#Ingénieur Intégration Continue
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learnthingsfr · 10 months ago
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cdicdd · 7 years ago
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Ingénieur Intégration Continue
Eurafric Information recrute un(e) Ingénieur Intégration Continue
Vous aurez comme mission:
Accompagnement et formation des équipes de dév sur l’utilisation de la plateforme d’IC.
Administration de l’environnement tech de la plateforme (SVN, Husdon, Nexus Sonar)
Migration des projets java vers la nouvelle plateforme d’IC et des codes sources vers la nouvelle plateforme
Maintenir un dépôt unique…
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metroactu · 2 years ago
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Mouhamed Ben Diop candidat à l’élection présidentielle 2024 est un sénégalais de 46 ans, un père de famille. A rappeler qu’à l’âge de 23 ans, Mouhamed a commencé à épouser l’entreprenariat et leadership dans une agence de communication SIW à Dakar en tant que directeur. Rempli d’un parcours riche au niveau national et international , un expert reconnu par la banque mondiale L’Énigme Mouhamed Ben Diop, grande par la taille, grande par des idées ce qui fait de lui un consultant international en administration des systèmes informatiques. Par sa puissance réflexive, Mouhamed est devenu un ingénieur financier, titulaire d’un double MBA en Management Risk et Control de l’université de Paris Dauphine. Revenant au Sénégal, l’énigme Ben Diop par sa puissance décisive est devenue DESS en Ingénierie Financière au Sénégal. Poursuivant son aventure, sous l’ombre de la lumière, Mouhamed a décroché une maîtrise en Audit Financier et comptable de l’Ecole Internationale des Affaires de Dakar, d’un Certificat Training for Training for Traineers for Supporting SME s de la JICA avec TAMAQAWA University au Japon. POSTE OCCUPÉ PAR MOUHAMED AU SÉNÉGAL Parler de Mouhamed, c’est parler d’une idole pour la jeunesse, une coqueluche de luxe. Un homme qui vous fait voyager sans bouger, dans un beau bateau sans se noyer. Un auteur de la pensée en devenant directeur Administratif et Financier du SOMAG/ SOPROKA. ET comme dans la vie, il n’y a pas de plus important que la santé qui est une richesse, Mouhamed par sa curiosité et sa détermination veut gouter au plaisir de la santé et de rehausser la recherche sur la médecine devient Directeur Financier de l’Ecole de Médecine privée Saint Christopher Iba Mar DIOP (université Elhadji Ibrahima Niass). Suivant son parcours, Elite émérite de mérite, continue d’écrire son nom dans l’histoire du Sénégal en devenant responsable Administratif et Financier du Groupe MATFORCE /AIBD AU CŒUR DU VOYAGE DE L’AVENTURE MOUHAMED AU NIVEAU INTERNATIONAL Avancer pour devancer reste un slogan pour les grands hommes qui veulent écrire leurs noms dans l’histoire et Mohamed en est un. Ce dernier, a été à Business Development Manager puis Risk Manager pour le marché France chez IVECO France. Courir pour découvrir fait de Mouhamed un directeur général de TVI- Used Truck en France, Belgique, Pays Bas. Comme la communication reste l’arme la plus puissante et la plus séduisante, le candidat de l’élection présidentielle Ben Diop a côtoyé un groupe de Presse en tant que directeur Financier. A rappeler que, Ben Diop a été directeur de projet Intégration chez Franfinance Groupe Société Générale et Directeur de Projet SI fusion acquisition chez Natixis Lease en France Pour finir, comme tout travail bien acharné récolte de bon fruit, Mouhamed Ben Diop a été décoré par le 5 th règlement des forces spéciales de la Thaïlande
Mouhamed Ben Diop candidat à l’élection présidentielle 2024 est un sénégalais de 46 ans, un père de famille. A rappeler qu’à l’âge de 23 ans, Mouhamed a commencé à épouser l’entreprenariat et leadership dans une agence de communication SIW à Dakar en tant que directeur. Rempli d’un parcours riche au niveau national et international , un expert reconnu par la banque mondiale L’Énigme Mouhamed Ben Diop, grande par la taille, grande par des idées ce qui fait de lui un consultant international en administration des systèmes informatiques. Par sa puissance réflexive, Mouhamed est devenu un ingénieur financier, titulaire d’un double MBA en Management Risk et Control de l’université de Paris Dauphine. Revenant au Sénégal, l’énigme Ben Diop par sa puissance décisive est devenue DESS en Ingénierie Financière au Sénégal. Poursuivant son aventure, sous l’ombre de la lumière, Mouhamed a décroché une maîtrise en Audit Financier et comptable de l’Ecole Internationale des Affaires de Dakar, d’un Certificat Training for Training for Traineers for Supporting SME s de la JICA avec TAMAQAWA University au Japon. POSTE OCCUPÉ PAR MOUHAMED AU SÉNÉGAL Parler de Mouhamed, c’est parler d’une idole pour la jeunesse, une coqueluche de luxe. Un homme qui vous fait voyager sans bouger, dans un beau bateau sans se noyer. Un auteur de la pensée en devenant directeur Administratif et Financier du SOMAG/ SOPROKA. ET comme dans la vie, il n’y a pas de plus important que la santé qui est une richesse, Mouhamed par sa curiosité et sa détermination veut gouter au plaisir de la santé et de rehausser la recherche sur la médecine devient Directeur Financier de l’Ecole de Médecine privée Saint Christopher Iba Mar DIOP (université Elhadji Ibrahima Niass). Suivant son parcours, Elite émérite de mérite, continue d’écrire son nom dans l’histoire du Sénégal en devenant responsable Administratif et Financier du Groupe MATFORCE /AIBD AU CŒUR DU VOYAGE DE L’AVENTURE MOUHAMED AU NIVEAU INTERNATIONAL Avancer pour devancer reste un slogan pour les grands hommes qui veulent écrire leurs noms dans l’histoire et Mohamed en est un. Ce dernier, a été à Business Development Manager puis Risk Manager pour le marché France chez IVECO France. Courir pour découvrir fait de Mouhamed un directeur général de TVI- Used Truck en France, Belgique, Pays Bas. Comme la communication reste l’arme la plus puissante et la plus séduisante, le candidat de l’élection présidentielle Ben Diop a côtoyé un groupe de Presse en tant que directeur Financier. A rappeler que, Ben Diop a été directeur de projet Intégration chez Franfinance Groupe Société Générale et Directeur de Projet SI fusion acquisition chez Natixis Lease en France Pour finir, comme tout travail bien acharné récolte de bon fruit, Mouhamed Ben Diop a été décoré par le 5 th règlement des forces spéciales de la Thaïlande
Mouhamed Ben Diop candidat à l’élection présidentielle 2024 est un sénégalais de 46 ans, un père de famille. Rempli d’un parcours riche au niveau national et international , un expert reconnu par la banque mondiale L’Énigme Mouhamed Ben Diop, grande par la taille, grande par des idées ce qui fait de lui un consultant international en administration des systèmes informatiques. Par sa puissance…
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ambipolis · 4 years ago
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Mercredi 5 août 2020
Ce que Malika Sorel a écrit en 2015
Ancien ingénieur d'affaires et de recrutement de cadres de PME, aujourd'hui membre du Haut Conseil à l'intégration, Malika Sorel a passé ses dix premières années en France, avant de suivre ses parents en Algérie où elle suit sa scolarité. Après avoir terminé l'école polytechnique d'Alger, elle revient en France, où elle suit le troisième cycle de Sciences po. En 2007, elle publie : le Puzzle de l'intégration et les Pièces qui vous manquent (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l'immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de façon sectorielle, qu'il faut cesser d'octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes, psychologiquement et moralement, à l'assumer, et s'appliquer, en revanche, à faire respecter la loi française par tous, sans exception.
FB *
Pourquoi avez-vous écrit ce livre ? Les émeutes de 2005 m'ont poussée à écrire ce livre parce que je me sentais responsable de n'avoir, alors, rien dit. Moralement, mais aussi sur le plan affectif, je ne supportais plus cette injustice vis-à-vis du peuple français : les Français sont bâillonnés, et quand ils osent s'exprimer, on leur fait un procès en racisme ou en xénophobie alors qu'ils veulent simplement préserver leur identité. Mes origines me permettaient peut-être, de dire que la véritable victime de l'immigration est le peuple français.
Vous parlez beaucoup du rôle délétère de la «repentance». 
