#Ecclésiastique
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francepittoresque · 1 year ago
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3 juin 1783 : mort de Cochin, fondateur de l’hôpital éponyme ➽ http://bit.ly/Jean-Denis-Cochin Issu d’une famille parisienne ancienne et puissante, dont la lignée remonte au XIIIe siècle, il annonça d’abord du goût pour l’état ecclésiastique, et voulut à seize ans entrer chez les chartreux
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iweb-rdc001 · 1 year ago
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RDC : Mgr Fulgence Muteba alerte sur une menace de vandalisme contre l’église Catholique dans la province du Haut-Katanga
Dans un communiqué publié, l’archevêque métropolitain de Lubumbashi, Fulgence Muteba dit avoir suivi avec regret le message qui circule sur les réseaux sociaux, menaçant de vandaliser les infrastructures de l’Eglise catholique et même d’agresser ses fidèles.   C’est pourquoi, l’administrateur apostolique de Kamina condamne fermement ce genre de comportement et demande aux autorités compétentes de…
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chic-a-gigot · 10 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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raisongardee · 1 month ago
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"Ne croyons pas que l’homme soit reconnaissant à faux et donne sans motif valable ; il est trop égoïste et trop envieux pour cela. Quel que soit l’établissement, ecclésiastique ou séculier, quel que soit le clergé, bouddhiste ou chrétien, les contemporains qui l’observent pendant quarante générations ne sont pas de mauvais juges ; ils ne lui livrent leurs volontés et leurs biens qu’à proportion de ses services, et l’excès de leur dévouement peut mesurer l’immensité de son bienfait."
Hippolyte Taine, Les Origines de la France contemporaine, 1875.
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professeur-stump · 4 months ago
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Avec la décadence de l'administration et malgré le prestige conservé par l'acte écrit, l'écriture n'a cessé de céder du terrain au cours du VIIe siècle. Dans la deuxième moitié du siècle, les laïques perdirent l'habitude d'écrire; les souscriptions autographes tendent à disparaître des chartes; le personnel des bureaux d'écriture se recruta désormais de plus en plus parmi les clercs. Les milieux ecclésiastiques n'avaient pas échappé à cette décadence. Beaucoup de clercs du haut en bas de la hiérarchie étaient illettrés. Il n'en reste pas moins que l'écriture et par conséquent toutes les activités intellectuelles devinrent l'apanage des milieux ecclésiastiques, principalement monastiques où les nécessités du culte et de la liturgie rendaient indispensables un minimum de connaissances intellectuelles et la possession d'une bibliothèque.
(Gabriel Fournier, Les mérovingiens, 1966)
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plaques-memoire · 5 months ago
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Plaque en hommage à : Talleyrand
Type : Lieu de résidence
Adresse : 17 rue de l'Université, 75007 Paris, France
Date de pose : 1989 [inscrite]
Texte : Talleyrand, 1754-1838, habita cette maison en 1790
Quelques précisions : Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838), généralement connu sous le simple nom de Talleyrand, est un religieux et homme politique français. Issu d'une famille aristocratique, il est destiné à une carrière ecclésiastique en raison d'une infirmité au pied (ses adversaires le surnommeront le "diable boiteux") mais il est davantage attiré par la politique et la diplomatie. Député lors de la Révolution française, il soutient la confiscation des biens de l'Église et contribue à la rédaction de la Constitution civile du clergé et, sous le Directoire, il est nommé ministre des Relations extérieures en 1797 et devient l'un des principaux conseillers diplomatiques de Napoléon Ier, avec lequel il finit toutefois par prendre ses distances en opposition à son expansionnisme. Il joue un rôle ambigu dans la chute de Napoléon en 1814, conspirant avec les puissances européennes pour rétablir la monarchie. Lors du Congrès de Vienne, il parvient à défendre les intérêts français face aux autres puissances victorieuses, utilisant son habileté diplomatique pour limiter les pertes territoriales et réintégrer la France dans le concert des nations européennes. Brièvement Premier ministre en 1815, il maintient une certaine influence politique jusqu'à sa mort. L'historiographie le juge souvent de façon ambivalente, le considérant à la fois comme un opportuniste et un diplomate visionnaire. Une autre plaque commémorative en son honneur peut être trouvée à Paris, rue Garancière.
