#Itinéraire Philippines
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Discover the best itinéraire Philippines, featuring top destinations from Manila to Boracay. This guide covers beaches, nature spots, and cultural experiences to help you explore the beauty of the Philippines on an unforgettable adventure.
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VIETNAMESE Official Vietnam Government Immigration Visa Application Online FOR CANADIAN CITIZENS - VIETNAMIEN Demande de visa d'immigration officielle du gouvernement du Vietnam en ligne
Qu'est-ce qu'un visa vietnamien en ligne ?
La ligne ou le Vietnam eVisa a été créé en 2017. Le visa Vietnam en ligne permet un séjour maximum de 30 jours.
Le visa électronique pour le Vietnam est valable pour une variété de objectifs liés au voyage, y compris les affaires, le tourisme, l'éducation, les visites à la famille, l'investissement, le journalisme et l'emploi. visa vietnamien pour les citoyens d'Andorre
Le visa vietnamien en ligne a été principalement introduit pour accélérer la procédure de demande. Arriver au Vietnam plus rapidement est possible pour les visiteurs étrangers qui ont un eVisa officiel.
La demande de visa en ligne pour le Vietnam exige que les candidats fournissent des informations personnelles et de passeport ainsi que le but prévu de leur voyage.
Tous les aéroports internationaux du Vietnam acceptent l'eVisa pour le Vietnam, et au point d'entrée, l'eVisa approuvé doit être présenté.
Remarque : Les voyageurs ou les ressortissants étrangers souhaitant séjourner plus longtemps au Vietnam doivent demander un visa auprès. visa vietnamien pour les citoyens belges
Pourquoi les exigences en ligne du visa Vietnam sont-elles?
Un candidat doit posséder les éléments suivants pour soumettre la demande en ligne Le passeport du demandeur doit être encore valide six mois après la date d'entrée au Vietnam
Image de la page du passeport biographique du demandeur
Une photo de type passeport du demandeur
L'adresse au Vietnam où le voyageur prévoit de séjourner
Pour payer le visa Vietnam en ligne ou les frais de demande d'eVisa Vietnam, vous devez disposer d'une carte de débit ou de crédit valide.
Une adresse e-mail active et existante du candidat
Les voyageurs doivent imprimer au moins une copie de l'eVisa pour le Vietnam approuvé après qu'il a été autorisé afin de le soumettre à la frontière et de recevoir une admission accélérée dans le pays.
visa vietnamien pour les citoyens brésiliens
Foire À Questions (FAQ)
Qu'est-ce que le visa vietnamien en ligne ?
Le visa vietnamien en ligne ou le Vietnam eVisa est un permis de voyage électronique qui permet aux ressortissants qualifiés de dépenser jusqu'à 30 jours au Vietnam.
Qui peut demander le visa Vietnam en ligne ?
Vous pouvez savoir si vous êtes ou le Vietnam eVisa, en faisant défiler ci-dessus et en consultant la section "Pays éligibles pour demander le visa Vietnam en ligne".
Cependant, les pays suivants sont les principales sources de demandeurs d'e-Visa pour le Vietnam :
Chine
Corée du Sud
Japon
États-Unis
Inde
Fédération Russe
Australie
United Kingdom
France
Allemagne
Canada
Philippines
Comment faire une demande de visa vietnamien en ligne ?
En fournissant des informations biographiques et de passeport de base sur le formulaire de demande de visa vietnamien en ligne simple, les citoyens éligibles pour un eVisa ou le visa vietnamien en ligne peuvent postuler.
Combien de temps puis-je rester au Vietnam avec un visa vietnamien en ligne ?
Le visa Vietnam en ligne ou le Vietnam eVisa permet aux candidats éligibles de rester au Vietnam pour une période maximale de 30 jours.
Remarque : Les voyageurs ou les ressortissants étrangers souhaitant séjourner plus longtemps au Vietnam doivent demander un visa auprès. visa vietnamien pour les citoyens chiliens
Combien de temps le visa vietnamien en ligne est-il valable ?
Après la date d'arrivée au Vietnam, le visa Vietnam en ligne ou le Vietnam eVisa sera valable pour 30 jours. Une fois le visa en ligne approuvé, la date d'arrivée ne peut plus être modifiée. Les candidats qui modifient leur itinéraire de voyage doivent soumettre une nouvelle demande de visa Vietnam en ligne.
Quand dois-je demander le visa Vietnam en ligne ?
Il est recommandé aux candidats de déposer une demande de visa en ligne pour le Vietnam ou un eVisa pour le Vietnam au moins 1 semaine avant la date de voyage souhaitée.
Le visa vietnamien en ligne est-il un visa à entrée unique ou un visa à entrées multiples ?
Les visas vietnamiens en ligne ou les eVisas vietnamiens sont des visas à entrée unique qui permettent un séjour consécutif de 30 jours dans le pays.
Les titulaires d'un visa en ligne pour le Vietnam ou de l'eVisa pour le Vietnam peuvent entrer ou sortir du Vietnam par l'un des points d'entrée répertoriés ci-dessous :
Bo Y Landport
Aéroport international de Cam Ranh
Peut-on l'aéroport international
Aéroport international de Cat Bi
Port terrestre de Cau Treo
Port terrestre de Cha Lo
Port maritime de Chan May
Aéroport international de Da Nang
Port maritime de Da Nang
Port de Duong Dong
Port terrestre de Ha Tien
Port maritime de Haiphong
Port maritime de Hô-Chi-Minh-Ville
Port de Hon Gai
Port terrestre de Huu Nghi
Port de La Lay
Port terrestre de Lao Bao
Port terrestre de Lao Cai
Port terrestre de Moc Bai
Port terrestre de Mong Cai
Port terrestre de Nam Ca
Port terrestre de Na Me.
Combien de temps faut-il pour obtenir un visa vietnamien en ligne ?
Ai-je besoin d'un visa vietnamien en ligne pour tous mes enfants ? Dois-je les inclure dans ma demande de visa pour le Vietnam ?
Les enfants de moins de 14 ans qui sont inscrits sur le passeport de leurs parents ou tuteurs peuvent également être inscrits sur le site Web de cette personne ou l'application Vietnam eVisa.
Il faut demander un visa vietnamien en ligne ou un eVisa pour le Vietnam s'ils ont moins de 14 ans ou s'ils ont leur propre passeport.
Que faire si j'ai fait une erreur dans ma candidature ?
Avant de soumettre le formulaire de demande d'eVisa pour le Vietnam, il est recommandé aux candidats d'examiner attentivement toutes les informations fournies. La demande gouvernementale ne peut pas être . visa vietnamien pour les citoyens finlandais
Que puis-je faire si ma demande en ligne de visa pour le Vietnam est rejetée ?
Dans le cas où la ligne ou si la demande d'eVisa pour le Vietnam est refusée, les candidats peuvent présenter une nouvelle demande de visa pour le Vietnam en ligne. Pour que l'eVisa pour le Vietnam soit délivré, il est impératif que toutes les informations du formulaire correspondent aux informations du passeport du demandeur.
Puis-je demander un visa vietnamien en ligne pendant mon séjour au Vietnam ?
Non, vous ne pouvez pas demander un eVisa pour le Vietnam pendant que vous êtes au Vietnam. Il est encouragé que les candidats demandent un visa pour le Vietnam en ligne afin d'acquérir un eVisa autorisé . visa vietnamien pour les citoyens grecs
Combien de temps faut-il pour renouveler un visa vietnamien en ligne ?
Le Vietnam Visa Online ou le Vietnam eVisa ne peut pas être renouvelé. Si une personne a un eVisa expiré et souhaite entrer à nouveau au Vietnam, elle doit demander un nouveau visa en ligne, ce qui prendra 3 jours ouvrablesprocéder
Puis-je prolonger mon visa vietnamien en ligne au Vietnam ?
Une fois à l'intérieur du Vietnam et avant l'expiration de l'eVisa pour le Vietnam, il est possible de demander une extension de l'eVisa pour le Vietnam. Il est essentiel de demander le parrainage d'une agence, d'un groupe ou d'une personne vietnamienne, qui doit ensuite soumettre une demande au nom du demandeur au Département de l'immigration du Vietnam. Obtenez des réponses aux questions les plus courantes sur les exigences, les informations importantes et les documents requis . https://www.vietnam-visa-online.org/fr/visa/
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Philippines : les Visayas d'île en île
Après une longue traversée du Pacifique, nous atterrissons... aux Philippines ! On a longuement hésité à changer de continent. Parce que c'était loin et parce que ce n'était vraiment pas prévu. Mais on avait en tête d'aller un jour aux Philippines et c'était l'occasion unique d'y passer un mois. Notre tour d'Amérique latine se transforme en tour du monde. Après 7 mois de tribulations, nous sommes toujours aussi avides d'aventures et notre appétit du voyage n'est toujours pas rassasié (le sera-t-il vraiment ?).
Et alors, pourquoi les Philippines ? Avec ses 7000 îles et plus, les plages de rêve abondent. Mais un mois à faire la crêpe sur des plages, ça fait un peu long et plat. C'est pas nous ça. C'est l'incroyable richesse de ses sites de plongée qui nous a attiré, évidemment ! Et je crois qu'on ne va pas être déçus...
Bohol
Notre périple aux Philippines se dessine donc presque exclusivement en fonction des sites de plongée qui nous intéressent. En arrivant à Cebu, on commence le voyage par l'archipel des Visayas et l'île de Bohol.
Ce n'est qu'une fois arrivé sur cette île que l'on prend conscience du véritable changement d'ambiance qui vient de s'opérer. On était tellement habitué à l'Amérique latine et nos cœurs en sont encore tellement épris, qu'on avait oublié ce que ça faisait d'être en Asie. Bohol est une petite île sauvage, tropicale et préservée du tourisme. La route principale, bordée de cabanes en bois, traverse une jungle de bananiers luxuriante. On loue un scooter pour commencer notre douce immersion asiatique.
La première curiosité de Bohol, ce sont les tarsiers. De tout petits mammifères aux grands yeux qui ont inspirés les personnages d'ET, Yoda et les grimlins. Dit comme ça, c'est pas très flatteur pour eux. Mais en vrai, c'est excessivement mignon. On arrive dans une réserve naturelle où il est possible de les voir de près. Mais attention ! C'est fragile. Très fragile. Il ne faut pas faire de bruit au risque de leur provoquer une crise cardiaque. Véridique. Lorsque l'on aperçoit notre premier tarsier, il est encore plus petit que ce qu'on pensait ! Il fait dodo tranquillement sur sa branche et ouvre de temps en temps ses grands yeux globuleux pour jauger le danger que l'on représente pour son petit cœur fragile.
Le lendemain, on part avant l'aube en direction des Chocolate Hills pour admirer le lever du soleil. Il fait encore nuit noire lorsque l'on arrive au pied du point d'observation. On grimpe au sommet du mirador et on attend patiemment que les premiers rayons du soleil viennent éclairer toutes ces collines étrangement arrondies.
