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#Frédérique Roussel
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lestiragesdevalouch · 4 years
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( ⬆️ Tiré de : « Conversation avec Dieu » de Neale Donald Walsh )
🍃Très parlant ce texte ⤵️, j’espère qu’il vous fera autant de bien qu’à moi
🍃Merci à la personne qui l’a écrit 🍃
🍃Il était une fois une âme venue des étoiles pour s'incarner sur Terre, pour apprendre à s'aimer et à aimer, trouver sa lumière et l'offrir au monde.
🍃Elle a connu la peur de ne pas être assez, la peur du vide, la peur d'être seule, pour comprendre que le faire ne remplacerait jamais l'être, qu'elle n'était jamais seule même dans le plus profond silence.
🍃Elle a connu la violence, la manipulation, l'envie de mourir pour sentir toute la valeur de la vie et de la liberté.
🍃Elle a caché sa vulnérabilité, fermé son cœur de peur d'être blessée, fait semblant d'être forte, insensible pour découvrir la force de sa sensibilité et la puissance de l'amour d'un coeur ouvert.
🍃Elle a connu le doute, le pragmatisme, a été cartésienne à l'extrême pour que le sens de la vie, la foi et la confiance lui soient révélé.
🍃Elle a éprouvé le mensonge, la traîtrise pour apprendre la richesse de la sincérité, lui donnant l'élan de marcher vers sa vérité.
🍃Elle a traversé ses ombres pour enfin accepter pleinement sa lumière, ses talents, les découvrir et les incarner, pour comprendre que ce pourquoi elle était venue, au bout du compte, c'est partager, transmettre, rayonner et aimer, en toute humilité..
🍃Il était une fois une âme venue s'incarne sur Terre pour rallumer les étoiles, partager sa lumière, son amour et pour œuvrer à travers eux à l'émergence d'un nouveau monde..
Frédérique Roussel
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yama-bato · 5 years
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Emile Zola, photographe passionné et prolixe
Par        Frédérique Roussel  
https://next.liberation.fr/livres/2017/12/03/emile-zola-photographe-passionne-et-prolixe_1613800
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lamergelee · 5 years
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"Une armée d’invisibles œuvre depuis des siècles pour notre seul plaisir de lecture. Sans elle, sans tous ses fantassins appliqués à la tâche de transmutation des langues, le monde serait moins riche. « Le traducteur est le dernier, le véritable chevalier errant de la littérature », ont écrit les Italiens Carlo Fruttero et Franco Lucentini. Cette métaphore avait été reprise en 2003 par un groupe de protestataires italiens dans une Lettre ouverte des chevaliers errants à la presse pour s’insurger contre les médias qui recensent des livres sans jamais mentionner le nom du traducteur. « Comme si souvent en histoire de la traduction, le chercheur se trouve confronté à une difficulté majeure, due à l’invisibilité historique du traducteur qui rend difficile sinon vaine, toute tentative de dresser son portrait », peut-on lire dans l’Histoire des traductions en langue française, paru chez Verdier, et qui aura désormais pour petit nom de référence HTLF. Cette phrase se trouve dans le chapitre sur les « Traducteurs et traductrices », une des trente entrées de l’ouvrage de près de 2 000 pages consacré au XXe siècle, quatrième et dernier volet d’un projet pharaonique qui a rassemblé, lui, une armée de 170 contributeurs." Un article de Frédérique Roussel paru le 07/06/2019 au sujet de la monumentale Histoire des traductions en langue française (XXe siècle) co-dirigée par Bernard Banoun (membre du CR de La Mer gelée) et sortie dernièrement chez Verdier.
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antikorg · 3 years
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le PCF capitule, le PS hurle avec les loups
le PCF capitule, le PS hurle avec les loups
2021-03-31 02:07:22 Revolution Permanente De gauche à droite : Olivier Faure (PS), Fabien Roussel (PCF), Carole Delga (PS) Dans le sillage de l’offensive raciste et autoritaire que mène le gouvernement avec la loi séparatisme, les accusations contre « l’islamo-gauchisme qui gangrène l’Université » se sont multipliées de la part de Frédérique Vidal, Jean-Michel Blanquer et Gérald Darmanin en…
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L’écrivaine fantôme Adorée Floupette revit enfin
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Loin de la fièvre covidienne et du confinement pré-apocalyptique, il peut être désaltérant de se ressourcer à de belles enquêtes peuplées de personnages familiers. En particulier dans des récits d’aventures dans le Paris fin de siècle, le XIXe, relatées par Adorée Floupette. Comment, vous ne connaissez pas Adorée Floupette ?
