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#Elias et moi !
superiorkenshi · 2 years
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wake up bestie! Nouveau meme avec ma gueule est disponible !!
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abridurif · 1 month
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J’ai quelquefois l’impression que la nécessité d’achever est devenue, en quelque sorte, une fin en soi. Je pense aux buts que j’ai visés lorsque j’ai débuté, à la confiance avec laquelle je me proposais d’accomplir une œuvre véritable. Tandis que j’étais occupé à ce travail, le monde s’est chargé de mille fois plus de destruction. C’est de la destruction retenue, mais cela fait-il une différence ? Pourquoi cette obsession qui me dresse contre toute destruction, comme si j’étais nommé protecteur du monde ? Que suis-je donc, moi-même, pauvre, impuissante créature qui perd, l’un après l’autre, les êtres aimés ; incapable même de garder en vie ce qui lui est le plus propre ; naufrage de tous les côtés et gémissements lamentables ! À qui suis-je utile avec cette inébranlable obstination ? À qui est-ce que je rends service ? Rien ne m’est resté, que cette obstination. Des hommes nouveaux glissent sur moi ; les paroles et les entretiens nouveaux m’échappent, encore le passé est-il resté vivant jusqu’à présent. Quand la désagrégation se saisira-t-elle de lui ? Il ne me restera plus rien du tout et je serai toujours là, debout – un bambin qui, pour la première fois, s’est mis sur ses jambes – et je hurlerai de toutes mes forces : non ! Elias Canetti, Le Territoire de l’homme, Éditions Albin Michel, 1978
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frisquette27 · 1 year
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Ben j'y crois pas j'ai fini une histoire qui aurait cru. Je partage le dernier chapitre d'UN PHILTRE SANS PHILTRE et du coup cela me rend un peu triste
UN PHILTRE SANS PHILTRE
Chapitre 5
La sécurité du château était un véritable désastre, la Reine avait pu se rendre aux écuries, emprunter un cheval et sortir du château sans croiser le moindre garde. D’habitude elle rencontrait des difficultés d’orientation pourtant cette fois elle arriva rapidement à se repérer et se rendit à la taverne sans le moindre encombre. Dans la précipitation elle n’avait pas pensé à prendre avec elle une cape pour dissimuler son identité, tant pis si on la reconnaissait, elle rentra la tête haute au culot. Toutes les têtes se retournèrent à son entrée, certains hommes se permirent même de la siffler cependant personne ne semblait la reconnaitre.
« Ben c’est pas commun ça, qu’est-ce que je lui sers à la petite demoiselle ? »
« La petite demoiselle ? » répondit la Reine légèrement choquée par la désinvolture du tavernier
« Pardon, la jolie petite demoiselle ! »
« Jolie ? Bah vous m’avez bien regardé ? »
« Alors ça oui je vous regarde et vous êtes sacrement jolie, ma mignonne »
«Vous allez pas bien, vous voyez pas que c’est la Reine » dit le seigneur Perceval depuis la table derrière Guenièvre « Qu’est ce vous faites là ma Reine ? C’est pas vraiment un lieu pour vous »
« La Reine ? Mais non c’est pas possible tout le monde sait qu’elle est moche comme un poux la Reine et la p’tite là, elle est à croquer »
Le tavernier fixa Guenièvre, il vit son petit sourire et il comprit
« Oh mon dieu vous êtes vraiment la Reine, je suis désolé votre altesse »
« Non mais laissez tomber c’est pas grave » dit-elle tout en s’installant à la table des deux chevaliers « Je veux bien un lait de chèvre s’il vous plait »
« Oui, oui tout de suite ma Reine, je suis navré, je … »
Le tavernier apporta rapidement la boisson à la table tout en continuant à s’excuser platement.
« Seigneur Perceval, j’aimerais m’entretenir avec vous. Pourrait-on s’isoler afin que je puisse vous exposer ma problématique »
A la vue du regard hébété du chevalier, la Reine reformula.
« Je voudrais vous parler seul à seul, allons sur une table à part. Si cela ne vous gêne pas seigneur Karadoc ? »
« Non, moi tant que je mange tranquille mais vous allez lui faire le coup de la cuisine ? Parce que moi je suis dispo pour un autre baiser si vous voulez »
« Non c’est bon ! NON MERCI »
Arthur cherchait désespérément sa femme dans tout le château, il était arrivé à se débarrasser de sa tante et de sa mère, les laissant à la charge de ses beaux-parents. Il retourna au laboratoire ou il trouvât les deux enchanteurs encore en pleine dispute.
« Je vous dis qu’il fallait mettre plus de camomille dedans ! »
« Mais j’en ai mis ! et ça c’est quoi ? »
« Ce n’est pas de la camomille, bon sang vous êtes sensé être un druide non et vous ne savez pas reconnaitre une plante »
Les deux enchanteurs n’avaient pas entendu le Roi rentrait dans le laboratoire. Arthur était agacé, il n’avait pas trouvé Guenièvre et avait espéré qu’elle était retournée auprès des deux imbéciles.
« Avez-vous vu ma femme ? »
Les deux hommes sursautèrent, surpris de voir le Roi à côté d’eux et surtout par le ton rude qu’il avait employé.
« Alors ! »
« On l’a vu plusieurs fois aujourd’hui »
« Mais non espèce de grande courgette, il veut savoir si on sait où elle est maintenant. Désolé sire, elle nous a dit qu’elle partait se reposer après avoir pris la tisane »
« Ce n’est pas ce qu’elle a fait puisqu’elle est venue nous rejoindre dans la salle à manger pour le repas mais depuis je ne la trouve plus »
 « Houlà comment s’est passé votre déjeuner » demanda Elias refrénant un fou rire.
« Disons que cela restera dans les mémoires de certaines » répondit le Roi avec un sourire qu’il ne pût cacher.
« Si elle revient, prévenez-moi »
En se dirigeant vers leur chambre, le Roi croisa des dames de la cour, elles étaient toutes en chemises de nuit, dans tout le château les bourgeoises étaient en tenue de nuit. Ils sont tous devenus fou dans ce château pensa le Roi. Arrivé dans sa chambre, Arthur tomba sur une servante figer au milieu de la pièce avec un plateau dans les mains.
« Qu’êtes-vous fichez ici vous ! »
« J’attends Monsieur ! »
« Quoi ! Mais qu’est-ce que vous racontez ! Vous attendez quel Monsieur ! »
« Le Roi ! »
« Vous m’attendiez ? »
Le roi trépignait sur place, il n’avait pas le temps avec les imbéciles aujourd’hui, pourtant le sort s’acharnait sur lui.
« Ah oui ! C’est vous Monsieur. Bonjour ! Petit déjeuner ! »
Elle posa le plateau sur le lit puis se dirigea vers la porte.
« Machine attendez ! Vous n’auriez pas vu ma femme ? »
« Laquelle ? »
« Comment ça laquelle ? Ma femme bon sang ! »
« Vous avez plein des femmes, non ? »
« Ma femme ! La reine Guenièvre ! »
« Ah Madame du coup ! »
« Oui si vous voulez. Alors vous l’avez vu ma femme ? »
« Oui »
« Alors, où est-elle ? »
La servante tourna sur elle-même tout en scrutant la pièce.
« Elle n’est pas ici ! »
« Non mais ça je le vois ! Vous avez dit que vous aviez vu ma femme et je vous demande où est ce qu’elle se trouve maintenant »
« Ah mais ça je sais pas. Je l’ai vu ce matin »
« Ok laissez tomber, dégagez »
« Angharad doit savoir »
« Oui vous avez surement raison. Et où se trouve Angharad ? »
Nessa se tourna à nouveau sur elle-même, allant regarder jusque sous le lit
« Elle n’est pas ici, non plus ! »
Furieux le Roi repartit en grommelant qu’il était entouré d’une bande de taré plus stupide les uns que les autres.
Par chance il ne mit pas longtemps a retrouvé la suivante de la Reine.
« Vous tombez bien vous ! Où est ma femme ! »
La suivante encore émue fût surprise par l’arrivé du Roi, elle ne lui répondit pas immédiatement ce qui agaça encore plus le Roi.
« Ne me dites pas une connerie du genre que vous n’êtes pas tombé. Où est ma femme ? »
« Veuillez m’excuser Sire, j’avais parfaitement compris votre question, la Reine est partie rejoindre mon fiancé »
« Votre fiancé ! Qu’est ce vous me baragouinez encore ! Vous êtes fiancé, maintenant ! C’est qui votre fiancé et pourquoi MA femme irait voir votre fiancé »
Arthur eut un coup de chaud, la jalousie lui tordit le ventre, pourquoi SA femme irait voir un autre homme.
« C’est le seigneur Perceval »
Arthur se détendit légèrement, ce n’était que le seigneur Perceval, il savait qu’il ne risquait rien, son chevalier lui était fidèle mais en y repensant le seigneur Lancelot avait été le plus fidèle fût un temps.
« Elle m’a dit qu’elle devait absolument lui parler après que je lui ai annoncé que nous nous étions fiancés »
« Et où se trouve votre fiancé ? »
« Il est parti en mission avec le seigneur Karadoc »
« D’accord à la Taverne du coup. QUOI !!ATTENDEZ ELLE EST QUAND MEME PAS PARTIE A LA TAVERNE TOUTE SEULE !! Oh mais c’est pas possible elle va me rendre chèvre celle-là. Elle va m’entendre !!! »
Et sans plus d’explication, Arthur planta la suivante dans le couloir partant comme une furie.