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reve-d-eschyle · 7 months ago
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Les Fées. Leur nom vient du mot latin fatum (sort, destin). Elles prennent part de façon magique aux événements humains [...]. Elles ne sont pas limitées à une seule région ou à une seule époque. Les anciens Grecs, les Esquimaux et les Peaux-Rouges racontent des histoires de héros qui ont obtenu l'amour de ces créatures fantastiques. De telles aventures sont dangereuses ; la Fée, une fois sa passion satisfaite, peut donner la mort à ses amants. [...] À la fin du XVIIIe siècle, un ecclésiastique écossais, le Révérend Kirk, d'Aberboyle, composa un traité intitulé La secrète République des Elfes, des Fées et des Faunes. En 1815, Sir Walter Scott fit imprimer cette œuvre manuscrite. On dit que le Révérend Kirk fut enlevé par les Fées parce qu'il avait révélé leurs mystères. [...]
Jorge Luis Borges, Le livre des êtres imaginaires, "Les fées", Gallimard, L'imaginaire, 2017, p. 121-122
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codumofr · 7 months ago
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Reliquaire de Pancrace de Rome qui est situé à la Basilique San Prancazio ou Basilique Saint-Pancrace. UN reliquaire est généralement un coffret ou une boîte, se voulant un réceptacle destiné à contenir une ou plusieurs reliques saintes. Populairement, la dévotion cherche à honorer ceux dont certains restes (bras, parties du corps, objets, etc.) On était préservés et développa ainsi tout un art, créant des reliquaires en matériaux précieux, de formes et de styles divers. Nous pouvons trouver une évolution dans les matériaux utilisés : Ce paléochrétiens et Byzantins seront principalement en Pierre et en Marbre tandis que ceux issue du Moyen-âge seront le plus souvent en métal, argenté ou doré. Ils seront tous enrichis d'émaux, de pierres précieuses ou de pierres semi-précieuses. Les reliquaires ont plusieurs utilités ; Ils servent aussi à garantir l'authenticité et l'intégrité des reliques et contiennent donc, pour chaque relique, une petite bande de papier ou de parchemin qu'on appelle authentique et par laquelle une autorité ecclésiastique, le plus souvent un évêque, certifie l'origine et le caractère sacré de la relique ; ils servent aussi à exposer les reliques à la piété des fidèles alors que des reliquaires portatifs étaient parfois utilisés pour être montrés aux fidèles lors de tournées destinées à collecter des fonds. Une autre fonction du reliquaire, ou plutôt des ornements précieux du reliquaire, est de manifester la gloire et le prestige du saint dont il contient les restes, et au-delà du saint lui-même, la gloire et le prestige de la communauté qu'il protège. Comme pour les objets précieux en cas de crise, le reliquaire peut être fondu. En tant qu'objets précieux, les reliquaires sont d'habitude conservés dans le Trésor des églises avec les autres pièces d'argenterie, comme les calices.
Pancrace de Rome est née d'une famille noble de Phrygie selon la tradition vers 289 ou 290. Il serait mort exécuté à l'âge de 14 ans et serait donc devenu un Martyr lors des persécutions de Dioclétien à Rome. La Persécution de Dioclétien ou Grande Persécution est le nom donné à la dernière répression du Christianisme durant la Tétrarchie (mis en place par Dioclétien à la fin du IIIe siècle) et elle prendra place au début du IVe siècle. Pancrace sera alors exécuté à l'âge de 14 et son corps sera recueilli et inhumé par celle connue comme la "Pieuse Matrone Ottavilla" et les reliques entreposées dans la basilique San Pancrazio érigée à Rome en 604 pour le tricentenaire de son martyre par le pape "Saint Symmaque. Il est traditionnellement représenté sous des traits juvéniles et en habits de légionnaire, ayant comme attribut le glaive dans une main et une branche de palme dans l'autre.
