#Lépante
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7 octobre : Notre-Dame du Rosaire contre les Turcs
L’Église catholique célèbre aujourd’hui la fête de Notre-Dame du Rosaire. Elle le fait de façon plus solennelle encore à Lourdes où les dominicains organisent le grand pèlerinage du Rosaire dans la basilique du même nom qui débute dès le 6 octobre au soir et dure trois jours.
Cette fête fut instituée par le pape Pie V suite à la victoire de Lépante, dans le golfe de Patras (Grèce), le 7 octobre 1571. La Sainte-Ligue coalisée par le Pape écrasait la flotte du sultan d’Istanbul et mettait fin aux ambitions ottomanes en Méditerranée occidentale. Cette victoire fut considérée comme un miracle obtenu par la prière du Rosaire à laquelle toute la chrétienté avait participé à la demande du pape dominicain (la dévotion au rosaire ayant été initiée par l’ordre de Saint-Dominique). Depuis lors, l’Église continue d’honorer, chaque 7 octobre, la vierge du Rosaire qu’elle invoque aujourd’hui sous les vocables de « Notre-Dame de la Victoire » (de Lépante) ou de « Secours des chrétiens ».
Longtemps, cette fête était fixée au premier dimanche d’octobre. C’est le pape Pie X, en 1913, qui l’a finalement placée le 7 octobre. Plusieurs basiliques portent le nom de Notre-Dame du Rosaire, notamment à Lourdes, Fatima… mais aussi de nombreuses églises de par le monde. La dernière construite est celle de Doha, au Qatar, inaugurée en 2008 et pouvant accueillir 1200 fidèles. À Bruxelles, Montréal, Tunis, Détroit… Dans, celle de Paris, dans le 14e, est dite une messe à 19h30, suivie d’une veillée pour l’occasion.
Il est à noter que la Sainte-Ligue anti-ottomane qui a écrasé la flotte d’Ali Pacha, comprenait l’Espagne des Habsbourg, République de Venise et bien sûr, les États du Pape. Le royaume de France, en revanche, était depuis 1536, l’allié des Turcs. La géopolitique et la realpolitik s’imposaient déjà face aux solidarités religieuses.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
#Lépante#Turcs#pape Pie V#Notre-Dame de la Victoire#Notre-Dame du Rosaire#Lourdes#7 octobre#7-Octobre#Hamas
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Lépante, fille de Salamine.
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Don Juan d’Autriche, le vainqueur de Lépante
Si la victoire de la chrétienté à Lépante, le 7 octobre 1571, a sauvé l’Europe de l’expansion ottomane, c’est grâce au courage et à la vaillance des nombreux soldats venus de tout l’Occident pour défendre leur civilisation. Cependant, ce triomphe militaire n’aurait pas été possible sans un jeune homme dont le nom est aujourd’hui absent de nos livres d’Histoire et qui fut pourtant, au XVIe siècle,…
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Luca Troiano muore in vacanza a Nizza a 23 anni. La famiglia avvisata solo dopo 2 giorni Aveva solo 23 anni e stava facendo un viaggio on the road per l'Europa. Doveva arrivare in Spagna dal Mantovano, Luca Troiano, ma il suo viaggio si è fermato tragicamente a Nizza, in Costa Azzurra, per un terribile incidente in sella alla sua moto: Luca ha perso il controllo del mezzo e si è schiantato, morendo sul colpo. La dinamica non è chiara, sembra che Luca, che a Nizza doveva incontrare un amico di Madrid per poi proseguire il viaggio, stesse andando in moto verso un b&b in Rue de Lépante, dove si è schiantato. La certezza però non c'è, dato che le autorità francesi stanno matntenendo il massimo riserbo sulla vicenda. La famiglia avvisata dopo 2 giorni L'incidente è avvenuto il 10 agosto, ma la famiglia è stata avvisata solo 2 giorni dopo. Due giorni in cui i genitori Maria e Michele e la sorella Naomi credevano che Luca si stesse godendo il viaggio. Chi era Luca era di San Giorgio Bigarello (Mantova) e lavorava come consulente informatico per la Nextchain, aazienda con sede a Porto Mantovano e a Bologna, dove si era trasferito da qualche tempo. I funerali si terranno sabato 17 agosto alle 10.30 nella chiesa di Tripoli di San Giorgio Bigarello.
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REGARD SUR LE CHAPELET DU ROSAIRE DE MARIE
#Regard_sur_le_chapelet_du_rosaire_de_Marie #Serge_Rossi #Exhortations Qc_0592
ORIGINE ET DÉFINITION
Le Rosaire est un exercice de la liturgie catholique qui consiste à dire quatre chapelets d’oraisons. Consacré à Marie, mère de Jésus-Christ, il tire son nom du latin "rosarium" qui désigne la guirlande de roses dont Marie est couronnée dans les représentations traditionnelles et imageries.
Le Rosaire consiste à réciter plusieurs chapelets qui permettent de méditer différents mystères de la vie du Christ et de Marie toujours considérée vierge par les catholiques. Les prières forment également une couronne de roses offertes à Marie.
HISTORIQUE DU ROSAIRE
Son histoire est liée aux ordres monastiques Dominicain, Chartreux et Cistercien et à la liturgie catholique. C’est au XIIème siècle, profitant du grand essor de la dévotion à Marie, avec l’influence de Bernard de Clervaux qu’est apparut le terme de "chapelet" qui désignait la couronne de fleurs ou petit chapeau que l’on plaçait sur la tête de la statue de Marie.
À partir du XIIème siècle, la dévotion mariale était en usage chez les Cisterciens, puis elle s’est ensuite développée sous l’influence des Chartreux et de Dominicains notamment grâce au Chartreux Dom Henri Egher de Kalgar qui vécu au Xvème siècle et qui élabora une méthode de prière avec cent cinquante "Ave" autant que les Psaumes de l’Ancien Testament, d’où le nom de "Psautier de Marie".
Dominique de Prusse qui a inventé des ajouts à la prière du "Je vous salue Marie", qui aident à la méditation du mystère. Puis il y aura le Dominicain Alain de la Roche qui fonda la première fraternité du Rosaire.
Les papes ont également encouragé cette pratique dévotionnelle : Pie V a été à l’origine de la fête de ND du Rosaire après la victoire de Lépante de 1571. Léon XIII surnommé le "pape du Rosaire" qui écrit 11 encycliques sur le Rosaire, Pie XII a encouragé la prière du Rosaire dans la famille.
Paul VI a mis en valeur le lien qui existe entre le Rosaire et la liturgie. Jean Paul II a ajouté au Rosaire les cinq mystères lumineux dans sa lettre "Rosarium Virginis Mariae" en 2002. Il a même composé deux cents clausules, (strophes rythmés) pour la prière du Rosaire.
Benoit XVI a mené toute une réflexion sur le Rosaire et l’Eucharistie, il a appelé "Printemps du Rosaire".
Le pape François a vanté les vertus communautaires du Rosaire et a rappelé l’importance du Rosaire dans la bataille contre le démon.
Les vénérés catholiques ont pratiqué le Rosaire notamment Thérèse d’Avila, Louis-Marie Grignion de Montfort, Padre Pio, Mère Térésa dont le chapelet à plusieurs couleurs lui permettait de prier pour les malades et les mourants de chaque continent.
Il y a aussi Pauline Jaricot qui a créée au XIXème siècle le Rosaire vivant fondé sur la participation de plusieurs personnes à la récitation quotidienne du Rosaire.
LES APPARITIONS DE MARIE ET LE ROSAIRE
Marie, elle-même, aurait confirmé l’importance du Rosaire lors de "son apparition" de la rue du Bac en 1830, demandant de réciter le chapelet à la Salette en 1846 ainsi qu’à Pellevoisin en 1876.
Marie se serait parée de trois couronnes de roses : Joyeuses, douloureuses et glorieuses du Rosaire à Pontmain en 1871. Pendant la récitation du chapelet, Marie grandit et les étoiles se multiplièrent.
En 1933, à Beauraing et à Banneux, elle apparue avec un chapelet. En 1858, à Lourdes, Marie apparue dans une grotte où poussait un églantier, (rose sauvage).
À l’île Bouchard, en 1947, elle portait un chapelet, et sur chacun de ses pieds s’épanouissait une rose. Elle présenta le chapelet et leur enseigna la façon de prier.
À Fatima, elle renouvela sa demande et expliqua que la récitation du Rosaire est d’une absolue nécessité "pour le salut du monde !".
À Medjugorje, elle appella au jeûne, au pain et à l’eau, ainsi qu’à la récitation quotidienne du Rosaire pour arrêter les guerres.
POUR LES CATHOLIQUES LE ROSAIRE EST UN INSTRUMENT PUISSANT
Nombreux sont ceux qui croient en la puissance du Rosaire. Le pape François lors de son homélie de la fête de l’Assomption, le 15 août 2013 a redit que le Rosaire est une prière importante dans la bataille contre le Malin et ses complices.
La puissance du Rosaire est telle qu’elle agit tant au plan personnel comme chemin de sainteté que collectif comme arme de paix et comme rempart contre ce que Jean Paul II appelait dans son exhortation "Reconciliatio et Paenitentia" en 1984.
