Tumgik
#Dominic Billet
homomenhommes · 23 days
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story: SOUMISSION / DOMINATION 187
PH, vacances à la maison-4, La Baule
La distance en moto avec un grand gabarit collé à mon dos, je ne le sens pas. malgré l'envie qu'en a PH, je le convaincs et nous prenons la Mercedes. Nous partons en fin de matinée et comme cela évitons tous les bouchons des WE d'été. J'ai beau faire attention, je roule au delà de la vitesse autorisée et comme je suis distrait par la présence de PH à mes cotés (même s'il n'est pas constamment penché au dessus de moi pour me sucer la tige), je remercie l'avertisseur de radar de me prévenir à temps. En effet, ce n'est pas à chaque fois que je tomberais sur des motards arrangeant, auprès desquels je pourrais négocier l'amende contre ma bouche ou mon cul ou même ceux de mon PH !
Nous arrivons sans encombre devant l'hôtel. Même si PH fait parti d'une famille plus qu'aisée, il n'est jamais descendu dans ce type d'hôtel. Comme il a bien été élevé, cela ne se voit pas trop. Nos sacs sont pris en charge par un groom qui nous conduit à notre suite : un grand salon et s'ouvrant par une double porte, une chambre à peine moins grande. Dès qu'il nous a quitté avec un billet au creux de la main, PH saute sur le lit puis se tourne sur le dos. Je le rejoins et le couvre de mon corps. Nos lèvres ne mettent pas de temps à se trouver et nous nous roulons un patin passionné. Je bande et le sens bander lui aussi. Ses mains courent sur mon dos et relèvent mon polo. Je me décolle le temps qu'il me le fasse passer par dessus la tête. Du coup, avant de reprendre notre baiser, je tire sur son polo et le mets torse nu lui aussi. Le contact de nos deux épidermes renforce nos bandaisons. Je bascule sur mon dos l'entrainant au dessus de moi. Il cesse bientôt de m'embrasser pour aller titiller mes tétons et les faire se gonfler. Sa langue emprunte un chemin qu'elle commence à connaître : bouche, tétons, abdos et gland ! Mais là ma queue bloquée à l'horizontale dans mon boxer et mon bermuda lui laisse un accès à mon nombril et jusqu'à la naissance de ma queue. C'est lui qui n'y tenant plus a défait ma ceinture, a dé-zippé mon short et après avoir passé mon boxer sous mes couilles a enfin pu démarrer sa fellation.
Trop, trop bon la douce chaleur de sa bouche et l'agilité de sa langue ! J'en suis là quand j'entends frapper à la porte. Tout concentré à me sucer, PH ne l'entend pas. Je lui mets mes mains sur sa tête et crie d'entrer. En simultané : PH essaye de relever la tête et de cesser sa pipe, moi je lui retiens la tête avec mes mains placées dessus en prévision de ce mouvement de retrait et je vois un garçon d'étage manquer de renverser le seau à champagne avec sa bouteille (qui va avec la suite), quand il nous voit.
Très sérieusement, je lui dis de déposer son fardeau sur la table basse et de venir chercher son pour boire. Il dépose le seau mais hésite à venir vers nous. PH de son coté s'est remis à me sucer avec entrain. Quand le garçon se décide à nous approcher, je glisse une main dans la poche de mon bermuda et en sort un billet de 20€. Il s'approche plus. PH se redresse dégageant ma bite raide et luisante et tourne la tête. Après l'avoir dévisagé quelques secondes, lui demande s'il en veut. Il a tout compris comment je marche le " petit " ! Comme je sens le garçon d'étage hésiter, je lui propose juste un avant goût et qu'il pourra en profiter à sa pause où après son service.
Là, il se penche au dessus de moi et enfile ma bite jusque dans sa gorge. Ma main vient naturellement sur sa nuque et le maintient le temps qu'un petit coup de rein m'assure que je suis au plus profond de sa gorge. PH aux premières loges siffle d'admiration et je l'entends commenter que ce ne doit pas être sa première !
Le garçon se redresse, tout rouge et nous dit qu'il finit le soir à 22h. Je lui propose de nous rejoindre vers 23h. Il acquiesce et sort.
PH me fait remarquer que nous n'avons pas perdu de temps. Je lui réponds que question sexe, il faut faire feux de tout bois et savoir s'adapter au milieu. Ça le fait rire de bon coeur.
Je coupe la discussion en appuyant sur sa tête, qu'il reprenne l'action à avant l'interruption par le garçon d'étage. PH termine sa pipe de façon très convaincante et je lui jute sur le torse. Il vient coller son dos contre le mien (de torse) et je le branle jusqu'à ce que sa crème rejoigne la mienne.
Passage rapide sous la douche et j'ouvre la bouteille. Nous nous enfilons deux coupes, affalés sur le canapé devant la baie.
Je lui fais enfiler quelques vêtements et nous sortons. A l'accueil je demande si Franck et son grand père sont à l'hôtel. Ils n'y viendront qu'au mois d'aout, dommage !
Il est déjà plus de 13h quand nous déambulons sur le front de mer à mater derrière nos lunettes de soleil. Je ne sais pourquoi mais nous sommes pris pour de touristes étrangers et les remarques sur nous ne sont pas discrètes. Faut dire que deux beaux mecs, en bermudas baggy et marcel blanc (ce qui fait ressortir notre bronzage), châtains clair, l'un rasé l'autre cheveux mi-longs et tong aux pieds, ça en trouble plus d'une et d'un ! Et pourtant nous ne nous tenons pas par la main !!
L'odeur qui s'échappe du restaurant de la plage nous rappelle que nous n'avons rien avalé depuis notre petit déjeuner. Du coup, je pousse PH vers les escaliers. Le restaurant commence à se vider. Un des garçons nous prend en charge et nous emmène à une table en bordure de terrasse. Comme il avait attaqué direct en anglais, nous ne le détrompons pas et continuons dans cette langue que nous maitrisons tous les deux. Ça nous amuse !
Il revient 2mn plus tard avec la carte et s'évertue à nous la traduire. Nous le remercions lui disant que c'est rare de trouver dans ce pays un serveur qui soit aussi à l'aise avec la langue de Shakespeare. Il nous remercie et part avec notre commande d'apéritif. Sur ses conseils nous nous régalons avec du poisson. Quand nous finissons notre repas, il ne reste plus que deux tables. Notre serveur revient vers nous avec les cafés et nous discutons un peu de ce qu'il y a à faire dans le coin. Nous gardons notre rôle d'étrangers. Il commence à nous indiquer les bars sympas, ceux où on peut draguer les meufs de notre âge ou se faire draguer par des femmes plus " mûres ". Il passe aux boites de nuit du coin quand son boss l'interpelle pour lui demander d'avancer un peu. Réponse en français qu'il s'occupe de clients pour qu'ils (nous) prennent son restaurant comme cantine ! Nous faisons semblant de ne pas comprendre exactement ce que veut son patron. Il reste donc encore un peu avec nous. Quand nous lui demandons les endroits où nous pourrions trouver plutôt des mecs, il nous sourit et nous indique la plage naturiste de Pin-Bron avec sa zone exclusive homo en précisant que ça drague dans le bois entre la route et le sable. Il ajoute que nous pourrons l'y retrouver à partir de 16h00.
Nous passons la digestion en nous promenant jusqu'à Pornichet. Nous tombons amoureux d'une grosse villa style 1900, blanche avec de grosses corbeilles de fruits aux coins de la toiture.
Retour à l'hôtel le temps de passer nos maillots et de prendre un drap de plage (2m x 2, pas besoin de deux draps !).
Je connais la route pour Pin-Bron et nous y sommes en quelques minutes. Sur le chemin qui traverse le petit bois de pins, PH me dit n'avoir jamais été sur ce type de plage que ce soit homo ou nudiste. Je le rassure et lui dit avoir pris de l'écran total pour que nos fesses et nos sexes restent blancs.
Nous grimpons la petite dune et je m'aperçois que j'ai trop tiré à droite et nous tombons plutôt coté " tissu ". Je me débarrasse de mon marcel et de mon baggy et PH fait de même. En maillot nous rejoignons par le bord de l'eau le secteur qui nous intéresse. Malgré le temps incertain, la plage est pas mal occupée. Je cherche des yeux une place sympa pour poser notre serviette géante. Nous trouvons un espace quand notre serveur du midi se lève et vient à notre rencontre. Il nous invite à se joindre à lui et ses amis. Je n'ai pu m'empêcher de le dévisager (enfin de le mater de la tête aux pieds) et comme il est totalement nu, je peux remarquer que niveau pilosité, lui aussi taille dans les poils. Il nous dit s'appeler Benoît. Il fait environ 1,80m, pas mal balancé, musclé juste comme il faut et le poil rasé sauf sur le pubis surplombant un sexe bronzé, au repos d'une 12aine de cm. Présentation des ses potes, idem de notre part, nous usurpons une nationalité Hollandaise et nous étalons notre drap. Ses amis, deux mecs, la 20aine aussi, sont de la même tribu, rasés aussi et bronzés intégralement. Ayant déjà fait du nudisme avec Marc les premières années, je quitte sans problème mon maillot (après que ce dernier ai été admiré). PH a un peu plus de mal et il rougit alors que nu, nous pouvons tous voir chez lui un début d'érection. Sans pudeur mal placée, je couvre mes fesses et toute ma peau blanche d'un écran total et passe le tube à PH pour qu'il fasse de même. Bien sur, la discussion démarre, en anglais, sur nudisme ou non... moi je leur dis que je suis pour, c'est tellement plus agréable de se baigner sans maillot mais que j'aime beaucoup garder mon petit cul blanc, que je trouve cela plus sexy. PH ne dit rien et observe, les jambes repliées pour cacher son érection.
