#Journal d’un curé de campagne
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NC - Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
Notes contemplatives - Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne #Philosophie #MardiCestPhilosophie #Contemplation #Bernanos #Espérance #Espoir
Notes contemplatives de lecture – Note contemplative n° 74 Aucune explication verbale ne remplace jamais la contemplation. Saint-Exupéry, Pilote de guerre. Notes de lecture Fréquenter les beaux esprits, c’est en somme dîner en ville – et on ne va pas dîner en ville au nez des gens qui meurent de faim. p. 8. Il faudrait parler de soi avec une rigueur inflexible. Et au premier effort pour se…
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"Hez ji mirinê xurttir e."
*Journal D’un Curé de Campagne, Robert Bresson, 1951.
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J’admire les révolutionnaires, qui se donnent tant de mal pour faire sauter des murailles à la dynamite, alors que le trousseau de clefs des gens bien pensants leur eût fourni de quoi entrer tranquillement par la porte sans réveiller personne.
Le péché contre l’espérance – le plus mortel de tous, et peut-être le mieux accueilli, le plus caressé. Il faut beaucoup de temps pour le reconnaître, et la tristesse qui l’annonce, le précède, est si douce! C’est le plus riche des élixirs du démon, son ambroisie."
Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
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Journal d’un curé de campagne (Diary of a Country Priest) (1951)
A priest in a small town faces vindictive children, despairing wives, and rumours from all sides but will it be enough to make him lose his faith?
Most of the focus is on the exploration of religious concepts like keeping faith and ethical responsibility from different angles, moderated by the perspectives exposed to the main character. This includes criticism of religious conduct within the institution itself and the hypocrisy associated with religious laws and the contradictions that come with them.
In terms of pace it’s very slow, plodding along with the weakness of the priest himself and if anything gets slower as his burden grows. There’s little opportunity for action and any potential drama occurs off-screen while our protagonist is absent and we’re obliged to join him. Essentially it’s a religious flick missing all the usual biblical elements like gore, global persecution, and entertaining genocide.
The lead character is engaging partly because of his looks which aren’t entirely conventional handsomeness but are peculiar enough to attract attention and suggest honesty. The film sticks very close to its theme with no deviations to divide attention from the religious quandary. The views from other priests are useful as they provide context and opposing views to temper his own.
Some of the deaths come a little too easy and in narrative terms the characters ask for it by submitting final words or items that suggest closure. What lessons there are get left vague, as one might expect of a religious piece as there are no real answers. Ultimately the worst people in the story are protected by their disinterest in being good people.
3/10 -This one’s bad but it’s got some good in it, just there-
#Film#Review#Journal d'un cure de campagne#Diary of a Country Priest#1951#French#World Cinema#JasonSutekh
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Je me dis aussi que la jeunesse est un don de Dieu, et comme tous les dons de Dieu, il est sans repentance. Ne sont jeunes, vraiment jeunes, que ceux qu'il a désignés pour ne pas survivre à leur jeunesse. J'appartiens à cette race d'hommes. Je me demandais: que ferais-je à cinquante, à soixante ans? et, naturellement, je ne trouvais pas de réponse. Je ne pouvais pas même en imaginer une. Il n'y avait pas de vieillard en moi. Cette assurance m’est douce. Pour la première fois depuis des années, depuis toujours peut-être, il me semble que je suis en face de ma jeunesse, que je la regarde sans méfiance. Je crois reconnaitre son visage, un visage oublié. elle me regarde aussi, elle me pardonne.
Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
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Journal d’un Curé de Campagne (1951)
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Les idées folles
Le public le regardait avec un air ahuri comme s’ils ne comprenaient pas ses paroles pourtant sincères. Les gens étaient habitués à écouter les propos d’un vieux mais ce jour, ils découvrirent un jeune curé robuste, calme, appelant à la vie et la paix. Louis aperçut quelques regards méfiants voire jaloux de la part de vieilles femmes acariâtres, il comprit plus tard, qu’elles lui en voulaient d’être en vie et pas leur fils parti et resté définitivement dans les tranchées. Il se sentait seul, se demandant si cela valait la peine de continuer. Surtout qu’il n’a jamais voulu devenir prêtre, obligé de suivre une tradition stupide ancestrale de sa famille noble. Son frère ainé récupérait l’héritage, son second frère entrait dans l’armée en devenant officier après des études à Saint Cyr, le troisième, son cas, finissait sa vie dans la théologie. Après la dernière prière, il remercia ses ouailles qui ne le connaissaient pas encore. Enfin, il pouvait s’occuper de sa passion.
