#Elections municipales de Grenoble
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Métropole : la bataille des indemnités : avec la candidature d'Eric Piolle à la présidence de la Métro en mars 2026, démarche supposée facilitée par la diminution du nombre des représentants de Vif, Varces, Claix, Vizille, Seyssins, Gières, Domène, La Tronche, St Martin le Vinoux, c'est aussi une bataille des indemnités permettant à des élus de devenir des professionnels de la politique.
Pour rappel :
- un conseiller métropolitain sans aucune autre fonction = 845 € par mois
- un président de
commission = 1 127 € par mois
- un conseiller délégué =1 627 € par mois
- un vice-président = 1 690 € par mois
- le président de la Métro = 4 508 € par mois
Mais à ces indemnités de base s'ajoutent des indemnités pour des fonctions complémentaires comme par exemple :
- président d'une SEM = 500 € par mois
- vice-président d'une SEM = 375 € par mois
- nomination Sdis (VP) = 704 € par mois
- ...
Pour indication pour le Maire de #stpaulde varces, indemnités globales = 2 335 € par mois (depuis 2022 donc aussi actuellement).
Pour rappel le SMIC est à 1 426 € nets mensuels. Et pour rappel les indemnités avaient vocation historiquement à indemniser le temps passé à côté de l'emploi professionnel extérieur à la politique....
Pour ces montants là, à noter la docilité des électeurs à solliciter souvent des réponses que les élus qu'ils payent ne leur donnent même pas.
Le changement du nombre des élus va ouvrir l'espace pour des nominations avec les indemnités correspondantes !
29/10/2024
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via Die Tiroler Grünen | 🇫🇷 #Frankreich wird #Grüner. 🥳💚 💬 „Das Netzwerk der Grün-regierten Städte wächst. 2014 war unsere Partnerstadt #Grenoble die erste französische Stadt mit über 100.000 Einwohner*innen, die einen Grünen zum Bürgermeister gewählt hat. Letzten Sonntag wurde nicht nur Éric Piolle auf Anhieb wiedergewählt, das ganze Land wurde bei den #Kommunalwahlen von einer grünen Welle erfasst,“ freut sich unsere 🇪🇺 Europasprecherin Marcela Duftner. 🙌 🗳 Wenn auch noch in einigen Gemeinden das Endergebnis aussteht, ist es schon klar, dass in Städten wie #Lyon, #Straßburg, #Besançon, #Marseille, #Bordeaux Tours, #Annecy, #Poitiers ein Richtungswechsel ansteht. Ein besonders wichtiges Wahlergebnis für den #Klimaschutz! 💚🌎 💚 Das freut auch unseren Bezirkssprecher Thomas Lechleitner: 💬 „Wir Innsbrucker Grünen gratulieren herzlich unseren französischen Mitstreiter*innen zu diesem phänomenalen Erfolg." 🥳 Grafik: https://www.francetvinfo.fr/elections/municipales/resultats-des-municipales-2020-lyon-bordeaux-strasbourg-une-vague-ecologiste-deferle-sur-les-grandes-villes_4019095.html https://www.instagram.com/p/CCIXwkplhcq/?igshid=1qvunvyudu2cy
#frankreich#grüner#grenoble#kommunalwahlen#lyon#straßburg#besançon#marseille#bordeaux#annecy#poitiers#klimaschutz
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... Au-delà des agitations ponctuelles, la vraie question de fond dans cette campagne va résider dans deux marqueurs : - volonté de dégagisme ou pas ? Si une volonté populaire de dégagisme s'installe, elle modifiera considérablement la donne face à toutes les personnes qui ont pu "incarner le système sortant" de près ou de loin, - vers une élection référendaire ? Et si oui, quelle question principale va alors mobiliser les esprits, s'installer en tête des attentes et structurer en conséquence les votes ? Ce sont les deux seuls marqueurs généraux du ... : pour prendre connaissance de tout l’article, cliquer sur le lien suivant : Grenoble décision 2020.
03 juillet 2018
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... 5) La soumission d'élus municipaux à des règles à l'opposé de leurs engagements électoraux en mars 2014 : ils ont souvent été élus pour un plan A et ils mettent en oeuvre un plan B à l'opposé du plan A. Pourquoi ? Qu'est-ce qui a pu les pousser à une telle contradiction puis à une telle soumission au sein des instances intercommunales ? Cette question a créé un réel divorce dans de nombreuses Communes et parfois même au sein des équipes municipales sortantes. Avec 5 griefs de fond de ce type, le PLUI est voué à alimenter de très nombreux débats dans l'agglomération grenobloise. Pour accéder à la totalité de l’article, cliquer sur le lien ci-dessus sur fond bleu en tête de l’article.
