#HIHIHI JE ME TROUVE TROP BEAU
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NEW ELIAM ERA ✨
#kenshi's life#HIHIHI JE ME TROUVE TROP BEAU#dédicace a Rama qui a fait le boulot qui plus est tres bien#et a yvain qui a forcer de me dire que ca mirait bien et avait raison
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LA FAMILIA GRANDE !
Hello Folks,
Ça y est, ça me reprend
J'ai de nouveau envie d'écrire
D'ailleurs, merci à vous, de supporter mes humeurs, mes coups de cœurs, mes coups de gueule...
Vous verrez que ce billet sera court
J'ai un sujet qui me trotte dans la tête depuis quelques jours
Le 11 juillet 1973 est un jour de chance pour ma famille
Je suis sûr que vous voulez en connaître la raison
Soyez patients, je vais vous la donner
Tout d'abord, je tiens à préciser que dans ma famille, nous partageons deux valeurs essentielles : le "COMMITMENT" et la LOYAUTÉ (no matter what) !!!
Et oui, j'avais envie de l'écrire en anglais. Je trouve le mot plus intense (et ça me fait r��viser mon vocabulaire hihihi...)
Nous sommes présents les uns pour les autres. Nous agissons plus que nous parlons. Notre engagement les uns envers les autres se traduit d'abord par les actes
Mon père m'a dit un jour "Lors d'une épreuve difficile, si un homme pleure c'est qu'il n'a pas solution". Il doit donc agir
Je fais donc parti d'une famille où nos actes parlent pour nous
C'est sans doute dû à une grande pudeur. Je ne sais pas
Mais ce qui est sûr, c'est que nous pouvons compter les uns sur les autres
On fait BLOC !!!
Pour rappel, je viens d'une fratrie de 8 enfants composée de 3 filles et de 5 garçons
Je suis l'avant-dernier et non, je ne suis pas sur la photo et encore NON ! Je ne suis pas la personne qui prend la photo
Je n'étais, simplement pas là ce jour là :(
Cette photo a été prise à Brazzaville le 31 août 2002, jour de mariage de ma soeur Aurolle (la 2ème en partant de la gauche et de mon frère Aristide (le 1er en partant de la gauche)
Je vous rassure, ils ne se sont pas mariés ensemble
Non !!!
Ils ont juste partagé le jour de leur mariage avec leur conjoint respectif (Nestor pour Aurolle et Carine pour Aristide)
C'est drôle car l'histoire se répète
En effet, mon père s'est marié (avec ma mère) le même jour que sa petite sœur (ma tante Philomène)
Ce n'était donc pas une première dans la famille
Bon revenons à notre sujet
Ne voulant pas faire de jaloux, je vais citer toutes personnes se trouvant sur cette photo
Nous avons donc (en partant de la gauche vers la droite et avec la position de chacun d'eux dans la fratrie) :
Aristide le 2ème de la fratrie, Pasteur à Nogent sur Marne
Aurolle la 5ème de la fratrie, notre Héroïne du jour
Simplice le 3ème de la fratrie, le taiseux et discret
Egy la 6ème de la fratrie, la discrète
Hugues le 4ème de la fratrie, le chouchou
Peyrine la 8ème de la fratrie, la D I N G U E !!!
Wilfried l'aîné de la fratrie, l'artiste
Je suis sûr que vous attendez tous la raison de la bénédiction du 11 juillet 1973 pour ma famille
Avant de vous en révéler la raison, voyons voir ce qui s'est passé de marquant ce jour là dans le monde
En allant questionner mon "ami" google, l'événement majeur qui ressort est le crash du Vol Varig dans lequel 123 personnes trouvent la mort. Je vous laisse consulter le lien pour en connaître la raison
LUNAIRE !!!
C'est l'info la plus marquante de cette année là (en France du moins)
Mais ce jour là un autre événement a eu lieu, Dieu merci pour ma famille
Sorry SIS !
Ce 11 juillet 1973, ma sœur Aurolle est née. YOUPI !
Vous savez, la 5ème de la fratrie et la 1ère fille
Je ne sais pas si c'est également le cas chez vous mais parfois (et Dieu merci) il y a une personne de la famille qui au fil des années devient le pivot central, la boussole de tous
Il y a comme une distribution naturelle des rôles dans une fratrie
Il se trouve que ma soeur Aurolle a celui de PILLIER central
C'est vers Elle que tout le monde se tourne pour avoir des nouvelles de tous les autres. Elle est en contact avec des personnes de ma famille que je ne connais même pas d'ailleurs. C'est juste ÉNORME
C'est Elle qui vous rappelle :
la date de la fête des pères (elle SAIT que vous l'avez oublier)
le jour de l'anniversaire de maman (Idem)
les dates des événements familiaux à venir
...
Bref, plein de choses qui vous rendent la vie plus facile
Comme vous l'avez vu, Aurolle n'est pas l'aînée. Nope !
Mais il est vrai que c'est la 1ère fille
Et ça, c'est quelque chose
Il y a beaucoup d'attentes sur les "1ers" (l'aîné, le 1er garçon et donc aussi la 1ère fille)
Et dans le cas d'Aurolle, force est de constater que mes parents ne l'ont pas ratée et n'ont pas été déçus... je crois, j'en suis SÛR en fait
En effet, Aurolle c'est :
la fille IDÉALE (comme vous lu plus haut)
la sœur IDÉALE (comme vous l'avez lu plus haut)
l'amie IDÉALE (je suis sûr que ses amies le confirmeront)
la femme IDÉALE (Nestor le confirmera également... je penses)
Aussi loin que je puisse remonter dans ma mémoire, je n'ai AUCUN souvenir d'Aurolle se faisant engueuler par mes parents
Ni par qui que soit d'autre d'ailleurs
Je me souviens même que lorsqu'il fallait obtenir quelque chose de la part de notre père, nous avion toutes nos chances lorsque nous passions par elle
Un parcours scolaire SANS faute du début à la fin
J'ai d'ailleurs un souvenir qui me revient,
Lorsque nous étions enfants, à l'école primaire, son instituteur de CM2 (que j'ai eu par la suite d'ailleurs) avait dit à mes parents qu'elle aurait un parcours SANS FAUTES jusqu'au moins en Terminal
Ce qui s'est révélé être vrai
Vous n'imaginez pas la joie de mes parents en sortant du conseil de classe
Mes parents ont attendu longtemps la même révélation de la part de Mr Simard (je me souviens de son nom) à mon sujet (hihihihi...)
La DÉCÉPTION !
Bon je vous rassure, je ne me suis pas trop loupé. Et mes parents sont ravis de mon parcours (OUF)
Mais revenons à Aurolle,
Lorsqu'elle présente un garçon à la famille, Nestor donc, eh bien celui-ci l'épouse. Il s'appelle Nestor
Et je vous le confirme, c'est LE gendre IDÉAL (le père parfait et beau-frère aussi d'ailleurs)
Elle fait des enfants, deux, une fille Serena (brillante) et un garçon Loïc (non moins brillant)
Bref, je ne sais pas comment elle fait (ni comment elle a fait) pour traverser toutes ces années sans casseroles
Je croise les doigts pour elle ... pour la suite
C'est la fille idéale de mon père et pour ma mère. La nièce que TOUT le monde souhaiterait avoir et bien sûr la sœur parfaite
Attention, je ne dit pas qu'elle est sans relief. Elle a son caractère et même lorsqu'elle s'énerve et bien c'est toujours justifié
C'est la personne envers laquelle on se retourne pour avoir le meilleur conseil et soutien possible
Et elle vous le donne même quand c'est dur à entendre. Peyrine (ma petite sœur, la dernière) s'en souvient. Non ! Je ne rentrerai pas dans les détails... T'inquiète Peyrine 😇
Lorsque nous voulons organiser des vacances ou autres événements familiaux, devinez vers qui l'on se retourne ....
Je me suis parfois demandé si cette "image" n'était, parfois, pas trop lourde à porter pour elle
Si le rôle qu'on lui avait attribué n'était parfois pas trop lourd à porter pour ses frêles épaules
Même si j'ai l'impression qu'elle vit tout cela de la manière la plus naturelle et normale possible
Je l'espère pour elle
J'ai une anedocte qui me revient à l'instant (nous sommes le 05/07/2021 à 12h13 exactement au moment ou j'enrichis mon texte)
Lorsque j'étais étudiant, l'un de mes amis m'avait demandé ce que m'apportait mes parents et j'avais répondu : un sentiment de sécurité ÉNORME !
Eh bien, c'est exactement le sentiment que j'ai aujourd'hui en ce qui concerne ma soeur. Bien que ce ne soit pas dans le même cadre que celui de mes parents
Mais je rassure mes parents (car je penses qu'ils vont lire ce texte et risquerai d'être déçus) sur le fait qu'ils ont toujours ce rôle pour moi et qu'ils m'ont bien armé pour la vie !