La Basilique en elle-même est un lieu de culte important situé sur le Janicule, une colline située sur la rive droite du Tibre, au sud de la cité du Vatican. Aujourd'hui, c'est le quartier de Monteverde à Rome. Construite sur les catacombes ayant recueilli le reliquaire de ce dernier, la basilique a été ordonnée Basilique Mineure et recevra le siège du titre de "Cardinalice San Pacrazio Fuori le Mura". Construit à la demande du Pape Symmaque, un établissement de bain sera également construit. Le Pape Symmaque sera enterré au même endroit que Pancrace de Rome. En 625, le pape Honorius Ier fait construire la basilique à trois nefs. Les fresques de la tribune sont attribuées au peintre Antonio Tempesta. Des fouilles menées au début des années 1930, sous le sol de la basilique de San Pancrace, révèlent une voie romaine qui traverse la basilique en diagonale : elles font également apparaître des tombes et des mausolées de terre.
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cellobis · 2 years ago
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Pq Gay?
Sur la question du genre, il est svt dit qu’il est déterminé à la naissance, qu’il s’affirme à la puberté. Les choses ne sont pas si simplistes. Dans son fameux rapport, Kinsey est clair, considérant qu’une grande part de la population même « normalement » hétérosexuelle est en fait sinon homo, au moins bisexuelle, et si pas dans son comportement, certainement dans ses fantasmes les plus profonds. Faut pas non plus oublier que l’emprise judéo-chrétienne a été castratrice concernant la sexualité au point de la diaboliser, ne lui donnant que deux solutions compatibles avec le sacro-saint salut : soit l’abstinence absolue (pour les célibataires cléricaux ou laïcs), soit le contrôle régulé par le mariage ne permettant à l’acte sexuel de n’avoir lieu rien que dans un but procréatif. Tout le reste ne pouvait qu’être voué aux gémonies, et à l'enfer éternel. Cette hypocrisie a permis pendant des siècles aux religieux de s’acoquiner avec la puissance des États pour contrôler tous les individus au sein des familles, ce afin de légiférer le monde. Attitude pernicieusement mensongère, car il ne faut pas être médecin pour savoir que les corps ont cet impérieux besoin d’exulter par le sexe, très régulièrement tout comme ils ont besoin de respirer, pour vivre et de faire pulser le sang par un cœur battant. L’abstinence n’est pas possible sur toute une vie et provoque toutes les déviances, abus et vices que les autorités ecclésiastiques ont caché sous cape pendant des siècles, enterrant des fœtus sous le sol des basiliques et des couvents, sacrifiant des foultitudes de nones et d’enfants de coeur. Pour s’évader des carcans sociétaux et familiaux, il y avait depuis que le monde existe des maisons des bordels, avec des filles et des garçons, des marins et des poètes, mais comme les Américains aux temps de la prohibition, nos sociétés ont prohibé ces échappatoires, notamment au prétexte du respect hypocrite de la condition féminine qu’il ne fallait plus ni exploiter. Il n’y aura donc plus de « P. respectueuse », J.P. Sartre n’est plus là pour le contredire. Alors le porno a pu s’épanouir sur les sites internet, ouvrant un marché juteux (sans jeu de mots) en enrichissant une maffia sans scrupule, en avilissant bien souvent les corps féminins devenus marchandise. La condition féminine y est avilie, soumise, infériorisée par des tas de mâles dominants qui la pénètrent par tous les orifices, la sodomisant pas que dans le cul , car en plus du sens propre, celui du figuré, l’aspergeant de façon systématiquement dégradante. C’est souvent  à vomir. De façon paradoxale, les sites lesbiens ou gay sont eux beaucoup plus esthétiques. Il y a là aussi des schémas dominants dominés, mais en cherchant un peu, beaucoup de séquences parmi les gays sont bien davantage érotiques que pornos, mettant en valeur de véritables éphèbes et dieux grecs, avec de surcroit beaucoup de respect égalitaire. C’est beau un 69 bien filmé de deux gays qui s’aiment passionnément. Leurs yeux sont égaux, toutes les parts de leurs corps sont égales, sexes, pieds, mains, bras, épaules, jusqu’à leurs âmes. Quand, sans autre possibilité de choix malgré nos hésitations adolescentes, on a été formaté hétéro au XXème siècle où il a fallu attendre 1982 pour être dépénalisé de ses propres penchants