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Elections municipales 2020 : découvrez les secrets des messages délivrés par Bernard Accoyer dernièrement à destination des Grenoblois ou quelle droite locale à 820 jours des prochaines élections municipales ? : si les élections sur Grenoble se vivent comme ce fut le cas depuis 1995, tous les habitants de la Métropole en dehors des seuls grenoblois deviennent les otages d’un jeu politique suicidaire de la droite grenobloise. La Ville de Grenoble “fait la majorité” à la Métro. Si la Ville de Grenoble n’est pas capable de vivre un débat démocratique de qualité, c’est tous les autres citoyens de l’agglomération qui vivent les impacts de cette réalité. Sur le fond, quels sont les messages passés dernièrement par Bernard Accoyer aux grenoblois ? Pour l’essentiel, ils sont au nombre de 5. 1) Le sort des Grenoblois intéresse aussi les habitants d’Annecy le Vieux, ville où Accoyer réside et a été longtemps maire. Imagine-t-on désormais le contraire ? Que des élus grenoblois disent aux habitants d’Annecy le Vieux pour qui ils doivent voter ou pas ? Chacun trouverait cette situation incompréhensible, traduisant une ingérence intolérable. Que cette barrière saute dans les usages montre, si besoin était, la fragilité de la situation de la droite grenobloise qui s’est prêtée depuis 1995 à des influences extérieures au gré des divers rapports de forces. 2) Est-ce une “première” de la part de Bernard Accoyer ? Non. En 2014, lors de la commission d’investiture de l’UMP, il a défendu la candidature de
Mathieu Chamussy. Des membres de notre association ont reconstitué cette séance du mercredi 27 novembre 2013 à la minute près. La salle qui se vide après une discussion très animée sur Cannes. Jean François Copé qui prend la parole. Le SMS qui arrive de Xavier Bertrand supposé présenter et défendre la candidature de Catherine Ostin, également soutenue par Michel Hannoun. Mais Xavier Bertrand annonce surtout qu’il sera ... absent. Jean François Copé qui passe la parole à Alain Carignon en qualité d’ancien maire de Grenoble. Celui-ci prononce un nom féminin qui est immédiatement et fermement récusé par ... Bernard Accoyer avec des motifs explicites ... “exotiques”. Et Accoyer propose le nom de Mathieu Chamussy qui est accepté par Alain Carignon dans la foulée immédiate. Dans le “feu de l’action”, un quotidien régional faisait alors état épisodiquement de “révélations par une gorge profonde”. Il parait établi que la “gorge profonde” était Dominique Bussereau, alors filloniste bon teint (comme Bernard Accoyer nommé à son actuel poste par François Fillon le 29 novembre 2016), levant le “secret” de la commission dès l’instant que cela était de nature à avantager ... Mathieu Chamussy.
Que donne le choix de Bernard Accoyer ?
- 1995 : la droite fait 31 % au 1er tour sur Grenoble
- 2001 : la droite fait 34 % ¨au 1 er tour sur Grenoble,
- 2008 : la droite fait 28 % au 1er tour sur Grenoble (en pleine vague rose),
- 2014 : la droite fait 20 % au 1er tour sur Grenoble (en pleine vague bleue !) quand Bernard Accoyer a choisi la tête de liste sur Grenoble !.
Voilà “l’efficacité “des choix de Bernard Accoyer pour Grenoble !
3) Des départements voisins de droite ont-ils intérêt à parier sur la faiblesse de Grenoble ? Oui ! Et en coulisses, plusieurs d’entre eux ne se gênent pas pour le dire. Avec l’évolution de plus en plus partisane des subventions, une ville de droite de moins c’est autant de subventions de plus à se répartir pour les autres villes de droite de la région Auvergne Rhône Alpes.
4) En l’espèce, en plus de ce constat, il y a un facteur qui mérite une attention particulière. Bernard Accoyer s’occupe de Grenoble de longue date compte tenu de liens amicaux étroits avec Max Micoud connu lors d’années d’études de médecine. Or “l’agent électoral” traditionnel de Mathieu Chamussy, c’est d’abord Max Micoud. Ce sont des personnes de 75 ans à 80 ans qui restent à la manoeuvre pour indiquer qu’il y a des âges où il faut savoir ... “laisser la main”. C’est une dimension atypique de l’opération qui lui donne un côté humoristique pittoresque. Une droite dont bon nombre des responsables locaux, fillonistes très engagés, devraient des explications sur les révélations du livre de Stéfanini qui bat actuellement des records de ventes.
