#Il parle que de cul c’est affligeant
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Lisa : Avec qui as-tu tromper orelsan ? car faut pas se mentir Aurélien, c’est un peu la meuf a qui t’as été le plus fidèle ?
Gringe - T’as percé tout les mystères de ma vie, euhh ouais, orel c’est là personne avec qui jsuis resté le plus longtemps effectivement, c’est la relation amoureuse platonique, ma relation la plus longue ettt euhh la plus ambiguë..mais une relation amicale incroyable
Podcast/piment : le sexe loins des clichés, avec le rappeur gringe.
#orelsan#gringe#casseurs flowters#orelgringe#orel#they’re so fruity#Il parle que de cul c’est affligeant#podcast super ahsksoiajz#il est apparemment pas très bavard au lit ok mec…….?#aller écouter se podcast si vous êtes des groupies
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Les auteurs prévisibles.
Vous adorez que l’on parle de vous, c’est votre sujet de conversation préféré. Malheureusement, parfois, même si c’est rare, la discussion dérape sur quelque chose que vous détestez : les bouquins. C’est bien un truc de gonzesse célibataire, ça, pouah. Si encore ça causait cul ou grosse cylindrée. Bon, néanmoins, vous n’allez pas rester silencieux. Voici une petite aide pour parler du prochain livre à la mode des auteurs français à succès, soyez à la page sans rien lire, soyez incollable sur les prochaines tendances au rayon lecture des librairies. Je vous livre en exclusivité, sans les avoir lu non plus parce que bon, les sujets des prochains bouquins de... ...Frédéric Beigbeder. As usual, Beigbeder va nous dépeindre dans son prochain bouquin les frasques de l’hystérie aristo-parisiano-consumériste, tout en faignant de faire semblant d’être dupe de ne pas en faire partie. Suis-je clair ? Lui non plus. Il y sera question de publicitaires cocaïnés, de putes russes, de littérature étrangère et de divorces honteux. On aura droit à un chapitre entier sur le malheur autobiographique de l’auteur contraint de se soumettre à un contrôle d’identité humiliant, la vie est si dure, pauvre Fred. Delphine de Vigan. Après avoir expérimenté avec un succès plus que confidentiel la littérature de roman de gare et avec une notoriété inquiétante la saga intimiste familiale, Delphine se lance dans un nouveau genre : l’autobiographie romancée. Dans son prochain livre il y aura donc de vraies-fausses réactions à la vraie-fausse suite de son vrai-faux dernier roman, ainsi qu’une profonde réflexion sur la vraie-fausse raison qui pousse un auteur à expérimenter le mensonge dans la littérature. Il n’est pas faux de dire qu’il n’y aura vraiment rien d’intéressant. Emmanuel Carrère. C’est troublant un homme qui s’aime à ce point. Ça transpire de partout le besoin pathétique de reconnaissance. Ses romans ne parlent que de lui, de lui et de lui. Qu’il écrive la biographie d’un meurtrier, d’un dissident russe, d’une victime de tsunami ou d’un bigot agnostique, toutes ses phrases commenceront par la première personne du singulier. Quelle tête il va faire Manu, quand il apprendra que cette année non plus, le Nobel ne sera pas pour lui. Vous avez compris le sujet de son prochain roman où je vous la refais ? Amélie Nothomb. Ah cette brave Amélie. Dans sa prochaine nouvelle, nous suivrons les déboires préadolescents d’une jeune Cunéfrégonde mal dans sa peau avec le veillard Artishippolyte par le biais d’une intrigue qui se devinera dès le premier chapitre, c’est-à-dire à la fin de la deuxième page. Comme d’habitude son nouveau livre fera vingt pages de moins que le dernier, sorti six mois auparavant. Jean-Paul Dubois. Jean-Paul va nous conter, sur ce même ton doux-amer délicieusement affligeant, l’histoire d’un homme de cinquante ans qui perd soit sa femme, soit son père, soit l’estime de ses enfants. Parfois les trois à la fois. Avant, pendant ou à la toute fin du bouquin. Notez les variantes de ouf. L’action se passera pour moitié dans une maison de famille à l’abandon dans la campagne toulousaine et pour moitié dans un appartement miteux de la banlieue de Miami en Floride. Il y sera question certainement de chiens, de tondeuses à gazon et d’équipe de rugby. Quiconque a lu un Dubois les a tous lu. Eric-Emmanuel Schmitt. Prenez un thème de science-fiction niais. Par exemple un juif qui aime un arabe. Un cancéreux qui garde espoir. Un européen qui accueille un migrant. Assaisonnez de citations oubliées de textes sacrés, comme la bible, le livre tibétain des morts ou le programme du RPR. Ajoutez une intrigue aussi plate que la poitrine d’une anglaise fane des sixties, et vous obtenez le dernier roman de Schmitt. Dans dix ans ça sera dans le programme scolaire une lecture obligatoire. Pauvres gosses. Anna Gavalda. Tata Gavalda va nous pondre un zoli bouquin plein de zolis sentiments. Au premier chapitre on se fait la gueule et puis à la fin on s’aime. Le saviez-vous ? L’adjectif gavaldesque vient de rentrer dans le dictionnaire. Définition : trop plein de sentiments pouvant mener à l’écœurement. C’est sirupeux jusque sur la couverture, des pastels multicolores, des hirondelles, un bébé poney. Sur le prochain on verra une licorne qui gambade sur un arc-en-ciel. Si. Douglas Kennedy. Le plus new-yorkais des auteurs français. Ou le plus français des auteurs américains. Surtout le plus malin des auteurs à tiroir-caisse. J’ai lu quatre livres de Douglas (mon Dieu j’ai honte, pardonnez-moi). Sur ces quatre livres il utilise systématiquement le même schéma narratif. Un héros fait quelque chose de génial qui le pousse au top de la gloire/amour/réussite. Puis il trébuche et tombe plus bas que terre. Quand on pense qu’il va se relever, il plonge encore. A la fin du livre enfin il sort la tête de l’eau et retrouve son aura du début du bouquin. Systématiquement le même schéma. Au premier livre on est tenu en haleine. Au deuxième on a l’impression de se faire légèrement avoir. Ensuite on vomit la supercherie. Il paraît qu’il a su depuis changer de style. Je n’ai pas envie de vérifier, il m’a suffisamment fait perdre d’argent. David Foenkinos. L’auteur préféré des institutrices. C’est beau, c’est propret, c’est gentillet et grâce aux correcteurs on n’y décèle que très peu de fautes de syntaxe. Un brin d’humour par ici, un soupçon de suspens par-là, un peu d’amour par ce qu’il faut ce qu’il faut, et au final on se fait chier comme un rat mort. « En cas de bonheur », « Nos séparations », « La délicatesse », « nos souvenirs », « je vais mieux »… On croirait des titres de chansons d’Hélène Ségara. Ce sont ceux de ses livres. Avec tout de même un mérite, il change de style sur son dernier livre Charlotte et opte pour une biographie. Les critiques lui ont du coup décerné le prix Renaudot. Le pauvre. Maintenant il est persuadé de faire de la littérature. Voilà, vous savez tout, ne me remerciez pas. (repasse d’un texte écrit en novembre, légèrement remanié, avec l’ajout de nouveaux auteurs. Comme ça, pof, pour le plaisir). F.
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