#J'ai dont été ...
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#mikan#gakuen alice#la façon dont j'ai été émotionnellement INVESTIE fut un temps#no fanart no life#dessin#artists on tumblr#trait pigma micron#couleurs photoshop#vieux gribouillis
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situations rpgiques;
vous avez envie de lier votre personnage avec celui de quelqu'un d'autre mais vous n'avez pas d'idée? i gotchu baby ♡♡♡ + ces situations concernent plutôt des personnages qui ne se connaissent pas (encore).
COURRIER; suite à des cafouillages à la poste, X reçoit toujours le courrier de Y à sa place, et même si iel fait l'effort de lui rendre ses lettres, X en ouvre une par mégarde un jour et apprend un secret inattendu sur Y.
FLEURS; à la bourre pour un rencard, X décide de piquer incognito des fleurs dans les allées d'un jardin public, mais Y, qui aime particulièrement ce parc, met X encore plus à la bourre en l'engueulant copieusement et en empêchant X de rejoindre son rendez-vous.
CANAPÉ; l'unique escalier de l'immeuble est bloqué par X, qui pensait pouvoir déménager son énorme canapé sans assistance, si bien qu'Y, en retard et de mauvaise humeur, est dans la contrainte de l'aider à dégager la sortie et se bloque le dos par la même occasion.
CINÉMA; le film qu'X a décidé d'aller voir est particulièrement mauvais et assis·e à quelques places d'iel, Y est très visiblement du même avis: les deux passent leur séance côte à côte à se plaindre de la médiocrité du film si fort qu'iels finissent par se faire jeter de la salle.
CIMETIÈRE; lors d'une visite du joli et historique cimetière local, X se cache pour faire peur à son ami·e mais se trompe et fait peur à Y, si bien qu'iel, dans un moment de panique absolue, asperge copieusement X de bombe au poivre.
TAXI; Y se glisse dans la voiture de X en méprenant le véhicule pour un taxi, mais X a tellement besoin de discuter avec une autre personne qu'iel accepte de conduire Y à sa destination.
SAINT VALENTIN; X a préparé une jolie carte pour son crush mais se trompe et dépose la missive rose chargée en cœurs dans la boîte aux lettres de Y.
MONDANITÉ; à un évènement mondain auquel ni X ni Y n'avaient envie d'assister, les deux décident de partir faire les quatre cents coups.
VOGUE; dans un magasin de vêtements, les choix de X sont tellement désastreux qu'Y se sent obligé·e d'intervenir.
CLUB; X décide de créer un club pour un de ses hobby extrêmement niche et méconnu, et Y est la seule personne à s'y pointer.
SAM; X et Y sont désigné·e·s par leurs groupes d'ami·e·s respectifs comme celleux qui ne boivent pas pour pouvoir les raccompagner en voiture, si bien qu'iels passent la soirée en étant les deux seules personnes sobres au milieu des plus extravagantes festivités.
LABYRINTHE; X et Y se perdent dans le Palais des miroirs de la fête forraine du coin et plutôt que de céder à la panique, décident de s'entraider à se sortir de là.
APPARTEMENT; à cause de la façon dont son appartement est placé, X peut voir par sa fenêtre l'intégralité du domicile de Y, si bien qu'iel est témoin tous les jours de son quotidien – le jour où X s'aperçoit qu'Y n'a pas l'air d'être sorti·e de son lit depuis plusieurs jours, iel décide d'aller voir si tout va bien.
#funfact mais#celui du perso qui pique des fleurs dans le parc au lieu d'en acheter#c'est un truc dont j'ai été témoin irl mdr#encore un truc que je ne sais tagger#je vais juste mettre mes tags persos#rp prompts#blabla
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Question random qui pop comme ça sans raisons particulières.
#Moi c'est une fois#Mon toooouuut premier pseudo#c'était quand je découvrais le RPG et que je commençais à graph#et que j'ai réalisé que tout le monde en avait un#À l'époque je savais pas quoi prendre#J'ai dont été ...#roulement de tambour#From hell#So emo#Mais ça a duré quelques mois et ça fait donc 15 piges que mon pseudo#c'est Swan#Pas Swann#Je sais pas pourquoi y a pleins de gens qui veulent absolument mettre deux N mais ça me fait marrer#Et non c'est pas une réf à Twilight#pitié#je sais que ça fait beaucoup de tag oké
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Je te souhaite assez....! 🙏✨
Récemment, j'ai entendu une mère et sa fille converser dans leurs derniers moments ensemble à l'aéroport alors que le départ de la fille avait été annoncé.
Debout près de la porte de sécurité, elles se sont embrassées et la Mère a dit :
"Je t'aime et je te souhaite assez. "
La fille a répondu : "Maman, notre vie ensemble a été plus que suffisante. Ton amour est tout ce dont j'ai toujours eu besoin. Je te souhaite assez aussi, maman." Elles se sont embrassées et la fille est partie.
La mère s'est approchée de la fenêtre où je m'étais assise. Debout là, je pouvais voir qu'elle voulait et avait besoin de pleurer.
J'ai essayé de ne pas m'immiscer dans sa vie privée, mais elle m'a approchée en me demandant : « Avez-vous déjà dit au revoir à quelqu'un sachant que ce serait pour toujours ?
"Oui, je l'ai fait", répondis-je. "Pardonnez-moi de demander, mais pourquoi est-ce un au revoir pour toujours ? "
"Je suis vieille et elle vit si loin. J'ai des défis à relever et la réalité est que le prochain retour sera pour mes funérailles », a-t-elle déclaré.
Quand vous lui disiez au revoir, je vous ai entendu dire : "Je te souhaite assez. " Puis-je demander ce que cela signifie ? "
Elle commença à sourire. « C'est un vœu qui a été transmis par d'autres générations. Mes parents le disaient à tout le monde. "
Elle s'est arrêtée un moment et a levé les yeux comme si elle essayait de s'en souvenir en détail et elle a souri encore plus.
« Quand nous avons dit « Je te souhaite assez », nous voulions que l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour la soutenir ». Puis se tournant vers moi, elle a partagé ce qui suit, en le récitant de mémoire,
« Je vous souhaite assez de soleil pour garder votre attitude lumineuse.
Je vous souhaite assez de pluie pour apprécier davantage le soleil.
Je te souhaite assez de bonheur pour garder ton esprit vivant.
Je vous souhaite assez de douleur pour que les plus petites joies de la vie paraissent beaucoup plus grandes.
Je vous souhaite assez de gains pour satisfaire votre désir.