Nous papotons encore quelques instants avant qu'ils ne nous invitent à aller dans l'eau. PH ayant débandé, nous courrons avec eux les quelques mètres qui nous séparent de l'océan. Dieu quelle est froide ! Malgré les vagues qui nous fouettent, je sens tous les poils que j'ai rasés se dresser. PH à coté me crie que c'est glacial ! Emportés par l'élan, nous nous retrouvons enfoncés jusqu'aux épaules. Je plonge et me mets à crawler pour me réchauffer. PH me suit. Ce n'est qu'après avoir fait plusieurs centaines de mètres que je m'aperçois que nous nous sommes bien éloignés de la plage. Nos nouvelles connaissances nous font de grands gestes. Direction la plage, au même rythme. Quand nous arrivons, ils nous regardent avec de grands yeux en nous demandant ou nous avons appris à nager comme des hors-bords. Je brode que la mer du nord et sa froideur nous motive à bouger pour éviter de finir en glaçon. Chacun son tour de se moquer gentiment de l'autre ! A barboter sur place, on se refroidi vite et nous décidons de regagner nos serviettes.
Ils nous demandent ou nous créchons. Au nom de notre hôtel l'un des amis siffle en nous disant que ça devait aller pour nous question fric. Du coup le deuxième pote nous demande ce qu'on fait dans la vie. Pour me moquer gentiment tout en restant près de la vérité finalement, je lui réponds putes, mais de luxe évidemment ! Ils sont sciés et le premier à réagir, notre serveur, nous demande si nous taffons en ce moment. PH qui commence à s'amuser lui aussi leur réponds que non, nous sommes en vacances mais que si une occasion se présentait, nous ne la laisserions pas passer. Silence dans les rangs ! Finalement, pas si dévergondés les trois jeunes ! Le premier à se reprendre nous demande si nous oeuvrons uniquement pour mecs. Nous le détrompons et lui assurons que nous baisons de tout, ;pour de l'argent. Là, il devient tout rouge malgré son bronzage.
PH éclate de rire et leur demande " ça vous choque ? ", réponse collégiale " mais non ! " peu convaincante. Celui qui parait le plus jeune nous questionne sur comment ça marche, combien ça rapporte et autres détails. Je fini par lui demander s'il ne préférerait pas faire ça plutôt que le service de table pendant deux mois ? Pragmatique, il me dit que cela lui rapporterait plus que son taf de vendeur.
Je lui demande son âge, il a 18ans tout juste et s'appelle Alban. Je le détaille. Il fait dans les 1m80, blond clair court, imberbe, musclé type footeux, de très belles cuisses, mais avec un torse correct. Je lui demande s'il est plutôt actif ou passif. Il me dit que ses 21cm font du bien à tous les culs qu'il lime. Je le traite de prétentieux (gentiment) et lui demande si cela le gênerait de baiser une meuf. Il me dit qu'un trou est un trou et qu'il n'aurait aucun mal à le faire.
Comme il faut aider la jeunesse, je lui demande son n° de portable et lui dit que je le rappellerais si je lui trouvais un ou une cliente dans l'hôtel. Ses deux potes se récrient qu'il est débile de faire ça, qu'il ne sait pas s'il ne va pas tomber sur des pervers ou des fous.
Je leur dis que depuis mon dépucelage précoce, je ne suis jamais tombé (exception faite de la mère de Ric) sur des malades dangereux.
Nous regagnons nos voitures ensemble. Quand ils voient ma SLS, le jeune me demande si ce sont les passes qui me l'ont payée et sans attendre ma réponse me supplie de lui trouver des clients. Je lui dis que sans être un mac (bon d'accord j'en suis un !) il me devra quelque chose. Il me demande quoi et je lui répond son cul. Il hésite regarde à nouveau ma voiture et accepte en me disant que je serais le second seulement à l'enculer car il n'aime pas ça.
Nous nous quittons sur la promesse que je l'appellerais dès que je lui aurais trouvé un client.
Pendant le retour alors que silencieux je le voyais réfléchir, PH me demande s'il devra lui aussi faire partie de mon écurie (sous entendu de baiser des clients).
Je pose ma main sur sa cuisse et lui assure qu'il ne fera que ce qu'il voudra. S'il veut tenter l'expérience pour savoir ce que c'est, je m'assurerais de lui trouver un client de confiance, s'il veut tâter du hard je serais à ses cotés pour l'accompagner. S'il ne veut rien de tout ça, hé bien je serais encore là.
De retour à l'hôtel, passage par la piscine, l'eau de mer nous a salé le corps et c'est l'occasion de voir s'il y a des clients potentiels.
Nos corps parfaitement bronzés, nos culs et attributs moulés par nos maillot Aussiebum et ES attirent les regards d'une bonne 30aine de vieux beaux et vieilles peaux. Notre crawl puissant nous dégage deux couloirs.
Quand nous sortons de l'eau, nous sommes abordés par un type, la quarantaine, qui nous propose un cocktail. Nous nous asseyons à sa table. Pendant qu'il se présente je l'examine sas m'en cacher. Il doit faire dans les 1,80m pas musclé mais pas bedonnant, cheveux courts brun, poilu sur le torse et les jambes. Je ne me suis pas aperçu qu'il ne parle plus, c'est un coup de coude de PH qui me ramène à la réalité. Je le prie de m'excuser. Il me demande en souriant si je suis satisfait de ce que je vois. Je réitère mes excuses et laisse échapper que c'est un défaut professionnel. Il saisit la balle au bond en me demandant " mannequin ? ". La réponse fuse " non, Escort ", autant être franc dès le départ.
Il me dit que cela tombe bien c'est ce qui lui manquait pour ses vacances, et me demande si je suis libre moi ou mon ami ici présent. Je lui explique que nous sommes nous aussi en vacances mais que je devrais pouvoir lui trouver cela. Il me dit chercher quelqu'un de sportif et actif (sous entendu qui m'encule). Je lui dit alors que j'ai ça en réserve et décrit vite fait notre nouvel ami. Il nous propose de le rencontrer ce soir et propose que nous dinions tous ensemble au restaurant de la plage.
Là je me dis qu'il va y en avoir un qui va bicher, c'est notre serveur ! Avant de le quitter, je le préviens que question tarif, nous jouons dans la cour des grands et que si cela va plus loin, il faut qu'il envisage des prestations à 500€ l'unité. (Après tout il a bien les moyens de se payer un hôtel de luxe). Il m'assure que plusieurs nuits ne lui poseront pas de problèmes.
JARDINIER
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theoneandonlysemla · 6 days
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WIP Wednesday
@ladytanithia tagged me on her wonderful painting WIP and as I've posted so, so many painting WIPs too the last times I did this tag, I have some writing today. Is it still a WIP, when the chapter is finished? I haven't edited it yet, so... I guess it is. Not tagging anyone today, because I'm too tired to think.
I have a small excerpt from Dealings with Daedra's 11th chapter today, where Morotar mostly travels from Winterhold to Solitude. On his way, he stops by Nightgate Inn way after sunset.
So, here we go:
He shivered; the nights had become significantly colder with the arrival of autumn. At home, in Summerset, the nights were still dominated by late summer, the leaves of the trees were far from changing colour. But the wine must be ripe and so there was much work to be done on the vineyards. As a child, he had scurried around among the labourers, popping the odd sweet grape into his mouth until he was called in by the servants to return home for dinner.             Here, in this frozen land, there was no vineyards. Scattered snowberry bushes lined the path, but they were nothing like the grapes from Summerset. They were much more sour and a little bitter, as he had discovered on his journey. He didn't know what could be made of them. Maybe they were good for a liqueur, but he couldn't think of much else.  
Riding further down the road, the windows of the inn came in sight, illuminated by an orange glow. Shadows were cast between the conifers that surrounded the thatched building. Lanterns on posts lit up a dirt paths that meandered between the trees, one of them provisionally tied to the post, as if the wind had ripped it off before.    Morotar dismounted his horse and led it along the narrow path. At the back of the building, next to the entrance, he found a shelter for the horses of travellers. He unsaddled the mare, gave her some hay and left her behind in her shelter. For her, this must feel too like a luxury after spending the nights in nature. If horses had such feelings anyway.