jusqu’alors considérés comme pervers alors qu’ils représentent entre 10 et 15 % de tout le monde vivant, et que l’on vienne à s’évader quelques soirs de solitude sur de tels sites, il arrive qu’on découvre de la beauté, de l’esthétique du réconfort, jusqu’à se rassurer sur ce que l’on est vraiment, en communiquant avec des complices. Et donc le dégueulasse n'est pas là où certains le croient. Et donc, il arrive que l’on vire sa cuti, malgré la révolue et vieille éducation des curés, des mères folcoches, des instituteurs armés de règles pour écraser les doigts des gauchers. Ainsi, on finit par se découvrir tel qu’on est, au propre et au figuré, redevenu pur comme notre peau quelle que soit sa couleur ou son odeur
merci de vous
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whencyclopedfr · 1 year ago
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Oswald de Northumbrie
Oswald de Northumbrie (c.604 - c.642) était un roi et un saint anglo-saxon du VIIe siècle. C'est après sa victoire sur le roi de Gwynedd, Cadwallon ap Cadfan, qu'il monta sur le trône de Northumbrie vers l'an 633 ou 634. Oswald régnait sur les royaumes northumbriens de Bernicie et de Deira, mais a exerçait également une autorité considérable sur certaines parties de l'Angleterre, du Pays de Galles et de l'Écosse d'aujourd'hui. L'historien originaire de Northumbrie Bède le vénérable, qui écrivait au VIIIe siècle, ne tarit pas d'éloges sur le règne d'Oswald. Il fit même de ce dernier l'un des héros de son ouvrage de référence, l'Historia Ecclesiastica Gentis Anglorum (Histoire ecclésiastique du peuple anglais). Oswald contribua activement à la propagation du christianisme dans son royaume ainsi qu'au-delà de ses frontières. En 642, il trouva la mort à la bataille de Maserfield livrée au roi des Merciens, Penda. Après sa mort, Oswald fut révéré comme saint et martyr. Ses reliques firent l'objet d'une grande vénération et un culte se forma autour de lui, en Angleterre et sur le continent, qui devait particulièrement prospérer au Moyen-Âge.
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chamelierfou · 10 months ago
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Note de lecture : La Femme au temps des cathédrales
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Régine Pernoud est sans doute la plus grande médiéviste du XXème siècle. Contrairement à Georges Duby, elle aborde cette époque sans parti pris et avec une passion nettement plus chaude que ne le fait Jacques Le Goff, sans sacrifier néanmoins à une pesante érudition. Le Moyen-Âge est encore trop souvent abordé avec des lunettes déformantes qui ne font pas percevoir tout l'intérêt que présente cette période aux temps, toujours actuelles, où l'Occident se demande où il va, sans vraiment savoir d'où il vient. La thèse de l'autrice se résume à ceci : le Moyen-Âge a été une période d'émancipation de la Femme, et c'est la Renaissance, tant encensée pour son prétendu humanisme, qui a marqué un recul de la condition féminine.
Car il faut bien reconnaître que les racines chrétiennes de l'Occident, sans pour autant que cette expression ne nie d'aucune façon les apports orientaux, notamment ceux de l'Islâm, ont poussées dans le terreau fertile du sacrifice de ces premières chrétiennes, canonisées pour certaines, par l'institution ecclésiale. L'une échappe à la volonté autoritaire du rejeton barbare du pater familial romain pour vivre son chemin spirituel, l'autre fait plier le genou de son royal mari devant le Dieu vivant, une troisième, enfin, fonde à elle seule, une lignée spirituelle sous la forme déconcertante aujourd'hui d'un couvent. Mais si un personnage historique synthétise et irradie toutes les facettes de la féminité au Moyen-Âge, c'est bien Aliénor d'Aquitaine. Mère de onze enfants, épouse du Roi de France, puis du Roi d'Angleterre après avoir fait plier le Pape à son propre désir, véritable Dame inspiratrice des poètes, et poétesse elle-même, administratrice hors pair non seulement de ses biens propres, mais encore, de ceux de la Nation toute entière quand l'intérêt supérieur de cette dernière l'exige. Pas un gramme de la viridité d'Aliénor n'a été sacrifié sur l'autel de la raison d'État, montrant ainsi, par l'example, combien l'incompatibilité entre pouvoir et féminité, qu'on entend si souvent résonner au prétendu Grand Siècle, n'est pas fondée. 