Je vous souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que vous possédez.
Je vous souhaite assez de bonjour pour vous faire passer le dernier au revoir. "
Elle s'est alors mise à pleurer et s'est éloignée.
Ils disent qu'il faut une minute pour trouver une personne spéciale. Une heure pour l'apprécier, Une journée pour l'aimer et toute une vie pour l'oublier. ✨🌟💝
Bob Perks
La Numérologie de Maud
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Saint-Just's letter to Camille Desmoulins in (May?) 1790
He mentions the Assemblée de Chauny, which took place in May 1790 according to this site.
ORIGINAL FRENCH
Monsieur,
Si vous étiez moins occupé, j'entrerais dans quelques détails sur l'Assemblée de Chauny, où se sont trouvés des hommes de toutes trempes et de tout calibre. Malgré ma minorité, j'ai été reçu. Le sieur Gellé, notre confrère au bailliage de Vermandois, m'avait dénoncé. On l'a chassé par les épaules. Nous avons vu là vos compatriotes MM. Saulce, Violette et autres, dont j'ai reçu beaucoup de politesse. Il est inutile de vous dire (car vous n'aimez pas la sotte louange) que votre pays s'enorgueillit de vous.
Vous avez su avant moi que le département était définitivement à Laon. Est-ce un bien, est-ce un mal pour l'une ou l'autre ville ? Il me semble que ce n'est qu'un point d'honneur entre les deux villes, et les points d'honneur sont très peu de chose presqu'en tout genre.
Je suis monté à la tribune, j'ai travaillé dans le dessein de porter le jour dans la question du chef-lieu : mais je ne suivis rien ; je suis parti chargé de compliments comme l'âne de reliques, ayant cependant cette confiance qu'à la prochaine législature je pourrai être des vôtres à l'Assemblée nationale.
Vous m'aviez promis de m'écrire, mais je prévois bien que vous n'en aurez pas eu le loisir. Je suis libre à l'heure qu’il est. Retournerai-je auprès de vous ou resterai-je parmi les sots aristocrates de ce pays-ci ?
Les paysans de mon canton étaient venus, alors de mon retour de Chauny, me chercher à Manicamp. Le comte de Lauraguais fut fort étonné de cette cérémonie rusti-patriotique. Je les conduisis tous chez lui pour le visiter. On nous dit qu'il est aux champs et moi cependant je fis comme Tarquin ; j'avais une baguette avec laquelle je coupai la tête à une fougère qui se trouva près de moi, sous les fenêtres du château, et sans mot dire nous fines volte-face.
Adieu, mon cher Desmoulins. Si vous avez besoin de moi, écrivez-moi. Vos derniers numéros sont pleins d'excellentes choses. Apollon et Minerve ne vous ont point encore abandonné, ne vous en déplaise. Si vous avez quelque chose à faire dire à vos gens de Guise, je les reverrai dans les huit jours à Laon où j'irai faire un tour pour affaires particulières.
Adieu encore, gloire, paix, et rage patriotique. Saint-Just.
Je vous lirai ce soir, car je ne vous parle de vos derniers numéros que par ouï-dire.
ENGLISH TRANSLATION
I found a translation here, which I used as a basis for mine, but there are some mistakes I corrected and I made some stylistic changes.
Monsieur,
If you were less busy, I would give you more details about the Assembly of Chauny, where one can find men of considerable calibre and quality. I was received in spite of my minority. Sieur Gellé, our compatriot from the bailliage of Vermandois had denounced me. He was grabbed by the shoulders and thrown out. We saw your compatriots, M. Saulce, M. Violette and others, by whom I was received with great courtesy. There is no point telling you (because you don't like foolish praise) that your region is proud of you.
You have known before I did that the département is definitely fixed at Laon. Is that good or is that bad for one or other of the towns? It seems to me that it is no more than a point of honour between the two towns and points of honour are of little importance.
I took the tribune; I worked with the intention of carrying the [order of the] day on the question of the chef-lieu: but I did not follow on; I left, weighed down with compliments like the donkey burdened with relics (1), having however the confidence that at the next legislature I could be among you at the National Assembly.
You had promised to write to me, but I can well anticipate that you had no such leisure. I am free as of now. Should I return to you or remain amongst the foolish aristocrats in this part of the country?
The peasants from my canton came, when I returned from Chauny, to look for me at Manicamp. The Comte de Lauraguais was greatly astonished by this rustico-patriotic ceremony. I led them all to his home for a visit. They said that he was out in the fields and I, however, did like Tarquin, I had a cane [baguette (2)] with which I cut off the head of a nearby fern, beneath the windows of the castle, and without a word we left and returned.
Farewell, my dear Desmoulins. If you have need of me, write to me. Your latest issues are full of excellent things. Apollo and Minerva have not yet abandoned you, whether you like it or not. If you have anything to say to your people in Guise, I will be seeing them again within the next eight days in Laon where I will be going for particular matters.
Farewell again, glory, peace and patriotic rage.
Saint-Just
I will read you this evening, since I only tell you about your recent issues from hearsay.
(1) This is a reference to a fable by La Fontaine.
(2) The baguette (direct translation: stick - the word existed before the bread style!) was a very thin cane, very fashionable to carry at the time. You can see some examples here. I'm not sure how he managed to cut a plant with it though... I've never tried to do that lol. So I don't know if it implies it was a sword-cane or if it was thin enough to do it on its own.
He compares his gesture to that of Lucius Tarquinius Superbus who, according to Livy, silently cut off the heads of the tallest poppies as a demonstration to what his son had to do.
(This is, by the way, the scene we see reproduced at the beginning of Saint-Just et la force des choses, and why they changed the fern to poppies - so the allusion would be clearer.)
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j'ai eu un rdv à l'hôpital pour mes douleurs de règles et ça faisait une semaine que je stressais comme une folle parce que j'avais peur d'y aller et qu'on me dise encore que les examens ne montraient rien donc que j'étais une grosse menteuse en plus laisse tomber l'hôpital l'endroit le plus anxiogène de la terre je marchais comme une condamnée à mort dans les couloirs mais halléluia la docteure a été adorable et elle m'a donné plusieurs pistes de maladies à suivre dont j'avais jamais entendu parler et surtout elle m'a prescrit une irm pour l'endométriose mais maintenant j'ai peur d'aller faire l'irm lol j'ai pris rendez-vous et j'ai dit à la secrétaire que j'étais claustrophobe et que j'avais peur elle m'a répondu "ah mais moi aussi j'avais peur mais j'ai réussi alors vous aussi ça ira" mdr mais je m'en fiche je voulais une prescription de calmant moi pas votre histoire de vie
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Au regard du dernier gag, je suis d'accord.
