#François-Xavier Nguyen Van Thuan

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When Buddhists engaged

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Cinco Pães e Dois Peixes: do Sofrimento do Cárcere um Alegre Testemunho de Fé | François-Xavier Nguyen Van Thuan | LIVRO PDF

Neste livro “Cinco Pães e Dois Peixes” é uma obra profundamente tocante que compartilha a experiência de vida do cardeal François-Xavier Nguyen Van Thuan, que passou treze anos encarcerado sob o regime comunista no Vietnã. O autor apresenta um relato emocional e sincero de como a fé e a espiritualidade o sustentaram durante os momentos mais desafiadores de sua vida. Um ponto crítico a ser…

[christophe76460]

365 jours d’espérance

« Le Christ Jésus notre espérance. » 1Timothée 1:1

« En (Dieu) nous plaçons notre espérance : il nous délivrera encore. » 2Corinthiens 1:10

Je fus frappé d’entendre l’annonce du titre, magnifique, d’un livre écrit par le cardinal François-Xavier Nguyen Van Thuan : 365 jours d’espérance.

Certes, les jours qui composent notre vie et même une année, peuvent être bien différents.

C’est d’abord « le jour où je naquis » (Jérémie 20:14). Je n’ai pas à le maudire, car je suis précieux pour Dieu. Ce sont ensuite « les jours de ta jeunesse » (Ecclésiaste 12:1). Sans oublier que beaucoup d’enfants souffrent, ils sont généralement marqués par la gaieté et l’insouciance. C’est le bon moment pour se souvenir du Créateur.

Il y a « les jours de ton adolescence » (Ecclésiaste 11:9). Ce sont les jours des grandes orientations, des grands espoirs, des grands élans. Heureux sommes-nous si nous pouvons dire de cette période : « Toi tu es mon attente, Seigneur Éternel ! ma confiance dès ma jeunesse … Ô Dieu ! tu m’as enseigné dès ma jeunesse » (Psaumes 71:5-17).

On entre ensuite dans la vie active. Ce sont « les jours de labeur » quotidien, de fatigue, de stress (Job 7:1). Il y a parfois « le jour du combat » (1Samuel 13:22), « le mauvais jour » (Psaumes 27:5 ; voir par exemple le Ps 6). Nous luttons à genoux contre les forces du mal. Il y a aussi les « jours de joie » (Nombres 10:10), le « jour du bien-être » (Ecclésiaste 7:14), le « jour des fiançailles » (Cantiques 3:11), les « jours de fête » (Esther 8:17). Nous rendons grâce à Dieu pour ces beaux jours.

« Les jours de deuil » peuvent venir (Genèse 27:41; 34:8). Nous pleurons des êtres chers, mais Dieu console nos cœurs meurtris. Dans « les jours d’affliction » (Job 30:16-27), « au jour de l’adversité » (Ecclésiaste 7:14), nous faisons l’expérience des soins de Dieu. Ils peuvent devenir « des jours de salut » (Esaïe 49:8) où nous sommes secourus. Il y a même parfois le « jour de la détresse » (Psaumes 50:15), mais nous avons l’ultime ressource d’invoquer Dieu. Ils sont nombreux « les jours où l’on a peur », mais celui qui connaît Dieu peut ajouter : « Je me confierai en Toi » (Psaumes 56:3). Certes, je ne sais pas « le jour de ma mort » (Genèse 27:2), mais le tombeau vide où a été mis Jésus Christ indique à ma foi, qu’Il a vaincu et qu’Il est la résurrection et la vie.

Alors oui, le titre est bien vrai : 365 jours d’espérance. Avec Dieu c’est possible, pour tous les jours qu’il nous donnera encore.

[eternal-echoes]

“Indeed there are many people who can witness to having been edified by meeting the Servant of God Francesco Saverio Nguyên Van Thuân, in the various stages of his life. The experience shows that the fame of his holiness spread through the testimony passed on by the large number of people who met him and who treasure in their heart his gentle smile and his great mind.

Many also became acquainted with him through his writings, simple and profound, that reveal his priestly mind, deeply united with the One who called him to be a minister of his mercy and love.

So many people have written, recounting graces and signs attributed to the intercession of the Servant of God Cardinal Van Thuân. Let us thank the Lord for this venerable Brother, a son of the East who ended his earthly pilgrimage in the service of the Successor of St Peter.”