Pour les péchés collectifs, Marie est selon son expression "l’alliée de Dieu dans l’oeuvre de la réconciliation".
Le Rosaire a aussi un rôle crucial à jouer dans "les événements politiques", "économiques"et "ecclésiastiques".
Les papes n’ont cessé d’encourager la prière du Rosaire pour les fruits qu’il peut porter, que ce soit au niveau individuel qu’au niveau collectif.
Pie V, lors de la victoire de Lépante. (La bataille de Lépante a lieu le 7 octobre 1571 dans le golfe de Patras, sur la côte occidentale de la Grèce. Ce fut une bataille navale qui opposa la flotte ottomane de Sélim II et la flotte de la Sainte-Ligue catholique)
Léon XIII dénonçant les écueils de la révolution industrielle. Pie XI au moment de l’arrivée du national-socialisme. Jean XXIII pour le concile oecuménique en préparation ...
Paul VI pour que la guerre au Vietnam s’arrête et pour écarter les dangers d’un conflit atomique. François qui a organisé un marathon de prières pour demander la fin de la pandémie du coronavirus.
La certitude de la puissance du Rosaire a poussé chez les catholiques plusieurs initiatives qui ont concourut à développer la pratique du Rosaire pour tous.
Ces "actions officialisées" ont été inaugurées le 25 mars 2021 et ont été appelées "Le chapelet perpétuel pour le monde".
La célèbre neuvaine à Marie qui défait les noeuds dont on connaît la puissance est également fondée sur le chapelet.
L’ajout des "cinq mystères lumineux" par le pape Jean Paul II a permis de nouvelles représentations du Rosaire ainsi que l’icône du Rosaire "avec les vingt mystères" réalisés par les Bénédictines de Jouques est un excellent support pour la prière.
L’ENCYCLOPÉDIE MARIALE
Il est également possible d’utiliser "l’Encyclopédie mariale" pour prier le Rosaire. Elle propose une initiation très concrète à la prière du Rosaire et du chapelet, intitulée "comment prier le Rosaire" ?
Dans "l’Encyclopédie mariale", il y a quelques articles sur la spiritualité du Rosaire montrant que le Rosaire est une prière trinitaire. D’abord par le signe de croix qui est effectué en débutant le chapelet, suivi des Notre Père.
La récitation des "Ave Maria" permet de prier avec Marie pour recevoir les dons du Saint-Esprit. Le Rosaire est un chemin de maturation spirituelle et de sainteté.
LA STRUCTURE DU ROSAIRE
À l’origine, le Rosaire est une dévotion à Marie qui consistait à réciter trois chapelets composés chacun de cinq dizaines de grains qui symbolisent "cinquante roses envoyées à Marie".
Ces quinze dizaines de grains favorisent la méditation sur la vie de Jésus et de Marie. Mais depuis le pontificat de Jean Paul II, un quatrième chapelet a été ajouté, portant un total de vingt dizaines.
Le pape Jean Paul II a donné une explication dans sa lettre intitulée "Rosarium Virginis Mariae" du chapelet qui, bien médité, met en lumière "le mystère de l’homme".
En lien avec la sainte humanité du Rédempteur, il convient d’apporter les nombreux problèmes, les travaux et les projets qui marquent la vie du croyant. Méditer le Rosaire consiste à confier les fardeaux aux coeurs miséricordieux de Jésus "et de sa mère".
La forme actuelle du Rosaire comporte "vingt mystères". Elle offre ainsi à la méditation les événements de la vie du Christ, qui forment l’histoire du salut depuis son Incarnation jusqu’à son Ascension, événements auxquels on ajoute "les mystères du salut liés à Marie".
C’est pourquoi on appelle couramment le Rosaire "un évangile condensé". Nous avons vu que la structure actuelle du Rosaire comprend donc "vingt mystères" groupés en "quatre séries" qui suivent la vie de Jésus dans l’ordre chronologique : "Son enfance" – "Sa vie publique" – "Sa passion" – "Sa résurrection et sa vie dans la gloire".
Chacune de ces séries comporte "cinq mystères" ... C’est le pape Jean Paul II qui va reprendre une "tradition médiévale" en ajoutant "les cinq mystères lumineux" du Rosaire.
LES ÉCRITURES ET LE CHAPELET ROSAIRE
Dans les Écritures saintes, nous n’avons pas de textes explicites qui témoignent des objets religieux fabriqués tels que "le Rosaire" et "le chapelet" ni des pratiques liturgiques qui ont été mises en place par des faux docteurs, après "la disparition des apôtres".
Les Écritures nous apprennent cependant "qu’avant l’avènement du Seigneur", il y aura une période d’apostasie, c’est-à-dire un temps d’égarement "pour ceux qui n’ont pas la foi" ou qui l’ont perdu et qui préfèrent le mensonge à la Vérité. Nous sommes toujours dans ce temps-là puisque nous attendons l’avènement du Seigneur Jésus.
« Pour ce qui concerne l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et de ne pas vous laisser troubler, soit par quelque inspiration, soir par quelque parole, ou par quelque lettre qu’on dirait venir de nous, comme si le jour du Seigneur était déjà là. Que personne ne vous séduise d’aucune manière, car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant. [...] » II Thessaloniciens 2.1-3
« Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons, par l’hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience. [...] » I Timothée 4.1, 2
Pour nous aider à faire la comparaison entre les Écritures et le Rosaire, nous allons mettre en parallèle avec la Parole de Dieu, non pas le chapelet Rosaire lui-même, mais son champ d’influence dans le monde qui empêche à la vraie piété.
Comme nous l’avons vu précédemment, le Rosaire est sans conteste seulement un objet de dévotion à Marie. Dieu ne nous demande pas de faire "le chapelet" pour témoigner de notre reconnaissance envers lui et pour lui faire nos requêtes.
QUEL EST SON CHAMP D’INFLUENCE ?
La zone d’influence du Rosaire se situe principalement parmi les fidèles catholiques qui acceptent d’une part, l’enseignement du clergé sur l’importance accordée au Rosaire, et d’autre part, sur la croyance au culte de Marie considérée "toujours vierge" et "médiatrice" du ciel, qui usurpe cette fonction qui appartient à Jésus seul : « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul Médiateur entre les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. » I Timothée 2.5. 6
Dans la Nouvelle Alliance, "il n’y a pas d’objets pour la dévotion à Dieu", si ce n’est le pain et la coupe qui nous mettent en communion avec le corps et le sang de Christ. La communion avec le monde invisible est une réalité dont les croyants n’ont pas toujours conscience quand ils exercent un culte.
En effet, selon l’enseignement transmis, ils attribuent au Rosaire une puissance qu’il n’a pas. De plus, ils croient s’adresser à Dieu avec ce chapelet, alors qu’ils sont en communion avec les démons.
Que ce soit une relation restaurée avec Dieu ou que ce soit avec les démons, tout croyant est "dans un champ d’influence spirituel" auquel l’apôtre Paul avait mis en garde les chrétiens de Corinthe afin qu’ils fuient l’immoralité sexuelle liée à l’idolâtrie.
« La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion au corps de Christ ?
[...] Voyez les Israélites selon la chair, ceux qui mangent les victimes ne sont-ils pas en communion avec l’autel ? Que dis-je donc ? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose ou qu’une idole est quelque chose ? Nullement.
Je dis que ce qu’on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu, or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. » I Corinthiens 10.16-20
Toute communion entre le ciel et la terre est une réalité. Si l’on dit que le chapelet Rosaire met les catholiques en communion avec les démons, est-ce la vérité ?
Comme Paul le dit pour d’autres croyances de son temps, en l’occurrence les viandes sacrifiées aux idoles, ce n’est pas le Rosaire qui importe, mais c’est qu’il met les croyants en relation avec une représentation de Marie idolâtrée qui n’est pas à sa place dans les lieux célestes, mais qui usurpe la Volonté de Dieu. Étant donné que l’idolâtrie est l’oeuvre des démons, toute dévotion à Marie est une idolâtrie.
QU’EST-CE QUE LE ROSAIRE EMPÊCHE A LA VRAIE PIÉTÉ ?
Dans cet article, nous avons fait un historique du Rosaire, relevé les diverses approbations des papes à son sujet. Nous avons montré que certains attribuent une puissance à cet objet et que Marie, elle-même, a donné de l’importance pour la prière à ce chapelet lors de ses apparitions.
À propos de la puissance du Rosaire en lui-même, c’est une fable ! Car son ampleur et sa portée dans le milieu catholique existe par l’enseignement transmis par les faux docteurs au sujet de Marie et par l’efficacité qui lui est donnée.
Les papes ont attribué au Rosaire un rôle significatif mais uniquement pour avoir le contrôle sur les peuples et événements terrestres, alors que les responsables de l’Église du Seigneur Jésus ne se préoccupent pas des projets politiques des nations.
Ils ne s'occupent pas des événements et de l’avenir de ce monde, car ils ne cherchent pas à changer le monde selon "une idéologie politico-religieuse" mais en exerçant des ministères donnés par le Seigneur pour le perfectionnement des saints, l’oeuvre de l’Évangile annoncée à toutes nations et l’édification du corps de Christ.
« Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’oeuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ,
afin que nous ne soyons plus des enfants flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que professant la Vérité dans l’amour, nous croissions à tous égards en celui qui est le Chef, Christ. » Éphésiens 4.11-15
Ce que nous retiendrons dans l’historique, c’est l’importance accordée à ce chapelet et surtout celle du pape François qui a parlé du Rosaire pour combattre le démon.
Lors de son séjour à Fatima, il a rappelé une parole du pape Paul VI : "Si nous voulons être chrétien, nous devons être marial". Cela signifie de rendre un culte à Marie.
Combattre les démons ne consiste pas à utiliser le Rosaire, mais à revêtir toutes les armes de Dieu, sachant que ce sont toutes des armes spirituelles notamment la Vérité, la Justice, le Zèle pour la paix de l’Évangile, la foi, l’Esprit de Dieu, le salut, les prières, les supplications et la persévérance.
Ainsi la piété se réalise dans les prières non pas avec le Rosaire, mais par l’Esprit. "Les chrétiens" ne combattent pas le malin avec le Rosaire, mais avec le Bouclier de la foi et l’Épée de l’Esprit. Ils ne travaillent pas leur salut avec un chapelet, mais en invoquant le nom du Seigneur Jésus. (Romains 10.10, 11)
« C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
Tenez donc ferme : Ayez à vos reins la Vérité pour ceinture, revêtez la cuirasse de la Justice, mettez pour chaussure à vos pieds le Zèle que donne l’Évangile de paix, prenez par-dessus tout cela le Bouclier de la foi, avec le quel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin, prenez aussi le Casque du salut, et l’Épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu.
Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints. » Éphésiens 6.13-18
En réalité, le Rosaire empêche à la vraie piété, quand les croyants sont en communion avec les démons, quand ils rendent un culte à Marie et que les docteurs de la liturgie catholique font croire aux fidèles qu’ils rendent un culte à Dieu.
Serge Rossi
Groupe : MARCHONS PAR LA FOI
Prier Dieu n'est pas un moulin à prières pour être vu des hommes. Jésus nous a enseigné de prier le Père en son nom : « Mais toi quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est dans le (lieu) secret, et ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! [...] » Matthieu 6.6-9
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Note : Cliquez toujours sur le dièse (#) du titre AFIN D'AVOIR UN MEILLEUR VISIONNEMENT DU TEXTE, l’option de commenter, d'imprimer, de partager les Études Bibliques sur Messenger, votre portail, groupes Facebook ou autre plateformes, à la gloire de Dieu : #Regard_sur_le_chapelet_du_rosaire_de_Marie
Groupe : Chantez à Dieu de tout votre coeur : Index d'études bibliques
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https://youtu.be/ukYTNdInfro
#Angelus du mercredi 24 mai 2023 : Fête de Notre Dame, Auxiliatrice des Chrétiens, Victorieuse de la bataille de Lépante au travers du chapelet
" Ô Vierge, Mère de Dieu, Celui que tout l'univers ne peut contenir, S'étant fait homme, S'est enfermé dans votre sein ".
(Graduel)
Udp
Jérôme
https://youtu.be/ukYTNdInfro
#Angelus of Wednesday, May 24, 2023: Feast of Our Lady, Help of Christians, Victorious of the Battle of Lepanto through the rosary
"O Virgin, Mother of God, He whom the whole universe cannot contain, having become man, has shut himself up in your bosom".
(Gradual)
Udp
jerome
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Quelques courtes réflexions sur l’Islam
Un lecteur fait appel à ma maîtrise (très relative !) de la langue arabe et du Coran pour expliquer des mots qu'il a lus, récemment : ''Takfir wal Hijra'' et ''Maḏhâhib al ijtihad''. Au lendemain d'un ''billet'' sur Samuel Paty, ces mots sont au centre du problème que pose l'Islam au monde entier et à lui-même... Au fond, la grande question, jamais posée, est : l'islam est-il compatible avec autre chose qu'avec lui-même ? Les candidats à la Présidentielle vont vouloir en parler, et leurs erreurs + leurs approximations vont tout rendre ‘’indém....able’’ ! Tentons de traduire ces expressions en ‘’version 2021′’. Accrochez-vous, ‘’c'est pas simple’’ !
(A)- ''Takfir wal Hijra'', littéralement ''Anathème et exil'', est une mouvance perse qui remonte à 685 --donc un peu après la mort du Prophète, et ce nom oublié a été repris en 1971 par un groupe d'extrémistes ultra-violents. Le takfīr, qui est à la fois malédiction, condamnation à mort et bannissement, (dans cet ordre ou dans un autre !) est prononcé contre tout kâfir (= ''cafre'' : mécréant, incroyant), et en être accusé justifie la mort. Or les ''takfiris'' (càd. ceux qui lancent cette malédiction) considèrent que tous les musulmans qui ne partagent pas leur point de vue sont des apostats, ce qui les autorise à les tuer... Quant à la Hijra, qui peut faire penser à l'Alya des juifs, c'est un départ volontaire de terres réputées ''impies'', dites ''Dar el-Harb'' = ''les pays pour la guerre'' : non encore islamisés, ils doivent être conquis, par opposition au ''Dar el-Islam'', les terres déjà soumises. En résumé : ''On les maudit... puis on s'en va !'' (Hélas, la France a basculé à un stade ultérieur : ''Certains détestent... mais ils restent'' ! Et parfois, ils cassent... ou pire !’’).
(B)- ''Maḏhâhib al ijtihad'' ou ''courants de réflexion critique''. Pour un très petit nombre de ''croyants'', l'Ijtihâd (= la réflexion critique) est encore permise à tout ''savant'' de l'usul al-fiqh (un mélange de foi et de droit qui caractérise l'Islam). Mais on considère que les courants critiques ont disparu depuis le IXe siècle de l'Hégire (notre XIVe siècle), au motif que ''plusieurs siècles d'analyse des sources et des règles auraient permis de faire le tour de toutes les questions juridiques possibles, de sorte (...) qu'il n'y aurait plus rien à inventer'' (sic !). Du Xe au XIIe siècles AD, turcs et mongols rendirent le djihad plus guerrier, jusqu'à la défaite de Lépante, après laquelle le monde arabo-musulman conserva une puissance militaire de nuisance mais perdit l'avance scientifique acquise grâce aux savoirs ‘’fauchés’’ au monde byzantin et aux esclaves occidentaux razziés ou pris en mer --on pense à Cervantès. Vue par un occidental, la perte de toute possibilité de critique du Livre Saint, a été une immense ‘’régression civilisationnelle’’ pour l'Islam.
(C )- Dans l'islam classique, le vocable ijtihâd désignait ''ce que l'homme peut comprendre de la charîa'a'' (= la Loi révélée). Actuellement, pour l'immense majorité des musulmans, la charîa‘a est l'essence de la révélation coranique, et son bras armé est le jihâd, effort guerrier incontournable et violent qui vise à donner à l’islam des territoires où imposer sa Loi –n’en déplaise aux apologistes occidentaux qui ''relisent'' l'islam à travers leur culture imprégnée de christianisme, même renié. A la question : ''Comment la charîa'a, cœur du Coran, qui est dit ''incréé'' (càd ''préexistant à tout'', donc éternel et invariant), pourrait-elle être l'objet de critique et d'adaptations ?'', on entend parfois la réponse : comprendre la Loi n'est pas la transformer, mais on juge alors à travers une vision occidentalisée voire chrétienne du monde, ce qui est une fausse piste. On peut dire : Mauvaise pioche !
(D)- La fermeture de la porte à l’ijtihâd (c'est-à-dire l'interdiction de toute lecture critique du Coran) a eu pour résultat de paralyser les musulmans dans leur rapport avec leur Loi révélée. C'est un faux argument, d'essence politique, qui les trompe en sous-entendant une interdiction de toute compréhension de leur propre histoire... et en empêchant jusqu'à la formulation de toute question relative à l’avenir des sociétés musulmanes. Incompréhension du passé et inaccessibilité du futur sont un, on le sait : pas de passé = pas de futur. Alors, à qui profite le crime ?
(E)- Pour un occidental, il est difficile de comprendre au nom de quoi Allah interdirait au ''croyant'' de remettre en question non pas le Coran ou la Charia'a, mais ce que l'homme en a compris, autrement dit, le fiqh : c’est, justement, le sens premier de l’ijtihâd, que tous les musulmans devaient entreprendre, comme partie intégrante du ''djihad'' --qui fut un combat contre soi-même, avant de devenir un devoir de diffuser la Parole par tout moyen. (NDLR : dont le sabre, ce ''sif'' d'où vient l'expression ''bessif'' --par la force du sabre-- devenue courante dans le français tel qu'il est parlé, hélas, c'est-à-dire : sans savoir le sens des mots que l'on emploie).
En revanche, on peut facilement deviner dans quelles intentions politiques des dirigeants avides de pouvoir absolu (Erdogan en est un triste exemple. Mais les soi-disant ''Talibans'' ou les ''frères musulmans'' ne sont pas mal du tout, non plus !) invoquent une intangibilité sacrée pour maintenir les peuples dans l'ignorance, cette ''interdiction de penser'' donnant... les résultats dont nous subissons le pire des conséquences. Malheureusement, rien ne permet d'espérer une inflexion prochaine : les ''penseurs'' (je pense à Bouallem Sansal, à Abdelouahab Meddef, à Tahar Benjelloun ou à un André Chouraki, souvent cités dans ce blog, et quelques autres) sont une poignée... et ils ne sont pas remplacés, à leur disparition.