On dira peut-être que cela ne concerne que quelques femmes exceptionnelles et pas la majorité d'entre elles. Rappelons ici, à la suite de Mme Pernoud, que, dans l'institution médiévale du mariage, les femmes choisissent leur mari et que, dans le cadre de ce sacrement, le prêtre n'est qu'un témoin. Rappelons aussi que les femmes travaillent à leur propre bonheur, dans ce cadre ou dans un autre, et quand la femme est possédante de biens, elle n'est en rien une potiche sous l'autorité despotique de son mari ou une dominatrice, avide de concupiscence.
Et il nous faut bien en revenir aux raisons historiques du dénigrement systématique du Moyen-Âge. Le Siècle des Lumières, et le positivisme républicain à sa suite, ont du, pour effacer l'apport intellectuel de l'Église, produire un véritable arsenal de dénigrement de cette époque obscure. Nous ne nions certes pas que l'institution ecclésiastique ait pu commettre certains abus lors du sacrement de la confession, en nourrissant malicieusement la culpabilité des ouailles, mais il n'en demeure pas moins que ce sont bien les acquis intellectuels de l'Église qui étaient ainsi visées.
Un ouvrage salutaire donc, qui ne cède rien au détriment de l'exactitude historique ni de la plénitude de ce que fut la Femme aux temps des cathédrales.
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francepittoresque · 1 month ago
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6 avril 1792 : adoption d’un décret supprimant le costume ecclésiastique ➽ http://bit.ly/Habit-Ecclesiastique-Revolution Le 12 juillet 1790 avait été adopté par l’Assemblée constituante le décret relatif à la Constitution civile du clergé, instaurant l’Église constitutionnelle et divisant "de facto" le clergé en Clergé constitutionnel et Clergé réfractaire
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iweb-rdc001 · 1 year ago
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RDC : Mgr Fulgence Muteba alerte sur une menace de vandalisme contre l’église Catholique dans la province du Haut-Katanga
Dans un communiqué publié, l’archevêque métropolitain de Lubumbashi, Fulgence Muteba dit avoir suivi avec regret le message qui circule sur les réseaux sociaux, menaçant de vandaliser les infrastructures de l’Eglise catholique et même d’agresser ses fidèles.   C’est pourquoi, l’administrateur apostolique de Kamina condamne fermement ce genre de comportement et demande aux autorités compétentes de…
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pierre-hector · 2 years ago
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Les Esséniens.
(à 00:39:43) « Les néo-gnostiques n’ont pas modifié Platon. Ce sont des Platoniciens qui ont adapté la doctrine de Platon à la gnose que Platon ne connaissait pas. Il y a dans Platon un grand nombre de positions philosophiques erronées qui vont donner naissance à la gnose, mais Platon n’était pas gnostique. C’est lorsque les gnostiques vont enseigner leur gnose que le disciples de Platon vont essayer d’adapter l’enseignement de Platon (inachevé, incomplet, assez obscur et compliqué) à la gnose. Cela s’appelle les néoplatoniciens, mais je les distingue à peine de Platon, parce que Platon [...] comprend déjà un certains nombre d’éléments qui vont être repris et inclus dans une gnose. On ne peut pas être chrétien et platonicien, c’est impossible, il faut choisir entre Platon et Jésus-Christ. C’est ce qu’a fini par faire saint Augustin à la fin de sa vie, il a bien choisi Jésus contre Platon et il l’a dit (!), mais il a mis une vie pour le comprendre, parce que c’est difficile à comprendre. On ne peut pas être platonicien si l’on veut être chrétien, c’est pas possible. Ce sera le problème et la grosse difficulté de tous les Pères de l’Église : enseigner la doctrine de Jésus-Christ dans un monde où les idées platoniciennes dominent. » (Étienne Couvert (2))
(à 00:43:13) – Ernest Renan dit que Jésus-Christ est un Essénien qui a réussi.