Mais revenons à notre héroïne du jour, ma sœur Aurolle
Elle a été dotée d'une grande maturité dès son plus jeune âge et l'a toujours utilis�� à bon escient
Dans tous les cas, j'ai de la chance de l'avoir comme sœur
Car pouvoir compter sur des personnes comme elle, est très rare
Pour l'ensemble de ma famille, elle représente la boussole. Celle qui nous dirige dans la bonne direction lorsque nous voulons que tout se passe pour le mieux
Je voulais donc, prendre ici, le temps de lui rendre hommage
OUI, me poser deux secondes (en fait il m'a pris des jours à peaufiner ce texte hihihi...) et lui écrire combien c'est une personne RARE et PRÉCIEUSE pour moi et pour tous ceux (j'en suis persuadé) qui la connaisse
Et je peux le dire ici, j'ai une chance INOUÏE de l'avoir comme grande sœur
J'espère que vous pouvez, vous aussi, compter sur une telle personne
Je vous le souhaite
BESOS MUCHOS TUTTI
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En ce moment, je suis trop une petite meuf bien prise de tête ohlala c'est un truc de folie alors ça me soûle trop de devoir bosser pour avoir mon bac ce genre de conneries et puis ça me soûle de devoir travailler dans la vie en fait et puis il y a un garçon que je trouve très beau hihihi mais 1. je suis moche et bête, 2. c'est mort et du coup j'essaie d'arranger des petits coups à mes copines et le 31 je vais voir Laura et j'ai décidé que je verrai aussi pendant la semaine @suzu-uya et @jesuisunebibliophage mais ces petites putes d'amour ne le savent pas encore et bah oui je prends des décisions comme ça moi madame et puis en ce moment je suis trop occupée à me fabriquer un style et autre chose ça me manque trop (ah j'arrive plus à taper sur mon clavier ça m'agace) de pas avoir de copain enfin d'ami garçon (après y a @to-the-pine qui va débarquer en disant et moi je compte pour du beurre mais toi je t'ai vu qu'une seule fois en vrai bb c'est pas pareil) et autre chose ohlala qu'est-ce qu'elle m'énerve cette crise d'adolescence nulle qui dure depuis des années en ce moment j'ai vraiment trop envie de me casser de chez moi je compte pas finir comme Léo toujours à la maison à 23 ans ou Gilles qui est retourné vivre chez sa mère à 35 ans et pis mes parents des fois j'ai envie de les embrasser ou de les mordre jusqu'au sang comme quand par exemple ils débarquent, ils sont pas venus à la maison depuis une semaine et la maison est hyper clean à part que les garçons ont pas nettoyé l'évier et ils se font engueuler comme pas possible pour ça mais enfin pfou on respire et on se calme mais je crois que c'est moi la pauvre nana casse-couilles + un peu décalée tout le temps mais genre je crois que je le cultive un peu aussi ce côté-là de ma personnalité tu vois genre dès que n'importe quoi (même si c'est bien) devient un peu trop populaire, à moins que j'aime vraiment vraiment, je me place toujours en rejet parce que j'estime que, quelque part la manière qu'ont les gens d'aimer les choses gâchent toujours tout (je suis dégoûtée d'Harry Potter franchement) et aussi il y a ce truc dans ma famille où on parle souvent des "gens". Alors par exemple, on dit "les gens" pour dire le plus grand nombre, la classe moyenne, et donc je crois que j'ai grandi avec cette idée implicite que j'étais au-dessus des "gens", de la masse, et que je valais mieux qu'eux, parce que quand on dit "les gens" chez moi c'est toujours péjoratif, donc qu'avoir les mêmes goûts que le plus grand nombre c'était vulgaire, c'était se souiller, se rabaisser au niveau des classes moyennes et ça c'est pas concevable, je vaux mieux que ça quand même. Donc quand quelque chose devient trop populaire, il est gâché par la masse, c'est comme ça que je le vois. Tu vois, une preuve de plus que je suis relou + narcissique ahahahah mais bon, des fois je m'aime bien quand même.
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Eldarya épisode 13
Originellement posté ici le 20 janvier 2017.
Bonjour à tou-te-s ! Et oui, c’est l’heure de mon avis sur l’épisode 13. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne m’a pas laissée indifférente… J’ai ri, j’ai facepalmé, j’ai eu des moments de jouissance, et malheureusement… Je me suis mise très en colère. Mais ne vous en faites pas, vous vous doutez bien que je vais développer tout ça.
(Du coup, au passage, Attercop, merci pour ton post, je le plussoie beaucoup.) Je ne pourrai pas vous dire combien j’ai dépensé de maanas pour cet épisode (enfin en vrai je pourrais, mais j’ai la flemme de faire des calculs lol), parce qu’entre temps, j’ai fait un peu de commerce d’eaux de Léthé, du coup je suis revenue à mon nombre de départ à peu près :’)
Oui pardon d’avance, je sors d’une gastro des enfers alors va pas falloir trop m’en vouloir pour mes titres hasardeux. Nous commençons donc l’épisode sur la suite de notre discussion de la dernière fois avec Leiftan. Cet homme est quasiment le seul membre de la Garde d’Eel qu’Erika peut légitimement appeler son ami (vous inquiétez pas, on parlera de cette histoire de « motherzone »...). Erika n’est alors pas sans me rappeler ma propre personne, à culpabiliser pour un oui ou pour un non. Elle s’inquiète de n’avoir « présentement » pour seul désir que le fait de rentrer chez elle, alors que la Garde galère avec les portails. J’ai envie de dire… C’est un peu normal ??? Je pense que c’est quand même un minimum humain d’avoir envie de rentrer chez soi. Leiftan la rassure en lui disant qu’elle ne leur met pas le couteau sous la gorge pour qu’ils « sacrifient leurs possibilités d’aller dans son monde. » Cette phrase m’interroge. On sait toujours pas trop comment ça se passe, cette histoire de portails. Ok, de ce qu’on sait depuis l’épisode 11, faut des bouts de dragon pour les ouvrir, mais on sait toujours pas combien de personnes peuvent passer à l’aller, combien ils peuvent rapporter au retour… Comment peut-on être sûr-e qu’ils peuvent pas juste l’emmener avec eux lors d’un ravitaillement ? Et si ces voyages sont si précieux, qu’est-ce qu’ils s’embêtent à rapporter des trucs comme Twilight ou des paquets de pâtes qu’ils ne savent soi-disant pas déchiffrer ? S’ils rapportent des trucs pas très utiles au retour, ils peuvent bien en emmener à l’aller (dsl Erika). Et tant qu’on y est, comment se fait-il qu’ils soient si peu au courant des avancées technologiques de notre monde s’ils y sont allés au moins après 2005, Twilight étant sorti cette année-là ? Tentons de ne pas trop nous aventurer sur ce terrain, nous risquerions de poser des questions reloues. Nous apprenons alors la race de Leiftan, qui est un Lorialet, un « enfant de la Lune » (et je trouve ça très poétique, j’adore). Je ne connaissais pas c’te bête-là, alors j’ai demandé à Wiki pour me faire bien voir de Leiftan lol. Je suis un peu étonnée que Leiftan ne croie même pas au fait de pouvoir être issu de la Lune de quelque manière que ce soit. Dude, ta cheffe elle a des queues sur le derrière et ton collègue a une tête de sanglier, pourquoi toi t’aurais pas des origines lunaires ? Bref, nous sortons de la chambre, et la voix off nous informe que nous allons désormais avoir des quêtes secondaires, aussi appelées sidequests dans le milieu, et ma réaction fut mitigée. Genre : « OMG DES QUÊTES SECONDAIRES J’ADORE ÇA JE VEUX TOUT FINIR A 100 % » et « OMG RIP MES MAANAS » Mais bon en fait il s’agit juste de trouver des persos avant de continuer la quête principale. C’est comme avant, sauf qu’on sait qui on doit chercher (ce qui est une belle avancée en soi). Et qu’on n’est pas toujours obligé-e de trouver tout le monde. Perso pour la deuxième salve de quêtes secondaire (le temps que le mec prépare la potion), j’ai été obligée de trouver tout le monde avant que la suite se déclenche, alors bon… Bref, j’ai croisé en premier l’autre fouinasse de Karenn, j’ai été ravie (non). Après j’ai croisé Ykhar qui s’est pété un délire sur les Doppelgänger puis sur les reptiliens. Elle devait encore être sous speed. Je finis par croiser Ezarel, et j’en conclus que c’était lui que j’étais censée chercher de base lol. Il m’apprend que Balenvia c’est un allié d’Eel mais du coup ils veulent pas d’aide avec leur soi-disant problème de Myconides. Bon bah, soit. Ensuite il tient à me parler de Miiko, qu’elle est pas si méchante et tout, elle se sent même coupable quand un-e membre de la garde est en danger. J’ai presque éprouvé un peu de compassion, mais en fait non. Et histoire d’en rajouter une couche sur le gâteau déjà bien haut de « AIMEZ MIIKO SVP » on se retrouve avec un flashback à incarner Miiko. On la trouve d’abord en train de discuter avec Karuto. On apprend que c’est à sa demande que Leiftan est allé parler à Erika, car « il est très bon pour écouter et conseiller les autres, pas comme moi. » Ah bah c’est sûr que comparé à la meuf qui te ment comme un arracheur de dents et qui te sort au calme que c’est « cocasse » de t’envoyer nettoyer les cendres d’une personne que t’as vu mourir sous tes yeux… Puis elle s’en va parler avec Leiftan. Elle est étonnée qu’Erika n’insiste pas pour rentrer chez elle. J’pense surtout qu’Erika a compris que tu l’enverrais bouler royalement si elle demandait, même gentiment, alors bon. Leiftan finit par lui reprocher à demi-mots d’avoir accusé Erika de voler des trucs à son arrivée, ce à quoi elle répond qu’elle ne savait pas, mais en même temps t’as même pas cherché à comprendre tu l’as foutue en taule direct lol. Puis j’ai bien aimé quand elle dit « j'ai pas envie de la briser en lui disant ‘tu ne pourras jamais rentrer chez toi’ » genre elle l’a pas déjà brisée en lui faisant croire DE BASE que c’était impossible pour elle de rentrer avant de lui avouer « euh oui en fait y’a un moyen mais c compliqué on peut pas trop » (cf épisode 8)… Fin du flashback, on revient sur Eza et Erika, et cette dernière s’interroge sur Miiko… Au début elle était tyrannique et maintenant elle est toute douce, ce à quoi l’elfe répond « c’est sûrement parce qu’elle commence à bien t’aimer » ou je ne sais plus quoi lol. Puis ils décident de s’isoler pour parler de Miiko et pour qu’on en sache plus sur elle. Après nous avoir saoulée avec son rocher à feuilles roses (sérieux il a quoi contre ce rocher wtf c’est juste un rocher à feuilles roses, ce passage n’a aucun sens) et après avoir pris un air distant et mélancolique (j’ai pas choisi la réponse où la gardienne le trouve beau avec sa « couette de cheveux flottant au vent » lol), il nous explique donc que Miiko aboie plus qu’elle ne mord, et c’est parce qu’ils ne sont qu’une bande de gamins foufous au QG… Ouais ben y’a d’autres moyens de se faire respecter, en vrai. Si t’en arrive à beugler pour te faire obéir, même avec des « gamins foufous, » c’est que t’es pas douée, c’est tout. On entend ENFIN parler du fameux mentor, Yonuki, dont le nom n’était alors apparu que sur la page d’attente des versions internationales (sentez-vous l’amertume ?). Et là, voici comment Ezarel nous décrit le bonhomme : « C’était un petit vieux légèrement pervers, mais juste et bon. Miiko l'aimait beaucoup… C’était comme un deuxième père pour elle. »
Vous êtes sérieux-ses ?