5) Cette étape ouvre surtout un pré-sprint sur Grenoble à 820 jours des prochaines élections municipales. La droite a ses problèmes à régler comme chaque autre composante. Pour Eric Piolle, il s’agit de faire vivre une nouvelle génération capable d’accréditer l’idée que des inflexions sérieuses peuvent être données sur des sujets qui ont impacté négativement son mandat comme l’insécurité. Eric Piolle ne manque pas d’atouts. Les conseils de quartiers, les budgets participatifs ont fait naître un vivier de talents susceptibles d’être mobilisés avec efficacité.
Pour le PS, c’est l’inconnue totale. Sans leader local. Des troupes très faibles. Si une union large des gauches règne sur le plan national, comment le PS local pourrait-il alors se dissocier de cette ligne face à la seule municipalité Verte d’une ville de plus de 100 000 habitants ? Quasi-impossible sans faire vivre un casus belli national sérieux.
Pour le parti présidentiel En Marche, la naissance très soudaine des députés La République en Marche, à l’exception d’Olivier Véran, prive ce parti de “locomotives” installées. Et si le PS reste ancré à un pole traditionnel des gauches tandis que la droite reste dans une logique d’opposition classique, l’espace risque d’être fragile. Pour que le parti présidentiel trouve un espace local, il faut plusieurs conditions pratiques :
- qu’il installe rapidement un leader confortant sa notoriété personnelle (Stéphane Gemmani ou Emilie Chalas qui se positionne manifestement dans cette perspective également),
- que ce leader parvienne à détacher une partie du PS de tout ancrage dans la gauche traditionnelle. De même pour une partie de la droite et en ajoutant un pole société civile. Cela fait beaucoup de conditions pour une nouvelle donne locale ... Chaque semaine qui passe sans que ce “travail d’Hercule” ne soit engagé rend la tâche de plus en plus difficile.
Pour la société civile, il faut tirer les leçons des scrutins passés. Sans la participation d’un parti politique traditionnel dans une liste conduite par un membre de la société civile, l’opération est très délicate. Ce qui explique probablement qu’actuellement des candidats potentiels société civile sur Grenoble semblent opter pour une candidature sur des lieux autres que Grenoble à partir d’une résidence principale ou secondaire.
Ces constats montrent aussi que cette période qui s’ouvre n’est pas nécessairement défavorable au pouvoir sortant. C’est “l’étape des comparaisons” qui s’ouvre. Dans cet esprit, c’est une question différente qui naît : “changer oui ? Mais pour qui d’autre ?”. Et c’est l’étape de la construction du “qui d’autre” qui va s’engager à partir du 1er trimestre 2018.
16/12/2017
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Denis Bonzy et Denis Payre en tête des participations de citoyens à une réunion publique : pour le moment ils ont été les seuls à remplir à ce point l'Amphithéâtre de la Maison du Tourisme et de surcroît à 18 heures.
La liste Nous Citoyens a ainsi réalisé le plus gros score de participation alors même qu'une liste concurrente organisait à 19 heures le même jour une "contre-réunion" à destination des commerçants du centre-ville mais avec une très faible participation (30 personnes).
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Mal-indemnisation des commerçants frappés par des travaux : Denis Bonzy condamne le double discours de candidats PS et UMP :
Le double discours des partis politiques est un scandale qui s’ajoute à la crise
A moins de 60 jours des élections municipales, des candidats du PS et de l’UMP découvrent la situation de la mal-indemnisation des commerçants impactés par les travaux du tramway.
Il faut donc que les élections approchent pour que les élus qui ont pris les décisions feignent de s’émouvoir d’une situation catastrophique.
Une situation co-gérée pour l’essentiel.
C’est une étape de plus dans la perte de crédibilité des partis politiques classiques prêts à la moindre pirouette pour échapper à leurs responsabilités.
C’est pendant 6 ans qu’ils auraient dû s’occuper de ce sujet d’une extrême gravité et pas pendant 60 jours en fin de mandat.
Il est temps de changer pour de vrai face à de telles manoeuvres indignes d’une responsabilité démocratique.