Non seulement pour les Français, mais pour les immigrés eux-mêmes. Le rôle des élites françaises a toujours été déterminant dans l'instrumentalisation de l'histoire. La décolonisation a traumatisé tout le monde, soit ! Mais il devrait tout de même être possible, cinquante ans après des drames partagés, de traiter sereinement du passé, avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son histoire en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation-victimisation. Or, c'est malheureusement ce qui se passe. Le discours dominant ne parle que des « horreurs » de la colonisation, et plus personne n'écoute le peuple français, qui est pourtant le plus légitime pour parler objectivement des problèmes engendrés par l'immigration. De surcroît, transformer les Français de souche en bourreaux, n'a fait qu'injecter le poison de la haine dans le cœur des enfants issus de l'immigration. La France s'autodétruit sans rendre service aux immigrés, puisqu'on attribue leurs erreurs, ou encore leur manque d'investissement, à la société. Une excuse facile qu'ils reprennent pour ne pas assumer leurs responsabilités. A partir du moment où l'on enferme des gens dans le rôle de victimes, on leur envoie le signal que tout leur est dû. Or, cela n'est pas vrai. La France fait beaucoup pour les immigrés et leurs descendants, et ceux-ci ont encore énormément à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne, en particulier les Maghrébins et les Africains dont la culture reste très éloignée de celle de leur pays d'accueil. Il fallait d'emblée être ferme et affirmer que nos valeurs fondamentales ne changeraient pas. On a fait l'inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu'ils développent de moins en moins d'efforts pour respecter les normes collectives françaises. Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s'adapter à eux. Il faut aussi dire aux populations d'origine étrangère tout ce que l'Etat fait pour elles. L'argent qui est injecté dans tous les domaines : c'est ainsi qu'on aidera les enfants de l'immigration à se construire le socle de reconnaissance sans lequel rien d'harmonieux ne sera jamais possible. Ce n'est pas en se flagellant qu'on fera aimer la France aux enfants et aux adolescents des banlieues. Bien au contraire. Notre comportement relève parfois de la psychiatrie !
Pourquoi l'idée de « discrimination positive » est-elle dangereuse à vos yeux ?
Parce que c'est une escroquerie. L'intégration n'est pas un ascenseur automatique, mais un parcours semé d'obstacles ! L'idée que l'on puisse progresser dans la société de manière passive est absurde. C'est un engagement sur plusieurs générations, la famille entière doit s'engager autour du projet éducatif. Aujourd'hui, beaucoup d'élèves ne font plus rien. Il faut arrêter de les bercer de mensonges ! Pour réussir, il faut se prendre en main. Et puis la « discrimination positive » est injurieuse pour les immigrés eux-mêmes : on part du principe que les gens issus de l'immigration n'y arriveront pas seuls parce que les Français les détesteraient. C'est zéro pointé sur toute la ligne. Quand vous travaillez dans une équipe, il faut acquérir sa légitimité auprès des autres. Si vous n'avez pas respecté le même processus de sélection, c'est impossible. Pour devenir légitimes, les personnes issues de l'immigration doivent se plier aux mêmes exigences que les autres.
Vous êtes également très sévère avec la Halde !
Elle joue un rôle d'exaspération et de crispation entre les groupes. Elle passe le plus clair de son temps à exacerber les tensions en disant que les gens issus de l'immigration sont victimes de notre société, alors que c'est l'ignorance des codes sociaux et culturels qui empêche les jeunes d'être recrutés. Cela avait été parfaitement mis en évidence par l'analyse d'entretiens d'embauche auxquels la sociologue Jacqueline Costa-Lascoux avait assisté. Le fait qu'on accepte d'eux ce qu'on n'accepterait jamais des autres ne fait que les enfermer dans leurs propres codes culturels. J'ajoute que je prends comme une bonne nouvelle. La mise sous tutelle de la Halde. Mais il faut, à terme, qu'elle disparaisse. Le système judiciaire français est là pour traiter des vraies affaires de discrimination. On n'a nul besoin d'une institution qui participe, vraisemblablement sans le vouloir, à dresser les gens les uns contre les autres.
Qu'opposer, alors, aux doctrines que vous dénoncez ?
Rien d'autre que le modèle d'intégration républicain qui fonctionnait très bien ! On doit accueillir les gens dans la communauté française et non l'inverse. Ils doivent respecter le système français. Si on avait fait ça, on aurait suscité le désir d'intégration. Mais comment y parvenir quand on injecte 200.000 nouveaux entrants par an dans une société déjà en proie à des difficultés majeures ? C'est irresponsable, grave et fondamentalement dangereux. Il est évident que là réside le défi des prochaines années : si l'on continue comme aujourd'hui, nous irons vers des troubles majeurs. Trop de gens arrivés récemment n'éprouvent plus le besoin de respecter la loi de la République, et reconstituent leurs sociétés d'origine sur le territoire français. Si rien n'est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable.
Quelles pressions, justement, exercent ces sociétés reconstituées ?
Dans les cultures maghrébines et africaines, le groupe prend possession de l'individu. Or, plus la société est déstructurée et permet des accommodements, plus les membres des groupes mieux structurés sont tentés de bafouer les règles françaises, qu'on peut défier à moindre risque. La culture de l'école de la République que les enfants ramènent à la maison est aussitôt rejetée parce qu'elle ne correspond pas aux normes culturelles d'origine. Le racisme anti-blanc est une réalité. L'insulte suprême utilisée, c'est "céfranc". Les professeurs nous le disent : être sérieux en cours, c'est déjà, pour certains, vouloir devenir français : une honte, car assimilé à une traîtrise. Les bons élèves sont, de ce fait, de plus en plus soumis à des pressions par les enfants issus de la même origine culturelle. Le fait que les institutions françaises, la police et l'école soient attaquées n'est évidemment pas anodin. Or , on continue à excuser les auteurs de ces attaques, à les déresponsabiliser en invoquant leurs conditions sociales. Ces mêmes populations, avec des conditions sociales nettement inférieures, ne se comportent pas ainsi dans leur pays d'origine. C'est bien la preuve que l'attitude de notre société a joué un rôle déterminant dans l'apparition des problèmes que nous connaissons.
Vous accusez le droit du sol. Pourquoi ?
Devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d'inscrire ses propres descendants dans un nouvel arbre généalogique qui n'est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là, une véritable rupture, très difficile à assumer. C'est pourquoi, aujourd'hui, pour une multitude de raisons, peu de gens ont le désir de devenir français. Ils prennent les papiers parce qu'ils savent que c'est le sésame avec lequel ils n'auront plus jamais faim. Ils sont honnêtes et l'avouent : - " je ne suis pas français, j'ai juste les papiers ! " C'est la classe politique, dans son ensemble, qui ment et occulte ce que signifie l'identité française. La communauté française reste pour l'instant silencieuse, car elle est bâillonnée, mais, comme dans tous les pays du monde, elle n'est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité. Il y a aujourd'hui, en France, une négation fondamentale du droit des Français à être français.
Quelle distinction faites-vous entre insertion et intégration ?
L'intégration, c'est le fait d'assumer l'héritage du peuple français, de porter soi-même les valeurs et les principes des Français, de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte dimension affective et morale. On ne peut pas exiger cette étape, elle est trop personnelle, trop intime. En revanche, l'insertion est absolument non négociable, c'est le respect des règles et lois de la société. Nombre de ces règles sont tacites. Elles ne sont pas nécessairement inscrites dans des lois. L'insertion dans la société française constitue une étape indispensable avant l'intégration dans la communauté nationale française. C'est ce que ne respecte pas le droit du sol.
L'une des plus grandes erreurs a été, selon vous, de dégrader l'apprentissage de la langue et de la culture française. Pourquoi ?
L'école de la République a un savoir à transmettre, qui crée un référentiel commun à tous les enfants. La langue est un passeport culturel pour naviguer dans la société française. On les a empêchés de pouvoir le faire en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse. Pis, l'école s'est mise à verser dans le relativisme culturel, et même à leur transmettre des éléments de leur référentiel culturel alors que, c'est bien la seule chose que leurs familles leur transmettent. Aimer une langue est un tremplin pour aimer un peuple. Au travers de la langue, des textes de littérature et aussi des contes et des chansons enfantines, c'est bien la culture qui est transmise. Aujourd'hui, dans les rues, dans les cours d'école, on ne parle plus français. C'est un signe, sans équivoque, du réel refus d'intégration. Sans compter qu'un enfant qui ne peut s'exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage a une plus grande propension à devenir violent. Commençons donc par accentuer l'effort sur la maternelle et sur les premières classes de l'école primaire, en réduisant les effectifs par classe et en mettant l'accent sur la transmission de la langue. Revoyons aussi le circuit des allocations. Il faut impérativement que cet argent aille, en priorité, au projet éducatif, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. A chaque rentrée scolaire, au lieu de remettre aux parents un chèque qui, souvent, sera envoyé dans le pays d'origine, donnons un cartable, des cahiers et des livres directement à l'enfant.
Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ?
Il faut la mettre en place, et il faut cesser de donner la nationalité française à tout le monde. Les gens qui risquent aujourd'hui la déchéance de nationalité n'auraient jamais dû l'obtenir. Il faut vraiment que les politiques s'occupent de toutes ces questions très rapidement. Beaucoup, parmi eux, sont habités par la peur car les populations de l'immigration leur apparaissent comme ayant facilement recours à la violence. Il va pourtant falloir avoir le courage de traiter toutes les dimensions de ce sujet. C'est dans l'intérêt de tous. Notre société est chaque jour plus déstabilisée. C'est la cohésion nationale qui est désormais en jeu ! Tout accepter met la France par terre ! Et, si nos dirigeants acceptent que l'Education Nationale enseigne l'arabe dans nos écoles comme certains de nos politiciens le demandent, la France sera foutue et disparaitra sous la domination de l'islamisme !
