#IC encore plus bordel
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Y a des jours j'ai bien envie de remonter un truc bien fantastique et bien crado, pour le plaisir de faire un beau gros chantier visuel et d'univers, mais pouah la flemme
#j'avoue nocti me manque un peu#IC encore plus bordel#mais ais-je vraiment envie et le temps d'admin un truc ?#post blabla de pensée en l'air
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The Kings - Wild cards, Tome 1 : Stacking the Deck — Charlie Cochet
Ex-Special Forces Communications Sergeant Jacopo “Jack” Constantino knows a thing or two about communications technology. As head of Cyber Security at Four Kings Security, Jack spends his days working with high-tech systems. Life for Jack is pretty uneventful—despite working with his brothers-in-arms—and he finds himself longing for a little excitement. Be careful what you wish for. Two years ago, Fitz Harlow captured Jack’s heart and walked away with it. Now he’s back. Fitz spent the last two years picking up the pieces of his life after a disastrous end to a ten-year relationship. After much therapy, and ice cream, Fitz leaves the fashion world behind and returns home to St. Augustine to open his own high-end salon, Hair Comes Trouble. Two years later, Fitz finally has the quiet, peaceful life he’s wanted for so long. There’s only one thing missing, or rather, one man missing, but Fitz has his doubts. With Jack, he’s not just gaining a boyfriend, he’s gaining a boyfriend, his family of mischief-magnet ex-Green Berets, and one highly opinionated Belgian Malinois. Fitz and Jack discover their connection has only grown stronger over time, thanks in part to meddling friends, but just as they start to pick up where they left off, someone takes objection to their reunion. Danger hides in the shadows, a stalker determined to keep Fitz out of Jack’s life, no matter the cost. With the odds stacked against them, can Jack and Fitz win a battle against an unknown enemy, or will Jack lose Fitz forever? The Kings: Wild Cards series is a spin-off of the Four Kings Security series.
De Charlie Cochet publié en Juillet 2020 en Auto Edition [ Amazon ] 267 pages
Cette nouvelle série se déroule dans l’univers de Four Kings Security. Jack et Jocker sans être des Kings font quand même partie de l’équipe et sont proprio de l’agence au même titre que les 4 autres.
Et si vous vous souvenez bien, dans le tome 2 de Four Kings Security, on assiste à une fusillade qui implique le future mec de Red et son meilleur ami Fitz. Dans cette scène Fitz est hystérique après la fusillade et Jack réussit à le calmer et on voit tout de suite que le coup de foudre a été immédiat. Mais la vie de Fitz est un tel bordel à l’époque qu’il lui faudra 2 ans pour remettre les choses dans l’ordre. Alors c’est après 2 ans qu’on les retrouve.
Le point fort de Charlie dans toutes ses séries c’est sa capacité à créer des personnages drôles et super attachants et ça marche à chaque fois. Jack est super gentil, je dirais qu’il est aussi gentil et attachant que Red. Il est juste adorable et Fitz l’est tout autant tout en étant un peu plus profond peut être et plus sujet aux doutes et aux incertitudes. Les deux forment un couple super mignon, mais encore une fois, on a ce sentiment de trop facile, de trop vite qu’on retrouve de plus en plus dans les livres de Charlie.
Ils ne se sont pas vus depuis 2 ans et on dirait qu’ils reprennent le cours de leur histoire sans tracas ni heurts ni mauvais sentiment, juste comme ça. J’aurais voulu de Jack soit un peu en colère, qu’il soit un peu amère, qu’il ne “cède” pas tout de suite. Encore une fois, la dynamique dans ce livre est un peu prévisible et attendue et c’est ce qui me dérange un peu. cette facilité qui ne laisse rien au suspens.
Les personnages secondaires (les Kings et leurs mecs ( bienvenue à Gay City) et Jocker) sont toujours aussi drôles et sympa et c’est un plaisir de les retrouver.
En définitive, ça reste une chouette lecture surtout grâce aux personnages mais rien de transcendant au niveau du récit.
Et bien sûr, maintenant on sait avec qui Jocker sera et ça donne vraiment envie.
#AUTEUR Charlie Cochet#SERIE Wild Cards#Four Kings Security#Auto Edition#MM Romance#MM#Humour#Geek#Uniforme#Lecture VO#Qhuay
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CES RAPPEURS QUI SE SONT TAPÉS LA HONTE AVANT D’ÊTRE CONNUS
Et non, on ne va même pas vous parler de Drake...
Les rappeurs aiment à se penser comme des mecs cool. Si la plupart le sont très probablement, cela ne veut pas pour autant dire qu’ils l’ont toujours été.
Pire, pour certains l’image qui est la leur une fois la célébrité au rendez-vous est en totale contradiction avec ce qu’ils étaient. Et malheureusement pour eux, en 2016 il est virtuellement impossible d’échapper à son passé.
Voici 10 cas que les principaux intéressés auraient préféré oublier.
Quand Rick Ross était gardien de prison
En 2008 une photo surgit sur le net montrant grimé en maton l’homme qui prétend connaître Noriega (le « real Noriega ») et importer en masse des narcotiques sur le sol US.
Si de nombreux doutes planaient déjà au sujet de ses récits, cette révélation fait voler en éclat le baromètre de l’échelle de Rocancourt.
Ross commence par démentir fermement. Puis un peu moins fermement lorsque font surface des documents officiels attestant qu’il a non seulement bien reçu son diplôme de surveillant pénitentiaire, mais qu’il a en plus servi de décembre 1995 à juin 1997 dans une prison de Floride.
Plutôt que de faire profil bas, le bawse laisser alors exploser sa démesure. Jouant désormais son rôle à fond, il devient paradoxalement un bien meilleur rappeur et s’installe solidement sur le trône du rap jeu notamment grâce à l’album Teflon Don sorti en 2010.
Depuis tout le monde sait d’où lui vient son imagination débordante... et plus personne ne prend plus vraiment à un degré 1 les délires mégalo des rappeurs.
Quand Dr. Dre portait du mascara
Avant de débarquer tout droit de Compton avec ses NWA et de révolutionner le gangstérisme de studio à coup de prod’ toutes plus funk les unes que les autres, le bon docteur Andre Young était un fier membre du groupe disco-rap World Class Wreckin’ Cru.
