#Kim Seong-gyoo
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ulkaralakbarova · 5 months ago
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Empire of Lust
A brilliant general distinguishes himself by protecting the dynasty’s borders while keeping an eye on one of the sons of the king. Credits: TheMovieDb. Film Cast: Prince Yi Bang-won: Jang Hyuk Ka-hee: Kang Han-na Kim Min-jae: Shin Ha-kyun Jin: Kang Ha-neul Tae-jo: Son Byung-ho Jung Do-jeon: Lee Jae-yong Jo Yeong-gyoo: Choi Moo-seong Mr. Jeong’s wife: Kang Kyung-hun Princess Gyeongsun: Kim…
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mioriw · 3 years ago
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kim seong kyu
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witty-writer · 3 years ago
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why is he looking trustworthy and suspicious at the same time ---
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junkobato · 3 years ago
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olivierdemangeon · 6 years ago
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  Basé sur des événements réels, ce film d’action criminelle décrit les tentatives d’un détective de Séoul pour maintenir la paix alors que plusieurs gangs sino-coréens se disputent le territoire d’un même périmètre.
    Origine du film : Corée du Sud Réalisateur : Kang Yoon-sung Scénariste : Kang Yoon-sung Acteurs : Ma Dong-seok, Yoon Kye-sang, Jo Jae-yoon, Choi Gwi-hwa, Im Hyung-joon, Jin Seon-kyu, Hong Ki-joon, Heo Dong-won, Song Ha-jun, Kim Seong-gyoo, Park Ji-hwan, Cho Jin-woong, Jung In-gi Musique : Mowg Genre : Action, Policier Durée : 121 minutes Date de sortie : 3 octobre 2017 (Corée) Année de production : 2017 Sociétés de production : Hong Film, B.A. Entertainment Distribué par : Megabox Plus M Titre original : Beomjoedosi / 범죄도시 Notre note : ★★★★☆
    “Beomjoedosi” (범죄도시) ou “The Outlaws” pour la distribution internationale, est un film d’action policier sud-coréen datant de 2017, écrit et réalisé par Kang Yoon-sung, qui signe là son premier long-métrage. Les acteurs principaux sont Ma Dong-seok, qu’on a pu voir dans “Midnight FM” (2010), Yoon Kye-sang, qu’on a pu voir dans “Minority Opinion” (2015), Jo Jae-yoon, qu’on a pu voir dans “The Prison” (2017), et Im Hyung-joon, qu’on a pu voir dans “Blood and Ties” (2013). À noter également les participations de Cho Jin-woong, qu’on a pu voir dans “The Admiral: Roaring Currents” (2014), et de Jung In-gi, qu’on a pu voir dans “The Spy: Undercover Operation” (2013).
Basée sur des faits réels survenus en 2007 surnommés “l’incident de Heuksapa”, l’histoire proposée par “The Outlaws” suit une guerre de territoire qui s’intensifie entre un gang local, dans le quartier de Garibong-dong, dans le district de Guro, à Séoul, et le gang des Heuksapa venu de Chine. La police tente de ramener la paix dans le quartier. Jiang Chen (Yoon Kye-Sang) est originaire de Chine et travaille maintenant comme usurier dans un quartier louche de Chinatown à Séoul. Il est soutenu par deux acolytes sanguinaires Wei Sung-Rak (Jin Seon-Kyu) et Yang-Tae (Kim Sung-Kyu). Jiang Chen est particulièrement brutal dans ses méthodes de collecte de fonds. Pendant ce temps, Ma Suk-Do (Ma Dong-Seok), inspecteur de police dans le quartier chinois de Séoul, tente de maintenir la paix entre deux gangs sino-coréens, mais Jiang Chen a décidé de tout contrôler, quitte à mener une guerre de gangs…
“The Outlaws” est construit comme beaucoup de films coréens récents, en s’articulant sur plusieurs genres qui, grâce au très bon travail d’écriture de Kang Yoon-sung, qui endosse pour son premier-long métrage la double casquette de scénariste et de réalisateur, s’harmonisent très bien. Ainsi, on retrouve l’élément principal, l’intrigue policière. Une équipe de policiers tente de maintenir la paix dans un quartier de Séoul, en tenant les différents gangs qui se partagent le secteur. Mais un nouveau gang, venu tout droit de Chine, avec des méthodes particulièrement violentes, veut s’imposer dans la même zone. Une fois identifiés par la Police, les membres de l’unité spéciale anti-gangs, va tenter de les neutraliser. Pour se faire, les fonctionnaires de police sollicitent l’aide des habitants du quartier, et notamment les commerçants qui sont quotidiennement agressés et rackettés.