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« Vous avez raison ma Reine, je ne peux pas laisser le Roi comme ça, je suis un chevalier »
Le seigneur Perceval laissa la Reine seule à sa table, il devait discuter avec son acolyte. La Reine observait de loin les deux chevaliers discutaient, discussion qui semblait houleuse. La première étape de son plan se mettait en marche en espérant que la suite tournerait à son avantage. Elle n’avait pas l’habitude de faire des plans, elle n’aimait surtout pas manipuler les gens, d’habitude elle laissait les choses arrivait mais là c’était trop important pour qu’elle ne puisse pas intervenir.
La porte s’ouvrit dans un grand fracas, toute l’assemblée sursauta. Guenièvre fût choquée en voyant son mari débouler dans la taverne, les joues rouges et surtout avec son air renfrogné qui ne présageait rien de bon. Elle comprit tout de suite qu’elle avait des ennuis, elle se glissa discrètement sous la table espérant qu’il ne la verrait pas.  Arthur avait repéré immédiatement sa femme, en quelques enjambés il la rejoignit.
« Vous vous foutez de ma gueule ! Sortez de moi de là ! Ne me prenez pas pour un idiot !»
 Elle sortit toute penaude, et se plaça devant son mari avec un petit sourire mutin
« Qu’est ce vous faite ici ? »
« Non mais carrément ! C’est plutôt à moi de vous demander ce que vous fichez ici ! Dans une taverne pleine de soulard ! Mais vous avez tourné totalement de la carte ! Vous allez pas bien ma pauvre fille ! »
« Ne criez pas ! Je suis juste venu voir le seigneur Perceval »
« Et vous êtes dit tiens si j’allais à la taverne ! Et comment vous avez pu sortir du château sans que personne ne vous voit ? »
La Reine se rapprocha de son mari, s’arrêtant à quelque centimètre de lui. Ils étaient tellement proche que le roi sentait le souffle de sa femme sur son visage, la colère redescendit immédiatement laissant le trouble s’instaurer entre eux. Elle se rapprocha de son oreille et lui murmura :
« Je veux pas dire mais votre château c’est un moulin. Vous êtes ici parce que vous êtes inquiet pour moi. C’est trop mignon »
Elle lui sourit tendrement, Arthur rougit.
« NON, non pas du tout … »
Guenièvre parut déçue.
« Bon d’accord ! OUI j’étais inquiet »
Elle lui sourit posant sa main sur son bras, il lui rendit son sourire. Le cœur de Guenièvre rata un battement, que le sourire de son mari était beau, qu’elle était heureuse de voir ce sourire. Il ne souriait pas beaucoup et c’était vraiment du gâchis.
« Pourquoi vous vouliez absolument parler avec l’autre idiot, cela ne pouvait pas attendre qu’il rentre au château ? » 
« Désolé je me suis laissé emporter, je n’ai pas pu attendre, mais le seigneur Perceval a quelle que chose à vous dire. N’est-ce pas Seigneur Perceval ? »
« Hein ! Ah ouais je reste chevalier, Sire, avec tout le truc de la destinée, je peux pas vous laisser tomber »
« Oui mais moi je préférais que l’on fasse notre clan autonome ! »
«Mais c’est pas vrai vous ne comprenez rien c’est important de servir le Roi Arthur »
« Je suis pas trop chaud pour rester chevalier »
« Faite comme vous voulez mais moi je continu la quête du Graal ! »
« Justement c’est chiant ! Je crois que je vais quand même laisser tomber. Oh ça va ! Ne faites pas cette tête ! »
« Quand on est chevalier, on est chevalier ! »
Le seigneur Karadoc boudait, les deux hommes se toisaient du regard.
« Vous pouvez faire ce qu’il vous plait seigneur Karadoc » dit la Reine « Vous n’êtes pas chevalier »
« Ben si quand même ! »
Le Roi ne comprenait pas la conversation à laquelle il assistait mais il était touché que le seigneur Perceval reste à la table ronde. Il ne l’avouerait à personne mais il avait beaucoup de tendresse pour son chevalier même si parfois il était la raison principale de ses plus grosses migraines.
« Non vous n’êtes pas chevalier, Karadoc » dit la Reine en insistant sur son nom et ne le nommant pas volontairement Seigneur. « Vous n’êtes pas adoubé, vous n’êtes pas dans le registre »
« Hein comment ça adoubé ? »
« Oui c’est le nom de la chevalierisation ! » répondit son compère
« Comment ça il n’est pas adoubé ? Vous êtes sûre Guenièvre ? Vous avez pu louper son nom. »
« Je suis parfaitement sûre. Karadoc, Avez-vous eu une cérémonie avec mon mari ou un autre Roi du royaume de Bretagne ? »
« Le truc avec l’épée ? Ah ben non. Du coup je ne suis pas chevalier c’est ça ? »
« Donc vous pouvez rester à la taverne si vous voulez » insista Guenièvre.
L’homme parut réfléchir intensément, laissant un suspense si intense que toute l’assemblée se figea. En effet, toute la taverne avait suivi l’échange avec grand intérêt.
« Ok. Moi ça me va. En plus on pourra toujours se revoir ici »
« Attendez ! Si vous n’êtes pas chevalier, pourquoi on a fait l’échange d’épouse »
« Parce que vous vouliez épouser Dame Mevanwi » dit la Reine
« Mais NON ! Je ne voulais juste pas le tuer l’autre tâche » répondit le Roi en s’agitant et en pointant du doigt le non chevalier.
« Mais vous l’aimez ! »
« NON, enfin j’ai cru mais non je ne l’aimais pas vraiment »
« Ah donc elle peut donc quitter le château sans que cela vous peine »
« Mais bien sûr ! Je m’en contrefiche, elle peut aller où elle veut ! »
Sa femme se rapprocha à nouveau d’Arthur, elle passa une main dans ses cheveux le faisant soupirer.
« Plus problème alors ? »
« Non plus problème »
Guenièvre passa son bras sous celui de son mari, qui rougit immédiatement.
« On rentre ? »
« Oui on rentre »
De retour au château, Arthur prit la main de sa femme pour rentrer dans l’édifice.
« Que faite vous ? » demanda-t-elle surprise
« Je vous prend la main. Pourquoi je n’ai pas le droit ? »
« Si, si mais c’est que … »
« C’est que quoi ? ça vous gêne ? »
Il allait retirer sa main quand sa femme la lui rattrapa plus fermement.
« Non, non surtout pas »
Elle lui souriait, et quel sourire, il pourrait se damner pour son sourire. Ils se regardaient tendrement, perdu dans le regard de l’autre, ils n’entendirent pas la femme de Karadoc arrivait près d’eux.
« Sire vous êtes là » dit-elle presque affolée, elle fit semblant de fondre en larme
« Qu’est-ce qu’il vous arrive ? » dit Arthur en lâchant la main de sa femme
Elle lui tendit le mot que Guenièvre lui avait écrit, le Roi ne put réprimer un sourire en lisant le contenu de cette lettre, elle était définitivement très drôle sa femme. Il reprit la main de sa femme qui avait déjà reculait prête à partir. Il se tourna vers cette dernière.
« Qu’est ce qu’elle doit se mettre… hum enfin, qu’est-ce que vous lui avait rendu pour reprendre vos termes »
« Le jasmin jaune du jardin » répondit toute penaude sa femme
« Il a été déversé dans mes appartements, il y a des fleurs partout c’est un véritable cauchemar »
Le Roi comprit tout de suite pourquoi sa femme avait fait enlever tout le jasmin, il était d’ailleurs un peu honteux de repenser à la période où il avait fait planter ces fleurs. Il resserra la main de sa femme et répondit de façon désinvolte à la femme de l’ex-chevalier.
« Demander de l’aide auprès des serviteurs pour tout ranger. De toute façon, il faut que vous fassiez vos bagages pour rejoindre votre mari à la taverne »
« Comment …. »
« Votre mari n’est plus chevalier, il ne l’a jamais été d’ailleurs, sur ce, bonne journée et avec ma femme on vous dit aurevoir »
Sur ces mots Arthur entraina sa femme avec lui dans les couloirs, sans un regard envers son ex-amante. Laissé seule, Dame Mevanwi fulminait, elle aurait sa vengeance, elle ne laisserait jamais un tel affront sans conséquence.
Arthur avançait rapidement, toujours la main de sa femme dans la sienne, la trainant un peu. Il voulait s’éloigner au plus vite car il essayait tant bien que mal de retenir le fou rire qui était pratiquement impossible à réfréner.
« Vous marchez trop vite, j’ai dû mal à suivre »
Il l’entraina dans une alcôve, se retourna vivement et spontanément la prit dans ses bras. Choqué par leur proximité, Guenièvre vira au rouge. Son mari lui caressa doucement la joue.
« Vous êtes décidément bien impertinente aujourd’hui, vous lui avait carrément dit de se mettre ses fleurs où vous pensiez » dit-il en lui souriant franchement « D’ailleurs je serais très curieux de savoir à quel lieu vous pensiez »
« Ah mais vous savez parfaitement où ! …dans un vase voyons » répondit elle avec sourire coquin.
« Ah mais oui ! Suis-je bête. C’est comme mon éventuel complexe… »
Elle leva les yeux vers lui, un regard plein de désir, était-ce l’effet de la potion qui la troublait, non bien sûr que non c’était son mari. Elle n’avait pas attendu de prendre une potion pour réaliser que son mari était beau, désirable, au-delà de l’époux qu’elle aimait secrètement, elle le désirait mais avait bien conscience depuis longtemps qu’elle n’avait aucune chance avec lui. Pourtant son amour perdurait et se renforçait avec le temps.
