#Franchement si ça va être ça pendant les jo
Explore tagged Tumblr posts
Text
Le lundi matin avec les transports du commun :
J'aime prendre 40 minutes d'avance pour me retrouver à courir comme une débile pour être sûre de ne pas rater mon TGV.
#Sncf de merde#Leur calculateur ne prend pas en compte ces stations fermées#Real life issues#Enfin à voir si le trajet de retour se passera mieux#Franchement si ça va être ça pendant les jo#Ça va être la cata
6 notes
·
View notes
Note
Bon j'vais pas te mettre dans l'embarras et demander Séli 13 et Fragagnan 13 (mais mes dms sont ouvert toussa 👀)
Du coup est-ce j'peux avoir
Uther 16
Séli 11 (je voulais demander 3 mais Séli au volant je peux pas résister)
Et Goustan 9
Bitte 🤗
Uther 16. Appearance headcanon.
Je vais être d'accord avec Yumeka à un détail près. C'est Arthur, il a les cheveux bouclés et noirs qui tombent sur les épaules voir plus long quand il a la flemme de les couper pendant plusieurs mois. Il est très grand, un jour il a péter un cadre de porte à la masse parce qu'elle a eu l'audace de rencontrer son front sans sa permission 🤨 Il a un look un peu clodo parce qu'avec sa santé mentale en miettes il prend plus soin de lui depuis des années, la barbe à peine taillée comme il faut, mais il a un certain charme de base (s'il se coupe enfin les cheveux et la barbe c'est qu'il va étrangement bien).
Il a les yeux clairs, on sait pas trop s'ils sont bleus verts ou gris parce que personne ose les regarder de trop près, t'as l'impression qu'il inspecte ton âme et la passe au carsher dès qu'il te regarde. Du coup il est un peu plus sensible à la lumière du soleil (du coup en été il sort pas trop, ambiance vampire, tout le monde se dit ohlala il déteste la chaleur et la joie de vivre alors que my guy just needs sunglasses.) Il porte des vêtements sombres, fait genre que c'est parce qu'il est dark™ et que c'est un tyrant™ mais il a juste la flemme, le noir ça va avec tout, c'est assorti à ses cheveux et aux murs de son château et franchement il en a rien a péter. Le seul truc c'est qu'il choisit quand même des matières et des accessoires un peu noble, ça reste le roi des rois faut pas déconner, faudrait pas qu'on commence à le prendre pour Jo le Clodo à sa propre cour.
Seli 11 driving headcanon
Je vais la faire modern AU et Kaamelott normal
Kaamelott : du coup on part sur des chevaux hein. Séli adore chevaucher, elle aime faire la course et avoir le vent dans les cheveux. Quand Guenièvre était petite elle l'emmenait faire de longues balades, c'était un de leurs moments privilégiés à toutes les deux.
Modern AU : J'imagine toujours Leo et Séli pétés de thune en Modern!AU, du coup déjà elle a une voiture de marque c'est sûr parce qu'elle aime pas spécialement conduire donc si faut le faire autant en imposer un peu. Le code de la route ? Lol. The Queen as places to go and she doesn't have your time. Elle hésite pas à dépasser et la vitesse et les gens si elle estime que c'est trop long. Elle a aucune patience, Yvain apprend une nouvelle insulte dès qu'il roule avec sa mère et ils doivent pull up au macdo en lamborghini à chaque fois pcq elle lui paie des Sunday s'il promet de pas les répéter à son père. Léodagan refuse de la laisser rouler quand ils sont tous les deux dans la même voiture, elle râle tout le trajet parce qu'elle trouve qu'il est trop lent.