Je préfère quand Fantasio est le comique de la situation. Ça fait bizarre de le voir aussi sérieux, voire même pince sans rire, quand on est habitué à le voir comme le "comedic relief" avec Spirou.
Pourquoi un tel changement avec Gaston ?
La réponse évidente, c'est : pour ne pas faire doublon! Ils ne peuvent pas tous les deux être des comic reliefs... Mais j'ai aussi mon avis sur la question (accroche-toi).
Entre sa première apparition et celle de Gaston, on ne peut pas dire que Fantasio n'a pas changé. Gaston rappelle d'ailleurs beaucoup Fantasio à ses débuts, gaffeur comme il est, le pull trop petit et les espadrilles râpées. C'est même expliqué dans les petits textes qui accompagnent les premiers dessins dans le premier album (sauf édition 2018) :
« Qui se souvient du Fantasio des tout débuts ? Le Fantasio hirsute, emporté, l'œil égaré, vêtu d'un peignoir en lambeaux recouvert d'as de pique ? N'est-il pas normal que le Fantasio devenu sage, cravaté, responsable de la rédaction, soit incapable de tolérer des bêtises dont, quinze ans auparavant, c'est lui, Fantasio, qui aurait été le responsable ? »
C'est lui qu'il voit en face! Un jeune Fantasio mal adapté au monde du travail. Fantasio, qui va jusqu'à faire grève plus tard tellement il en a marre d'être vu comme un idiot, soudain mis face à face avec le portrait craché de toutes ses erreurs passées. C'est pour ça que « l'éducation » de Gaston lui tient tant à cœur. Non, je n'invente pas, quand Gaston est renvoyé, il écrit, je cite : « Sous ma patiente direction, il avait fait quelques progrès, mais il m'aurait fallu plusieurs années encore pour parfaire son éducation et remplacer, dans sa pauvre petite tête, les idees saugrenues par un raisonnement acceptable... »
Pour moi, c'est ça la raison de son sérieux au bureau : il veut être un exemple pour Gaston.
#mais il reste fantasio#alors parfois il fait des blagues#et parfois il est maladroit#je suis malade (pas covid) et j'ai passé plusieurs heures à essayer de répondre en consultant mes albums étalés par terre dans ma chambre 😭#courrier des lecteurs
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saga: Soumission & Domination 355
Les 24h du Mans moto-1
16-04 : Cette année je compte bien aller aux 24h du Mans moto. Je fais un sondage pour savoir qui parmi les motards que je connais serait intéressé.
De Bordeaux, les 4 étudiants en médecine sont partants. Les deux motards aussi, ils ont posé 3 jours pour pouvoir y aller. Ils me disent qu'ils montent Jules. Les autres me répondent positif. Marc ne sera pas à l'étranger pour cette fois. Ludovic avec son permis tout neuf sera du lot bien que je craigne vu le bordel que ça peut devenir aux abords du circuit.
Frank m'assure qu'il viendra aussi. Quand je fais le compte nous serons 22.
Ludovic a été reçu à son permis A2 et je lui ai offert une Kawasaki Z800e, noire évidement, avec un pot Akrapovic carbone et le blouson Z qui va bien avec. Pour le casque je continue à faire confiance à ARAI. J'opte pour un RX 7GP Crutchlow, sa touche de vert va avec celle du blouson. Officiellement elle a été bridée à 47 CV.
Éric a été très content de son élève surtout quand il a tout réussi du premier coup. Pour assurer le coup, il l'a même suivit quelques heures quand Ludovic a pris en main sa première moto. Sa Z800 c'est quand même autre chose que l'ER6 qui sert à l'apprentissage.
Depuis que le temps est plus clément, nous laissons les voitures au garage et ne nous déplaçons plus qu'en moto. C'est 1èrement plus pratique, 2èmement plus économique et 3èmement plus fun et 4èmement, Ludovic prend de l'expérience. Ce doit être psychologique mais quand je pilote mon R1, je ressens la barre métallique qui renforce mon fémur. Je sais que ce n'est pas possible. Mais depuis qu'elle est là, c'est seulement le cul sur ma moto que je la sens. J'en ai parlé à mon chirurgien et il est d'accord avec moi c'est psychologique.
Même si je sais qu'on dort peu, j'ai quand même trouvé une chambre d'hôte à quelques minutes du circuit, capable de nous recevoir tous. Par rapport au gite, c'est moins discret mais comme je prends la totalité de la capacité du petit château du jeudi au lundi matin, je m'assure de l'indulgence des propriétaires. Ce que j'apprécie c'est la piscine couverte qui est à disposition avec un sauna. Je les préviens que nous devrons avoir accès jour et nuit aux chambres comme aux différentes installations, qu'ils ne devront pas se choquer de nous voir la plus part du temps les 3/4 à poil, ni de nous voir nous rouler des pelles entre nous puisque c'est dans notre nature. Je vois aussi avec eux la nature et la quantité de rafraichissements à nous mettre à dispo.
Les proprios sont d'accord surtout avec le montant du chèque qu'ils reçoivent. J'envoie alors les coordonnées à ceux qui vont nous rejoindre directement.
Je me démerde et avec PH, Ludovic et Kamal, nous arrivons sur place dès le jeudi en début d'après-midi. Le temps de descendre de nos motos et nous nous faisons aborder par le fils de la maison qui nous explique que ses parents ont préféré ne pas rester dans nos jambes. Il ajoute que bien qu'ils aient été contents de louer aussi bien pour les 24h du mans moto, ils préféraient ne pas savoir ce qui allait se passer.
PH lui dit que ça ne va pas être une partouze non-stop pendant les 4 jours. Il nous répond que quant à lui, nous pouvons faire ce que bon nous semble, le château est à nous et que lui est à notre disposition pour tout ce dont nous aurons besoin.
Je le regarde de plus près. Dans les 25/28ans, plus petit que nous mais aussi baraqué dans son polo Lacoste, il parait baisable. Ludovic me pousse. Je m'aperçois alors que je venais de le mater grave et qu'il en avait pris conscience. Je souris et lui dit que nous aurons sûrement besoin de ses services.
Nous faisons le tour de la propriété et des espaces qui nous sont dévolus. La piscine fait dans les 15m environ, son eau est chaude juste ce qu'il faut pour se détendre. Le temps de poser nos sacs dans une chambre et j'entends des motos dans la cour.
