#Grande Cascade de Tendon
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7. Tomber, encore
Je ne me suis jamais vraiment relevée. Pas tout à fait. Je porte encore les stigmates (pas celles du Christ, plutôt des scarifications morales, un agglomérat de pensées infécondes fouettant mon entendement facétieux). Laisse-moi tomber. Cet abandon, ce lâcher-prise, cette délicatesse. C’est plus simple et tordu. Tomber dans ce trou insipide. Rester dans cette grotte de la désillusion et de la résignation. Il faut moins de courage pour chuter que de se relever au grand jour. Il en faut de la violence pour exterminer nos peurs. Je tombe, encore, tellement, tellement face au courroux des autres, face aux injustices comme des incisions, face à l’infantilisation, face à cette autorité parentale toxique. J’aurais pu ne jamais m’en remettre. Suivre une thérapie ne remplace pas le cheminement de croix. Quarante jours et quarante nuits dans un désert d’infortune. J’ai subi, j’ai énormément ravalé ma rancœur. Tous ces cauchemars à répétition drainés par des craintes légitimes. Pourquoi tout ce que j’imagine se passe dans la vraie vie ? Pourquoi mes pires scenarii se concrétisent ? Cette autoréalisation m’accapare et m’exaspère. Assez, je sais que je n’ai pas encore fini de tomber en cascade, de m’écorcher à vif, de me brûler sur des braises fumantes, je sais que je n’ai pas terminé de me faire crucifier. La flagellation mentale me fracassera encore sur de beaux récifs coralliens. Malgré tout, luttons. Tendons la joue gauche pour se faire battre une énième fois. Vous verrez, je serai encore debout, je ne suis pas astrologiquement une bête à cornes pour rien.
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PSG vs Lorient : Neymar (déjà) incertain ! Un point sur les absents.
Le PSG traverse une période tumultueuse. Entre rumeurs de transfert, absences notables et blessures, le club de la capitale doit faire face à de nombreux défis. Retour sur les dernières actualités qui agitent le Parc des Princes avant PSG vs Lorient. Neymar, une étoile sur le point de s'éteindre à Paris ? Depuis quelques jours, une rumeur persistante circule dans les couloirs du Parc des Princes : Neymar pourrait quitter le PSG. L'avenir de la star brésilienne est plus que jamais incertain. Si aucun détail n'a filtré quant à sa possible destination, les spéculations vont bon train. Mais ce n'est pas tout, car l'attaquant vedette est également dans la tourmente sur le plan physique. PSG vs Lorient : Incertitude autour de la participation de Neymar Alors que le PSG s'apprête à affronter Lorient en Ligue 1, Neymar reste une grande interrogation. Touché par un syndrome viral, le joueur est actuellement en phase de récupération. Pour ne pas aggraver son état, Neymar a privilégié l'entraînement en salle, loin des pelouses. Les supporters parisiens retiennent leur souffle, espérant le voir fouler la pelouse lors de ce choc. Des absences qui s'accumulent pour le PSG avant Lorient Le cas Neymar n'est malheureusement pas isolé. D'autres joueurs clés du club parisien sont aussi sur la touche, rendant la tâche de Luis Enrique d'autant plus compliquée. Lire aussi : - Neymar à Chelsea ? Une possibilité qui devient de plus en plus sérieuse ! Nordi Mukiele, le retour tant attendu Bonne nouvelle toutefois pour les fans du PSG, Nordi Mukiele est sur le chemin du retour. Après une opération des ischios jambiers, le défenseur semble enfin voir le bout du tunnel. Sa présence pourrait apporter un peu de sérénité à une défense parisienne mise à mal par les absences. Nuno Mendes, une absence prolongée Le jeune latéral gauche, Nuno Mendes, est quant à lui écarté des terrains pour une durée estimée à 15 jours. Absent de l'entraînement collectif, il faudra patienter avant de le revoir à l'œuvre. Une absence de plus qui complique les plans de Pochettino. Voir ensuite : - Infidélité : Neymar au cœur d'un nouveau scandale amoureux ! Presnel Kimpembe, toujours éloigné des terrains Enfin, Presnel Kimpembe sera toujours absent pour le match contre Lorient. Le défenseur central a subi une opération au tendon d'Achille. Ce qui le tiendra éloigné des terrains pour une durée encore indéterminée. Un véritable casse-tête pour l'entraîneur argentin qui devra recomposer sa charnière centrale. PSG vs Lorient : Un PSG en quête de solutions Face à ces multiples péripéties, le PSG se retrouve dans une situation délicate. Entre les rumeurs de départ de Neymar et les blessures en cascade, le club de la capitale devra faire preuve de résilience pour maintenir le cap. Les prochaines rencontres s'annoncent cruciales, et il est certain que les supporters attendent des réponses sur le terrain. ________ Retrouvez toute l'actu foot sur notre page Facebook et sur notre page Twitter ! Read the full article