Moi comme je peux pas te résister je te donne le 3 aussi 💗
Drinking headcanon
TW : alcool
Séli comme ça elle fait grande dame, bien habillée, la classe incarnée (Sisi). Une fois que tu l'a croisée à une réu' de chef de clans le mythe s'effondre. Y'a plus de Séli de Carmélide, il reste que Séli la picte et Séli la picte elle te prend en 1v1 au concours de shot sans te demander ton avis et elle gagne à chaque fois. Léodagan il est comme ça 🧍♂️dans un coin de la pièce à se demander à quel moment exactement sa femme à atterri SUR la table du banquet à chanter des chansons en picte et à mettre l'ambiance dans toute la salle.
Le lendemain elle a une énorme gueule de bois, au début Léodagan il dit bien fait pour toi en plus Séli mal de crâne c'est Séli qui ferme sa gueule mais il va quand même lui chercher une aspirine de l'antiquité chez Merlin parce que il a pitié.
Goustan 9 Childhood.
Alors là. J'y ai jamais pensé. Mais je pense que c'était un gosse qui avait tout matériellement mais des parents émotionnellement absents (voir absents tout court.) Il a connu ni l'amour paternel ni maternel, les seuls trucs qu'il partageait avec son père c'était les cours de politique et peut être deux ou trois parties de chasses dans le mois. Du coup quand il a eu des gosses lui même il était pau.mé mais il a quand même essayé de faire mieux, sans mode d'emploi (et c'était pas forcément un succès, du coup il essaie encore de se rattraper avec Séli et plus tard Guenièvre)
Bitte sehr (oui j'ai pris 10 min à réfléchir tout ça pour me rappeler que c'était le même mot)
5 notes
·
View notes
Link
@theblackwook 😘
On dirait que le monde entier veut lui faire des câlins. Ses collègues clament leur admiration, le public lui offre des ovations en plein match, son chirurgien (devenu un proche, forcément) voudrait que tous les gamins l'affichent en poster dans leur chambre. À force de batailles homériques sur le court et en dehors, Juan Martin Del Potro est devenu, à 29 ans, la flamboyante incarnation de la résurrection sportive. Qu'il est loin le joueur des débuts, géant (1,98 m) brut de décoffrage et pas franchement charismatique, qui, en remportant l'US Open 2009 grâce à son coup droit surpuissant et son jeu sans émotion, vint perturber l'indéboulonnable Big Four (Nadal, Federer, Djokovic, Murray). Ensuite, le corps a craqué. Quatre opérations du poignet en cinq ans (une du droit en 2010, trois du gauche entre mars 2014 et juin 2015), des convalescences qui n'en finissent plus, une carrière en pointillé, la 1 041e place du classement ATP en janvier 2016. Et puis, quand plus personne ne l'attendait, surgit l'année de la renaissance : la médaille d'argent des Jeux de Rio, en finale face à Murray, après avoir vaincu Djoko et Nadal au terme d'un match marathon, une wild-card honorée d'un quart de finale à l'US Open, et, pour couronner le tout, la victoire en Coupe Davis, une première pour l'Argentine. Rare en interview, Del Potro, désormais 11e joueur mondial, a accepté, pendant le Masters de Bercy, de mettre des mots sur ce parcours hors norme. Tandis que la bande à Noah tente, ce week-end, face à la Belgique de succéder à l'Argentine, il raconte l'enfer et le paradis. Après une année 2016 si intense, comment avez-vous vécu la saison 2017 ? Un peu différemment, forcément. J'ai plutôt bien terminé cette saison (demi-finales à l'US Open après une victoire contre Federer, finale à Bâle, titre à Stockholm), alors qu'elle avait, en toute logique, mal commencé. Émotionnellement, l'année dernière fut incroyable, c'est ce que j'ai vécu de plus fort dans toute ma carrière. Il a fallu la digérer. Je ne m'attendais pas à pleurer de joie aussi souvent ! Aujourd'hui, je suis content car je me sens en forme, mon poignet va bien, j'ai pu enchaîner les tournois et je me rapproche de nouveau des premières places. J'ai l'impression que le tennis est bien décidé à m'accompagner pour quelques années encore. Si vous deviez choisir le souvenir le plus fort de cette folle année 2016 ? Pfff, il y en a tellement... L'image la plus forte pour moi, je crois que c'est ma victoire en demi-finales des Jeux Olympiques, quand je m'allonge sur le court après la balle de match contre Rafa (Nadal). Ensuite, je me relève et je pars me jeter dans la foule, étreint par tellement de gens. Ce fut vraiment bouleversant. Et puis, pour terminer l'année, la victoire en Coupe Davis face à la Croatie, à Zagreb... Oui, la première dans l'histoire de mon pays. Ça aussi, quelle sensation exceptionnelle ! La communion avec les Argentins fut tellement forte. Je n'oublie pas non plus l'émotion que j'ai ressentie quelques mois plus tôt lors de mon retour au tennis, en février, à Delray Beach en Floride. En fait, chaque match remporté l'an dernier, je l'ai vécu avec intensité. J'ai été tellement mal avant de retrouver les courts...