Progressivement, les rayons orangés percent et colorent le paysage d'une douce et tiède lumière. A la saison sèche, les Chocolate Hills se teintent de marron, comme des dômes de chocolat - d'où l'appellation. Pas de chocolat pour nous, elles sont déjà verdoyantes. On reste une paire d'heures à profiter de ce joli panorama avant de continuer notre exploration de l'île en scooter.
On quitte la route principale pour s'enfoncer un peu plus encore dans la nature sauvage de l'île. On traverse des rizières et des villages dans lesquelles les habitants tiennent à nous dire bonjour avec un grand sourire. La gentillesse des philippins n'est pas un mythe !
On s'arrête à notre première cascade puis à d'autres au fil du chemin. On y est souvent presque seuls et on profite de ces recoins paisibles pour faire trempette.
On rejoint ensuite la presqu’île de Panglao, au sud-ouest de Bohol, pour notre première plongée aux Philippines. C'est tout de suite beaucoup plus touristique ! On prend rapidement le large en direction de l'île Balicasag et de son récif corallien. A peine immergés, on se dit que ça nous avait manqué la plongée en Asie. On se balade le long d'un magnifique mur tombant qui pullule de poissons et de coraux. C'est vivant et coloré. Un régal !
On termine notre découverte de l'île par une balade nocturne en kayak pour aller observer les lucioles. On pagaie dans une claire obscurité guidés par la lumière de la lune jusqu'à atteindre différents arbres qui scintillent. Des millions de lucioles s'agitent et dansent en guise de parade amoureuse. Et nous, on regarde avec étonnement la magie de ce spectacle romantique.
Siquijor
On descend ensuite un peu plus au sud, sur l'île de Siquijor. Il n'y a que très peu de touristes ici et les philippins eux-même la boudent car elle a la réputation d'être habitée par des sorcières. Du coup, ça lui donne un caractère encore plus sauvage et authentique que Bohol.
Dès notre arrivée à l’hôtel, le temps s'arrête. Il n'y a personne. Pas même l'ombre du personnel. C'est pas grave, on regarde la mer en face de nous et puis on médite. C’est paisible.
Ici aussi, on loue un scooter pour explorer l'île et ses jolies cascades perdues dans la forêt. A l'une d'elles, de jeunes philippins nous font une démonstration de tout un tas de figures acrobatiques, escalade sur rochers et sauts de cabri que l'on essayera de reproduire avec plus ou moins de réussite.
A défaut d’avoir rencontré une sorcière, on aura fait la connaissance de Bouddha, caché sous le rideau de la cascade.
On quitte Siquijor en profitant de l'un de nos plus beaux couchers de soleil philippin.
Oslob
Avant de se diriger vers notre dernière étape dans l'archipel des Visayas, on repasse par l'île de Cebu en s'arrêtant en chemin à Oslob. Rien de particulier à y voir, si ce n'est de nager 30 minutes avec des requins baleine. On a longtemps hésité à y venir et pour plusieurs raisons. Le requin baleine, c'est le rêve de tout plongeur chevronné. C'est un énorme et magnifique spécimen qui peut mesurer jusqu'à 14 mètres mais c'est inoffensif car il ne se nourrit que de plancton ! Ici à Oslob, les requins baleine sont nourris à seulement quelques mètres de la plage. Ils ont donc complètement arrêtés leur cycle migratoire et les locaux y ont vu une véritable opportunité financière. C'est tentant de se dire qu'on a la possibilité et la certitude de nager avec des requins baleine. Même si nous avons prévu de nombreuses plongées aux Philippines, le doute sur cette éventuelle rencontre plane. Voila donc pourquoi nous avons décidé de participer à cette aventure. Et finalement, nous avons regretté.
Dès notre arrivée, c'est l’afflux de touristes. On nous donne notre équipement de snorkelling et on nous briefe sur les mesures de sécurité. Il faut rester à distance du requin baleine et ne surtout pas le toucher. Ça paraît évident pour nous mais pas pour la plupart des gens malheureusement. On a la surprise d'embarquer sur un petit bateau avec deux soixantenaires accompagnés de deux jeunes philippines qui pourraient être leur fille. Ah le tourisme sexuel ! C'est une pratique courante ici mais on ne savait pas qu'il existait une formule "escort girl" pendant toute la durée des vacances ! Le bateau s'éloigne un peu du rivage jusqu'au fameux point d'effervescence. Et là, le chaos commence. On se prend des coups de palme, on se fait tirer le bras par le guide pour que l'on reste dans une zone stricte à proximité du bateau. Pendant ce temps là, on aperçoit les requins baleine qui passent tranquillement, la gueule grande ouverte pour récolter la nourriture que les pêcheurs leur distribuent à longueur de journée. Ils n'ont pas l'air de se rendre compte de l'agitation qui les entoure. Malgré tout, ils sont majestueux et on ne peut s'empêcher de les regarder avec un certain plaisir teinté de culpabilité.
Malapascua
Notre itinéraire dans l'archipel des Visayas se termine par l'île de Malapascua, tout au nord de Cebu. Ce tout petit bout de terre est paradisiaque avec ses plages de sable blanc et son eau translucide. Mais l’île est mondialement réputée pour l'un de ses sites de plongée où l'on a la possibilité exceptionnelle de voir des requins renards ! Ils vivent habituellement dans les eaux profondes (de 100 à 500 mètres). Mais ici, ils remontent systématiquement à 30 mètres au petit matin.
Et qu'est-ce qu'il a de si particulier ce requin renard ? Sa queue, messieurs ! Je vais d'ailleurs l'appeler appendice caudale pour (ne pas) vulgariser mes propos. L'appendice caudale du requin renard est très longue, aussi longue que son propre corps. Il s'en sert d'ailleurs pour gifler les poissons qu'il chasse, après les avoir aveuglé par la lumière qui se reflète sur sa peau.
On se lève à 5h du matin pour partir à leur rencontre. Quelques minutes après l’immersion, on aperçoit leur silhouette élancée un peu plus en profondeur. On en verra 6 ou 7 s'approcher de nous en remuant avec élégance leur si belle appendice caudale !
On enchaîne deux plongées dans la journée sur d'autres sites reconnus pour leur diversité macro (tout ce qui est petit comme les hippocampes, poissons grenouille, etc). Je vous rassure, on a un peu profité de la plage aussi !
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https://e3o.org/e3o/livres-la-medecine-des-chakras/
Livres : La médecine des chakras
Les chakras Editions Eyrolles. 2016 Dans la tradition hindoue, « chakras » désigne les points d’énergie du corps (7 principaux). Ce guide commence par proposer une introduction à la médecine indienne et au pouvoir des chakras ; il propose ensuite 50 exercices de méditation pour découvrir et s’initier à la spiritualité hindoue. Il s’accompagne enfin … Lire plus… Les chakras Editions Eyrolles. 2016 Dans la tradition hindoue, « chakras » désigne les points d’énergie du corps (7 principaux). Ce guide commence par proposer une introduction à la médecine indienne et au pouvoir des chakras ; il propose ensuite 50 exercices de méditation pour découvrir et s’initier à la spiritualité hindoue. Il s’accompagne enfin de conseils de bien-être. Des musiques d’atmosphère sont disponibles en téléchargement. Un auteur expert Une heure de musique Des conseils de bien-être SYLVIE VERBOIS est ethno-thérapeute, formée en aromathérapie, homéopathie et phytothérapie, spécialiste des traditions chinoise et indienne. Elle est déjà l’auteur de plusieurs ouvrages dont Les mandalas, L’Âyurveda et La phytothérapie dans la collection Eyrolles pratique. La médecine des chakras Robert Laffont. 2011 A la suite d'un accident de voiture, survenu alors qu'elle partait pour les Etats-Unis sur les traces d'Antonio Agpaoa, le plus célèbre guérisseur philippin, Janine Fontaine découvre par hasard la véritable anatomie et la vraie physiologie des chakras, ces fameux centres d'énergie répartis sur sept points du corps. Une découverte qui entraîne son rapide rétablissement. Elle s'aperçoit en outre que le système des chakras s'intègre parfaitement à sa théorie de "l'homme-atome de Niels Bohr" décrit dans Médecine du Corps Energétique et les livres suivants. Livré jusqu'alors à des descriptions hasardeuses et contradictoires, le système e chakras se trouve ici expérimentalement et scrupuleusement analysé. Ses applications à la médecine énergétique sont décrites en fonction des pathologies. Deux autres découvertes non moins considérables concernent les relations entre les chakras et les orbes de l'atome de Niels Bohr ; la relation entre les états de conscience ordinaires et non ordinaires, les phénomènes para-psychologiques et les chakras ; enfin l'individualisation de Troisième Oeil, dont le rôle dans les états de stress est mis en évidence. Un ouvrage qui introduit avec efficacité l'ésotérisme en médecine. Initiation à l'harmonisation des auras et des chakras Exergue. 2014 L'aura ou champ aurique est le système énergétique qui enveloppe chaque être physique vivant. Ainsi les hommes, mais aussi les animaux, les plantes ou les arbres, possèdent une aura. Les chakras sont des centres d'énergie situés dans le corps éthérique, qui se trouvent reliés à la colonne vertébrale et aux 7 glandes endocrines les plus importantes. L'harmonisation des auras et des chakras joue un rôle prépondérant pour maintenir l'équilibre et la santé du corps et de l'esprit. Dans cet ouvrage remarquable, Kaly présente une description détaillée des 7 chakras principaux, comment "voir" leur état, leur luminosité, leur ouverture, ainsi que l'état de conscience et de santé d'une personne. Dans un deuxième temps, il indique plusieurs méthodes de visualisation des auras, ce qui constitue un support intéressant et valable de diagnostic, dans toute démarche thérapeutique visant à les harmoniser. Vous découvrirez également plusieurs techniques de soins énergétiques avec des exercices pratiques pour harmoniser les auras et les chakras : magnétisme, souffle guérisseur, pouvoir des mots, guérison par invocation, traitement par les pierres et les cristaux, thérapie par les couleurs... Abc des chakras FeniXX. 1994 Les grands Maîtres spirituels de l’Inde ou d’ailleurs enseignent avec beaucoup de simplicité, parfois même de façon très scolaire - voire puérile - mais leur vérité demeure. Par ce livre, l’auteur vous offre ce qu’il a reçu de ces Maîtres bons et généreux qui donnent et risquent leur vie avec le sourire d’un enfant radieux. Vous trouverez ici l’explication de la réalité et des composantes détaillées de nos trois corps (physique, astral et causal), décrites selon la tradition du Hatha Yoga. Pas à pas, vous aborderez la connaissance des Chakras, à la fois roues d’énergie vitale et centres psychiques, sous différents angles et plus particulièrement celui des états de conscience progressifs vers l’union au Divin. La pratique simple se révèle essentielle dans le « dégagement » de l’être. Elle vous fera parvenir à l’expérience d’une certaine élévation de vie. Cependant, ne perdez pas de vue qu’elle représente un humble et patient chemin vers l’Unité. Souvenez-vous du proverbe : « Aide-toi, le Ciel t’aidera ». Souhaitons que ces pages vous aident à poursuivre votre itinéraire sans vous laisser décourager par les épreuves du monde jusqu’à découvrir l’incommensurable douceur de la réalité divine. Swami Sivananda disait : « Quoi que vous ayez, vous devez le donner au monde. Autrement, la vie n’est plus digne de ce nom. Chaque chose nouvelle que j’apprends, je la répands autour de moi dans toute l’humanité pour le Bien des autres ». Chakras 7 pierres naturelles – Jaspe rouge, cornaline orange, calcite jaune, quartz rose, sodalite bleue, améthyste et cristal de roche, correspondant aux 7 chakras + un livre de 112 pages en couleur présentant la signification de 7 cristaux associés aux chakras et à leurs couleurs. L’énergie des chakras Éditions AdA. 2014 Dans L’énergie des chakras, Susan Shumsky plonge dans la littérature tantrique et védique ancienne pour lever le voile sur les mystères des âges, dans lesquels nous pouvons découvrir l’information la plus authentique sur les sept chakras, les sept sub-chakras et le système énergétique subtil. Jusqu’à aujourd’hui, une grande partie de cette sagesse est demeurée un secret bien gardé dans les forêts et les cavernes de l’Inde et du Tibet. Sagesse des chakras au féminin Éditions Leduc.s. 2019 Le mot "chakra" signifie "roue lumineuse" en sanskrit. Nous avons tous 7 chakras principaux,qui se présentent sous la forme de roues énergétiques en perpétuel mouvement, qui oscillent en fonction de nos émotions et de nos vibrations. Ce sont des points précis du corps qui se situent le long de la colonne vertébrale en commençant par le premier Chakra, le chakra racine, et en se terminant par le Chakra couronne. Ces « centres d’énergie » permettent des échanges énergétiques entre le corps physique et le corps subtil. Pour chaque chakra, la lectrice trouve : - Une description du chakra - Où ça se passe dans le corps - Le fonctionnement émotionnel - Comment nettoyer le chakra - Exploration et mise en pratique - Clair et outillé, c'est l'ouvrage indispensable pour préserver son énergie vitale et éviter les blocages liés à la surcharge émotionnelle. Ariane Calvo est psychologue spécialisée en élan vital, résilience et transitions de la vie. Elle propose un accompagnement individuel, de couple, ou des thérapies de groupe. Elle est l'auteur de La psychologie pour les nuls (8 800 exemplaires) aux éditions First. La guérison des chakras Médicis. 2016 Créé à la suite de la tournée mondiale de l'auteur à laquelle ont participé quelque 30 000 personnes, ce livre nous offre un panorama très détaillé et illustré du système des chakras humain. S'appuyant sur la sagesse ancestrale de la philosophie coréenne, appelée "la Voie divine", et sur la longue expérience d'Ilchi Lee, il nous propose une approche unique de la santé des chakras, et donc du bien-être holistique humain.