Malika SOREL
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docprof02 · 5 years ago
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IT 2019 : Mon TOP 3
En ce début d’année 2020, voici ce qui m’a intrigué le plus dans les nombreux changements du monde IT en 2019.
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TOP 3 : WASM Le 5 décembre 2019 le World Wide Web Consortium (W3C) a livré la spécification de base de WebAssembly. Pour simplifier les explications, sachez que cette technologie permet aux langages de haut niveau comme C, C++, et Rust d’être exécutés dans le navigateur. La compilation convertit le code source d'un de ces langages en un fichier wasm qui contient un byte-code 20 fois plus rapide que du javascript (du moins sous FireFox). WebAssembly devient ainsi le 4ème langage pour le Web (après HTML, CSS et le JavaScript). Il permet de s'associer à ces autres langages garantissant ainsi une intégration facilitée dans les sites web. Tous les navigateurs "récents" supportent le wasm. WebAssembly représente une avancée fondamentale de la plateforme web. La possibilité d'exécuter du code écrit pour des clients "lourds" sur le Web avec des performances similaires aux applications natives remet en cause certaines technologies comme le RDS, Citrix ou AppliDis (tous les magasins d'applications). De plus couplé avec des technologies de type PWA (Progressive Web App) ou Electron, on pourra demain déployer des applications sur les postes en mode hors-connexion sans se soucier des dépendances.
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TOP 2 : Où va Docker ? Je ne vais pas vous perler de nouveau de DOCKER. J’ai déjà fait plusieurs articles dés 2014 à ce sujet. 2019 sera l’année de l’incertitude dans l’avenir de cette techno. Tout d’abord concernant les enjeux de l'entreprise de son devenir suite à son rachat. La partie amélioration de l’Engine, création d’outils... peut-elle générer du cash dans un milieu Opensource ? Des voix se font entendre également sur l’aspect technique de Docker : On a un client docker qui appelle le daemon docker qui lui va faire appel à containerD qui va utiliser runc pour enfin lancer un processus isolé via le kernel. Hors l'Open Container Initiative a définit un certain nombre de standards :
Le format de l'image en question,  qu'est ce qu'il y a dedans,  les fichiers de métadatas... 
Le Runtime : Comment transformer cette image en un processus isolé. 
Quand à ContainerD, c’ est aussi un projet qui est géré par la Cloud Native Computing Foundation. Une fondation qui gère divers projets open source comme Kubernetes, prometheus ... Il est donc normal que plusieurs alternatives à docker sont apparues en respectant les spécifications et les recommandations de ces organismes. On peut ainsi parler de Kaniko (Google), Buildah (Redhat) ou encore Makisu (Uber) pour la création des images et pour lancer les processus isolé à partir de ces images on a là encore des alternatives comme CRI-o, rkt,  ContainerD, Katacontainers, Gvisor, Singularity, Nabla, Podman…
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Différentes pistes de réflexions : - Les différents composants sont globalement standardisés (Docker ou un autre) - La carrière du logiciel Docker Swarm a été stoppée par l’arrivée de Kubernetes, une solution plus aboutie et Open source.  - Docker client reste (encore), l'outil le plus simple et le plus flexible pour gérer des containers. Il est l'outil préféré des développeurs. De plus au niveau Windows, docker reste l'outil de conteneurisation officiel de Windows. L'avenir de Docker va se jouer dans sa capacité à innover mais aussi sur sa relation avec Kubernetes : Kubernetes sans Docker peut continuer à se développer ce qui n'est pas le cas de Docker sans Kubernetes qui est voué à une mort certaine.
TOP 1 : DEVOPS, ils n’ont rien compris ! Ce qui m’a surtout frappé en 2019, c’set le nombre d’emplois d’ingénieurs DEVOPS. Avec dans chaque annonce de grosse différences sur les fonctions attendues. Amusez vous à postuler à un de ces postes, vous comprendrez alors que votre interlocuteur a fait surtout du “Buzz-Word” et qu’il ne connait pas grand chose à la pensée d’origine du DEVOPS (article ici et là). Finalement entre les DEV et les OPS on a créé un nouveau poste : DEVOPS ! Ainsi certaines entreprises prétendent faire du DEVOPS en recrutant un ingénieur DEVOPS. Une 3ème équipe, des fois plus DEV ou plus OPS qui se charge de mettre en place des outils DEVOPS (cf ici). Les OPS continuent à gérer l’infrastructure, les DEV continuent à développer, et les DEVOPS font le pont entre ces 2 mondes (et des fois le grand écart). Pour rappel le DEVOPS est un mouvement ou culture à instaurer au sein d’une entreprise. Les DEV comme les OPS ont toujours eu le soucis de l’automatisation. Il suffit qu’ils se parlent, de les laisser faire pour qu’ensemble ils puissent travailler à réduire le “Time to Market”. Le plus « amusant » est qu’actuellement il n’existe aucune école qui forme au métier de DEVOPS (puisque ce n'est pas un métier !) contrairement aux DEVs, Admins... Du moment que vous connaissez Jenkins et Docker, que vous soyez DEV ou OPS c’est bon, annoncez vous comme ingénieur DEVOPS ! Surtout que les salaires proposés pour un DEVOPS « junior » dépassent ceux des DEV et des OPS. Comment tout cela va évoluer ? Est-ce que finalement tout ne va pas converger dans cette même équipe ? ou au contraire augmenter les spécificités (Pour manager Kubernetes par exemple) ?  Mon conseil pour 2020 : Dites que vous êtes un ingénieur DEVSECOPS ! 
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enquetedesensinsa · 6 years ago
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Sur la photo (de gauche à droite) : Stéphane Frénot directeur et Izabel Karabedian secrétaire des études au département Télécommunications
Interview : Stéphane Frénot, Izabel Karabedian 
     Je suis Stéphane Frénot, directeur du département Télécoms depuis un an et demi. Je suis sorti du département informatique en 1993 et j’ai continué en thèse, puis de fils en aiguilles me voilà directeur.
     C’est important quand on est dans une grosse école d’ingénieurs et après quand on en sort de savoir pourquoi on fait les choses et où on veut aller. C’est ça la quête de sens je pense. Aujourd’hui il y a beaucoup de nouvelles questions qui se posent : l’avenir, la planète, le climat... Nous en Télécom on est impactés dans nos matières et notre domaine parce qu’on fait de la technologie et que la technologie ce n’est pas toujours bien perçu. C’est peut-être là que c’est intéressant de gérer le sens par rapport à d’autres spécialités où le sens est peut-être plus facile à trouver.
      Une des difficultés sur les questions de quête de sens c’est que les gens imaginent toujours une révolution derrière. Ça peut fonctionner mais je suis plutôt pour une intégration continue des changements. Faire qu’un département fonctionne bien avec toutes les contraintes que l’on peut imaginer ou montrer comment il pourrait marcher mieux sans pour autant que ça soit une révolution est un enjeu intéressant. On essaye de progresser de manière continue et de comprendre où va la tendance. J’aime bien l’INSA parce qu’il y a des choses à faire fonctionner qui ne fonctionnent pas assez bien. Aujourd’hui ça me suffit amplement.
     C’est un gros enjeu intellectuel que d’essayer de savoir ce qu’est la formation d’ingénieur aujourd’hui. Quand on forme des ingénieurs, l’une des difficultés c’est de savoir ce qu’ils vont devenir dans 20 ou 30 ans. Qu’est-ce qu’une bonne carrière ? Je ne sais pas. On n’a pas de réponse. Aujourd’hui il y a très peu d’ingénieurs qui font de la technique. C’est important cependant que ceux qui veulent continuer dans cette voie puissent le faire. Il y a plein de possibilités de carrières et nous on défend cette diversité, même si c’est encore assez mal vu en France de vouloir faire de la technique contrairement aux Etats-Unis ou en Allemagne par exemple.
     Pour les étudiants, on veut surtout éviter qu’ils se retrouvent sous l’eau avec un travail monstrueux et qu’ils se réveillent à 40 ans en se disant “j’arrête”. Et ça, on a quelques exemples. C’est clairement lié à la quête de sens mais difficile à anticiper. Le seul conseil qu’on peut donner c’est de relever le nez de temps en temps et prendre du recul. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire.
     Je m’appelle Izabel Karabedian, j’ai 53 ans. Je suis à l’INSA depuis 2006 et au Département Télécommunications Service et Usages depuis 2013 où je suis secrétaire des études. Ce qui est intéressant au niveau du secrétariat c’est que l’on est en contact à la fois avec les enseignants et les étudiants. De par notre fonction, nous sommes à l’écoute et ouvertes à tous, ce qui nous permet de comprendre beaucoup de choses autour de nous.
     Les secrétaires des études ne présentent pas un décor immuable et insensible. Nous tenons à ce que les étudiants sachent que nos bureaux constituent un endroit où ils peuvent trouver un accueil chaleureux, de l’aide et de l’écoute en cas de besoin.