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Kleurrijke Herfst by nldazuu.com Via Flickr: 🍂🍁🍂heb je onze laatste Sander en Dave fotografie vlog al gezien? Vogezen deel 2 op Youtube. Dan zie je me deze foto maken, in de miezerige regen en leg ik uit waarom de kleuren zo lekker tot leven komen. Ik vind het heerlijk als je deze bonte mix van geel, groen, blauw en rood in de herfst kunt vinden en fotograferen. Hoe was jouw herfst 2022, nu de #winter is begonnen? Blik je terug op een mooi herfst seizoen?🍁🍂 Techniek: @benrobenelux Tortoise statief met opzetstuk, Master series polarisatie filter en FHMIIb houder @transcontinenta @tamronnederland objectief E 28-200 mm. f2.8-5.6 op 1/3e sec. f/11 ISO100 Sony A7rIV Follow me on: Photo Blog | Facebook | Instagram | CameraNU |
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XX - CLXXXVI - Tendon, la Grande #amazinglorraine, #cascade, #coupdecoeurgrandest, #EmmanuelHenry, #foret, #france, #france_focus_on, #grandest, #grandest_focus_on, #grandestnotreregion, #irix, #irixlens, #jevoislavieenvosges, #lorraine, #nature, #nikon, #nikonfr, #paysage, #PhotosDesVosges, #TeamNikon, #vosges (à Grande Cascade de Tendon) https://www.instagram.com/p/CBXa0xSHFXJ/?igshid=ytzh2or1lh40
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#Cascade (à Grande Cascade de Tendon) https://www.instagram.com/p/CK1-cckqtD5/?igshid=1009qyanz35rq
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Ce matin nous avons visité la Grande Cascade de Tendon, dans les Vosges. Il faut venir de bonne heure sinon le parking est vite plein. Ensuite grimpette le long des rochers ou suivre le chemin de randonnée, dans les deux cas on arrive en haut de la cascade. Attention cela peut glisser. Le manque d'eau de la région réduit l'effet de la cascade mais elle reste tout de même jolie à voir. . #cascadetendon #cascade #tourismeVosges #vosges #foret #decouverte #tendon # nature #wild https://www.instagram.com/p/CD1Ds59B0Po/?igshid=ta380qmgwlhx
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🌲 Verticalité 🌲 Tendon, Vosges, France Juillet 2019 . . . #france #visitfrance #vosges #naturalpark #travelgram #worldtrip #wanderlust #forest #green #trees #geometry #vertical #lines #nature #naturelover #lifeingreen #hiking #randonnee #balade (à Grande Cascade de Tendon) https://www.instagram.com/p/B1d-OKKIMGR/?igshid=juz23dr1n0ez
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Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !
Mostar, Bosnie. Le 13 janvier 2019. Histoire du "Gitan Blanc"
Après avoir traversé toute la chaîne de montagnes et profité encore de beaucoup de générosité, nous voilà arrivés à Mostar en soirée, territoire où règne le "Gitan Blanc".
Dans le centre, près du vieux pont, nous rencontrons David. Alors que nous parlons français, il nous interpelle dans notre langue maternelle.
- "Vous recherchez un hotel ?", nous demande-t-il dans un parfait français.
Interloqués, nous lui répondons que nous cherchons un bar et un lieu où dormir mais pas un hotel ou une auberge.
- "Je connais tout ça, la galère et tout !" dit-il en nous invitant à le suivre.
À ses côtés, nous rejoignons une vieille maison abandonnée où un vieil ami à lui (plus de 30 ans qu'ils se connaissent) a élu domicile depuis la guerre. David nous informe que son ami s'est renfermé sur lui-même depuis la guerre et qu'il parle peu. Nous découvrons un homme d'une cinquantaine d'années assis sur une chaise de bureau en cuir, les jambes croisées, une épaisse chevelure et une barbe poivre et sel hirsute.