La photographie proposée par Ju Sung-lim et Kim Yong-seong est très plaisante. Un très bon travail est observable quant à la représentation des quartiers des bas-fond, où règnent une certaine pauvreté et une certaine terreur imposées par la racaille. Les deux directeurs de la photographie proposent une belle alternance de luminosité, notamment dans les scènes de nuit. Certaines scènes sont particulièrement violentes, que ce soit directement visible, ou simplement suggéré. Les scènes d’action sont très bien chorégraphiées. Ma Dong-seok s’en donne à cœur joie et distribue des baffes monumentales comme le faisait Bud Spencer à son époque. La confrontation finale, dans les toilettes de l’aéroport est particulièrement bien filmée, très réaliste, efficace.
En dehors de l’aspect policier, des investigations, des interrogatoires souvent musclés, et des arrestations tout aussi dynamiques, une part belle est faite à l’humour. Il n’y a bien entendu pas de gags visuels, mais énormément d’esprit et de malice dans les dialogues. Encore une fois, c’est Ma Dong-seok qui bénéficie des plus belles pièces dans les échanges. Son personnage étant légèrement roublard, et peu respectueux dans son discours. Que ce soit envers les truands ou ses collègues de travail, son personnage n’hésite pas à leur parler avec une certaine légèreté, voire de l’irrespect.
A contrario, le principal antagoniste, incarné avec puissance par Yoon Kye-sang, n’a rien d’amusant. Le personnage est singulièrement violent, et manipule avec un certain sadisme la hachette et le couteau, laissant dans la majorité des cas, ses interlocuteur dans un sale état. En effet, Jiang Chen veut s’imposer par la violence, installant dans ses rapports avec les autres gangs un climat de terreur, un respect par la crainte, la peur. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cela fonctionne. Les chefs de gang adverse, sous leurs airs de “gros durs”, n’en mènent pas large face à ce nouveau venu dans la place.
“The Outlaws” a débuté sa carrière en salle, en Corée du Sud, le 3 octobre 2017. Le 23 octobre, il avait déjà rapporté 36,3 millions de dollars pour plus de 5 millions d’entrées. Un mois après sa sortie, le film enregistrait 6,05 millions d’entrées, pour 44,1 millions de dollars de recette. Au 1er décembre, le film avait atteint 6,87 millions de spectateurs pour un montant de 51,8 millions de dollars, ce qui en faisait le 3e film national le plus prolifique de l’année en Corée du Sud et le troisième film coréen le plus rentable de tous les temps.
En conclusion, “The Outlaws” est un très bon film d’action policier disposant d’une histoire captivante, d’une intrigue très bien ficelée et d’un développement dynamique. Le rythme est très soutenu et on ne voit absolument pas passer les 121 minutes du métrage. Le récit est fluide, la narration est complètement linéaire, la photographie est très agréable et la bande originale est plutôt discrète. Les scènes d’action sont rondement menées et souvent empruntes de violence explicite. La distribution offre de très bonnes prestations, mais c’est Ma Dong-seok qui excelle à travers une performance de premier plan dans un rôle qui lui va comme un gant. Un divertissement très agréable que l’on ne peut que recommander…
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    THE OUTLAWS (2017) ★★★★☆ Basé sur des événements réels, ce film d'action criminelle décrit les tentatives d'un détective de Séoul pour maintenir la paix alors que plusieurs gangs sino-coréens se disputent le territoire d'un même périmètre.
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olivierdemangeon · 5 years ago
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  Un gardien de prison doit faire face à une attaque d’un groupe de guerriers fortement expérimentés venu libérer leur chef, emprisonné depuis une tentative de rébellion contre le roi…
    “Yeokmo – Banranui Sidae” (역모 – 반란의 시대), ou “The Age of Blood” est un film historique sud-coréen datant de 2016, co-écrit et réalisé par Kim Hong-seon-I, qui signe là son premier long-métrage. Les acteurs principaux sont Jung Hae-in, qu’on a pu voir dans “The King’s Case Note” (2016), Kim Ji-hoon-I, qu’on a pu voir dans “Natalie” (2010), Lee Won-jong, qu’on a pu voir dans “Operation Chromite” (2016), Jo Jae-yun, qu’on a pu voir dans “The Outlaws” (2017), Hong Soo-ah, qu’on a pu voir dans “Face” (2004), Ryu Tae-joon, qu’on a pu voir dans “The Suffered” (2014), Kwon Hae-sung, qu’on a pu voir dans “The Lingerie Murders” (2015), et Jung Ji-hoon, qu’on a pu voir dans “The Divine Fury” (2019). Ce métrage est paru le 22 juillet 2015 en Corée.