Auteur d’un album intitulé Rapped In Romance (!?), le quatuor passait visiblement un paquet de temps dans la salle de bains avant de monter sur scène.
[Bordel mais à quoi pouvait bien servir ce foutu stéthoscope ?]
Heureusement pour le futur milliardaire, internet et les réseaux sociaux n’existaient pas à l’époque.
Si à sa décharge le rap sortait à l’époque tout juste de sa période glam, Eazy E et Ice Cube trouveront là le parfait prétexte pour contrer l’offensive The Chronic et abreuver d’insultes leur nouveau meilleur ennemi sur les classiques Real Muthafuckin' Gs et No Vaseline.
Quand Prodigy jouait à la ballerine
Mètre-étalon du rap hardcore new-yorkais dans les 90's, Mobb Deep a marqué à la craie blanche la scène rap française pendant plus d’une décennie à coup de boucles de piano et sombres lyrics.
Si sur scène le duo made in Queensbridge transpirait l’agressivité et la paranoïa, à la ville les choses différaient quelque peu.
Passent encore qu’Havoc et Prodigy se soient rencontrés adolescents dans une école d’art de Manhattan, ou qu’à leurs débuts dans le rap ils se la jouaient zulu, ce qui va vraiment écorner l’image du groupe c’est ce concert de Jay Z pour la radio Hot 97 en 2001 où il exhibe devant une foule hilare une photo du jeune Pee en culotte courtes en train de prendre des cours de danse.
Le cliché piqué à sa grand-mère ne le montre certes pas en tutu comme l’a longtemps voulu la légende, mais le mal est fait.
La moitié de la Mafia Profonde a beau eu déclaré trouver la pique « amusante », il n’en est pas moins passé à deux doigts de faire tabasser Jay après l’avoir attendu entouré d’une douzaine de ses lascars à la sortie d’un restaurant.
Quand The Game était un renoi fragile
En 2000, avant les tatouages de loubards et les shakers protéinés, Jayceon Terrell Taylor participe à l’émission de dating bien cul-cul la praline, Change of Heart.
[Un dossier bienveillamment divulgué à la face du monde par 50 Cent et sa bande alors en plein beef avec lui.]
S’en suivent 12 minutes de pur malaise (et pas seulement pour cette liquette d’un gout discutable) pour celui qui clamait sur disque avoir été certifié « OG avant 22 ans ».
Le futur G-Unit/G-Unot se fait humilier non-stop par sa bitch qui lui assène punchlines sur punchlines sous la ceinture : « il ne fait que pleurer comme un bébé », « il est trop sensible », « il joue le gros macho alors qu’il me colle toute la journée », avant de conclure sur cette fatality : « il n’a rien dans le pantalon ».
[Ce traumatisme explique-t-il pourquoi le rappeur collectionne depuis les phototeub sur IG ?]
À la fin de cette séquence de torture, Game plus canard que Donald et Howard réunis décide tout de même de rester avec sa go… tandis que cette dernière le plaque sans sommations (et en public).
Sérieux sur ce coup même Drake a du se foutre de sa gueule !
Quand Eve bossait comme stripteaseuse
Alors qu’elle n’était pas encore la Première Dame du crew Ruff Ryders, Eve quitte à 17 ans à peine le domicile familial avec pertes et fracas.
En attendant de devenir une rap star, pour joindre les deux bouts elle décide, non pas d’aller retourner des steaks dans un fast food, mais plutôt d’aller retrouver ses copines de l’époque sur la scène d’un strip club miteux de Philadelphie.
[En même temps on parle de quelqu’un qui a des pattes de félin tatoué sur les boobs…]
L’expérience professionnelle durera deux petits mois, jusqu’au jour où Ma$e fait sa connaissance sur son lieu de travail. Celui qui se reconvertira en pasteur quelques années plus tard commence à lui faire la leçon et la convainc de changer de voie.
L'affaire est ensuite vite oubliée, mais en 2003 des photos de ses exploits passés fuitent. Après les dénégations habituelles (#BlameItOnPhotoshop), Eve reconnaît les faits.
Loi des séries oblige, peu de temps après un nouveau scandale pointe le bout de son nez : sa sextape avec l’ancien producteur de l’écurie Stevie J. se retrouve sur le net.
Question : existe-t-il encore quelqu’un sur terre qui n’as pas vu Eve dans la tenue du même nom ?
Quand Tyga passait pour ce qu’il était
Difficile de nier l’envie sincère et profonde de Tyga de devenir un rappeur.
Reste que pour ce faire, plutôt que de bosser sa street crédibilité et ses performances au micro, le petit ami de… va tenter dès le départ de prendre des raccourcis.
En 2008 il participe au pilote de l’émission Bu$ta sur MTV dont le concept parle de lui-même : mettre en concurrence des wannabe MC, les initier aux codes du rap bling-bling et se délecter face caméra de les voir se planter dans les grandes largeurs.
Heureusement pour le Tigrou du rap, le show ne sera pas reconduit. Un répit de courte durée puisque les rushs finiront pas être rendues publiques en 2012 par le site TMZ.
Aqouarde à souhait, sa performance lui vaut dans le désordre : de passer pour un crevard auprès des meufs, de se faire copieusement huer par le public, de rimer comme avec le niveau de vocabulaire d’un CE1 ou encore d’avouer le plus candidement du monde que ses parents roulaient en Range Rover lui qui a toujours clamé avoir grandi à Compton.
Tyga aura beau se justifier par la suite en arguant que toute l’émission était mise en scène, personne n’y croit : le fail lui va si bien.
Quand Eminem balançait des rimes racistes
En 1993, suite à une rupture houleuse avec sa copine black, celui qui ne s’est pas encore transformé en blondinet Slim Shady kicke deux freestyles (So Many Styles et Foolish Pride) qui s’en prennent au supposé matérialisme des femmes noires et qui, sacrilège ultime, utilisent le N-word.
« All the girls I like to bone have big butts/No they don't, 'cause I don't like that n****r shit/I'm just here to make a bigger hit. »
« Black girls only want your money cause they're dumb chicks »
Attiré par l’odeur du sang, Ray Benzino, le propriétaire du magazine The Source alors en guerre ouverte avec toute la clique Aftermath/ Shady/ G-Unit, retrouve l’enregistrement et surexploite comme jamais l’incident à coup de numéros spéciaux et de déclarations de vierge effarouchée.