He ascended the stairs to the porch of the inn and hesitated for a moment, before opening the door. It was late, the sun had set hours ago and it was unsure, if he would still get a bed in here. The entrance swung open and he was greeted by the scent of fire and smoke, a hint of mead and roasted salmon in the air. The hearth in the middle of the taproom emanated a welcoming warmth, even though its fire had become a mere glow of embers.   A figure stood by the fire, stoking it and throwing billets of wood into the glimmer. Sparks flew upwards, swirling in a gleaming dance and went out high up. The shape at the fire froze in its movements. A flame flickered and illuminated the face of a bearded man for a second, then he was enveloped in darkness once more.
“A late-night visitor, I guess?” his rasping voice uttered and he did not let go of the log in his hand, the iron poker raised with the other.
“Yes,” Morotar answered, the words almost sticking to his throat. “Do you have a bed for me?”
“Of course, there are not many travellers about. You have free choice,” the man answered, lowered the poker and tossed the remaining wood into the fire.
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18 / 04 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
COURTE HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec @tidodore2
- UNE HISTOIRE D'EURABIA -
- AUX PIEDS DU PAUVRE ARABE -
PARTIE PAR @tidodore2
MAHMOUD : "Lèche en silence, pédé ! J'suis déjà bien généreux de te laisser vénérer mes pieds d'alpha, alors si tu veux garder ta place de chien à mon service, tu ferais mieux de te faire discret !"
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PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Mahmoud était un pauvre Turc vivant dans un HLM délabré, mais le banquier Ferdinand ne trouvait rien de plus beau que les arabes défavorisés. Quelle contradiction ! Et pourtant, se retrouver aux pieds d'un étranger pauvre était ce qu'il l'excitait le plus. Aux pieds d'un jeune homme quelconque mais dominant, il humait la puanteur de ses pieds non lavés.
Ferdinand est un banquier blanc qui se rend à l'appartement sale et puant de Mahmoud. Lorsqu'il arrive dans le quartier arabe, les voisins le prennent pour un contrôleur des impôts, car personne ne peut se douter que ce grand homme blanc vient pour respirer et lécher les pieds sales d'un jeune garçon arabe dominant.
Mahmoud était dégouté par les homos et les pathétiques blancs comme Ferdinand. Pourtant Ferdinand était plus ou moins masculin en apparence, et jamais ses collègues n'auraient supposé que ce banquier distingué était un amoureux des pieds de jeunes mâles arabes.
Le jeune mâle arabe sans emploi se contentait de se faire lécher les pieds suants par ce débile blanc. Il lui faisait évidemment faire son ménage pour gagner cet honneur, et aussi le payer pour avoir pu goûter à de la sueur de mâle arabe.
MAHMOUD : "Vous les Français vous êtes trop cons ! Il vous suffit d'avoir des pieds sales et vous êtes heureux !"
Effectivement, Mahmoud ne se lavait plus les pieds pour conserver cette odeur de virilité.
Ferdinand était excité d'être dominé par un mâle arabe plus jeune que lui, tout simplement parce qu'il était habitué au respect dans sa vie quotidienne. Être dominé était un échappatoire, et donner de l'argent à un jeune garçon arabe pauvre pour lui lécher les pieds semblait juste et naturel.
Les cousins de Mahmoud restés en Turquie n'arrivaient pas à croire que leur cousin puisse avoir un grand banquier blanc musclé comme lécheur de pieds personnel.
Peut-être qu'un jour Mahmoud obligera Ferdinand à leur payer à chacun de ses douze cousins un billet d'avion en premier classe afin qu'ils viennent en France vérifier par eux-mêmes à quel point les hommes blancs aiment vénérer les pieds sales des jeunes arabes....
FIN DE L'HISTOIRE
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🇬🇧🇺🇲 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
SHORT FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- A STORY OF EURABIA -
- AT THE FEET OF THE POOR ARAB GUY -
PART BY @tidodore2
MAHMOUD : "Lick in silence, white piece of shit ! I'm already very generous to let you worship my alpha feet, so if you want to keep your place as a dog in my service, you better be discreet!"
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PART BY submissivegayfrenchboy
Mahmoud was a poor Turk living in a poor building, but the banker Ferdinand found nothing more beautiful than the disadvantaged Arabs. What a contradiction! And yet, finding himself at the feet of a poor stranger was what excited him the most.
At the feet of some ordinary but dominant young man, he smelled the stench of his unwashed feet. Mahmud kept his feet unwashed so they were even more stinky.
Ferdinand is a white banker who goes to Mahmoud's dirty and smelly apartment.
When he arrives in the Arab quarter, the neighbors mistake him for a tax inspector, because no one can suspect that this tall white man comes to breathe and lick the dirty feet of a young dominant Arab boy. Mahmoud was disgusted by homos and pathetic white people like Ferdinand.
Yet Ferdinand was more or less masculine in appearance, and his colleagues would never have assumed that this distinguished banker was a lover of the feet of young Arab males. The unemployed young Arab male was content to have his sweaty feet licked by this white moron. He obviously made him do his housework to earn this honor, and also pay him for having been able to taste the sweat of an Arab male.
MAHMOUD: "You French men are too dumb! All you need is dirty feet and you're happy!"
Ferdinand was excited to be dominated by a younger Arab male, simply because he was used to respect in his daily life. Being dominated was an escape, and giving a poor young Arab boy money to lick his feet felt right and natural.
Mahmoud's cousins ​​back in Turkey couldn't believe their cousin could have a tall, muscular white banker as his personal footlicker.
Maybe one day Mahmoud will make Ferdinand buy each of his twelve cousins ​​a first-class plane ticket to come to France and see for themselves how much white men love to worship the dirty feet of young Arabs.
END OF THE STORY
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On peut acheter le plaisir mais pas l'amour
On peut acheter un spectacle mais pas la joie
On peut acheter un esclave mais pas un ami
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nonhapiupareti a réagi à votre billet texte
Un échec total est celui qui n’est pas capable d’acheter l’amour Un échec total est celui qui n’est pas capable d’acheter la joie Un échec total est celui qui n’est pas capable d’acheter un ami La vie n'est pas toi La vie est qui te domine La version gratuite n'est qu'une pitié qui tes yeux, mon frère, les évite silencieuse
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sunburnacoustic · 1 year
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The First Great British Guitar Band of the 21st Century
(NME, October 1999 after the release of Showbiz)
Oh the angst! The Pain! Searching for truth in a meaning less world.. Such is life in Teignmouth. Just ask Muse, three lads who've escaped small-town hell to be the toast of America. This just looks silly.
Three 21-year-olds from the sleepy fringes of Devon, lording it up in a glitzy Manhattan hotel lounge, chomping gleefully on tree-trunk cigars like they've just shagged New York senseless and eaten the entire music business for dessert. Any minute now these straggly indie-kid interlopers are sure to be turfed out on to the sidewalk with all the other guitar toting losers, back to their Transit van world. See ya. Keep dreaming, suckers. Except this never happens. Because even if they remain just above toilet-gig level at home. Muse are trainee rock royalty in America right now. Madonna herself beat half-a-dozen bidders to sign the youngsters to her Maverick label last November. Which is why the Teignmouth trio are billeted in New York for three weeks of back-to-back promotion for an album that hasn't even been released yet.
When British record companies sniffed around Muse, they declared them 'the new Radiohead' and shuffled away. When American labels saw them in New York's CMJ in November, they declared them 'The new Radiohead!' and formed a queue to sign their asses on the spot - cultural differences or Brit snobbery? Probably a bit of both, as Muse are more than the new Radiohead - they're the new Pixies, Nirvana, Mansun, Queen and Guns N' Roses too. And in their own broody intense way, they are about to explode.
Matthew Bellamy (singer/guitarist), Chris Wolstenholme (bass) and Dominic Howard (drums) were thrown together in a dark place of stagnation and decay, despair and degradation. It's called Teignmouth. Just below Torquay on the English Riviera, Teignmouth is a black hearted realm of eternal torment from which few souls emerge unscathed. Beneath its sleepy surface of genteel retirement homes and crazy-golf ranges, something deeply wicked festers in the remorseless south Devon sun. Possibly. "It's sort of like Torquay without the nightclubs" shudders Dom. Sounds pretty sinister. Like one of those elegantly shabby red-brick English towns where it's forever 1952 apart from the raging crack problem... "I think the best way to describe Teignmouth would be if we sent you the article that was printed on the front page of the local paper," sneers Matthew. There's a picture of the mayor of Teignmouth putting our CD in the bin because apparently we said in some interview that Teignmouth is a boring place, full of drug-takers. He said "I don't know who these drug-takers are, no-one takes drugs here...' Hahaha! That gives you an idea of what the town is like." Naturally, growing up in a stifling backwater run by rock-hating killjoys straight out of Footloose, the Muse boys were sometimes suicidally bored. They even resorted to doing 'dodgy stuff' on occasion.