- Pope Francis, TO PARTICIPANTS IN THE CLOSING SESSION OF THE DIOCESAN PHASE OF THE PROCESS OF BEATIFICATION OF THE SERVANT OF GOD CARDINAL FRANÇOIS XAVIER NGUYEN VAN THUAN, 06 July 2013

[globalworship]

“Beatitudes of the Politician” (Vietnamese church leader)

In his 2019 message, Pope Francis stressed that politics must be used as a means of fighting violence and injustice by protecting a nation’s citizens and pursuing the common good, rather than private interests.

“Political office and political responsibility constantly challenge those called to the service of their country to make every effort to protect those who live there and to create the conditions for a worthy and just future,” he said, adding that if exercised “with basic respect for the life, freedom and dignity of persons, political life can become an outstanding form of charity.”

Referring to the late Vietnamese Cardinal François-Xavier Nguyễn Vãn Thuận, who spent 13 years in a Communist prison, 9 of them in solitary confinement, and whose cause for beatification is currently open in the Vatican, Francis pointed to the “Beatitudes of the Politician” proposed by Vãn Thuận in his writings.

Offering eight beatitudes for good politicians, Vãn Thuận defined them as such:

Blessed be the politician with a lofty sense and deep understanding of their role.

Blessed be the politician who personally exemplifies credibility.

Blessed be the politician who works for the common good and not his or her own interest.

Blessed be the politician who remains consistent.

Blessed be the politician who works for unity.

Blessed be the politician who works to accomplish radical change.

Blessed be the politician who is capable of listening.

Blessed be the politician who is without fear.

[These are the short forms, see below]

In political life, “every election and re-election, and every stage of public life, is an opportunity to return to the original points of reference that inspire justice and law,” Francis said in his message, referring to Vãn Thuận’s beatitudes ...

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Read more here, which is the source for everything above: https://frjustinbelitzteachings.wordpress.com/2019/02/17/sunday-readings-17-february-2019-with-pope-francis-new-set-of-beatitudes-for-the-21st-century/

For the expanded 8 Beatitudes, see http://www.iustitiaetpax.va/content/dam/giustiziaepace/Vanthuan/ottobeatitudini/Eight%20beatitudes_ENG.pdf

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Francis Xavier Nguyen Van Thuan was born on April 17, 1928 in the central part of Vietnam, in Phu Cam parish, a suburb of Hue. He was the eldest of 8 children. Thuan was born into a family with a long Catholic tradition, his relatives were among the martyrs since 1698.

In 1975 he was arrested and imprisoned for 13 years, nine of which were spent in solitary confinement.  In 1991 he was allowed to travel to Rome but was not allowed to return. Ever since that time he lived in exile, though his heart was always with the Church in Vietnam and his homeland. He spared no efforts to assist social services in Vietnam. For example, leprosarium, charitable organizations, research programs to promote the culture of Vietnam and of the Catholic Church in Vietnam, reconstruction of churches, and the training of seminarians as conditions allowed. In spite of the persecutions imposed on the Church and on himself personally, he always lived and preached forgiveness and reconciliation.  God called Cardinal Thuan home on September 16, 2002 in Rome. http://www.card-fxthuan.org/about-cardinal/bio-english.php

[christophe76460]

365 jours d’espérance

« Le Christ Jésus notre espérance. » 1Timothée 1:1

« En (Dieu) nous plaçons notre espérance : il nous délivrera encore. » 2Corinthiens 1:10

Je fus frappé d’entendre l’annonce du titre, magnifique, d’un livre écrit par le cardinal François-Xavier Nguyen Van Thuan : 365 jours d’espérance.

Certes, les jours qui composent notre vie et même une année, peuvent être bien différents.

C’est d’abord « le jour où je naquis » (Jérémie 20:14). Je n’ai pas à le maudire, car je suis précieux pour Dieu. Ce sont ensuite « les jours de ta jeunesse » (Ecclésiaste 12:1). Sans oublier que beaucoup d’enfants souffrent, ils sont généralement marqués par la gaieté et l’insouciance. C’est le bon moment pour se souvenir du Créateur.

Il y a « les jours de ton adolescence » (Ecclésiaste 11:9). Ce sont les jours des grandes orientations, des grands espoirs, des grands élans. Heureux sommes-nous si nous pouvons dire de cette période : « Toi tu es mon attente, Seigneur Éternel ! ma confiance dès ma jeunesse … Ô Dieu ! tu m’as enseigné dès ma jeunesse » (Psaume 71:5-17).