Je dévale l'escalier et j'arrive après notre hôte. Phil et Luc s'étirent de leur trajet tout comme Frank et Arnaud qui lui emmène son Louis. 10mn plus tard Léo déboule sur son Speed Triple qui embrasse son Arnaud. Leur longue pelle témoigne de leur manque réciproque. Quand ils se décollent, ils s'aperçoivent qu'ils sont plantés devant notre logeur. Excuses de la part des " débauchés ", réponse de notre hôte " pas de problèmes pour moi, le château et tout ce qui est dedans est à vous jusqu'à lundi midi ".
Je ne sais pas s'il a volontairement émis le sous-entendu que lui aussi est à nous jusqu'à cette date !?
Quand il se tourne il tombe alors sur Franck et Louis pareillement occupés. Je fais un geste du style " laissez tomber " et explique que cela fait quelques temps que ces amoureux-là ne s'étaient vus.
Vu comme ça part je ne pense pas que le circuit nous verra ce jour, tout du moins pour les premiers essais qualificatifs !
Nous sommes déjà 10 ! Nous testons l'eau de la piscine. Bien chaude, elle nous détend des postures contractées sur nos motos. Notre hôte est à nos petits soins. Quand il nous voit sortir de l'eau, il arrive avec de grandes serviettes et des peignoirs en éponge très épaisse. Innocemment, il nous demande où nous avions trouvé nos maillots. L'Aussiebum que je porte sur les fesses et qui met en avant mes attributs, comme les ES ou Rufskin qui couvrent les autres, je lui dis que c'était sur internet.
Frank qui commence à retrouver la forme le prend par surprise et l'envoie au milieu du bassin. La chute s'est accompagnée d'un cri qui s'est terminé en Blurg Blurg.
PH encore dans l'eau part secourir notre hôte avant que ses vêtements mouillés ne l'entrainent au fond de l'eau. Sa technique est parfaite et il nous le ramène au bord alors que j'engueule, pour la façade, Frank. Aidé de Léo à l'autre bras, je le tire de l'eau et le remets sur pieds tout en nous excusant.
Arrivent alors Louis et Arnaud qui sous le couvert qu'il ne faut pas rester tout mouillé, entreprennent de le mettre à poil.
Les actions se sont succédées si rapidement qu'il n'a pas eu le temps de protester et qu'il est bientôt à poil devant nous. Enfin à poil c'est vite dit vu qu'il est épilé des épaules aux doigts de pieds. Ce ne peut être que cela vu qu'il est très noir de cheveux et que pas un poil de cette couleur ne pousse en dessous de son cou.
Evidemment ce type de préparation attire la main. Je ne me retiens pas et passe la mienne sur son dos, son torse jusqu'à sa bite. Vu la sensation même cette dernière relève de l'épilation et non du rasage.
J'ai bientôt la bonne surprise de sentir mes doigts laissés, par mégarde sur sa queue, s'écarter sous la pression de son sang qui la remplie soudainement. Il a la pudeur de rougir mais pas celle de se retirer ! Quelques coups de poignet m'assurent de l'extension maximale de l'appendice. J'ai maintenant dans la main un engin circoncis d'environ 23cm x 6+ !! Sur un jeune homme de sa taille (dans les 1m78), sans poils pour enfouir sa base, le " bâton " parait bien gros !
Sans retirer ma main, je questionne histoire de voir à quel est le degré d'acceptabilité aux turpitudes sexuelles est notre tout nouvel ami. Il prend en riant mes questions et me renvoi que ce n'est pas parce que Le Mans n'est pas Paris que le coin devrait être un repère de cathos coincés du cul. Il nous dit être Bi, en pratiques A/P avec les hommes.
Là, il nous avoue que c'est lui qui a encouragé ses parents à fuir le château pour être à même, si l'ambiance s'y prêtait, de nous " servir " aussi. Je félicite l'initiative !
En attendant il n'y a pas que sa bite qui s'est développée. C'est avec un plaisir retrouvé que je sens la bouche puis la gorge de Luc me pomper le dard alors que Phil s'occupe de celle de Nicolas (notre Hôte).
Par contre, lui est surpris par la profondeur de la bouche qui le suce. Nous sommes face à face, nous regardant dans les yeux, je vois bien son étonnement quand son gland pénètre derrière la glotte de Phil et continu encore son chemin.
Je lui sors un " pas mal mon copain !"
Réponse " putain ça va faire un bail qu'on me l'avait pompé comme ça ". À entendre ça, Phil se dégage et lui dit qu'il va être gâté ce WE puisque c'est un peu la spécialité de notre petit groupe. Puis il replonge sur l'objet de sa convoitise.
Il l'excite suffisamment pour que Nicolas en veuille plus. Et un morceau de plastique sur sa bite plus tard, il se le prenait en plein dans le cul.
L'idée a suffisamment plût pour faire des adeptes. Moi dans Luc, PH en sandwich entre Arnaud devant et Léo dans son dos, Ludovic faisant son affaire de Kamal. Frank et Louis se font une petite retrouvaille perso dans leur coin.
Improvisée, cette mini touze nous a révélé un hôte très prévenant ! Quand avec Phil nous nous préparons à aller sur le circuit, nous en discutons. Il nous dit que cela faisait un moment qu'il ne s'était pris un tel calibre dans le cul et que le mec qui le portait avait été très efficace. Il ajoute penser que le WE sera mémorable !
Les combis renfilées, les bottes chaussées et les casques sur la tête, nous partons voir les essais de nuits. Quelques minutes de moto et nous sommes arrivés. Le temps de trouver la place de parquer nos 6 engins (oui, on a fait un peu d'optimisation) et nous entrons dans l'enceinte.
Sans être la foule du WE, il y a déjà pas mal de motards à déambuler entre le circuit, le village et les boutiques. Nos casques avec nous, nous trainons nos carcasses en attendant 21h. Un débit de bière étanche temporairement notre soif on prend des sandwichs frittes pour calmer nos estomacs.
Ludovic ne sait où poser son regard. C'est la première fois qu'il vient au Mans et aussi qu'il entre vraiment en immersion dans le monde des motards. Nous tombons plusieurs fois sur des motards déjà très imbibés ou alors très fatigués de leur trajet (autant leur laisser le bénéfice du doute !).
Les motos commencent à tourner. Nous rejoignons les bords de la piste. La ligne des stands est éclairée comme en plein jour. Les motos sont impressionnantes et le bruit infernal à leur passage.
On ne reste pas figés et passons d'un coté à l'autre de la piste par la passerelle DUNLOP ou le souterrain à l'opposé des stands.