En dehors des messes, il troquait sa soutane pour une tenue plus sportive, parcourant la campagne le plus anonymement possible avec son appareil photo. Il adorait prendre des clichés de paysages, il photographiait la campagne de part en part, profitant pour saluer les pêcheurs, fermiers, laboureurs ou simples piétons comme lui. Quelques paroissiens reconnurent le jeune curé malgré ses airs de reporter en vadrouille. Avec son pantalon de golf, les enfants l’appelèrent le frère Rouletabille, rappelant le héros de Gaston Leroux. Il adorait ce sobriquet comprenant avec lui qu’il était enfin accepté de sa communauté. D’ailleurs, par la suite, il put photographier les habitants de la ville le dimanche après la messe. Il les retrouvait au café en face de l’église à parler reconstruction, dettes de l’Allemagne, occupation de la Ruhr par les français et le retour des petits gars, anciens poilus dont pour certains, il manquait quelques chose : une jambe, un œil, un bras, le sourire, le bonheur, la vie. Il ne savait jamais quoi répondre dès qu’on parlait de la grande guerre car il ne l’avait pas faite à cause de son statut. Toutefois, il ne baissait jamais les yeux au moindre regard méprisant des anciens combattants même s’ils ne lui firent aucun reproche ; il savait qu’ils lui en voulaient.
Il surprit tout le monde en sympathisant avec le chef du parti communiste de la ville. Ils avaient en commun l’amour du sport, créant chacun une équipe de basket arrivé dans la région avec les soldats américains. Chaque dimanche après-midi, les habitants pouvaient supporter leurs enfants se confrontant dans des rencontres passionnantes sur l’ancien jeu de paume. Louis aimait photographier ces parties de basketball, cherchant à immortaliser ces beaux moments. Cela n’empêchait pas quelques vifs débats sur la vie politico-sociale, la canonisation récente de Jeanne d’Arc ou la grève des cheminots brisée par le gouvernement.
L’histoire pourrait en rester là ; il avait tout pour vivre une petite vie de curé de campagne. Cependant, sa domestique bien que fervente bigote était aussi une sacrée commère. Alors quand elle découvrit dans un tiroir du bureau pendant qu’elle faisait le ménage dans sa chambre, quelques photos d’une jeune femme à moitié nue, elle ne put s’empêcher de le raconter à toutes ses amies et à son mari qui balança l’info durant un apéro au café. La rumeur se répandit comme une trainée de poudre, apportant des doutes en apprenant que la jeune femme était la fille de l’homme le plus riche de la ville, un industriel propriétaire de la laiterie et de la conserverie.
Au cours des messes suivantes, les paroissiens s’amusèrent à les épier, cherchant à surprendre le moment complice, le regard qui se croise durant ses sermons. Il entendit parfois dans son dos des ’sales hypocrites’, voix de femme énervée parce qu’un curé, ça ne doit pas baiser! Au contraire, les hommes l’admirèrent étrangement car la jeune femme était belle et fortement désirable. De temps en temps, on cherchait à le faire boire, mais il ne parlait jamais, se contentant de photographier les habitants pendant leur travail ou prenant la pose. De même les gens n’arrivaient jamais à savoir quand ils se fréquentaient. Les curieux jouant les espions n’arrivaient jamais à les voir entrer ou sortir chez l’un ou l’autre. En fait personne ne savait qu’il existait un passage secret traversant la ville et reliait l’église au château domicile de la demoiselle. « Merci les ancêtres, merci les invasions ! » murmurait-il chaque nuit dans le tunnel à la lumière de sa torche. Et quand il ouvrait la porte, elle était là, tapie contre le mur à l’attendre. Chaque nuit, elle le serrait dans ses bras, puis silencieusement, ils partaient dans sa chambre pour faire l’amour et dormir l’un contre l’autre. Souvent ils se rappelaient leur première rencontre : Elle ne l’avait pas reconnue dans ses habits civils et appareil photographique accroché au cou. Elle l’accosta justifiant quelques questions techniques sur la photographie. Il prit son portrait. Puis ils continuèrent de se voir prétextant toujours l’art de la photo. Elle avoua ses sentiments durant une confession, le meilleur moment pour dire à un jeune prêtre qu’on est amoureuse de lui. Il était habitué, expliquant à chaque fois que l’idée était saugrenue, il représentait un idéal psychologique pour certaines, un amour chimérique, un fantasme pour les autres. Mais quand elle prononça ses mots, elle toucha son cœur. Il détestait ce métier, il aimait la photographie, il l’aimait elle !