Son souvenir le plus fort en 2016 ? «Ma victoire en demi-finales des JO, quand je m'allonge sur le court après la balle de match contre Nadal.» L'Argentin décrochera la médaille d'argent après sa finale perdue contre Andy Murray
Depuis votre retour, il semble s'être créée entre le public et vous une relation privilégiée... Quelque chose d'unique. Je crois que les gens apprécient vraiment la valeur des efforts que j'ai fournis pour revenir. Des gamins, des personnes âgées, tant de monde, viennent me parler de mon histoire. Ils me disent qu'elle les a touchés et que je peux leur servir d'exemple. Malgré tous les sales trucs qui me sont arrivés, malgré les opérations et les moments de dépression, je n'ai jamais baissé les bras. Je n'ai jamais cessé d'essayer de revenir. Les gens ont l'air contents de me voir heureux. Et de mon côté, maintenant que je me sens bien, je prends un grand plaisir à partager avec le public. Plus qu'avant ? Ces épreuves ont changé le joueur et l'homme que vous êtes ? On change tous. Regardez Roger Federer : jeune, il avait les cheveux longs et cassait des raquettes. Aujourd'hui, c'est un monsieur sur le court et en dehors. Moi, j'ai toujours été passionné, j'ai toujours aimé partager et rigoler avec les fans. Mais quand tu es sans cesse tout en haut, tout devient automatique. Ta carrière est tournée vers la recherche de la perfection : tu ne penses qu'à gagner, gagner et gagner. Dans les premiers mois qui ont suivi ma première blessure au poignet gauche (opérée en mars 2014), c'est le tennis qui me manquait beaucoup. Ensuite, c'est l'absence du reste qui a commencé à me rendre très triste : le public, l'ambiance autour des courts, les voyages, les autres joueurs... Mon métier tout entier me manquait. Aujourd'hui, je profite de tout : le simple fait de jouer un match est devenu super précieux à mes yeux. J'ai été si près d'abandonner. De ces années de galère, quel fut le pire moment ? Après ma deuxième opération au poignet gauche, en 2015. Dans la foulée, j'ai fait énormément d'efforts pendant la rééducation et malgré ça, je ne pouvais pas rejouer car la douleur ne partait pas. Là, j'ai dit à mes proches que c'était trop de souffrance. Je n'en pouvais plus de toutes ces nuits passées à pleurer, de toutes ces journées passées sans avoir la force d'avancer. C'était trop dur de continuer d'essayer de revenir. Envisagiez-vous alors de prendre votre retraite et de vous consacrer à votre autre grande passion, l'architecture ? En tout cas, il était temps d'envisager de faire autre chose. À chaque fois que j'allais au lit plein de tristesse, je me disais que c'était peut-être la fin de ma carrière et que la vie devait continuer malgré ça. Mais j'étais si jeune, je n'avais que 27 ans. Un matin, je me suis réveillé chez moi, à Tandil (la ville d'Argentine dont il est originaire, à 350 km au sud de Buenos Aires), et j'ai parlé avec mes parents, ma sœur et quelques amis. Je leur ai dit : «Allez, je vais essayer une fois de plus.» Puis j'ai appelé mon médecin aux États-Unis pour lui annoncer que je voulais tenter une troisième opération. On l'a fait, et voilà, je suis là (il rit) ! Vos proches ne vous ont pas déconseillé d'insister ? Si, bien sûr. Parce que pour mes proches, je ne suis pas un joueur de tennis mais une personne comme n'importe quelle autre. Qui à l'époque était très triste parce qu'en pleine souffrance. Ils n'arrêtaient pas de me dire qu'ils voulaient juste me voir heureux, avec une raquette à la main si possible mais sinon, tant pis. Ils m'ont aidé à chercher d'autres activités pour retrouver le bonheur. Mais je n'y arrivais pas, la tristesse était toujours là. Je ne pensais qu'au tennis, je ne cessais de me dire que j'étais trop jeune pour arrêter. Mes proches ont toujours soutenu toutes mes décisions. Alors, quand j'ai décidé de passer une nouvelle fois entre les mains du chirurgien, ils m'ont dit : «O.K., on essaie de nouveau.» Mon entourage a beaucoup compté dans mon retour.