Ludovic me demande de le suivre au village. On se sépare du groupe et leur donnons rendez-vous pour plus tard au pied du monument Audi en plein centre du village.
Alors qu'on s'éloigne, je lui demande ce qu'il veut. En fait il veut faire un truc ou acheter un truc qui lui fasse penser à ses 1ers 24h du Mans moto. On traine les devantures. Un blouson ? Il en a déjà un de meilleure qualité que ce qu'il peut trouver ici. Une montre ? Idem. Un casque ? Toujours pareil. Quand les autres nous rejoignent il est déçu car il n'a rien trouvé.
Minuit : retour à nos motos et au château. Crevés, nous investissons nos chambres et nous endormons aussitôt.
17-04 :
Ce sont des rugissements de moteurs qui nous réveillent. Je prends la couette autour de mes épaules et m'avance à la fenêtre pour voir qui est arrivé. Derrière moi hurlent Ludovic et PH qui se retrouvent nus sur le lit !
Dans la cour, s'alignent les 7 motos bordelaises (4 étudiants en médecine + 2 gendarmes avec Jules + le Lad). C'est le bruit des moteurs des deux Panigales qui m'a réveillé.
Le groupe de motos s'est étoffé en marques :
Alignées devant les écuries se trouve :
Mon R1, le Z1000SX de PH et le Z800e de Ludovic plus l'ER6F de Kamal, la Panigale de Franck et le Speed triple de Léo avec les 2 Z1000 de Phil et Luc, arrivées hier. Les 3 ZX10R + les 2 R1 et les 2 nouvelles Panigales de mes gendarmes encore chaudes complètent le tableau.
J'enfile un shorty et descends à moitié à poil. On se saute dans les bras et gros roulages de pelles. Les nouveaux sont étonnés du cadre mais visent tout de suite la piscine sous sa bulle. Mais après 4 heures de route (oui je sais, ils ne sont pas raisonnables !!) ils ont surtout envie de se détendre et de manger un morceau. Jules s'étire et plie les jambes. Les places arrière des motos sont relativement réduites et prévue pour des petites meufs ! Heureusement qu'il ne fait qu'1,75m. Mais d'abord, restauration.
Je les entraine à l'intérieur. Les retrouvailles avec les ceux qui viennent de se lever sont bruyantes. Heureusement que j'ai tout loué !!
On les aide à s'extirper de leurs combis et attaquons le buffet. Notre hôte est aidé en cuisine. Il nous amène pancakes et omelettes améliorées au fur et à mesure des commandes. Nous prenons des forces car sur le circuit c'est plutôt sandwich.
Douches expresses et on enfile nos combis afin de partir tous ensemble au circuit. Nous arrivons alors que la 2ème séance de qualification a déjà commencée. Nous matons les motos en piste. Les pilotes maitrisent, c'est impressionnant.
Notre petit groupe de 18 a parfois du mal à rester cohérant. Surtout quand on passe derrière les tribunes et que les stands attirent certains.
Après plusieurs heures de piétinement, on se retrouve pour grignoter avant les minis courses de l'après-midi.
Après les courses un conciliabule décide qu'on retourne au château plutôt que d'attendre le show mécanique. Les nouveaux arrivés sont les plus virulents pour rentrer. Je pense que l'aperçu de la soirée de la veille, dévoilé par Frank où Louis, leur a sûrement donné des idées.
De plus le temps déjà gris ne s'arrange pas !
Retour à nos engins puis quelques minutes de roulage et nous voilà rentrés. De toutes les manières, la restauration a été prévue pour ce genre de décision. En plus vu les mecs, ce sera baise et diner plutôt que l'inverse.
Jardinier
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fireplace
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La journée commençait bof parce qu'on avait prévu de faire "un truc" aujourd'hui mais on ne savait pas trop quoi, et c'est souvent comme ça que ça commence mal parce que moi je veux bien à peu près n'importe quoi pourvu qu'on passe par un magasin de bouquins ou de jeux, mais l'homme veut absolument visiter qqchose et bien manger et l'ado veut absolument faire les magasins sans être accosté par un vendeur, manger en vitesse et être de retour assez vite du coup ce matin je sentais venir la journée de merde au point que l'ado a failli rester seul à la maison et à la dernière seconde il a vu ce qu'il devait réchauffer pour manger à midi du coup il a décidé de venir, je ne sais pas comment je dois le prendre, mais il devait encore se laver alors on a pris le train suivant mais même celui-là on a failli le rater, ensuite j'ai râlé parce que "vous n'êtes pas foutus de prendre un peu sur vous alors soit je suis avec l'un OU l'autre, soit je passe des journées de merde quand vous êtes là tous les deux mais y a jamais moyen de passer une journée normale à trois, vous êtes deux boulets, bordel" bon ça les a fait réfléchir apparemment et la journée s'est bien passée jusqu'à un certain moment.
On a visité Train World à Schaerbeek, c'était énormissime, l'histoire des trains en Belgique depuis les locomotives à vapeur jusqu'aux années 70/80, des vrais vieux trains dans lesquels on pouvait rentrer, des vieux objets, des anciennes affiches, tout ça tout ça bref l'ado a trouvé ça mieux que ce qu'il pensait (il pensait que c'était un vieux musée poussiéreux avec des miniatures de trains), l'homme était content pcq sa proposition avait plu, et puis on a pris le tram vers le centre-ville, il y avait l'air-co donc génial, on a mangé un petit truc et on s'est baladé en faisant des photos, la Rue Neuve n'est plus que l'ombre d'elle-même mais il y a une chouette dynamique à Anspach, Ste Catherine, Les halles et vers la Grand Place. On est en pleine période des plaisirs d'été du coup il y avait des animations de rue et des acrobates sur la Grand Place. Elliott a reconnu un acrobate d'une troupe de cirque dont il suit l'actualité. Il est rentré dans des magasins, a trouvé sa pointure sur les nouvelles Nike mais a eu la flemme de dépenser ses sous alors il est sorti en râlant bah oui la vie est chère que veux-tu, et après ça il a eu faim, il a été fatigué, il a eu mal aux pieds (tu sens venir le truc où je lui dis que ok je mets la moitié sur les Nike parce qu'il se plaint subitement de ses pieds ?) (jamais de la vie mais bel essai) moi j'ai fini mon film de 72 photos, j'en ai entamé un nouveau et cette fois je n'ai pas mis un Kodak, j'ai mis un lomography avec un effet un peu patiné on verra ce que ça donne mais c'est aussi 72 photos, ça va prendre une blinde pour les faire, j'ai trouvé 5 cartes pour ma collection dans Weward malgré que ça les ennuyait de me suivre dans des rues pour trouver ces cartes et on a mangé un mochi près de la grand place, il était délicieux et j'avais envie de parler japonais au gars du mochi mais j'ai pas osé et pourtant je voyais bien qu'il galérait en français et pourtant je sais commander trois mochis en japonais, comprendre un prix, remercier et dire au revoir du coup j'étais un peu déçue de moi-même. Après on a chacun eu fini nos pellicules et ça tombait bien parce que l'ado commençait à saturer de marcher sans autre but que des photos et des cartes Weward (pour ça il était d'accord avec son père) on a déposé les pellicules au labo, je me suis acheté une dragonne colorée pour mon Pentax 17 et on a repris le train vers la maison. L'ado s'est assoupi 5 minutes sur mon épaule et a décrété que "ah finalement ça va j'étais juste un peu fatigué" et vous avez remarqué comme moi qu'on n'est rentrés ni dans un magasin de livres, ni de jeux.