Pas de chance pour lui, on parle ici d’Eminem. Le Rap God va d’abord s’excuser platement avant de contre-attaquer en repassant derrière le micro. Résultat, le morceau Yellow Brick Road qui revient en détails sur l’affaire est considéré comme l’un des meilleurs textes de sa carrière.
L’incident est clôt, Em’ redevient le white boy préféré du rap, et Benzino retourne à l’anonymat qu’il n’aurait jamais dû quitter.
Quand Action Bronson jouait dans une pub pour tampons
Dayoum on a trouvé le Julien Clerc du rap cainri.
Avant qu’il se ne mette à rimer assidument sur les joies de l’empire du milieu, le plus gourmet des MC est apparu dans un spot télé d’un genre particulier.
En 2013, à titre « d’expérimentation sociale », la marque Kotex a suivi en caméra cachée une femme allant demander au hasard à divers hommes marchant dans la rue d’aller lui acheter ses tampons.
Évidemment la plupart des sondés affichent un visage interloqué. Et parmi eux on aperçoit Action Bronson qui se fend alors d’un « what ? » aussi bref que circonspect.
Ce que la caméra ne montre pas en revanche, c’est que le rappeur lui a effectivement rendu service comme il l’a reconnu plus tard sur son compte Instagram.
Quand 2Pac montait sur scène habillé comme ça
Durant ses jeunes années celui qui deviendra l’ambassadeur de la thug life étudiait l'art dramatique, la poésie, le jazz… et prenait des cours de ballets à la Baltimore School Of Arts.
Loin des bandanas rouges et bleus et autres histoires de drive-by, ‘Pac rencontre alors celle qui deviendra sa meilleure amie, Jada Pinkett. Ironiquement le duo a enregistré sur fond vert un playback de la chanson Parents Just Don’t Understand interprétée par celui qui deviendra son futur mari, Will Smith.
Si la séquence est wtuckesque en diable (tout comme celle datant de la même époque où il se plaint du manque d’empathie des filles pour les nice guys de son genre), rien n’atteint le degré de magnitude de la photo postée ci-dessus – et pas seulement parce qu’habillé comme ça le rappeur risque d’attraper une angine.
Le cliché date de la période où 2Pac officiait comme danseur pour Digital Underground, groupe célèbre pour avoir popularisé la Humpty Dance.
Le malaise montera encore d’un cran quand il posera quelques années plus tard à oilp dans sa baignoire ou en débardeur en cuir à bretelles pour le photoshoot du livret d’All Eyez On Me…
Quand Jay Z swagait la chemise hawaïenne
Avant de porter le costume trois pièces avec autant d’aisance que le pyjama et de name dropper à la chaîne des marques de luxe connues des seuls super riches, c’est peu dire que Shawn Carter s’est cherché question style.
En 1989, pour sa première apparition clippée aux côtés de Jaz-O sur Hawaiian Sophie, un titre fleurant bon la niaiserie et le racisme innocent, le futur roi de New-York pique allégrement la vedette à son mentor.
Malheureusement ce n’est pas dû à la qualité lyricale de ses deux ad libs et demi, mais plutôt à l’effet comique involontaire de la mise en scène (Jay débarque tombé du ciel, suspendu à une corde) auquel s’ajoute le combo chemise et collier à fleurs. #NonMaisAloha
Bref on se croirait plus dans une mauvaise parodie d’un rap à la Fresh Prince & Jazzy Jeff que dans une ambiance Big Pimpin.
Et non l’excuse cosplay Tony Montana n’est absolument pas recevable.
Publié le 3 mars 2017.
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Pentagono Hip Hop South America Chili
https://telavivcity.co.il/?p=6736&utm_source=SocialAutoPoster&utm_medium=Social&utm_campaign=Tumblr The City that never sleeps Pentagono Hip Hop South America Chili https://telavivcity.co.il/?p=6736&utm_source=SocialAutoPoster&utm_medium=Social&utm_campaign=Tumblr Extra Stuff from the documentary "Made in Casa" starring the hip hop santiago de chile 's hip hop movement. Rush du film reportage "Made in Casa", musique et culture avec le mouvement hip hop de Santiago du Chili. Material del documental "Made in Casa" realisado en Santiago de Chile con la movida "local" (aweonado al maximo !) desde la Casa del Olate, La florida 17 52 ‘version with Luchito La Mantekilla Digital & DJ SeeAll Anita Tijoux FDA Lulo & La Legua York El Pentagono Reino Eterno & DGKstarr Estrellas del Porno Yo Mando crew (Sertero, Olate, Dj Mataskaupas, Kamaleon) Documentaire documentary Hip hop rap chile chili latino latin espagnol hardcore south america amerique du sud america del sur spain freestyle music musique court métrage movie film pelicula underground mantekilla digital dj mona CHR manu chao tracks mtv independant sfdk mucho muchacho rocca orishas latin thug cypress hill immortal technics jedimindtricks brazil venezuela argentina peru latin hop dog dogs nelly furtado latino gang reggaeton trailer Pinochet Jara Chavez Alliende Lula brazil Colombia colombie bresil Venezuela argentina argentine espagne espagnol cypress hill baby grande immortal jedimindtricks rocca orishas hocus pocus the roots anita tijoux makiza control machete épisode 007 07 95 360 2003 2004 2005 2006 2007 academy accident africa afrique age air album alchemist alcool alger all allah amateur american amis amour amusant amv angel animé animal animation animaux anime anniversaire annonce ans are art arthur artiste ass attaque auto avion aviv awards bébé baby bac back bain ball ballon band bande bar barcelone basket bass bazooka beach beat beau belle best bien big bite black bleach blog blue blues bmw bob bond booba bordeaux bordel boxe boy boys break burn but buts cagoule cam canal car carlos cars cascade casino cat cent champions chanson chant chanteur chanteuse chat chatte cheval chevaux chez chien child chirac christina chute ciel cinema cité city clash clip clips club combat comedie comique compagnie con concert contre cool coup coupe course court crash crazy cry délire dance danse david day dbgt dbz dead death debile deep delire dessin dieudonné dirty disco Dogg down drôle dragon drift drole dvd eau electro elle eminem encore ending enfant enfants english paris latino lorie 118 Project shawn kany west seyfu kamini koxie entier episode eric est explosion extreme