Par opposition, David est très loquace, il ne s'arrête de parler que pour nous laisser acquiescer. Par bribes d'histoires, nous en apprenons un peu plus sur lui. Il fut chef cuisiner en France, à Marseille et Paris, puis en Belgique à Bruxelles. Sa vie fut trépidante et bien éloignée de la notre, enlevé de sa mère jeune, il s'exile en France pour travailler. C'est là-bas qu'il intègre la mafia albanaise, pensant être accueilli dans ce cercle comme dans une famille. De fil en aiguille, il commet quelques larcins jusqu'au meurtre. Accusé en France par les renseignements généraux d'un meurtre dont il se clame innocent, il purge une lourde peine et enchaîne les séjours en prison dans tous les pays qu'il traverse.
Il se vente néanmoins d'un meurtre qu'il aurait commis sans préméditation dont nous vous passerons les détails.
Malgré la violence de certains de ses propros, il parle avec calme, semble avoir la tête sur les épaules et nous nous sentons à l'aise en sa compagnie.
Grâce à lui, nous en apprenons davantage sur la guerre et sur l'histoire de son pays, la Bosnie.
Après une longue marche, nous campons au sud de la ville. Malgré les généreuses invitations de David, nous préférons nous éloigner et rester sur une bonne impression du Gitan Blanc dont nous ne pouvons vous révéler le nom...
Citations de David :
- "L'invité ne peut rester plus de trois jours, au delà tu t'en lasses."
- "Si tu veux faire rire Dieu, fais des plans.", sa manière à lui de parjurer le destin.
- "En France, un black avec une vraie carte, avec un joint il prend une tarte." La carte rappelle la carte d'identité et justifie que lui était illégalement en France mais qu'il n'a pas été expulsé. Du moins, pendant quelques années...
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Banja Luka, Bosnie. Le 12 janvier 2019.
Au bord de la route, de nombreuses maisons, à peine terminées, paraissent abandonnées pour la plupart mais restent habitées pour certaines. Comme constaté à Lipik hier, de nombreuses habitations ont été détruites par la guerre, des organisations internationales ont rendu ces locaux tout juste habitables. Les murs sont reconstruits, les trous de balles rebouchés mais finalement aucun enduit n'y a été appliqué. Cela donne l'impression d'être plongé plusieurs années en arrière tout juste après la fin de la guerre.
Un jeune homme s'arrête au bout de quelques temps. Nous arrivons à Banja Luka, 50 kilomètres plus loin. Lui se rendait initialement à Nova Topola mais il décide de venir avec nous pour visiter. Slavisa ne semble pas moins perdu que nous, il faut dire qu'il n'est pas aidé par l'absence totale de panneaux directionnels... À notre arrivée, Slavisa nous offre un burger bosnien, composé d'un steak de poulet haché enfuit dans un pain pita. Avant de partir, il nous demande quelle est la meilleure nourriture à emporter en voyage. Il souhaite donc nous acheter des pâtes. Nous ne demandons rien mais recevons beaucoup. Voyager sans argent nous rapproche des personnes que nous rencontrons. Nous passons plus de temps en leur compagnie et pouvons donc connaître leur histoire et celle de leur pays selon leur vision. De surcroît, cela constitue un témoignage de ce qu'est finalement capable l'humain.
Plusieurs kilomètres au sud, aux pieds des premières montagnes bosniaques, nous marchons et voyons dans l'air se former de la vapeur d'eau autour d'une petite cascade.
À la vue de ces sources chaudes, nous abandonnons toute idée d'avancer et partons s'y baigner.
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Gradiska, Hongrie. Le 11 janvier 2019.
Le réveil sonne à 4h15. Nous avons rendez-vous à 4h50 devant le portail, avec Eva, une amie de Lori qui se rend au marché de Kaposvàr pour y vendre ses fromages. Nous n'avons plus un sou et souhaitons rejoindre le Monténégro ainsi.
Nous tendons le pouce vers 8h sur la route 67. Un homme puis une femme nous avancent successivement de quelques kilomètres. Cette dernière, dresseuse de chevaux, nous offre café et petit-déjeuner au restaurant de la ferme où elle travaille. La journée s'entame de la meilleure des manières.