– Étienne Couvert : « Ernest Renan est un abominable menteur. C’est à cause d’Ernest Renan que les manuscrits de la mer morte ont été considérés comme “esséniens”. On a inventé des Esséniens qui n’ont pas existé, parce que le mot “Essénien” veut dire “Chrétien”, tout simplement. C’est le nom que donnaient les premiers historiens aux premiers Chrétiens. Ils ne s’appelaient pas “Chrétiens”, les Chrétiens, ils s’appelaient “les Saints” et “Esséniens”, ça veut dire “les Saints”, tout simplement. Je l’ai expliqué longuement dans mon livre sur les manuscrits de la mer morte. » (Étienne Couvert)
« … Pline l’Ancien appelle les chrétiens “Esséniens”. Mais celui qui a inventé le mot “Essénien”, c’est Philon [d’Alexandrie – qui vivait à Rome]. Il dit : “Je les appelle ‘Essenoï’ – parce qu’il écrit en grec – parce qu’entre-eux, ils s’appellent ‘les Saints’.” C’est le synonyme de sainteté. Or, quels sont ceux qui s’appellent “les Saints“ à l’époque où écrit Philon ? Ce sont les premiers Chrétiens. Ils s’appellent “les Saints”, ils ne s’appellent pas “Chrétiens” du tout. Il a traduit par “Esséniens” [Essenoï, saints en grec]. À la suite de quoi, Flavius Josèphe, Pline l’Ancien, les historiens, vont les appeler Esséniens. Et puis, ils s’appelaient aussi “Thérapeutes”, parce que “Thérapeutes”, c’est la traduction de “Nazaréens”. “Nazariè” ou [[Naziréat] ?], signifie “serviteur de Dieu”. Celui qui fait le vœu de “Nasira” [Naziréat] (1) fait le vœu de se mettre au service de Dieu temporairement. Jésus Christ s’est mis au service de Dieu définitivement, donc on l’appelle LE Nazaréen, car il a fait le vœu de “Nazira”. Et les premiers moines chrétiens étaient des “Nazaréens” parce qu’ils avaient fait le vœux de “Nazira” définitivement, pour la vie entière. “Nazaréen” veut donc dire “serviteur de Dieu”, et comme Philon traduit [ses propos] en grec, le mot qui veut dire “serviteur”, c’est “therapeutès” ; il les appelle donc les “thérapeutes”… qui signifie simplement “serviteurs de Dieu”. Et Eusèbe de Césarée, dans ses Histoires ecclésiastiques dit bien que les Esséniens et les Thérapeutes étaient les premiers moines chrétiens de Palestine et d’Égypte – en toutes lettres. Cela a toujours été considéré comme cela jusqu’au XVIIIe siècle, jusqu’à une époque où les franc-maçons inventent l��histoire des Esséniens. » (Étienne Couvert).
‣ (à 00:49:25) Chaîne Youtube « EGREGOØR », « GNÔSIS – ALAIN PASCAL, ROLAND HUREAUX ET ÉTIENNE COUVERT [FILM COMPLET] », pub. 17 avril 2022, https://www.youtube.com/watch?v=GXEk0v5ZZJk&t=6442s (cons. 15 nov. 2023). — (1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Nazir (2) « Né le 30 juillet 1927 à Lyon, père de huit enfants, Étienne Couvert enseigne les lettres classiques dans cette même ville pendant près de 40 ans. Il se spécialise dans l'étude de la philosophie chrétienne (thomisme) et de l'histoire religieuse. Il est, depuis 1983, l'auteur de plusieurs ouvrages sur la gnose, apportant notamment un regard nouveau sur les origines de l'islam et du bouddhisme, vues qu'il développe dans d'autres articles. Membre de l'Association des Écrivains Catholiques de langue française[réf. nécessaire], il a participé au salon des Écrivains Catholique de langue française jusqu'en 2012. », https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Couvert_(essayiste) (cons. 15 nov. 2023).
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raisongardee · 2 years ago
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"Très rarement traité en France, ce thème a été abordé en 2011 dans l’émission Sur les docks de France Culture par le père Georges Morand qui, confronté à ces sociétés secrètes dans le cadre de ses activités au diocèse de Paris, explique avoir rencontré "des personnes qui ont été la proie de groupuscules satanistes extrêmement redoutables pratiquant ce que l’on appelle les messes noires liées à des rites de sorcellerie et de magie, avec des meurtres rituels […] sous le double couvert, et je pèse mes mots, d’une part de la mafia, tous les réseaux mondiaux de la prostitution de bas et de haut étage, du trafic de drogues et d’autre part de personnalités que l’on pourrait dire au-delà de tout soupçon qui tiennent des postes clés dans notre civilisation, que ce soit dans le monde de la politique, toutes tendances politiques confondues […], dans le monde de la magistrature, dans le monde scientifique, dans le monde de la finance, dans le monde intellectuel […] et je dirais même hélas, trois fois hélas, dans le monde ecclésiastique"."
