#ImageReference

[photodesign-mhyc]

Yoshinori Mizutani

[philomenepaul]

Eve Arnold, https://www.magnumphotos.com/photographer/eve-arnold/

L’Œuvre de Eve Arnold se démarque par la panoplie de portraits représentant la réalité de la femme à travers les époques. La photographe, active principalement des années ‘40 aux années ‘80, a exploité plusieurs angles concernant des enjeux féminins. Par exemple, elle documente le métier d’actrice en suivant Marilyn Monroe dans ses tournages. Elle s’intéresse à la réalité de mères qui doivent occuper une fonction telle que Jackie Kennedy. Elle porte un regard sur les modèles et la beauté des femmes afro-américaines qui taillent leur place aux États-Unis. Mme Eve Arnold représente aussi le commencement de l’intégration des femmes Noires dans les écoles ce qui encourage le support entre tous groupes de femmes. De plus, elle attire l’attention sur les femmes qui décident de ne pas s’associer à aucun homme, qui deviennent sœurs en se mariant plutôt à Dieu. 

C’est son inclusion et son regard diversifié sur les enjeux sociaux auxquels les femmes font face qui m’ont interpellé chez Eve Arnold. Elle mérite pleinement son titre de «fellow of the Royal Photographic Society and elected Master Photographer», qui est l’honneur le plus prestigieux pour un photographe, parce qu’elle a participé à la représentation des femmes en photographie, en mettant en valeur leur apport crucial à la société moderne. 

[enzo-zanello]

A première vu, vous vous dites que c’est une scène de crime comme les autres, mais pour ma part, je la perçois différemment. Cette Photo a était prise le 19 Mars 2012 à Toulouse, en France, devant l’école juive : Ozar Hatorah. Elle a était prise suite au dernière attentat d’une série de 3 actes de même envergure. Pourquoi elle m’interpelle ? Parce que cet attentat c’est passé dans mon quartier et au même moment j’étais à moins de 900 mètres de l’école ou sa c’est produit. Aussi, je connaissais une personne qui était à cette école au même moment. Pour faire simple, Mohammed Merah est un terroriste qui a commis 3 attentats dans ma ville en l’espace de quelques jours dont le dernier dans cette école. Ce qui a retenu mon attention dans cette image ? C’est le fait que je sois passé de nombreuses fois dans cette rue, sans même me douter une seule fois qu’un jour quelqu’un tuerai avec détermination des enfants même pas âgés de 10 ans. Aussi, voir cette photo me rappel des conséquences qui ont suivit cet acte, notamment les plans Vigipirates que nous avons du mettre en place dans mon école. C’est en prenant du recul, et en voyant cette photo que je me dis que la vie est un cadeau de la nature et que malheureusement de nombreux innocents meurs chaque jours car des martyres veulent soi-disant aller au paradis. Ce jour la, j’ai peut être faillit perdre une personne que je connaissais qui aller à cet école, ou je me dit que cet acte aurait pu arriver 900 m plus loin dans mon école. Aussi, voir cette photo et me dire qu’une personne armée a couru dans une coure d’école pour rattrapé un enfants de 8 ans, la prendre dans ses bras pour lui tirer une balle dans la tête me fait beaucoup de peine. Le principe de la vie, c’est de la vivre, surtout à cet âge là, et non de craindre de se faire tirer dessus dans son école. Lorsque je vois cette photo, sa me désole de penser à cela. Ce qui me touche encore plus, c’est une phrase qu’ un père à dit juste après qu’il venait de perdre son fils et deux de ses petits-fils qui étaient dans l’école :  « Mon petit cousin a été déporté à Auschwitz  à l'âge de 8 ans en 1943. Je pensais que les enfants ne seraient plus assassinés en France, ou dans le monde ».

France 3 info : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/il-y-trois-ans-merah-tuait-3-enfants-et-un-adulte-dans-une-ecole-juive-journee-d-hommage-toulouse-677317.html 

[karianneblog]

Ceci est une photographe que j’ai trouvé assez intéressante. C’est Angela Grauerholz. Ses photos sont majoritairement floues afin de laisser un petit côté imaginaire et mystérieux. Je me suis particulièrement accroché à cette série de Grauerholz, car c’est en noir et blanc. Ses photographies ont la capacité à nous faire voyager dans un rêve. Ce qui m’a le plus intrigué chez cette artiste, c’est quand elle a mentionné qu’elle voyait déjà quelques scènes à photographier dans sa tête et qu’il fallait seulement qu’elle les trouve concrètement. 