fait famille fan fantasy fatal fc feat femme festival feu fight film final finale FN folie foot football fort fou fous fox français francais france free freestyle full fun funk funny générique gag game gamelle gay ghetto glace goal gohan goku good grand groupe gta guerre guitar guitare hard hardcore harry heart high hill hip hiphop homme hop house how humour hunter i'm ice ils interview israel italie jack jackass jackson jamel james japan japanese japon jazz jean jeu jeunes jeux joe joey john johnny jones journal jpop juif jump juventus k1 Kamini kick killer king lady last lee life lille linkin live lol los lost love lucas lyon métal machine madonna madrid mafia magic magie maison malcolm man manga mangas manifestation mariage marie maroc marrant marseille match matrix matt mdr men mer merde mes metal metrage michael mickael moi monde montage moon morning mort moto movie mtv music musical musique naruto nas nature nba neige new news nice nike nintendo noel nord not novembre ntm nuit one opening ouf out palestine par paris park parkour parodie part partie party pen people pes pes6 pet petit petite peur piano piece piste plage play plus pokemon police politique pop pride prince prison pro production ps ps2 psg pub puissance punk que radio Rage ragga rally rallye rap real red reggae remix reportage ride rigolo rire rnb rock Rohff roller ronaldinho ronnie rouge royal royale rue rugby run Ségolène sailor saint saison sang sangoku sarko sarkozy sasuke saut school scott seb sefyu serie show singe sionisme skate sketch ski snoop soccer socialiste soirée solo song soul spectacle sport star street strike studio stunt super supporter system team techno tel tenkaichi terre test tf1 thomas tony top tour tournoi tout trailer train trance tricks trip trop tuning tunisie tv ump usa vélo van vegeta vidéo vie vieux villareal violence voiture vostfr voyage walk war way web webcam Wii with world wwe xbox youn zidane zizou paris latino lorie 118 Project shawn kany west seyfu kamini koxie Likes: 16 Viewed: 14963 source #America #Chili #Hip #Hop #Pentagono #south #telavivbeach #telavivmap #telavivmuseum #telavivweather #tel-aviv TEL AVIV - THE CITY THAT NEVER SLEEPS #gaypridetelaviv2019 #TELAVIVPRIDE2019 #Uncategorized
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Découvrir Miami en 3 jours
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Découvrir Miami en 3 jours
Tu as des étoiles dans les yeux quand tu prononces Miami ? Ça tombe bien, on te propose de te faire découvrir la ville en 3 jours ! Version plutôt famille que boumboum musique à fond !
Découvrir Miami en 3 jours
Miami, c’est un peu la ville qui fait rêver quand on t’en parle. Du soleil à gogo, la plage, les maîtres-nageurs et la fête 24h/24… Mais il y a d’autres petits endroits à découvrir dans cette ville, et il vaut mieux, car bébé Valentin, il n’aime pas encore la musique à fond dans ses oreilles.
Du coup, on va plutôt te faire découvrir la ville façon famille, ce qui n’a pas été une chose facile à certains moments ;-).
Jour 1 : l’arrivée à Miami
On te fait découvrir Miami dans le cadre d’un road trip de 2 semaines en Floride.
En arrivant à Miami, pourquoi ne pas se détendre un peu, après la route ? La piscine naturelle Venetian Pool, dans le quartier de Coral Gables te tend les bras. Elle est interdite aux enfants de moins de 3 ans…
L’eau est 100% naturelle et renouvelée à 100% toutes les 24h. Et le lieu est canon !
Après ces quelques heures de repos, il est temps de rentrer dans le vif du sujet : la mythique avenue Ocean Drive.
Non parce-que t’es pas venu là pour enfiler des perles mais bien pour ressentir l’ambiance Miami, voir les belles voitures qui défilent et les jolies filles qui paradent, le tout dans une ambiance art-déco (ben vi, les hôtels, c’est leur style).
Donc, pour en revenir à Ocean Drive, dans le quartier de South Beach à Miami Beach (tu suis ?) : une petite balade s’impose. Juste par curiosité. C’est assez marrant car c’est un mélange de frimeurs en grosses voitures, de fêtards dans les hôtels, de touristes qui viennent « mater », le tout dans une ambiance palmiers/sono à fond/bord de plage.
C’est un peu l’essence de l’avenue la plus célèbre de Miami. On t’avoue que c’est marrant 5 mins mais pas le plus pratique avec un bébé (surtout pour le bruit). Et c’est de pire en pire une fois la nuit tombée.
En échappatoire, tu peux prendre la contre-allée qui est entre l’avenue et la plage, très sympa à faire. Ambiance Miami avec bodybuildeurs, vélo et skates ! L’occasion d’admirer le style néo-rétro des hôtels qui bordent l’avenue. C’est joliiii !
Un truc pas mal : les hôtels proposent tous des cocktails géants pour pas cher (25$ les 2 cocktails, que t’auras l’impression d’en boire 4 d’un coup tellement ils sont servis dans des verres immenses).
Bref, ta 1ère journée s’achève, mange-toi une part de pizza et va te reposer (ou faire la teuf jusqu’au bout de la night ;-). It’s up to you !
Jour 2 : le grand tour
Pour ce 2ème jour, on te conseille d’être matinal. Petit déjeuner rapide à Starbucks, pour filer au Parc de Key Biscayne (8$/entrée).
Tu remarqueras que vers 9h du matin, les rues de Miami sont quasi-désertes, un bonheur !
Donc, pour en revenir à Key Biscayne, une petite visite au phare s’impose (tu peux y monter, c’est gratuit), avant une marche en bord de mer et un petit tour sur la plage. Attention, car, le weekend, c’est souvent pris d’assaut.
Le lieu est reposant, c’est agréable d’y aller pour souffler un peu. Pour l’étape suivante, tu vas jouer au touriste, le vrai de vrai, celui qui prend le bus à double-étage découvert ;-).
C’est la 1ère fois qu’on prenait un bus de ce genre et on a trouvé ça pas mal du tout. Big Bus propose 3 tours distincts (40$/personne). Le ticket te donne l’accès sur 2 jours, donc de quoi tester les 3 circuits. On a pris le circuit rouge, celui qui serpente dans Downtown, passe par Little Havana, Wynwood, etc… Ça dure 2h, et tu montes/descends quand tu veux aux différents arrêts.
Franchement, une bonne expérience, et pourtant, on avait de sacrés à priori avant de le faire.