#Chakras
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2018-03-07 19 TRAVEL now
TRAVEL
Carnets de Traverse
Road trip aux Etats-Unis — Instants d’Amérique
New York, Carnets de Villes
Notre sélection de livres dédiés aux road trips, slow-travels et belle photographie de voyage
Kyoto — Inspiration photographique, belles adresses et guide pratique
Road trip en Écosse : itinéraire de 10 jours à travers les îles de Mull, Skye et les Highlands
Culinary Backstreets
Pirineu en Boca
Babaji
Pop up Peru
Erzincan Tandır Ekme��i
Building Blocks
Fresh Off the Grid
How to Season Cast Iron Cookware So It Lasts Forever
The Ultimate Guide to Gluten Free Backpacking Food
3 Easy Trail Mix Recipes
Welly: The Only Insulated Water Bottle You Need
Apple Pie Quinoa Porridge
Landcruising Adventure
The Jordan Trail Hike (part 1)
Pressure Cooker Recipe – Pumpkin Soup
Books about Russia
Legal Nomads
Spinal Taps, a Burglary, and a Legal Nomads Hiatus
Thrillable Hours: Karen Walrond, Speaker, Photographer & Bestselling Author
The Cow Head Taco Philosopher King of Oaxaca
9 Years of Legal Nomads
Thrillable Hours: Matt Levine, Financial Journalist
Melting Butter
Restaurant Find: Kisumé Melbourne
Boutique Hotel Find: Hotel Habituel
Restaurant Find: Bessou NYC
SLY 5TH AVE’S ORCHESTRAL TRIBUTE TO DR DRE | FEBRUARY SPOTIFY PLAYLIST
Hotel Find: The Upper House Hong Kong
Meraviglia Paper
SanBrite
Moorea Beach Lodge
Niedermairhof
Vanira Lodge
Shibumi
Nomadic Matt
TravelCon Update!
The RTW Trip Giveaway: A Winner’s Update (Part 1)
I Still F*ing Hate Koh Phi Phi
A Lifetime of Hope and Regret
24 Things Every Solo Female Traveler Learns on the Road
Reddit Travel
Stopped on the side of the road in Moffat, Scotland .
Petronas Towers, Kuala Lumpur
Turning the corner towards the Underground River NP in Palawan, Philippines
View from old town hall in the historic district of Prague
Planning our honeymoon: Philippines + ??
Rick Steves
Laughter and Joy with Our Family of Guides
A Busy Week with Our Guides
Video: Soaking Up the Fun at Our Tour Alum Party
Video: Swimming in a Cenote
Video: A Tasty Meal in the Yucatán
Roads and Kingdoms
The Bootleggers of Madagascar
Never Ask Permission to Have Dessert for Breakfast
R&K Insider: Ave atque vale from Cara
Push Your Mediocre Spice Tolerance to the Limit
There’s Comfort Food, and Then There’s Dried Fish in Chocolate-Flavored Rice Porridge
Roam Magazine
A Guide to Khartoum, Sudan: Africa’s Diverse Capital
KAYAN: BEYOND THE RINGS | A Film by Marko Randelovic
Places of the Mind | Kumano Kodo Pilgrimage Trail, Japan
A Bicycle Journey around Bali & Java | Indonesia
Looking Beyond Instagram | Iceland
Scandinavia Standard
Six Documentaries to See at CPH:DOX 2018
Party in a Post: Scandinavian Women Musicians We Love
In Pursuit of Perfection: Copenhagen’s Best Tacos
What’s On in Stockholm: March 2018
What’s On in Copenhagen: March 2018
Travels of Adam
17 Best Things to Do in Mumbai
5 Lies about Travel Blogging
The Special Stories We Tell When Sending Postcards
Solo Gay Travel as a Backpacker – What You Need to Know!
Berlin – the Perfect City for Freelancers?
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Après un voyage de deux semaines au Cambodge et la découverte du Vietnam, mon voyage aux Philippines se termine. J’ai globalement adoré mon voyage même si ce fut au prix de nombreuses péripéties. Je savais que les transports locaux n’allaient pas être de tout repos, mais ça en vaut réellement la chandelle !
En 3 semaines j’ai pu découvrir des îles paradisiaques entre eau turquoise et plage de sable fin, j’ai réalisé mon rêve de plonger au dessus d’une épave, j’ai fait une traversée en bateau clandestin, j’ai dormi avec des inconnus, j’ai vu d’énormes bancs de sardines, j’ai rencontré une chamane dans les montagnes, j’ai fait un trajet en scooter de 3h sous la pluie et je me suis baignée au milieu des tortues et d’étoiles de mer. Le programme de 3 semaines aux Philippines est plutôt riche en découvertes.
Mon itinéraire aux Philippines
Pour découvrir les Philippines, archipel de plus de 7000 îles, j’ai choisi de mixer les coins touristiques et des coins un peu plus tranquilles au bord de mer en restant entre 2 et 3 jours à chaque endroit. Si c’était à refaire, et avec du recul, je visiterai moins d’endroits et profiterai plus longtemps des spots où je me sentais bien. Mais pour savoir où l’on se sent bien, il faut bien y aller une première fois…
Pour aider à préparer mon itinéraire je me suis basée sur les recommandations que l’on m’avait faites, mes envies et la cohérence des transports. Je savais que les transports étaient un sport national aux Philippines. J’ai volontairement boudé Oslob sur l’île de CEBU célèbre pour pouvoir admirer les requins baleines. Je ne suis pas fan des zoos et tous types de lieux créés spécialement pour observer des animaux. Je préfère avoir la chance de les voir dans leur milieu naturel ou ne pas les voir du tout. Oslob est très controversé sur la toile. Les entreprises qui organisent ce genre de tour viennent nourrir les animaux pour que les touristes puissent les admirer au plus prêt… Qui sait ce qu’il se passe d’autre ? Chacun sa conscience et son éthique…
Jour 1 et 2 : Manille
Arrivée plutôt en douceur à Manille. Après tout ce que j’avais lu et entendu je m’attendais au pire. J’ai choisi de loger dans le quartier de San Juan un peu à l’écart du centre de la ville. C’est pour être pour cela que j’ai moins été frappée par les côtés négatifs de Manille de prime à bord.
Puis en visitant le centre historique de la ville, j’ai compris… Beaucoup de bidonvilles entassés, la saleté, la pauvreté… Pour se rendre dans Intramuros il faut avoir le cœur bien accroché. Il y a pas mal d’enfants qui mendient, des prostituées et la misère à chaque coin de rue. Mais la plupart des choses à voir à Manille se situent dans le secteur. Si tu peux squizzer cette ville, ce n’est vraiment pas nécessaire de s’y arrêter dans le cadre d’un séjour inférieur à 1 mois.
Jour 3, 4 et 5 : Panglao, BOHOL
Direction Panglao sur l’île de Bohol. Le trajet en avion se fait sans encombre. Premier voyage aux Philippines plutôt réussi et changement de décor ! L’île est sympa. Mais je découvre qu’il y a l’île principale de BOHOL et puis la petite île de Panglao. Et j’ai réservé l’hôtel 3 jours à Panglao. J’aurai plutôt fait 2 jours à Panglao et 2 jours sur Bohol avec le recul.
Panglao est assez touristique mais quand même agréable. La plage de Alona n’a rien de sauvage, entourée de restaurants et de bars mais c’est globalement propre et l’eau est turquoise !
On peut visiter Hinagdanan Caves et il faut louer un scooter pour se déplacer pour 300 pesos la journée. `
Sur l’île de Bohol on peut découvrir les fameuses Chocolate Hill. C’est à ce moment là que l’on a fait 3h de scooter sous la pluie… On a eu quelques éclaircies une fois arrivés au sommet et c’est plutôt sympa mais pas de quoi faire 3h de route. C’est pour cela que je pense qu’il faut faire 2 nuits et 2 nuits. Il y a aussi la possibilité de dormir ou de manger sur la rivière qui serpente la montagne.