De plus, j’ai toujours détesté les photographies floues et je les considérais «ratées». Cette photographe m’a fait voir d’une nouvelle façon.

Image 1 : Kathedrale, 1987, épreuve à la gélatine argentique, 16x20 pouces.

Image 2 : Moon, 1986, épreuve à la gélatine argentique, 24x30 pouces.

Image 3 : Night, 1987, épreuve à la gélatine argentique, 16x20 pouces.

Image 4 : Reader, 1986, épreuve à la gélatine argentique, 24x30 pouces.

Image 5 : Vue sur le port, 1987, épreuve à la gélatine argentique, 40x60 pouces.

Sources : http://angelagrauerholz.com/cibachrome/1986-88/

[lesphotosdejuliette]

Oscars Selfie 2014, Bradley Cooper.

L’image est en réalité un selfie capturé lors des Oscar de 2014. Un cliché  pris par Bradley Cooper, montrant celui-ci entouré de nombreuses célébrités plus connues les unes que les autres ; Jennifer Lawrence, Ellen DeGeneres, Julia Roberts, Meryll Streep, Brad Pitt, Angelina Jolie, Kevin Spacey, Jared Leto, Channing Tatum, Lupita Nyong'O et Peter N'yongO.

C’est un simple selfie qui malgré lui, est « iconic », car il représente certaines des plus grandes célébrités hollywoodiennes du 21e siècle immortalisés toutes ensemble, lors d’un simple instant.

[elo-et-ses-photos]

*Photo publiée sur la page Facebook Black Lives Matter le 29 janvier 2021. Elle démontre plusieurs activistes qui défendent la cause des noirs à travers le monde ainsi qu’une citation de Martin Belam, aussi surnommé The Guardian.* 

J’ai décidé de prendre cette photo car la nomination du mouvement Black Lives Matter pour le prix Nobel de la Paix est une preuve que les systèmes à travers le monde sont en voix de changer et ce, pour le bien. 

La publication d’où provient cette image mentionne que ce mouvement à commencé sur Internet il y a 7 ans et qu’aujourd’hui il a atteint le titre du mouvement social le plus influent et important de toute l’histoire. Il n’y a pas à dire, c’est impressionnant et encourageant. 

Comme le mois de Février est le mois de l’histoire des noirs, je crois qu’il n’y a pas un meilleur moment pour parler de cette nomination et de l’importance du mouvement. Il est temps que les personnes noires soient reconnues avec tout le respect et l’égalité auxquels elles ont droit. La supériorité blanche, l’injustice raciale et économique ainsi que le racisme environnementale (toutes des choses que la publication mentionne) doivent être arrêtés, supprimés et enfouis pour ne plus jamais refaire surface. 

Faisons en sorte que nos actions provoquent des changements positifs au niveau global. Continuons de s’éduquer et d’aider les personnes qui en ont de besoin en partageant des informations utiles ou en signant une seule pétition qui a le potentiel de changer ne serait-ce qu’une vie.

Comme j’aime le rappeler : on ne naît pas raciste, ça s’apprend, mais il faut arrêter de l’enseigner...

[photodesign-al]

Georges Shiras, Trois chevreuils bondissant en suite, Michigan, vers 1920.

Georges Shiras est considéré par plusieurs comme l’un des premiers photographes de la faune américaine (wildlife photographer). Il utilisait le flash pour surprendre les bêtes en pleine nuit. À cette époque, illuminer d’un coup de flash consistait en une explosion de poudre de magnésium. Dès 1893, Shiras peut saisir ses premières images nocturnes, en s’inspirant d’une technique de chasse des amérindiens Ojibways, naviguant sur un cour d’eau avec, au devant de l’embarcation, un faible feu d’écorces de bouleau. La faible flamme permettait au chasseur d’apercevoir les animaux alors qu’elle attirait leur attention et les laissait immobiles, presque hypnotisés. Le chasseur n’apercevait qu’une paire d’yeux dans la nuit et il pouvait alors tirer en visant ces billes lumineuses. Shiras n’était pas chasseur, alors il utilisait cette technique afin de plutôt surprendre l’animal d’un coup de flash lui permettant de capter la photographie. Ses images sont toutes magnifiques, avec des contrastes puissants et une sorte de réalisme magique captivant. Vous pouvez en voir plus ici : https://hyperallergic.com/270663/the-first-flash-photographs-of-the-natural-world-at-night/