A Little Havana, on a fait un petit stop pour manger une glace excellente chez Azucar Ice Cream et voir les joueurs de dominos dans le parc d’à côté.
En fin d’après-midi, retour sur Ocean Drive pour le début du coucher du soleil, via la contre-allée, avec notre cher astre solaire qui descend derrière les hôtels, pour rejoindre le Montys, un bar branché de South Beach.
Bon, à ne pas faire avec un bébé, trop de musique. On est rentré et ressorti aussi sec. Dommage car le bar donne sur la marina, tu vois bien le sunset, et y’a une piscine. A faire mais pas avec des enfants en bas-âge.
Du coup, on a dîné au Bolivar Restaurant : super bon mais devient bruyant au bout d’un moment (comme la majorité des restaurants de South Beach d’ailleurs).
Bref, tu commences à le comprendre, mais Miami avec un bébé, c’est pas toujours gagné.
Jour 3 : tour des quartiers
Si tu es un peu joueur ce matin, rend toi sur la plage de South Beach aux alentours de 8h30, pour te prendre en photo sur les cabanes, normalement interdites, des maîtres-nageurs ;-). Avec un maillot de bain rouge, bien sûr.
Et juste à côté, ce trouve le Front Porch Café pour un super petit déjeuner, miam. Prend des forces car, pour la suite, c’est direction Wynwood en bus (important pour la suite de ne pas y aller avec ta voiture).
Wynwood, c’est ce fameux quartier de Miami rempli de fresques murales. Il y a bien sur le Wynwood wall, qui est un espace d’exposition des fresques, et toutes les rues aux alentours, dans un quartier un peu abandonné. Il suffit de te balader un peu pour en voir partout, de toute sorte. Les fresques sont en général recouvertes tous les ans pour en accueillir d’autres, d’artistes souvent célèbres dans le milieu.
On te conseille ensuite d’aller déjeuner à Wynwood Yard, un espace en plein air avec food trucks, concerts, musiques, etc. C’est très sympa d’y faire une pause.
Direction ensuite le quartier huppé : Miami Design District. A toi les boutiques de luxe et les expositions d’art contemporain en plein air (que ce soit les batiments en eux-mêmes ou les sculptures exposées).
Pour la prochaine étape, tu vas pouvoir prendre l’air, enfin l’eau plutôt… RDV au Bayside Marketplace (à 1h à pied ou 20 mins en bus), pour prendre le taxi bateau : watertaxi ! Le but est de traverser la baie et de rejoindre South beach en bateau. Avec vue sur la skyline. Manque de bol pour nous, on n’a pas pu le tester à cause du salon nautique (qui mettait bien le bordel sur Miami pendant notre séjour).
Fais bien attention aux horaires des watertaxis, ils ne sont pas nombreux.
Rend toi ensuite à South Beach Pier pour un coucher de soleil magique sur la baie et la skyline…
Pour dîner, on a testé Cibo, un restaurant Italien branché car il y avait 2h30 d’attente pour Joe’s Stone Crab. Une institution à Miami, mais ultra fréquentée…
Le mot de la fin
On t’avoue qu’on n’a pas plus que ça apprécié la ville de Miami. Surement parce-qu’avec un bébé, on est plus limité. La ville ne s’y prête pas, notamment à cause du bruit (musique à fond quasiment partout, pétarades en permanence dans la rue).
Voici aussi quelques conseils en vrac : si tu as une voiture, prend un parking car la rue est généralement réservée aux résidents (budget à prévoir). Réserve bien aussi tes restos/hôtels à l’avance en haute saison, c’est pris d’assaut, littéralement.
Enfin, regarde s’il n’y a pas un gros salon de prévu au moment où tu te rends à Miami (genre salon nautique). En effet, ça a tendance à pas mal paralyser la ville (bouchons, engorgements, modifications d’horaires, etc).
Il va aussi s’en dire qu’en 3 jours, tu n’auras pas fait le tour complet de la ville mais on espère t’en avoir donné un petit aperçu ;-).
D’ailleurs, si tu as d’autres incontournables à proposer, n’hésite pas à les ajouter en commentaire.
Pour bien dormir !
Nuit à The Marlin Hotel.
Pour bien visiter !
Visite en Big Bus
Venetian pool à Coral Gables
Key Biscayne National Park
Wynwood Wall
Watertaxi
Pour bien manger !
Wynwood Yard
Bar Montys à South Beach
Bolivar Restaurant
Front Porch Café
Cibo ou Joe’s Stone Crab
Quelques conseils pour ton séjour en Floride !
Budget :
Vols : Miami reste une destination plutôt accessible (tu peux aussi atterrir à Fort Lauderdale). Hors vacances scolaires, tu dois pouvoir trouver des vols à partir de 450€ AR. Voir moins de 400€ avec escale.
Restaurants (c’est important !) : à moins de manger au fast-food tous les jours, les restaurants corrects sont plutôt pas donnés (entre 20 et 30$ le plat). Par contre, tu peux souvent manger à 2 dans un seul plat tellement c’est copieux.
Pourboires : jamais obligatoires mais recommandés dans les restaurants notamment (entre 16 et 20% de l’addition en fonction du service).
Hôtels : le plus gros poste de dépense aux USA. Difficile de s’en sortir à moins de 250$/nuit dans un hôtel correct (à la mode US) en pleine saison.
Location voiture/essence/péages : c’est la bonne surprise. Compte à partir de 450€ les 15 jours de location pour un SUV (+taxes et frais divers : 100€). L’essence n’est pas chère (dans les 30$ le plein), et le Sunpass pour les péages est à 8$/journée (indispensable selon nous pour un road trip en Floride).
Activités : les parcs nationaux ne sont pas très chers (en moyenne 6$). Pour le reste, encore une fois, ce n’est pas donné selon nous.
Taxes : les taxes sont souvent non comprises dans les prix des hôtels, des activités, etc. Ils te rajoutent ça tout à la fin (environ +6%).
Data/mobile :
On te conseille d’acheter une carte SIM locale à l’avance chez Sim-Usa, pour profiter d’internet et du GPS google maps de ton smartphone. Bien plus pratique qu’un GPS, et tu as aussi accès à tes sites préférés. Vérifie bien que ton smartphone est compatible avec le réseau USA (un outil est disponible sur le site, certains smartphones français peuvent être limités).