« Oui bon il était pervers mais il faisait bien son taf alors osef lol » BEN VOYONS. C’est tellement rigolol les mecs pervers hihihi. N’importe quoi. On apprend aussi que personne ne souhaitait prendre sa place, même Leiftan. C’est bien dommage. Puis on a une pique sur « l’organisation catastrophique de la Garde. » C’est bien, on reconnaît que c’est n’importe quoi mais on fait rien pour l’arranger et on laisse une imbécile aux commandes. On va aller loin.
Bon c’est une partie un peu « fourre-tout, » donc voilà. Je croise Chrome à mon plus grand regret, et nous discutons de la mission à Balenvia. Il me dit qu’il n’a pas compris grand-chose à la résolution de l’affaire, et j’avais envie de le rassurer en lui disant que moi non plus j’avais rien compris. Il dit se sentir mal vis-à-vis des Balenviennois, mais vu que c’est quand même eux qui ont pété une durite sans chercher à comprendre, perso j’ai répondu que je pensais plutôt aux Myconides. Et Chrome a lui aussi droit à son quart d’heure « rogardez en fait j’ai des qualités aussi !!! » Il s’est soudainement trouvé un talent dans la négociation et Miiko l’a trouvé brillant (en même temps, que Miiko trouve quelqu’un de brillant, est-ce que c’est vraiment un bon indicateur ?) On se retrouve alors momentanément dans la peau de Chrome, et on découvre qu’il commence à comploter des trucs dans le dos d’Erika avec d’autres membres de la Garde. Alors que Chrome et Alajéa se bouffent le nez, on a droit à un merveilleux « Vous êtes trop mignons <3 » de Karenn.
FERME. TA. BOUCHE.
Alors que nous cherchons une mission à accomplir et nous inquiétant de n’en trouver aucune, nous croisons Ykhar qui s’apprêtait à afficher les ordres de missions. Erika nous gratifie d’un « haha je me disais : il n’y a vraiment rien à faire au QG ? » Petite blague sur l’oisiveté manifeste de la Garde, relevée depuis 10 épisodes, à laquelle Ykhar répond que « ça arrive, mais c’est trèèèèèèès rare » (avec 7 è, j’ai compté), lol on y croit. Puis Erika nous fait part de sa capacité de réflexion à géométrie variable lorsqu’Ykhar dit ne pas être douée avec les dates (oups, essayons de la détacher de son image de Mary Sue, les joueurs/euses en ont marre) et qu’elle se dit « euh oui moi j’la voyais plutôt littéraire comme fille donc douée en Histoire » mais what. Déjà, au final, moi-même j’ai déjà employé l’expression, mais ça veut dire quoi, « être littéraire » ? Et surtout, c’est aussi pertinent que si je disais d’une personne m’avouant ne pas être doué-e en chimie « C’est étonnant, vu que cette personne a l’air plutôt scientifique, j’aurais bien pensé qu’elle était très douée en chimie. » M’voyez ? Bref, on continue à se balader joyeusement dans le QG parce qu’on sait faire que ça de notre misérable vie ici. Heureusement, on croise Jamon, et on peut lui faire un câlin, ça a fait ma journée <3 On trouve enfin l’autre renarde (moi elle était dans la cantine en train de bouffer lol) et on lui sort une lettre de motivation sortie des ateliers Pôle Emploi pour aller aider les Fenghuangs à reconstruire leur temple, Miiko dit qu’elle nous met sur la liste d’attente et qu’on a qu’à faire des missions pour les chatons en attendant. Ykhar est partie en pause en laissant un mot stupide duquel j’ai pas envie de parler, et c’est parti pour fouiller le QG. Encore. J’ai bien aimé pouvoir répondre à Kero que c’était nul de sortir un bout d’info pour ensuite dire « euh lol je peux pas en dire plus dsl. » Je déteste ce comportement IRL, alors pouvoir reprendre quelqu’un là-dessus c’était cool. Puis nous tombons sur Karenn qui s’apprête à ENCORE écouter aux portes. C’en est trop. Je crains d’être encore obligée de la suivre dans ses combines, quand je vois que j’ai le choix… De la dénoncer. Ben j’vais m’faire plaiz’, tiens !!! J’ai cru que ça allait se retourner contre moi en mode « han délation » mais non heureusement. Karenn est mise à pied et consignée dans sa chambre, telle une adolescente rebelle qui a séché l’école pour rouler un patin à Kévin (ça va, elle s’en sort plutôt bien, surtout qu’on peut la croiser plus tard dans les jardins… L’espionnage ça a pas l’air trop grave à Eel). J’ai mis que j’espérais qu’elle comprendrait, mais j’aurais dû mettre que c’était pas mon amie lol je voulais pas me faire agresser par son grand frère. Je reviendrai plus tard sur l’aspect vulgaire de l’insulte qu’elle nous lance, mais c’était sérieusement obligé qu’elle nous traite de « p… » ? Non parce que j’imagine qu’elle allait pas dire « patate »… J’ai ensuite choisi la mission avec Purreru parce que c’est mon Purreko préféré. J’ai bien aimé ce principe. J’ai vu que les autres récompenses de missions étaient des Purro’Pass, mais je m’en fiche de la Purro’Loterie, alors je suis bien contente d’avoir eu l’appât du Sitourche (qui est bien plus mignon bébé qu’adulte lol). Le fait que l’appât soit un doudou abandonné m’a fait penser à Milo de l’épisode précédent, à qui on avait volé son doudou. Un peu triste d’avoir seulement une ombre pour la dame qui s’occupe des Sitourches mais c’est pas grave.
Après ces folles aventures, Miiko nous convoque d’urgence dans la Salle du Cristal. Qu’est-ce qu’on a fait ? :’( Elle nous apprend alors que des « mercenaires humains » ont débarqué à Eldarya dans le but de nous sauver. Du coup ils flippent parce qu’ils pourraient débarquer à Eel et tout péter pour récupérer Erika. Dans un sens, ça peut se comprendre. Mais moi ce que je comprends pas, c’est d’où sortent ces mercenaires. On a déjà entendu parler d’un cas similaire dans l’épisode 11, avec l’attaque du temple fenghuang. Mais il se passe quoi quand ils ont fini leur raid ? Ils repassent par les portails ? Comment ça se passe ? Et pourquoi Miiko essaie pas d’avoir une entrevue, d’entamer des pourparlers ? C’est l’occasion idéale de renvoyer Erika chez elle sans avoir à « sacrifier leurs possibilités d’ouvrir les portails. » Mébon sinon y’aurait plus d’histoire, j’imagine… Miiko commence alors à nous interroger sur notre monde, et j’avoue avoir explosé de rire quand elle nous demande ce qu’on sait d’Eldarya et qu’on peut penser que c’est un jeu fantasy (et non pas fantastique) avec des beaux garçons XD Du coup j’ai cliqué sur ça. Heureusement la gardienne ne l’a pas dit à haute voix :’) Erika se dit que c’est bizarre toutes ces questions, mais bon y’en a eu genre deux, moi c’est plutôt le manque de questions qui m’interroge. Et c’était chelou que Miiko demande si elle allait être recherchée sur Terre. Evidemment que oui, banane, au bout de trois mois, à moins qu’Erika ait décidé de vivre en ermite au fond de la forêt et d’avoir coupé tous les liens avec sa famille et ses ami-e-s (ce qui, on le sait, n’est pas le cas), va y avoir des avis de recherche. Mes notes sont un fouillis pour ce passage mais a priori c’est là qu’on se rend compte que, derrière notre dos, ça parle de nous faire faire un truc qu’on va pas aimer… Les ennuis commencent… On se retrouve encore à errer et à devoir parler à des gens pour faire avancer le schmilblick ; on doit notamment demander aux chefs de gardes s’ils ont déjà croisé des humain-e-s avant nous. Alors que je discute avec Nevra, je lui demande comment ça se fait que personne n’ait rien remarqué lorsque le monde d’Eldarya a été créé depuis la Terre. Pour se ficher de nous, il répond d’abord « c’est la ‘magie’ »…
Je suis si fatiguée.