There was a whole lot of nights when there was nothing to do and the only stuff that was fun to do was music," recalls Matthew. "You ended up doing dodgy stuff like breaking in to swimming pools, just because that was something to do. Most of the friends we had have either gone to University or become drug dealers." Ooh, the mayor will love that. Picture a bonfire of NME's outside the town hall. But at least the nascent Muse had something to kick against. And kick they did, starting with their debut sixth form gig five years ago. "The first gig we ever played together was a Battle of the Bands contest," says Matthew. "We wore loads of make-up, played loads of trashy punk stuff and got the crowd to invade the stage and smash all our gear. And we won! That's the weird thing. Because we beat all these bands that were really technically proficient, bands that sounded like Jamiroquai. People were shouting, you fucking cunts!' That totally affected our view of what music's about - it's not necessarily about music, it's about really believing in what you're doing."
So Muse kept plugging away, ignoring their critics, trashing their gear, dreaming of the big league. They eventually signed with a West Country management company and won a UK record deal with Mushroom, home of Garbage. And now, five years later, Madonna owns their souls. Sweet revenge on snobby old Britain and tight-arsed little Teignmouth, right? "That's what started us but I don't think that's what we're doing now," says Matthew. "The stuff we write now is more of a realisation of what the world's like. It's easy to blame stuff on a small town but then you go out there and you realise that some of the attitudes that you thought were just in your small town are actually all over." Muse's debut album is called 'Showbiz'. Oh yes. Most first albums contain two or three half-great peaks padded out with fillers. 'Showbiz' has a dozen tracks. ALL of which are heart-wrenching Wagnerian uber-anthems with fiery Spanish rhythms seismic meta-choruses and bile-spewing ultra-lyrics from the scabrous depths of Matthew Bellamy's charred-black heart. In other words, it's fucking great. But, bloody hell, is it miserable. Not trouser-fumbling hey-nonny-no Belle and Sebastian wistful nor chest thumping Daddy-never-loved-me Pearl Jam feel-my-pain self pity. Not even beautifully desolate and fragile like Thom Yorke, but aaaargh! post-apocalyptic heart-on-skewer Nick Cave tormented and urrrgggh! self-lacerating edge-of-darkness Ian Curtis fucked-up desperate. Heroically, bracingly, cathartically tragic. Hooray!
And yet Matthew seems like a pleasant well-balanced chap in person. Why the long face Sadboy-Slim? "Erm.... is this the time or the place?" Matthew wonders nervously "I don't think it is. Aren't we all tormented in some way? I've always had trouble.... I think it's like existentialism or something. The problems I'm having, if everyone else is having them the world's a scary place." Is miserable music some kind of perverse comfort in a cruel world? "All I can say is some of the music I listened to when I was young was like how we sound," shrugs Matthew. "That emotional deep stuff was what made me feel good because someone else out there is saying things the same as me. I used to listen to a lot of blues - Robert Johnson, Ray Charles I think that music was way deeper than I could have understood but for some reason it spoke to me."
Of course, Muse will be roundly mocked for taking themselves so seriously. But cynics said the same thing about Nirvana at the end of the '80s. Remember these boys are only 21, hurtling into a new millennium with their emotional wounds wide open. "I think things pick up generally towards the start of every decade." nods Matthew, spotting light at the end of a very long, very dark tunnel. "In 2000 or 2001, people will start getting more positive. There's a lot of fear hanging around which people are trying to deny but there is. And when that's over hopefully there will be a positive thing. Either that or extremely negative, hahaha! And it will all be over..." The first great British guitar band of the 21st century has arrived. Enjoy them while there's still time.
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alexisgeorge24 · 4 months
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6 février :
Petite ballade jusqu'au Cerro Guanaco qui "domine" à quasi 1000m offrant un panorama incroyable sur l'axe du détroit de Beagle, les lacs environnants, les sommets chiliens, dont un gros glacier, le tout tapissé de forêt et soupoudré de nuages hétéroclites. De retour à Ushuaia je retrouve mon hostel et glande jusqu'à l'heure de l'apéro. Je risque même l'aventure au pub irlandais qui est blindé de monde. Je me rappel qu'on peut aussi parler à d'autres personne plutôt qu'à soit même.
Bilan: 16km, 1000m d+
7 février:
Grasse matinée, un peu de logistique (WU, achat réchaud, billets de bus, lessive à la main) et ballade jusqu'au glacier Martial accessible depuis la ville. C'est rempli de monde et rien de particulier à voir... j'y croise par contre le couple de français que j'ai connu à Bariloche et on papote jusqu'à l'apéro. Enfin je reparle à des gens.
Bilan: 6km, 600m d+
8 février:
Trajet en bus jusqu'à Punta Arenas qui me bouffe la journée entière. J'ai tout de même le temps de faire 2 choses, de profiter des derniers rayons de soleil en me promenant sur "l'estran", et d'apprendre un nouveau mot.
9 février:
Un peu de logistique encore; je retire de l'argent à un distributeur, fait rarissime puisque j'avais l'habitude de retirer des liasses de billets de 1000 pesos argentins (0,70eur) après avoir fait la queue à WU. Je me renseigne sur le transport pour rejoindre une rando de 4 jours, et je retrouve une personne rencontrée sur Marketplace qui vend 5 batteries de drone avec chargeur ! Je me sens très chanceux de voir mon drone ressusciter, surtout à 40% du prix d'achat. A part ça je visite le musée Nao Victoria qui reconstitue fidèlement à échelle 1:1 le bateau Victoria qui a permis à Magellan de faire le tour de monde et de "découvrir" le détroit qui porte son nom et où à été fondée Punta Arenas, et le bateau HMS Beagle qui a transporté Charles Darwin pour ses observations scientifiques autour de l'Amérique. C'est sympas. Ensuite je visite le musé des souvenirs où sont exposés toutes sortes de machines du XIXe siècle ainsi que des boutiques reconstituées. C'est sympas. Puis visite du Museo Regional Salesiano Maggiorino Borgatello. De la taxidermie, de l'histoire régionale, de l'ethnographie, une pub sur les bienfaits de l'extraction pétrolière du coin. Sympas.
10 février :
Bus vers une randonnée de 3 jours (plus 4 finalement, je suis en forme), qui longe le détroit de Magellan jusqu'à une croix géante plantée au point le plus austral du continent américain, le Cabo Froward. L'arrêt est à 8km du début du sentier mais je me fais rapidement prendre en stop. Puis je commence cette marche en accélérant le pas. En effet, j'ai 3 gués à traverser à marrée basse et il se trouve que je suis sur un très bon créneau pour les passer les 3 aujourd'hui. Ils fait incroyablement beau toute la journée (rarissime pour la région), les sommets, fjords et glaciers de l'autre coté du détroit sont parfaitement visibles, des dauphins m'offrent un spectacle chorégraphique personnel de 10min, je traverse des plages de galets, de roche, parfois entrecoupées de troncs d'arbres, parfois de falaises me faisant faire des détours par la forêts. Arrivé au 1er gué je le traverse facilement, l'eau arrivant aux mollets. Avant d'arriver au 2e gué je dois couper par la forêt au sol spongieux; texture que je ne connaissais pas. Je traverse le gué avec l'eau arrivant au dessus du nombril. La marré étant en train de monter je fonce au 3e gué. Je le traverse sans problème, l'eau arrivant aux genoux. Il fait beau et j'ai mes chaussons de plongée, aucune difficulté et tout se fait dans le confort. Je pose ma tente à l'abris du vent dans la forêt en la laissant ouverte; Eduardo de mon hostel m'ayant averti des renards qui défoncent des tentes pour choper la nourriture, puis je me pose 50m plus loin pour profiter du coucher de soleil en dineant. 1ere galère quand je constate que j'ai balancé mon briquet avec mon réchaud cassé, qui sont tous deux rangés dans le même sachet, et donc pas moyen d'allumer mon nouveau réchaud. Je m'insulte de façon assez grossière. Et dire que des gens pensent que je peux faire des expédition de survie... ce genre d'erreur prouve mon incompétence en la matière... heureusement je vois au loin une personne, la seul que je verrai de ma randonnée. Il me balance à travers le gué des allumettes et m'épargne de manger des céréales et biscuits comme dîner (j'avais prévu 6 jours de nourriture au cas où les marrés ne m'étaient pas favorables). Donc je mange mes nouilles à la sauce champignon et je rentre dormir. Mais que ne vois-je pas dans ma tente ?! Ma bouffe !!! Des renards sont venu et ont tout pris excepté une conserve de thon et mon pain qui était rangé dans mon sac. Au loin je vois mon sachets de pâtes à moitié vide. Je m'insulte encore une fois d'avoir laissé la nourriture dans la tente au lieu de l'avoir prise avec moi. Désormais j'ai pile assez de calories, en rationnant, pour 3 jours. Je m'endors énervé.