«Mon revers est à 80% de ce qu'il était autrefois. Je ne suis plus très loin de le retrouver, ça me motive pour les années qui viennent»
À ce moment-là, il paraît que vous avez reçu une vidéo qui vous a fait beaucoup de bien... J'étais aux États-Unis, j'attendais cette troisième opération. J'étais mort de trouille à l'idée de retourner sur le billard. Là, un coiffeur bolivien m'a envoyé une vidéo pour me transmettre de la force. Après un accident, il avait perdu plusieurs doigts. Il me racontait que pendant longtemps, il avait été très déprimé, mais qu'ensuite, il était reparti de l'avant. La passion de sa vie, c'était la coiffure, et il voulait absolument continuer d'exercer son métier. Sur la vidéo, on voyait comment il avait adapté sa technique de coiffure, en travaillant avec les doigts qui lui restaient. J'ai trouvé ça tellement fort ! Ça m'a remonté le moral et m'a beaucoup aidé à affronter l'opération. De votre côté, vous avez dû adapter la technique de votre revers en raison de la fragilité de votre poignet gauche... (Il sourit.) Oui. Forcément, mon revers n'est plus aussi bon qu'autrefois, parce que trois opérations, ça laisse des traces, et que je continue d'avoir des douleurs au poignet. Au début, je ne jouais qu'en slice pour ne pas avoir à trop solliciter ma main gauche (il est droitier). Il fallait éviter les mouvements extrêmes. Peu à peu, j'ai pris confiance et j'ai de moins en moins eu peur d'avoir mal. J'ai gagné de la force et du courage. Aujourd'hui, techniquement, je dirais que mon revers est à 80% de ce qu'il était autrefois. Je ne suis plus très loin de le retrouver totalement, ça me motive pour les années qui viennent. Votre poignet nécessite encore beaucoup de soins ? Oui, avec mon physiothérapeute, on fait de longs exercices d'échauffement et d'étirement. Autour de deux ou trois heures par jour, tous les jours. C'est beaucoup de travail, mais je pense que ça vaut vraiment le coup. Ce poignet est tellement important pour moi. Je dois en prendre soin comme si c'était ma raquette. À votre avis, d'où vient votre force mentale ? (Il réfléchit.) Elle est naturelle chez moi, je crois. Ce sont des choses qu'on m'a inculquées tout petit : lorsqu'on veut vraiment obtenir quelque chose, il faut absolument faire des sacrifices et des efforts. Quand tu as appris ça jeune, ta façon de grandir et de penser est forcément différente. Jamais rien ne m'a été offert sur un plateau. J'ai toujours dû lutter. Je n'oublierai jamais les difficultés que ma famille et moi avons traversées pour réussir dans le tennis. À quoi ressemblait votre enfance ? Chez moi, il n'y avait jamais rien en trop. Juste ce qu'il fallait pour manger, étudier et faire du sport. Au départ, le tennis était un sport difficile d'accès pour nous : les raquettes sont chères, les bonnes tenues aussi, il y a beaucoup de voyages. Je n'avais aucun soutien extérieur pour me lancer. Mon père travaillait énormément dans son cabinet de vétérinaire pour pouvoir m'emmener aux tournois les week-ends. C'est grâce aux immenses efforts de mes parents, et à tous les miens, que j'ai pu vivre une vie agréable. Je connais le prix de chaque chose. Je tiens vraiment à enseigner ça à mes futurs enfants : sans sacrifice, on n'obtient rien.