Cela dit, sa réponse « sérieuse » n’est pas mieux, puisqu’elle peut se résumer ainsi : « chépa y’a dû y avoir des guerres ou des découvertes au même moment et du coup vous avez pas fait gaffe. » J’ai pas vraiment envie d’insister là-dessus tellement cette réponse me blase. A moins que ça n’ait été créé sur une base en plein milieu de l’océan, je vois pas trop comment ça a pu passer inaperçu, s’cusez-moi. Par contre, je veux revenir sur la réflexion que se fait la gardienne (« Ah oui peut-être la découverte des Amériques par Christophe Colomb ou bien la chute de Constantinople »). Alors c’est peut-être une erreur de ma part, mais au vu des infos de l’épisode 11, qui nous dit que la légende du joueur de flûte de Hamelin représente le Grand Exil, je l’ai situé à la fin du XIIIe siècle, vu que c’est par là qu’auraient eu lieu les événements donnant lieu à la légende (merci Wiki). Et la création d’Eldarya date de plusieurs décennies auparavant. Alors pourquoi Erika fait mention de deux événements de la deuxième moitié du XVe siècle ? C’est juste deux événements choisis au hasard qui se trouvent être dans la même période ou bien c’est les « à quelques siècles près » dont parlait Kero dans l’épisode précédent à propos de leur livre de datation ? Ou bien j’ai loupé un indice temporel quelque part ? Ensuite je croise Eza, qui me traite de morue, comme ça, là, gratuitement, RIP le respect. Je suppose qu’il faut encore mettre ça sur le compte de son « humour » plus que douteux. Avec Valkyon, Erika se demande pourquoi diable les mercenaires humain-e-s croient que la Garde d’Eel lui voudrait du mal, parce qu’elle est bien intégrée, ici, dites donc ! Ben j’sais pas, si t’activais tes deux sous de jugeote, tu tilterais que les Eldaryen-ne-s et les humain-e-s sont pas très potes, donc forcément si tu te retrouves dans le camp adverse, ils et elles vont d’abord s’imaginer que tu as été enlevée… On continue à croiser des gens, dont Chrome, qui m’a pété un délire sur le rouge et le noir, j’ai rien compris, c’était complètement aléatoire Oo’ Un peu comme Eweleïn qui retrouve sa liste de courses dans son soutien-gorge un peu après lol On finit par apprendre qu’on va devoir faire une potion pour « masquer notre présence » sur Eldarya… Sur le coup, je me suis dit que ça vaaaa, c’est pas dramatique… Ce qui veut dire qu’il doit y avoir un piège quelque part… Je choisis de faire la potion avec Valkyon. Il me donne la liste d’ingrédients, et j’ai alors été bloquée jusqu’au lendemain à cause des eaux de Léthé. Parce que oui c’était bien vu de lancer l’épisode JUSTE après un event, quand tout le monde avait dépensé ses PE C’est là que j’ai eu le temps de cogiter. Je ne connaissais pas Mnémosyne, mais avec un nom pareil, ça ne pouvait avoir qu’un rapport avec la mémoire. Ma copine a ensuite cherché ce qu’était Léthé, car le nom lui parlait. Tout ça combiné, à ce moment de l’épisode, j’en suis venue à la conclusion plutôt facile que la potion était destinée à me faire oublier quelque chose, probablement ma vie passée, même si je voyais pas bien en quoi ça allait empêcher les mercenaires de venir jusqu’à Eel. Au passage, pour l’eau de Léthé, il est dit plus tard que c’est en rapport avec le fleuve de la mythologie grecque, c’est donc plus correct de dire eau DU Léthé, sinon on dirait qu’on parle de la déesse. Et mettre une majuscule aussi, c’est bien. Bref, le lendemain, je trouve mes trois flasques du premier coup au récif de la grenouille, pas de souci, j’ai déjà fait mes courses pour le reste des ingrédients, on peut passer à la préparation \o/ Ça va, la formule est pas difficile à déchiffrer mdr. Valkyon nous explique ensuite que la potion doit décanter au moins deux jours, et il nous donne rendez-vous à 18h à la cantine. J’avais un peu oublié cette histoire de fête au fur et à mesure de l’épisode, mais au final j’ai pas été surprise du tout, puisque vous nous avez spoilé-e-s avec les apartés. Dois-je vous rappeler que nous sommes censé-e-s vivre l’aventure au travers d’Erika ? A quoi ça a servi de gâcher la surprise ? Comment voulez-vous qu’on ressente sa surprise alors qu’on savait déjà ce qui allait se passer ? Et puis hein, le retour du rationnement à géométrie variable. C’est la dèche totale, mais on trouve le temps de faire des petits gâteaux pour le goûter d’Erika, et même celui de faire un gâteau de crêpes avec de la crème au café quelques jours plus tôt. En plus, deux épisodes avant, l’autre était même pas fichu de cuire des pâtes, maintenant il fait des crêpes. Ça y est, il a commencé à ouvrir ses livres de recettes plus récents ? On arrive ensuite à l’un des passages les plus pénibles de l’épisode, où on chouine gaiment sur la « friendzone. » Je pourrais passer 10 ans à vous expliquer en quoi ce concept est stupide et, de base, sexiste. Parce que oui en général ce sont les mecs qui chouinent parce que « euh oui je suis gentiiiil avec eeeeeelle pk elle veut pas sortir avec moi elle me le doit bien :’( » C’est lié à cette histoire de « nice guys, » ces mecs qui pensent que parce que t’es gentil avec une nana elle ne doit pas te faire l’affront de te considérer comme un simple ami parce que t’es trop un mec sympa, tuvoua.
Féminazgûl en action !
>Pour aller plus loin.< J’ai d’autres liens, si vous voulez. Bon, ok, j’avoue, ici on a dérivé sur une variante : la « motherzone. » Ceci étant en réaction au fait qu’Erika ait comparé Leiftan à sa mère, de par son comportement bienveillant et chaleureux, et ça n’a pas plu à tout le monde. J’ai plussoyé Erika quand elle répond à Karenn que bah, euh, comparer quelqu’un à un membre de notre famille ça peut être positif. Mais Karenn, qui se permet de nous appeler « ma chérie » (euh non stp tu m’appelles pas comme ça, merci, déjà je supporte pas que d’autres membres m’appellent « miss »), nous précise que, quand même, « tu vas pas me faire croire que quand tu dis à un mec qu'il est "comme un frère pour toi" c'est parce que tu t'en sens "proche" » dans le sens « j’te kiff » ben non en effet, et alors ? C’est grave d’être proche de quelqu’un dans une relation platonique ? Mais bon, tout ça c’était pour caser une occasion de « démotherzoner » Leiftan (uniquement dans la tête de la gardienne et pour rassurer une partie de la communauté), avec ces trois choix magnifiques : (Mais je veux pas le motherzoned moi ! il est bien trop mignon !!!) Alors déjà, c’est bien de foutre de l’anglais partout pour faire genre, mais l’employer correctement, c’est mieux, même pour des néologismes -> « je veux pas le motherzone(r) » Oui c’est moche, mais au moins c’est plus correct. (En même temps je ne l'apprécie pas plus que ça…) (J’espère qu'il ne l'a pas remarqué…) Et sinon elle est où l’option « j’m’en fous de ce que dit Karenn, j’m’en fous de cette motherzone stupide, j’assume pleinement ce que j’ai dit et ça me convient parfaitement » ? Je veux bien qu’il y ait des choix pour celles et ceux qui espèrent encore pouvoir le draguer (encore que la première proposition soit digne du collège et pas d’une femme adulte), mais avoir le choix là-dessus ça aurait été bien aussi. Surtout qu’il y a pas mort d’homme, elle l’a même pas dit à voix haute, qu’il lui faisait penser à sa mère… Et puis même, notre partenaire amoureux-se peut bien nous faire penser à un membre de notre famille sans qu’on le/la foute dans la « family-zone »… Puis bah si Leiftan se sent nul dans la « motherzone » au pire c’est le cadet de mes soucis. Le goûter de non-anniversaire continue sur sa lancée déplorable avec Nevra qui balance des stupidités du style « Je considère toutes les femmes comme des beautés de la nature ♥ » tais-toi tais-toi TAIS-TOI Et comme l’a fait remarquer Attercop, le coup de la femme à barbe j’ai pas compris à quel moment c’est censé être drôle ???
Y’a pas un peu de badassitude, là-dedans ?