Indispensables :
Esta : obligatoire pour entrer aux USA. Tout se passe sur le site officiel ESTA. Il t’en coûtera 14$ et c’est valable 2 ans
Anti-moustique et crème apaisante (surtout pour les appeaux à moustique comme AnneSo)
Crème solaire
Adaptateur électrique et chargeurs usb
Appareil photo (pourquoi pas le même que nous 😉 + trépied.
En vrac :
Réserve tes hébergements et visites à l’avance, car cela se rempli trèsss vite en pleine saison.
Gaffe aux frais bancaires (idée pour la prochaine fois : ne pas oublier de tester une CB sans frais à l’étranger). Genre Revolut (on vient de la prendre) ou NP26.
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L’Eneide
16 Août 2017
Voyage initial :
Nantes, 7h06 → Paris Montparnasse, 9h12
Paris Est, 10h48 → Strasbourg, 12h41
Strasbourg, 14h52 → Offenburg, 15h22
Offenburg, 15h27 → Kassel, 18h41
Kassel, 18h57 → Hamburg, 21h28
Le temps se prêtait au voyage. Une lourdeur électrisante dans l'atmosphère déclinait l'intensité de la journée, comme un avertissement ou un reproche. Hambourg m'attendait avec impatience.
Il fût 7h06 quand je mis mon corps dans le premier train. Des frissons me parcoururent, un sourire béat se dessina sur les 3 heures de ce Nantes-Paris. Passé 9h, je sortis du TGV et l'odeur tapa les sinus, nauséabond, refoulé et humide, une seconde peau gorgée de CO2 apparut : nous sommes bien à Paris Montparnasse. Défiant même la théorie de l'évolution, je m'engouffra dans les immenses tunnels parisiens. La créature la plus évoluée du monde recréait le seul but du ver de terre. Vient enfin la Gare de l'Est et mon train pour Strasbourg. Aucun problème ne fût à déplorer, le trajet se fit en moins de 2h, et bordel que c'est court. En 5h30, la France fût traversée, de part en part, d'extrême à un autre extrême. Franchement, c'est incroyable. L'excitation ne descendit pas, au contraire à l'arrivée de Strasbourg, je dus attendre 2h pour un train à destination de Offenburg.
C'est exactement à Strasbourg que les choses se compliquèrent.
Cliffhanger.
Je pris un TEX (train régional en direction de l'Allemagne) pour cette fameuse gare de frontière allemande. Ce qui n'était pas vraiment évident, c'est que j'avais 5 minutes pour effectuer le changement. 5 minutes dans une gare allemande que je ne connais pas. Je ne vais pas vous cacher que j'ai transpiré pendant les 30 minutes de trajet. Le nez collé à la porte, valise à la main, tel une vieille ayant peur de rater son arrêt, je descendis alors. Manquant de renverser un T21, je courus vers la sortie, espérant trouver un panneau d'affichage. Mes yeux roulèrent sur tout mon environnement, l'analyse fût-elle brève mais l'âme du fils du cheminot était belle et bien présente. Aucune foutue information n'arriva à mon cerveau, je ne comprenais absolument rien. Avec un demi souffle au cœur, j'ai dû demandé mon chemin, personne ne sut me répondre. Exceptée une, qui m'a annoncé que je devais aller sur le quai où je suis arrivé. N'ayant pas le temps de discuter de ma stupidité et de ma honte avec mon sur-moi, je fis des bonds disgracieux, proches d'une imitation équestre, vers le quai précédemment quitté. Et de là, un magnifique retard de 15 minutes vint sauver mon empressement.
Force est de constater que la DB (seule compagnie publique de chemins de fers allemande) a un matériel plutôt équilibré, spacieux, neuf mais évidemment lent. Ici on ne parle pas de TGV, ou encore de lignes à très grande vitesse, mais de ICE. Ce type d'équipement divise nombre d'utilisateurs, ceux-ci sont propres et presque luxueux, comme tout le reste de l'Allemagne. Le gros point négatif vient de l'organisation, l'imprévu n'est pas toléré par la DB, tout doit se faire selon les règles. Mais dès qu'il y a un écart, la fameuse efficacité allemande s'effondre.
Il était 15h45. Alors à bord de mon ICE à destination de Kassel, une vive voix retentit des hauts parleurs. Je ne pris pas la peine de l'écouter mais le monde autour de moi semblait l'avoir comprise. Les passagers se levaient, rangeaient. Un curieux sentiment s'empara de moi. Je demanda ce qui se passait à une jeune allemande : nous devons descendre à Baden Baden pour prendre un bus qui doit nous amener à une autre gare. Putain.
Il était 16h30. Environ 600 personnes attendaient les quelques bus dépannés par la DB. Nous ne savions toujours pas le pourquoi du comment. Que s'était-il passé ? Comment allions-nous avoir nos correspondances ? Rien, nada. Aucun personnel de la DB n'était sur les bords de la gare routière. Les bus devaient nous amener dans une petite gare de campagne : Rattat ou quelque chose comme ça, pour ensuite reprendre un train pour aller à Karlsruhe. J'étais complètement perdu, je n'avais pas de connexion internet, très peu de batterie. Essayant de réfléchir tant bien que mal avec des kinder qui gueulaient comme si on les égorgeait, j'ai pris la décision de dormir à Karlsruhe et de reprendre le train demain, quitte à payer une nuit pour rien. Le manque de communication, la fatigue, l'énervement face à l'incompétence flagrante de la DB ont fait que j'ai commencé à jurer très largement. Tous les Allemands ne disaient rien, à l'heure actuelle il y aurait eu une deuxième Révolution en France. Un jeune homme s'avança et me demanda une cigarette. En français. Un regain d'énergie et de courage revint. Yohann était suisse, d'où sa maitrise parfaite de l'allemand et son relativisme exacerbé voir exacerbant. Il était parti de Genève d'où il a quitté sa petite amie et devait aller à Dortmund où il résidait actuellement.