     J’ai commencé ma quête de sens très tôt puisque j’ai changé de pays. J’ai tout de suite senti que l’on peut perdre ainsi une part d’une culture vivante. J’avais 12 ans quand je suis arrivée en France et je me suis rendue compte très tôt qu’on ne peut pas appartenir à un nouveau pays, acquérir une nouvelle culture, si on oublie qui on est à l’origine. Pour moi, le sens c’était « Je sais et je vis ce que ma famille m’a donné comme héritage alors, je peux également être française ». Le respect de l’individu, sa singularité, sa diversité, sa richesse culturelle sont aussi un sens pour moi. C’est pour cela qu’il est important de voir venir et de rencontrer des étudiants étrangers ; d’essayer de découvrir comment la vie se passe ailleurs, comment vivent les autres, comment ils perçoivent les choses. Et l’INSA offre cela. C’est extrêmement positif pour nous tous.
     Au niveau des étudiants, nous constatons des diversités. Certains savent déjà ce qu’ils veulent pour l’avenir. Ils ont un sens bien tracé dans plusieurs domaines. D’autres se cherchent encore. Quelques-uns font partie d’associations diverses, que ce soit dans leur domaine d’étude ou autres, et ont un sens aigu de ce que l’on peut faire même en étant jeunes. Quant aux étudiants étrangers, je pense qu’ils viennent chercher un autre sens à leur vie. Soit, ils ont tracé un chemin et savent déjà où ils vont, soit ils sont en train de mettre en place un cheminement de vie et cherchent des expériences pour les guider, les aider dans leurs choix. Il y a de grandes chances qu’ils réussissent. Et c’est très intéressant et important d’être un témoin, voire un acteur, de ces croisements de vies.
     Aujourd’hui, la quête de sens pour moi est le service que je rends, l’attention que j’accorde, l’aide que j’apporte aux autres. Je ne vois pas, je ne vis pas mon travail simplement comme un outil pour gagner ma vie seulement. Je rends mon travail enrichissant d’une part en apportant mes compétences mais d’autres part, en apprenant par le contact avec les autres. Quand je rentre chez moi le soir, je sais que j’ai rendu service, que j’ai aidé mon prochain. C’est une belle gratification.
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jobwadifaty · 4 years ago
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 بنك CIH يعلن عن حملة توظيف واسعة لفائدة الشباب حاملي الدبلومات  بنك
Chefs de Projet Multi-canal Junior
Date de parution : 18-06-2020 – Référence :
Annonceur : POLE DES SYSTEMES D’INFORMATION Contrat : CDI Fonction : Chef de projet SI Localisation : Casablanca
Contexte du recrutement et définition de poste :
Nous sommes à la recherche de profils Ingénieurs et Chefs de Projets Juniors en Domaine Multicanal et digital qui auront pour missions :
Assurer la gestion des projets à dimension multi-canal ou digital (cadrage, préparation, animation de réunions, et suivi)
Garantir le respect des normes et procédures via la mise en œuvre d’une démarche qualité,
Garantir la réalisation et la mise à jour des procédures relatives aux projets digitaux,
Garantir la maintenance du fond documentaire de la banque,
Assister la maitrise d’ouvrage des projets internes,
Produire et communiquer les reportings.
Effectuer l’analyse technique et l’adaptation des composants logiciels existants ;
Assister aux tests de la recette client ;
Définir et l’implémenter les tests unitaires/fonctionnels/comportementaux/performance out en respectant les normes et standards ;
Rédiger les documents techniques des projets.
Profil recherché :
Vous êtes diplômé(e) en informatique (Bac +5) et vous justifiez d’une première expérience bancaire dans un poste similaire.
Connaissance en JAVA, Dot net et Oracle est obligatoire
Ingénieur de Production Monétique
Date de parution : 18-06-2020 – Référence :
Annonceur : POLE DES SYSTÈMES D’INFORMATION Contrat : CDI Fonction : Ingénieur Production Localisation : Casablanca
Contexte du recrutement et définition de poste :
Nous sommes à la recherche dun Ingénieur de Production Monétique qui aura pour missions:
Participer aux projets du domaine Monétique dans les phases de construction et mise en production des évolutions applicatives
 Assure le bon fonctionnement des applications sous sa responsabilité en prenant en compte la disponibilité des ressources
Maintenir en condition opérationnelle les applications du système d’information dans un objectif de qualité, de productivité et de sécurité.
Assurer un rôle de conseil, d’assistance, d’information, de formation et d’alerte en matière de gestion et d’évolution des environnements et composants en production – Pilote la démarche de progrès et d’amélioration continue
Garantir le bon niveau de qualité de service en cohérence avec les exigences des contrats de services (SLA) sur son domaine de responsabilité.
Assurer la production monétique PowerCard, AIX, environnement Web, Oracle.
Profil recherché :
De formation supérieure en informatique, vous avez une solide expérience dans le domaine de la production informatique ainsi qu’une expérience dans le domaine de la Monétique
Connaissances: Oracle, AIX, Powercard, env WEB
Experts en Monétique ( Senior)
Date de parution : 18-06-2020 – Référence :
Annonceur : Pôle des Systèmes d’Information Contrat : CDI Fonction : Chef de projet SI Localisation : Casablanca
Contexte du recrutement et définition de poste :
Nous sommes à la recherche de Chefs de Projets Seniors en Monétique qui auront pour missions:
Conduire le projet en coordonnant et animant l’équipe de projet
Intégrer dans une équipe couvrant le domaine fonctionnel bancaire PAIEMENT, et lui apportant une connaissance approfondie du patrimoine applicatif associé. Il a la responsabilité du projet, son suivi, sa bonne fin ainsi que la qualité du DELIVERY
Développer les technologies Java , Oracle, .Net ,C++ et PL/SQL
Maitrise de la plateforme PowerCard.
Piloter et planifier le projet en constituant, organisant, coordonnant et animant l’équipe projet selon le cahier des charges (demande du client, budget, délais…)
Élaborer la conception du projet (besoin client, spécification fonctionnelle, lotissements, livrables, critères de réception…)
Coordonner et animer les travaux de l’équipe projet afin de produire un résultat conforme aux exigences du client
Prévoir les ressources nécessaires (humaines, financières et matérielles) et assurer l’adéquation entre ressources et besoins (financiers, techniques, humains)
Assurer le suivi du bon déroulement du projet (planning, budget, performance) et le respect du cahier des charges
Gérer les risques (planning, financiers, humains, techniques) : anticipation, identification, mise en œuvre d’actions correctrices
Gérer au quotidien l’interface entre les métiers, la MOA, la MOE, les représentants des filiales, les pôles d’expertise et les éditeurs
Participe aux différents comités de suivi mis en place et à la communication
Instruit les indicateurs de suivi mis en place
Animer les réunions périodiques
Négocier des prestations avec des fournisseurs
Livrer le projet au niveau de qualité attendu par le client : est garant de la qualité et du respect du DELIVERY
Mettre en œuvre une démarche qualité (mise en œuvre de référentiels de bonnes pratiques, implantation de démarches fondées sur l’amélioration continue)
Créer des reporting et des états d’avancement sur le ou les projets suivis
Accompagner la conduite du changement (interne et externe) et accompagner les actions de formation utilisateur
Profil recherché :
Issu(e) d’une formation supérieure de type Bac + 5 orientée informatique, vous justifiez d’une expérience solide en gestion de projets monétiques
Connaissance et expérience en Powercard est fort indispensable.
Chef de Projet Monétique (Junior)
Date de parution : 18-06-2020 – Référence :
Annonceur : Pôle des Systèmes d’Information Contrat : CDI Fonction : Chef de projet SI Localisation : Casablanca
Contexte du recrutement et définition de poste :
Nous sommes à la recherche de profils Ingénieurs et Chefs de Projets Juniors en Domaine Monétique qui auront pour missions:
Développer des solutions adaptées aux besoins des clients ;
Garantir le respect des normes et procédures via la mise en œuvre d’une démarche qualité,
Garantir la réalisation et la mise à jour des procédures relatives à la Monétique,
Garantir la maintenance du fond documentaire de la banque,
Suivre les projets monétiques en termes de planning, charges, avancement et risques encourus,
Assister la maitrise d’ouvrage des projets internes monétiques,
Piloter les SLA de la Monétique,
Préparer et animer les comités de la Monétique,
Produire et communiquer les reportings.
Développer les technologies Java , Oracle, .Net ,C++ et PL/SQL
Effectuer l’analyse technique et l’adaptation des composants logiciels existants ;
Assister aux tests de la recette client ;
Définir et l’implémenter les tests unitaires/fonctionnels/comportementaux/performance out en respectant les normes et standards ;
Rédiger les documents techniques des projets.
Profil recherché :
Vous êtes diplômé(e) en informatique (Bac +5) et vous justifiez d’une première expérience en Monétique.