« Finalement vous en avez un de complexe ou pas » lui murmura-t-elle de peur de gâcher la magie qui s’était installé entre eux.
Il la rapprocha de son corps jusqu’à être collé l’un à l’autre, se pencha pour humer le parfum de ses cheveux et tout doucement lui murmura à l’oreille.
« Vous voulez vraiment connaitre la réponse à votre question ? »
Elle trembla légèrement contre lui, posant sa tête sur son épaule.
« Disons que si cela vous intéresse je suis tout à fait dispo à vous montrer que je n’ai pas … »
« Ah mais vous êtes là, qu’est-ce que vous fichez tous les deux, trois plombes que je vous cherche ! Va falloir penser à récupérer votre charmante famille parce que les deux sœurs tape dure j’en ai plein le casque »
Surpris par l’arrivée de Dame Séli, ils avaient reculé vivement, les joues aussi rouges l’un que l’autre.
« Bon vous venez ou je vous fais envoyer une invitation par pigeon ! »
Arthur se ressaisit, se redressant prêt à suivre sa belle-mère.
« Et vous c’est quoi ce cirque aujourd’hui, alors le coup de la bouffe sur l‘autre tartignolle je dis pas, mais alors que vous vous déguisiez et que vous m’envoyer bouler c’est moyen moyen. Et Ah oui c’est quoi cette histoire que sur ordre de la Reine les femmes du château ne sont autorisées à ne porter que des tenues de nuit !!! »
« Ah parce que c’est vous ça aussi ?» demanda son mari en souriant 
La Reine leur fit un sourire à éclairer une pièce dans le noir, leur passant devant la tête haute et tout en partant.
« Et alors, je lance une nouvelle mode, je fais donc participer tout le château, d’ailleurs mère vous n’avez pas respecté le dress code et n’oubliez pas c’est un ORDRE de la REINE »
Cette fois Arthur ne put se retenir, il éclata de rire. Depuis quelques temps il était plus déprimé que d’habitude, aujourd’hui toute cette pression lui paraissait si futile. La potion avait eu un effet révélateur sur sa femme même si elle était totalement désinhibée, incontrôlable, elle montrait sa vraie personnalité, ce qu’elle avait toujours voulu faire ou dire. Ce qu’il voyait lui plaisait beaucoup, sa femme en plus d’être sacrement jolie, était drôle, spontané et surtout elle restait gentille, adorable même. Plus de doute, il décida de tourner définitivement la page de sa vie à Rome et de ce fait il renonçait définitivement au serment qu’il avait pu faire. Le poids lourd qu’il portait sur ses épaules s’envola à l’instant même où il avait formulé dans sa tête sa prise de sa décision.
« Et en plus cela vous fait rire, elle est incontrôlable ! Alors je dis pas, qu’elle s’affirme un peu la gamine c’est pas plus mal mais vous auriez dû voir la tête de votre mère quand elle a découvert les dames en chemises de nuit et surtout par ordre de la Reine. Je pense même qu’elles ont eu peur qu’on les oblige aussi à porter ce genre de tenue »
« Oh Belle maman vous venez de me donner la solution pour les renvoyer gentiment à Tintagel »
« Ah ! Vous devenez intéressant ! Je ne peux pas rater ça ! Monsieur Pendragon qui défi ENFIN sa mère, je ne sais pas qu’elle mouche vous a piqué à tous les deux mais c’est la journée des surprises »
« Allons-y rapidement ! Après je dois retrouver ma femme avant la prochaine catastrophe »
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Guenièvre avait rejoint Angharad, elle lui avait raconté toute sa journée, la prise de la potion et toutes les actions qui en avait découlé.  
« Très honnêtement, Madame, sans vouloir vous vexer mais vous devriez prendre cette potion plus souvent si elle vous libère à ce point »
« Je vais quand même éviter, je pense que le cœur d’Arthur n’y survivrait pas »
Les deux femmes partagèrent un fou rire en imaginant le Roi s’affairait à réparer les bêtises de sa femme.
« Cela a eu du bon cette histoire. Je suis fiancée, l’autre morue dégage du château et à priori d’après ce que vous me racontez, vous vous êtes rapproché de votre époux »
« Je me suis amusée comme une petite folle, mais nous devons nous concentrer sur l’organisation de votre mariage et surtout votre remplacement »
« Mon remplacement, que cela me semble étrange. Vous m’avez dit voir déjà une idée sur la question »
« Oui je pense que Nessa fera parfaitement l’affaire »
« Nessa ! Vous voulez vraiment dire Nessa, celle qui attendez bêtement dans votre chambre. Votre mari va s’arracher les cheveux »
« Oui je sais ! Disons que c’est un petit bonus »
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La journée s’achevait, enfin diraient certaines personnes. Mais pour Elias, quant à lui, il aurait voulu qu’elle dure éternellement, cette journée avait été magique jamais il n’avait autant ri. La Reine avait chamboulé tout le château, pourtant ce qui l’avait plus marqué c’était la réaction du Roi. Il avait quand même foutu dehors sa mère, en fin de journée il avait l’air de s’amuser de la situation. Il fallait absolument qu’il demande à Merlin sa « recette ».
« Dites ! Vous sauriez , comment vous l’avez faite votre potion »
« Laquelle ? »
« Ben voyons celle pour se changer en pigeon ! »
« Ah mais je ne sais pas la faire celle là »
« Mais non gros Dindon, la potion que la Reine à prise »
« Parce que ça intéresse Mooossieur Elias maintenant »
« Disons que cela pourrait être intéressant !!»
« Non mais, c’est que moi, j’ai rien noté »
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EPILOGUE
Dans la chambre royale.
« Je suis vraiment désolé pour aujourd’hui, je crois que je me suis un peu laché »
« Un peu c’est un euphémisme ! »
« Rho..ça vas !Il  y a pas mort d’homme quand même »
« Non mais vous êtes passez à ça de l’incident diplomatique »
Malgré son ton, le Roi ne pouvait réprimer un sourire. Elle lui rendit tendrement. Il pris sa main dans la sienne, le geste la fit immédiatement rougir. Il avait retrouvé sa femme, si timide, mais il sentait bien que la journée avait changé sa femme malgré tout. D’ailleurs cela avait clairement changé leur relation, il avait pris une décision qu’il était prêt à assumer.
« Vous avez vraiment mis votre mère dehors ? »
« Ouais ..mais ça aussi cela risque d’avoir certaines répercussions »
« Oh vous savez depuis le temps qu’elles sont méchantes avec vous, je pense que cela ne peut que leur faire du bien. Et de toute façon finalement qu’est-ce qu’elles voulaient ? »
« Comme d’habitude me faire des reproches mais je vais accéder à une de leur demande et cela vous concerne aussi »
«Moi ! Et en quoi je peux leur être utile ? »
« Disons que nous pourrions continuer ce que vous avez commencé dans le laboratoire »
« Comment ça dans le laboratoire…….Ah oui dans le laboratoire, je vois mais vous savez je connais pas vraiment la suite »
« Cela tombe bien, moi je la connais »
Il se pencha vers elle doucement, posant sa main sur joue tendrement, encore un peu rougissante Guenièvre se laissa guider par son mari, elle ferma les yeux. Alors que leurs lèvres allaient se toucher, il lui murmura.
« Vous me faites confiance ? »
« Plus que jamais »
Et c’est avec un sourire qu’il fondit sur ses lèvres avec l’intention de briser son serment à tout jamais.
FIN
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rarougrougrou · 1 year
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Du couuup!
Merlin/Elias car je fais ma propagande activement tout les jours
Jaime/Brienne ENCORE UNE FOIS DE LA PROPAGANDE
Luffy/Zoro car je relance la question of course
Et AaaaAAAAaaaA Parce-que pour le lol aussi fkrkdke
Melias jsuis vraiment tombé dedans alors que y'a 2 ans j'aurais déclenché une croisade contre ce ship cest insane
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Jaime/brienne on en a parlé qu'une fois et c'était vraiment la révélation pour moi
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Luffy/zoro les ambassadeurs du qpr
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Rien à dire sur aaAAAAaaA
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icariebzh · 7 months
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 "Et l'histoire se rit de ses victimes ...et de ses héros Elle leur jette un regard et passe... Cette mer m'appartient. Cet air humide m'appartient. et mon nom, quand bien même je prononcerais mal mon nom gravé sur le cercueil, mon nom m'appartient. Mais moi désormais plein de toutes les raisons du départ, moi,je ne m'appartiens pas,j e ne m'appartiens pas, je ne m'appartiens pas..."