Et de trois... Au total, Del Potro a subi trois opérations du poignet gauche entre mars 2014 et juin 2015
Cette force mentale, ne la devez-vous pas aussi à «El Negro» Gomez, votre tout premier coach à Tandil, une petite ville d'où sont sortis plusieurs joueurs de tennis professionnels ? (Il rigole.) Oui, c'est un excellent formateur de joueurs de tennis (Juan Monaco, Mariano Zabaleta et Maximo Gonzalez notamment). Sa méthode, c'est de travailler très dur. Dès notre plus jeune âge, on passait énormément de temps sur le court ou à taper seul contre un mur. Avec lui, on s'entraînait tout le temps. Le dimanche, on jouait aussi. Et s'il pleuvait, il fallait vite trouver un endroit couvert pour s'entraîner. Ce bel apprentissage nous a aidés à devenir un peu plus humbles et sereins. Votre enfance a été marquée par un événement tragique : la disparition de votre sœur à l'âge de quatre ans, lorsque vous en aviez deux... (Il prend une grande inspiration.) C'est un sujet extrêmement délicat. Ce que je sais, c'est que depuis là où elle est, elle me guide, elle prend soin de moi et me donne beaucoup de force pour pouvoir faire ce dont j'ai envie. La religion vous a-t-elle aidé à surmonter les moments difficiles ? Chez moi, nous sommes des catholiques très croyants. Quand j'étais très mal, il m'arrivait de me demander : «Mais pourquoi tout ça m'arrive à moi ?» Je m'accrochais alors à l'idée que, là-haut, ils voient tout et savent pourquoi les choses arrivent. Je crois qu'avec le temps, chaque événement de la vie trouve sa place et que celui qui mérite de belles choses finit par les obtenir. Aujourd'hui, jouez-vous avec la peur de vous blesser à nouveau ? Non. Même si ça reste une question super compliquée pour moi, j'ai intégré l'idée que les blessures font partie de notre métier, au même titre que les voyages. Pratiquement à chaque match, je ressens des douleurs. Il faut juste s'habituer à elles, jouer avec elles et essayer de gagner malgré elles (il sourit). Qu'attendez-vous de la suite de votre carrière ? Si je devais classer mes objectifs, je dirais : en priorité, la santé ; ensuite, le plaisir ; et enfin, le classement. J'ai réussi à terminer la saison parmi les quinze meilleurs joueurs mondiaux. Dans les six premiers mois de l'année prochaine, je n'aurai pas beaucoup de points à défendre. Je peux en profiter pour essayer de faire mon retour dans le top 10. C'est bizarre, quand même, parce qu'il y a un an, je n'aurais jamais envisagé un tel défi. Mais bon, comme j'adore tenter des choses incroyables...