Effluves diaboliques
Son versant masculin, Adoré Floupette a été le pseudonyme collectif utilisé par Gabriel Vicaire et Henri Beauclair pour les Déliquescences, poèmes décadents d’Adoré Floupette, un recueil de poèmes pastiches sur le symbolisme, publié en 1885. Cet auteur imaginaire fera florès et popularisera le courant littéraire du décadentisme. Son versant féminin, Adorée Floupette, née à Montargis en 1871, morte à Paramaribo en 1949, a écrit au moins un fascicule intitulé les Cendres froides, qu’a eu entre les mains Léo Henry, et dont la couverture l’avait frappé : «Elle représentait un monstre mythologique surgissant, à travers un mur effondré, dans un salon bourgeois où se tenait une réunion d’artistes.» C’était un des volumes d’un cycle qu’Adorée avait consacré au Club de la rue de Rome, une société secrète composé d’artistes et d’écrivains. L’auteur de SF Léo Henry, il y a de cela bien plus de vingt ans, avait même travaillé sur le fonds avec l’ayant droit d’Adorée Floupette, Maria Taporus. Mais quand il s’y intéressa de nouveau, cette dernière avait disparu, toutes les archives également. Et c’est donc à partir d’une base documentaire lacunaire, fragments et notes de ses écrits qu’il a décidé de reconstituer le cycle d’enquêtes de l’autrice fantôme, avec pour ce premier tome, qui couvre janvier-août 1891, Raphaël Eymery, luvan, et Johnny Tchekhova.
A lire aussi Les autres articles de la chronique «Mardi SF»
Au Club de la rue de Rome on trouve Jane Avril, Alphonse Allais, Oscar Wilde, Pierre Louÿs, Gustave Moreau, Octave Mirbeau… Il est chapeauté par le mystérieux M***, qui n’est autre que Mallarmé, dans la peau d’un donneur d’ordre autoritaire très parrain sur les bords. «Annulez tout engagement journalistique que vous pourriez avoir, fit le Maître de la rue de Rome. La résolution de ce mystère relève de nos affaires extérieures. Il faut agir vite. Consacrez-vous-y à temps plein.» M*** envoie les membres du club enquêter à travers Paris pour contrer une sorte de conspiration indéterminée et effrayante. Dans le premier épisode, il s’agit de poursuivre un Pierrot blême. Commandité, Allais se fait dépasser par un véritable gang féminin mené par l’intrépide Jane Avril, qui prend trois de ses ex-coreligionnaires de la Salpêtrière soignées par Charcot, la pétroleuse Eulalie Papavoine et la danseuse du Moulin Rouge Nini Pattes en l’air pour tenter d’arrêter, dans les souterrains parisiens, des effluves diaboliques. Dans une autre enquête, une épidémie effroyable frappe toutes les jeunes filles avant la puberté, les transformant en de pitoyables plaies suppurantes. Oscar Wilde dépêché préférera s’éclipser, pour passer le mistigri à son ami et poète alcoolique Ernest Dowson.
Travail de dentellière
C’est moins les criminels et leurs mobiles, des manifestations nébuleuses du mal et du surnaturel qui passionnent, que le tableau de ce Paris des cabarets et des bas-fonds et la galerie de protagonistes célèbres de l’époque. Une reconstitution historique qui a dû demander bien du travail de dentellière à la fine équipe des adorateurs d’Adorée Floupette, sans parler de l’orfèvrerie sur le style et le vocabulaire. Ces macabres enquêtes ne se départissent pas d’un humour décadent, n’étaient-elles pas réputées pastiches? Par exemple, le jeune poète Ernest Dowson, ému par le sort d’une fillette souffreuse sur son grabat, lui récite-t-il des vers, tout en lui faisant engloutir une bouteille d’absinthe, la fée verte étant ici, évidemment, un accessoire incontournable.
Les affaires du Club de la rue de Rome, janvier-août 1891 d’Adorée Floupette, La Volte, 355 pp., 19€ (ebook : 10,99€).
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hcdahlem · 5 years
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Le livre du jour conseillé par Libération sous la plume de Frédérique Roussel est "Bacchantes" de Céline Minard, un court roman noir "à l'issue détonnante. Ce pastiche de roman noir avec une note féministe est effectivement un petit régal! ❤❤❤❤ #Bacchantes #celineminard #editionsrivages #hcdahlem #roman #RentreeLitteraire2019 #LitteratureFrancaise #VendrediLecture https://collectiondelivres.wordpress.com/2019/01/02/bacchantes/ https://www.instagram.com/p/B0WuB1KoJC2/?igshid=1ujs2lc4sl7sr
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reseau-actu · 5 years
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L’univers fascinant de Lovecraft (1890-1937) a le don d’inspirer les illustrateurs, comme il a initié des jeux de rôle. Peut-être parce que ses histoires horrifiques installent une véritable atmosphère et imaginent souvent des mystères défiant la raison.