Mahmoud Darwich "Murale"traduit de l'arabe par Elias Sanbar -Editions Actes Sud
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hermie62 · 9 months
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Bonjour Hermy ! Ton Secret Santa a été bien occupé cette semaine et n'a pas pu t'envoyer un message plut tôt comme je l'avais souhaité. Comme toi, le travail m'a bien occupé et je ne serais pas fâchée d'être en vacances. J'espère que tu vas bien et que tu as plus de temps pour toi et pour te reposer. J'espère également que tu passes un agréable mois de Décembre jusqu'à présent. Comment se passe ton week-end ? Moi je décore mes fenêtres tout en écoutant des musiques de Noël, avec ma tasse de chocolat chaud à côté, je suis un vrai cliché de Noël ambulant xD Dis-moi, est-ce qu'il y a des choses que tu aimes faire pour cette période, une petite tradition en particulier ? Un ou plusieurs films que tu aimes visionner à cette période peut-être ? Je ne t'embête pas plus pour aujourd'hui. Je te souhaite de passer un bon dimanche, à très bientôt 🎅🏻🎄
Bonjour secret Santa ! Je m'excuse de ne pa avoir répondu à tes questions, je n'étais pas très bien ces derniers temps et je m'étais un peu coupé d'internet. J'ai bien reçu ton cadeau qui m'a fait beaucoup rire. Les personnages sont totalement in character comme on dit, l'histoire est très bien écrite et c'est con à dire mais Elias est trop mignon 🥰 encore merci pour ce très beau cadeau. J'espère que tu as passé un bon Noël et que toi aussi tu as été gâté.
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wengenn · 1 year
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En tant que premier post wowincroyable de ce compte, je vous propose un ✨Merlin appreciation post✨ (ou melias parce que ces deux là sont incroyables et que je vais aborder le sujet d'Elias aussi évidemment), avec toutes les raisons pour lesquelles c'est mon personnage préféré dans Kaamelott ! *(+ Une petite review d'une fanfic sur ce pairing qui m'a consumé de l'intérieur)
Merlin, c'est l'enchanteur officiel de Kaamelott. En fait non, il est druide. Enfin de base il est druide. Mais le con a tellement foi en Arthur qu'il s'est forcé pendant des dizaines d'années à être quelque chose qu'il n'est absolument pas fait pour, à savoir rester enfermé toute la journée. Rien que ça, même si c'est très professionnel, est un choix très con en termes de santé mentale.
Et c'est principalement ce que j'aime à propos de Merlin : le mec a 884 ans. Il a l'expérience de centaines de vies humaines, donc on s'imagine qu'il serait hyper sage et qu'il aurait cracké tous les life hacks possibles et inimaginables, mais non. Merlin c'est un gosse. Un gosse de bientôt neuf cent ans, mais un gosse quand même. Il a vécu tellement longtemps et il est tellement pas prêt de s'arrêter qu'il en a finit par vivre pour les autres le con. Il a tendance à faire le choix de ce qui serait le plus moral -à la différence d'Elias qui fait les choses pour son bien personnel-, quitte à devoir rattrapper sa faute par la suite. Parce que de toute façon, il a encore le temps de le faire.
Et pourtant, dans les derniers livres, il prend un peu d'assurance, tient tête a Arthur. Évidemment pas bien longtemps, c'est quand même son boss, mais il le fait ; notamment en rappelant assez souvent qu'il n'a pas besoin de lui pour survivre, remarque qu'il refera à Elias avant de quitter kaamelott, puis à Karadoc et Perceval dans la "chambre" à la taverne. C'est assez étrange, quand on y pense. Parce que personnellement j'y crois, au fait que Merlin soit capable de vivre seul dans la nature. Mais c'est précisément quand il fait ces remarques là qu'il n'y est pas : Il reste fidèle à Arthur, puis lorsqu'il s'en va ENFIN de Kaamelott, il retourne se fourrer dans un clan aux cotés de gens qui étaient, y'a pas si longtemps, de Kaamelott. C'est d'ailleurs selon moi une décision absolument débile et incompréhensible : le mec a enfin sa liberté, il a enfin tout envoyé chier pour retourner à la base de la vie, dans la nature, il s'émancipe ENFIN, mais à la première occasion il régresse. Évidemment, c'est grâce au fait qu'il soit resté avec les semi croustillants qu'il a pu survivre pendant la tyrannie de Lancelot, il aurait certainement été le premier à être exécuté de par son lien à Arthur. Mais quand même, Merlin a été con sur ce point là. Et c'est encore une démonstration du gars qui prends des décisions sans trop y réfléchir, puisqu'il a vécu et vivra assez longtemps pour ne pas trop se soucier de si il perd quelques dizaines d'années dans les souterrains et entouré de débiles à longueur de journée.
Sa relation avec Elias est super intéressante. À la base, c'est clair que "Le grand enchanteur du Nord", c'était un personnage créé pour être le total opposé de Merlin -et il l'est. Il y a un détail important de son personnage, si on le considère d'abord comme le contraire de son collaborateur, c'est sa facilité à retourner sa veste. Elias n'a pas d'attaches, il n'a pas non plus de convictions politiques, du moment qu'il de l'argent. Ça voudrait dire que Merlin, lui, il en a des convictions, et qu'il est pas avec Arthur par pure gentillesse. Le caractère d'Elias donne de la profondeur au personnage de Merlin, et ça j'aime bien.
En plus de son caractère, leurs intéractions sont une grande partie de leur personnalité. Et ça paraît évident, comme l'un et l'autre ne doivent apparaître que maximum 20-30 minutes dans toute la série, et que leurs apparitions se font sont souvent ensemble. Ce temps d'apparition est assez élevé pour donner une bonne caractérisation du personnage, mais en même temps assez bas pour laisser place à l'interprétation et pouvoir le développer sans être trop ooc. Comme dans les fanfics, par exemple.
En parlant des fanfic ! Parce que oui, pour moi, elles ont beaucoup contribué à mon appréciation du personnage. Une en particulier, celle de TrueRed sur Ao3 : Un Premier Pas, Le Reste Suivra. Elle explore la relation entre Merlin et Elias après KV1 : ils recollent les morceaux après 10 ans lorsque le roi leur fait une demande un peu spéciale. J'en dis pas plus ! Je vous invite à la lire, même si je sais que 40 chapitres et un peu plus de 300k mots c'est pas ce qui y'a de plus attrayant. J'ai rarement lu de fanfiction dans laquelle l'histoire est aussi bien racontée, et j'ai vraiment très vite attaché au style d'écriture. Les personnages sont pas ooc du tout, ou en tout cas juste assez pour que ça colle bien à leurs caractères. Le problème maintenant c'est que j'aurais du mal à reprendre Kaamelott, ou même KV2 autrement que comme ils sont décrits dans la fic ! Ces 307,340 mots recèlent une histoire incroyable. Et je suis super triste que le fandom soit pas plus actif que ça.
Voilà quelques raisons pourquoi Merlin, ce grand con au grand coeur, est mon personnage préféré de Kaamelott !
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annlocarles · 1 year
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Au début tout allait de soi puis tout s’embrouilla aujourd’hui les complications c’est fini             pour moi je n’ai plus assez de temps pour les joutes vaseuses et les serments éternels cela qui viendra sera.
Il est bien connu qu’apparences sont trompeuses je ne marche pas plus lentement bien au contraire maintenant que sur le chemin du retour à l’enfance je laisse tomber             un à un les cailloux qui encombrent mes poches débarrassée de la crainte de la perte même             de soi voici le temps de l’allègement.
Olivia Elias, Chaos, Crossing, traduction du français par Kareem James Abu-Zeid. Préface, Najwan Darwish. World Poetry Books 2022
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abridurif · 2 years
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Le dernier jour du mois, je descends dans mes ruines, ma lampe ridicule à la main droite. Plus je descends et plus cela me paraît vain. Quelle foi mène-t-elle au noyau de la terre ? Quoi que vous fassiez, toi, ou un autre, ou quiconque, c’est en vain. Oh ! vanité de tous les efforts ! Les victimes continuent à tomber par milliers, par millions, et cette vie, dont tu veux imiter la sainteté, n’est sacrée pour personne et pour rien. Aucune puissance secrète ne désire la maintenir. Aucune probablement ne désire la détruire non plus, mais cela, elle le fait elle-même. Comment une vie, aménagée en boyau, pourrait-elle avoir une valeur ? Peut-être tout a-t-il mieux été aménagé chez les plantes, mais que sais-tu réellement des supplices de l’étouffement ? Oh ! l’écœurement se propage et se répand ! Il a sa source dans la mangeaille, tout est en proie à la mangeaille ! La journée paisible que vivent certains n’est qu’une hypocrisie. La chose déchirée est plus vraie. Les gens paisibles recouvrent la terre de feuilles, mais ces filets sont faibles et, même là où ils triomphent, la destruction charnelle continue sous leurs enveloppes vertes. Le puissant se pavane avec son estomac, le vaniteux chatoie de toutes les couleurs de son intestin. L’art loue des danses pour ceux qui digèrent et ceux qui étouffent. Il le fait toujours mieux et son héritage est conservé comme le bien le plus précieux. Certains se flattent de penser que cela pourrait toucher à sa fin et calculent catastrophe après catastrophe. Mais l’intuition plus profonde de ce tourment est éternelle. La terre reste jeune, sa vie multiplie et il lui vient des formes nouvelles de misère, plus compliquées, plus accentuées ou plus complètes. L’un supplie l’autre : aide-moi, fais que ce soit pire !
Elias Canetti, Le Territoire de l’homme, Éditions Albin Michel, 1978
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frisquette27 · 2 years
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En écrivant ET SI .. j'ai retrouvé dans mes vielles notes des idées completement farfelues ce qui m'a donné l'idée de les regrouper et d'écrire une histoire completement barge. J'avais prévu de faire qu"un chapitre mais elle est trop longue donc je partage déjà un premier chapitre.
Cette histoire est à prendre 3eme degres (voire plus) mais ça m'amuse. Et comme d'habitude écrit à la va vite ...