Pour celles et ceux que ça intéresse et qui, comme moi, ne comprennent pas qu’on se moque des femmes à barbe et des gens qui ne correspondent pas aux canons de beauté en général (mais tou-te-s les autres peuvent lire aussi), je vous invite à lire >cette BD< sur Clémentine Delait. Bon, malgré tout, Erika est contente que ses ami-e-s (et ses LoM négatifs) pensent à elle et passe une bonne soirée. Quand on sait qu’elle s’apprête à se faire entuber sévère avec cette histoire de potion, ça fait rire jaune. Alors qu’elle rentre dans sa chambre, elle découvre un mot d’un-e certain-e Ashkore… L’homme masqué ? En tout cas, cette personne lui dit de se bouger les miches et lui met enfin la puce à l’oreille : la potion est une potion d’oubli. De deux choses l’une : nous avons eu à plusieurs reprises au cours des derniers épisodes l’occasion de dire que nous connaissions les références, à la mythologie, notamment. Pourquoi n’avons-nous pas eu le choix cette fois-ci ? Pourquoi étions-nous obligé-e-s d’aller nous renseigner à la bibliothèque ? Pourquoi, cette fois-ci, ne pouvions-nous pas dire que nous avions compris tout de suite en lisant le message ? Et deuxième chose : la potion ne va pas nous faire oublier nos proches, mais l’inverse : nos proches vont nous oublier. Lanassa et d’autres avant moi ont très bien décrit à quel point ça ne servait strictement à rien. De plus, j’ai envie de dire, les fameux-ses mercenaires, là, ben ils/elles sont déjà à Eldarya. Alors ça va changer quoi, exactement ? « Euh oui qu’est-ce qu’on fait ici, en fait ? » « Ben j’sais pas, j’ai oublié. Bon bah on rentre ? » « Oker » Nope ! Punaise, Erika. Trouve les mercenaires et barre-toi avec, rentre chez toi pépouze et reprends ta vie. C’est ce que j’ai envie de lui dire. Ou alors retrouve Ashkore et bats-toi, je sais pas. Maintenant qu’Erika a compris le subterfuge, elle va aller demander des explications au mec avec qui elle a fait la potion. Et là, on arrive à l’inacceptable.
Valkyon, pour moi, ne cherche même pas à nier. Il dit également que c’est pour protéger les siens, et qu’ils n’ont rien dit à Erika parce qu’elle n’aurait jamais voulu sinon. C’est vrai qu’essayer de réfléchir entre adultes responsables, c’est compliqué. Ou bien peut-être qu’il n’y a pas d’adulte responsable. Erika se sait égoïste, et c’est un peu normal de l’être ??? On parle de faire oublier aux gens qui comptent le plus pour elle son existence même ! C’est de la torture !! J’ai refusé de boire la potion, déjà parce que j’ai lu que ça donnait accès à l’illu, et surtout par bon sens, parce qui accepterait une telle souffrance pour des gens qu’il/elle connaît depuis trois mois à peine ?! Valkyon me répond alors qu’on n’a malheureusement pas le choix. Je lis qu’il met une gorgée de la potion dans sa bouche, et je me dis : « il va pas faire ça… » Je clique… Et je tombe sur l’illu. Cette illu, ce n’est pas un « baiser. » C’est pénalement considéré comme une agression sexuelle. Valkyon (ou un autre) embrasse la gardienne de force pour lui faire boire la potion qui doit faire de sa vie un enfer (j’ai lu un avis disant que c’était plus compliqué que ça d’embrasser quelqu’un de force, qu’il fallait maintenir la personne et tout : il y a un phénomène qui s’appelle la sidération). Et on se retrouve avec ça en illustration. Et comme si ça suffisait pas, on a le choix de se laisser faire. De se laisser faire, et deux fois de suite, non mais je rêve !!! Se laisser faire implique un choix conscient, QUI se laisserait faire dans une telle situation ?! L’illustration ne laisse à aucun moment penser que le baiser a été complètement forcé, celle de Valkyon n’évoque même pas la surprise, puisqu’Erika est de dos !! Et je sais pas pour les deux autres, mais le nom de l’illu… « Je n’ai pas envie de la lâcher… » Mais MEC à quel moment ça m’intéresse de connaître ton avis alors que t’es en train d’AGRESSER MON PERSONNAGE ??? Cette illustration qui semble montrer un baiser consenti, ou au pire surpris. Le fait que vous proposiez de se laisser faire. Vous essayez de rendre romantique une agression. Est-ce qu’il y a besoin de vous sortir un paragraphe sur les violences sexistes ? Sur les mécanismes pour les minimiser ? Sur la culture du viol ? Vous vous rendez compte de ce que vous faites ? Vous vous rendez compte que vous banalisez la violence ? En particulier la violence envers les femmes ? Vous vous rendez compte que des joueurs/euses de votre site trouvent cette scène « mignonne » selon si elles/ils ont choisi de se « laisser faire » ? Vous croyez que c’est normal de se faire embrasser de force, même dans un jeu ? SURTOUT dans un jeu qui vise un public majoritairement jeune et féminin ? Vous devriez avoir honte. Si, en refusant de boire la potion, on était obligé-e de donner une claque au mec (ou d’être sous le choc et ne rien pouvoir faire – ce qui est différent de « se laisser faire »), et si l’illustration avait été justement la claque, je n’aurais rien dit. Mais là, je me retrouve avec une illustration mettant en scène l’agression de mon personnage, tout en sachant que cette agression a été mise en valeur par les scénaristes et l’illustratrice. Cette illustration me dégoûte. Si je pouvais la faire retirer de ma bibliothèque, je le ferais sans hésiter une seule seconde. J’en ai rien à faire qu’elle soit « bien dessinée » ou pas. Ces illustrations, qu’on ne peut pas enlever de leur contexte, ne sont pas belles, elles sont ignobles par ce qu’elles représentent. J’ai pas les mots pour dire à quel point je suis choquée que vous ayez eu cette idée et que vous vous soyez dit « c’est génial ! Mettons ça dans l’épisode ! » J’ai pas les mots pour dire à quel point vous avez pris une décision stupide, irréfléchie et dangereuse. Cette scène, ces illus n’ont rien de romantique, vous essayez de minimiser le caractère violent de cette séquence en mettant en avant ce « baiser », censé être notre premier baiser avec notre CDC. C’est inadmissible. Je suis sûre qu’il y en a deux-trois qui vont venir me dire que j’exagère. Je m’en contrefiche. Renseignez-vous sur les violences sexistes. Et ça vaut aussi pour les personnes qui ont eu l’idée de cette scène. Je me suis bien évidemment mise à gifler Valkyon. Puis j’ai pu gifler Miiko un peu après, et ça aussi ça défoule. Si Erika avait eu le choix de leur cracher dessus, je crois que je l’aurais fait.
« Je n’y crois pas un mot » -> Je n’en crois pas un mot On dit « qu’est-ce qui arrive, » pas « qu’est-ce qu’il arrive » « Les éléments que je devrais rapporter » -> Devrai « Il m’a écoutée sans m’interrompre » -> Ecoutée, c’est Erika qui parle « Je t’avoue que j’ai du mal croire en la ‘magie » -> Du mal à croire (et puis sérieux, t’es arrivée ici par magie…) « Avec quelques difficultés, je réussis tant bien que mal à la prononcer à la perfection… Sans toutefois ressentir comme une gêne au fond de moi. Quelque chose ne paraissait pas… "cohérent". » -> Je crois qu’il y a un contre-sens dans ce paragraphe… « J’arrivai dans ma chambre et fut accueillie » -> Fus Le langage, maintenant. Déjà, il va falloir se fixer sur le niveau. Parce que je vois Ykhar passer d’un « je ne sais point » à « sois franche sans être chiante »… D’ailleurs, je suis choquée de voir qu’on peut allègrement jurer comme un charretier dans les épisodes, mais se prendre un avertissement si on dit « je m’en bats les ovaires » sur le forum (oui non j’ai toujours pas compris d’où ça sortait, à ce que je sache ovaires c’est pas un gros mot). Vous pourriez avoir la décence d’être cohérent-e-s là-dessus : soit vous êtes plus coulant-e-s sur la vulgarité sur le forum et continuez d’être vulgaires dans les épisodes, soit vous donnez l’exemple de ce que vous voulez voir sur le forum : l’absence de vulgarité. Faut pas s’étonner de trouver des gros mots sur le forum si on en trouve dans les dialogues des épisodes… De même pour les mots vulgaires cachés par des points de suspension ou des astérisques : c’est considéré comme de la vulgarité (« même si c'est censuré, on sait ce que vous avez voulu dire ») et passible de sanction sur le forum, alors d’où sort le « sale p… » de Karenn ? Vous pensez vraiment qu’on est naïf-ve-s au point de croire qu’elle allait dire « sale petite mijaurée » ?
J’ai été contente d’avoir plus de choix (même s’il en manque à certains endroits…), de pouvoir me venger de certains persos et de pouvoir en apprendre plus sur d’autres. Mais je ne peux pas dire que cet épisode est bon. Pas après que vous avez poussé notre personnage à subir une agression, pour qu’en plus on en garde un souvenir.
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Je rajoute un post que j’avais écrit suite à l’intervention d’une modératrice sur le topic.
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Bonjour. Suite à la lecture des différents avis sur l'épisode 13, nous aimerions clarifier un point de détail avec vous. Le choix de se débattre ne fait pas d'Erika une "victime consentante" comme dans beaucoup de livres ou de films que nous pouvons encore voir aujourd'hui. Laisser supposer que les choix scénaristiques ou d'illustration qui sont fait essaient de faire passer un message qui inciterait à accepter ce genre comportement est à la limite de la diffamation. Merci de ne pas partir dans des polémiques ou des débats, ce topic sert avant tout à recueillir votre avis sur l'épisode. Bonne journée.