[david-lemon]

Elliot Erwitt | https://www.magnumphotos.com/photographers/ Les photographies d'Elliot Erwitt montrent diverses scènes que je trouve tous plus fascinante les une que les autres. Que ce soit une danse en face de la tour Eiffel, un soldat qui grimace ou un monsieur, debout les deux pieds dans les vagues, ces photographies ont retenu mon attention par la capacité d'Erwitt de figer le temps. Probablement en employant un shutter speed élevé, il réussi à prendre des clichés très impressionnants comme la voiture et le train qui défilent à toute alure, completement figés ou comme la danse devant un couple qui partagent un baiser immortalisé sur cette photo. En fait, Erwitt m'a tout simplement ébloui par son talent pour créer une image en utilisant cet effet. Par exemple, dans la quatrième photographie, un personnage (probablement un vieux monsieux) est debout et fait face à de petites vagues. Le contraste entre le vieux immobile et la vivacité des jeunes vagues est selon moi particulierement beau.

[hilaryrdesign]

Croisade d’une écologiste kényane pour sauver la faune de son pays

Photographie de Khadija Farah pour le New Yorker (https://www.newyorker.com/magazine/2021/02/01/a-kenyan-ecologists-crusade-to-save-her-countrys-wildlife), publié le 25 Janvier 2021

Cet article m’a interpellé à cause de l’importance pour la préservation des espèces en danger. La photo démontre trois jeunes du groupe Action for Cheetahs et cette photo est magnifique. Les couleurs chaudes m’ont tout de suite interpellé. Le contre-plongé et le soleil qui est caché par la personne du milieu donne une profondeur intéressante à la photographie. 

“Au nord du Kenya, des jeunes travaillent avec le groupe de conservation Action for Cheetahs pour préserver les populations de guépards dans la région .”

[ibjudy]

Dovima with elephants, evening dress by Dior, Cirque d'Hiver, Paris, August 1955

Le photographe Richard a capturé cette photo de Dovima qui portait cette magnifique robe Dior, une des plus grands modèles des années 1950.

[marie-danielle020323]

Photo de Jim Huylebroek, tirée d’un article du NY Times

(https://www.nytimes.com/2021/02/04/world/asia/afghanistan-militias-balkh-taliban.html), publié le 4 février 2021

Un réseau de représentants du pouvoir militaire financé par le gouvernement Afghan et la police nationale, incite les personnes défavorisées à rejoindre les milices, parfois sous de faux prétextes et fausses promesses. Les miliciens sont largués dans des zones trop dangereuses pour fuir et ne sont repris que des semaines ou des mois plus tard, morts ou vivants.

Malgré la multitude de photo qu’il y avait dans l’article, c’est celle-ci qui m’a le plus marquée. Dans la photo on voit une dame qui se nomme Fatima, elle a malheureusement perdu son fils, Gholam Ali, qui a été tué alors qu'il servait dans la milice. Cette image évoque beaucoup d’émotion et on peut y comprendre que son but était d’illustrer la triste réalité que la dame et plusieurs familles doivent vivre. En mettant l’emphase sur le visage de la dame, on comprend facilement sa profonde tristesse (le noir de l’arrière-plan, le rayon de lumière sur le visage).

[photodesign-mhyc]

Image par Rinko Kawauchi

J’aime vraiment cette image, car elle a une très belle composition. Les cercles sur la cuillère me fais envie de manger celle-ci. De plus, les couleurs me font relaxer. Beaucoup de ses images sont relaxante et calme. 

http://rinkokawauchi.com/en/works/ 

[philomenepaul]

Richard Frishman, Hidden in Plain Sight: The Ghosts of Segregation, 2020.