Un philtre sans philtre…
Jamais il n’avait vu ça, comment cet énergumène avait pu se tromper à ce point et surtout comment avait-il fait pour créer une potion qui aurait de tels effets. Il savait depuis longtemps que la réputation de Merlin était surfaite et que c’était disons-le sans langue de bois, un gros nul. Mais là, il avait fait très fort. Certes cela entraînerait surement des conséquences mais Elias avait eu une superbe journée, il n’avait jamais autant ri. Les habitants du château eux n’avaient certainement pas trouvé cela très drôle. Prendre ses quatre vérités en pleine figure ce n’était déjà pas facile mais personne n’aurait pu soupçonner que la vérité c’était la Reine qui allait la donner. Quel caractère ! Jamais Elias n’aurait pensé que Guenièvre était aussi volcanique et amusante. Elle cachait bien son jeu derrière son minois angélique.
Tout avait commencé par une commande un peu inhabituelle émanant d’un crétin du château, l’autre bourgeois voulait une potion qui rendrait sa femme moins coincée, il voulait une potion qui la désinhiberait un peu. Il avait donc concocté pour une somme rondelette une nouvelle potion, entre la potion de vérité et une potion d’euphorie mais voilà Merlin vexé avait essayé de faire de même. La potion de Merlin était d’un vert étrange avec une fumée violette qui s’échappait de la fiole. Elias l’avait donc invectivé en lui conseillant fortement de se débarrasser de cette mixture rapidement avant d’empoisonner quelqu’un. Mais comme à son habitude l’enchanteur n’avait pas rangé ladite mixture et elle avait trainé sur la table pendant des jours jusqu’à ce matin.
Cela faisait quelques semaines qu’elle avait réintégré le château et son rôle de pante verte, heu non de Reine pensa-t-elle, tout avait repris comme avant. Mis à part le fait qu’elle était plus loquace avec son mari, elle osait maintenant lui dire ce qu’elle pensait, en tout cas elle avait vu juste pour l’arrivée du Roi Loth. Elle reprenait doucement ses marques dans la vie du château même si elle évité soigneusement la femme de Karadoc tout avait à peu près pris le même chemin. D’ailleurs il fallait absolument qu’elle demande au Roi quand avait-il prévu de laisser partir les seigneurs Karadoc et Perceval pour qu’ils puissent monter leur clan autonome car éviter son ancienne amie était particulièrement désagréable. Elle se sentait coupable envers elle ce qui était un comble, peut être devrait elle lui offrir un présent. Du coup ses nuits étaient tourmentées et ce matin une migraine lui donnait la nausée. Elle décida donc de se rendre chez Merlin dès l’aube pour soulager sa douleur.
« Ah ben si vous avez mal à ce point il vous faut une potion »
« C’est justement pour ça que je suis là, je suis vraiment désolé de vous déranger Merlin »
« Non mais vous ne le dérangeait pas ! Il ne sait juste pas faire ce genre de potion »
« Non mais ça va oui, on ne vous a pas sonné Môssieur Elias, c’est à moi que la Reine demande d’abord »
« Oui justement c’est la Reine, vous allez donc pas l’empoisonner ! »
Elias posa sur la table une fiole au milieu de tout le bazar de son acolyte.
« Je pense que ma potion sera plus efficace ma Reine si vous voulez ne plus avoir mal à la tête avec l’autre agité vous risquez d’être transformé en pigeon »
« Ah non beurk pas en pigeon »
« Et puis quoi encore ! Vous en connaissez-vous des potions qui transforment les gens en pigeon »
« Oui ça existe mais vous ne savez pas les faire »
« Ah vous voyez ! » dit Merlin en le pointant du doigt
« Non mais ce n’était pas un compliment »
« Je m’en doute venant de vous cela tiendrait du miracle »
« Je disais juste que vous êtes un GROS nul et que c’est dangereux de prendre la moindre de vos potions »
« Désolé Messieurs, je ne voulais surtout pas vous déranger, je vais prendre la potion et vous laissez d’accord »
Les deux enchanteurs n’entendirent pas la Reine, trop occupé à se disputer et surtout ils ne virent pas qu’elle prit la potion verte avec elle.  
Dans le couloir Guenièvre se rendit compte qu’elle ne savait quelle dose prendre, entendant encore les cris émaner du laboratoire, elle n’osa pas y retourner pour demander. Tant pis elle prit toute la fiole, cette potion avait un gout affreux et lui fit tourner la tête, elle n’aurait certainement pas du tout prendre.
En se rendant dans sa chambre, elle réalisa que son mal de tête était bien parti mais elle se sentait étrange. Elle était un peu euphorique tout d’abord elle mit cela sur le compte du soulagement, le fait de ne plus avoir mal devait la rendre heureuse. Tiens ce dit-elle en ouvrant la porte, son mari était levé et déjà parti ce qui était plutôt surprenant car depuis son retour il avait tendance à trainer longtemps dans leurs lits. Peut-être en ne la voyant pas ce matin, il s’était décidé à se lever plus tôt mais non ma pauvre fille pensa-t-elle, on a dû venir le chercher pour une urgence. Enfin une urgence, il la faisait bien rire avec leurs urgences, on dirait plutôt une bande de môme qui ne sais rien faire sans leur Roi.  Oh non comment pouvait-elle avoir ce genre de pensée, elle était étrange ce matin, les chevaliers n’étaient pas une bande d’attardé, oh mon dieu, si, c’était tous des idiots. Alors c’était vrai, elle-même manquait cruellement de culture, on ne lui avait jamais vraiment permis d’accéder au savoir mais finalement se dit elle, elle n’était pas stupide il suffisait que l’on lui explique un peu et elle percutait bien. En revanche les chevaliers, parce que c’étaient des hommes on partait du principe qu’ils étaient réfléchis, ce matin elle en doutait fortement.
La nouvelle servante fit son apparition avec le plateau du petit déjeuner, elle se planta devant le lit vide. Guenièvre qui était assise devant sa coiffeuse regardait perplexe la jeune femme ne pas bouger.
« Vous attendez quoi du coup »
La servante sursauta et fixa la Reine.
« Je dois servir le petit déjeuner »
« Posez donc le plateau sur la table »
« On m’a dit que je devais servir le petit déjeuner de Monsieur au lit »
« Oui peut être, posez le plateau sur la table, il n’y a personne dans le lit »
« Ni Monsieur ni Madame ne sont dans le lit, on ne m’a pas dit de le poser sur la table »
Réflexion faite les chevaliers devaient quand même paraitre vachement plus réfléchi du coup.
« C’est pour ça que vous ai demandé de le poser sur la table, vu que ni monsieur ni moi-même étions dans le lit »
« Du coup c’est vous madame »
« On s’est déjà vu Nessa, vous ne vous rappelez pas de moi, je suis la Reine Guenièvre »
« Votre prénom je ne m’en rappelais plus, du coup c’est plus pratique de vous appeler Madame, mais comme Monsieur il change pas mal de Madame je m’y perds »
« Oui je comprends, Monsieur a tendance à beaucoup changer de Madame mais c’est pas grave vous pouvez reprendre votre plateau je n’ai pas très faim »
« Et Monsieur ? »
«Il est pas là ! »
« Il n’a pas faim du coup »
« Non voilà il n’a pas faim et de toute façon il est pas là »
« Mais il ne va pas revenir, faut pas que je l’attende avec le plateau ?»
« Vous voulez l’attendre avec le plateau devant le lit jusqu’à son retour, c’est ça »
« C’est peut-être mieux, on m’a pas dit si je pouvais partir si Monsieur était pas là »
« Pfff Ok moi je vais m’habiller correctement faites ce que vous voulez »
Elle entreprit donc d’enfiler une robe plus convenable, enfin plus Reine derrière le paravent, en regardant de plus près la robe préparer par Angharad, elle eut un doute. Elle sortit de derrière le paravent la robe mal attachée et se planta devant la servante.
« Qu’est-ce que vous en pensez ? »
« De quoi ? »
« De la Robe ! Qu’est-ce que vous en pensez ! Sincèrement ! »
« Sincèrement ? »
« Oui , oui avec vous je pense que je peux avoir la vérité »
« Ben c’est une robe de bourge »
« Ok mais sinon »
« C’est une robe pour les vielles bourgeoise »
« Donc cette robe me vieillit c’est ça »
« Non disons que, vous ne donnez pas envie »
« Ah oui carrément »
« Ben c’est ça qui est bien avec les bourgeoises c’est qu’il n’y a pas beaucoup de peau qui dépasse et puis ça met pas en valeur vos formes et du coup les messieurs ils préfèrent les p’tites servantes car on fait plus… vous voyiez quoi »
« Je voulais la vérité ben je l’ai eu »
Pourtant Guenièvre n’était absolument pas contrariée par les réflexions de la servante bien au contraire elle était même d’accord avec cette dernière. Ce matin elle se sentait joueuse et avait bien envie d’être un petit peu plus outrageuse dans sa tenue, c’est vrai après tout elle était jeune et la nature lui avait donné des jolies arguments à mettre en valeur. Et la cerise sur le gâteau se dit elle, cela risqué de faire parler la cour et pour une fois qu’elle l'aurait fait exprès, elle s’en réjouissait d’avance. Elle fit donc appeler Angharad, qui ramena rapidement une multitude de robe.