Connaissance et expérience en JAVA, Dot net et Oracle est obligatoire
Ingénieur Intégration Confirmé
Date de parution : 18-06-2020 – Référence :
Annonceur : Direction Production et Infrastructures SI Contrat : CDI Fonction : Chef de projet SI Localisation : Casablanca
Contexte du recrutement et définition de poste :
Au sein de l’entité Production Informatique, vos missions consisteront à:
Maitrise des middlewares CIHBANK  ( WebSphere application server  , Websphere MQ , IIS , oracle , sql server
Maitrise des tools Docker , kubernetes , ansible , Jmetter , Sélénuim  , Elasticsearch , scripting shell
Profil recherché :
Ayant une éxpérience d’au moins trois années dans un poste simiaire.
Ingénieur Intégration Senior
Date de parution : 18-06-2020 – Référence :
Annonceur : Direction Production et Infrastructures SI Contrat : CDI Fonction : Chef de projet SI Localisation : Casablanca
Contexte du recrutement et définition de poste :
Au sein de l’entité Production Informatique, vos missions consisteront à:
Bonne connaissances des architectures de production
Maitrise des middlewares CIHBANK ( WebSphere application server  , Websphere MQ , IIS   )
Monitoring et supervision
Maitrise des nouvelles technologies: Docker , kubernetes , ansible , jenkins , Jmetter , Sélénium , Elasticsearch
Bonne connaissances dans les bases de données
Des connaissances dans des technologie Hadoop , Spark   est fortement souhaitable
Capacité de planification et suivi des passages en production.
Profil recherché :
Ayant une éxpérience d’au moins cinq années dans un poste simiaire, dans le domaine de l’intégration et l’architecture de production.
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emploitogo · 5 years ago
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Ingénieur Devops H/F
Ingénieur Devops H/F
Au sein du pôle Intégration Continue. Il s’agit d’améliorer le processus et les outils de développement et de déploiement. Dans un environnement de Continuous Integration / Continuous Delivery, Il s’agit de mettre en œuvre des solutions autour des outils et technologies spécifiques à ce métier. Définition du poste :
Vous aurez pour mission de :
-Gérer automatiquementle cycle…
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azveille · 5 years ago
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La médecine conventionnelle s'articule difficilement avec les pratiques complémentaires
Le mouvement sociétal d'appétence aux médecines non conventionnelles conduit les professionnels de santé à s'interroger sur leurs pratiques. Ils oscillent entre prévention des dérives et intégration de nouvelles formes de soins.
Les médecines dites non conventionnelles — aussi appelées douces, complémentaires ou encore alternatives — connaissent une appétence florissante de la part des patients. Ces derniers sont ainsi de plus en plus nombreux à se tourner vers elles alors qu'une partie de la communauté médicale s'élève contre elles au nom de la science. L'homéopathie est l'exemple le plus criant de cette dualité. "La recherche est cloisonnée entre les bénéfices et le risque de dérives de ces médecines. Cela renforce les tenants de chaque camp", note Véronique Suissa, docteur en psychologie et chercheur à l'université Paris 8, le 28 octobre lors du colloque national sur les médecines complémentaires et alternatives*.
Risque de dérives et de pertes de chance
Pour les participants du colloque, cet engouement des patients vers ces pratiques de soins n'est pas nécessairement qu'un effet de mode. Il témoigne plutôt d'une volonté d'être partie prenante de leur prise en charge et de réduire la place du médicament dans les traitements. Néanmoins, cette mise à l'écart de la place du médicament peut conduire à des dérives entraînant des pertes de chances pour les patients. "Des pseudo-thérapeutes poussent à arrêter le traitement conventionnel, y compris une chimiothérapie. Ou alors ils mettent en garde contre une chirurgie qui charcute ou parlent du complot des labos", souligne Samir Khalfaoui du pôle santé de la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes).
Ce risque de dérive est particulièrement présent dans le cadre de la formation professionnelle continue. "Dans le milieu hospitalier, nous devrions être plus attentifs à la propagation des diplômes universitaires (DU) qui n'ont pas de sens", relève l'ancienne députée Catherine Picard, désormais présidente de l'Union nationale des associations de défense des familles et de l'individu victimes de sectes. Elle voit les DU comme une porte d'entrée pour des pratiques non reconnues dans les établissements de santé. "Il faut être vigilant sur la formation continue. Mieux vaut un DU avec validation par un doyen et un conseil de faculté qu'une formation de 48 heures à Avoriaz ou Pornic pour devenir hypnothérapeute", contre Julien Nizard, praticien au CHU de Nantes (Loire-Atlantique) et chef du centre fédératif douleur, soins palliatifs et de support.
Il rappelle également que la réforme de la formation initiale prévoit que soient abordées les médecines non conventionnelles lors du deuxième cycle. Il est en faveur d'une médecine intégrative associant la médecine conventionnelle aux thérapies complémentaires. Une association qui a des effets positifs sur la qualité de vie du patient et la qualité de vie au travail des patients face à la perte de sens des prises en charge. Il met néanmoins en garde contre une pratique trop autonome et insuffisamment sécurisée en établissement.
L'évaluation scientifique reste la norme
Pour ces approches non médicales, la question centrale pour se faire une place dans le parcours des patients demeure celle de l'évaluation. Caroline Barry, ingénieur de recherche à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), estime que l'essai clinique peut être utilisé pour les évaluer, même si des études de cohortes sont nécessaires pour prendre en compte le vécu des patients. Il ressort néanmoins du côté des professionnels de santé présents que ces pratiques présentent déjà des bénéfices, à condition d'être réalisées par des praticiens formés dans un parcours encadré.
La Direction générale de la santé (DGS), représentée par Juliette Cahen, pilote un groupe d'appui technique sur les pratiques non conventionnelles en santé. Trois catégories de pratiques sont ainsi identifiées par les pouvoirs publics. Il s'agit tout d'abord de celles qui sont dangereuses (déprogrammation biologique, jeûne) à laquelle il convient de ne pas recourir. Ensuite, les pouvoirs publics identifient une série de pratiques n'offrant pas de bénéfices mais n'ayant pas de risques particuliers (ostéopathie, auriculothérapie). Enfin, la représentante de la DGS cite les pratiques ayant un intérêt mais disposant de trop peu d'études (hypnose, acupuncture dans certaines indications).
* Ce colloque est construit à partir d'un ouvrage collectif intitulé Médecines complémentaires et alternatives : pour ou contre ?
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karlperi · 6 years ago
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TRIBUNE NATIONALE DE LA JEUNESSE HAĪTIENNE (T.N.J.H.). Les propos de l'ingénieure Michèle V. BOISROND, l'une des honorées du 1er Forum Municipal de l'organisation T.N.J.H. Merci à l'Organisation TRIBUNE NATIONALE DE LA JEUNESSE HAĪTIENNE (T.N.J.H.) pour m'avoir octroyé la CITATION venant du Bureau du Législateur du Comté de Nassau, New York (Nassau County, New York), Mr. Solages CARRIÉ, Esq., pour ma nomination dans la catégorie de JEUNE FEMME LEADER. Vous m'avez fait chaud au cœur." "Je félicite tous les autres honorés, et je les encourage à continuer leurs combats pour l"intégration des JEUNES, et pour une meilleure Haïti." "De mon côté, étant Ingénieure, la technologie est mon arme de choix pour réduire la pauvreté, et moderniser les solutions qui doivent être appliquées dans tous les secteurs. Par exemple, à Port-au-Prince, STARTUP WEEK #PAPSW #PAPSW2018, nous encourageons nos JEUNES à devenir des innovateurs, puis des employeurs, en les offrant des ateliers en Business Canvas, Pitching, Machine Learning, Coding...Aussi, avec #SIFNUH, une initiative de la chambre de Commerce des Femmes Entrepreneures d'Haïti. Nous dirigeons les jeunes filles vers les sciences. Technologie, Ingénierie et Mathématiques, en créant une plateforme d'échanges et de formation en Technologie. Suivez-nous sur les réseaux !" "Sans en douter, cette touche de classe à la marque de Mr. Karl-Henry PÉRICLÈS que je considère comme un leader consistant et persistant ayant beaucoup de discipline." "Je souhaite longue vie à l'Organisation TRIBUNE NATIONALE DE LA JEUNESSE HAĪTIENNE (T.N.J.H.) et bon travail à toute l'équipe." -Mlle. Michèle Vlady BOISROND, Ingénieure, Membre d'Honneur de l'OrganisationTRIBUNE NATIONALE DE LA JEUNESSE HAĪTIENNE (T.N.J.H.). 2018 - TNJH - CCI. Tous droits réservés.
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learnthingsfr · 11 months ago
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jlstanislas · 7 years ago
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N°3, Mars 2018
Article rédigé par :  Louise Massing, Cadre de Santé, INSTITUT CURIE – HOPITAL RENÉ HUGUENIN, Service de médecine oncologique, Paris
Médiateure interne, Titulaire du Certificat d’Aptitude à la Profession de Médiateur  Formation à l’École Professionnelle de la Médiation et de la Négociation – EPMN, Bordeaux
  Roland, jeune ingénieur est arrivé dans le service de logistique d’une entreprise depuis 2 ans. Il est  en conflit avec ses collègues. Lors d’une énième confrontation, il décide de démissionner de son poste. Au regard de la situation, le manager a décidé de mettre en place une médiation au sein de l’équipe.