Même si j'ai une opinion tranchée, il ne m’appartient pas de dire quels sont les enjeux de la confrontation de deux mondes entre lesquels aucune cohabitation longue n'est possible, l'expérience et l'Histoire l'ont démontré. Mais une chose paraît volontairement oubliée : cette ‘’impossibilité’’ a sa source dans la Loi d'Allah, la charia'a, et son bras armé le jihad, fondements de l’ordre légal musulman. Or, quels que soient les détours inventés, le jihâd (qui est un devoir de propagation de la foi) est partie intégrante de l’islam : dans tous les traités du fiqh, à toutes les époques, elle est là, cette obligation de lutte armée : de nos jours, le jihâd, parfois dit ''petit'', peut se résumer à la stricte obligation communautaire (fard kifâya) d'un effort guerrier. L'état du monde en est une preuve, hélas !
Ce qui pourrait ''rester'' de ces quelques remarques (arides !), émises par le vrai ''non-spécialiste absolu'' que je suis, c'est de remarquer à quel point les univers judéo-chrétien et musulman sont difficilement compatibles (une telle précaution oratoire s'appelle ''une litote'' ou bien ''un doux euphémisme''), et combien il est dangereux pour toutes les parties qui sont concernées de faire semblant de ne pas s'en rendre compte. Entre dénis systémiques du réel, de l'expérience et du passé et refus d’étudier les textes, les dirigeants actuels ont choisi la voie le plus inefficace, celle qui ''ouvre'' le moins de portes, pour le futur, et les ferme toutes, pour le présent. Un mot, encore : ''le monde étant ce que nous savons'', il est prudent, ces temps-ci, de préciser que pas plus la personnalité que les discours d'Eric Zemmour ne sont pour quelque chose dans cette constatation, fruit (blet) d'un long parcours aux côtés de l'Islam...
H-Cl.
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L'histoire de l'Europe, c'est d'abord Marathon, c'est Salamine, c'est Lépante, c'est Vienne, c'est Poitiers.
Jean-Marie Le Pen, au Parlement européen à Strasbourg en 1984.
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Qu’a-t-elle d’européen notre Europe alignée, recouverte d’un bleu manteau de supermarkets, le successeur du blanc manteau d’églises, avec, çà et là, et en supplément d’âme, des musées aux formes avantageuses, où venir remplir en bâillant ses obligations culturelles ? Il y avait plus d’Europe à l’âge des monastères, quand l’Irlandais Colomban venait semer ses abbayes aux quatre coins du continent. Plus, à la bataille de Lépante, quand Savoyards, Génois, Romains, Vénitiens et Espagnols se ruèrent au combat contre la flotte du Grand Turc, sous la houlette de Don Juan d’Autriche. Plus à l’âge pacifique des Lumières, quand Voltaire venait battre le carton à Sans-Souci avec Frédéric II, ou quand Diderot tapait sur l’épaule de Catherine II à Saint-Pétersbourg. Plus, à l’âge des Voyageurs de l’impériale, quand Clara Zetkin remuait le coeur des ouvriers français, et Jaurès, les congrès socialistes allemands. Le russe et l’allemand s’enseignaient cinq fois plus dans nos lycées en 1950 qu’aujourd’hui ; il y avait alors plus d’Italie en France et de France en Italie qu’il n’y en a à présent. Nous suivons de jour en jour les péripéties de la politique intérieure américaine, et une quinte de toux de Mme Clinton en campagne fait l’ouverture de nos journaux télévisés, mais nous n’avons pas dix secondes pour un changement de paysage en Roumanie ou en Tchéquie. Les satellites de diffusion et notre paresse intellectuelle mettent New York sur notre palier, Varsovie dans la steppe et Moscou au Kamtchatka.
Régis Debray, Civilisation
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Auxilium Christianorum, ora pro nobis ! Anniversaire de la victoire de Lépante. Tableau de Véronèse, c. 1573. Galerie de l’Académie, Venise. http://bit.ly/2PnWLRG
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Une conférence religieuse
Les concepts du répertoire ecclésial se succédaient depuis une demi-heure, prélature, incardiné, économie du salut, romanité... ponctués de gestes circulaires de la main. Tout n’était sur ce gros homme, que dandinement, rondeur, jabot. Parfois la main s’immobilisant pendait quelques instants au poignet dans la posture qu’affectent les mimes pour figurer l'efféminé. Cette succession d’épithètes, d’hyperboles et d’adverbes ébahissait peut-être l’assistance mais glissait sur Vincent sans lui en remontrer, cependant au détour d’une remarque sur la notion de contrition il marmonna « Putain, mais La cage aux folles, quoi... ». Il voulut se boucher les oreilles, les inflexions de fausset que prenait le monsieur lui étaient insupportables. « Non mais, un jars! ». C’était jusqu’ici la seule chose que Vincent retenait, prenant conscience grâce à l’horloge que voici trente-sept minutes qu'il écoutait cacarder cette pédale. Vint l’image des racailles. En examinant ce petit monsieur gras, féminin, paré de fanfreluches, révéré par toute une cour et présenté partout comme l’unique prélat fidèle au Molinisme originel, Vincent voyait un excès de Civilisation. Aussitôt lui vint l'image des barbares symétriques. Qu’est-ce que Monsieur le Surintendant allait faire concrètement contre les racailles ? Les racailles continueraient à saloper toujours plus loin chaque mètre carré de la laborieuse, vertueuse, vénérable civilisation dont se réclamait Monsieur le Surintendant, quel que soit le nombre de conférences, tractages, manifestations qu’organiserait la Société des Bons Messieurs. Oui, lorsqu’apparaissait le prélat, et que les redeudeus rangés en double haie d’honneur ployaient le genou gauche, lorsque tous ces rubans venaient l’un après l’autre recevoir de l’air recueilli puis éberlué du courtisan, un précieux mot, un chuchotement, lorsque s’ébranlait ce fatras de protocole sorti d’une caricature anticléricale, l’image des bandes de racaille qui marchent à 8 en ligne sur les Champs-Elysées le samedi après-midi se dessinait en ombre chinoises dans l’esprit de Vincent Dubois. Mais oui ! Les racailles, résurgences des bédouins du désert pilleurs de caravane constituaient l’antimatière la plus exacte de ce monde de bourgeois intellectuels privés de force vitale. C’était parce que ces derniers avaient depuis le 17ème siècle corrompus les classes viriles des Blancs travailleurs manuels, notamment par l’hypertrophie du culte marial sous le pontificat de Léon XIII, par l’exercice d’une autorité tenant davantage de la mère abusive que du bonhomme, par la torture mentale de la culpabilisation, par les mille petites phrases toujours négatives achevées de « ce serait dommage de l’oublier », que le moment venu les racailles avaient pu débarquer à Marseille et à Chartres, dans les galettes des rois et les fêtes de village, dans tous les interstices gentils de cette société pacifique, et, comme l'analysait Xavier, tout sodomiser.
Les conférences de Monsieur le Surintendant (Le Beau, reflet de la Vérité, 2011, Splendeurs de l’Eglise, 2013, Talent et Devoir d’Etat : être bien ce que nous sommes, 2014) remportaient toujours l’adhésion générale. Les premières minutes consistaient généralement en l’énumération de toutes sortes de désastres contemporains bien connus (crise des vocations sacerdotales, doctrines fausses) qui avaient le mérite de rappeler aux auditeurs tatillons que l’heure était grave, que le navire coulait et que seule l’unité sans faille autour des derniers détenteurs d’autorité (comme Monsieur le Surintendant) permettrait de sauver quelques meubles. Puis, et c’était là que certaines têtes parmi les moins chenues de l’assistance ébauchaient les prodromes d’un branlement négateur, le propos déviait non sur la condition de ces patriciens et de cette plèbe de petits blancs condamnés dans leur pays, mal regardés, volés, chassés partout, mais sur la situation du clergé. Celle-ci était, on le savait depuis cent au moins, catastrophique etc. Ca-ta-stro-phique glapissait Monsieur le Surintendant cessant un instant de lire sa fiche pour regarder les vieux des premiers rangs, tous acquis à la démonstration. Séminaires vides, infiltrations maçonniques, collégialité, il y avait toutes les raisons de croire que nous étions « à la veille d’un châtiment divin terrible, auprès duquel le Déluge ferait figure de bagatelle ». Selon Monsieur le Surintendant la désertion chronique des églises par les fidèles avait pour cause les abus de la liturgie moderne, etc.
Vincent bailla, sortit son téléphone, consulta ses courriels en attente de réponse archivés dans la section "grande forme". Il y classait les courriels douloureux qui nécessitaient une très grande santé mentale pour y répondre à-propos. Bien qu'il fût de fort méchante humeur il relut comme poussé par la haine de soi le message de ......... vieux de 7 mois, auquel il n'avait toujours pas trouvé la force de répondre.