Pour le soixante-dixième anniversaire de la mort de l’auteur américain en 2007, la Maison d’Ailleurs à Yverdon-les-Bains, en Suisse, avait ainsi organisé L’expo qui rend fou, après avoir proposé à une centaine d’illustrateurs, de dessinateurs de bande dessinée et d’albums pour enfant de dessiner d’après le Livre de raison. Dans ce carnet de notes, l’écrivain de Providence (Rhode Island) griffonnait des idées, des rêves et des citations. Cela avait suscité près de 500 œuvres inédites, dont une majorité étaient parties de petites phrases de l’auteur qui évoquent, avec un style presque clinique, des horreurs indicibles, des monstres tapis dans l’obscurité, des cités sous-marines ou des rêves se confondant avec le réel. 
Ce sont les thématiques des Montagnes hallucinées revisitées en deux tomes par François Baranger, né en 1970, et de la Cité sans nom, vue par Armel Gaulme, né en 1981. François Baranger, concept-artiste pour le cinéma et le jeu vidéo, avait déjà illustré en 2017 chez le même éditeur le fameux L’Appel de Cthulhu, récit publié pour la première fois dans le magazine Weird Tales en 1928. Cette fois-ci, il reprend un court roman écrit en 1931 par le «maître de l’horreur», publié dans le magazine Astounding Stories en 1936.
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Les Montagnes hallucinées t. 1, de H. P. Lovecraft, illustré par François Baranger préface de Maxime Chattam, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Arnaud Demaego, Bragelonne, 64 pp., 29,90 €.
Le premier texte se déroule en Antarctique, dans un enfer glacé battu par les vents; le second au fin fond du désert d'Arabie, où le vent, métaphore d’une manifestation surnaturelle, joue également son rôle. Les deux récits sont à la première personne. Dans les Montagnes hallucinées, le scientifique William Dyer relate une terrifiante expédition en Antarctique à laquelle il a participé en 1931, pour en dissuader une autre de suivre ses traces. Lors de leur équipée, ils ont découvert une immense cité de pierre abandonnée et ont extrait huit corps d’immenses créatures mi-végétales, mi-animales. Avec des conséquences effroyables. Dans la Cité sans nom, nouvelle parue pour la première fois dans le fanzine Wolverine en 1921, un explorateur découvre dans le désert une cité légendaire, vestige d’une civilisation disparue, et des momies d’êtres reptiliens.
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Ces deux récits, basés sur un squelette d’intrigue proche, la mise au jour d’une cité enfouie peuplée de créatures non-humaines et la terreur qu’elle suscite chez ceux qui en reviennent, produisent dans ces deux livres deux manières d’appréhender l’univers de Lovecraft. Le travail de François Baranger consiste en des illustrations pleine page, immersion garantie dans des paysages glacés et sombres de l’univers lovecratien. Celui d’Armel Gaulme, issu de la Penninghen/Académie Julian, plus intimiste, se rapproche du carnet de croquis, sans couleur. Ces deux démarches d’illustrateurs montrent bien la vision qu’on peut avoir de l’univers de Lovecraft, l'une plus réaliste et cinématographique, l'autre plus fantastique et intérieure. 
La Cité sans nom, de H.P. Lovecraft, illustré par Armel Gaulme, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Maxime Le Dain, Bragelonne «Les Carnets de Lovecraft», 82 pp., 15,90 €.
Frédérique Roussel
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Actress Frédérique Roussel 
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hcdahlem · 6 years
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Frédérique Roussel a bien raison d'écrire dans Libé que 《"Manifesto" dépasse la sidération du deuil, célèbre par les mots la vie qui a été et celle qui se prolonge.》 La nouvelle pépite de Léonor de Récondo est un témoignage très émouvant sur les dernières heures passées par la romancière au chevet de son père Félix. #manifesto #leonorderecondo #hcdahlem #roman #sabinewespieserediteur #RentreeLitteraire2019 #LitteratureFrancaise
https://collectiondelivres.wordpress.com/2019/01/28/manifesto/
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hcdahlem · 5 years
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https://next.liberation.fr/amphtml/livres/2019/11/01/la-chasse-est-ouverte_1761051?__twitter_impression=true
Dans Libération Frédérique Roussel revient sur "La tentation" pour souligner l'obsession chez Luc Lang pour "les liens familiaux, la distance qui se creuse, la violence sourde des rapports". Ce chirurgien confronté à épouse prise de crise mystique, un fils qui a refusé de suivre sa trace pour devenir financier et une fille qui s’est acoquiné avec un malfrat nous offre en effet un drame familial d’une précision chirurgicale!
#LaTentation #LucLang #editionsstock #hcdahlem #roman #RentreeLitteraire2019 #LitteratureFrancaise
https://collectiondelivres.wordpress.com/2019/09/16/la-tentation/
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