Puis enfin, on peut apercevoir le plus petit primate au monde, le tarsier. Il y a plusieurs sanctuaires. En rapport avec ce dont je parlais au début, je me suis rendue au Tarsier Sanctuary le plus au sud de l’île. Mais je pense que ce sont tous les mêmes… Les tarsiers, en voie de disparition, sont disposés de part et d’autre du parc de façon à ce que les touristes les observent facilement. Ils sont nourris. Ils vivent en général la nuit et somnolent la journée. D’où le fait que ce soit simple de les observer malgré leur très petite taille. Quasi inertes pendant notre visite, ils peuvent apparemment faire des bonds de 5m de haut la nuit.
Il y a également deux cascades à observer, Camugao Falls et Kawasan Falls. Nous avons aperçu la première et pas trouvé la seconde. Camugao est cool mais je pense qu’il faut descendre en bas pour avoir une plus jolie vue et la fin de journée nous a poussé à poursuivre notre chemin. En arrivant, des personnes peuvent vous demander de payer des fees pour le parking, comme à peu près chaque coin touristique aux Philippines. Ce n’est absolument pas obligatoire. C’est plutôt une forme de mendicité déguisée.
Jour 6 et 7 : Siquijor
Mon coup de cœur aux Philippines. Apparemment boudés par les Philippins car considérée comme l’île de la sorcellerie qui porte malheur, Siquijor semble très appréciée des français. Encore peu touristique, nous avons croisé une dizaine de français sur l’île et peu de touristes étrangers.
C’est un petit paradis sur lequel je serai restée bien plus longtemps. Notre logement au confort sommaire nous offrait quand même luxe d’être les pieds dans l’eau ! C’est ici que j’ai rencontré une Chamane, elle s’appelle Maria et du haut de ses 80 ans passés, elle vous accueille avec plaisir dans sa maison perchée dans les hauteurs de Cantabon. Arrivé sur place, demande Maria, les habitants te conduiront chez elle. Après quelques incantations et un massage à la feuille de banane et une mixture dont elle a le secret, mes maux de dos semblent s’être envolés… Effet placébo ou pas, j’ai bien aimé rencontrer cette vieille dame au milieu de nulle part.
Il ne faut pas repartir de Cantabon sans avoir visiter Cantabon Caves. C’est tellement impressionnant. La visite dure 1h environ et il faut être impérativement accompagné d’un guide. Je ne t’en dis pas plus…
Le coin le plus sympa pour loger c’est sans aucun doute San Juan, ici aussi.
Pour faire du snorkelling, sans aucun doute je te conseille la réserve naturelle sous marine de Tupod Beach, un petit paradis ! Je n’avais pas ma Go Pro ce jour là alors je m’efforce d’en garder précieusement chaque souvenir.
Si t’en as marre de chiller sur la plage de sable blanc tu peux aussi aller faire un tour au Balete Tree, un immense arbre avec un fish spa « naturel ». Plutôt marrant à faire si cela ne te dérange de tremper tes pieds avec tout le monde au pied de l’arbre.
Il y a aussi la cascade de Lugnason, qui est gratuite et d’où tu peux te jeter d’une liane comme à Lagaan Falls mais qui est payant, quelques pesos avec un guide qui t’emmène jusqu’à la cascade. Il ne faisait pas beau ce jour là mais avec le beau temps ce doit être génial de se baigner dans la cascade ou de pique niquer.
Jour 8, 9 et 10 : Moalboal, CEBU
Première galère du voyage pour rejoindre Moalboal depuis Siquijor. Il est 15h et il n’y a pas de bateau disponible depuis le port principal de Larena (SIQUIJOR) ce jour-là en direction de Liloan, (CEBU).
On doit revenir sur nos pas pour prendre un bateau depuis le village même de Siquijor direction Dumaguete sur l’île de Negros Oriental. A Dumaguete, on prend le 3ème tricycle du périple pour le port de Sibulan (NEGROS ORIENTAL) mais toujours pas de ferry à destination de Liloan. Donc on monte un peu plus haut à Tampi pour prendre un ferry direction Bato (CEBU).
Nous arrivons à Bato aux alentours de 22h30. Le prochain bus pour Moalboal est à 1h du matin. Nous prenons un trycicle et c’est 2h30 de route qui nous attendent encore pour rejoindre notre hôtel et au passage un trajet négocié à 2500 pesos contre 150 en bus… Mais quand y a pas le choix et que tu galères depuis plus de 9h alors qu’en temps normal il t’aurait fallu 2h pour le trajet Siquijor – Moalboal, tu lâches l’affaire à un moment donné…
Surtout qu’au final, je n’ai pas vraiment aimé Moalboal. Pour rencontrer du monde c’est sympa car il y a pas mal de touristes et de backpackers mais Siquijor me manque soudainement. C’est ici que l’on peut voir des bancs incroyables de sardines, l’attraction principale. La plage se situe au cœur du village de Basdiot, le cœur touristique de Moalboal.
La plage principale White Beach appartient à un hôtel et c’est payant. C’est sans compter nos talents d’explorateur. Non loin de Kawasan Falls, qui ne vaut pas le détour selon moi car beaucoup trop de monde, sauf si tu veux faire du canyoning apparemment… Il y a la plage de Lambug Beach assez sauvage. Il faut traverser les fermes alentours et ne pas avoir peur de rouler sur des chemins approximatifs mais la plage est sympa. Pour se baigner en revanche c’est moins cool. Mieux vaut venir ici pour le coucher du soleil ou pour pique niquer. Des enfants viendront peut-être vous demander des parking fees, à votre bon cœur encore une fois…
Jour 11, 12 et 13 : Puerto Princesa, PALAWAN
Les choses à faire sont assez éloignées du centre. La plage la plus sympa, Nagtabon, est à plus d’une heure de route et environ 500 pesos l’aller-retour en tricycle. Pour louer un scooter c’est 600 pesos la journée, en louant plusieurs jours on peut descendre à 400 pesos.
L’aéroport au centre de la ville casse selon moi mon petit plaisir de me perdre dans une ville. Il n’ y a pas de quoi se balader réellement et la plage de Pristine Beach (payante) ne vaut vraiment pas le détour ! Il y a cependant quelques restaus sympa mais c’est vraiment pas indispensable de s’arrêter ici d’après mon humble avis.
Se rendre à Puerto Princesa depuis Moalboal :
On prend un bus (150 pesos/pers) depuis Moalboal vers Cebu pour prendre l’avion direction Puerto Princesa, la ville principale de l’île de Palawan. Nous avions prévu de séjourner 3 jours sur place sur les conseils d’une personne rencontrée au Vietnam. Mais après coup ça ne vaut vraiment pas la peine de s’arrêter.
Jour 14 et 15 : Port Barton, PALAWAN
A Port Barton c’est détente et farniente, découverte des îles, chill et apéro sur la plage. Et c’est aux Philippines que j’ai vu les plus beaux coucher de soleil en Asie du Sud.
Voilà un endroit où j’aurai aimé rester une semaine. Bien que touristique, c’est assez calme et l’endroit amène à la détente. 2 rues parallèles, c’est tout ce que représente Port Barton. J’ai adoré le Island Hoping à Port Barton. En petit comité, nous avons rencontré un couple qui deviendra de très bons amis et avec qui nous allons partager nos prochaines galères de voyage…
Se rendre à Port Barton depuis Puerto Princesa :
On peut prendre un bus que seul les locaux prennent apparemment mais nous n’avons pas trouvé comment le prendre puisque tout le monde nous a redirigé vers les vans climatisés. 500 ou 600 pesos pour 3h30 de route environ. Le van était blindé et Sylvio a passé le trajet sur un siège de fortune puisqu’il n’y avait pas de place.
Jour 16 et 17 : El Nido, PALAWAN
Port Barton – El Nido ressemblera fortement au trajet précédent. Il y a même des gens sur le toit, tant le van est blindé !
El Nido c’est clairement l’usine à touristes mais encore une fois c’était plus agréable que l’idée que je m’en étais faite. Oui il y a beaucoup de tricycle, de restaurants et un nombre incommensurable de bateaux touristes. D’ailleurs il est déconseillé de se baigner à la plage principale d’El Nido. De toute façon entre les bateaux et les restaus, la plage doit de faire à peine 1m20 de large. Le coucher de soleil est cependant magnifique. Les autres plages de El Nido sont accessibles en bateau.
J’avais lu qu’il était plus intéressant de loger sur la plage de Corong Corong à l’entrée de la ville de El Nido mais c’est exactement la même chose. La plage est bondée de bateau. Puis tu seras plus loin du centre pour faire des activités donc je ne suis pas forcément d’accord.
Se rendre à El Nido depuis Corong-corong
Pour faire Corong-Corong – El nido c’est environ 15min à pied et 50 pesos en tricycle pour un prix correct (même si tu peux avoir moins) et 100 pesos pour un prix touriste.
La principale activité de El Nido ce sont les fameux Island Hoppig, tour A, B, C et D. Apparemment le A et le C sont les plus sympas. J’ai choisi le Tour A avec le Big Lagoon sur l’application Klook, dont je me sers systématiquement maintenant. 15€ la place au lieu de 20€/personne.
Cependant, depuis peu les autorités ont limité les entrées journalières au Big Lagoon donc à moins d’avoir réservé bien en avance ou de s’arranger avec l’agence de tourisme, pas de Big Lagoon pour nous. Je trouve que vu le monde sur le site chaque jour c’est une bonne idée de limiter les entrées. Il y a pas mal de coraux abimés ou morts à certains endroits dû au tourisme de masse.
Je rappelle que les coraux sont des êtres vivants, tout comme les étoiles de mer et qu’il ne faut pas marcher dessus, les sortir de l’eau ou encore les broyer en faisant du snorkelling.
Jour 18, 19 et 20 : Coron, PALAWAN
C’est à ce moment là que le périple commence à se corser. Arrivé à El Nido aucun ferry de disponibles pour Coron où nous avons booké notre hôtel non remboursable et d’où nous avons notre avion pour la prochaine destination… Sur les quelques compagnies qui font le trajet toutes, ou presque, ont soit disant un problème de bateau. Donc un seul bateau part par jour et les réservations sont complètes. Nous avons rencontré plusieurs personnes qui avaient réservé un mois à l’avance et qui n’arrivait pas à prendre le bateau, sans vous parler de la galère de se faire rembourser…
Bizarrement nous avions booké les vols et les hôtels mais pas les déplacements internes que nous bookions au fur et à mesure. Pour Coron dans les deux cas ça s’envisageait mal…
Comment réserver un ferry de El nido vers Coron
Après notre Island Hoping à El Nido nous avons retrouvé nos amis de Port Barton par le plus grand hasard. Ensemble, nous avons réussi à trouver une agence qui nous a vendu des tickets pour le lendemain et notre traversée en bateau clandestin a débuté ici. 7h de voyage sur un bateau dédié normalement aux Island Hoping à la journée… Je vous raconterai le périple plus tard.