« Je n’ai pas bien compris la demande de Madame, je me suis permise de ramener de multiple choix, même des robes que vous aviez étant princesse »
« C’est une excellente idée mais je ne suis plus une jouvencelle »
« Que Madame me permette cette réflexion, mais vous avez perdu un peu de poids suite à votre aventure dans la forêt »
« Vous avez raison mais j’ai gardé des formes que je n’avais pas étant jeune fille »
« De très jolie forme ! » dit la servante au plateau
« Mais pourquoi vous êtes encore là avec votre plateau, vous devriez déjà être de retour en cuisine, vous n’avez rien à faire dans les appartements de Madame »
« Non mais laissez là Angharad, elle attend Arthur »
« Mais Madame le Roi a déjà pris son petit déjeuner dans la salle »
« Ah bah vous voyiez vous pouvez partir Nessa »
« Ah non il va encore me crier dessus, une fois je lui repris le plateau et il a rouspété »
« Arthur rouspète tout le temps alors ça va rien changer ! »
Pourtant Nessa ne bougea regardant amusé la Reine essayer plusieurs robes différentes. Guenièvre finit par jeter son dévolu sur robe simple qui souligné parfaitement son buste, les épaules nues, elle était à la fois jolie et désirable.
« Bon parfait celle-là me ressemble plus »
« Vous êtes sur ma Reine, elle et quand même très serrée au niveau de la poitrine et beaucoup décolleté, ce n’est pas vraiment le genre de tenue que Madame porte habituellement »
« Bah justement ! je préfère ce type de robe »
« Votre mère risque de ne pas apprécier votre initiative »
Avec un grand un sourire, la Reine tourna sur elle-même, réellement ravie de porter enfin quelque chose qui lui plaisait.
« Bah tant pis ! Elle fera avec ! Tout le monde fera avec voilà c’est dit !»
Ce n’était plus qu’une simple euphorie, elle était bien, totalement en accord avec elle-même. Elle ferait ce qu’elle voudrait quand elle le voudrait. Elle était tellement transparente d’habitude, que là tout de suite elle voulait dire et faire ce qu’elle avait toujours voulu.
« Angharad arrêtez de faire les gros yeux, allez plutôt vous occuper de votre fiancé enfin fiancé je m’entends, d’ailleurs qu’est ce que vous attendez pour qu’il devienne vraiment votre fiancé »
« Disons que c’est plus compliqué qu’il n’y parait avec le seigneur Perceval nous entretenons il me semble une relation courtoise mais il me parait toutefois que nous nous dirigeons vers la bonne direction »
« Dans dix ans vous y êtes encore, je ne suis pas la mieux placé pour vous donner des conseils mais je vais lui parler, c’est beaucoup trop long ! »
Elle sorti en trombe de la chambre laissant les deux femmes estomaquées par son aplomb. Elle se dirigea d'un pas rapide vers la cour sans vraiment trop savoir ce qu’elle allait pouvoir dire au chevalier mais persuadé que si elle lui parlait simplement elle pourrait débloquer une situation qu’il n’avait pas lieu d’être. A défaut d’être elle-même heureuse dans son couple, elle ferait tout pour que sa suivante le soi.  
Dans la cour se trouvait son mari qui houspillait aprés les seigneurs Karadoc et Perceval, la Reine sourit contente d’avoir trouvé le chevalier aussi rapidement.
« Non mais ça fait un quart d’heure que je vous explique la même chose et je n’ai pas le temps à perdre avec deux abrutis qui pige que dalle à ce que je leur raconte ! Alors vous allez ouvrir grand vos écoutilles ! »
« Mais du coup on est un clan autonome on a plus besoin de vous obéir non, c’est pas un peu le concept »
Arthur était hors de lui, quelle perte de temps, il était Roi bon sang ! Il sorti excalibur de son fourreau et brandit l’épée devant les deux hommes en hurlant.
« Je suis le Roi et vous voyez ça ! » dit il en le mettant l’épée flamboyante sous le nez «  ça c’est excalibur qui fait de moi le chef suprême donc clan autonome ou pas vous prenez trois secondes pour m’écouter »
Il n’avait pas entendu Guenièvre arrivée, il fut donc surpris quand elle posa sa main sur son bras en signe d’apaisement. Sursautant légèrement au contact de cette dernière. 
« Oh mais vous n’allez pas nous la sortir dès que quelque chose vous contrarie mon ami on va finir par croire que vous avez des complexes »
Elle se pencha à son oreille et lui murmura doucement pour qu’il soit le seul à l’entendre
« Ah mais c’est peut-être pour ça ! vous avez un complexe en même temps je suis la moins bien placé pour soutenir le contraire »
Les joues du Roi virèrent aux rouges, muet par l’audace de sa femme, elle n’avait quand même pas osé lui dire ça, elle avait bien sous-entendu ce qu’il venait de comprendre. Son regard espiègle le transperçait de toute part et son petit sourire mutin lui donnait des frissons. Il l’examina de la tête au pied, elle était magnifique et même beaucoup trop désirable dans cette tenue, il eu un coup de chaud.
« Seigneur Perceval, il faut absolument que je vous parle »
Elle avait lâché le bras de son mari pour prendre celui du chevalier et l’entraina avec elle au loin sans se soucier nullement de ce que pouvait penser les autres, et en particulier son mari.
« Je vous le rend après ! Ne vous inquiétez surtout pas vous pourrez continuer à leur hurler dessus, comme d’habitude quoi ! »
Arthur était totalement abasourdi par le cran de sa femme et il était resté là, la bouche ouverte.
« Qu’est ce qu’elle vous a dit ? »
« La ferme Karadoc »
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englishindubellay · 13 days
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ecg 1
Les deux présents
Jeanne vient de commencer des cours du soir. Elle apprend le russe. C'est pas du gâteau. (l’ex-URSS, la place Rouge, le président Poutine)
Malo m'a dit que la population mondiale augmente rapidement. Si c'est vrai, c'est inquiétant. (le taux de natalité, le vieillissement de la population, un nouveau-né)
Et Lise m'a dit que la population mondiale augmente d'environ 200 000 personnes tous les jours. Je n'arrive pas à y croire. Nous allons dans le mur.
Flore peut éteindre la radio. Nous ne l'écoutons plus. Les jeunes n’écoutent pas la radio de nos jours ? (une chaine de radio, un présentateur radio, une bulletin d’information, une émission de radio)
Elia, quant à elle, n'écoute jamais la radio. Elle n'écoute que des podcasts sur l'économie. 
Tout le monde sait que Elhio joue au tennis. Si tu veux savoir où, demande-lui le nom de son club. C'est l'académie de Daniil Medvedev à Monaco. (un concurrent, un filet, un tournoi, un arbitre (au tennis))
Antonin m'a dit que les J.O se tenaient tous les quatre ans (sauf quand il y a une pandémie). Comme il est intelligent !(l’hymne national, un médaillé d’or, le classement)
Axel m'a dit que la bibliothèque universitaire ferme à 22H15 tous les soirs. Comme c'est pratique ! (emprunter, un abonnement, une librairie)
Dis-moi Brieuc, tous les combien vas-tu (to visit) chez le dentiste ? Jamais ? Tu as de la chance ! (une dent de sagesse, a decayed tooth, the tooth fairy, a sweet tooth)
Alexandra ne boit pas beaucoup de thé. Elle préfère une bonne pinte de bière, je crois, en particulier une bonne pinte de bière anglaise. (to go pub-crawling,to play darts, to order)
Marie-Lou n'est jamais satisfaite. Elle se plaint toujours. C'est barbant ! (to file a complaint, une barbe, de la barbe à papa)
Pénélope va toujours au lycée à pied. C'est pour ça qu'il n'est jamais en retard. (to drive to school, to drop out of school, the schooling)
Paul pense à aller en vacances à l'étranger, peut-être dans un pays anglophone comme garçon au pair.(le Pays de Galles, l’Irlande du Nord, l’Ecosse, les Iles Anglo-normandes)
Colyne pense qu'Angers est une très jolie ville. Elle aimerait bien y vivre plus tard et y acheter une maison. (au centre d’Angers, le maire, a city-dweller, la mairie)
S'il te plaît Elia, ne range (to put away) pas le dictionnaire. Je l'utilise et j'en ai besoin. (ranger sa chambre, chercher un mot, traduire)
Comment ça va, Sacha? Pas très bien. Je crois que je suis malade. J'ai mal à la gorge. (a tablet, a GP, a toothache, to have a frog in one’s throat)
Anne-Marie ne comprend pas pourquoi Anissa est si égoïste. D'habitude, elle n'est pas comme ça.
Alan ne pense jamais aux autres. Il est très égoïste. Je ne suis pas du tout d'accord, c'est un gars extrêmement généreux.
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yappingneurodivergent · 3 months
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17 juin
Stream d’amine sur Detroit becomes human
C’est trop dur de ne pas travailler, je dois accepter ne rien savoir et ne rien vouloir et ne pas avoir d’authenticité, c’est trop craignos…
Je me connais même pas assez pour oser me détester, je pense que si j’étais plus self-aware j’aurais pu me détester et être plus réaliste dans ma vision des choses. Cette semaine je vais essayer de + m’introspecter et fouiller dans les abysses de mon passé.
J’ai fini le chapitre 5 de Boy’s Abyss et je pense a Black Mirror et Elias
Le corps est réellement un habit plus qu’avantageux.