Bilan: 28km, 230m d+
11 février :
Leçon apprise, avant de partir vers la croix avec un petit sac, j'accroche le gros en hauteur sur un arbre avec la bâche dessus. Pour le petit déjeuner j'avale 2 tranches de pain de mie puis je marche sur des rochers glissants sur 4km, puis des galets, puis je monte à la fameuse croix. Toute la journée il y aura une alternance de pluie et de soleil. Je retourne à mon campement et tente de traverser le 1er gué (le 3e de la veille). Il fait froid, il pleut, et l'eau arrive jusqu'au nombril et je continue à m'enfoncer là où il arrivait à mes genoux la veille; je flippe un peu et fait demi tour pour attendre que la marré baisse un peu. Je retente 30min plus tard à un autre endroit et ça passe. Je fonce vers le 2e gué (le 2e de la veille également, donc inutile de le préciser). Au moment où je commence à traverser, il se met et greler, fort... pas le choix je dois traverser puisque la marrée monte et que je n'ai pas assez de nourriture pour attendre la prochaine marrée basse. Je peste à chaque pierre qui me dechire les pieds, je tremble de froid, je porte mon sac sur la tête, la grêle me fouette. Pachamama doit avoir ses raisons. La "camping" n'étant pas loin, je fonce en calebute pour vite me mettre à l'abri sous la tente. Sauf que je ne le trouve pas et je dois traverser des ronces. Je mets donc mon pantalon tout trempé et continue de chercher. Je ne trouve rien et décide de marcher 1km vers là où je pense avoir aperçu des spots de bivouacs la veille. Ma mémoire est bonne et je pose la tente qui prend un peu la flotte dans le processus. Je suis complètement mouillé, le sol de ma tente aussi et ma bâche de mon sac n'a pas fait son job, tout est humide à l'intérieur. Heureusement j'ai mis mon sac de couchage dans un sac poubelle. Je me sèche sous la tente, me fait à manger et m'endors (je rappel que mon matelas est bancale et inconfortable). Il en faut des journées de merde pour apprendre à apprécier les choses simples de la vie. Je pense avoir déjà rédigé des phrases similaires plus haut, mais là c'était vraiment galère et pourtant je commence à avoir une certaine expérience dans le domaine.
Bilan: 28km, 400m d+
12 février :
Allez qu'on se casse d'ici. Grasse matinée pour me caler au bus du retour et je fonce vers l'arrêt. Je traverse les mêmes paysages donc je ne m'y extasie pas. Arrivé à la fin du sentier, et donc à 8km de l'arrêt de bus, je me fait prendre en stop immédiatement, et ce, jusqu'à la porte de mon hostel s'il vous plaît. Eduardo est surpris de me voir finir si tôt la randonnée. Je suis tellement en avance que j'enchaîne avec un bus pour Puerto Natales pour faire la connexion avec El Calafate puis Los Antiguos afin de retrouver la Caretera Austral et me diriger tranquillement vers le Nord en suivant les Andes Chiliennes. Je crève de faim en englouti 4 grosses empanadas avant de prendre le bus. En chemin je réserve mon bus de El Calafate à Los Antiguos (70eur) puis constate que les bus de Puerto Natales à El Calafate sont tous complets. Je m'insulte pour la 3e fois en 24h puis réalise qu'il ne me reste plus que l'option du stop de Puerto Natales à El Calafate (350km et une frontière). Arrivé à Puerto Natales je dîne et me couche sur un vrai matelas dans mon hostel. Je rêve des 1000 façons dont peuvent se dérouler mes aventures en stop du lendemain. C'est fou comment des périples en randonnée à travers des terrains "inhospitaliers" ne me font pas (plus) peur, mais risquer de devoir attendre des heures assis à ne rien faire, me hante. Est-ce la peur de rester immobile ou de devoir dépendre d'autrui que soi-même? À méditer avec mon psy, o sea yo.
Bilan: 18km, 200m d+
13 févier:
Je me fixe plusieurs niveaux de satisfaction pour ma journée en stop:
1) LE luxe: Arrivé pour 19h, cela me laisse le temps de prendre l'apero puis de dîner à un dernier bon restaurant argentin.
2) On reste dans le bonheure: Arrivé pour 21h00 où je dîne direct
3) Je garde une marge confortable en arrivant le jour même à El Calafate pour mon bus du lendemain qui est à 11h00
4) La limite: ja passe la nuit à mi chemin et le lendemain matin je trouve un stop pile à temps pour mon bus
5) La liste est longue tellement je m'imagine des galères
Et finalement... tambours... avec 3 stops, 8km de marche, et, 40 MINUTES d'attente au total, j'arrive à El Calafate à 17h00 !!!! En chemin, des stoppeurs qu'on récupère sont impressionnés par mon efficacité. Finalement ma barbe ne fait pas peur à grand monde. Je pose ma tente à un camping et je me délecte des plaisirs houblonnés et culinaires tant espérés et rêvés depuis mes traversés de gués à poil sous la grêle et le froid. De retour à ma tente pour dormir, j'entends au loin les basses du festival qui rassemblent toute la région pour 1 semaine. Au lieu de m'énerver je décide de me réhabiliter et aller voir l'ambiance. L'entrée est gratuite et le chanteur au micro est une star nationale que je connais car je l'écoute en boucle depuis que je l'ai découvert par hasard à la radio. Il chante les morceaux que je connais et je trouve ça improbable comme situation.
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J'ai publié 6 551 fois en 2022
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Mes billets vedette en 2022 :
n°5
Do you guys prefer
Femme Fatale/milf Lara Croft
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or "young and half feral" Lara?
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469 notes - publié le 1 août 2022
n°4
Crocodile when Luffy foiled his plans for eventual world domination:
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Crocodile when Buggy owes him money:
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486 notes - publié le 28 août 2022
n°3
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575 notes - publié le 20 juillet 2022
n°2
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586 notes - publié le 14 août 2022
Mon billet n°1 en 2022
Open RP - Working at Frozen Inc.
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Elsa smiled at her new employee. 
“Well, i went over your resume and everything seems perfect.” she gave her most pristine smile.
Everything about her radiated the confidence and pride of repeated appearances on the “Sexiest person of the year” as well as “Most successful CEO of the year” multiple years in a row.
“if you don’t have anymore questions, we can move to my office.”
776 notes - publié le 8 mars 2022
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poesiescendrees · 1 year
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dimensions : 675*1275px soit 1,5 x 450*850px.
modifications possibles : titre & sous-titres, tons dominants (possible de changer le rouge pour une autre couleur à priori), avatars, réduction du format. possibilité de vous créer un ou deux boutons rapides de messages & co.
disponibilités : merci de vérifier mes disponibilités sur le billet épinglé de mon tumblr avant de me demander toute modification; je ne suis pas là à temps plein sur les forums. merci pour votre compréhension !
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volusfm · 10 months
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Il est temps d'arrêter de défendre Cyberpunk 2077
Dans un peu plus d'un mois sortira le DLC de Cyberpunk 2077, Phantom Liberty. Et si je compte y jouer, ne serait-ce que pour la curiosité, je fatigue d'avance à l'idée d'entendre de nouveau les éternelles rengaines à base de "ça va, le jeu n'est plus si buggé maintenant". Parce que bon, le problème n'a jamais été là.
J'avais déjà écrit un fil au sujet des problèmes que je trouvais au gameplay du jeu, mais malheureusement, il y a plus à creuser.
Alors, peut-être que le DLC proposera quelque chose d'intéressant, qu'il y aura encore un patch qui améliorera les choses... mais en substance, on ne sauvera pas Cyberpunk 2077. Car au delà des bugs, on a un jeu qui ne tient pas ses promesses. Et ni les patchs ni un DLC n'y feront grand chose.
Soyez avertis : ce billet contient de (légers) spoilers sur le jeu.
L'ambition démesurée
A priori, tout le monde se doute que les ambitions de Cyberpunk 2077 étaient gargantuesques et que le jeu est loin de les avoir remplies. Ce qui est d'autant plus triste, c'est que derrière ce fantasme, il y a une catastrophe humaine et des dizaines, sinon centaines, de développeurs qui ont crunché pendant des mois pour tenir une deadline impossible. Rappelons que les développeurs ont déclaré qu'ils voulaient poursuivre le développement jusqu'en 2022 pour espérer faire ce qui était prévu - et les ambitions étaient si gargantuesques qu'il n'est pas sûr que cela aurait suffi non plus.
Et cet enfer vécu par les développeurs ne s'est pas arrêté à la sortie du jeu, étant donné tout le travail qu'il y a eu à faire pour stabiliser le jeu par la suite.