L’histoire proposée par “The Age of Blood” nous invite à suivre Kim Ho (Jung Hae-in), un ancien soldat aujourd’hui désœuvré. Par l’intermédiaire de son oncle, il est enrôlé comme gardien de prison. Lors de sa première nuit de travail, il doit faire face à une attaque visant à libérer un important prisonnier, Lee In-jwa (Kim Ji-hoon-I), par un groupe de guerriers aguerris. Beaucoup des prisonniers et des gardiens sont tués, et seul Kim Ho parvient à faire face à l’attaque. Laisser pour mort, lorsqu’il retrouve ses esprits, Kim Ho comprend qu’une vaste opération visant à faire tomber le roi est en cours. Il va devoir rassembler toutes ses forces et déployer tout son savoir-faire pour empêcher In-jwa et ses sbires de parvenir à leurs fins.
Il faut avouer que le scénario proposé par Kim Hwang-seong, Kwon Soon-gyoo et Kim Hong-seon-I est réduit à sa plus simple expression. Des types viennent libérer leur copain de prison pour ensuite aller tuer le roi. Un gentil gars va empêcher la chose d’arriver. Réduit à sa plus simple expression que j’ai dit. Le roi en place a pris le pouvoir en faisant tuer son prédécesseur. Des fidèles à l’ancien roi ont décidé de destituer le nouveau souverain en organisant un soulèvement avec à sa tête Lee In-jwa. La rébellion échoue et In-jwa se retrouve en prison. Il parvient donc à s’évader grâce à l’intervention des complices et se met en route pour le Palais-Royal dans l’espoir de destituer le roi, laissant derrière lui un amoncellement de cadavres. Seul grain de sable dans le plan, la présence de Kim Ho, bien décidé à protéger son souverain. “The Age of Blood” est à la fois un film d’action, un film historique et une histoire dramatique.
De l’ensemble des personnages, le focus se fixe essentiellement sur Kim Ho incarné par Jung Hae-in. Après le renversement du roi, il perd son emploi de soldat et est rendu à la vie civile. On le retrouve quatre années plus tard. Il vivote de petits boulots, récupérant de vieilles armes qu’il essaie de refourguer à l’armurier du coin en espérant en tirer quelques pièces. Toutefois, par l’intermédiaire de son oncle, il se retrouve, à contre-cœur, engagé comme gardien de prison. Le développement du personnage est très superficiel. On ne saisit pas vraiment pourquoi il se positionne de manière aussi ferme contre les assaillants, en dehors de la motivation de venger la perte de son oncle durant l’assaut de la prison.
D’une durée de 102 minutes, “The Age of Blood” enchaîne les scènes d’action. Rien que l’assaut sur la prison dure pas moins de 30 minutes. Les combats s’enchaînent. Ceux-ci mettent essentiellement Kim-ho aux prises avec les assaillants. Chacun ayant sa spécialité, sabre, masse, lance, arc. Il va les affronter à plusieurs reprises, mais c’est lors de confrontation en face-à-face qu’il va pouvoir s’en défaire. La chorégraphie des combats ayant été confiée à Baek Kyung-chan, il y a une véritable esthétique qui s’en dégage. On peut cependant regretter que les giclées et autres éclaboussures de sang fussent rajoutées numériquement en post-production, ce qui donne un sentiment d’exagération aux scènes. Reste que la dextérité des différents protagonistes est belle à voir, offrant par la même occasion beaucoup d’adynamie au film.
Les valeurs de production présentées pour ce “The Age of Blood” sont vraiment excellentes. La photographie propose principalement des scènes de nuit, le récit central se déroulant en continuité sur une unique nuitée. Comme pour la grande majorité des films historiques, on retrouve un très bon travail au niveau des décors et des costumes. Cependant, un petit plus avec une multitude d’armes différentes utilisées par les différents antagonistes de l’histoire. La bande originale propose des musiques modernes et vient gracieusement accompagner le récit, les tensions et moments de tragédie. Enfin, le montage est très dynamique avec une multitude de prises de vues différentes, des séquences courtes et saillantes. Un vrai régal pour les yeux.
En conclusion, “The Age of Blood” est un très bon film d’action disposant d’une histoire simple dans un contexte historique, d’une intrigue sommaire et d’un développement ultra-dynamique. Le rythme est très soutenu, le récit est fluide et la narration fait appel à de brefs flashbacks. La photographie est excellente, les scènes de combat sont superbement chorégraphiées, les décors, les différentes armes et les costumes sont splendides, la bande musicale est moderne et accompagne agréablement le récit, venant bien remplir l’espace laissé libre en l’absence de dialogue. Le montage permet d’avoir un métrage sémillant et captivant de bout en bout. L’ensemble est particulièrement divertissant et peut allègrement faire l’objet d’une recommandation.
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    THE AGE OF BLOOD (2016) ★★★★☆ Un gardien de prison doit faire face à une attaque d'un groupe de guerriers fortement expérimentés venu libérer leur chef, emprisonné depuis une tentative de rébellion contre le roi...
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