Le 8/8
Cher Vincent,
Aussi loin que porte le regard le paysage ressemble à une Italie qui serait vierge ; des collines vêtues de maquis et d’oliviers et c’est tout. Je t’écris depuis la place passager d’une voiture de location sur l’autoroute Split-Zadar car je fais conduire Clara, comme d’habitude. Depuis Santa Maria di Leuca nous avons effectué une magnifique traversée de ce qui fut autrefois le golfe de Venise sur le voilier que Monsieur Jacques nous prête, puis avons remonté l’Albanie jusqu’ici. La mer Adriatique recèle de ravissants joyaux orthodoxes sur son rivage monténégrin. Nous avons laissé loin derrière l’Albanie, désert où ne poussent que des sacs plastiques pris dans les ronces et battus au vent, et avons accueilli avec joie l’apparition de l’ile Saint-Stéphane à l’aube du 5, cet ancien bastion de la république de Venise aujourd’hui île privée. Grande joie de regarder depuis les murailles de ce paradis les boloss jeunes touristes à casquette hipster et lunettes essence, et de leur adresser quelques doigts d’honneur règlementaires. Clara ne manifeste aucune pitié pour ces promeneurs ignares en religion qui pour leurs vacances se ruinent par pur snobisme Instagram, se chargent de gros sacs, somnolent dans des dortoirs puants tout cela pour photographier la synthèse de tout ce qu’ils méprisent : des églises et des monastères. Touristes hipsters : "Bah on cherchait surtout l'authenticité. Pas trop l'argent". Clara compare l’ignorance de ces foules qui rigolent des saints et ignorent la vraie religion à son enfance chez les sœurs dominicaines de Fanjeaux, « Nous c'était le contraire on étudiait émerveillées les pères de l’Eglise mais on ne voyageait jamais faute d’argent. Alors pourquoi ces ploucs à casquette Obey viennent-ils admirer des chapelles ? ». « Mais c’est parce que c’est beau » se défendraient-ils, eux qui juraient deux secondes auparavant que la beauté est subjective, que Caravage vaut Picasso ou même un masque baoulé (mais jamais chez eux ils ne paient les 7 euros de l’entrée du musée des arts primitifs quai Branly). Nous avons ensuite admiré Kotor, Herceg-Novi, Dubrovnik… Petits reliquaires ramassés derrière des murailles épaisses de quatre mètres et hautes de quinze, prix de la survie pendant cinq siècles face aux ottomans massacreurs, inventeurs de la pédomazona. Le génie bâtisseur européen guetté par l'arriération saccageuse oriental, n’en sommes-nous pas exactement là ? C’est à croire que rien n’a changé depuis les Thermopyles. Connais-tu la thèse de Philippe Fabry sur Lépante répétition exacte de Salamine? Cette visite de Dubrovnik apprend davantage sur l’époque actuelle que dix ans à lire les journaux. Les murailles de Dubrovnik m’ont révélé la fonction véritable des frontières. Je tance Clara sur sa vitesse car elle dépasse actuellement les 160, warnings allumés sur la bande de gauche, et qu’elle ouvre la vitre pour lâcher un doigt d’honneur aux radars de vitesse (je crois que son pied droit écrase l’accélérateur aussi fort que Notre-Dame écrasera la tête du serpent dans les temps eschatologiques). Bientôt Zadar d'où nous repasserons l'Adriatique pour quelques jours à Venise. Les doges prenaient jadis le titre d’époux de l’Adriatique, n’est-ce pas tout à fait lyrique ? Nous descendrons d'ailleurs dans le palais de l’un d’eux, Andrea Gritti, où les selfies sont interdits ce qui tu l'imagines, a précipité le choix de Clara. On ne bouge plus d’Italie jusqu’au 20 avant de passer en France. Viendras-tu au Réyol cette année ? Nous y serons du 20 au 27 avant de remonter doucement vers la Loire. J’ai lu ton mémoire sur Scorcese, excellent. J’entame Mort à Crédit, et Clara termine Rester Vivant, si si.
FvdR
En somme, poursuivait Monsieur le Surintendant, nous allons conquérir les places par le haut. Il existe encore aujourd’hui une élite catholique, qui fait des enfants, et qui nous est fidèle. Ils remplissent nos églises et nos séminaires et c’est la seule chose qui compte pour l’avenir. La hiérarchie vaticane, bien qu’hostile à notre congrégation sera forcée le jour venu de nommer nos prêtres aux places de choix et qui sait, de faire l’un d’entre nous év��que, alors nous investirons et réunirons ces parcelles disparates comme autant de micro-chrétientés, d’un coup réunies en une grande. Les charges qui nous seront échues deviendront nos places fortes d’où nous proclamerons, inexpugnables, bien haut l’Evangile. Les gens reviendront à l’Eglise poussés par un monde encore plus vicieux et irrespirable qu’aujourd’hui. Alors leur vie prendra un sens, un but, irradiée en filigrane par la joie, par la vie de l’esprit dont nous aurons rendu les conditions d’épanouissement possible par l’établissement d’une atmosphère chrétienne, catholique, comme celle dans laquelle ont vécu nos pères durant mille cinq cent ans. Sommes-nous plus intelligents que nos pères parce que nous avons la voiture, le vote à bulletin secret et le telefonino ? Sommes-nous plus heureux que nos pères à votre avis ? A ce moment précis de la démonstration, les paroles du prélat trouvait pour la première fois en Vincent une oreille attentive. Certes, ceci était bien amené, et l’on voyait où Monsieur le Surintendant voulait en venir. Mais s’il avait tant raison pourquoi son public était-il surreprésenté en vieillards et femmes obèses? Cela, le renouveau? Depuis l'ouverture de cette paroisse il y a dix ans, non seulement aucun nouveau converti n'était apparu, mais aucun couple ne s'y était formé, et ceci pour une raison simple : aucune fille célibataire en âge de procréer ne fréquentait les lieux. Les jeunes adultes fuyaient l'Eglise dès qu'ils n'étaient plus surveillés par leurs parents ou tournait vieux garçon et vieille fille selon qu'ils aient une vocation ou une aversion innée pour le cul, et on voyait effectivement chaque dimanche venir s'asseoir un peu plus de bide, un peu plus de menton. Cette désertion de la Santé procédait d'un simple principe: le marché attirait à lui la santé, ponctionnait dans les familles chrétiennes les plus prometteurs éléments, happait les belles baigneuses, rejetant sur le sable à marée basse les obèses, les tarés. La jeune fille jolie trouverait toujours cent fois plus d'intérêt, cent fois plus de joie immédiate, à aller dans le monde plutôt qu'à épouser un jeune catho même très à son goût, et lui faire dix enfants. "Ce sont les carences en dialectique et apologétiques qui causent l'abandon de la vie chrétienne" maugréait en lui-même Vincent, baissé sur sa chaise, observant par en-dessous Monsieur le Surintendant sur son estrade. « Quelles armes dialectiques tous ces emmerdeurs donnent-ils à un type de 20 ans qui se ferait coincer sur l'avortement dans un débat improvisé devant témoins? On vient à l’Eglise par Charles Péguy et Chesterton, tout embaumé, et lorsque l’on s’en ouvre à un inconnu la première chose qu’il vous dit c’est « Mais et la capote ? Et l’avortement ? Et les pédophiles ? » Quel autre possibilité que de se rendre ridicule avec tous les principes qu'il défend, le nouveau chrétien? Et ces cuistres de répondre que c'est justement là le choix entre vie chrétienne et vie du monde! Mais non! Mais non sales flemmards que vous êtes! C'est pas ces deux choix là! Il y a une troisième voie et vous le savez bien! C'est de gagner dialectiquement le débat, calmement, logiquement! Or la dialectique de débat n'est pas faite de thomisme, de catéchisme et de droit canon, lourds éléphants d’Hannibal, bref n'est pas faite de ce que l'on dit, mais de comment on le dit. Il faut pouvoir improviser, menacer, exhorter, insinuer, avec un esprit d’à-propos, avec des équivoques, avec des synthèses ramassées, avec des questions oratoires, avec des palettes de 30 figures rhétoriques maîtrisées jusqu'à pouvoir frapper d'instinct selon le contexte, avec la phrase qui retourne toute la bataille. Car ces débats, clashs, controverses, sont les jeux du cirque de notre monde civilisé. Seuls les conférenciers capables de parler sans note intéressent les foules, et influencent éventuellement leur opinion. Dans un débat contradictoire, le Verbe c'est la dialectique. Dangerosité en politique d'avoir trop intégré des préceptes tels que ne rien demander, ne rien refuser et l'honneur de souffrir pour Notre-Seigneur-Jésus-Christ ».