Source: https://www.nytimes.com/2020/11/30/travel/ghosts-of-segregation.html

Plus tôt dans la session, j’avais publié une photo prise en 1963 pendant la ségrégation aux États-Unis. La  série de photo dont je traite aujourd’hui présente les impacts de cette période sur les paysages urbains de nos jours. On peut voir, par exemple, des vestiges de tentatives de séparer les races dans les bâtiments. Dans la première photo, c’est l’ajout d’une petite fenêtre à l’écart pour le «drive-in». Dans la seconde, on montre la porte autrefois utilis��e comme entrée pour les personnes de couleur au Moore Theatre à Seattle. Cette empreinte de la ségrégation fait contraste avec l’affiche du cinéma où l’on peut maintenant lire Black lives matter. Ensuite, une ancienne enseigne d’un café fait la promotion de «all white help», une façon de dire qu’ils n’employaient que des Blancs . Une des photos représente un mur construit pour séparer le restaurent en sections : une pour les Blancs, une pour les personnes de couleur. Il y a aussi des bâtiments qui ont persisté, comme le premier hôpital pour les résidents Noirs qui furent érigés à cause de l’exclusion de cette communauté dans les espaces qui étaient réservés aux Blancs.

Le fait que certains vestiges ont été détruits pour effacer les traces de ségrégation et d’autres gardés pour éviter de nier l’histoire des inégalités montre une divergence d’opinion sur le sujet de la mémoire collective : qu’est-ce qui nous permet d’avancer en tant que société?

[enzo-zanello]

Cette photo a était prise en 1969, lorsque les premiers hommes marchèrent pour la première fois sur la lune. Cet exploit historique et scientifique c’est produit lors de la guerre froide. Entre les États-Unis et l’URSS, il y avait une course au niveau de la conquête de l’espace, et sur lequel des 2 pays qui atteindra en Premier la lune. En voyant l’image on constate que c’est les États-Unis qui l’ont atteint en premier. Ce qui m’interpelle dans cet image, c’est surtout le fait que nous avons des preuves réelles que l’homme est allait sur la lune, mais que des conspirationniste disent que ce n’est qu’un coup monté par le Gouvernement. 

[karianneblog]

Lana Šlezić est la photographe qui a prise ces magnifiques photographies. Ces photographies font partie de sa série A Window Inside. Šlezić a voulu représenter l’histoire et la réalité des femmes afghanes. Elle prenait aussi le temps d’écouter l’histoire de ces femmes et de les représenter. Elle aime prendre des belles images et surtout des photographies qui sont honnête. Elle m’inspire grandement, car avoir de l’empathie est la plus grande qualité qu’un photographe puisse avoir et cela se voit dans les images.

Référence des images : http://lanaslezic.com/afghanistan-women-portraits/

[lesphotosdejuliette]

Timothée Chalamet et Armie Hammer, 2020

Voici un cliché pris par le photographe Mario Sorrenti, pour le W Magazine d’avril 2020. La photographie, montre l’acteur Timothée Chalamet (gauche) et l’acteur anglais Armie Hammer (droite). Cette photo avait été prise dans le cadre d’une entrevue pour le film “Call Me by Your Name” de Luca Guadagnino. 
J’ai choisi ce cliché pour aborder la situation préoccupante dans laquelle Armie Hammer se retrouve depuis maintenant plus ou moins quatre semaines. 
Au début du mois de janvier 2021, des allégations ont été faites envers l’acteur anglais en rapport au fait que celui-ci aurait des tendances cannibales. Cependant, celles-ci se sont avérées à être plus que des rumeurs, mais la réalité de l’acteur populaire. Ces allégations sont en train de pousser Armie Hammer, à faire sa “descente aux enfers”. Sa réputation est en mon opinion, bousillée pour toujours et je trouve qu’il est choquant de voir quelqu’un qui était, hier aimé de tous et aujourd’hui vu comme un psychopathe. 
Voici un extrait d'un article ayant été publié le 2 février dernier en lien à la situation sur Armie Hammer: “Il y a quelques semaines, des messages dérangeants partagés sur les réseaux sociaux mettaient en cause Armie Hammer, pointé du doigt pour ses tendances cannibales, violentes et manipulatrices. Si l’acteur de « Call Me By Your Name » a nié en bloc les accusations à son encontre, plusieurs jeunes femmes l’ayant fréquenté ont livré des témoignages glaçants.” Magazine ELLE, France, 02/02/2021.