On entre ensuite dans la vie active. Ce sont « les jours de labeur » quotidien, de fatigue, de stress (Job 7:1). Il y a parfois « le jour du combat » (1Samuel 13:22), « le mauvais jour » (Psaume 27:5 ; voir par exemple le Psaume 6). Nous luttons à genoux contre les forces du mal. Il y a aussi les « jours de joie » (Nombres 10:10), le « jour du bien-être » (Ecclésiaste 7:14), le « jour des fiançailles » (Cantique des cantiques 3:11), les « jours de fête » (Esther 8:17). Nous rendons grâce à Dieu pour ces beaux jours.

« Les jours de deuil » peuvent venir (Genèse 27:41; 34:8). Nous pleurons des êtres chers, mais Dieu console nos cœurs meurtris. Dans « les jours d’affliction » (Job 30:16-27), « au jour de l’adversité » (Ecclésiaste 7:14), nous faisons l’expérience des soins de Dieu. Ils peuvent devenir « des jours de salut » (Esaïe 49:8) où nous sommes secourus. Il y a même parfois le « jour de la détresse » (Psaume 50:15), mais nous avons l’ultime ressource d’invoquer Dieu. Ils sont nombreux « les jours où l’on a peur », mais celui qui connaît Dieu peut ajouter : « Je me confierai en Toi » (Psaume 56:3). Certes, je ne sais pas « le jour de ma mort » (Genèse 27:2), mais le tombeau vide où a été mis Jésus Christ indique à ma foi, qu’Il a vaincu et qu’Il est la résurrection et la vie.

Alors oui, le titre est bien vrai : 365 jours d’espérance. Avec Dieu c’est possible, pour tous les jours qu’il nous donnera encore.

[christophe76460]

J’ai été frappé par le titre, magnifique, d’un livre écrit par le cardinal François-Xavier Nguyen Van Thuan : « 365 jours d’espérance ».

Certes, les jours qui composent notre vie et même une année, peuvent être bien différents.

C’est d’abord “le jour où je suis né” (Jérémie 20. 14). Je n’ai pas à le maudire, car je suis précieux pour Dieu. Ce sont ensuite “les jours de ta jeunesse” (Ecclésiaste 12. 1). Même si nous n’oublions pas que beaucoup d’enfants souffrent, ces jours sont généralement caractérisés par la gaieté et l’insouciance. C’est le bon moment pour se souvenir du Créateur.

“Les jours de ton adolescence” (Ecclésiaste 11. 9) sont les jours des grandes orientations, des grands espoirs, des grands élans. Heureux sommes-nous si nous pouvons dire de cette période : “Toi tu es mon attente, Seigneur Éternel ! ma confiance dès ma jeunesse… Ô Dieu ! Tu m’as enseigné dès ma jeunesse” (Psaume 71. 5, 17).

On entre ensuite dans la vie active. Ce sont « les jours de labeur » quotidien, de fatigue, de stress (Job 7. 1). Il y a parfois “le jour du combat” (1 Samuel 13. 22), “au jour du malheur” (Psaume 27. 5 ; voir aussi le Psaume 6) : nous luttons à genoux contre les forces du mal. Il y a aussi les “jours de joie” (Nombres. 10. 10), le “jour du bonheur” (Ecclésiaste 7. 14), “le jour de ses fiançailles” (Cantique 3. 11), les “jours de fête” (Esther 8. 17) : nous rendons grâce à Dieu pour ces beaux jours.

« Les jours de deuil » peuvent venir (Genèse 27. 41 ; 35. 8). Nous pleurons des êtres chers, mais Dieu console nos coeurs meurtris. Dans “les jours d’affliction” (Job 30. 16, 27), au “jour du malheur” (Ecclésiaste 7. 14), nous faisons l’expérience des soins de Dieu. Ils peuvent devenir “des jours de salut” (Esaïe 49. 8), car nous sommes secourus. Il y a même parfois le “jour de la détresse” (Psaume 50. 15), mais nous avons l’ultime ressource d’invoquer Dieu. Ils sont nombreux “les jours où l’on a peur”, mais celui qui connaît Dieu peut ajouter : “Je me confierai en Toi” (Psaume 56. 4). Certes, “je ne connais pas le jour de ma mort” (Genèse 27. 2). Mais le tombeau, où a été mis Jésus Christ et qui est vide maintenant, indique à ma foi qu’il a vaincu et qu’il est la résurrection et la vie.

Oui, le titre est bien vrai : « 365 jours d’espérance ». Avec Dieu c’est possible, pour tous les jours qu’il nous donnera encore.

P.a.S