"Cyberpunk" ? "2077" ?
Au delà des évidents problèmes de scope, Cyberpunk 2077 a bien du mal à tenir une promesse presque banale en apparence : celle de son titre.
En surface, le jeu fait clairement le travail : on a un jeu qui fait très cyberpunk dans le visuel, dans les sons et dans l'ambiance. Le soin apporté à Night City et à tout un tas de détails est tout simplement monumental, et la quête principale, sans être extraordinaire, se laisse très bien suivre.
Seulement, quand on creuse... eh bien, en une centaine d'heures passées sur le jeu, j'ai eu bien du mal à voir dans ce jeu l'expérience cyberpunk implicitement promise dans un futur situé dans un demi-siècle, ni n'y ai vu de messages de lutte anti-corporations pourtant présents dans la promotion du jeu.
A vrai dire, j'ai dû croiser trois personnes travaillant pour des corporations dans le jeu. Meredith Stout (Militech), Haiko Arasaka et Goro Takemura (Arasaka). On peut "romancer" la première, conclure un pacte avec la seconde, et on est amené à collaborer avec le troisième pendant tout un arc. On pourrait y voir l'impossibilité de renverser le système en tant qu'individu, et il y a sans doute un peu de cela. Mais pour un jeu qui voudrait dénoncer la domination des corporations sur les états, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y va de façon légère, pour ne pas dire superficielle.
Et de manière générale, Cyberpunk 2077 semble avoir une vision très superficielle du futur et du cyberpunk. La vision de la société qu'on nous propose, outre la domination des corpos, consiste à verser dans une sexualisation et un peu de trash à tout va, ce qui bien visible dans les publicités qu'on voit un peu partout dans Night City. Et... c'est tout. C'est tout ce que le jeu nous propose comme vision cyberpunk du futur en 2077. Des méga corporations qui sont plus mentionnées qu'autre chose, beaucoup de lumière, du cul et du gore.
Rien sur la vie "virtuelle" sur Internet ou son équivalent, rien sur les réseaux sociaux, rien sur le traitement des données et leur confidentialité. Comment, sur un jeu censé se dérouler dans cinquante ans dans le futur, a-t-on pu passer à côté d'un sujet aussi critique de notre monde actuel en 2020(3) ? Rien non plus sur l'utilisation croissante d'implants et la remise en question éventuelle de notre humanité, si ce n'est un vague commentaire sur Adam Smasher ("freak's barely even human anymore!"), perdu entre des milliers de lignes de dialogue.
Le cyberpunk est un genre qui s'est fondé sur la critique de son époque et d'une vision du monde, et ce que j'ai vu de plus provoquant dans CP2077, c'est l'hypersexualisation liée à la consommation.
Quant à la domination des corporations, on a du mal à ne pas déjà la sentir dans notre propre époque en 2020. Du coup, non seulement le futur dystopique que CP2077 veut nous présenter est assez creux, mais en plus, il a bien du mal à nous perturber, n'ayant pas été mis à jour pour refléter notre futur, et pas celui des années 80 (quand le genre est apparu).
Le jeu marcherait peut-être s'il s'appelait Cyberpunk 2020 (et encore). Manque de pot, il s'appelle Cyberpunk 2077, et quand on creuse sous l'esthétique du jeu, on ne trouve guère plus que du cyberpunk dépolitisé, vidé de sa substance et réduit à de l'hypersexualisation un peu cringe et beaucoup de néons.
Le mot de la fin
J'ai titré ce billet de manière volontairement provocatrice, mais je ne suis pas loin de penser qu'il faut effectivement arrêter de défendre Cyberpunk 2077. D'abord parce que ce jeu a été un échec sur le plan critique et une catastrophe sur les plans technique et humain. Et ensuite, parce que les bugs (les défenseurs du jeu aimant rappeler que Witcher 3, lui aussi, était sorti buggé) n'ont jamais été le problème du jeu. La superficialité de ses messages et de son contenu en sont un beaucoup plus sérieux. Et aucun patch ni DLC ne changera cela.
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fallingintheforest · 1 year
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Linked Universe Ski Patrol AU - Part 2
Only energy for two boys tonight..
Legend:
Ski Patrol Member
Skier - Speciality: Moguls & Backcountry
Former National Team member
He has been frequenting the mountain since he was a little kid. Once he started competing he very quickly dominated the scene. 
Currently, he is on a break from competition after feeling quite burnt out at the end of last season. 
As much as he loves the thrill and technical aspect of moguls he longs for days spent in the backcountry exploring with no civilization in sight and the calm stillness of the forest. 
Hyrule and Legend are backcountry skiing partners. 
Whenever there is a need for something, the patrol knows to radio Legend. They have yet to ask for something that Legend isn’t able to produce from his bag: trail mix, extra socks, flashlight, swiss army knife, hot packs, lip chap, tape, tweezers, sunscreen, gel packets, medicine... Man is a walking Pharmasave. 
Enjoys teaching pre-teen age groups the most as they tend to pick up new skills quickly and are comedic balls of happy energy. (They are also past the age of having to be carried off to the bathroom every 15 minutes).
Rents a townhouse with Hyrule and Wild. Their house is a constant disaster and Legend is 95% sure Wild has been stealing his favourite smartwool socks.
Wind:
Junior National Team Member (& VERY jealous he is not old enough to join Ski Patrol)
Skier — Seriously thinking about transitioning to snowboarding as a primary.
Billets with Time and Malon.
Got stuck headfirst in a tree well last season while skiing off piste and sent the entire patrol into a frantic frenzy trying to find him. Wars and Time simultaneously received their first grey hairs that day. Wind maintains he was cool as a cucumber, but boy was stressing.
He was introduced to skiing by his older cousin (Wars) on a family trip. Aryll didn’t take to it as much as Wind did. Eventually Wind stumbled upon old racing clips of Time and was completely enamoured. After that he threw himself into the sport and landed himself a spot on the Junior National Team. 
Time is Wind’s primary coach. 
Wars use to help out more with coaching Wind however, Wind has hit that prickly age which means he is less likely to be receptive of advice given by family. Lately, their interactions during practice tend to devolve into eye rolls and arguing when Wind gets frustrated. 
Has pilfered a spare key to the patrol office and raids the fridge on a daily basis (“Someone ate part of your sandwich Wars? Oh, what a shame...”)
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 109
Vendredi :
J'emmène Jimmy chez le père de Ric, hé oui, les amis en premier. Son troisième client sera le père de Pierre. Les autres passeront après.
Même si il s'occupe encore beaucoup de Ric, il n'est pas sans porter intérêt à ce que je peux lui proposer comme nouveauté. ;Je lui précise juste en arrivant qu'il n'a pas l'expérience de son Ric et donc qu'il faut qu'il y aille cool. Il me dit qu'il se souvient très bien des débuts.
Il me remet mon enveloppe. Je feuillette les billets pendant qu'on le suit dans son bureau. Comme Xavier, il a majoré la somme. Je le remercie, il me dit que c'est normal pour me remercier du service apporté. J'empoche. Il s'assied derrière son bureau et demande à Jimmy de se mettre nu. Ce dernier s'exécute, ce n'est pas trop mal. Quand il en arrive à descendre son slip, je vois bien qu'André (le vieux) bande comme un taureau. Il ne peut cacher ses 27cm x 7 qui dépassent du plateau de son bureau. Jimmy est surpris. C'est vrai que même à coté de Xavier, la bite d'André fait monstrueuse. Il se lève de son fauteuil, fait le tour du bureau et appui ses fesses dessus. Sa bite sort de par la braguette. Il passe une main dedans pour passer ses couilles à l'air libre. Jimmy comme hypnotisé, avance s'agenouille et le prend dans sa bouche. Je l'observe faire, pour pouvoir corriger au retour. Il s'applique sur le gland et arrache à André un satisfécit. Ce dernier m'en fait part et dit reconnaitre ma patte dans sa façon de travailler un gland. Je lui demande si c'est un problème, il me répond que s'en serait un si c'était du mauvais travail mais que ce n'est pas le cas.