Deux hommes puis un père et sa fille nous conduisent droit à la frontière croate que nous franchissons à pied. Trois voitures nous permettent enfin d'effectuer 45 kilomètres jusqu'à Veliki Zdenci. Là, un couple de bikers nous conduit à Daruvar. En chemin, ils nous invitent à boire un café au Snooker. Un enchaînement de trois voitures effectuant chaque fois la liaison d'un village à l'autre nous fait atterrir à Lipik.
Nous attendons longuement une voiture. La nuit ne tarde pas à tomber. Un homme nous tient compagnie et nous offre finalement des bananes et des figues séchées puis s'en va. Nous décidons de lever le camp, il fait nuit et les voitures sont rares. Tout espoir perdu pour avancer, c'est alors qu'un jeune ralentit à notre hauteur après avoir fait demi-tour. Cet ingénieur en génie électrique est fasciné par notre voyage et souhaite, par conséquent, nous rendre service autant que possible. Il nous dépose à la frontière bosniaque, 35 kilomètres plus loin, puis fait chemin arrière pour revenir au point de départ. Nous franchissons la frontière à pied.
Cette journée aura été épuisante. Nous avons beaucoup marché, traversé toute la Croatie du nord et effectué 280 kilomètres grâce à 14 voitures différentes. Une journée plus que satisfaisante en somme puisque nous sommes rassasiés par ces multiples rencontres.
Une longue nuit s'impose ...
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Syófok, Hongrie. Le 10 janvier 2019
Réveil tardif sous la neige ce matin. Il est environ midi lorsque nous atteignons un arrêt de bus où il fait bon de faire de l'auto-stop. Pendant qu'Adrian et Nicolas commencent, nous mangeons sur les marches du restaurant se trouvant derrière. À ce moment précis, le patron du lieu, Gyula, sort et nous invite à lâcher nos sandwiches pour goûter ses plats. Installés au fond de la salle, près de la cheminée à inertie, une soupe aux vermicelles arrive accompagnée d'une bière. Le plat de résistance arrive à son tour. Pensant bénéficier de l'entrée seulement, nous n'avons déjà plus faim pour ces pommes de terre en sauce. Pour finir, Gyula en personne nous apporte deux cafés et le digestif (palinca).
Nous avançons sans grande réussite. Entre chiens et loups, Valentin s'arrête et se dirige vers Siofók pour un rendez-vous professionnel. À l'arrivée, nous devons l'attendre pour qu'il nous emmène un peu plus loin sur notre route. Après une heure et demie d'attente, il sort accompagné d'un homme plus âgé et ce dernier nous aborde. Il nous propose finalement de nous conduire chez lui où une chambre nous attend. Nous découvrons ainsi le ranch exceptionnel de Lori à l'extérieur de la ville. Nous occuperons la chambre de l'ancien palfrenier. Pour couronner le tout, un plateau de nourriture nous est apporté ainsi qu'un sac remplit de friandises.
PS : Gyula, en contrepartie de son repas, nous demande de suivre sa chaîne Youtube et de la partager, nous vous laissons apprécier son talent ici : https://www.youtube.com/channel/UCv1RcyhvQ99r5JhlpMgZ7ug
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- Holice, République Tchèque. Le 16 décembre 2018
Le réveil sonne à 7h45. Un jeune homme passe et nous demande un briquet. Il s'éloigne puis revient fumer une seconde cigarette à nos côtés, 2 cafés qui nous sont destinés à la main. Il rentre d'une soirée visiblement bien arrosée et s'en va, titubant, probablement commencer sa nuit.
Nous terminons de plier la tente, lorsque, d'un balcon au loin, une femme nous interpelle en tchèque. Nous pensons comprendre qu'elle souhaite nous offrir un café. Peu sûrs, nous passons devant l'entrée de l'immeuble, l'air de rien. La dame nous attend, une tasse de café fumant dans chaque main et quelques gâteaux. Nous avons juste le temps de nous brûler la langue avant de poursuivre notre chemin. Cet élan de générosité constituera les prémices d'une journée très productive avec pas moins de 280 kilomètres parcourus en 6 voitures et se terminant dans la maison pastorale de Karvina dont notre chauffeur, le prêtre du village, nous donne la totalité des clefs.
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Tout seul on va plus vite, ENSEMBLE ON VA PLUS LOIN !
Actuellement en voyage pour s'éclaircir les idées, cette page est l'occasion de vous tenir informé(e)s de notre avancée et des expériences humaines que l'on souhaite vous partager.