Arrivée à Coron, il s’avère que notre hôtel est à 43km du centre et après 7h de bateau je suis moyennement chaude pour poursuivre le périple. L’hôtel a gentiment accepté de me remboursé. Le seul hic c’est que tous les hôtels à Coron sont pleins ! On finira par partager la chambre de notre couple d’amis… Comme quoi les galères ça rapproche beaucoup plus vite en voyage que dans la vie de tous les jours !
J’ai pu réalisé un de mes rêves, faire de la plongée sous marine au dessus d’une épave. J’en garde un magnifique souvenir. Nous avons plongée avec Whale Scuba Dive Center c’est une agence tenue par des coréens. Les responsables sont très sympathique et le personnel très pédagogue. On a passé un très bon moment. Vous pouvez avoir une réduction si vous êtes plusieurs (3500 au lieu de 3800 à 4).
Nous avons écumé plus de 90% des centres de plongée de la ville. 3 centres ont des instructeurs français dont French Kiss et Corton Divers. Voici ce qui en ressort :
Centre de plongée Tarif/pers (2019) Instructeur français Départ Retour Epave incluse pour débutant Déjeuner inclus French kiss 4500 OUI 12H 16H/17H NON NON Corto Divers 3000 OUI 9H 15H OUI OUI Centre Coréen 3800 NON 8H30 15H30 OUI OUI Centre derrière 4800 NON 9H 15H OUI OUI
Nous n’avons pas fait de Island Hopping sur Coron (à partir de 1200 pesos la journée, comme à Coron). Je pense que l’idéal est de prendre 2 ou 3 jours pour l’Apo Reef. C’est une croisière qui permet de bien profiter et de ne pas être envahi de touristes. Le coût étant hors budget dans notre cas, nous testerons une autre fois !
Nous avons opté pour le kayac à Hot Spring. Nous ne sommes pas rentré dans Hot Spring. Nous avons longé la plage sur la droite en arrivant puis loué notre kayak pour 500 pesos (250 pesos par personne et 50 pesos par personne pour accéder au site, négocié à 0). Cela nous a permis d’aller au point de snorkeling des tours qui terminent leur journée avec ce spot. Puis surtout de découvrir une plage vide de monde à 1h15 de kayak de la plage. Un vrai paradis !
Pour se rendre à Hot Spring nous avons louer un scooter à Coron, 300 pesos pour 8h.
Pour louer un kayak à Hot Spring, une fois arrivée sur le site, il ne faut pas rentrer à Hot Spring mais longer la plage sur la droite pendant bien 10min et demander aux habitants où vous pouvez louer un kayak, ils vous montreront.
Notre budget pour 3 semaines aux Philippines
Nous avons dépensé 1736€ pour 2 adultes en 3 semaines, soit 868€/personne répartis comme suit :
715€ pour les transports
3 vols (Manille – Bohol, Bohol – Palawan, Coron – Manille)
19 tricycles
1 bus
2 vans
4 bateaux
4 scooters
439€ pour les logements dont 9 hôtels soit en moyenne 16€ la nuit à 2.
302€ pour la nourriture, soit en moyenne 7,50€ par jour par personne.
280€ d’activités.
Ce que je n’ai pas aimé aux Philippines
la difficulté parfois pour se déplacer notamment en bateau
difficile de trouver de la bonne nourriture locale, les restaus les mieux notés sont des restaus occidentaux ou coréens ou japonais…
état des routes pour rejoindre les hôtels assez approximatifs parfois
le tourisme de masse et les infrastructures pas adaptées
Ce que j’ai aimé aux Philippines
la gentillesse des philippins bien que parfois le côté américain des tips ressort un peu trop. Ils sont toujours de bonne humeur (dès tôt le matin ils accompagnent le chant du coq par un karaoké endiablé, tous les jours c’était une comédie musicale !)
le sourire des enfants
le temps magnifique tout au long du séjour avec seulement 2 jours de pluie (nous avons séjourné aux Philippines pendant le mois de janvier/février).
La beauté des paysages
Contrairement à ce que l’on dit on se sent en sécurité aux Philippines. Si on évite les endroits dit « à risque » comme le sud de Palawan ou le sud de l’archipel en général tout se passe très bien.
A savoir avant de partir aux Philippines
Les Philippins sont très croyants et ont beaucoup de respect pour la religion. 80% ded philippins sont chrétiens. Ils apportent beaucoup d’importance aux fêtes religieuses et vous pouvez vite vous retrouver dans un étau si vous vous rendez dans les rues pendant l’une de ces fêtes.
Réserves tes hôtels et activités à l’avance, notamment si tu te rends sur des îles touristiques (Palawan, Boracay…).
Le temps d’attente au restaurant est relativement long, donc prévoir en conséquence, même pour le petit déj à l’hôtel.
Aux Philippines, la débrouillardise est de mise et il ne faut surtout pas perdre son calme mais tenter de comprendre les choses et de communiquer.
Parfois on ne porte pas de casque quand on loue un scooter, ça dépend des îles mais tu peux toujours en demander un !
Les chaussures d’eau sont de mise pour toutes sorties en mer ou dans les caves ! Attention aux coraux et aux rochers !
Il n’est pas conseillé de boire l’eau du robinet comme dans pas mal de pays d’
Evites les crèmes solaires nocives pour la vie sous marine.
Prévoies assez de cash sur toi en arrivant. Par exemple, il n’y a pas de distributeur automatique à Port Barton et ceux de El Nido ne fonctionnent pas tout le temps, ce qui créé des queues de plus de 30min parfois.
Les vans maximisent leur trajet et on peut être très serrés jusqu’à 4 personne par rangée au lieu de 3 normalement. Donc si t’es malade en voiture…. Anticipe ! Les routes sont parfois chaotiques bien que beaucoup sont actuellement en travaux.
J’espère que cet article t’auras aidé à préparer ton voyage. Si tu as des questions je serai ravie de les lire en commentaire !
Voyage aux Philippines : budget et itinéraire 3 semaines #philippines #tourdumonde Après un voyage de deux semaines au Cambodge et la découverte du Vietnam, mon voyage aux Philippines…
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Nager avec un requin-baleine aux Philippines
Lorsque j’ai su qu’il était possible de nager avec un requin-baleine aux philippines, j’ai tout de suite ajouté cette activité à notre itinéraire. Nager à côté d’une baleine de 7 mètres, c’est inoubliable! Comment faire pour nager avec un requin-baleine aux Philippines? Je vous dis tout.
Un requin-baleine c’est quoi?
Le requin-baleine ou “Whaleshark” en anglais, est le plus grand poisson du monde et mesure en général de 4 à 14 mètres de long. Il est totalement inoffensif pour l’homme et se nourrit de plancton, de petits poissons, calmars, algues et crustacés.
Brad Norman, un chercheur australien, a prouvé que les requin-baleines avaient leurs propres empreintes digitales.
En effet, les tâches blanches sur leur dos sont propres à chaque animal et permettent de les identifier.
Où nager avec un requin-baleine aux Philippines?
Il existe 2 endroits aux Philippines où nager avec un requin-baleine : Donsol (dans la région de Sorsogon, au nord), et Oslob, sur l’île de Cebu.
Nous logions sur l’île de Cebu, à Moalboal, et avons donc décidé de réserver un tour pour Oslob, avec transfert de notre hôtel.
Nager avec les requin-baleine, une activité controversée?
Les requin-baleines ne sont pas à Oslob par hasard. Il sont attirés par les pêcheurs qui les nourrissent quotidiennement depuis septembre 2011, et cela créé la polémique. Les requin-baleines, issus d’une espèce migratoire, seraient donc devenus sédentaires et dépendants de cette nourriture facilement accessibles.
Cependant il ne faut pas oublier qu’avant de les nourrir, les pêcheurs chassaient le requin-baleine. Et pour cause, ces grosses bêtes détruisaient leurs filets et consommaient leurs poissons.
Aujourd’hui ces mêmes pêcheurs les protègent et, s’ils n’auraient pas trouver une source de profit en les préservant, les requin-baleines auraient sûrement disparus de nos jours.
A Donsol, site géré par le WWF, le Shark-feeding est interdit. L’activité est donc reconnue plus respectueuse. Malheureusement, on peut lire sur plusieurs forums le témoignage de nombreux touristes revenus bredouilles de leur quête du requin-baleine. A noter que la meilleure période pour l’apercevoir serait de novembre à juin.
Comment aller au site d’Oslob pour nager avec les requin-baleine?
Pour ce tour, nous avons fait confiance à l’agence Island Trek Tours. Un chauffeur est donc venus nous chercher directement à notre hôtel.
Cette agence est très sérieuse et arrangeante. Nous devions changer d’hôtel pour dormir à Oslob, mais nous sommes finalement restés à Moalboal et elle a su s’adapter.
Au programme de cette journée:
5:00 – Départ de Moalboal
7:30 – Petit-déjeuner à Oslob
8:00 – Arrivée au spot de requin-baleines
8:30 – Cours de sensibilisation
8:45 à 10:30 – Attente
10:30 – Snorkeling avec les requin-baleines
11:00 – Virée aux Tumalog Falls
Les règles à suivre pour nager avec un requin-baleine
Il y a foule lorsque nous arrivons. Nous sommes plus d’une centaine à vouloir nager avec un requin-baleine. Nous suivons notre guide à la première étape: le cours de sensibilisation.
Cours de sensiblisation
L’organisation sur le site n’est pas des meilleures. Nous nous asseyons face à une dame, micro en mains, qui doit déjà être à la moitié de son argumentation. Notre guide nous dit d’attendre qu’elle recommence son speech, et de l’écouter en entier.
Nous comprenions à peine ce qu’elle disait avec le bruit de la foule.
Voici les principales informations à retenir :
Ne pas s’étaler de crème solaire avant d’aller dans l’eau
Ne pas approcher le requin-baleine à moins de 3 mètres
Ne pas utiliser le flash de son appareil photo
Ne pas toucher le requin baleine
Rester accroché au bateau
Notez que si vous vous êtes mis de la crème solaire le matin, vous pouvez tout simplement prendre une douche, il y en a plusieurs sur le site et elle sont gratuites!
Une fois le petit cours terminé, notre guide nous demande d’attendre. Nous comprenons rapidement que nous ne sommes pas les premiers sur la liste, et que celle-ci est longue!
Le site de nage avec le requin-baleine
C’est seulement plus d’une heure plus tard qu’elle reviendra nous chercher pour nous emmener enfiler nos gilets.
Les gilets, masques et tubas sont fournis, mais l’on vous conseille quand même d’emmener vos propres masques et tubas tant il y a de personnes qui les utilise avant vous.
Vous n’en avez pas? Il est possible d’en acheter sur le site. Et croyez-moi, ils vous serviront plus d’une fois aux Philippines!
Nager avec un requin-baleine, comment ça se passe?