Il pose sa main sur la nuque de Jimmy et appui doucement pour lui faire comprendre d'en bouffer un peu plus. Aussitôt Jimmy se met à pomper. J'observe la mâchoire, il ouvre grand pour en prendre le maximum et sa gorge se déforme sous la poussée d'André. Dan cette position (à genoux devant André debout) il ne peu en prendre plus de ma moitié. André le soulève comme une plume et le pose en travers du bureau, la tête pendante sur le bord. Jimmy connait cette position qui lui permet d'en prendre plus en gorge. De lui-même il pousse sa tête en arrière et ouvre grand la bouche. André s'y engouffre et lui tenant la tête entre ses mains, s'enfonce derrière la glotte. Malgré tous les efforts de Jimmy, il laisse 3 bons cm dehors. Quand André sort, il s'excuse de ne pouvoir faire mieux. Ce dernier lui caresse la joue et lui dit que ce n'est qu'une histoire de temps (Ric lui arrive à la bouffer totalement), et il lui renfourne sa bite. Se tournant vers moi, André me demande si de l'autre coté, il aura autant de mal. Je le rassure et lui certifie qu'il pourra y entrer tout son matériel. Aussitôt dit aussitôt fait et il le fait pivoter pour avoir son cul devant les yeux. Il se baisse et va tâter de la langue l'anneau qu'il ne va pas tarder à défoncer. Il le mouille bien mais je lui dis qu'il faudra quand même mettre du lubrifiant. Il se redresse, se kpote et se couvre de gel. Il pose son gland sur l'anneau et me demande du poppers. Je lui dis qu'avec Jimmy ce n'est pas nécessaire, il s'ouvre aux dimensions désirées sans artifices. Rassuré, il s'enfonce dans les profondeurs des on boyau. Comme prévu, Jimmy s'ouvre bien et son anus se déplisse pour accepter la saillie. André me fait la remarque qu'il se sent quand même bien serré malgré la facilité de pénétration. Il s'enfonce jusqu'aux couilles. Jimmy tourne la tête vers moi et je lui fais un signe de la tête pour le féliciter. Il regarde alors André avec un sourire qui lui barre le visage. André commence alors un limage en règle. Lentement dans un premier temps, pour bien habituer le boyau au diamètre de son mandrin puis, plus rapidement. Jimmy se redresse et passe ses mains derrière le cou d'André, je saurais plus tard que son dos raclait la surface du bureau et que ce n'était pas agréable.
André se déchaine et je sens qu'il va bientôt jouir. Il se redresse brusquement, soulevant Jimmy du bureau. Il le tient bien enfoncé sur sa queue et je le vois trembler à chaque éjaculation. Jimmy ne peut se retenir et lui jute sur son gilet de costume.
Il m'offre un whisky pendant que Jimmy se douche dans la salle d'eau attenante. Il me demande comment est ma deuxième recrue. Je le lui décris et ajoutant que pour lui c'est poppers ou pas de pénétration. Il me répond que le principal c'est de pouvoir entrer. Il me dit aussi qu'avec un peu "entrainement, Jimmy sera capable de l'avaler entier comme Ric, j'acquiesce.
Je lui demande comment ça va avec son fils. Il me dit que ce dernier lui donne toute satisfaction, aussi bien à la fac que dans son lit. Je lui dis que bientôt, il devra se faire à l'idée que Ric puisse se trouver un mec à lui. Ça me vaut un regard noir. Je l'assure que je serais toujours là pour lui fournir de quoi s'amuser. Il me dit surement moins disponible que son fils. Je lui réponds alors qu'à terme, un ptit mec comme Jimmy pourrait lui être un serviteur full services.
Il me dit qu'il n'y avait pas encore pensé mais que ce serait surement la bonne solution pour lui.
Jimmy nous rejoint et nous cessons cette conversation.
Nous rentrons. En cours de route (nous sommes en voiture) je lui demande comment il a trouvé André. Il me dit qu'il l'a trouvé sympathique. Je lui demande si un jour il pourrait envisager d'entrer à son service, il ne comprend pas et je lui explique ce que pourrait être sa vie future. Il réfléchit et me dit que si c'est ce que je pense être le mieux pour lui alors pourquoi pas. Je lui dis que ce n'est pas encore d'actualité mais que s'il le voulait, nous pourrions envisager une formation " maitre d'hôtel / secrétariat" plutôt que son taf de jardinier. Il me dit que ce serait peut être mieux alors. Je me promets d'en reparler à André et de voir ce qui existe comme formation dans les environs.
Quand Marc rentre je lui fais part de mes cogitations. Il est d'accord avec moi. La formation secrétariat / maitre d'hôtel en sus des services sexuels pourrait être une bonne porte de sortie pour Jimmy. Comme on est vendredi, j'en touche deux mots à Samir et lui demande par la même occasion comment le père de Jimmy prenait les choses. Il me dit que c'est une bonne idée et que pour le vieux de Jimmy y'avait pas à s'en faire, il avait annoncé à son entourage que son fils s'était trouvé un travail dans une autre ville et qu'il était obligé d'y vivre.
Samedi matin Classique, cours et baise pour le père de Jean.
Samedi après midi Je suis un peu tendu, ce soir je fais excort-boy dans le grand monde !! Je passe l'après midi à me préparer, épilation, rasage. Je me lime les ongles pour les avoir tous à la longueur parfaite. Marc vient m'inspecter. Il me trouve parfait (ça m'avance ce genre de remarque !) puis prend la pince à épiler et l'approchant de mon visage retire deux poils un peu trop longs de mes sourcils. Il me claque les fesses et me dit que maintenant c'est vraiment parfait.
Je suis trop impatient et j'arrive dès 17h chez Emma. Elle a finit par mettre au courant son personnel (une vielle cuisinière / femme de ménage et le valet / major d'homme de feu son mari). Ils sont à son service depuis des années et lui sont d'une fidélité à toute épreuve.
Je fais connaissance. Après tout je suis un employé comme eux (enfin pas tout à fait quand même). Devant mon léger stress, la cuisinière me prépare une tisane calmante mais énergisante quand même, pas question que je m'endorme au beau milieu du dîner.
Je vais me changer avec Emma. Quand je suis nu, elle s'aperçoit du soin avec lequel je me suis préparé. Ce n'est pas qu'habituellement je sois négligé mais là, j'ai vraiment fait une préparation spéciale. Elle me caresse, je lui dis de cesser car je vais bander et même avec un costume bien taillé, ça va se voir. Aussitôt elle glisse à genoux et enfonce ma bite dans sa bouche. Je veux me retirer mais elle s'accroche et me pompe jusqu'à ce que j'explose. Ce qui est assez rapide vu mon stress. Je suis bon pour une douche ! Quand j'en sors, Emma est presque prête. Il ne lui reste qu'un ajustement de maquillage. Je revêts la tenue qu'elle m'a préparé. Slip Aussiebum wonderjock, chaussettes, chemise blanche avec les boutons de manchettes en diamants blancs, pantalon de costume anthracite, chaussures noires, cravate et enfin la veste du costume. Je secoue les épaules et elle tombe naturellement. Je n'oublie pas de passer la montre qu'elle m'a offerte. Dans la glace, je vois un autre homme, plutôt un frère (que je n'ai pas) que moi.
Emma est enchantée du résultat. Quand nous sortons de ses appartements, j'ai droit à une bise de la vieille cuisinière et un regard approbateur du major d'homme. Ce soir la grosse Mercedes est de sortie, le major d'homme faisant aussi chauffeur. Nous arrivons avec une bonne demi-heure de retard. Le 1/4 d'heure c'est pour les hommes ! Dans la cour de la propriété déjà une dizaine de véhicule haut de gamme sont garés, avec au coté de certains un chauffeur en train de fumer.
Monté du perron (la propriété est très grande et la maison ressemble plutôt à un château), on nous ouvre, je laisse passer Emma en premier (elle connait le lieu). On nous débarrasse de nos manteaux et nous conduit vers un salon d'où monte un certain brouhaha. L'entrée d'Emma fait sensation. Je remarque quelques femmes dans l'assistance, mais aucune ne peut rivaliser avec elle (sauf en bijoux, deux en sont couvertes).
Elle m'entraine vers notre hôte qui la salut d'un baise main parfait. Elle me présente comme son escort-boy. Je lui serre la main avec un beau sourire pour lui montrer que je suis complètement à l'aise avec cela. Il essaye de me la broyer. Mon costume cache assez bien ma musculature et il ne s'attendait pas à ce que l'inverse se produise. Toujours en souriant, je lui demande s'il veut s'essayer à qui fera pipi le plus loin. Il ne me répond pas et engage Emma à saluer ses autres invités. Nous faisons le tour. Deux hommes d'un certain âge sont accompagnés de jeunes hommes aussi élégants que moi, présentés comme leurs neveux (faut pas prendre les gens pour des billes !!, ce sont des escorts comme moi... enfin moins beau que moi quand même !). Un troisième me demande qui a gagné le concours. Je mets quelques secondes à réaliser qu'il avait entendu ma conversation avec notre hôte et à son sourire, j'ai compris que je me l'étais mis dans la poche.
Pendant le diner, je suis placé à la droite d'Emma elle-même à la droite de notre hôte et coincé de l'autre coté par un des vieux à escort-boy. Je suis les seuls des trois à être aussi bien placé, les deux autres sont relégués avec les accompagnantes. Si ils sont bien ce que je pense, ils vont être malheureux !