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100 Days of Productivity [Day: 55] || 100 Jours de Productivité [Jour: 55]
this holiday season I am extra thankful for caffeine, as I would not be surviving without it. I don’t think I’ve gotten to bed before 2A.M. for the last week, but somehow I’m still able to wake up for 6 without a problem. I haven’t been stressed; on the contrary, I’ve been quite satisfied & thankful. looking at where I was at the beginning of this year compared to now is almost surreal. & the best part of it all? I vowed to take this year slowly. I told myself I would stop over-working for the sake of the “grind-set”. the truth — or at least my truth — is that you must first get to know who you are & where your limits really are before you can successfully challenge yourself without burnout. could I have gotten more done? sure. we can always get more done. but that’s because there’s always going to be something else. but I’ve accomplished more than I ever have, & I have the results to prove it.
after finishing my first market weekend, I spent today working on custom orders & answering emails. this is probably one of the last days I’ll have this week to get preliminary work out of the way. I’m making the most of it.
currently listening // labour by Paris Paloma
En cette période de fêtes, je suis particulièrement reconnaissante à la caféine, sans laquelle je ne survivrais pas. Je ne pense pas m'être couché avant 2 heures du matin la semaine dernière, mais j'ai réussi à me réveiller pour 6 heures sans problème. Je n'ai pas été stressé ; au contraire, j'ai été très satisfait et reconnaissant. Regarder où j'en étais au début de l'année par rapport à maintenant est presque surréaliste. et le meilleur dans tout ça ? Je me suis promis de prendre cette année au ralenti. Je me suis dit que j'arrêterais de me pousser jusqu'au point de rupture au nom du "grind-set" dont beaucoup de gens disent qu'il est nécessaire pour réussir. La vérité - ou du moins ma vérité - est qu'il faut d'abord apprendre à se connaître et à connaître ses limites avant de pouvoir se lancer des défis sans s'épuiser. Aurais-je pu en faire plus ? Bien sûr, il est toujours possible d'en faire plus. Mais c'est parce qu'il y a toujours quelque chose d'autre à faire. Mais j'en ai fait plus que je n'en ai jamais fait, et j'ai les résultats pour le prouver.
Après avoir terminé le premier week-end de marché, j'ai passé la journée d'aujourd'hui à travailler sur des commandes personnalisées et à répondre à des courriels. C'est probablement l'un des derniers jours que j'aurai cette semaine pour faire du travail préliminaire. Je vais donc en profiter au maximum.
Chanson // labour par Paris Paloma
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J'aime bien les Antaam en tant qu'ennemis dans ce jeu. En particulier parce que j'ai choisi la faction qui a un lien de base avec eux, et du coup, ce qui est intéressant, c'est qu'ils sont d'abord pour moi une force des Qunari, une armée d'occupation dans la continuation de la guerre, et ensuite on rencontre Taash et ils se révèlent être une faction rebelle, un organe dissocié qui rejette le Qun. Ça en fait des ennemis intéressants pour Taash, par contraste avec sa mère : ils rejettent le Qun mais au final ils en ont les mêmes velléités conquérantes, ils continuent de poursuivre la même idée de grandeur, alors que Shathaan a sorti son enfant de la société Qunari pour lea protéger de cette société et du rôle qui lui serait assigné dedans, mais continue d'essayer de lui en enseigner les préceptes.
Mais du coup, plutôt que le truc gentillet d'acceptation de son identité sauce feelgood hollywoodienne, j'aurais aimé que ça représente un dilemme plus équilibré. C'est évident que Taash va pas s'allier aux Antaam, ou qu'ils ne vont pas devenir nos alliés, de par la structure du jeu, mais plutôt que de réconcilier immédiatement Taash et sa mère à base de "j'ai toujours soutenu ce que tu devenais", j'avais envie qu'ils restent énervés l'une contre l'autre assez longtemps pour que le gars qui vient dire "on chie sur le Qun, il te limite, tu pourrais devenir bien plus que ce que ta mère veut faire de toi" ait l'air de pouvoir, sinon lea convaincre, au moins faire mouche.
Pas que je fasse confiance à Bioware pour en parler bien, mais en plus ça aurait permis d'aborder même timidement ou naïvement la question de la vulnérabilité à la radicalisation, qui est ! Un truc dont on a envie que ce jeu parle ! Parce que c'est ce qui arrive à tous les alliés des dieux, et la raison même pour laquelle je suis censée m'occuper si assidûment des problèmes personnels de mon équipe c'est pas juste pour la clarté d'esprit pleine de bons sentiments que prône Emmrich mais pour l'avantage stratégique que me promettent Varric et Solas : on essaie de construire une confiance mutuelle qui peut se transformer en loyauté à même de nous protéger des tentations de pouvoir des dieux. Donc avoir un peu de marge narrative, entre l'enlèvement de Shathaan et sa mort, pour une conversation avec Taash où iel admet que le connard mascu avait l'air de lui dire ce qu'iel voulait entendre (comme on peut avoir cette conversation avec Harding après le titan, ou comme on peut voir Bellara refuser de condamner son frère) ça aurait été cool.