Pour gagner dialectiquement les débats contre le monde il faudrait que les jeunes soient formés, initiés aux figures de rhétorique et entraînés à leur application en terrain difficile : un débat improvisé dans la rue, un entretien avec un journaliste hostile, etc. NSJC, modèle par excellence du maître dialecticien à imiter. Il faudrait aider à comprendre quelles figures privilégier selon que l’on dialogue avec tel contradicteur devant tel public ou tel autre, pratiquer l’art d’avoir toujours raison mais à l’école de Saint Dominique, se repasser certains grands débats cruels des années 90-2000 sur les plateaux de Virieu, Ardisson, Ruquier, Fogiel, pour comprendre ce qu’il aurait fallu dire, comment et quand, et bien prendre conscience de cette vulgarité admise par les foules, qui exige de vaincre ou de périr. La plupart des cultures basées sur le mensonge se réclament, on le sait, toujours du dialogue car elles savent pouvoir y triompher, le mensonge et la dissimulation étant chez elles non des péchés mais le mode habituel de rapport à l’autre, à l’étranger haï, à détruire, à soumettre. Ces enjeux de rue intéressent très peu ce clergé pour qui toute la question est de connaître le nombre de séminariste dans tel diocèse et qui en est l’évêque, ou si untel se conforme ou non à telle hiératique, ou encore d’expliciter les mérites comparés de deux congrégations jadis florissantes et aujourd’hui éteintes. Les foules de rombières et de vieux efféminés qui se passionnaient pour ces sujets seraient bafoués en deux minutes de débat face à un Dynovicz, Touitou, Ramadan, ou quelque autre sophiste habile au tour de passe-passe lévinassien (« Nous ne défendons pas le voile, qui est un tissu, mais la pudeur, qui est une vertu. Le voile n’est que l’excipient de cette vertu ») et dont la syntaxe rustique, loin de les desservir, formait le raccourci, le joker pour foncer plus vite au résultat sans la manière, laissant les héritiers de Bossuet s’empêtrer dans les ornements du beau style (liaisons, doubles négations), faites pour l’apparat des conférences avec fiches, faites pour cette foutue conférence. Ainsi à Crécy des soudards mal dégrossis massacrèrent avec des flèches et des poignards plusieurs milliers de chevaliers carapaçonnés de la plus haute extraction.
Le regard de Vincent erra un moment sur les portraits des vénérables prédécesseurs aux murs de la salle. De vieux messieurs impeccables aux regards aguerris, cardinal untel, père untel… Si de pareils soldats de la Foi n’avaient pu endiguer le flot à l’époque timide de l’arriération orientale qui montait en Occident par le moyen « civilisé » de l’Etat Profond pendant les années Nixon, que pourraient faire aujourd’hui les obèses châtrés de la Société des Bons Messieurs face aux torrents de merde rajoutés chaque jour par « étapes graduelles » aux égouts du monde qui montaient désormais jusqu’à eux?
Vincent baissant les yeux sur son téléphone appuya rageusement sur « répondre » et s'employa à rédiger.
Cher Franz,
Désolé d’avoir tardé à te répondre. Mon ferry a pris du retard cet été. Hélas je n'ai pas eu le loisir de pouvoir vous suivre au Réyol, des questions bassement monétaires m'empêchant la location de voiture et l'hôtel. Ce sont probablement les prodromes du déclassement. Je ne voulais pas que vous me traînassiez comme un boulet. Misère! Je n'ai même pas accès à l’argent pour pouvoir le mépriser, ni à la bourgeoisie pour pouvoir la renier.
Ferry Italie-Albanie.
Chapitre 1. Le Ramona (coke en stock)
On arrive dans le bateau, départ 21h avec deux heures retard. Salles communes déjà remplies d'albanais assis par terre, bar, salon, ambiance chiourme entassée. Partout, des pieds d'hommes, des bides, des mâchoires où dents manquent qui mastiquent puis qui baillent, des regards qui n'attendent plus rien. Seaux rouges au milieu des couchages pour écoper des fuites du plafond. Un camp de réfugiés. Le "restaurant" : la salade caprese c'est laitue plate avec monotranche feta et monotranche tomate le tout dans assiette dessert. J'opte pour un bourguinss haricots verts. Dehors, le coucher de soleil, la chiourme s'étale partout pour dormir, bouche ouverte, nombreuses paillasses jetées sur le pont extérieur, femme jambes ouvertes avec gros chien, des types genre bédouins des mers gueulent aux dominos avec bières etc. On voit que seule une cheminée fume sur les deux existantes. On dort sur banquettes du restaurant. Arrivée prévue demain 15h.
Chapitre 2. Le boat-people à la dérive.
Réveil 7h du matin. Une seule cheminée fumait, effectivement, verdict : 1 seul moteur marche sur les deux. Annonce indique 24h de retard à cause allure trop lente, ambiance d'émeute, va falloir redormir en mer ce soir, le camp de réfugié flottant devient radeau des cinglés, les capitaines se hurlent dessus dans le poste du haut on les entend depuis le pont, genre "mais c'est toi qui devait faire le plein de mazout" etc.
On redescend : tribus d'hommes trapus obèses crânes courts peau craquelée, femmes allongées en vrac dans les couloirs, encore 19h de traversée, 30 degrés on va manquer d'eau. Odeurs corporelles, bouffe, toilettes, vomi, enfants qui crient, les gens avec des paquets de cigarette, des glaces, des chips qui bouffent hagards. Files d'attente d'hommes debout frôlent des femmes allongées (quasi contact pied-bouche) sous couvertures Bambi. Visages gras, promiscuité, haleines, colère... Partout des ventres, des poils, des tatanes quechua. A l'horizon : mer plate. Physiques louches de soudards à cous épais qui engueulent l'équipage grec. Femmes tatouées en short paillette, cheveux violets cinq doigts six bagues etc. Annonce du bateau : bouffe gratuite en dédommagement. Ruée immédiate massive au restaurant, gens frappent aux vitres, tambourinent aux portes, insinuent doigts par interstices en appelant les serveurs façon "nuit des morts-vivants" ; soudain les portes cèdent, les tribus raflent les tables de 4 comme aux soldes, embrouilles de 10 pachydermes pour les places assises, vont-ils se taper en sang par terre dans miettes de chips et tâches de mayonnaise ? 30 degrés, midi, bateau en perdition. Les gros se hurlent dessus en albanais dans le "restaurant", une femme essaie de ramener le calme en faisant tinter une fourchette contre un verre, (disproportion des bruits) pendant que ceux déjà servis le nez dans l'assiette font des soupirs de satisfaction, s'en foutent. Dans les assiettes : nouilles ketchup. 2 heures de queue je renonce. Toutes les prises occupées pour charger portables. 14h les gens commencent à ouvrir armoires sauvetage, fouillent, raclent tiroirs, s'emparent de tout à porté de main, ambiance de vengeance, l'équipage se retranche derrière des guichets.
16h déjeuner : pâtes sauce tomate. Arrêt de la climatisation, les gens qui ont des cabines ouvrent les portes pour respirer, gros hommes à 4 par chambre en superposés, dorment ventre à l'air dans cabines puantes et bouillantes. Femmes qui allaitent par terre. 16:30 tout le bateau a mangé, l'émeute se calme, digère. 17h des dauphins sautent autour du bateau. Prochain service à 21h. Ca recommence. Nuit. 4h du matin Albanie en vue. 10h on commence à sortir du bateau.
As-tu saisi la morale de cette histoire? Ainsi mon cher Franz, tout porte à croire, pour répondre à nos longues discussions sur l'avenir de l'Europe, que non ça ne va pas péter. Pour que ça pète il faudrait que la pression interne de la société soit élevée, or la satiété qu'elle éprouve trois fois par jour régule son humeur, et l'aiguille de son baromètre indique "Beau Fixe" envers et contre tout. L'histoire montre qu'il n'y a que deux types d'émeute : celle de la faim et celle financée par une organisation extérieure.
Cordialement
VD
Il faut garder l’espoir braillait maintenant Monsieur le Surintendant, cette confiance, en la France. Heureusement qu’il demeure des gens fidèles, les « appelés ». Et quand je vous vois, je réalise que cet espoir et cette confiance, sont au rendez-vous. Monsieur le Surintendant désigna d’un geste, au premier rang du parterre, une cinquantaine de vieux au teint de flaque d’eau. Vincent n’y prêta nulle attention. Ainsi le clergé actuel en était-il réduit à sa plus inoffensive expression : la fuite dans la théologie, l'abstraction, et selon qu'il soit moderno ou tratra, le baratin ou l’orthopraxie liturgique. D’où son agonie, songea Vincent en rangeant son téléphone. Encore quelques paragraphes sur le renoncement franciscain et l’union hypostatique et ce serait fini, on se dirait au revoir et l'on partirait chacun chez soi. Et les éventuels transports mystiques qui avaient saisi les auditeurs dix minutes auparavant, la certitude du Ciel et des Miracles, tout cela ne serait plus qu’un amas de mots insignifiantsnoyés dans le fatras des publicités, faisant jeu égal avec les titres des journaux, les résolutions du premier de l’an. La Religion fabriquait des brebis émues, désarmées et balancées dans le monde.