En entretien de médiation, Roland se plaint de l’accueil qui lui a été réservé « je n’ai pas été accueilli quand je suis arrivé, j’avais l’impression de gêner, je  n’osais même pas poser une question…Tout m’a été rapidement expliqué…ça été difficile et ça continue d’ailleurs… »
Cette situation fictive est malheureusement courante.  Dans ma pratique de médiateure, la majorité de conflits interpersonnels ou d’équipe dont je suis amenée à résoudre ont souvent pour origine le moment de l’accueil /intégration des nouveaux arrivants au sein d’une équipe. Cet article à pour objectif de démontrer en quoi l’accueil  constitue une  nécessité pour faciliter l’intégration du nouveau professionnel.
L’accueil d’un nouveau professionnel : une option ou une nécessité ? 
La période d’intégration et d’accueil d’un collaborateur au sein d’une équipe  est primordiale pour ce dernier et pour l’équipe qui va l’accueillir. Elle est aussi importante pour l’organisation accueillante qui par un accueil et une intégration réussie mettra en avant sa marque employeur et se  rendra plus attractive.
L’arrivée d’un nouveau salarié  suscite parfois  des  interrogations des deux  parts, celles du potentiel nouvel arrivant sur son adaptation au poste, le déroulement de l’accueil et de son intégration et celles formulées par l’équipe accueillante sur l’adaptation des performances du
 « Nouveau », et de son intégration dans une équipe déjà constituée avec ses codes et habitus.
Un accueil et une intégration ratés peuvent altérer l’avenir professionnel, la pérennité dans l’organisation et devenir source de conflits.
Le collaborateur après le recrutement se retrouve souvent  « parachuté » au sein d’une équipe qui a  une histoire heureuse ou malheureuse. Tout se passe à peu près bien si les conditions de départ de son prédécesseur se sont passées dans de bonnes conditions  ou alors ça devient l’enfer quand le nouvel arrivant « hérite » des problématiques de celui qu’il remplace. D’où la nécessité d’être vigilant par rapport à l’accueil et l’intégration de ce dernier.
J’observe aussi qu’il arrive souvent dans nombre d’organisations que ces 2 mots peuvent être interchangeables,  entre celui qui est accueilli et celui qui est intégré et vice-versa.
Pour autant, je pense que l’accueil et l’intégration sont deux processus complètement différents.
Pour Pierre Gouirand, Docteur en philosophie, « l’accueil n’est pas forcement poser l’acte d’intégration, on peut très bien accueillir quelqu’un chaleureusement selon les règles de la  politesse ou des lois antiques sans vouloir pour cela l’intégrer au groupe ou à  sa famille »
L’accueil : une étape de découvertes mutuelles
Pour Robert Redeker, Professeur agrégé de philosophie  définit l’accueil comme « une mise-en-relation de deux pôles dans laquelle, plutôt que de se renforcer soi-même, de s’axer sur son salut, on s’ex-pose, on se dé-couvre »[1], l’accueil constitue le moment crucial où le salarié va établir un premier contact avec les personnes avec qui il va travailler.
Ce sera une période de découverte mutuelle, une période de doute, mais qui si elle est bien accompagnée sera bénéfique pour la constitution de l’équipe en devenir.
Les deux parties prenantes vont s’appréhender et l’on assistera à la naissance d’une nouvelle entité. Pierre Gouirand, Docteur en philosophie écrit dans son ouvrage, L’accueil, théorie, histoire et pratique de l’accueil[2].
« Toute rencontre implique une procédure  d’accueil accueil positif ou négatif (le rejet). L’accueil  positif est nécessaire à la vie, car sans rencontre suivie d’accueil, il n’y aurait ni procréation, ni génération, ni transmission d’idées ou de savoirs »/ L’auteur insiste sur le fait que dans le mot « accueillir », il existe une idée d’action et de volonté, « L’intention ne suffit pas, il faut qu’il prenne forme dans l’action ».
L’accueil ne doit pas être passif et  uniquement dédié à une personne ad hoc (RH, cadre), ce doit être une préoccupation de l’ensemble d’une équipe.
Une réflexion pourrait  être menée par l’équipe accueillante et elle doit être consultée  sur les conditions et les qualités d’accueil du nouvel arrivant. Un accueil s’identifie  par le comportement, les actes et les paroles.
Un livret d’accueil : un outil pertinent !! 
Plusieurs organisations possèdent,  en effet, des “livrets d’accueil institutionnels”, dont le contenu est  souvent éloigné du quotidien que va vivre le postulant, ce qui est souvent  source de désillusions.
Pourquoi ne pas créer des livrets d’accueil de service ou d’équipe : ces derniers seraient ainsi à l’image de cette dernière et reflèterai ainsi ses attentes et ses besoins à propos de ce nouveau projet relationnel.
Dans son ouvrage, L’entreprise accueillante[3], Lucienne Marechal, Formatrice et coach, en énumère, ainsi, les attentes des collaborateurs en matière d’accueil ;
Un accueil sincère et personnalisé afin de nourrir son besoin de reconnaissance et d’appartenance, car nous sommes tous sensibles à tous les signes d’accueil
De la disponibilité, accueillir c’est consacrer du temps. Le manque de temps d’accueil peut être déroutant et entraîner un sentiment d’insécurité.
De la considération et de la reconnaissance sont indispensables, l’écoute du ressenti du nouvel arrivant permet ainsi de détecter ses interrogations et ses craintes, de pouvoir les dissiper si nécessaire.
Des conditions de confort comme un cadre de travail agréable et stimulant par exemple.
Combler ces attentes permet de créer  le terreau qui permettra d’instaurer le début de la confiance et de la  qualité du projet relationnelle au sein d’une équipe.
Comment mieux intégrer le nouveau professionnel ? 
Plusieurs méthodes existent. Mais j’ai retenu celle de Sandrine Gelin,  et de  Khuê-Linh Truong consultantes  intitulé  « L’accueil – attitude », du titre de leur ouvrage[4].
« Au-delà  des mots prononcés, c’est avec le sourire, la tonalité de la voix qui fait comprendre à l’autre que l’on est aimable, ouvert, chaleureux et convivial, le corps a aussi son langage corporel accueillant ».
Il est aussi  essentiel de reserver quelques heures pour mettre en place un lien relationnel afin de lui permettre de construire ses repères et ses références.
Commence alors le processus d’intégration…
L’intégration, un processus rigoureux et nécessaire
L’intégration ou onboarding permet d’optimiser les chances de motivation et l’engagement du nouveau collaborateur. Cette période est tout aussi essentielle que l’accueil, elle  facilite ainsi au nouvel arrivant l’acquisition des codes du groupe et de l’organisation qu’il va intégrer.
Pour cela, Patrice Stern, professeur émérite à l’ESCP Europe et Jean-Marc Schoettl, professeur de stratégie à Sup de Co Montpellier préconisent dans leur ouvrage La boîte à outils du management[5] 9 étapes essentielles :
mobiliser les ressources, en mettant à disposition tous les moyens  nécessaires (téléphone, documents utiles, ordinateur, codes d’accès, badges, connexion internet etc…)
annoncer l’arrivée, (intranet, affichage, journal interne) afin que les futurs collègues ne soient pas pris au dépourvu
réactualiser sa compréhension de l’entreprise, par la revue des points abordés en entretien (stratégie, activité, vision…)
revenir sur le périmètre du poste, il est important de définir à nouveau le territoire du nouveau collaborateur et ses éléments de motivation
éviter les procédures
le présenter aux différents  collaborateurs
impliquer l’équipe  dans ce processus ,en désignant un tuteur d’intégration par exemple qui va se charger de remonter les informations sur l’intégration et le travail du nouveau collaborateur, et sera un appui ,si ce dernier a besoin de conseils ou de renseignements.
assurer un suivi et un soutien
le mobiliser en planifiant les tâches qui lui incombent, cela facilitera l’immersion en temps réel dans la réalité de l’organisation.
Ainsi, différencier ces 2 processus permettra ainsi de ne pas brûler les étapes et donnera le juste temps au nouveau collaborateur de s’imprégner de l’ambiance et des valeurs de l’organisation et de l’équipe.
Intégrer et accueillir « c’est réaliser la symbiose entre un nouvel arrivant, l’équipe en place et l’ensemble des acteurs de l’organisation ».
Ces 2 étapes caractérisées par l’accueil et l’intégration sont tributaires des conditions de départ des anciens collaborateurs. Une piste de réflexion serait de connaitre la valeur ajoutée de l’intervention d’un facilitateur (le médiateur) dans les cas de rupture de contrat de travail dans un contexte conflictuel, afin de préparer l’équipe à l’accueil du nouveau collaborateur. Car comme le disait le Dalai Lama, « personne ne peut revenir en arrière et créer un nouveau départ, mais tout le monde peut commencer aujourd’hui et créer une nouvelle fin ».