Faits & Documents n° 522, août 2023.
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imgtoxai467 · 15 hours ago
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Sœur de Bataille Photoréaliste
Créer une figurine articulée réaliste d’une Sœur de Bataille (Adepta Sororitas) de l’univers Warhammer 40.000, dans un style ultra détaillé 3D photoréaliste. Elle doit évoquer une guerrière sacrée et fanatique, présentée comme une figurine de collection posée verticalement sur un socle, dans un style inspiré des rendus cinématographique haut de gamme. 1. Visage de la Soeur identique en tout point au modèle de la photo 1 : * 3D Hyperréaliste, rendu cinématographique avec SSS subtil. * Texture de peau visible : rendu mat, grain de peau, pores, irrégularités naturelles, petites rugosités naturelles, * Visage stylisé, fin, expressif, teint pâle, * Psaumes ecclésiastiques, épais, noirs intense, tatoués en grandes lettres sur le front et les pommettes, qui suit les reliefs du visage. * Cheveux blancs en hair cards en fibres blanches réalistes, effet gras, variation d’épaisseur et couleur. 2. Proportions et posture de la Sœur : * La figurine est positionnée en appui équilibré et dynamique, debout bien droite face à la caméra, comme une intention d'affrontement. Le buste est droit, menton légèrement relevé pour un effet neutre et frontal. * la silhouette du corps est longiligne, avec des proportions allongées. Bras et jambes fins, affirmant une identité de figurine de collection articulée, inspirées des figurines réalistes de style Zajkov * Un Boltgun dans une main et dans l’autre un chapelet relique 3. Armure de la sœur inspirée des modèles de référence des photos 2 et 3 et de l’univers warhammer 40K: L’armure est massive, cérémoniale, avec des plaques métalliques épaisses couleur blanches, des ornements religieux noirs ou rouges, des gravures de symboles sacrés en relief tirés de l’univers warhammer 40K. *aspect mat, reflets métalliques ternes sur les arêtes *Métal oxydé avec dans les creux *Variations de rugosité : zones brillantes sur les zones frottées, mates ailleurs. * Effets de normal maps fines pour accentuer les détails de surface (gravures, dommages). * Fixé sur toutes les composantes de l’armure (bras, épaulières, torse, jambes) : des sceaux de pureté et des feuilles de psaumes manuscrits, papier parchemin vieilli, de longueurs différentes, avec des inscriptions religieuses visibles suspendus ou collés de façon chaotique sur toute l'armure de façon visible à l’aide de de sceaux en cire rouge durcies. Sont également accrochés à l’armure (taille, bras) plusieurs étoffes en tissus colorées, finement brodées de symboles religieux et de dieux, des manuscrits religieux, ainsi que des chaînes forgées, et des chapelets un peu partout dans les creux et relief de l’armure, rangés de façon très méticuleuse. * Un crâne humain ultra-réaliste, à échelle naturelle (idem figurine) est suspendu, jusqu'à mi-cuisses, au bout d’une chaîne en acier forgé accrochée à la taille. Aspect vieilli comme une relique, os jaunis et abîmé, entièrement orné de symboles sacrés tracés à l’encre sur tout le crâne. * Deux crânes plus petits, avec de la cire coulée, sont empalés sur de longs pics situés sur le backpack. 4. Socle : * Sol texturé, poussiéreux, avec cierges fondus, bannières et un petit socle en pierre gothique. * Ambiance de reliquaire sacré et guerrier avec des cranes encastrés dans le socle 5. Éclairage studio de la photo : * Contraste fort et dramatique, fond gris ou beige foncé : ➢ Key light latérale (mise en volume). ➢ Fill light diffuse (ombres douces). ➢ Rim light (détachement du fond). 6. Rendu final de la photo : * Résolution 8K, style photo macro réaliste. * Tonemapping naturel (pas d’écrêtage). * Moyenne granulation photo pour renforcer l’effet réel. * Textures PBR réalistes pour chaque matériau.
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