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12 septembre 1683 : l’Europe chrétienne arrête l’invasion ottomane
©commons.wikimedia.org/wiki/File:Casteels_Battle_of_Vienna.png Malgré sa défaite cuisante à Lépante en 1571, l’Empire ottoman n’a rien perdu de sa puissance terrestre ni de ses velléités expansionnistes, en cette année 1683. Souhaitant vaincre une fois pour toute cette Europe chrétienne qui ose lui résister, le sultan Mehmed IV décide de rassembler une immense armée afin de détruire Vienne, le…
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Vendredi 7 octobre - Notre Dame du Saint Rosaire
La fête célébrée aujourd’hui est celle de la bienheureuse Vierge Marie. Elle poursuit la Solennité de Notre-Dame du Saint Rosaire qui a eu lieu ce dimanche 2 octobre (jour de la fête des anges gardiens). Cette fête de Notre-Dame du Saint Rosaire qui a été fêtée le 2 oct. se rattache initialement à la Confrérie du Rosaire, d’inspiration dominicaine, qui se proposait de diffuser la dévotion au chapelet. En 1571, le pape Pie V institua une fête de Notre-Dame de la Victoire, en action de grâce pour la victoire de Lépante remportée par don Juan d’Autriche sur les Turcs, victoire attribuée à la récitation du chapelet. Grégoire XIII lui donna le titre qu’elle porte aujourd’hui et la fixa au premier dimanche d’octobre. Obligatoire pour les seules églises où se trouvait érigée la confrérie du Rosaire, elle fut étendue à toute l’Espagne par Clément X. Sous Clément XI, elle devint universelle (1716), en mémoire de deux nouvelles victoires remportées sur les Turcs. Aujourd’hui, nous sommes invités à découvrir la place de Marie dans le mystère du Salut en récitant souvent : « Je vous salue Marie, pleine de grâce… ».
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REGARD SUR LE CHAPELET DU ROSAIRE DE MARIE
#Regard_sur_le_chapelet_du_rosaire_de_Marie #Serge_Rossi #Exhortations Qc_0592
ORIGINE ET DÉFINITION
Le Rosaire est un exercice de la liturgie catholique qui consiste à dire quatre chapelets d’oraisons. Consacré à Marie, mère de Jésus-Christ, il tire son nom du latin "rosarium" qui désigne la guirlande de roses dont Marie est couronnée dans les représentations traditionnelles et imageries.
Le Rosaire consiste à réciter plusieurs chapelets qui permettent de méditer différents mystères de la vie du Christ et de Marie toujours considérée vierge par les catholiques. Les prières forment également une couronne de roses offertes à Marie.
HISTORIQUE DU ROSAIRE
Son histoire est liée aux ordres monastiques Dominicain, Chartreux et Cistercien et à la liturgie catholique. C’est au XIIème siècle, profitant du grand essor de la dévotion à Marie, avec l’influence de Bernard de Clervaux qu’est apparut le terme de "chapelet" qui désignait la couronne de fleurs ou petit chapeau que l’on plaçait sur la tête de la statue de Marie.
À partir du XIIème siècle, la dévotion mariale était en usage chez les Cisterciens, puis elle s’est ensuite développée sous l’influence des Chartreux et de Dominicains notamment grâce au Chartreux Dom Henri Egher de Kalgar qui vécu au Xvème siècle et qui élabora une méthode de prière avec cent cinquante "Ave" autant que les Psaumes de l’Ancien Testament, d’où le nom de "Psautier de Marie".
Dominique de Prusse qui a inventé des ajouts à la prière du "Je vous salue Marie", qui aident à la méditation du mystère. Puis il y aura le Dominicain Alain de la Roche qui fonda la première fraternité du Rosaire.
Les papes ont également encouragé cette pratique dévotionnelle : Pie V a été à l’origine de la fête de ND du Rosaire après la victoire de Lépante de 1571. Léon XIII surnommé le "pape du Rosaire" qui écrit 11 encycliques sur le Rosaire, Pie XII a encouragé la prière du Rosaire dans la famille.
Paul VI a mis en valeur le lien qui existe entre le Rosaire et la liturgie. Jean Paul II a ajouté au Rosaire les cinq mystères lumineux dans sa lettre "Rosarium Virginis Mariae" en 2002. Il a même composé deux cents clausules, (strophes rythmés) pour la prière du Rosaire.
Benoit XVI a mené toute une réflexion sur le Rosaire et l’Eucharistie, il a appelé "Printemps du Rosaire".
Le pape François a vanté les vertus communautaires du Rosaire et a rappelé l’importance du Rosaire dans la bataille contre le démon.
Les vénérés catholiques ont pratiqué le Rosaire notamment Thérèse d’Avila, Louis-Marie Grignion de Montfort, Padre Pio, Mère Térésa dont le chapelet à plusieurs couleurs lui permettait de prier pour les malades et les mourants de chaque continent.
Il y a aussi Pauline Jaricot qui a créée au XIXème siècle le Rosaire vivant fondé sur la participation de plusieurs personnes à la récitation quotidienne du Rosaire.
LES APPARITIONS DE MARIE ET LE ROSAIRE
Marie, elle-même, aurait confirmé l’importance du Rosaire lors de "son apparition" de la rue du Bac en 1830, demandant de réciter le chapelet à la Salette en 1846 ainsi qu’à Pellevoisin en 1876.
Marie se serait parée de trois couronnes de roses : Joyeuses, douloureuses et glorieuses du Rosaire à Pontmain en 1871. Pendant la récitation du chapelet, Marie grandit et les étoiles se multiplièrent.
En 1933, à Beauraing et à Banneux, elle apparue avec un chapelet. En 1858, à Lourdes, Marie apparue dans une grotte où poussait un églantier, (rose sauvage).
À l’île Bouchard, en 1947, elle portait un chapelet, et sur chacun de ses pieds s’épanouissait une rose. Elle présenta le chapelet et leur enseigna la façon de prier.
À Fatima, elle renouvela sa demande et expliqua que la récitation du Rosaire est d’une absolue nécessité "pour le salut du monde !".
À Medjugorje, elle appella au jeûne, au pain et à l’eau, ainsi qu’à la récitation quotidienne du Rosaire pour arrêter les guerres.
POUR LES CATHOLIQUES LE ROSAIRE EST UN INSTRUMENT PUISSANT
Nombreux sont ceux qui croient en la puissance du Rosaire. Le pape François lors de son homélie de la fête de l’Assomption, le 15 août 2013 a redit que le Rosaire est une prière importante dans la bataille contre le Malin et ses complices.
La puissance du Rosaire est telle qu’elle agit tant au plan personnel comme chemin de sainteté que collectif comme arme de paix et comme rempart contre ce que Jean Paul II appelait dans son exhortation "Reconciliatio et Paenitentia" en 1984.
Pour les péchés collectifs, Marie est selon son expression "l’alliée de Dieu dans l’oeuvre de la réconciliation".
Le Rosaire a aussi un rôle crucial à jouer dans "les événements politiques", "économiques"et "ecclésiastiques".
Les papes n’ont cessé d’encourager la prière du Rosaire pour les fruits qu’il peut porter, que ce soit au niveau individuel qu’au niveau collectif.
Pie V, lors de la victoire de Lépante. (La bataille de Lépante a lieu le 7 octobre 1571 dans le golfe de Patras, sur la côte occidentale de la Grèce. Ce fut une bataille navale qui opposa la flotte ottomane de Sélim II et la flotte de la Sainte-Ligue catholique)
Léon XIII dénonçant les écueils de la révolution industrielle. Pie XI au moment de l’arrivée du national-socialisme. Jean XXIII pour le concile oecuménique en préparation ...
Paul VI pour que la guerre au Vietnam s’arrête et pour écarter les dangers d’un conflit atomique. François qui a organisé un marathon de prières pour demander la fin de la pandémie du coronavirus.
La certitude de la puissance du Rosaire a poussé chez les catholiques plusieurs initiatives qui ont concourut à développer la pratique du Rosaire pour tous.
Ces "actions officialisées" ont été inaugurées le 25 mars 2021 et ont été appelées "Le chapelet perpétuel pour le monde".
La célèbre neuvaine à Marie qui défait les noeuds dont on connaît la puissance est également fondée sur le chapelet.
L’ajout des "cinq mystères lumineux" par le pape Jean Paul II a permis de nouvelles représentations du Rosaire ainsi que l’icône du Rosaire "avec les vingt mystères" réalisés par les Bénédictines de Jouques est un excellent support pour la prière.
L’ENCYCLOPÉDIE MARIALE
Il est également possible d’utiliser "l’Encyclopédie mariale" pour prier le Rosaire. Elle propose une initiation très concrète à la prière du Rosaire et du chapelet, intitulée "comment prier le Rosaire" ?
Dans "l’Encyclopédie mariale", il y a quelques articles sur la spiritualité du Rosaire montrant que le Rosaire est une prière trinitaire. D’abord par le signe de croix qui est effectué en débutant le chapelet, suivi des Notre Père.
La récitation des "Ave Maria" permet de prier avec Marie pour recevoir les dons du Saint-Esprit. Le Rosaire est un chemin de maturation spirituelle et de sainteté.
LA STRUCTURE DU ROSAIRE
À l’origine, le Rosaire est une dévotion à Marie qui consistait à réciter trois chapelets composés chacun de cinq dizaines de grains qui symbolisent "cinquante roses envoyées à Marie".
Ces quinze dizaines de grains favorisent la méditation sur la vie de Jésus et de Marie. Mais depuis le pontificat de Jean Paul II, un quatrième chapelet a été ajouté, portant un total de vingt dizaines.