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Elections municipales de Grenoble : Denis Bonzy prend le leadership de l'opposition : avec le retrait de Gilles Dumolard, c'est un paysage politique en forte évolution qui voit le jour. Denis Bonzy a pris le leadership de l'opposition. Il a pris ce leadership en s'imposant sur des bases claires;
1) Il ouvre la route : son projet est le seul à marquer : pouvoir de révocation, baisse de la fiscalité, référendum d'initiatives populaires ...
2) Il est vrai : son comportement personnel est en totale harmonie avec son projet. Il dégage une fidélité à lui-même qui rassure à la différence des virages à répétition de Matthieu Chamussy : acceptation, retrait, ré-acceptation ...
3) Il est exigeant mais dans la discrétion : les discussions avec Gilles Dumolard n'ont pas été étalées sur la place publique à la différence des polémiques permanentes entretenues par Chamussy au sein de l'UDI - UMP. A l'issue, même si la présentation effectuée par Gilles Dumolard était pour le moins "originale", Denis Bonzy a apporté les précisions nécessaires via notre blog et le sien sans engager une polémique dans la presse.
4) Il est rassembleur : une place sera accordée à des membres de l'équipe de Gilles Dumolard et des propositions de travail en commun seront adressées à Gilles Dumolard sur ces bases nouvelles. Il n'y a donc aucune rancune d'aucune sorte à la différence des règlements de comptes subis sur la liste UDI - UMP notamment par Nathalie Béranger ou Benjamin Piton.
C'est ce tempérament qui convient pour mener l'alternance nécessaire sur Grenoble.
Journal de campagne n° 36
#Elections municipales de Grenoble#Journal de campagne#Denis Bonzy#Matthieu Chamussy#Nathalie Béranger#Benjamin Piton
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"A ce jour, vous êtes en tête du concours du candidat le plus sympa de la campagne" : c'est la déclaration - surprise de trois étudiantes en communication dans un établissement de Grenoble faite ce matin à Denis Bonzy au sujet des élections municipales de Grenoble.
Elles étaient venues vérifier si Denis Bonzy respectait bien son agenda sur la terrain même avec la pluie et l'attendaient au bout de la rue Lafayette avant que Denis n'achète au Chardon Bleu son traditionnel sandwich Club poulet et une tranche de quiche saumon - épinards.
Elles ont participé méthodiquement aux débats publics, analysent les blogs, les tweets ... et notent en conséquence.
Denis leur a assuré en riant qu'il veillerait à être un bon compétiteur dans cette "discipline" aussi.
Le prix serait un bracelet brésilien "porte bonheur" à porter jusqu'au jour du scrutin ...
Nb : à paraître prochainement les photos atypiques du terrain prises par Matthieu qui assure un remarquable travail sur le terrain à l'exemple de la photo ci-dessus où Denis cherche à photographier une enseigne sans prendre le recul nécessaire ...
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Emploi : que Grenoble soit la Californie de la France : aujourd'hui, le journal en ligne 20 minutes - Grenoble devrait publier les propositions des différents candidats en matière économique.
Dès que cette information sera disponible, nous vous en informerons.
Notre objectif : que Grenoble soit la Californie de la France. Un territoire qui bouge, qui innove, où rien ne parait impossible, rien n'est inaccessible.
Si nous sommes élus en mars 2014, l'une des premières mesures consistera à ouvrir le dossier de la cession de l'ex-batiment de l'Institut de Géographie Alpine à la Bastille. Il a vocation à ne pas rester l'actuelle "verrue" mais au contraire devenir la plus belle vitrine des entreprises TPE de Grenoble qui veulent créer, innover, entreprendre avec des conditions financières bonifiées, simplifiées pour consacrer toute l'énergie à l'emploi et pas à la paperasse.
Nous lancerons également la mise à l'étude d'un pont parking sur l'Isère. Un pont paysager avec des espaces verts conviviaux en surface et accueillant les automobiles sous la verdure. Cette nouvelle entrée sur le centre - ville changera totalement la vitalité du secteur.
Les jours de printemps et d'été, si les commerces de proximité le souhaitent, il sera donc possible de déjeuner sur l'Isère.
Le 23 mars 2014, un nouveau matin est possible.
Voter pour la liste Nous Citoyens conduite par Denis Bonzy, c'est le seul vote utile pour le Vrai Changement.
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Elections municipales de Grenoble : AmpéRage : la 1ère victoire de la démocratie participative.
Suite à l'article paru samedi dans le Dauphiné Libéré, un communiqué a été adressé hier après-midi à ce journal qui laissait entrevoir d'attendre la "réaction des candidats" et à la presse.