Pour aller plus loin : 
[1] Conférence prononcée à la clinique Joseph Ducuing de Toulouse, le 09
décembre 2001.
[2] L’accueil, théorie, histoire et pratique, Pierre Gouirand, Editions l’Harmattan2011
[3] L’entreprise accueillante, Lucienne Marechal p 27, Editions EDIPRO 2008
[4] Adopter l’accueil attitude, Sandrine Gelin,  Khuê-Linh Truong, Editions Eyrolles 2008
[5] La boîte à outils du management 42-43 Patrice Stern, Jean-Marc Schoettl, Editions DUNOD 2013
http://www.managersante.com
   Nous remercions vivement Louise Massing, Cadre de Santé, INSTITUT CURIE – HOPITAL RENÉ HUGUENIN, Service de médecine oncologique, Paris, Médiateure interne, Titulaire du Certificat d’Aptitude à la Profession de Médiateur  Formation à l’École Professionnelle de la Médiation et de la Négociation – EPMN, Bordeaux,  Cabinet de médiation LM, pour partager son expérience dans la rubrique Juridique, pour nos lecteurs de www.managersante.com 
    Accueillir un nouveau professionnel dans une équipe ? Pas si simple… N°3, Mars 2018 Article rédigé par :  Louise Massing, Cadre de Santé, INSTITUT CURIE – HOPITAL RENÉ HUGUENIN, Service de médecine oncologique, Paris…
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christec · 7 years ago
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#Geek #Tech #newtech L'ESILV lance un Bachelor Ingénierie numérique pour les Bacheliers ES, S, STI2D, STL avec la 3ème année en alternance #ChrisTec #HighTech Ecole d'ingénieurs généraliste, l'ESILV lance à la rentrée 2018, le Bachelor Ingénierie Numérique afin de former en 3 ans des spécialistes de toutes les composantes du numérique. Trois années pour acquérir les fondamentaux dans tous les domaines du numérique. Au cœur du Pôle Léonard de Vinci, l'ESILV (Ecole Supérieure d'Ingénieurs Léonard de Vinci) est reconnue pour former des ingénieurs opérationnels capables de travailler en mode projet dans des contextes pluridisciplinaires. La situation de l'école, la proximité des entreprises, ses installations de pointe et son expertise en font un lieu d'innovation pédagogique et d'ouverture sur le monde économique où les élèves apprennent à maîtriser les dernières technologies pour devenir les acteurs de l'innovation digitale.   C'est dans ce contexte que l'ESILV propose son nouveau programme Bachelor Ingénierie Numérique formant des spécialistes de toutes les composantes du numérique – informatique, Big Data, intelligence artificielle, électronique, systèmes et objets connectés – possédant un socle scientifique solide et les qualités comportementales indispensables pour une intégration en entreprise (soft skills).   Cette formation est axée autour de secteurs d'activité porteurs tels que l'Automobile, l'Aéronautique, l'Energie, la Santé, la Ville et Bâtiments intelligents, la Banque et assurance.  Les domaines d'application sont variés : Développement logiciel, Objets connectés, Big Data, Cybersécurité, Applications mobiles, Intelligence Artificielle.   « Des montres aux smartphones, des applications en e-santé aux voitures communicantes, des capteurs thermiques du bâtiment aux systèmes embarqués dans les avions, des robots industriels aux nouveaux humanoïdes..., il y a un immense terrain d'action pour des spécialistes du numérique, capables de développer ces produits et services », précise Pascal Brouaye, Directeur de l'ESILV.   Au terme du Bachelor, les élèves obtiennent le titre de Chef de projet digital (RNCP Niveau II, reconnu par l'État). Ce diplôme permet une intégration directe sur le marché du travail ou une poursuite d'études, en France ou à l'étranger.  Grâce aux 2 stages et à la 3ème année en alternance, le Bachelor Ingénierie Numérique est un tremplin vers l'emploi, le numérique représentant en France plus d'un million de personnes avec plus de 50 000 recrutements de cadres chaque année.   Par ailleurs, les diplômés pourront poursuivre leurs études en intégrant des programmes masters ou des écoles d'ingénieurs. Ces débouchés sont envisageables en France mais également à l'international grâce aux relations de l'ESILV, que ce soit par le concours des entreprises partenaires ou le réseau d'universités étrangères.  Les points forts du programme : Un socle solide en informatiqueLe Bachelor Ingénierie Numérique offre une formation complète en informatique sur laquelle les diplômés peuvent s'appuyer dans la perspective d'un premier emploi ou d'une poursuite d'études.   Une approche exhaustive du numérique L'expertise des équipes de l'ESILV a permis de développer une approche plus large du numérique, orientée vers la conception d'objets et de services connectés. Les systèmes numériques constituent le 2nd pilier du programme dont l'approche est facilitée par les connaissances acquises en programmation.   Une 3e année en alternance La 3ème année du programme se déroule en alternance ce qui permet aux élèves d'être pleinement immergés dans le monde professionnel. La recherche d'entreprises s'appuie sur le réseau d'entreprises partenaires de l'ESILV.   Le développement des soft skills pour comprendre le monde de l'entreprise Le développement des soft skills (compétences personnelles) est favorisé par une démarche projet, menée en continu et en équipes, grâce à laquelle s'expriment la créativité, l'esprit d'entreprise, la coopération et l'aptitude aux relations humaines des élèves.   Une pédagogie innovante Le learning by doing (apprendre par la pratique) est au cœur du projet pédagogique du Bachelor Ingénierie Numérique. Chaque élève est ainsi acteur de son apprentissage que ce soit en cours, en projet ou encore en hackathon. La pédagogie inversée est appliquée : en partant des problèmes rencontrés, les élèves recherchent l'information utile, remontent aux concepts et structurent leurs connaissances, sous l'encadrement des enseignants de l'école. La démarche projets est menée en continu tout au long de la formation pour faciliter l'assimilation des concepts.   Un environnement technologique de pointe Les installations du campus permettent d'adapter à chaque objectif pédagogique le format d'apprentissage correspondant. FabLab, salles d'électronique, d'informatique, laboratoire mécanique et énergétique, Learning Center, …, sont mis à disposition des élèves pour la réalisation des projets.  Conditions d'admission et informations pratiques : Candidatures : Bacheliers ES, S, STI2D, STL ou Bac+1 scientifique ou technologique Admission jusqu'à fin juillet 2018 sur le site www.esilv.fr  Procédure d'admission : ��tude de dossier et entretien Frais de candidature : 40 euros (gratuit pour les boursiers) Nombre de places : 40 Démarrage de la formation : Septembre 2018 Frais de scolarité : Années 1 et 2 : 6 500 euros par an Année 3 : financée par l'entreprise d'accueil de l'alternant Poursuite d'études en 2ème année du cycle ingénieur de l'ESILV est soumise à condition de niveau. D'autres poursuites d'études sont possibles à l'IIM (Institut de l'Internet et du Multimédia – Pôle Léonard de Vinci) dans les spécialités Ingénierie Web et mobile, Interactivité & UX Design, Stratégies e-business, etc. Catégorie actualité:  Formations Numérique, formatiuon Image actualité AMP: 
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derekglieber · 7 years ago
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Ici chez elles
Lors de cette journée, personnes immigrantes et visiteurs ont pu échanger sur une panoplie de sujets: parcours migratoire, vie professionnelle, intégration, religion, port du voile, famille, etc. Avant l’activité grand public, trois femmes ont accepté de raconter leurs histoires aux membres de la presse. Les voici.
Bientôt 10 ans
Originaire du Maroc, Khadija Zahid ne pensait jamais s’installer à Sainte-Foy et espérer y passer le reste de ses jours.
En décembre 2007, Khadija Zahid met les pieds au Québec pour la première fois de sa vie après avoir fait les démarches quatre ans auparavant. Un long processus enclenché par la curiosité de découvrir une nouvelle culture et un nouveau pays. Outre cela, rien n’a motivé ce changement de vie.
«Je n’avais jamais pensé venir ici. J’étais bien au Maroc, j’étais même très gâtée», raconte-t-elle avec un grand sourire. Elle a laissé une famille qu’elle aimait derrière elle, sans toutefois perdre le contact avec celle-ci. À l’emploi du ministère du Développement durable, la mère d’une petite fille de 6 ans profite de ses vacances pour retourner dans son pays d’origine.
«Je suis venue toute seule. Je me suis séparée l’an dernier. Vous voyez, nous avons une vie normale comme tout le monde, rigole-t-elle. On s’aime, il arrive qu’on se sépare, mais la vie continue!»
Sur le port du voile, Khadija Zahid apporte une nuance importante, tentant de démystifier une vieille mentalité voulant qu’il soit obligatoire de le porter. «J’ai commencé à le porter en 2011. Personne ne m’a obligée. Porter le voile, c’est entre nous-même et notre Dieu. Oui, des femmes sont forcées de le faire, mais ce n’est pas généralisé comme certains le pensent», se désole-t-elle.
Ingénieure devenue informaticienne
La Tunisienne Naïla Khalil est arrivée à Québec en 2015 avec son mari et leurs enfants.