Objectif de cette semaine :
- Manger peu et faire du sport et des étirements pour maigrir
- gamberge et introspecter sur moi même
- Check ma façon de m’exprimer et mes manières
- Arrete de scroll sur les réseaux, trier
- Découvrir de nouveaux artistes et sons
- Lire des livres
- finir Kara no Shojo
- Trier mes habits et ma chambre et être minimaliste
- Revoir ma skincare, me raser, mettre de la crème sur mon corps
- Dents, nez, lentilles
- Ariel toileteur
- Voir sujets qui m’intéressent et me renseigner
- Pinterest / Image dump pour créativité et style
- Yapper sur tumblr TOUT les jours même si c pour écrire de la merde
- Moulax
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hermie62 · 10 months
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Bien le bonsoir, chère hermie62 ! Je suis ton Secret Santa pour le SSK de cette année 🎅🏻🎄 J'ai bien reçu la liste de tes préférences (Arthur/Guenièvre, Merlin/Elias) et que tu souhaites quelque chose de doux pour la saison. Dis-moi, as-tu d'autres préférences ? Je pense déjà savoir quoi te concocter avec ce qu'on m'a donné, mais peut-être peux-tu m'en dire plus ? Y-a-t-il d'autres personnages que tu aimes, voire des genres ? Est-ce que tu apprécies les fics légères/humoristiques, les hurt/comfort ou peux-être veux-tu surtout du bon fluff pour réchauffer nos petits coeurs en cette saison froide ? Dis tout à ce petit lutin qui souhaite mieux cerner tes préférences pour la confection de ton cadeau dans son petit atelier. Sinon, nous y sommes ! 1er décembre ! As-tu déjà préparé les décorations de la maison, sorti le sapin ou même ouvert la case de ton calendrier de l'avent (si tu en as un) ? Je ne t'embête pas plus pour aujourd'hui, je te souhaite d'avance un bon week-end et je te dis à très bientôt 👋🏻
Coucou mon secret Santa ! Ça me fait très plaisir d'avoir de tes nouvelles. Je ne suis pas très exigeante, je suis très contente de recevoir quelque chose ! J'aime beaucoup les quiproquos, les petites disputes mais qui finissent bien quand même donc on peut dire qu'un peu de hurt/confort peut me plaire du moment que ce n'est pas une question de vie ou de mort.
Je ne fais pas de décoration chez moi cette année car je serai en vadrouille tout au long du mois de décembre. Je suis un peu perdue dans ma vie en ce moment à cause du travail qui a pris toute mon existence. Encore une semaine et j'aurai enfin mes vacances. Mais j'ai bien ouvert mon calendrier de l'avent !
Je te remercie beaucoup pour ta sollicitude secret Santa 🎅 ! J'espère que tu passeras un très agréable mois 🥰
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wengenn · 1 year
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Je viens de revoir Kaamelott 1er volet ! Et je me suis fait plusieurs réflexions, que je vous offre en vrac :) (/!\ évidemment spoilers /!\)
Déjà. Première remarque, et selon moi la plus "importante" : YVAIN WHERE ????? Nan mais pour de vrai, il est pas en Carmélide avec ses darons, il est pas non plus avec Bohort et Gauvain ?? Y-VAIN-WHERE ! Oubli dans le scénario ? Refus de Simon Astier d'être dans le film ? Mort du personnage ??? il est même pas mentionné !!!??!"!'?-€)2-_)#+28_;#8 Y'a de quoi se poser des questions quand même >:/
Selon moi, c'est pas la seule chose qui manque à ce film. J'aurais aussi beaucoup aimé voir des scènes de retrouvailles, déjà entre Guenièvre et ses parents -bon d'accord y'en a une, mais c'est plus des retrouvailles "générales" donc ça compte pas. :) Ensuite une scène avec Merlin et Elias !! Oui. même si bon, là c'est purement personnel parce que j'adore ces deux là. Mais quand même !! Et entre bohort et léo aussi ! En fait, une scène avec tous les personnages dans la même pièce. Sans forcément de dialogues entre chacun d'entre eux, mais juste une scène pour les voir tous ensemble, au moins une fois, puis laisser l'imagination faire le reste. Mais y'a BEAUCOUP de personnages dans KV1. En plus de ceux qu'on connaissait déjà, y'en a une bonne dizaine de nouveaux, donc c'est pas évident de tous leur donner leur moment- sachant que le film dure déjà deux heures.
Et en fait, le film est avant tout centré sur Arthur, ça se voit très clairement. Donc je pense que c'est normal, si on a pas ces fameuses scènes de retrouvailles.
Pour passer sur des points plus positifs : J'ai vraiment adoré le film. Rien que le début ! Le son de la corne au début du film ! Ça aurait pu ne pas y être, ça aurait rien changé en soit. Mais c'est un petit détail qui donne le sourire d'entrée de jeu ! Un autre détail super touchant, qui est peut être pas fait exprès mais je pense que si quand même : Lors de l'évasion des résistants grâce au réseau souterrain, alors qu'Arthur est endormi depuis sa capture par les saxons à Gaunes. La première personne qu'il voit, lorsqu'il se réveille : c'est Merlin !! C'est celui qui est à l'origine de toute son histoire en tant que roi de Bretagne ! Et lui aussi qui lui permet du coup de pas crever avec les autres par Lancelot ! :D merci de donner à merlin de la reconnaissance putain. he deserves it <3
En revenant au tout début du film, le premier personnage connu qu'on voit c'est Venec ! LE Venec qui a permis à Arthur de s'enfuir à la fin du livre 6 ! Et pour ajouter à ça, c'est lui aussi qui lui permettra de s'enfuir de sa condition d'esclave ; là aussi je trouve ça dommage qu'il ne revienne pas après dans le film. Même si là encore, ç'aurait été compliqué à placer. Mais Venec il carry de fou ! Merci de lui donner de la reconnaissance à lui aussi. C'est pas le personnage le plus moral, mais c'est de loin l'un des plus fidèles à Arthur, bien au dessus d'autres. *tousse* genre karadoc *tousse tousse*
Et évidemment, le premier personnage qu'Arthur retrouve après le Duc d'Aquitaine, et mis à part Gauvain et Lionel qui sont des cas un peu particuliers, c'est notre cher Bohort. Celui qui lui est resté fidèle du début à la fin, celui qui a fait face à son cousin pour essayer de protéger Arthur, même en sachant qu'il n'avait aucune chance. Notre cher Bohort dont l'évolution est putain de visible, évidente ! Le mec organise la résistance ! Encore contre son cousin le dictateur !!!€!-"(#;4;_ Bohort est l'un des personnages qui selon moi, n'a pas assez de reconnaissance pour le chemin qu'il a parcouru. Comme Merlin en fait.. "On peut douter de tout, sauf de la nécessité d'être du côté de l'opprimé". Can relate.
La visite de la soeur de Léodagan m'a aussi évidemment fait penser au seul moment de la série où elle est mentionnée : Guenièvre parle de comment quand Léo va pas bien, il passe quelques jours chez elle en Carmélide puis en revenant tout va mieux. C'est une assez drôle coïncidence que l'une des seules et apparemment très rares fois où elle vient le voir, il retrouve aussi ses adorés engins de siège (d'ailleurs cette scène >>>). Entre ça et le fait qu'elle pratique l'hydromancie, je me demande si la madame aurait pas un peu plus que des notions de base en terme de magie..
Et pour continuer dans les théories, on passe maintenant à la toute fin du film : le sauvetage d'Arthur après son combat contre Lancelot. (lequel le traité d'incapable alors que c'est lui qui prend la fuite bref........) Meghan. Prend. L'épée. Par. La. Lame. Soit c'est pour montrer qu'elle est pacifiste ou pas à l'aise avec la violence ou simplement pas entraînée au combat, SOIT. Parce que faire tenir Excalibur par quelqu'un d'autre poserait problème. Pourtant, on sait qu'elle ne flamboie que si elle reconnaît la destinée de son porteur. Meghan ?? Aurait-t-elle un destin incroyable ??? Développé dans les prochains films ???? Et le fait que la caméra se concentre particulièrement sur elle lorsqu'elle sort de la salle ??????? Sachant qu'en plus, c'est la première femme à la tenir, cette épée, de toute la série c'est pas arrivée une seule fois. Même la dame du lac elle l'a pas fait oh !!!! Voilà. Peut être que c'était juste un détail osef, mais un brin de réflexion fait pas de mal.
Lamorak à la table ronde. That's it that's the tweet.
Elias qui balance des mini sorts à la fin quand ils crament leur potager. well that's cute.
En sortant un peu de la review de film, je trouve ça assez intéressant de pas avoir fait essayer à Perceval de retirer l'épée, ni de la lui faire tenir quand elle a perdu ses flammes. Parce qu'honnêtement, je pense que ça aurait réussi. But who knows ?
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rainbowd4she · 6 months
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“ONE WEEK, ONE PROMPT” CHALLENGE, WEEK 2 - 10 AVRIL 2024 : SYLVIA PLATH
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POV Will (1181 mots)
“Elias, 
On ne s’est pas vus depuis plusieurs mois déjà, alors je suppose que cette lettre devrait commencer par ça : comment vas-tu ? Puisque tu ne la liras jamais, n’y répondra jamais non plus, je ne vois pas trop l’intérêt de poser la question. C’est simplement que je ne sais pas comment faire ça. T’écrire. C’est une idée d’Abrams, tu t’en doutes. Elle ne sait pas pour les messages vocaux que je te laisse presque tous les soirs, évidemment. Si elle se doutait un seul instant de la façon dont je te harcèle sans cesse, elle me ferait sûrement interner. Elle ne sait pas que c’est grâce à ça que je tiens bon. Parce que j’entends ta voix, chaque fois que j’appelle, même si ce n’est que pour un instant. Parce que j’appelle sans arrêt et que tu n’as toujours pas fait couper la ligne. J’imagine qu’une part de moi s’accroche inlassablement à cette réalité : tu n’as pas coupé la ligne. Est-ce que ça veut dire que tu attends mes messages, d’une certaine façon ? Tant que tu ne réponds pas, je peux imaginer ce que je veux. 