Et je suis quand même triste pour Shathaan, le moment est quand même triste, c'est une belle scène, c'est aussi vraiment bien et important dans le contexte de la relation de Taash avec elle, parce qu'elle est une figure omniprésente de sa vie, de lea voir pleurer et échouer à la porter et devoir l'abandonner là, c'est vraiment un délice, c'est juste que ça m'énerve que ça soit arrivé si vite et que ça ait court-circuité la réflexion que j'étais en train d'avoir sur Taash et sa relation à son identité et l'ambivalence entre sa colère et sa fragilité. Iel est un super perso bioware laissez moi passer 36 heures à décortiquer sa complexité svp
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Tu avais beau faire et beau dire Je fus là l'hiver et l'été Un air dans la tête resté D'avoir été sans fin chanté Ou simplement d'avoir été
Tu avais beau faire et beau dire Sur tes pas où tu vas je veux Être ce bruit que fait le feu Cet écho qui semble un aveu L'ave du vent dans tes cheveux
Tu avais beau faire et beau dire Tu ne te parvins démêler De ce qui fut ou m'a semblé De cet amour dont j'ai tremblé De ce bonheur que j'ai volé
Louis Aragon
Ph. Alina Vlasova
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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Des nouvelles du Pacifique
Il s'est passé quelque chose de drôle à l'endroit où je réside pendant ces vacances. Un soir, un tableau accroché au mur est tombé, le lendemain je vais pour le remettre et je suis là : "Ah, dans quel sens ?", voilà pourquoi je n'aime pas l'art contemporain, incompréhensible, impossible de déterminer le sens du tableau, est-il à l'envers ou à l'endroit.
Quelque chose de stressant : prochainement, la rencontre avec mes futurs collègues. Et s'ils étaient déçus ?
Quelque chose dont je peux me vanter : j'ai toujours été bonne pour savoir quoi offrir aux gens. J’ai trouvé le cadeau de Noël de mon père, c'est difficile pour les papas comme lui, ils ont déjà tout l'attirail de bricolage, de chasse, de tir... Ma soeur et ma mère se sont greffées à mon idée.
Quelque chose de curieux : mon père et moi sommes du genre accueillants, on invite volontiers les gens à notre table. Ma soeur pas vraiment. Elle a une grande maison toute neuve, propose régulièrement qu'on organise les repas chez elle mais comme on ne peut pas inviter qui on veut on finit toujours par faire ça ailleurs. Du coup pour mon repas on passe de 10 à 25 invités parce que ben il y a plein de gens que j'aime !!
Quelque chose pour finir : les gens ici, le contact facile et chaleureux, le sourire, la bonne humeur !! (cliché pas vrai ? Mais vrai)
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
4/10
J'ai pensé que ce serait dur les premiers jours. J'ai été naïve : ça a été très déstabilisant. Au lendemain, j'étais comme hors de mon corps, cela m'a un peu rappelé la façon dont Tante Rose endort ses patients (elle est chirurgien et elle adore parler de son métier). J'étais hors de moi, mais consciente, comme si j'étais une autre personne, et que ce problème n'était pas vraiment le mien. Comme si c'était arrivé à quelqu'un d'autre et que j'étais désolée pour lui. Cet état étrange a duré un bon moment. Oncle Adelphe a été très inquiet, mais il m'a dit que c'était le choc, que certains gars revenus de la guerre avaient un peu le même regard, et que ça finissait toujours par passer. Puis, il s'est passé une chose vraiment étrange.
Un jour où nous étions lui et moi dans le bureau à faire la comptabilité, quelques jours avant le mariage d'Anne, j'ai réalise quelque chose de grave. Et je l'ai réalisé à voix haute. Once Adelphe en a fait tomber les registres de l'étagère sous le saisissement. Puis je suis allée voir ma Grand-Mère, car il n'y avait qu'elle qui pouvait régler ce nouveau problème.
Transcription :
Arsinoé « Grand-Mère ? Je peux vous parler un instant ? »
Eugénie « Cela peut-il attendre, jeune fille ? Le livre de ta sœur est passionnant et j’aimerais au moins conclure ce chapitre. »
Arsinoé « C’est que… c’est vraiment urgent. »
Eugénie « Une urgence d’une nature précise ? »
Arsinoé « On peut dire ça. Je pense que je n’exagère pas en disant qu’il s’agit de l’avenir de la famille. »
Eugénie « Bon, fort bien ma petite. Qu’est-ce qui peut être si grave ? Tu n’as pas l’air si heurtée que cela. »
Arsinoé « Je ne sais pas vraiment pourquoi Grand-Mère, mais depuis ce matin, je me sens comme loin de mon corps. C’est toujours grave, mais c’est comme si je le ressentais moins. »
Eugénie « C’est étrange ce que tu me décris là ! Enfin bon, tu n’es pas la fille de ton père pour rien. Allons ne soit pas timide, qu’est-ce qui te préoccupe ? »
Arsinoé « C’est que… je ne sais pas comment le dire ! Vous allez vous fâcher ! »
Eugénie « Seigneur, puisque tu viens me voir c’est que tu le sais n’est-ce pas ? Et tu es venue quand même, je devine donc que c’est aussi grave que capital. Allez, crache-donc le morceau. »
Arsinoé « Il y a… ce garçon. »
Eugénie « Tu fréquentes un garçon. Je n’étais pas au courant, c’est déjà très agaçant pour moi. »
Arsinoé « Vous n’auriez pas approuvé Grand-Mère. C’était un garçon du commun, comme vous dites. »
Eugénie « Et bien voyons… Quelle malédiction pèse donc sur ma descendance pour que nous soyons tous des sots à même de se marier avec le premier laborieux venu ou la première souillon dont on croise le regard ? Je note cependant que tu utilises le passé. Tu ne le vois plus ? »
Arsinoé « Non Grand-Mère. Je ne veux plus le voir, et Oncle Adelphe y veille. »
Eugénie « Dieu merci ! Ce garçon est de loin le membre de cette famille qui a toujours le mieux veillé à nos intérêts. Et qui a fait le plus raisonnable des mariages ! »
Arsinoé « Il a épouse sa cousine ! »
Eugénie « Oui, c’est bien ce que je dis. »
Eugénie « Peu importe. Si tu ne vois plus ce garçon, le problème est réglé n’est-ce pas ? »
Arsinoé « Pas vraiment Grand-Mère. Il va épouser Cousine Anne. »
Eugénie « Adelphe est bien trop laxiste avec ses enfants, mais il ne s’agit pas de tes affaires si tu ne veux plus de lui. Alors dis moi une bonne fois pour toutes, où est le problème ? »
Arsinoé « ... »
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Mais pourquoi toujours mentir ?