(Je me permets tout de même de répondre à ça si vous le voulez bien, ça reste dans le cadre d'un avis sur l'épisode) Et notre avis c'est justement que la scène de fin décrit une agression sexuelle et que rien n'est fait pour montrer que ce geste est condamnable. Je pense pas que quelqu'un ici ait dit que c'est fait pour faire accepter ce genre de comportement, mais rien n'a été fait pour montrer que ça n'était pas acceptable. Je crois parfaitement que l'équipe n'a pas voulu faire passer ce type de message, mais je crois aussi et surtout qu'elle ne se rend pas compte du message que ça véhicule, parce qu'il n'y a pas eu de réflexion plus approfondie sur le sujet, sur ce que cette scène risquait de renvoyer dans une société où les baisers forcés ne sont pas perçus comme des agressions, ou alors des agressions de faible importance (et malheureusement si, le choix de se débattre ou non joue ici, ça peut risquer de laisser passer l'idée chez les plus jeunes que ce n'est pas un acte si violent que ça si y'a pas forcément besoin de se débattre, les mots employés ont leur importance). Et c'est pour ça qu'on écrit des avis, pour pointer du doigt ce genre de choses, afin qu'elles puissent être corrigées. Donc si l'équipe a peur qu'on croie qu'elle cautionne le fait qu'une agression est commise, que c'est pas si grave parce que "c'est un baiser", c'est quand même dommage, il aurait fallu y penser avant de faire cette scène, ou bien mettre un encart à la fin de l'épisode (comme pour AS et la maltraitance) pour préciser qu'il n'y a rien de beau, de romantique ou même de tolérable dans un baiser forcé, et surtout ne pas mettre ce baiser forcé (cette agression donc) en illustration. Beaucoup de jeunes joueurs/euses ne se rendent pas compte du caractère violent de cette scène (outre le côté trahison). On est déjà plusieurs à avoir été gêné-e-s, voire choqué-e-s par cette histoire, c'est bien que ça mérite d'en parler un peu et d'expliquer en quoi il y a un problème. C'est pas juste pour faire des polémiques gratuitement, vraiment. Voilà, désolée pour cette nouvelle intervention, mais je considère que c'est dans la continuité de mon avis, et que le sujet mérite largement une réaction, ce n'est pas anodin.
#mes avis#l'épisode mauuudiiit#ah l'époque où beemoov romantisait les agressions sexuelles#le bon vieux temps (non)#heureusement que c'est fini#ah bah non maintenant y'a moonlight lovers lol#tw agression sexuelle#eldarya épisode 13#eldarya#eldarya the origins
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Je coule. Je crois que c’est ça mon premier souvenir. Je coule comme si c’était la première fois. Plus que ma tête, c’est ma chatte qui m’a confirmé que j’étais pas hétéro.
J’ai grandi entre Genève et la France, en Haute Savoie, dans un village de moins de 3000 habitants, 20 % de FN, et le reste qui vote à droite. Du coup, bon, laisse moi te dire que des bi, des pédés et des gouines visibles, y en avait pas foison.
Le premier souvenir que j’ai, c’était Romaric de 4e3, un mec sympa et « efféminé » selon les critères du collège de La Pierre aux Fées où j’étais. Il s’en prenait plein la gueule toute l’année, tout comme Aurélien de 5e6 qui avait eu le malheur de dire un jour qu’il aimait bien chanter. Un matin de décembre, on a débarqué dans la cour et quelqu’un avait tagué sur 4 mètres de long « Romaric est un pédé ». L’administration n’a rien fait, c’est resté pendant des jours, Romaric a fait comme s’il s’en foutait et il est allé s’asseoir juste à côté du tag tous les midis jusqu’à ce que celui ci soit finalement effacé. En vrai, tout le monde savait très bien le mal que ce genre de truc peut faire.
Pendant ce temps là, moi j’évitais soigneusement de me poser la question. J’avais fini par jeter au fond de l’armoire tous mes sweats parce qu’on m’avait bien dit qu’il fallait être féminine désormais, pour les remplacer par des espèces de hauts immondes asymétriques (Pimkie, franchement je ne te remercie pas). C’était évident pour moi que je trouvais les filles trop belles, que je pensais à Mélanie Bochart autant qu’à Loïc Chambond en m’endormant, mais j’étais persuadée que c’était le cas de TOUTES les filles, et que du coup ça ne voulait rien dire. J’étais si naïve. Mais quand t’as ni modèle ni représentation à la télé, dans ton entourage ou dans les bouquins de couples autres qu’hétéro, t’as quand même souvent du mal à te projeter. En vrai, je pense que ça m’arrangeait bien, que je devais bien imaginer, même inconsciemment qu’il y aurait un coût à ne pas rentrer dans le schéma de séduction d’hétéroland. Romaric et tou.te.s les gamin.e.s persecuté.e.s au collège et lycée peuvent d’ailleurs l’expliquer bien mieux que moi. Au fil des années, j’ai d’ailleurs moi même intégré l’homophobie ambiante, et contribué à propager la rumeur que Carole F. était lesbienne comme si c’était une maladie dangereuse (Carole, je m’en veux encore).
Du coup, j’ai continué ma scolarité avec l’idée que être lesbienne ou bi, ce n’était pas ce que je ressentais, c’était autre chose, un monde inconnu, un truc de la ville. J’avais pas de haine, j’y pensais pas spécialement, mais c’était impossible que ça me concerne. Il se trouve qu’en plus de tout, j’avais perdu ma virginité assez tôt avec un garçon plutôt sympathique qui portait des colliers vert jaune rouge avec des feuilles de cannabis et qui me faisait pas chier pour que je porte autre chose que mon jogging blanc Go Sport. J’avais pas vraiment vu l’intérêt du truc, ça m’avait fait mal plus qu’autre chose, et je me souviens davantage de la chanson des Foo Fighters qui passait plutôt que l’acte en lui même, mais c’était sensé être un truc cool donc je m’y étais collée. Evidemment, comme j’étais une meuf, j’ai pu dire au revoir à ma réputation de sainte et bonjour à la réputation de salope du jour au lendemain, et du coup j’ai mis de côté mes questionnements existentiels sur les meufs, j’avais d’autres trucs à gérer.
J’ai vite dégagé de ce bled pourri dès que j’ai pu, c’est à dire l’année de mes dix huit ans, et j’ai débarqué d’abord à Grenoble, puis à Lyon. Pendant un week-end en Allemagne, loin de chez moi, j’ai flashé sur une meuf en boite, une butch qui m’a payé des verres et fait rougir comme une ado. On s’est pelotées pendant des heures sur un fauteuil pendant que mes potes jouaient au billard. J’ai un peu flippé en me demandant ce qu’ils allaient dire, mais rien, quedalle, parce qu’en fait une meuf qui embrasse une meuf, ça ne peut être qu’une « phase », un truc pour s’amuser, rien de sérieux. Et ce truc m’est resté pendant des années. J’avais beau draguer des meufs, passer des heures avec elles à se toucher et à s’embrasser, je repartais ensuite bien persuadée que j’étais hétéra, que ça voulait rien dire. Autour de moi, l’idée c’était que je faisais ça pour exciter les mecs autour, évidement, et je crois que ça me faisait trop flipper de démentir. Je me rappelle qu’à Lyon, après une longue discussion avec des potes de potes, celles ci avaient rapporté à ma coloc que c’était évident que j’étais gouine, mais que je ne le savais pas encore. Evidemment j’avais recraché ma bière, rigolé et dit un truc du genre « MOI GOUINE PFFF NAN PFF HIHIHI HEU COMMENT ELLES ME CONNAISSAIENT TROP PAS ». Hum. Pour moi, j’étais juste comme tout le monde, je trouvais les gens beaux, peu importe le genre. La bisexualité n’existait pas vraiment dans mon esprit, ni dans l’esprit de mes potes. Et du coup, l’équation était simple : si j’aimais les mecs alors j’étais forcément hétéra, point barre.
Plus j’ai vieilli, plus c’est devenu compliqué. Quand j’ai commencé à me dire bi, on me rétorquait souvent que c’était pas possible puisque je n’avais jamais réellement couché avec une meuf. Et plus on me disait ça, plus j’étais terrorisée à l’idée de passer à l’acte avec des meufs de mon âge et de pas savoir quoi faire, de pas savoir où mettre mes doigts, mes mains, mes cuisses, ma langue. Je veux dire, oui, merci j’avais vu toutes les saisons de The L Word mais clairement, ça n’allait pas suffire. Un jour en Norvège, en allant voir ma pote en échange, j’ai passé le séjour à draguer une meuf, à qui j’étais persuadée que je plaisais, enfin de l’action bordel. Fiasco total, elle était hétéra, j’ai donc été passer mon désespoir sur la bouche d’un italien quelconque qui embrassait super mal mais qui avait le mérite de pas être difficile. En vrai j’en rigole, mais à mon retour, je me suis répété pendant des semaines que quand même je devais pas être normale, que je comprenais pas ce qui se passait à l’intérieur de moi quand je voyais ces meufs. Oui je suis un peu lente à la détente, on l’aura toutes compris.
J’ai commencé à vouloir tenter des trucs à mon arrivée à Paris, mais je sortais que dans des endroits hétéros, avec des potes hétéros, et l’ampleur de l’angoisse de devoir repérer les meufs queer dans des foules a eu raison de moi, surtout que j’avais un gaydar absolument inefficace qui se basait presque uniquement sur une échelle de ressemblance avec Shane *. Au fur et à mesure, j’ai fini par trainer dans d’autres endroits, par rencontrer d’autres meufs. Et puis je me suis lancée, et c’était trop bien (non mais genre vraiment bien)(toi derrière ton écran qui te pose des questions, n’hésite plus).