Nos gilets enfilés, notre guide nous dirige vers notre bangka, ce bateau traditionnel philippin.
A bord du bangka
Nous montons avec une petite dizaine de personnes, et en moins de 5 minutes nous voilà à l’eau.
Non, le snorkeling n’est pas sexy
Sans attendre, nous voyons une grosse masse grise s’approcher. Impossible de louper ce géant. Le requin-baleine nous passe rapidement devant.
Malgré nos gilets oranges fluo, la bête nous ignore et continue nonchalamment sa balade en quête de nourriture.
Mais ce n’est pas tout, quelques minutes après un second requin-baleine (ou le même peut-être), défile de nouveau devant nous. J’aperçois cette fois-ci son énorme bouche qui s’ouvre et se referme lentement. S’il le voulait, il ne ferait qu’une bouchée de moi.
Le spectacle dure ainsi 20 minutes. Vingt intenses minutes où mon cœur s’accélère à chaque passage de l’énorme animal.
Malheureusement, il est difficile de tenir la distance de 3 mètres avec les requin-baleines. Ces derniers s’approchent et nous frôlent.
Le comportement de certains touristes est également abusif. Certains n’hésitent pas à s’approcher au plus près pour une photo, ou même à toucher l’animal.
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Nager avec un requin-baleine, combien ça coûte?
Pour le tour complet, nous avons payé 3 900 Pesos philippins (comptez 500 Pesos de moins si vous souhaitez rester dans le bateau et ne pas faire de snorkeling).
Notez bien que ce prix incluait le transfert à notre hôtel qui se situait à environ 1h30 du site.
Je vous invite à consulter tous les tarifs selon votre ville de séjour sur le site de Island Trek Tour : Cliquez-ici.
Que faire d’autre à Oslob?
Dans le tour que nous avions réservé auprès de Island Trek Tours, il était prévu une virée aux Tumalog Falls après le snorkeling avec le requin-baleine.
Virée aux Tumalog Falls
Les Tumalog Falls sont des cascades massives et la virée y est exceptionnelle pour plusieurs raisons.
Premièrement pour se rendre aux cascades, il va falloir embarquer à l’arrière d’une moto. Nous nous arrêtons donc en voiture à l’entrée et notre guide nous donne à chacun un numéro: celui de notre conducteur respectif, avec qui nous ferons l’allée, mais aussi le retour jusqu’aux cascades.
Nous comprenons vite pourquoi ce système de moto-taxi est mis en place ici. La route est abrupte et dangereuse, et je ne pense pas que j’y serai allée seule en scooter. Mais nos conducteurs philippins, avec l’expérience, l’empruntent à toute vitesse. Un bon petit coup d’adrénaline !
Bain de pieds aux Tumalog Falls
Une fois arrivés à l’entrée des cascades, notre guide nous conseille de nous asseoir au bord d’un petit bassin, et d’y plonger nos pieds: ” Small fish on the water” nous dit elle.
Nous ne comprenons pas trop sur le coup, mais nous nous exécutons. Après quelques secondes d’immersion, les “small fish” nous grignotent les pieds. Ces petits poissons ,dont le vrai nom est “Garra Rufa”, se nourrissent de peaux mortex et vous garantissent l’exfoliation!
Miam, de la peau d’orteil!
Cette pratique existe également en France et elle a un nom : La Fish Pédicure!
Julien a trouvé l’expérience plutôt sympa, mais je suis pour ma part trop chatouilleuse et je n’ai pas pu laisser mes pieds immergés plus d’une minute.
Les Tumalog Falls, des cascades massives
Après notre petite Fish Pedicure, nous arrivons enfin face aux cascades. Elles sont énormes, massives, magnifiques! Malheureusement il y a beaucoup trop de touristes.
Les Tumalog Falls à Oslob
Julien devant les cascades Tumalog
Des cascades massives
La photo est floue car c’est Julien qui l’a prise ;p
En Bref
Ce que j’ai le plus apprécié
Le face à face avec le requin-baleine
Ce que j’ai le moins aimé
Le culot d’une touriste pour aller toucher l’animal
Et vous, avez-vous déjà vu des requin-baleines?
Mettez une note à cet article , cela m’encouragera à continuer:
Nager avec un requin-baleine aux Philippines Nager avec un requin-baleine aux Philippines Lorsque j'ai su qu'il était possible de nager avec un requin-baleine aux philippines, j'ai tout de suite ajouté cette activité à notre itinéraire.
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Jours 98 à 101 : de la variété et des microbes
Lundi 4 Décembre 2017 :
Boulot. Réunion hebdomadaire et répétition de notre présentation de staff pour la fête de Noël (danse et chant).
Ce soir je dîne avec ma copine Joyces. On mange des nachos (si je ne me trompe pas), et c’est très bon. Au moment de me quitter, elle m’offre un petit cadeau de Noël (on est le 4 décembre, je n’étais pas prête ! Haha. Je lui ferai un cadeau à mon retour de vacances). Ça me fait très plaisir, elle est trop gentille.
Mardi 5 Décembre 2017 :
Ce matin je vais avec ma manager dans les bureaux d’une autre ONG française de Cebu pour la première réunion d’organisation du Gamefest : une journée que l’on organise avec 3 autres ONG qui s’occupent aussi de jeunes. On réunit tous nos jeunes et on fait une grande journée de jeux dans le parc qui est proche du centre 1.
Après la réunion, nous allons voir nos collègues de la branche « communication » qui sont en ce moment même en train de gérer un événement très important pour PN. On arrive dans une grande salle de conférence avec pleins de gens très bien habillés. On nous offre à manger (c’est très bon!) et les collègues de PN sont bien contents de nous voir. C’est une journée importante pour eux et ils sont assez stressés.
Ensuite on rentre au bureau pour reprendre le boulot. J’apprends que demain je vais partir toute la journée à l’autre bout de l’île pour une « Session d’information ». C’est la première étape de notre processus de sélection des jeunes de la future promotion. On se déplace dans toute la région pour présenter notre action à des écoles, devant des jeunes potentiellement intéressés pour postuler. Ensuite ils auront un examen de capacités et un entretien de motivation. Demain je vais donc aller dans deux écoles différentes avec une collègue philippine de l’équipe finance. Je vais me lever très tôt donc ce soir je me couche tôt, après avoir préparé mon sac.
Mercredi 6 Décembre 2017 :
Réveil à 4h du matin… Petite douche pour bien me réveiller et je saute dans un taxi direction la gare routière du sud de Cebu city. En à peine 20 minutes j’y suis puisqu’il n’y a pas de trafic à cette heure matinale. J’attends ma collègue qui bien sûr est en retard, comme tous les philippins. Ça valait bien le coup de se lever si tôt ! Une demi heure après, elle arrive et on monte dans un bus direction Alegria, au sud de Cebu Island. C’est le même bus qui passe par Moalboal, je connais donc déjà cet itinéraire. J’essaie de me reposer dans le bus (4h de trajet) mais on est secouées dans tous les sens et les fenêtres sont grandes ouvertes donc on se prend plein d’air dans le visage.. pas le trajet le plus agréable de ma vie. Il se met à pleuvoir, on ferme les fenêtres mais tous les gens qui entrent recouvrent le sol de boue.. Heureusement à la fin du voyage le paysage est magnifique et ça compense un peu.
Arrivées sur place, nous sommes reçues par les gens de la première école et bien sûr rien n’est prêt… on doit donc attendre qu’on nous conduise dans la salle, on installe notre ordinateur pour projeter la présentation, il n’y a pas de haut parleurs pour nos vidéos… bref c’est toujours à l’arrache comme ça.. et ça franchement, ça ne va pas me manquer, croyez-moi !
Les élèves sont sympas, la présentation se passe bien malgré tout et quand on termine il est presque midi. On prend une jeep pour se rendre à Badian, la ville où a lieu la session de cet après-midi. On mange dans une petite carenderia puis on se rend à la deuxième école. Là on nous fait attendre encore plus longtemps, on commence en retard et en plus l’installation avec leurs super haut parleurs ne marchant pas, nous n’avons toujours pas de son. C’est donc sans micro une fois de plus qu’on fait notre petit speech. Heureusement les jeunes sont très calmes et attentifs, c’est agréable et pas difficile de leur parler et d’attirer leur attention.
Finalement tout se passe bien malgré le manque d’organisation généralisé. Je suis épuisée parce que j’ai chopé un microbe dans le bus ce matin (ça ne rate pas, à chaque fois que je prends ce bus je tombe malade : c’est le combo clim ou air dans la figure + microbes sans doute). Pourtant je suis une pro maintenant et j’avais tout prévu : une paire de chaussettes, une écharpe, un pull… ça n’a pas suffit. Je ne fais que me moucher et en plus mon sac est vraiment lourd (nous devons apporter pas mal de paperasse à distribuer aux jeunes à chaque fois). Après un petit tour rapide dans la ville (je passe notamment à la pharmacie acheter un complexe de vitamines et des mouchoirs) je finis par monter dans un bus (climatisé, tant pis) pour Cebu. Je me couvre mais je fini quand même par demander au chauffeur de réduire la clim parce qu’il fait trop froid. Arrivée à la gare routière je saute cette fois-ci dans une jeep et vers 22 h me voilà de retour à l’appart. Petite cure d’huiles essentielles illico presto. Je prends quand même un genre de « doliprane » local pour calmer la petite fièvre qui pointe son nez. Je grignote un bout, petite douche, déballage du sac et au lit !
Quelle journée !
Jeudi 7 Décembre 2017 :
Réveil un peu brumeux, la fièvre est bien présente aujourd’hui. J’ai l’impression que c’est pire qu’hier. Je prends un peu le temps de me reposer et je descends bosser dans la salle du Centre 2, pas l’énergie de marcher jusqu’au centre 1 ce matin et de toute façon ma manager n’est pas là aujourd’hui donc que je bosse ici ou là bas ça ne change rien. Le souci c’est que la connexion est assez lente ici.. J’en profite pour vous raconter un peu tout ça.
Et vous comment ça va?