Un fidèle lecteur, sans doute plus excédé que d'habitude, me fait parvenir le discours exaspérant que notre président (pour combien de temps encore ? Mon Dieu ! Que c'est long...) s'est cru autorisé à prononcer récemment à Rabat, ''en notre nom'' (sic !). En fait, avec seulement 17 % des français qui le jugent capable de diriger le pays, il a renoué, une fois de plus, avec son étiage régulier depuis le premier tour du scandale bananier qu'a été la ''présidentielle'' de 2022 --que je rappellerai, perinde ac cadaver, dussé-je être le dernier à le faire. On se demande au nom de qui il pourrait encore prétendre parler ! Au nom d'une toute petite poignée de français, peut-être ?
Le voilà donc en représentation officielle devant le Parlement marocain, ce magnifique bâtiment conçu par Lyautey et bâti par MM. Laforgue et Planque --architectes de talent que j'ai bien connus-- entouré de sa garde prétorienne de repris de justice et de petites frappes d'origine marocaine dont la seule présence, dirait-on, le rassure, année après année. Il aurait pu dire des tas de trucs passionnants, d'actualité ou d'histoire --mais vrais. Eh ! bien non... Il a fallu qu'une fois de plus il aille farfouiller dans les arrière-cours de la cuisine immonde d'une histoire réécrite en faux, refabriquée, toute en mensonges et en inventions répétées, en ressortant cette énormité que tout le monde avait jetée dans un cul de basse fosse après un premier succès d'estrade dans les années '60 (je cite) : ''Les années d’El Andalous ont fait de l’Espagne et du sud de la France un terreau d’échange avec votre culture''. Et puis quoi, encore ? Pourquoi pas un ''prototype de son vivre ensemble'', tant qu'il y était ?
Fidèle à notre méthode, je vous propose un ''retour sur images'' pour voir sur quoi je m'appuie pour dénoncer cet énorme bobard. L'expression, tout d'abord : pour mensongère qu'elle soit, elle n'est même pas de lui, mais est tirée d'une étude de 2007, ''Redécouvrir la science Arabe'', signée par un parfait inconnu, Richard Covington et publié par la Saudi Aramco World Services Company... sans doute en quête, à l'époque, de nouveaux contrats juteux à signer... et prête, pour ce faire, à caresser dans le sens du poil tout ce qui passe...
''El Andalous'', ensuite. Il voulait sans doute parler de ''al-Andalous'' qui désignait pour les seuls arabes la très romaine --et bien plus ancienne-- ''Hispania''. Passons, c'est un détail : ayant ''fait l'ENA'', il se croit autorisé à faire ou dire n'importe quoi... sans penser que l'immense Michel Audiart avait déjà caractérisé les tenants de ce genre de posture... Et si on suit les méandres tordus de sa non-pensée vide, il y aurait eu, depuis que la Terre tourne, deux types de ''colonialisme'' : l'un, le français, mauvais en tout, dans son âme intrinsèquement perverse, tout juste bon à être qualifié de ''crime contre l'humanité'' lorsque ''notre'' (?) Macron se traîne aux pieds de l'infâme Tebboune (petit rappel : Tebboune ne se traduit que par vulve ou vagin ... ceci pouvant expliquer cela !) en lui répétant les énormes mensonges que cet esprit pervers adore entendre...
Et l'autre, le beau, le bon, le magnifique : le colonialisme arabe, qui a traversé les siècles sans une tache sur sa réputation, celui (et là... les foules enthousiasmées se lèvent, dans une ''standing ovation'' hollywoodienne !) qui a permis la merveille des merveilles, ce pays béni où juifs et chrétiens ont enfin --et seulement-- touché le bonheur : al-Andalous ! On devrait tous être malades de ne pas avoir connu cet ''âge d'or''... même si, ici ou là (la vérité est : ici ET là !), les vainqueurs ne se gênaient pas --dans les mœurs du temps-- pour esclavagiser les vaincus, qui étaient ramenés au statut peu enviable de ''Dhimmis'' (interdiction de témoigner devant un tribunal, ou de posséder un cheval ou une arme quelle qu'elle soit, obligation de laisser le passage à tout ''Croyant'' et de ne marcher que sur la chaussée, pas sur les trottoirs, ou encore interdiction de construire des habitations qui dépassent en hauteur celles des voisins musulmans. Et, bien entendu, l'obligation incontournable de payer une lourde taxe, la Djizyia, assortie de l'interdiction de construire de nouveaux lieux de culte... On reste pantois devant le bonheur qui résultait de l'application de ces principes --parmi tant d'autres joies imposées par un pouvoir caractérisé par sa ''tolérance''. Je comprends que Macron regrette amèrement de n'être pas né assez tôt pour avoir bénéficié de ce Paradis terrestre.
Il n'en reste pas moins vrai que le message, clair et indiscutable, qui a été lancé une fois de plus ne peut avoir qu'une seule et unique conséquence : monter encore davantage contre nous --si c'est possible-- les jeunes de ce qui fut ''nos banlieues'', en les confortant dans le culte permanent d'un des plus graves mensonges de l'histoire (pourtant prolifique en la matière)... comme si les dites banlieues, devenues depuis ''terres de non droit'' et déjà tellement hostiles à tout ce qui représente la France, avaient besoin de ça !
Le gag de la situation tient dans la réaction unanime du peuple marocain à ces libertés prises par notre lamentable président avec la vérité : eux, nos chers amis marocains, savent la vérité sur les deux extrêmes de ce double mensonge : ils savent de quoi leurs ancêtres étaient capables, et ils savent aussi tout le bien qu'il faut penser de l’œuvre iso-colonisatrice française ... pour l'avoir vécue ou avoir profité de ses retombées à travers le temps, pour les plus jeunes.
Al-Andalous fut certainement une forme de Paradis terrestres (leur ''Fridaouz'')... mais uniquement pour les envahisseurs qui ont tellement pressuré les populations qu'ils ont pu se payer des palais de rêve, des Alhambras (= châteaux rouges), des jardins paradisiaques, des étoffes rares (interdites aux Dhimmis, bien entendu !) et une manière de vivre qui allait de pair avec le rejet de leur pouvoir par la totalité de la population. Et si la brutalité de leur règne a permis de faire durer cette aberration plusieurs siècles, cela ne saurait constituer la justification d'un des plus gros bobards que l'histoire ait fabriqués.
Monsieur Macron, non seulement vous avez, une fois de plus, raconté n'importe quoi, mais toute cette laideur voulue s'est, dans la seconde, retournée contre vous. Et ça, voyez-vous, ce sont deux bonnes nouvelles comme vous ne nous avez plus habitués à en avoir... On vous remercierait presque, de mentir si stupidement !
H-Cl.
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