4 notes
·
View notes
Text
“La première règle de 2017… ne jamais parler de 2016”
Une des règles de 2017 est de ne jamais parler de 2016. Et bien, devinez qui va quand même faire une petite rétrospective, une semaine après la fin de l’année 2016?! c’est Bibi (en l’occurence, ici, Bibi c’est moi). Donc pour rigoler un bon coup, je me suis dit pourquoi ne pas écrire un article regroupant les dix choses les plus marquantes, autant positives que négatives, de cette année (tous domaines confondus).
Le terrorisme
S’il y a bien un truc qui m’a bien énervée (je resterai polie, promis) durant cette année c’est le nombre de fois où les médias ont parlé de terrorisme. A chaque fois que je recevais une notification sur mon téléphone, ma réaction ressemblait vaguement à ça:
Ce qui m’attriste le plus, c’est lorsque j’ai fait ma petite recherche pour avoir une estimation du nombre d’attentats et là, LE CHOC: plus d’une centaine à travers le monde! Sérieusement les gars….
Vous avez déjà fait assez de dégât; 2016 c’était “votre année” donc là, moi je dis STOP (bon c’est pas comme s’ils allaient passer sur le blog, et qu’ils allaient être convaincus et touchés par mon argumentation). Mais s’il vous plaît, on s’inspire du tweet de Linda Clarke (lol) et on calme sa joie!
Le véganisme
En 2016, j’ai vu/lu énormément de posts et memes se moquant des végans car ils sont constamment en train de rappeler leur régime alimentaire et à saouler la planète avec leur feuille de laitue. (Disclaimer: je n’ai rien contre les vegans… bien au contraire)
En effet, ils ont fait un gros buzz cette année et il y a eu de plus en plus d’adeptes de ce mode de vie, donc logiquement, plus d’articles, de vidéos, de reportages… et sincèrement, l’idéologie vegan est plus qu’honorable, même si je ne suis pas forcément convaincue par la façon de procéder.
Durant le mois de novembre, qui était le mois vegan, j’ai eu l’occasion de tenter l’expérience et m’essayer au véganisme durant une trentaine de jour. J’ai pu profité de l’ambiance creuser un peu plus sur le sujet.
Voilà un petit clin d’oeil que j’ai reçu d’une amie
Après cette période d’essai, je ne pense pas que le véganisme soit la solution (la nana qui balance son avis sans développer son raisonnement, mais pas de soucis, un article développé sur le sujet est en cours de rédaction).
En gros, durant cette année, je me suis posé énormément de questions sur ma façon de consommer et l’impact que cela a/aura sur les animaux et la planète, et je dois avouer que la montée du véganisme y est pour beaucoup.
Making a Murderer
Début de l’année 2016, je commence cette série sur Netflix et à chaque épisode, mon cerveau se retourne et j’ai envie de faire une révolution.
Cette série documentaire a été tournée sur une dizaine d’année et retrace la vie de Steven AVERY, américain qui a passé 18 ans de sa vie en prison pour un crime qu’il n’a pas commis (il a été innocenté grâce à un test ADN). Deux ans après, ce même Steven est accusé et condamné à nouveau, pour le meurtre d’une autre jeune fille. Les mêmes personnes qui ont enquêté dans la première affaire et qui ont “piégé”(si je peux utiliser ce terme) Steven, se retrouvent mêlés d’une certaine façon à la deuxième (donc la déjà… hashtagWTF)
En regardant cette série documentaire, ma conclusion était: Franchement?! Sérieusement?! (j’avoue, ce n’est pas très élaboré).
Car sérieusement, passer 18 ans de sa vie en prison pour avoir été condamné à tord, et après un temps de répit de deux ans, rebelotte; retour à la case départ avec une nouvelle condamnation (et dont je suis sûre qu’elle est encore à tord).
La raison pour laquelle ça m’a tout particulièrement touchée, c’est que la procédure de Steven AVERY est toujours en cours, et que nous sommes en 2016/2017, et malgré toutes les preuves avancées, il est encore derrière les barreaux. Je me suis également dit que “par chance”, ce dernier à eu l’occasion d’être sous le feu des projecteurs, mais qu’en est-il des autres, qui subissent des bavures judiciaires et dont personnes n’entend parler?