Le pape Jean Paul II a donné une explication dans sa lettre intitulée "Rosarium Virginis Mariae" du chapelet qui, bien médité, met en lumière "le mystère de l’homme".
En lien avec la sainte humanité du Rédempteur, il convient d’apporter les nombreux problèmes, les travaux et les projets qui marquent la vie du croyant. Méditer le Rosaire consiste à confier les fardeaux aux coeurs miséricordieux de Jésus "et de sa mère".
La forme actuelle du Rosaire comporte "vingt mystères". Elle offre ainsi à la méditation les événements de la vie du Christ, qui forment l’histoire du salut depuis son Incarnation jusqu’à son Ascension, événements auxquels on ajoute "les mystères du salut liés à Marie".
C’est pourquoi on appelle couramment le Rosaire "un évangile condensé". Nous avons vu que la structure actuelle du Rosaire comprend donc "vingt mystères" groupés en "quatre séries" qui suivent la vie de Jésus dans l’ordre chronologique : "Son enfance" – "Sa vie publique" – "Sa passion" – "Sa résurrection et sa vie dans la gloire".
Chacune de ces séries comporte "cinq mystères" ... C’est le pape Jean Paul II qui va reprendre une "tradition médiévale" en ajoutant "les cinq mystères lumineux" du Rosaire.
LES ÉCRITURES ET LE CHAPELET ROSAIRE
Dans les Écritures saintes, nous n’avons pas de textes explicites qui témoignent des objets religieux fabriqués tels que "le Rosaire" et "le chapelet" ni des pratiques liturgiques qui ont été mises en place par des faux docteurs, après "la disparition des apôtres".
Les Écritures nous apprennent cependant "qu’avant l’avènement du Seigneur", il y aura une période d’apostasie, c’est-à-dire un temps d’égarement "pour ceux qui n’ont pas la foi" ou qui l’ont perdu et qui préfèrent le mensonge à la Vérité. Nous sommes toujours dans ce temps-là puisque nous attendons l’avènement du Seigneur Jésus.
« Pour ce qui concerne l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et de ne pas vous laisser troubler, soit par quelque inspiration, soir par quelque parole, ou par quelque lettre qu’on dirait venir de nous, comme si le jour du Seigneur était déjà là. Que personne ne vous séduise d’aucune manière, car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant. [...] » II Thessaloniciens 2.1-3
« Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons, par l’hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience. [...] » I Timothée 4.1, 2
Pour nous aider à faire la comparaison entre les Écritures et le Rosaire, nous allons mettre en parallèle avec la Parole de Dieu, non pas le chapelet Rosaire lui-même, mais son champ d’influence dans le monde qui empêche à la vraie piété.
Comme nous l’avons vu précédemment, le Rosaire est sans conteste seulement un objet de dévotion à Marie. Dieu ne nous demande pas de faire "le chapelet" pour témoigner de notre reconnaissance envers lui et pour lui faire nos requêtes.
QUEL EST SON CHAMP D’INFLUENCE ?
La zone d’influence du Rosaire se situe principalement parmi les fidèles catholiques qui acceptent d’une part, l’enseignement du clergé sur l’importance accordée au Rosaire, et d’autre part, sur la croyance au culte de Marie considérée "toujours vierge" et "médiatrice" du ciel, qui usurpe cette fonction qui appartient à Jésus seul : « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul Médiateur entre les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. » I Timothée 2.5. 6
Dans la Nouvelle Alliance, "il n’y a pas d’objets pour la dévotion à Dieu", si ce n’est le pain et la coupe qui nous mettent en communion avec le corps et le sang de Christ. La communion avec le monde invisible est une réalité dont les croyants n’ont pas toujours conscience quand ils exercent un culte.
En effet, selon l’enseignement transmis, ils attribuent au Rosaire une puissance qu’il n’a pas. De plus, ils croient s’adresser à Dieu avec ce chapelet, alors qu’ils sont en communion avec les démons.
Que ce soit une relation restaurée avec Dieu ou que ce soit avec les démons, tout croyant est "dans un champ d’influence spirituel" auquel l’apôtre Paul avait mis en garde les chrétiens de Corinthe afin qu’ils fuient l’immoralité sexuelle liée à l’idolâtrie.
« La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion au corps de Christ ?
[...] Voyez les Israélites selon la chair, ceux qui mangent les victimes ne sont-ils pas en communion avec l’autel ? Que dis-je donc ? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose ou qu’une idole est quelque chose ? Nullement.
Je dis que ce qu’on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu, or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. » I Corinthiens 10.16-20
Toute communion entre le ciel et la terre est une réalité. Si l’on dit que le chapelet Rosaire met les catholiques en communion avec les démons, est-ce la vérité ?
Comme Paul le dit pour d’autres croyances de son temps, en l’occurrence les viandes sacrifiées aux idoles, ce n’est pas le Rosaire qui importe, mais c’est qu’il met les croyants en relation avec une représentation de Marie idolâtrée qui n’est pas à sa place dans les lieux célestes, mais qui usurpe la Volonté de Dieu. Étant donné que l’idolâtrie est l’oeuvre des démons, toute dévotion à Marie est une idolâtrie.
QU’EST-CE QUE LE ROSAIRE EMPÊCHE A LA VRAIE PIÉTÉ ?
Dans cet article, nous avons fait un historique du Rosaire, relevé les diverses approbations des papes à son sujet. Nous avons montré que certains attribuent une puissance à cet objet et que Marie, elle-même, a donné de l’importance pour la prière à ce chapelet lors de ses apparitions.
À propos de la puissance du Rosaire en lui-même, c’est une fable ! Car son ampleur et sa portée dans le milieu catholique existe par l’enseignement transmis par les faux docteurs au sujet de Marie et par l’efficacité qui lui est donnée.
Les papes ont attribué au Rosaire un rôle significatif mais uniquement pour avoir le contrôle sur les peuples et événements terrestres, alors que les responsables de l’Église du Seigneur Jésus ne se préoccupent pas des projets politiques des nations.
Ils ne s'occupent pas des événements et de l’avenir de ce monde, car ils ne cherchent pas à changer le monde selon "une idéologie politico-religieuse" mais en exerçant des ministères donnés par le Seigneur pour le perfectionnement des saints, l’oeuvre de l’Évangile annoncée à toutes nations et l’édification du corps de Christ.
« Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’oeuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ,
afin que nous ne soyons plus des enfants flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que professant la Vérité dans l’amour, nous croissions à tous égards en celui qui est le Chef, Christ. » Éphésiens 4.11-15
Ce que nous retiendrons dans l’historique, c’est l’importance accordée à ce chapelet et surtout celle du pape François qui a parlé du Rosaire pour combattre le démon.
Lors de son séjour à Fatima, il a rappelé une parole du pape Paul VI : "Si nous voulons être chrétien, nous devons être marial". Cela signifie de rendre un culte à Marie.
Combattre les démons ne consiste pas à utiliser le Rosaire, mais à revêtir toutes les armes de Dieu, sachant que ce sont toutes des armes spirituelles notamment la Vérité, la Justice, le Zèle pour la paix de l’Évangile, la foi, l’Esprit de Dieu, le salut, les prières, les supplications et la persévérance.
Ainsi la piété se réalise dans les prières non pas avec le Rosaire, mais par l’Esprit. "Les chrétiens" ne combattent pas le malin avec le Rosaire, mais avec le Bouclier de la foi et l’Épée de l’Esprit. Ils ne travaillent pas leur salut avec un chapelet, mais en invoquant le nom du Seigneur Jésus. (Romains 10.10, 11)
« C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
Tenez donc ferme : Ayez à vos reins la Vérité pour ceinture, revêtez la cuirasse de la Justice, mettez pour chaussure à vos pieds le Zèle que donne l’Évangile de paix, prenez par-dessus tout cela le Bouclier de la foi, avec le quel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin, prenez aussi le Casque du salut, et l’Épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu.
Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints. » Éphésiens 6.13-18
En réalité, le Rosaire empêche à la vraie piété, quand les croyants sont en communion avec les démons, quand ils rendent un culte à Marie et que les docteurs de la liturgie catholique font croire aux fidèles qu’ils rendent un culte à Dieu.
Serge Rossi
Groupe : MARCHONS PAR LA FOI
Prier Dieu n'est pas un moulin à prières pour être vu des hommes. Jésus nous a enseigné de prier le Père en son nom : « Mais toi quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est dans le (lieu) secret, et ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! [...] » Matthieu 6.6-9
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#Angelus du vendredi 5 mai 2023 : Fête de Saint Pie V, Pape et Confesseur, Victorieux par le chapelet à la bataille de Lépante (+1572)
" Je t'ai établi sur les nations et sur les royaumes, pour que tu arraches et que tu détruises, que tu bâtisses et que tu plantes ".
Jérémie I (Offertoire)
Udp
Jérôme
https://youtu.be/Wr4JQzgwVf0
#Angelus of Friday, May 5, 2023: Feast of Saint Pius V, Pope and Confessor, Victorious by the Rosary at the Battle of Lepanto (+1572)
“I have appointed you over nations and over kingdoms, to tear down and destroy, to build and to plant”.
Jeremiah I (Offertory)
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