De temps en temps, il utilisait son appareil pour la photographier dans certains moments plus ou moins intimes. Il aimait revoir les images d’elle en train de sourire, avec un air timide, presque gênée. Il aimait se servir de l’une d’elles, celle où elle est en sous-vêtements en train de lire comme marque-pages dans sa bible. Même si cela pouvait choquer, il se moquait de ce pêché.
La rumeur devint officielle quand une servante du château annonça que la belle était enceinte. Il y avait foule pour la messe suivante, tout le monde voulait l’entendre prêts à se moquer : étrange sentiment de raillerie mêlé au plaisir. On voulait voir la bête, le monstre ! En fait, rien n’arriva de particulier car il fit son office comme toujours. Seulement, après la messe, il ne vint pas au café pour discuter. Il ne vint pas non plus au traditionnel match de baskets des jeunes. Il préféra écrire une lettre de démission ainsi qu’une lettre à sa famille pour leur annoncer qu’il quittait la religion afin d’épouser la femme de sa vie. Un an plus tard, après la messe du nouveau curé, les paroissiens se rassemblèrent sur la place de l’église et écoutèrent le vieil Émile réciter un article du journal. C’était sur un curé devenu photographe-reporter. Ce jour-là, les habitants de la ville furent fiers de l’avoir eu comme curé. Il était comme de la famille, en plus il a épousé une fille du coin.
Alex@r660 – octobre 2019
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Je ne crois rien faire de mal, en notant ici, au jour le jour, avec une franchise absolue, les très humbles, les insignifiants secrets d’une vie d’ailleurs sans mystère.
Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
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Mais va donc empêcher les imbéciles de refaire à leur manière le « drame de l’incarnation », comme ils disent ! Alors qu’ils croient devoir, pour le prestige, habiller en guignols de modestes juges de paix, ou coudre des galons sur la manche des contrôleurs de chemin de fer, ça leur ferait trop honte d’avouer aux incroyants que le seul, l’unique drame, le drame des drames – car il n’y en a pas d’autres – s’est joué sans décors et sans passementeries. Pense donc ! Le Verbe s’est fait chair, et les journalistes de ce temps-l�� n’en ont rien su !
Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
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verifiedaccount replied to your post: first reformed is good- it’s so blatant in taking...
You have the main character from Journal d’un curé de campagne (1951). Then you have the setting of Winter Light (1963). Then I decided on the ending from Ordet (1955). I added a levitation scene from Tarkovsky, and then I tied it all together with the glue of Taxi Driver.”
yeah i like it much more on reflection and i appreciated the references a lot. good movie! paul schrader seems like kind of a lunatic but he’s got some good ones under his belt.
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Que savons-nous du péché ? Les géologues nous apprennent que le sol qui nous semble si ferme, si stable, n’est réellement qu’une mince pellicule au-dessus d’un océan de feu liquide et toujours frémissante comme la peau qui se forme sur le lait prêt à bouillir… Quelle épaisseur a le péché ? À quelle profondeur faudrait-il creuser pour retrouver le gouffre d’azur ?…
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Journal d’un curé de campagne - Georges Bernanos
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New Podcast from El’Ahrai Stanek and John Robinson: The Neon Movie Bunker — Episode 108
The reviews! The reviews! This week, John and El’Ahrai review “Terminator: Dark Fate” and “Parasite”! Also, there is a prolonged discussion about Bresson’s mise-en-scene in “Journal d’un curé de campagne”, so STRAP IN! (Please note: prolonged discussion not available on this plane of reality.) If you want love, then this is it. This is real life. It’s not perfect but it’s real.
