emploi et meubles de présentation dédiés… Une exhaustivité d’objectifs souhaitée pour répondre tant aux besoins des distributeurs que des peintres et même du grand public.
En effet, avec Evocations, Guittet permet aux distributeurs de théâtraliser la couleur dans leur point de vente mais aussi de répondre à la demande des essais de teintes. Côté entreprises de peinture, Evocations leur facilite le travail de présentation et aide dans la démarche de conseil vis-à-vis de leurs clients, tout en facilitant la prise de décision finale dans le choix de la teinte retenue. Enfin, pour le grand public Evocations lui permet de visualiser parfaitement le résultat avant de procéder à la mise en peinture, ou bien encore, grâce aux petits conditionnements, de réaliser des retouches peinture ou pour les plus créatifs, de customiser des meubles…
Evocations : générateur de couleurs et de business
L’expertise couleurs de Guittet, reconnue et appréciée des professionnels, s’incarne dans les fondamentaux de la marque, comme Chromatic® (le référentiel couleur PPG), les Collections couleurs (Mate, Pop, Blancs, Inspiration Industrielle, Inspiration Scandinave) aux succès confirmés au fil de leur lancement, mais aussi dans une offre courte, qualitative et ciblée de produits décoratifs.
Evocations, la nouvelle signature Guittet, valorise la dimension historique de Guittet, marque de tradition et de savoir-faire français. Nom emblématique donnant la part belle à l’imaginaire, Evocations fait rimer inspiration, couleur, tendance, innovation et raffinement. Mais pas que… Se démarquer de la concurrence, renforcer l’attractivité des points de vente pour générer du trafic et plus de chiffre d’affaires, transformer l’essai de teinte en achat peinture, élargir son portefeuille clients ou bien encore vendre des produits à plus forte valeur ajoutée, voici quelques-unes des promesses d’Evocations pour les distributeurs Guittet.
Evocations : une collection riche et au cœur des tendances pour les décorations intérieures (murs, boiseries, sols)
Maîtrisant et anticipant les tendances, Guittet propose avec cette nouvelle collection Evocations une offre décorative faisant la part belle à la couleur. Ainsi, Evocations s’illustre d’un éventail riche de 128 teintes, allant d’une sélection de couleurs douces et subtiles à des coloris plus soutenus, au cœur des tendances 2017/2018. Une large palette chromatique qui se décline dans l’intégralité de l’offre intérieure Guittet et donc des réponses en murs, boiseries et sols…
Evocations propose ainsi des teintes lumineuses allant des tons clairs de perle et d’ivoire réhaussés par différentes teintes de kraft en passant par des basiques essentiels, comme les beiges et terres, des jaunes, des verts tilleuls… Un éventail qui se complète de douces teintes roses, de bleus glacés ou encore des verts mentholés mais aussi de tonalités plus chaudes, plus apaisées, déclinant de propositions de rouges briques aux oranges solaires…
Evocations : l’animation de l’espace couleurs en point de vente
Guittet accompagne le lancement d’Evocations par des outils d’aide à la vente particulièrement soignés. Ainsi, Guittet propose à ses distributeurs un double meuble de faible encombrement (haut 1,97 m x largeur 1,5 m) pour équiper leurs points de vente.
Le meuble métal (1 m de large) présente les 40 teintes en conditionnements de 125 ml et prévoit aussi des emplacements pour le stockage des nuanciers. Le second meuble (0,5 m de large) propose la découverte des 128 teintes disponibles sur planches en bois de 200 x 100 x 10 mm avec des applications réalisées avec Evocations, dont la formule de grande qualité sera appréciée de tous.
Enfin, soulignons également que Guittet accompagne Evocations d’un nuancier dédié, habillé d’une couverture au dessin architectural incarnant le style à la française, la dimension historique de la marque et les professionnels du bâtiment, le cœur d’activité de Guittet.
www.guittet.com
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Lundi Soleil : variations en blanc
Lundi Soleil : variations en blanc
La semaine dernière, j’ai zappé l’animation trop prise par mes affaires perso, mais j’ai pu faire quelques clichés que je vous ai réservés.
Ce gros noeud de décoration blanc nacré avec touches de rose en reflet.
Cette inscription “blanc” sur une jolie boutique de Versailles, car c’est le mois du blanc.
Un doudou lapin blanc plein de tendresse !
Un décor dans une vitrine de boutique ambiance…
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