Les réseaux sociaux sur les animaux
On est tous d’accord pour affirmer que cette année 2016 c’était un grand n’importe quoi, et que le monde est en train de partir en sucette. Donc comment redonner une petite note d’espoir; je vous le donne dans le mile : les animaux.
Sur Facebook ou encore Instagram, on peut trouver des comptes qui postent des vidéos et des photos de petits animaux trop mignons et trop choux.
Sur la page The Dodo, par exemple, on peut y voir des animaux qui feraient fondre un cœur de pierre et pendant cette année 2016, il est certain que c’est ce dont on avait besoin, c’était de la tendresse et de la choutitude (pas sûre que ce mot existe, mais vous saisissez le sens).
Donc si un jour vous avez un petit coup de blues, vous savez ce qui vous reste à faire! Et rien que pour vous titiller un petit coup, je vous laisse profiter de ces petites boules de poils.
Amy, la rappeuse en niqab
Pour ceux qui ne savent ce qu’est un niqab qui voile intégral qui cache le visage de la personne qui le porte, sauf les yeux. Donc, quand j’ai entendu la première fois cette femme rapper dans ma tête je ressemblais à ça:
Le moment où j’ai bien ris, c’est lorsque le présentateur lui demande son avis sur les hommes, elle a juste répondu “Oh ma gad, oh ma gad, delete them“. Donc oui, en effet, cette Amy a été pour moi un moment fort de l’année 2016, car elle a bien su casser le stéréotype de la femme en niqab, et pour ça, je dis:
Les femmes musulmanes aux Jeux Olympiques
Donc pour rester dans la même lancée qu’Amy, aka la rappeuse en niqab, je tenais à remercier et à soutenir ces athlètes musulmanes ET voilées présentent aux JO.
Etant moi-même voilée, j’en ai marre de l’image de la femme voilée impuissante, soumise, incapable de s’exprimer correctement et complètement ignorante et effacée. Donc ça fait plaisir de voir, une fois de plus, à la télévision des “Strong & independant muslim women”. Ces femmes ont prouvé pour la énième fois, qu’une femme musulmane n’est pas moins compétente qu’une autre, et que la confession de cette dernière n’entrave en rien ses capacités!
Alors je tiens à les remercier car, même si leurs tenues ont fait couler énormément d’encre, et inspiré la vulgarité de certains individus, elles ont réussi à inspirer énormément de personnes (autant des femmes que des hommes, de musulmans que de non-muslamans) et à éveiller d’une certaine façon les esprits des gens.
_____
Je dois avouer que l’article du “Courrier International” , m’a bien inspirée pour cet article, car selon eux, le bilan de 2016 indique que c’est une bonne année.
Donc après avoir lu cette article, je me suis demandé comment 2016 pouvait être une “bonne année”, avec la montée du racisme, le terrorisme, le désastre écologique, l’élection de Trump… et pour finir, après une longue discussion avec mon for intérieur, j’ai réussi à trouver des petits points positifs à cette année 2016.
Donc, oui, je confirme que cette année 2016 a été un désastre sans nom, mais malgré ce désastre, il y a eu quelques bons moments qui m’ont marqué l’esprit.
Alors en fin de compte, il y a deux options, ou 2017 correspondra à la continuation de la décadence humaine, ce qui veut dire que seuls l’autodérision, les memes, les larmes et les douaas feront partie de notre quotidien, ou on aura tellement touché le fond qu’on ne pourra que remonter la pente… affaire à suivre.
Xx O.
Petit retour sur l’année 2016 Une des règles de 2017 est de ne jamais parler de 2016. Et bien, devinez qui va quand même faire une petite rétrospective, une semaine après la fin de l'année 2016?!
0 notes