(English : Currently travelling and hitchhiking on the way to Asia, this page is an opportunity to keep you informed of our advance and to share human experiments we're living. To follow us : https://www.instagram.com/toutseulonvaplusvite & https://alexbirdy.travelmap.net)
Cette initiative est la première étape pour se réunir vers un projet plus conséquent où chacun partage la même vision du monde.
Notre rêve, construire ensemble une communauté. Dès notre retour en France, nous souhaitons acquérir un terrain où vivre et accueillir diverses activités. Nos objectifs :
- Tenter d'inspirer et de mettre en lumière des alternatives dans un pays où la carrière apparaît comme une nécessité pour réussir ;
- Mettre les connaissances de chacun(e) au profit de l'intérêt public ;
- Prendre soin des Hommes et de la Terre tout en engrangeant des ressources.
L’élévation de la conscience collective pour la protection de l'environnement et notre attrait pour les énergies vertes, l'économie circulaire et le partage des savoirs et techniques, nous poussent à agir concrètement et sur le long terme.
Nos premières idées visent l'autosuffisance énergétique et alimentaire. Pour ce faire, nous désirons construire un ou plusieurs bâtiment(s) bioclimatique(s) producteur(s) d'énergie propre en liaison avec un potager en permaculture (autoconsommation , marchés, AMAP ..). Une fois l'autarcie acquise, nous avons la volonté de multiplier les activités : brasserie, café-concert, galerie d'art, atelier participatif pour artistes et artisan(e)s, boutique éphémère, ferme pédagogique, camping, gîte, etc.
Si tu souhaites t'investir, fais-nous part de tes intentions. Nous souhaitons profiter de cette occasion pour faire mûrir le projet et faire évoluer les perspectives ensemble. Chaque idée ou suggestion sera la bienvenue.
Tu pourras t'installer, séjourner plus ou moins longtemps ou ne faire que passer pour faire jouir l'ensemble du collectif de tes talents. Nous aimerions ouvrir le champ des possibles. Cette ambition n'est pas risquée ni éphémère mais bel et bien réelle. Nous pensons que le retour au naturel et la décroissance ne constituent en aucun cas une régression. Au plus vite on se met en mouvement, au plus ce sera facile et efficace.
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Instagram : instagram.com/toutseulonvaplusvite
Pour suivre notre voyage : https://alexbirdy.travelmap.net
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La Grande Cascade de Tendon
Située sur la limite des communes de Tendon et du Tholy, montez au sommet de la Grande Cascade pour passer un moment calme et apaisant et profitez d’un panorama époustouflant.
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(22)
Vendredi 14 mai.
Dès le lever du jour j'appareille vers un immense complexe hydro-électrique qui domine l'horizon.
Relevés composites que je classe dans un grand cahier.
Retour à l'atelier vers la fin de l'après-midi.
Je ne sais pourquoi, lorsque je pense à cette notion de « mécanique », ce sont illico les tableaux du Tintoret qui m'apparaissent. Qui s'imposent, qui en illustrent le mot et enclavent le concept même : une machine dont l'objet réside dans la mise en mouvement de différents éléments. J'oserai même prétendre que ces morceaux de peinture ne sont que cela : de la mécanique pure, de la surface en impulsion, une entité qui est toute entière vouée à son propre fonctionnement. Il en résument parfaitement la notion et en déploient au micron près l'exacte définition. Tous les tableaux du caractériel de Venise surgissent ainsi devant moi, comme si je me trouvais véritablement dans un musée. Mécanique ! Car ce n'est pas Fernand Léger, ni Picabia, ni les futuristes italiens qui me viennent à l'esprit, c'est plutôt l'extraordinaire « Enlèvement du corps de Saint Marc » de l'Accademia, « Le massacre des innocents » de la Scuola di San Rocco à Venise ou « La découverte du corps de Saint Marc » de Milan. L’affaire est entendue. Ce ne sont pas les machines de Tinguely ni les installations de Tartempion qui apparaissent instantanément du fond de ma mémoire mais bien plutôt les grandes compositions de la Scuola di San Rocco, les unes après les autres, comme à la parade. Toutes ces grandes compositions brassant muscles et tendons, crinières