Il était 18h15 lorsque nous venions d'arriver à « Rattat », une petite ville à la frontière franco-allemande, très colorée et curieusement très agréable. Une petite rivière coulait tendrement, les maisons collées souriaient, non pas moqueuses mais admiratives. L'architecture y était purement rhénane mais non industrielle, des briques rouges tournant vers le marron, des édifices religieux de saints peu communs. Et cet air, cet air si pur et si sucré que l'on pouvait deviner au nombre de plantations de tournesols. La gare de campagne fût assaillie de centaines de personnes, cassant alors le rythme des oiseaux et des feuilles. Sur le quai, nous avons croisé un couple de retraités allemands parlant parfaitement français. Le pourquoi du comment avait maintenant un sens : un tunnel s'est à moitié effondré paralysant alors toutes les personnes désireuses de remonter vers le Nord de l'Allemagne. D'après ce retraité, la DB ne pouvait pas affréter de nouveaux trains, car les lignes étaient blindées ou qu'elle ne voulait pas redispatcher les clients. Elle était donc obligée de nous faire passer le tunnel (qui resta bloqué pendant 2 jours) via des bus. Une superbe idée de merde.
Il fût 19h45 quand nous arrivâmes à Karlsruhe. Un très grand dilemme se présenta à moi : soit je prenais un train en direction de Berlin et m'arrêtais à Kassel pour essayer de rejoindre Hamburg, soit j'attendais une 1h30 à Karlsruhe et prenais un direct pour Hamburg. L'aventure appela l'aventure, et la débilité par conséquent, je décida de rejoindre Kassel, quitte à y dormir. Je laissa donc Yohann à Karlsruhe en lui souhaitant bonne chance et bonne continuation.
Il était 21h30 quand j'entendis des cris de joie dans le train. Trop occupé à regarder les hôtels les moins chers à Kassel, à rechercher les plus beaux shitposts d'internet, un arrêt sauvage arriva. Me précipitant vers la sortie pour fumer 2-3 taffes (les arrêts sont extrêmement courts, d'environ 30 secondes), je bouscula un gars, qui me dit textuellement : « oh là camarade, fais gaffe ». Il essaya ensuite tant bien que mal de le retranscrire en anglais, et je me mis à rire bien trop fort. Charles voyageait avec Baptiste, ils sont partis de Cergy Pontoise, dans la banlieue nord de Paris. Ils avaient une bonne vingtaine, approchant les 30 ans à vrai dire. Nous avions tout trois alors les mêmes similitudes de trajet, à l'exception qu'ils allaient à Berlin, dernier arrêt du train. Ils étaient bien amochés par les dizaines de bières que des Allemands leur avaient laissés, et ils me proposèrent de m'en payer une. Diable que cette bière allait être libératrice, mais aussi déviante. Les deux banlieusards allaient à Berlin pour visiter les vestiges de la RDA et du communisme. Non pas moins heureux et moitié ivre, le meilleur système politique venait sur la table. Une annonce vint réveiller ma torpeur soviétique. Pour Hamburg, nous devions nous arrêter à Fulda, alors à mi chemin entre Strasbourg et la Destination Finale. J'abandonna donc mes deux joyeux camarades, je descendis du train, un peu abasourdi et une bière à la main.
Pendant ces dix minutes d'intervalle, une jeune femme vint me demander un briquet. Ses longs cheveux blonds étaient attachés de façon décousue, mais restaient sophistiqués. La justesse de ses yeux bleus impliquaient une certaine connaissance des personnes et du voyage. Des traits fins parcourent un visage extrêmement féminin, sans que la provocation n'y joue. Et ce sourire, ce sourire à déclencher des guerres. Solveig venait de Milan, s'arrêtait pour une nuit à Hamburg avant de repartir pour la Norvège de ses grands parents. Des banalités s'échangèrent, elle me racontait des histoires honteuses à propos de mes compatriotes. (C'est vrai que les Français en groupe à l'étranger, on est vraiment les plus flingués. On gueule fort, on boit énormément et on tape un bordel pas possible. On est vraiment la Nation qui pue la merde hors de nos frontières) Deux bières passèrent, et l'idée d'aller danser vint comme une illumination, purificatrice et bienfaisante.
Il était 00h40, et ça y est Hamburg était sous nos putains de pieds. Pas le temps d'admirer quoi que ce soit, je téléchargea l'application VTC du coin et me mit en route pour mon appartement. Dominik, mon hôte, m'attendait gentiment, je déposa ma valise, me changea rapidement et reparti. Conscient de la fatigue, je me suis dit que je ne ferais pas long feu. Nous nous rendîmes alors au PAL sous les bons conseils d'Anna, qui connait bien plus Hamburg. C'était une espèce de maison, collée à une autre, qui abritait aussi une boite, qui semblait bien plus flinguée, le Castel des Caves en fait (même si les Caves c'est de la merde). La queue n'était pas vraiment grande mais les Allemands prennent apparemment leur temps pour faire rentrer les gens, mais pas les potes. Des personnes ne pouvaient pas rentrer puisqu'elles étaient mal fringuées, voir très mal. Un mec avait une espèce de chemise dragon et une veste de costard mal coupée en coton. La consécration pour le beauf allemand. Avant d'être rentrés, des pastilles ont été mises sur nos appareils photos de portable, et ils n'arrêtaient pas de nous dire d'aimer le moment présent, blablabla. C'est une putain de bonne idée ! Le lieu était constitué d'une petite terrasse, de plusieurs pièces avec deux scènes principales différentes. La techno jouée était furieusement bonne.
Il était 5h20 quand ma tête toucha un oreiller, un coma à l'horizon, je dormis, heureux d'y être arrivé.
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/apaches-un-collectif-dans-la-ville/
Apaches : un collectif dans la ville
Le collectif Apaches joue de la musique en jouant avec elle, pour un résultat harmonieux et joliment produit
Ils se définissent eux-mêmes comme « une partouze musicale », biais plutôt imagé pour décrire un collectif bigarré au son résolument moderne. Apaches rassemble les univers de plusieurs artistes différents, en formant « un laboratoire à ciel ouvert » permettant les expérimentations les plus folles et les résultats les plus convaincants. Le joyeux groupe travaille à l’ancienne, avec une production au budget minimal et un goût certain pour l’aventure : matériel mutualisé, studios changeants…
Avec leur joyeux bordel sur le dos, Apaches a su se construire une petite renommée. Aujourd’hui, le collectif fait la tournée des salles parisiennes (et ailleurs), en transportant son univers non identifié. Après s’être déjà produit au Pop Up du Label, au Hasard Ludique ou encore au Petit Bain, Apaches vous donne prochainement rendez-vous au mois d’août pour une soirée qui célèbrera les 30 ans du Sub Club. A cette occasion, Apaches sera en première partie de Harri & Domenic, dans la belle salle du Badaboum.