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SpiceJet lance le Q400 de 90 places
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/Z8WNTRIkJkg/2017-10-02-spicejet-lance-le-q400-de-90-places-5188479.html La compagnie aérienne low cost SpiceJet a finalisé une commande ferme de 25 Bombardier Q400, avec droits d’achats pour 25 exemplaires supplémentaires, devenant compagnie de lancement de la version densifiée pour 90 passagers. L’avionneur canadien a annoncé le 29 septembre 2017 « la plus importante commande individuelle de turrbopropulseurs Q400 » de son histoire par la spécialiste indienne du vol pas cher, confirmant la lettre d’intention signée le 20 juin lors du Salon du Bourget. La valeur de la commande s’élève à 1,7 milliard de dollars au prix catalogue options comprises, et permet au programme Q400 d’atteindre les 610 commandes fermes. Au moment de la livraison, SpiceJet deviendra « la première compagnie au monde à exploiter un turbopropulseur de 90 places, sous réserve de la certification par les organismes de règlementation ». « Nous sommes très fiers de conclure cette entente avec SpiceJet, qui démontre une fois de plus la très grande polyvalence de l’avion Q400. Cette commande renouvelée permettra non seulement d’accroître la flotte d’avions Q400 sur le marché régional de l’Inde et dans la région Asie-Pacifique, où la croissance est rapide, mais aussi de lancer le nouveau modèle haute densité à 90 passagers, » a déclaré dans un communiqué Fred Cromer, président Bombardier Avions commerciaux. « Cette commande confirme les besoins de capacité accrue des transporteurs aériens pour les itinéraires régionaux où la demande des passagers est forte, et démontre le potentiel de rentabilité accru qu’offre cette configuration unique du turbopropulseur. » « Je suis enthousiaste de confirmer la toute dernière commande de SpiceJet qui s’élève à 50 avions Q400, (qui) nous permettra d’accroître encore plus la connectivité avec les villes plus petites et nous aidera à réaliser la vision du Premier ministre de l’Inde, Narendra Modi qui vise à assurer que chaque citoyen indien puisse voyager en avion », a déclaré de son côté Ajay Singh, PDG de SpiceJet. « SpiceJet exploite la plus grande flotte d’avions régionaux en Inde et a toujours cru à l’histoire de croissance des villes et villages de l’Inde. Nous avons travaillé fort au fil des ans afin de mettre ces petites villes sur la carte de l’aviation du pays et nous aspirons à continuer sur cette lancée à l’avenir ». « Aujourd’hui, Bombardier offre le plus grand turbopropulseur sur le marché et SpiceJet sera le premier transporteur aérien à tirer parti des activités rentables et efficaces découlant de l’utilisation de l’avion Q400 haute densité, d’une capacité de 90 passagers », a souligné François Cognard, vice-président, Ventes, Asie du Sud et Australasie, qui explique avoir été témoin « d’une augmentation du nombre de passagers par départ sur le marché des turbopropulseurs, particulièrement en Inde ». Les Q400 les plus denses actuellement comptent 86 sièges, et sont utilisés par Philippine Airlines et par la low cost Nok Air en Thaïlande. SpiceJet avait mis en service ses premiers Q400 en 2011 ; elle en exploite aujourd’hui 20, tous configurés pour accueillir 78 passagers. Cette expansion de la flotte permettra à SpiceJet « de croître de façon rentable et de tirer parti de la forte demande prévue du marché régional de l’aviation qui connaît la croissance la plus rapide dans le monde », conclut Bombardier. La low cost effectue en moyenne 380 vols quotidiens vers 50 destinations, y compris 43 destinations au pays et 7 destinations internationales. Elle opère aussi 35 Boeing 737NG, et a commandé 135 737 MAX 8 et vingt MAX 10.
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Explore the perfect Itinéraire Philippines with this guide, covering everything from Manila’s historic streets to the stunning beauty of Palawan and Boracay’s relaxing beaches. Get ready for a diverse adventure!
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Viens avec nous dans la cordillère !
Le week-end du 17 au 21 février, le groupe s’est séparé en deux. Poxx et Ulysse nous racontent leur voyage avec Louis dans la cordillère !
Chap 1 : Le départ
Sac à dos : check. Chaussures : check. Pantalon : c’est bon je ne l’ai pas perdu hier soir. Météo : Hmm, il fallait bien que quelque chose aille de travers : ils annoncent toujours des orages pour notre séjour dans la cordillère centrale des Philippines. C’est peut-être pour ça que seules 3 chèvres sur 12 se permettent de prendre le risque d’y partir. Tu as raison Perceval, il y a les serpents pour Indiana Jones, et la pluie pour les 9 autres.
Il est 20h, on arrive à la gare. On remercie honnêtement notre taxi et avançons vers le bureau d’information pour trouver notre bus pour Bontoc ! « Il n’y en a pas. » me communique chaleureusement la dame au bureau d’information. « C’est la mauvaise gare. » me rassure-t-elle en me fournissant la bonne adresse. Notre bus part dans 30 minutes, les gars, on se bouge ! On prend le premier taxi pour parvenir à la gare, aux allures peu rassurantes, accueillis par notre beau car climatisé.
Chap 2 : Un voyage incertain
Et c’est parti pour 3 jours dans les montagnes ! Au programme : de l’improvisation sous les averses annoncées par nos smartphones ! Ça ne fait pas rêver, mais la perspective d’aventure saura galvaniser notre troupe.
C’est secoué dans tous les sens dans mon siège, que d’autres sentiments plus négatifs viennent envahir mon esprit. Heureusement, le chauffeur décide de s’arrêter. Sommes-nous arrivés, ou simplement une envie pressante ?
Ah non, un glissement de terrain. En descendant du véhicule, on peut observer beaucoup de terre et un gros rocher en plein milieu de la route. Décidément, les éléments se liguent contre nous ! Mais c’est à la force de nos bras que nous parvenons à dégager le chemin et repartir vers notre objectif ! En plus, le jour se lève et la pluie s’est calmée.
C’est finalement après quelques virages, des débris rocheux sur les routes escarpées, et 2-3 moments peu rassurant, que la brume se dégage soudainement pour laisser place à un nouveau paysage, magnifique, peuplé de pins, de rizières et de palmiers, et dévoilant en son centre la belle ville de Bontoc. Il ne pleut plus, notre voyage se peint d’une nouvelle couleur.
Chap 3 : Bontoc
Saviez-vous que Bontoc signifiait « montagne » en Tagalog (dialecte local) ? Ahhh ! Et bien qu’il est bon d’enfin respirer son air frais en ce dimanche, jour du seigneur, jour du repos, jour où l’office du tourisme est fermée… Un détail passé à la trappe lors de la réservation des billets, mais hors de question de perdre une journée. On fonce vers les habitants les plus proches en quête d’un guide ! Après 2 ou 3 redirections, nous entrons dans le Pine’s Hotel, où nous sommes gentiment accueillis par la gérante de l’office. Compatissante de notre problème, elle contacte immédiatement un ami guide, et voit s’il peut passer afin de nous aider. Et c’est ainsi que s’ensuivit notre rencontre avec Kinad.
Chap 4 : Kinad
Kinad, c’est un local qui, lors de sa jeunesse, a étudié à Manille l’allemand, le français et a pu y perfectionner son anglais.
Amoureux de ses montagnes et des randonnées, on lui confirme partager ses mêmes passions. Il nous concocte alors un bon itinéraire pour notre séjour, nous informe des prix des guides de la région, nous donne des conseils, des bons hôtels… Malheureusement, il est indisponible aujourd’hui puisqu’il doit emmener un groupe de vieux français voir les rizières à 11h.
Mais Kinad se promène toutefois avec un défaut : l’impatience. Défaut qui révolutionnera notre journée. Au diable les vieux ! « Pas de temps à perdre, posez vos sacs à dos, on part pour une randonnée Mainit-Maligcong », nous lance-t-il après négociation. On a qu’un seul mot à dire : « Chaud ! ».
Chap 5 : Hiking
Mainit ! Mainit ! (C’est chaud ! C’est chaud !) Ce village tient également son nom du Tagalog. Ce n’est pas pour rien puisque différentes sources chaudes sont propulsées du sol à plusieurs endroits du domaine. Les habitants s’en servent pour prendre des bains chauds.
Bref, notre planning est serré ! On enchaine donc avec l’escalade de la montagne au travers des rizières en terrasses pour rejoindre Maligcong. La balade se déroule plutôt bien jusqu’au sommet : nous savourons les petites anecdotes culturelles de notre guide, l’effort imposé par les marches glissantes pour grimper dans les rizières, mais surtout la magnifique vue qui s’offre peu à peu à nous au fur et à mesure de l’ascension.
Une fois au sommet, une petite pause pipi, un peu d’eau, et c’est reparti ! Nous pénètrons alors dans la jungle dense en haut de ce mont… La faune y est composée de chats sauvages, de cochons sauvages, de cerfs, et de pythons. Fort heureusement, la seule chose incroyable qu’on a pu observé se trouve à la sortie de cette forêt : Les rizières en terrasses de Maligcong, considérées comme la huitième merveille du monde…
Plus de 700 rizières, dans lesquelles nous avons marché toute la fin d’après-midi avant de rentrer en ville pour prendre juste à temps la dernière Jeepney pour Sagada.
Chap 6 : Sagada
C’est une ville touristique très jolie, bourrée de guides, et au paysage incroyable. C’est avec cette pensée que je sors de ma chambre sur la terrasse de l’hôtel, avec la vue que je vous partage ci-dessous.
Yes ! Il fait beau ! Ca va être le feu !
On prend un petit déjeuner, on fonce a l’office du tourisme et on part pour les chutes de Bomod’Ok !
Notre guide, âgée de 54 ans, nous y emmène par une petite balade au travers de villages et de rizières, au creux de la vallée.
Le bruit de l’eau qui coule, l’air qui devient humide, je crois qu’on arrive à la cascade ! Ah… Pas si impressionnant en faite… Et il n’y a pas de spot pour sauter. C’est un peu décevant, mais on en profite pour se rafraichir avant de repartir !
Petit casse-croute ce midi, avant de partir découvrir le cimetière des fameux cercueils suspendus ! Comment ça on doit payer un guide pour 2km de chemin ? Argument : Vous pourriez vous perdre. (HAHAHA) Bon très bien on a compris, on paie !
Cette tradition d’enterrement est assez intriguante, et très intéressante ! Mais c’est dommage que le tourisme ait tué cette coutume, même si certains continuent à se faire « enterrer » dans (ou sur) la falaise.
On décide ensuite de continuer notre après-midi sur une petite visite des grottes de Sagada.
On chope un guide à l’entrée des grottes, et entamons la descente… Wow ! Mais ça glisse ! Et c’est super grand ! Rien avoir avec les grottes en France. Des chauves-souris, de l’eau jusqu’aux genoux, un petit peu d’escalade, le tout sous la lanterne de notre guide. Heureusement que beaucoup de touristes visitent également la grotte, il y a plus de lumières ! En tout cas, même sans casque, c’était incroyable ! On ne s’attendait pas à ce que ce soit si… physique.
On sort de la grotte, il pleut, on grimpe dans une jeepney qui nous ramène à l’hôtel, un bon petit repas, une bonne douche, et on part se coucher, parés pour notre dernière expédition au sein du peuple réputé pour ses tatouages, et son café…
Poxx
A la recherche de Buscalan
Réveil aux aurores à Sagada ce mardi matin, pour attraper le premier Jeepney en direction de Bontoc, où notre guide nous attend. Aujourd’hui, nous devons quitter la province des Montagnes pour nous rendre dans sa voisine Kalinga, et plus particulièrement dans le village reculé de Buscalan. Après un petit café, nous grimpons dans la jeep et reprenons la route. Brinquebalés à travers les montagnes, nous observons les montagnes encore plongées dans la brume matinale, le soleil se levant à peine. Quelques nuages couvrent le ciel, mais, heureusement, aucune pluie ne vient rendre la route encore plus glissante que ce qu’elle n’est déjà, ni ne vient embourber les passages rendus terreux par les glissements de terrain.