échevelées, armures, chevaux, visages déformés par la douleur ou transfigurés par la grâce, drapés entortillés, nuages en cascade, carrelage, poternes en bois, buissons et pierres, ailes déployées en tous sens, l'infinie variété de ce gigantesque barnum actionne bien, en un agencement machiavélique, par un jeu de « hardiesses compensées » comme le notait Sartre, la plus extraordinaire machinerie picturale qui soit. Car je ne parle pas de théâtre ici, ni de mise en scène tarabiscotée, non : ces tableaux sont physiquement parlant des mécaniques, comme une montre suisse ou un moteur de Ferrari. Toutes ces formes tournent, se mettent brusquement en mouvement dès l'instant où mon regard se pose dessus, comme s'il appuyait sur un bouton de mise en marche, déclenchant du coup une réaction en chaîne transformant mon regard en une sorte de bille de flipper incapable de faire autre chose que de fuser instantanément d'une forme à l'autre, sauter, grimper, rebondir de gauche à droite, allumer telle ou telle couleur, tel ou tel dégradé, s'élancer à l'intérieur d'une gouttière formée de coups de pinceaux frénétiques, cogner soudain contre un pied, une lance, un bras vengeur, et ricocher ainsi de ligne en ligne vers une nuée centrale que je soupçonne fortement de vouloir avaler, in fine, mon pauvre regard. Inexorable. Rien ne semble pouvoir arrêter cette mécanique, stopper ce mouvement perpétuel. La peinture à son degré le plus incandescent. Tous les éléments de la machine sont en place pour fonctionner sans s'user pendant des siècles et des siècles, sans gripper une seule seconde le parfait ordonnancement de ces pièces reliées entre elles par la circulation de mes yeux. Chaque rouage entraîne le suivant en un développement inouï de logique appliquée. Les verts et les bruns actionnent des soupapes qui poussent tous les ocres à aspirer le rouge garance à l'intérieur de gros pistons afin de le concasser en fines lamelles de jaune de Naples qu'un rouleau compresseur auto-porté se charge d'étaler sur de grandes plaques de rouge vermillon, entraînant ainsi un tapis roulant de bleu de Prusse, de vert de hooker et de blanc de titane à la queue-leu-leu. C'est un ballet stupéfiant de vitesse et de précision, au service de l'étonnement, de l'effarement. J'en reste bouche bée. Je peux voir ses mains dans le cambouis. Ce satané Tintoret est un des plus grands mécaniciens que je connaisse. Un constructeur de cyclotrons picturaux dont la portée ne cesse de se démultiplier grâce à la force motrice de la vue, du regard du spectateur. Il n'y a pas plus simple. Car la vue est bien la seule matière première qui, transformée par la mécanique complexe du peintre, se change en énergie pure. Et toutes ces machines ne visent qu'un seul but : produire sans relâche du mouvement, de l’émerveillement en jet continu, une force brute : du plaisir !
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XX - CCXVIII - Cascade cachée #amazinglorraine, #cascade, #coupdecoeurgrandest, #EmmanuelHenry, #epinallabelleimage, #foret, #france, #france_focus_on, #grandest, #grandest_focus_on, #grandestnotreregion, #jevoislavieenvosges, #lorraine, #montagne, #nature, #nikon, #nikonfr, #paysage, #PhotosDesVosges, #vosges (à Grande Cascade de Tendon) https://www.instagram.com/p/CCcndOQHy-e/?igshid=1etjrpkqg3uc2
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XX - III Et si on faisait une casade - 11 #amazinglorraine, #cascade, #destinationlorraine, #EmmanuelHenry, #foret, #france, #grandest, #grandest_focus_on, #hiver, #irix15mm, #irixlens, #jevoislavieenvosges, #nature, #nikon, #nikonfr, #paysage, #PhotosDesVosges, #vosges #france_focus_on #grandestnotreregion #cascadesdefrance (à Grande Cascade de Tendon) https://www.instagram.com/p/B64s_S0IIlv/?igshid=128zhio7z662r
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XX - I Et si on faisait une casade - 09 Nouvelle numérotation photo : XX pour 2020 et I pour photo 1 😁 #amazinglorraine, #cascade, #destinationlorraine, #EmmanuelHenry, #foret, #france, #grandest, #grandest_focus_on, #hiver, #irix15mm, #irixlens, #jevoislavieenvosges, #nature, #nikon, #nikonfr, #paysage, #PhotosDesVosges, #vosges . (à Grande Cascade de Tendon) https://www.instagram.com/p/B60q2ako0nh/?igshid=1sai4bkeg4xtp
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