Bref, Abrams… Elle m’a donné ce conseil stupide. T’écrire une lettre. Plusieurs lettres, peut-être. Pour te dire ce que j’ai sur le cœur. Toutes ces choses que je ne pourrais jamais te dire en face. Je ne sais même pas pourquoi je fais cet exercice stupide alors que je t’ai parlé hier. Enfin, parlé… Tu sais. Peut-être parce qu’il y a quand même des choses que je ne dis pas au téléphone. Des mots qui restent coincés dans ma poitrine, que je ne peux pas t’avouer. Ni à moi, pour ce que ça vaut. 
Je t’aime toujours. Et tu me manques encore. Tout ça, tu le sais. Et je crois que tu le ressens aussi, parfois. Après tout, à quoi ça pourrait bien te servir d’avoir un téléphone américain, sinon ? Je t’aime, tu me manques, et je ne crois pas que je pourrais arrêter un jour. Je te jure que j’essaye. Je sors. Je vois mes parents, mes amis. J’ai des amants, parfois. Je crois bien que je sors avec quelqu’un, en fait. Je ne t’ai jamais dit ça dans mes messages, je sais, je suis désolé. Ce n’est vraiment rien de sérieux et si tu décidais de revenir tout à coup, le choix serait vite fait entre lui et toi… Mais ce n’est pas l’important. Ce qui me ronge, ce que je ne te demande jamais quand je t’appelle, c’est pourquoi ? Non, pas ça. Je sais pourquoi tu m’as quitté. Je sais pourquoi tu es parti vivre à l’autre bout du monde dans l’espoir de m’échapper. Mais… Est-ce que c’était vraiment si terrible, toi et moi ? Moi, surtout, je sais bien. Je sais que je suis difficile à vivre, que je te fais mal sans arrêt sans le vouloir, parfois même sans m’en apercevoir. J’ai toujours cru que tu savais, en retour, que ce n’est pas vraiment méchant, pas vraiment toi le problème. Que certaines habitudes sont difficiles à perdre. Que j’ai du mal à te comprendre, parfois, que j’ai du mal à gérer les choses qui font mal. Et c’est dur, bien sûr. Quand ça ne va plus, quand on se déchire et qu’on se blesse, c’est tellement dur. Mais ça en vaut la peine, pas vrai ? Toi et moi, ça vaut toutes les douleurs du monde. Parce que tu es mon meilleur ami, mon âme sœur. Parce que même quand ça devient vraiment laid, tu me connais, tu sais qui je suis derrière le masque et les mots durs. Alors on s’accroche. On se fait un peu mal, et on se pardonne. 
C’est ce que je croyais, avant que tu ne partes. Un peu après, aussi. Seulement, j’imagine qu’on a tous nos limites. Que personne ne peut endurer à l’infini. Et j’espère que tu te sens mieux, maintenant. Que sans moi, tu peux respirer à nouveau. Je te jure que je le pense. Je n’ai jamais voulu que ton bonheur. Je croyais qu’on était heureux, tous les deux. Je repense sans arrêt aux bons souvenirs, à ce que ça faisait de t’avoir près de moi. Sauf que maintenant, ça n’a plus vraiment la même saveur. Je me demande toujours si tu as vécu chaque souvenir comme moi, finalement. Souvent, j’ai bien peur que non. 
J’avance aussi, tu sais. Je crois qu’une partie de moi sera toujours un peu brisée, mais j’ai changé. Je me sens mieux. Je ne fais plus tellement mal aux gens autour de moi. Je voudrais que tu puisses le voir. Je voudrais que t’en aies envie, et que tu te rendes compte que je m’améliore. Que ça te donne envie de revenir. Je ne le fais même pas pour toi, c’est le pire. Je veux juste que tout rentre dans l’ordre. Et que, peut-être, un jour, je sois suffisamment guéri pour rencontrer quelqu’un d’autre. J’aimerais tellement que tu reviennes, mais après tout ce temps, ces tentatives sans succès… Je commence à accepter l’idée que ça n’arrivera probablement pas. Oh, ça me brise le cœur chaque fois que j’y pense, mais c’est comme ça. Je commence même à y penser sérieusement. Signer les papiers du divorce. Je vais le faire, je te le promets. Bientôt. 
Je veux que tu sois heureux, Elias. Je veux que tu sois la personne la plus heureuse de cette foutue planète. Et je vois bien que tu y arrives parfaitement sans mon aide. J’espère pouvoir en faire autant bientôt. En attendant, s’il y a eu quelque chose de bien entre nous, penses-y parfois, d’accord ? Fais-le pour moi. Je sais que tu ne me dois rien, mais j’espère que tu en auras envie. Pour toi, peut-être. Parce que même si elle t’a fait souffrir au point que t’aies dû partir sans regarder en arrière, je crois que cette histoire a compté pour toi aussi ? Et ce serait vraiment tragique si tu n’en gardais rien de bien. 
À toi pour toujours, 
Will. ”
Quand il repose enfin le stylo, sa main le fait souffrir. La lettre n’est pourtant pas très longue, mais il n’a jamais tenu un stylo aussi fort. Trop peur que ses doigts tremblent, sans doute. Il souffle doucement sur la feuille de papier pour s’assurer que l’encre soit bien sèche avant de la plier soigneusement, puis de la ranger dans une enveloppe assortie. De son écriture élégante, il inscrit “Elias” au centre de l’enveloppe, et la pose bien à plat au milieu du bureau. Le Docteur Abrams ne lui a pas dit ce qu’il était censé en faire après l’avoir écrite. Ne pas l’envoyer, d’accord, mais quoi alors ? Un moment, il la regarde fixement. Comme s’il espérait que quelque chose ait changé, peut-être. Ce n’est pas le cas. Cette affreuse douleur dans sa poitrine lui paraît même un peu plus vraie. Il croit avoir le cœur littéralement brisé. Alors il ouvre le premier tiroir du bureau qui lui passe sous la main et pousse la lettre dedans, le referme très vite. Ça fait toujours mal. Il commence à croire que ça fera toujours mal.
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overnightho · 7 months
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Vers 3h du matin,
Mon monde ne s'est pas effondré, pas encore, j'ai reçu ce fameux message, celui ou j'ai appris que "nous" n'existait plus désormais, le fait que je ne reçoives aucun message hormis celui qui me confirmait que je sortais officiellement de ta vie aurait dû me servir d'indice. De mon côté, il reste encore 24 jours à mes photos pour disparaitre, c'était la meilleure chose à faire, j'imagine.
A mon grand damne, je suis naïve, je ne parle pas de cette naïveté charmante qui peut plaire mais celle brute, qui fait qu'on a toujours confiance en ceux que l'on aime, qu'on les croit sur paroles y compris lorsque les gens ne nous aiment pas en réalité.
Je passe le plus clair de mon temps à réfléchir à à peu près tout d'ailleurs et je crois qu'il y a une vérité que j'ai envie de rétablir au moins ici en ce qui concerne le 2nd "A" sans pour autant avoir envie de lui en faire part. Nous avions discuté il y a quelques jours de cela E et moi même au sujet de A et il m'a dit que lorsqu'il m'avait confié que A avait tenté de mettre fin à ses jours, je lui avais dit que si il lui reparlait, je choisirais de le quitter et cette déclaration a poussé E à choisir la rupture. Je ne nierais pas le caractère cruel de cet ultimatum mais l'histoire n'est pas complète et j'en suis quelques peu agacée à vrai dire. Pour commencer, je voudrais souligner le caractère hypocrite de la démarche, E n'a jamais cessé de parler avec A derrière mon dos et a continué de me mentir dans les yeux quand en réalité il n'a jamais été capable de me choisir. La seconde chose que je souhaiterais ajouter c'est que le lendemain, E m'a trouvée étrange, muette, ce qu'il ne sait pas c'est que ce silence était dû au fait que la déclaration m'a en réalité bien plus affectée que je ne l'aurais souhaité et que j'avais besoin de réfléchir à ce que je venais d'entendre, les raisons de son geste, j'ai même envoyé des messages à mon plus cher ami afin de savoir si je devais envoyer un message à A pour prendre de ses nouvelles, cet ami m'a dit de ne pas le faire. Je souffre d'avoir été jugé trop sévèrement pour des paroles qui n'ont été engendrées que par un désir de protection égoïste.
Je ne pense pas que tu liras ces lignes Elias mais si c'est le cas, cela n'est pas une version édulcorée de la réalité afin de te rassurer ou te plaire, c'est la stricte vérité. J'ai versé des larmes pour lui, je me suis sans cesse remise en question sur la raison pour laquelle je te demandais de prendre tes distances. Je souffre que tu fasses une croix sur moi en supprimant nos photos lorsque tu n'as jamais supprimé les siennes, je souffre que tu m'ai bloqué quand as préféré baser notre relation sur un mensonge plutôt que de le perdre.
Je n'ai pas de haine mais il est certain que je ne chercherais plus jamais à te reconquérir, je ne te veux plus jamais de cette manière.
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