Des mois plus tard, dans une soirée lesbienne parisienne, en regardant les très jeunes meufs autours de moi qui se roulait des pelles, j’ai pas pu m’empêcher d’être agacée. En fait, j’étais jalouse de leurs années non gâchées, non gaspillées. Quand tu te découvres pas hétéra sur le tard, ça crée en toi un truc spécial, un mélange de libération et de colère gigantesque, qui te submerge, qui t’empêche de respirer. T’es heureuse et tu tombes amoureuse toutes les minutes, mais tu hurles à la pensée des années que t’imagines gâchées. Sur le moment, je me rappelle que je répétais en boucle que j’avais gâché 10 ans de ma vie, c’était un peu con mais je n’arrivais pas à m’en empêcher. Je me disais que si j’avais grandi ailleurs, j’aurais peut-être eu d’autres références, j’aurais pu me projeter, et commencer à vivre avant.
Au final, je me suis engouffrée dans une autre vie, j’ai changé d’endroits où sortir, je pouvais plus voir un film ou lire un bouquin d’amour entre hétéros sans le balancer à travers la pièce (Paul aime Emma, c dur mé en fait Emma aime Paul, oui bon merci on a compris).
Et tes potes hétéros, comme ils veulent te montrer qu’ils sont pas homophobes, ils te posent aucune question sur ta nouvelle vie, c’est ta vie privée au final, on a pas besoin de détails, ça change rien pour nous tu sais, c’est cool. Sauf que pour toi, ça change tout. T’as justement envie d’en parler tout le temps, parce que ça soulève ta vie à cet instant précis et que tu sais pas à qui en parler. En plus, soyons honnête, le seul truc dont t’as envie de parler, c’est de cul, tout le temps et tu dis des trucs du style Y A PAS DE FIN THOMAS TU TE RENDS COMPTE, ON ARRETE QUAND ON VEUT IMAGINE JE METS DES DOIGTS DANS QUELQU’UN pendant que ton pote bouffe son kebab à 4h du mat’, et te regarde en se marrant. Au fil du temps, je me suis refait des potes, des références, j’ai découvert Effing Dykes, Michelle Tea, Dorothy Allison et Tegan and Sara, j’ai vu Bound trois fois, j’ai remis en question plein de trucs, je me suis sentie vivre, j’ai continué à regarder Magic Mike 1 et 2 pour me remonter le moral le dimanche, mais j’ai gardé ce sentiment de vouloir en quelque sorte rattraper toutes ces années.
A tou.te.s ceux et celles qui continuent à penser que les représentations ne servent à rien, que diffuser d’autres histoires, d’autres vies que celles qu’on nous placarde en modèle depuis notre naissance n’est pas capital, ne vous en faites pas ! Romaric, Aurélien et tout les autres ont surement très bien vécu leur adolescence ! Quand à moi, j’ai fini par me convaincre des côtés positifs d’un coming-out tardif : on m’avait fait chier pour autre chose à l’école (vaut-il mieux être une salope ou une lesbienne au lycée ? vous avez trois heures), j’étais sortie avec plein de mecs cis* supers (nope) et j’avais vécu des belles années qui ont contribué à construire qui je suis aujourd’hui (j’arrive jamais à dire cette phrase à voix haute sans rigoler).
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Eldarya épisode 9
Originellement posté ici le 14 février 2016.
Salut, salut ! C'est l'heure pour moi de donner mon habituel avis :D (Même que je vais pouvoir structurer en mettant des titres dans les bandes bleues, parce que j'ai enfin compris comment on faisait).
Commençons par ça, on sera débarrassés ! J'en ai dépensé un peu moins de 2800... Au début, j'étais tentée de dire que, pour un épisode de cette durée, c'était plutôt correct. Mais en fait, je me rends compte que la longueur est due aux dialogues, très présents (qu'on ne s'y trompe pas : c'est un point positif !), et la dépense de maanas s'est surtout faite dans des aller-retours incroyablement pénibles dans la forêt (j'y reviendrai) et ce sempiternel "Trouve tous les personnages du jeu avant de pouvoir valider ton objectif ! C'est tellement amusant !" Avec aujourd'hui en prime, le devoir de trouver ces 4 ptn de chats. Franchement, c'est en partie pour ça que j'attends toujours quelques jours avant de jouer un épisode sur Eldarya ou AS : j'attends que sorte une solution fiable pour pouvoir avoir une liste exhaustive de tous les personnages à trouver et, avec un peu de chance, une indication sur les lieux où les croiser. Sérieusement, le coup du familier à rendre, il fallait croiser douze personnages. DOUZE. Heureusement, ils n'étaient répartis que dans trois lieux, heureusement que j'avais ma soluce. Sinon, je serais sûrement sortie du bâtiment et aurais perdu dix mille maanas en plus. Et c'est pareil avant qu'on parte pour tuer l'hamadryade : "Trouve quelque chose à faire !" Non, stop, on avait dit que ce genre de trucs, on pouvait largement s'en passer. Arrêtez avec ça, personne ne s'amuse dans ce genre d'objectifs.
(Ben oui, c'est quand même ça le centre du truc, non ? ) Alors, premièrement, ce que j'ai trouvé dommage, c'est la longueur de la première partie de l'épisode. Parce que, pardon, mais les trois "battues" en forêt, c'était quand même bien relou. Devoir faire le même chemin je ne sais combien de fois, c'est répétitif, c'est long, et on a vraiment l'impression de perdre notre temps. Pour le coup, la réaction de la gardienne me paraissait justifiée. L'épisode ne se lance vraiment qu'avec la rencontre d'Yvoni, c'est dommage. Y'aurait largement eu moyen de raccourcir la phase de battue. Heureusement que les retours étaient en partie abrégés. C'était pas beaucoup, mais franchement, c'était toujours ça de pris. Ce qui m'amène à Yvoni \o/ J'ai franchement rien vu venir. Ma première réaction en la voyant a été "OMG elle est trop belle !!!!!" Mais le Destin (non) m'a rappelé qu'Ykhar occupait déjà toute la place dans mon cœur et a fait d'Yvoni une antagoniste à détruire lol J'ai beaucoup aimé ce passage. J'étais déçue qu'en fait elle soit méchante, parce que je voulais qu'on devienne amies x) Mais ça a permis de faire évoluer Eldarya vers un vrai monde medfan comme on les aime, avec des ennemis et tout, on se souvient enfin qu'il se passe des trucs apocalyptiques (on va en reparler brièvement). Et les changements de décor de la forêt, ainsi que d'Yvoni en elle-même, c'était très très bien vu. J'ai eu l'impression de me retrouver dans le jeu Fran Bow, où tous les décors et les personnages prennent une allure horrifique sous l'effet de la Duotine (si vous connaissez pas, prenez-le comme un compliment, ce jeu vidéo a récemment pris sa place dans le top 3 de mes jeux favoris lol). C'était génial à jouer ! "Dark" Yvoni était magnifique... Torturée à souhait, un très beau design ! Bon, par rapport à cette histoire d'apocalypse approchant, les joueurs/euses vous ont souvent reproché (surtout dans le dernier épisode, je crois) l'apparente désinvolture des personnages, cette impression qu'ils ne se soucient même pas du danger qui pèse sur Eldarya, comme si en fait on était tombé dans un monde où ça va plutôt pas mal et tout le monde glandouille dans son coin. Je vois que vous avez décidé d'y remédier, m'enfin y'aurait moyen de faire plus subtile que :
Parce que la superbe défense d'Eel en poils de scénarium (oui référence au bazar du grenier kestuvafer) pour dire coucou on a réparé une bourde... Mouais. Et aussi, je vois que l'état d'urgence a touché Eel lol Sinon, je suis contente de voir revenir les cristaux ! Enfin, le centre du problème revient ! J'espère qu'on en apprendra bientôt plus. En ce qui concerne Mery, ben euh... Vu que je m'en fiche un peu de sa tronche, j'ai pas grand-chose à dire, à part que toute cette histoire est un peu retombée comme un soufflé : on s'était arrêté là-dessus en fin d'épisode 8 avec un beau cliffhanger, et en fait c'est résolu dix minutes après le début d'épisode ? Dommage. Ensuite, le fait qu'Yvoni était responsable des "enlèvements" d'enfants (mais aussi d'adultes, depuis plus longtemps, mais visiblement c'était pas utile de s'en soucier... Et aussi, c'est un peu crade de se dire qu'on retrouvera jamais toutes ces personnes. "Enlèvement", ça laisse un peu d'espoir, là va falloir dire aux familles que leurs proches se sont fait bouffer Oo'), j'ai trouvé ça un peu décevant sur le coup, je pensais que c'était une enquête qui allait nous prendre plus de temps que ça... Mais bon, ça pouvait pas être non plus le dénouement de l'affaire, ou bien le jeu se terminerait bien vite x) C'était peut-être un peu court, ou peut-être pas, j'arrive pas à me faire un avis. Enfin, ça a fait avancer l'histoire principale, et puis il reste plein de mystères, comme par exemple celui des enlèvements d'enfants Kappa ! Et le mystérieux Homme Masqué ♥ Et aussi, j'ai bien aimé incarner Miiko un court instant pour découvrir qu'en fait c'était Jamon qui avait intentionnellement laissé les portes du QG ouvertes x) Je m'étais dit que c'était quand même un peu gros que des gardes oublient de les fermer, surtout alors qu'on s'était souvenu en début d'épisode qu'il fallait quelqu'un pour défendre la cité lol Par contre, la réaction de la gardienne quand il faut se débarrasser d'Yvoni... Je rejoins d'autres joueuses, elle a pas vraiment réfléchi à la situation. Si j'entends bien qu'on rechigne à tuer un autre être humain (ou en tout cas humanoïde ici), là c'était "tuer ou être tuée". On lui a bien dit qu'il n'y avait plus rien à faire, ils connaissent quand même mieux les mécanismes de ce monde qu'elle... C'est pas les bisounours, ici. Ah, vous savez ce qu'on dit sur les persos loyal-bon : "loyal-bon, loyal-c**". Enfin bon, j'espère que ça va lui faire prendre conscience qu'en cas de danger, bah faut se défendre, hein.