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“Je crois, je suis sûr que beaucoup d'hommes n'engagent jamais leur être, leur sincérité profonde. Ils vivent à la surface d'eux-mêmes, et le sol humain est si riche que cette mince couche superficielle suffit pour une maigre moisson qui donne l'illusion d'une véritable destinée.”
Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
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Je n’ai plus aucun plan. Chaque semaine qui passe ouvre un peu plus les possibles. C’est proprement invivable. Cette liberté est intolérable. Il n’y a que les esclavagistes progressistes pour penser sincèrement que l’homme doit être libre. Il lui faut une femme, des mioches, un métier et des raisons légitimes de se plaindre de sa vie sinon tout est proprement désespérant. Je lis le Journal d’un curé de campagne et je me dis que la noblesse a disparu. L’une des choses qui me blesse le plus dans le monde contemporain c’est la disparition de la politesse et de la bienséance sur l’autel de l’individualisme. La beauté et la finesse des rapports s’estompe face à la goinfrerie des désidératas individuels. Peut-être que l’on devrait remettre au goût du jour la guillotine pour les eunuques décérébrés qui utilisent des haut-parleurs pour expectorer leur musique sur la place publique, qui passent leurs coups de fil dans les wagons des trains, qui se précipitent pour rentrer dans la rame de métro avant que les gens n’aient pu en sortir, qui te bousculent sans s’excuser. La guillotine. Certes ce n’est pas très poli j’en conviens. Mais ça aurait du style. Et quand vous avez réussi à persuader tous les membres d’une civilisation que les ressentis de chacun comptent pour plus que le bien-être général du groupe il faut sûrement employer les grands moyens. Tout tient, finalement, a ce fucking « pursuit of happiness » gravé dans le marbre de la constitution américaine.
Pour tonifier quelque peu cette semaine qui s’annonçait bien trop gaie, on (un on compétent, idéaliste, qui a consacré 40 ans de sa vie à l’enseignement et la recherche) m’a expliqué que les vrais acéphales allaient arriver sur le marché du travail dans deux-trois ans. On va enfin voir en plein les ravages des réformes de l’éducation sucessives. Alors que c’est tout bête finalement. Pour avoir de bons résultats, il faut avoir de bons professeurs, compétents dans leur matière, et qui doivent encadrer un nombre d’élèves le plus limité possible. Bon. Le niveau des fondamentaux - maths et français - baisse cruellement je crois. C’est dommage dans un monde technophile qui va tendre à se binariser d’autant plus entre ceux qui comprennent les maths et l’informatique et pourront diriger, et ceux qui pourront simplement en utiliser les outils (et donc en être dépendants) et seront dirigés. Quand on en passera par de l’algorithmie pour prendre des décisions médicales, comment penser donner un titre de Docteur à quelqu’un qui ne comprendra pas comment ces algorithmes fonctionnent ? L’avenir appartient aux mathématiciens. Et c’est souvent chiant les mathématiciens quand ils ne sont pas géniaux.
Comment on jouit sur une rime en code binaire, hein ?
Il y aurait aussi tout un pataquès à écrire sur la normativité intrinsèque de l’intelligence artificielle dont on nous fait si grand cas (réduction d’espaces vectoriels de dimension n vers une dimension n-k en fonction de x paramètres permettant de normer le bordèle)
Bref. C’est compliqué de trouver sa dignité dans ce monde actuel. Peut-être parce qu’on ne la cherche plus non plus tu me diras. Ou trop. Peut-être, vraiment, que la seule voie possible, c’est dans les ordres. Mais je suis trop amoureux des paroles de Zossima le starets à Aliocha : la vie se joue dans le monde. Ou trop peu croyant.
Bon je raconte vraiment de la merde moi, je ferai mieux d’aller écouter du clavier bien tempéré ou du Moha la squale et d’aller caliner mon oreiller. Putain de nuit, du soir au matin.
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Il est plus facile que l'on croit de se haïr. La grâce est de s'oublier. Mais si tout orgueil était mort en nous, la grâce des grâces serait de s'aimer humblement soi-même, comme n'importe lequel des membres souffrants de Jésus-Christ.
Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne
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Claude Laydu in
“Le Journal d’un curé de campagne” (Robert Bresson, 1951).
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