Ce communiqué (transmis samedi 01/02 à 17 heures) qui n'a pas été publié est le suivant :
AmpéRage : un premier succès pour la démocratie participative.
Ce qui était impossible le 9 janvier est possible le 31 janvier.
Ce qui relevait du Préfet le 9 janvier est désormais du ressort du 1er adjoint au Maire de Grenoble le 31 janvier.
C'est la magie des temps électoraux.
Pour que cette magie ne cesse pas au lendemain même de l'élection, il faut changer pour de vrai les méthodes de décision comme leur contenu.
Là est le véritable enjeu des 23 et 30 mars 2014.
Sur ce chemin du vrai changement, je suis heureux d'avoir contribué à cette évolution pour l'AmpeRage puisqu'est mise en œuvre la mesure que j'avais proposée dès le 9 janvier au soir."
Denis Bonzy
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Elections municipales de Grenoble : les visages du Vrai Changement : Laetitia Roux : née en Normandie mais habitant Grenoble depuis plusieurs décennies, Laetitia exerce l'activité de conseillère en gestion de patrimoine. Passionnée par les affaires culturelles qui ont représenté une partie importante de son engagement professionnel (peinture, patrimoine, architecture), cette maman sportive de trois enfants apporte de la vitamine à l'équipe par sa vitalité et son sens de l'initiative.
Après le suivisme dans le programme de la liste UDI - UMP effectuant du copier - coller de plusieurs dispositions publiées dès fin juin 2013 par Denis Bonzy, la présentation ce jour de cette liste (UDI - UMP) donne une responsabilité particulière à la liste conduite par Denis Bonzy qui est désormais clairement la seule à incarner le changement pour de Vrai.
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"Et si vous deviez résumer le parcours de votre vie en une quinzaine d'étapes d'objets qui vous sont chers ?" : c'est la question posée par l'équipe de rédaction de Place Gre'Net pour des reportages à paraître prochainement sur les candidats aux élections municipales de Grenoble. Axe éditorial original, atypique auquel Denis Bonzy a répondu ce matin transformant la salle de réunion du local de permanence en temporaire "unité de dépôt". Ici, la première affiche de campagne, ailleurs l'Ipad du jogging mais aussi la tenue de détente avec les chaussures de randos ...
Nous vous informerons dès publication du reportage en question : http://www.placegrenet.fr/
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Elections municipales de Grenoble : la liste UDI - UMP embarrassée par les propositions de la CGPME à destination des chômeurs et des fonctionnaires : la n° 2 de la liste UDI - UMP (Sylvie Pellat Finet) est une des responsables départementales de la confédération syndicale qui vient de présenter des mesures qui ont suscité une vive émotion au sein des chômeurs comme des fonctionnaires.
Pour assainir les finances de l'Unédic, la CGPME propose de rendre les allocations chômage dégressives à partir d'un an, et d'allonger la durée d'affiliation nécessaire pour être indemnisé (de quatre à huit mois).
Elle préconise aussi d'ouvrir "une possibilité de plafonnement volontaire d'indemnisation (qui peut aujourd'hui atteindre plus de 6.000 euros mensuels) compensée par une baisse de cotisation".
La CGPME plaide pour l'instauration d'une "cotisation exceptionnelle de solidarité interprofessionnelle" financée par les "agents publics", notant que "30% de l'emploi salarié en France ne contribue pas à l'Unédic".
Elle demande aussi d'exclure du régime spécifique des intermittents les techniciens du spectacle, qui "pourraient être soumis au droit commun".
Autre piste: lutter contre les abus en radiant automatiquement les chômeurs qui refusent plus de deux offres raisonnables d'emploi.
Ce sont des mesures qui vont susciter de nombreuses questions à la liste UDI - UMP notamment dans les prochains débats publics consacrés aux jeunes en difficulté et au domaine de la culture.
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Elections municipales de Grenoble : le Comité de Liaison des Unions de Quartiers (CLUQ) organise un débat sur la démocratie participative le 10 février 2014.
La soirée - débat sera divisée en deux phases. Lors de la première, chaque liste disposera de dix minutes pour présenter ses propositions concernant la participation des habitants.
Dans une deuxième, les organisateurs du débat poseront les questions émises par la salle, par écrit, durant la première phase. Ne seront posées que les questions relatives à la participation. Si d’autres sujets apparaissent, il pourrait être décidé d’organiser un autre débat.
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