En se succédant aux platines, sans setup prédéfini, Apaches promet de surprendre à chaque concert. Si vous les avez déjà vus, vous les redécouvrirez changés. Si vous les écoutez pour la première fois, la seconde sera encore différente. Cette versatilité toute étudiée est sans doute le charme principal de ce collectif de gars passionnés dont on vous conseille de découvrir les univers sur leurs pages Facebook respectives.
AEL www.facebook.com/aelmusicpage AGAPE www.facebook.com/agapesoundsystem BUMBY www.facebook.com/magicbumby DNÂ https://www.facebook.com/dansnosames FORM www.facebook.com/akousmaticform J.AYA www.facebook.com/Ezhno1/ JON SON www.facebook.com/jonsonmusic KIU MC www.facebook.com/KIUmc13x7 LA HERO www.facebook.com/yolahero LOUIS HAZY www.facebook.com/Louis-Hazy-1413552248859511 OMIG MIGO (DJ) www.mixcloud.com/omigo TIFANI SAUVAGE www.facebook.com/wearesauvage Fang The Great : https://www.facebook.com/FangSquadNine/
Allyson Ezell : https://www.facebook.com/allysonezell777/ Mvssvcre : https://www.facebook.com/mymvssvcre
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Mantekilla Digital - Chilean Hip Hop
https://telavivcity.co.il/?p=6767&utm_source=SocialAutoPoster&utm_medium=Social&utm_campaign=Tumblr The City that never sleeps Mantekilla Digital - Chilean Hip Hop https://telavivcity.co.il/?p=6767&utm_source=SocialAutoPoster&utm_medium=Social&utm_campaign=Tumblr Extra Stuff from the documentary "Made in Casa" starring the hip hop santiago de chile 's hip hop movement. Rush du film reportage "Made in Casa", musique et culture avec le mouvement hip hop de Santiago du Chili. Material del documental "Made in Casa" realisado en Santiago de Chile con la movida "local" (aweonado al maximo !) desde la Casa del Olate, La florida 17 52 ‘version with Luchito La Mantekilla Digital & DJ SeeAll Anita Tijoux FDA Lulo & La Legua York El Pentagono Reino Eterno & DGKstarr Estrellas del Porno Yo Mando crew (Sertero, Olate, Dj Mataskaupas, Kamaleon) Documentaire documentary Hip hop rap chile chili latino latin espagnol hardcore south america amerique du sud america del sur spain freestyle music musique court métrage movie film pelicula underground mantekilla digital dj mona CHR manu chao tracks mtv independant sfdk mucho muchacho rocca orishas latin thug cypress hill immortal technics jedimindtricks brazil venezuela argentina peru latin hop dog dogs nelly furtado latino gang reggaeton trailer Pinochet Jara Chavez Alliende Lula brazil Colombia colombie bresil Venezuela argentina argentine espagne espagnol cypress hill baby grande immortal jedimindtricks rocca orishas hocus pocus the roots anita tijoux makiza control machete épisode 007 07 95 360 2003 2004 2005 2006 2007 academy accident africa afrique age air album alchemist alcool alger all allah amateur american amis amour amusant amv angel animé animal animation animaux anime anniversaire annonce ans are art arthur artiste ass attaque auto avion aviv awards bébé baby bac back bain ball ballon band bande bar barcelone basket bass bazooka beach beat beau belle best bien big bite black bleach blog blue blues bmw bob bond booba bordeaux bordel boxe boy boys break burn but buts cagoule cam canal car carlos cars cascade casino cat cent champions chanson chant chanteur chanteuse chat chatte cheval chevaux chez chien child chirac christina chute ciel cinema cité city clash clip clips club combat comedie comique compagnie con concert contre cool coup coupe course court crash crazy cry délire dance danse david day dbgt dbz dead death debile deep delire dessin dieudonné dirty disco Dogg down drôle dragon drift drole dvd eau electro elle eminem encore ending enfant enfants english paris latino lorie 118 Project shawn kany west seyfu kamini koxie entier episode eric est explosion extreme fait famille fan fantasy fatal fc feat femme festival feu fight film final finale FN folie foot football fort fou fous fox français francais france free freestyle full fun funk funny générique gag game gamelle gay ghetto glace goal gohan goku good grand groupe gta guerre guitar guitare hard hardcore harry heart high hill hip hiphop homme hop house how humour hunter i'm ice ils interview israel italie jack jackass jackson jamel james japan japanese japon jazz jean jeu jeunes jeux joe joey john johnny jones journal jpop juif jump juventus k1 Kamini kick killer king lady last lee life lille linkin live lol los lost love lucas lyon métal machine madonna madrid mafia magic magie maison malcolm man manga mangas manifestation mariage marie maroc marrant marseille match matrix matt mdr men mer merde mes metal metrage michael mickael moi monde montage moon morning mort moto movie mtv music musical musique naruto nas nature nba neige new news nice nike nintendo noel nord not novembre ntm nuit one opening ouf out palestine par paris park parkour parodie part partie party pen people pes pes6 pet petit petite peur piano piece piste plage play plus pokemon police politique pop pride prince prison pro production ps ps2 psg pub puissance punk que radio Rage ragga rally rallye rap real red reggae remix reportage ride rigolo rire rnb rock Rohff roller ronaldinho ronnie rouge royal royale rue rugby run Ségolène sailor saint saison sang sangoku sarko sarkozy sasuke saut school scott seb sefyu serie show singe sionisme skate sketch ski snoop soccer socialiste soirée solo song soul spectacle sport star street strike studio stunt super supporter system team techno tel tenkaichi terre test tf1 thomas tony top tour tournoi tout trailer train trance tricks trip trop tuning tunisie tv ump usa vélo van vegeta vidéo vie vieux villareal violence voiture vostfr voyage walk war way web webcam Wii with world wwe xbox youn zidane zizou paris latino lorie 118 Project shawn kany west seyfu kamini koxie Likes: 14 Viewed: 10955 source #Chilean #Digital #Hip #Hop #Mantekilla #telavivbeach #telavivmap #telavivmuseum #telavivweather #tel-aviv TEL AVIV - THE CITY THAT NEVER SLEEPS #gaypridetelaviv2019 #TELAVIVPRIDE2019 #Uncategorized
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