Nous sommes accueillis par notre guide Kinad à Bontoc, qui nous montre un petit restaurant vraiment bon marché pour y prendre un bon petit-déjeuner (notre seul vrai repas de la journée de prévu), puis nous allons acheter quelques bricoles pour les habitants du village où nous nous rendons : bonbons pour les enfants et allumettes pour les adultes. Un guide local nous accompagnera : nommé Michael, il a une certaine allure. Petit bouc au menton, bandana sur la tête, grosses chaussures de rando et pantalon ample, mâchant du moma en permanence, ce qui lui rend les dents rouges, il a tout du parfait habitué de ces montagnes. Les présentations faites, nous embarquons dans un van ayant déjà pas mal vécu, puis entamons la grosse heure de route qui nous sépare de la province de Kalinga.
Surplombant les vallées, nous avons rapidement. Les paysages grandioses s’offrent à nous : rizières en terrasse, montagnes recouvertes de jungles, rivières tumultueuses, villages apparemment inaccessibles… De lourds jeepneys aux toits chargés de personnes et de bagages empruntent également cette route, qui est vraisemblablement la grosse artère reliant les deux provinces. Quelques travaux nous ralentissent, travaux entrepris pour réparer les dégâts des précédentes tempêtes et glissements de terrain. Nous finissons néanmoins par nous engager sur un chemin montant dans les montagnes, avant d’en atteindre le bout. Nous nous sommes engagés dans une autre vallée : sur le versant opposé, nous pouvons apercevoir plusieurs petits villages, apparemment inaccessibles : est-ce là où nous nous rendons ? Eh bien oui, mais il va nous falloir continuer notre périple à pied. La route est encore en construction, aussi devons-nous emprunter un petit chemin à travers la forêt.
Nous descendons au fond de la vallée en suivant ce sentier, passant au milieu d’une forêt dense et de pentes abruptes. Le sol est humide et glissant : notre guide a le pas assuré, mais nous peinons parfois à suivre son rythme. Une fois traversé la rivière qui gronde et creuse cette vallée, nous entamons la montée. Quelques rizières en terrasses se trouvent sur notre chemin, et nous pouvons en apercevoir d’autres un peu plus loin. Nous croisons quelques autres touristes sur la montée, ainsi que quelques villageois, avant d’arriver à l’entrée du village de Buscalan.
Ce village, bien que reculé et relativement difficile d’accès, n’est cependant pas totalement isolé du monde et des touristes : il est en effet renommé pour ses tatouages tribaux, qui attirent chaque jour une poignée de visiteurs. Ces tatouages sont réalisés avec de l’encre de charbon et des aiguilles de pamplemousse. Les différents motifs ont leurs propres significations : notre guide arborait ainsi sur ses bras les tatouages de sa fonction.
Mais les villages de Kalinga, et en particulier celui de Buscalan, sont également connus pour d’autres choses : ce sont en effet des producteurs de café, qu’ils servent noirs (avec un peu de sucre néanmoins, nous restons aux Philippines), ce qui nous change agréablement des cafés à la crème que nous trouvons partout ailleurs.
Buscalan est également réputée pour ses machettes : de nombreux forgerons en fabriquent, à partir d’acier de voitures cassées qu’ils recyclent. Cela donne des lames brutes, peu esthétiques, mais particulièrement efficaces et utiles pour les déplacements dans ces forêts denses des montagnes de la Cordillère. Certaines sont cependant décorées, pour être vendues aux quelques touristes de passage, avec quelques talismans à base d’os de serpent, censés protéger des éclairs.
Dans le village, nous croisons des villageois arborant des tatouages, des cochons, des poulets, quelques touristes, des maisons en tôle, des maisons traditionnelles en bois, surélevées pour offrir moins d’accroche au vent, etc… Parfois, un cochon est puni et a la tête enfermée dans un cadre de bois : peut-être a-t-il mangé un poulet ? Nous déambulons dans le village, notre guide nous présentant à diverses personnes, distribuant bonbons et boites d’allumette. Des femmes repiquent le riz dans les rizières proches du village, dominant toute la vallée, face à un paysage splendide. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi ces villages n’ont jamais été envahis par les Américains ou les Espagnols, et pourquoi le gouvernement local leur laisse autant d’autonomie (notamment en matière de législation contre la drogue, la marijuana y étant légale, produite et consommée depuis des générations).
Malheureusement, pressés par le temps (nous devons attraper notre bus de retour pour Manille l’après-midi même), nous devons repartir et reprendre notre chemin. Nous réempruntons en sens inverse le sentier qui nous ramène à notre van. Comme pour l’aller, il nous faut une petite heure de marche dans la moiteur du début d’après-midi pour rejoindre notre véhicule, où nous embarquons deux autres touristes (un espagnol et une polonaise) avec leur guide. La route en sens inverse est toujours aussi bluffante, mais quelques gouttes viennent nous accueillir à notre arrivée à Bontoc.
Arrivés un peu en avance, nous pouvons prendre un deuxième vrai repas de la journée avant d’embarquer. Et là, nous retrouvons à peu près toutes les personnes que nous avons croisées pendant notre séjour dans ces montagnes : il n’y a presque que des têtes familières dans ce bus ! Une bonne ambiance s’installe donc alors que nous prenons la route, direction Manille.
Après presque dix heures de route, parsemées de pauses et d’accélérations à contre-sens pour doubler des files de camions dans des virages, le bus nous dépose à la sortie d’autoroute de Bocaue, la ville où nous logeons, sur les coups d’une heure du matin environ. Fatigués par ce voyage chargé, nous attendons, sous la lumière des quelques lampadaires, à proximité du péage de sortie, le tricycle qui doit nous ramener au village d’Ark of Noah…
Ulysse
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Ultimate Travel Guide: The Perfect Itinéraire for the Philippines Adventure
The Philippines is a paradise made up of over 7,000 islands, each offering unique experiences, stunning landscapes, and vibrant cultures. From bustling cities to serene beaches, towering mountains to lush jungles, it’s no wonder the Philippines has become a top destination for travelers worldwide. Planning the perfect itinerary can be a challenge, but fear not! We’ve crafted an ideal itinéraire for the Philippines that highlights the best of this archipelago. Whether you’re an adventure seeker, a beach bum, or a culture enthusiast, this guide will lead you through the must-visit spots, including the magical island of Siquijor.
Start with Manila: The Heartbeat of the Philippines
Your journey through the Philippines will likely begin in Manila, the capital and a melting pot of cultures, history, and modernity. While some may see Manila as just a stopover, it is well worth a couple of days to explore its dynamic blend of old and new. Start your visit with a trip to Intramuros, the historic walled city where you can learn about the country’s colonial past. Wander through the cobblestone streets, visit the grand San Agustin Church, and take a moment to admire Fort Santiago.
After immersing yourself in history, dive into Manila’s vibrant food scene. From street food stalls selling ‘balut’ (fertilized duck egg) to modern fusion restaurants, the capital offers a culinary experience like no other. To get a feel of Manila’s modern side, head over to Bonifacio Global City (BGC) or Makati, where you can shop, dine, and experience the city’s lively nightlife. Manila is the perfect introduction to your itinéraire Philippines.
Bask in Paradise: Palawan’s Pristine Islands
No itinéraire for the Philippines would be complete without visiting Palawan, often regarded as the most beautiful island in the world. Begin your adventure in Puerto Princesa, where you can explore the famous Underground River, a UNESCO World Heritage Site. This natural wonder will leave you speechless as you glide through a network of caves adorned with impressive stalactites and stalagmites.
From Puerto Princesa, make your way to El Nido, a beach lover’s haven. Here, you can hop on a boat tour to explore El Nido’s secret lagoons, hidden beaches, and limestone cliffs. Each stop on the tour feels like stepping into a postcard. For those seeking more adventure, head to Coron, famous for its shipwreck diving sites. Whether you prefer snorkeling, diving, or simply relaxing on the beach, Palawan offers it all. This section of your itinéraire Philippines will undoubtedly be one of the highlights of your trip.
Discover the Mystical Charm of Siquijor Island
Next on your itinerary should be the enchanting island of Siquijor, known for its mystical aura and serene landscapes. Often referred to as the “Island of Fire,” Siquijor has a reputation for being a place of magic, with stories of witchcraft and healing rituals adding to its mystique. However, it’s the island’s natural beauty that truly captivates visitors. Siquijor is a haven for those looking to escape the crowds and immerse themselves in tranquility.
Start your Siquijor adventure with a visit to Cambugahay Falls, where you can swing from a rope and plunge into the refreshing turquoise waters. Another must-see is the century-old Balete Tree, surrounded by fish ponds where you can dip your feet and get a unique fish spa experience. Take a leisurely drive around the island’s scenic coastal roads, stopping by quaint villages, pristine beaches, and hidden coves. The peaceful vibe and friendly locals will make Siquijor feel like your very own slice of paradise. This magical destination is an essential part of your itinéraire Philippines Siquijor.
Explore the Adventure Capital: Cebu
After your serene escape in Siquijor, it’s time to head to Cebu, known as the adventure capital of the Philippines. Cebu offers a little bit of everything, from historical landmarks and bustling cities to white-sand beaches and thrilling adventures. Start your Cebu exploration in the city by visiting the iconic Magellan’s Cross and the Basilica del Santo Niño, which hold significant historical value.
For adventure enthusiasts, the town of Moalboal is a must-visit. Snorkel with millions of sardines in the famous Sardine Run, or swim with gentle sea turtles at Turtle Bay. Just a short distance away, thrill-seekers can embark on a canyoneering adventure in Badian, where you’ll jump off cliffs, slide down waterfalls, and navigate through a canyon that leads to the breathtaking Kawasan Falls. Cebu is a playground for those who love the outdoors, and it adds an exciting dimension to your itinéraire Philippines.
End Your Journey in Bohol: Nature’s Playground
Conclude your Philippines journey in Bohol, an island that showcases the country’s natural wonders and rich culture. One of the main attractions here is the famous Chocolate Hills, a series of over 1,200 uniquely shaped hills that turn brown during the dry season, resembling chocolate mounds. Make sure to visit the Tarsier Sanctuary, where you can see the world’s smallest primates up close. These tiny, wide-eyed creatures are a delight to watch as they cling to tree branches.
Bohol also offers stunning beaches, particularly on Panglao Island, where you can relax and unwind after days of adventure. Explore the coral reefs through a diving or snorkeling trip, or simply watch the sunset from Alona Beach. To wrap up your itinéraire Philippines, take a leisurely river cruise along the Loboc River, enjoying local music and traditional Filipino dishes as you drift through the lush, green scenery. It’s the perfect way to reflect on your unforgettable adventure in this tropical paradise.
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