Ingénieure en Tunisie, Naïla Khalil a bifurqué vers l’informatique lorsqu’elle a déménagé au Québec le 27 février 2015 avec son mari et leurs deux filles. «Mes compétences ne sont pas reconnues ici. C’est une procédure qui peut durer entre trois et cinq ans, alors j’ai choisi de relever un autre défi», raconte celle qui admet que ce fut un choix difficile.
L’attentat du 29 janvier 2017 à la mosquée de Québec l’a profondément ébranlée. Cette femme qui se décrit comme étant «fonceuse» et qui adore engager la conversation avec autrui est restée cloitrée chez elle les sept jours qui ont suivi la tragédie.
«J’étais démoralisée. Je n’ai pas été sur les réseaux sociaux, je ne voulais pas lire des commentaires haineux. La première fois que je suis sortie pour aller au guichet, j’avais peur, c’était angoissant. Heureusement, j’ai senti beaucoup de soutien de la part des Québécois.»
Malgré cela, la province a «encore du travail à faire» pour mettre fin aux préjugés sur la communauté musulmane. «Il y a un milliard de musulmans dans le monde, mais je dois encore expliquer que ce n’est pas moi qui fais les attentats!» Malgré cela, Naïla Khalil compte passer le reste de ses jours au Québec. Sa famille est très heureuse et elle est persuadée que ses enfants bénéficieront d’un système d’éducation «plus encadré».
Compromis et séparation
Souheila Djaffer consacre presque tout son temps à son fils handicapé. Dans ses temps libres, elle fait du bénévolat
Ingénieure mécanique, Souheila Djaffer a quitté l’Algérie pour de Montréal en 1999. «Je voulais faire des études supérieures et aller à la Polytechnique. La naissance d’un enfant handicapé intellectuellement a changé mes plans de carrière. J’ai laissé tomber mon travail.»
En 2002, une séparation l’incite à quitter la métropole pour la Vieille Capitale où elle s’est mise à faire du bénévolat dans différents milieux. Elle a notamment œuvré à titre de porte-parole du Centre culturel islamique de Québec. Elle met l’accent sur l’importance du vivre-ensemble.
«Les gens sont parfois surpris quand ils apprennent que je suis une femme seule, autonome, diplômée et mère. D’un autre côté, j’ai eu un choc en apprenant qu’au Québec, il y a des femmes violentées, droguées. J’étais persuadé que toutes les femmes ici étaient instruites et heureuses.(…) Je porte le voile, mais parfois, je l’enlève selon l'occasion. C’est une décision personnelle, qui confirme mon indépendance et non ma soumission.»
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fredgrnd-blog · 7 years ago
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L’iPad peut il,remplacer mon MacBook Pro
Depuis la sortie de la suite Adobe Lightroom CC , de l’iPad Pro et d’iOS 11, je me pose de plus en plus la question de me passer de mon MacBook Pro.
J’ai deux grands usages de mon portable
Un usage personnel: principalement de l’édition photo avec Lightroom, de la lecture de flux RSS, consultation des réseaux sociaux comme Twitter et Facebook. Plus un usage quotidien des applications natives Apple.
Un usage professionnel: ingénieur Linux dans l’hébergement web, j’ai un usage très technique. DevOPS, administration système. J’utilise énormément les outils tels que Docker, Terraform ainsi que des frameworks comme Fabric.
Si l’iPad n’a clairement pas sa place dans mon usage professionnel, il l’a bien dans mon usage personnel. J’ai donc décidé, le temps d’une semaine, de faire toutes mes actions sur mon vieillissant iPad Air sous iOS 11.
Je vais donc décrire, dans ce premier long billet, ma vision très personnelle.
L’iPad Air
L’iPad Air date de 2013. C’est le modèle Wifi. On ne peut pas dire qu’iOS l’ait rajeuni. J’ai même tenté de le downgrader. Apple ne signant plus la dernière version d’iOS 10 pour cet appareil j’ai dû me résigner à l’utiliser tel quel. Hormis sa lenteur générale, il reste cependant utilisable. Le plus gros problème vient du clavier qui est d’une lenteur déconcertante.
La semaine sans MacBook Pro
J’ai donc réinitialisé complètement mon iPad et installé mes applications préférées.
Lightroom CC
Tweetbot
Facebook
Messenger
Unread
Tumblr
ProtonMail
Netflix
Skype
Je rédige toutes mes documentations techniques en Markdown. N’ayant pas de clavier physique sur l’iPad, il ne m’était jamais venu à l’idée de le faire avec. En cherchant un peu sur le net je suis tombé sur Bear. Cette application à l’avantage d’avoir une version gratuite permettant de voir ce qu’elle vaut et la version payante (par abonnement) n’est pas très cher à la vue des services proposés. Cet article est d’ailleurs entièrement rédigé sur cette app.
Le clavier et la souris, principal frein
Si je n’ai eu aucun mal à trouver des applications équivalentes. Le plus gros problème vient de l’absence de clavier physique. Pour mon usage « photo » l’absence de clavier pour les raccourci n’est pas franchement un problème. Pour l’écriture de cet article c’est tout autre chose. Autre chose insoupçonnée, la souris me manque.
L’iPad, toujours prêt !
Un des gros avantage de l’iPad: il est toujours prêt. Depuis que nous sommes à Maurice, nous n’avons plus de pièce bureau donc à l’inverse de mon MacBook Pro,qui reste sagement dans son sac, mon iPad est toujours à traîner sur un meuble, ce qui en fait un appareil toujours prêt à l’emploi. Sa petite taille, son poids minime et son autonomie, même après plusieurs années, en font l’appareil mobile par excellence.
Le Finder n’est plus l’élément central
Le plus gros changement pour moi vient du Finder. Remplacé ici par « Fichier » est beaucoup moins évolué même si je le trouve assez pratique, il manque encore un grand nombre de fonctionnalités. Je prend comme exemple la gestion des fichier ZIP plus que sommaire, le déplacement de fichiers, etc… Il faut complètement repenser sa façon de travailler.
Le pseudo multitâche
Déjà très adepte du plein écran sur macOS je n’ai aucun mal avec ça sur iOS. Je trouve que cette façon de travailler permet de garder le focus sur les taches en cours. Le multitâche d’iOS 11 à vraiment été bien pensé et depuis la mise à jour en 11.2 il est même presque fluide. La gestion du copier coller entre app est redoutable, pour peut que l’on sache s’en servir.
Les applications
Je ne vais pas trop m’attarder sur les applications. Je n’ai eu aucun mal à trouver des équivalents iOS car je les utilisais déjà. Pour l’usage que j’en fait, je les trouve, dans la majorité des cas, plus facile à utiliser sur l’iPad. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussé à cette réflexion. Par exemple, je préfère regarder des vidéos sur mon iPad que sur mon MacBook Pro, idem pour consulter les réseaux sociaux et mes flux RSS.
Et l’iPhone dans tout ça ?
L’intérêt d’utiliser un iPad dans son quotidien, c’est de retrouver les mêmes applications sur son iPhone et cerise sur la gâteau, les données entre les applications sont synchronisées grâce à iCloud. Ce qui me permet de continuer à écrire cet article alors que je suis à prendre un café pendant que ma fille joue au Tennis
Bilan après une semaine d’abstinence
Une semaine que mon MacBook Pro est dans son sac. Une semaine passé exclusivement avec mon iPhone et mon iPad Air. Même si quelques doutes persiste, le bilan est plutôt positif. Dans la majorité des cas mon iPad a joué son rôle principal. La synchronisation entre les appareils, Handoff et Air Drop ont vraiment simplifier les choses. Il ne faut pas se leurrer, iOS n’est pas comme les autres. Son intégration poussée est bien au delà de ce que l’on peu trouver chez les concurrents.
Pourquoi l’iPad peut-il remplacer mon MacBook Pro ?
J’ai trouvé où j’avais déjà les applications équivalentes.
L’iPad est beaucoup plus mobile.
La synchronisation entre les apps plus complète.
Tactile
Les accessoires
Pourquoi il ne le peux pas ?
Pas de vrai Finder.
Moins de confort. Notamment en bureautique pure.
Conclusion
Avant même de lancer cet essais je savais qu’un iPad ne pourrait pas remplacer mon Mac. Ni n’importe quel Mac d’ailleurs. Mais à ma grande surprise et avec un peu de patience, mon bon vieil iPad Air de première génération à fait l’affaire dans beaucoup de situations comme dans le développement de photos RAW et l’écriture de cet article. Il s’est même montré beaucoup plus pratique dans la visualisation de vidéos, la lecture des Mail, des flux RSS et des réseaux sociaux en général.
Malheureusement, aujourd’hui, iOS n’est pas encore suffisamment évolué pour remplacer un OS de bureau. J’ai bien dit iOS car l’iPad, à la vue de sa puissance, lui l’est bien.
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workmada · 8 years ago
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RECRUTEMENT : INGÉNIEUR QUALITÉ LOGICIEL H/F
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RECRUTEMENT : INGÉNIEUR QUALITÉ LOGICIEL H/F
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