(Oui, ça pourrait être compris dans ma partie sur l'histoire, mais là je pourrai parler des dialogues en eux-mêmes, ainsi que des petits trucs qui n'ont pas d'incidence directe sur l'intrigue.) Pour commencer, je trouve la lecture fluide et agréable à lire. De gros efforts ont été faits sur la grammaire, comme je l'avais déjà remarqué dans les épisodes récents, mais il reste des couacs : j'ai vu un "soit gentil" vers le début, "elle a prit", "y a mit" et "quand j'eus ôter", vers le passage où on va seule vers Yvoni, un "j'ai dis" un peu après, et j'ai vu passer un "j'aimerai" qui aurait dû être au conditionnel. J'ai adoré parler avec Ykhar de sa famille au début. Merci d'avoir rappelé que les discours à la manif pour tous sur "y fo un papa et une maman sinon lenfen é maleureu" c'est des c*nneries. Il n'y a pas qu'un seul modèle de famille. Vous me faites encore plus aimer Ykhar ♥ (D'ailleurs j'aurais bien aimé accepter son invitation à aller boire un verre ! XD) Je... Je n'ai rien lu de drôle dans les dialogues d'Ezarel. Pourtant, j'ai un bon Lov' avec lui, c'était même le plus haut des trois mecs pendant une bonne partie de l'épisode. Je trouve ses réflexions puériles. Il est lourdingue ; pas dans le sens Nevra, mais dans le sens "je fais des blagues qui ne font rire que moi". 'Fin je sais pas. Déjà qu'il a perdu toute crédibilité humoristique à mes yeux avec le coup de la moustache... J'ai ri et fait les yeux ronds quand la gardienne (je crois que c'est elle ?) a fait "Damn !" wtf XD Et haha, c'était complètement évident que Karuto avait aimé notre plat. On le sait dès qu'il nous crie que c'était immonde. Mais ça fait du bien de le voir écrit. Quelle fierté mal placée ! Par contre, reparlons vite fait de cette chasse au maître de Amaya (c'est bien son nom ?). Outre l'inutile corvée de faire le tour de toute la population d'Eel pour retrouver le proprio, c'est quoi la réaction d'Eweleïn ?! "Hihihi je te dirai pas c drôle de te voir chercher !!!" OMG mais au secours, des adultes matures et responsables ne réagissent pas comme ça, c'est le comportement d'un gamin de primaire, ça ! Je déteste ce genre de réaction (surtout que je me suis récemment engueulée avec une amie qui a ce genre de comportement ultra-puéril), surtout que je ne m'attendais pas à ça de la part d'un tel personnage. On dirait plus le domaine d'Ezarel. En parlant de ça, c'est mignon le délire de vouloir casser les clichés, mais faudrait voir à rester crédible. Valkyon, cet être calme et réfléchi, qui serait le maître à penser d'Ezarel en matière d'humour ? Leiftan, cette tête pensante très posée et chaleureuse, qui serait en réalité une vraie peste ? De ce qu'on a vu de ces personnages, ça n'a juste aucun sens, aucune crédibilité. Ce serait comme si Lysandre d'AS parlait de trouver à Sucrette une "remplaçante"... *Je troll, rangez vos fourches et vos torches* Moi je veux bien, hein, que les personnages ne soient pas entièrement ce qu'ils semblent être, m'enfin faut rester un peu logique, et surtout pas faire ça avec la moitié des persos. Sinon, le procédé finit par perdre de son charme. Par exemple, pour Jamon, c'est du déjà-vu, mais ça va. Je crois qu'il est facilement l'un de mes personnages préférés, il est tellement attachant !!! Je voudrais tellement lui faire un câlin, j'espère qu'un jour, on aura une illustration qui ira dans ce sens ! :D Je repense à Cameria, j'avais pas pensé au bonzaï mais pourquoi pas. Je pensais plus qu'elle se baladerait avec une branche de son arbre, un truc comme ça, un peu comme les vampires Tzimisces dans le JDR Vampire: The Dark Ages/Masquerade. Le bonzaï, ça fait quand même vachement perdre l'histoire en charisme x) Je serais déçue si c'était effectivement ça la réponse à cette question... J'ai pas trop compris pourquoi Ezarel s'est vexé quand la gardienne lui a dit qu'il devait être proche de la nature. Personne n'a parlé de communiquer avec les arbres ou de "s'habiller avec des fleurs"... En plus, c'est le chef de la garde Absynthe : niveau proximité avec la nature, ça se pose là, quand même... Et puis, oui, les elfes sont quasiment toujours des êtres proches de la nature, quel que soit l'univers (bon, pas toutes les races d'elfes, m'enfin y'en a toujours au moins une), je vois pas trop le délire... Aussi, par rapport à la réplique de la gardienne sur le fait qu'elle "ne cautionne pas de tuer un être vivant" et sur ce que j'ai pu lire ici en réponse à ça : non, le fait qu'elle n'ait pas envie de tuer des gens n'a rien à voir avec son régime alimentaire. On peut très bien être "pacifique" et manger de la viande. Il y a une grosse différence entre tuer un lapin pour le manger et tuer un membre de son espèce (ou qui y ressemble très fortement), c'est un fait, c'est normal. Donc, même si sa réaction était naïve et un peu bête, ça n'est nullement incompatible avec le fait d'avoir mangé du saucisson... (Et puis tu es débile, gardienne : tu as déjà tué des dizaines de lézards rouges en les donnant à manger à ton Seryphon, et un bon paquet de poissons-libellules pour ton Poulpatata...)
Le QTE ! C'est une bonne idée. Ça permet de couper. Je regrette juste que le truc pour relier les points ait été si peu expliqué. Je n'ai pas compris ce qu'il fallait faire, je croyais qu'il fallait cliquer une fois sur chaque point, j'ai dû regarder une vidéo pour comprendre qu'il fallait maintenir le curseur. D'habitude, j'ai peur des QTE, j'ai toujours peur de les louper, mais ça va, ils sont faciles, ici ^^ J'ai pu choisir l'épée en arme, parce que je prends souvent des arcs dans les jeux de rôles, là je voulais une épée ; c'est classe, les épées (ouais moi aussi je pète la figure aux clichés \o/ Pis en plus, j'avais déjà vu plein de gardiennes avec l'arc, j'ai voulu me démarquer lol en plus je le trouve trop simple). Elle m'inquiète un peu, par contre : vu qu'elle est transparente, on dirait qu'elle est en verre. Mais je suis sûre que quand on aura up notre level et mis des points dans les compét... Euh, quand on aura avancé dans l'histoire, on pourra débloquer des armes plus efficaces, donc plus badass dans le look ! Je suis contente car, grâce à cet épisode, j'ai appris l'existence des bugbears et des hamadryades. Merci ! J'ai bien aimé le bugbear, moi il me faisait penser à Beorn dans Bilbo le Hobbit. J'ai beaucoup aimé les décors, comme tout le monde. La forêt "normale" devenait lassante à force d'y errer comme une âme en peine, mais j'ai adoré les décors en mode Yvoni. En plus, ils étaient roses, et moi j'adore le rose. En ce qui concerne ce qu'on débloque avec le niveau 11... Les deux lieux d'explo, quand j'ai vu la durée qu'ils prenaient, j'ai un peu halluciné. 50 minutes ?! C'est super long !! En plus pour seulement 20 PE, et en plus c'est pas logique, quand on voit que les lieux de l'Île de Jade (qui est censée être de l'autre côté de la mer O_o'') prennent deux fois moins de temps... Les fonds qui sont jolis, mais comme Maylhine, je m'interroge sur l'augmentation des prix... Quant au Panalulu... J'ai su dès que je l'ai vu qu'il serait le "nouveau familier disponible en boutique". On a eu le même coup avec le Musarose de Valkyon. Mais je ne m'attendais pas à un tel prix. 450 PO ?? C'est n'importe quoi. Je veux bien que ça soit un légendaire, mais 450 PO, franchement. Le prochain, qui sera peut-être l'espèce de chauve-souris de Chrome, il sera à quoi ? 500 PO ?? Je vais attendre la prochaine opération du genre du Black Friday, m'en voulez pas, hein.
("Ah, enfin, elle va la fermer, la râleuse !") Il reste des points négatifs. Il y en aura toujours. Oui, je m'attarde beaucoup dessus, mais c'est parce que j'aimerais les voir disparaître pour de bon (surtout que certains traînent depuis trop longtemps), pour pouvoir profiter à fond des points positifs. Car j'ai vraiment aimé cet épisode. Même si le début était trop long. Même si j'en ai marre de dépenser des maanas dans le vent. L'histoire me plaît, elle commence à aller quelque part, le design est à tomber (j'ai pas parlé de l'illu, mais je la trouve très chouette. Et ça ne me gêne aucunement qu'on ne voie pas la gardienne dessus, ce n'était pas elle le centre de l'épisode : c'était Yvoni et le côté "abîmé" d'Eldarya, qu'elle représentait parfaitement, pour moi le sujet était très bien choisi), j'adore collectionner les familiers, j'aime l'univers. Bref, j'ai hâte d'avoir la suite et de voir le jeu s'améliorer de plus en plus !
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