Notre hôte essaye plusieurs fois d'amener Emma vers plus de confidence me concernant pendant que mon voisin de droite m'entretien d'industrie, de commerce international et de finance. J'essaye de sortir avec à propos mes connaissances fraîchement acquises. Ça a l'air de marcher et j'arrive à faire illusion. Quelques analyses d'Andrée me valent même un regard impressionné et un aparté où le vieux aimerait que son " gigolo " s'intéresse à autre chose qu'à son fric. Au moins il est lucide à défaut d'avoir eu du discernement concernant son choix d'accompagnateur !
Emma qui me surveille sans en avoir l'air, apprécie que je me sois mis dans la poche mon voisin. C'est un grand capitaine d'industrie (plutôt général vu l'âge). Quelques instants plus tard, il me demande ce que je fais dans la vie, oublieux que je sois arrivé au bras d'Emma. Je lui dis que je viens de monter ma propre société de design d'espace vert. Il me demande mon âge et s'étonne que j'en sois déjà là.
Après le diner, je vais aux toilettes, j'y retrouve les deux autres escort-boy en train de vérifier leurs mises. Je demande qui accompagne le vieux qui était à coté de moi pendant le diner. Le brun s'avance, je le préviens qu'il à intérêt à se montrer intéressé au taf de son boss si il veut rester dans son entourage. Sa réponse me montre qu'il ne comprend pas, tant pis pour lui si il perd sa situation. Le second me drague plus qu'ouvertement puisqu'il me met la main au paquet en me disant qu'il kiffe les hétéros. Nous sommes pressés, il me fait bander. Je sors ma bite et il me l'avale direct. Il me pompe comme un affamé alors que l'autre se barre. Il est très efficace et je dois le repousser au moment ou je jute en évitant de tacher sa veste. Nous nous réajustons. Il me dit que son vieux n'est plus actif et que c'est juste comme un trophée qu'il l'accompagne partout. Je lui confie que pour moi tout va bien de ce coté là. Il me dit que la prochaine fois il souhaiterait que je l'encule. Je lui dis pourquoi pas, après tout je sais qu'il ne dira rien, il a trop à perdre.
Dans la soirée, Emma s'accroche plus d'une fois à mon bras, surtout quand notre hôte est près de nous. Comme il m'envoit un Scud destiné à me faire passer pour un con, je le remets en place à l'aide d'une des infos hyper confidentielles que m'a donné André. Il cesse aussitôt se demandant bien comment j'avais pu avoir accès à cela. Au retour, j'ai droit aux félicitations d'Emma, avoir mouché deux fois son connard d'associé et m'être mis dans la poche les deux plus importants personnages de la soirée l'avait enchantée.
Elle relève la glace sans tain nous séparant du chauffeur, puis me tombe dans les bras. Notre pelle m'a électrisé et fait bander grave. L'espace étant quand même exigu, j'ai arraché sa culotte pour pouvoir lui manger la chatte. Elle était toute mouillée et me dit avoir attendu cela depuis notre arrivée chez notre hôte. Je déboucle ma ceinture et me kpote vite. Elle m'enjambe pour s'assoir sur mes genoux et s'enfiler ma bite en elle. Est-ce le lieu, l'excitation du moment, ses félicitations, toujours est il qu'elle m'a fait jouir avec son vagin.
Changé, ;je reprends ma voiture, elle me glisse mon salaire du soir.
JARDINIER
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MARDI 4 AVRIL 2023 (Billet 3/3)
Nous avons fait la connaissance de ces jeunes et très sympathiques champions hier dans l’émission « C à vous » et avons surtout vu un échange entre eux deux, lors de leur finale, tout à fait EXCEPTIONNEL.
Nous avons réussi à le retrouver sur Internet. Approchez-vous un peu de votre écran, la vidéo est très courte (50 secondes) et tout va surtout très, très vite.
_____________________________
Après avoir remporté son premier titre de Champion de France de tennis de table l'an passé, le Montpelliérain réalise le doublé en s'imposant à Antibes ce dimanche 26 mars 2023 face à son frère Félix (4-1).
Alexis Lebrun a conservé le titre de Champion de France individuel de tennis de table en dominant en finale son frère ce dimanche à Antibes (Alpes-Maritimes). Après la perte du premier set, Alexis (19 ans, 28e mondial) n'a laissé aucune chance à Félix, 16 ans, remportant assez aisément les quatre manches suivantes.
(Source : « france3-regions.francetvinfo.fr »)
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Prophétie révolutionnaire 
Le ciel chialle des larmes de poupées
Eventrées dans ce soleil noir décharné 
Ces putains de chiens vendront le ciel sur Amazon
En Amazonie ,tout brûle et comme on chantait le monde est stone 
Ils vendront la terre verte pour des billets puants 
Ils vendront l'éther contre internet et l'inerte néant 
Le ciel brûle, pue, chie , crie 
Un jour renaîtra la prophétie 
Celle des monstres troués 
Dans les ronces oubliés 
Celle les handicapitaines de bateaux 
Abolissant les drapeaux et la haine
Brûle le drapeau, la frontière, la barrière
Brûle la norme gregaire et amer
Nique les rois ,vive les rats 
Nique l'état, vive le malfrat 
Malfrat des codes, tu nique les style et les modes
Malfrat des modèles,sans forme ni mode
Arrache tes chaines, vole comme le piaf puant 
Fait couler dans tes veines le cri Rouge du firmament 
Nique la princesse ,le beau,le flouze 
Vive le clodo à l'ouest et la bouse 
Vive cet âge d'or où la beauté est dans le cri
Vive l'aurore des corps ou la liberté est le premier fruit 
Nique le mâle dominant 
Nique le mal domino 
Nique ta race de robot
Nique ta crasse derrière le beau
Je suis une salope mais mon bureau est complet
Patronne de ma propre entreprise ,t'est tricard  ,t'est trop laid
Laid dans ta thune et ta Lamborgini
Je suce pas vos bites ,moi j'avale l'anarchie 
Car le ciel dois être une meuf qui mouille 
Les reufs machos auront la trouille 
La révolution des rats niquera l'état
La démission des rois invitera la foi 
A bats la télé ,vive les visions ,les prophéties 
La prophétie des monstres ,des freak 
Qui piquent niquent et niquent les riches en abolissant tout institutions psychiatrique 
A bat les apartheid, les séparations
A bat les aides pour les riches qui touchent déjà  trop d'allocations 
A bat l'eugenisme, vive les tordus et leur cris
A bat le nazisme ,on t'a crue toi et ta poésie
A bat les spectacles de ces clown
Où les humiliés sont un cartoon
A bat les patrons ,les trop couillus 
A bat le patriarcat et vive les meufs trop poilues 
A bat le culte du corps mince
A bat le cul et l'or du prince
A bat le keuf raciste dans la banlieue 
A bat le reuf machiste et vive le feu 
Le feu des femmes ,la flamme des cieux 
Des cieux qui prendront feu
Pour les travelos, tox et les pute  pourtant si belles et  beaux 
Pour les clodos ,les homos et les brutes qui se levent déjà si tôt 
 
Les punk  trop pieux et les pieux trop junk 
Les funk trop feu et la prude trop skunk 
Les triso qui veulent devenir mannequin 
Les schizo géniaux et les divins clandestins
Pour tout les rejettés splendides de cette société vide!
Il est enfin venu le temps de la  grande prophétie !
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Nébuleuse 
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harringtons-cupid · 2 years
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J'ai publié 7 492 fois en 2022
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Mes billets vedette en 2022 :
n°5
Ronance X Reader Smut Imagine
Request for Anon
Say please
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Words: 1.8K
Warning:
18+ only
She/her pronouns are used, praise kink, including 'Mommy kink', submission and dominance kink described, handcuffs, vibrators. oral sex, kissing, finger play and spanking are mentioned.
Robin and Nancy have been together for over a year, their sex life was full of different experiences but one that they had discussed frequently was a threesome.
You had been in their inner circle since the beginning, they knew that you had the biggest crush on both of them. They had discussed the idea of bringing you into the equation at length.
They flirted with you every day at school, testing the waters to see if you would truly do anything. When you were on your own with either of the girls, you flirted relentlessly but grew nervous around both of them. Not wanting to seem like you were sabotaging their relationship.
One rainy Friday, you all organized to study at your house. The girls seemed keen, they had mentioned earlier in the day that they needed to rush home to “change”
By change, they were really grabbing some of their sex toys. Wanting to try with you in your room, they knew that it would be where you would feel the safest.
They arrived not long after school finished, their faces were full of mischief and glee. You assumed that they had, had sex but they just looked at each other making you feel more confused.
Once upstairs, you sorted out your study books. You were lying on your double bed with both the girls either side of you. You looked through your textbook as music blasted through your stereo, the girls were lying on their stomachs.
Looking bored as they flickered through their school books, you stumble onto a question after trying to figure it out. You give up struggling and decide to ask the girls for help. Nancy is smart so she might know the answer.
“Nancy? Could you help with this question please?
“Say pretty please”
“Pretty please Nancy”
She had moved closer to you now, you could feel her breath on your skin. Your eyes met Robin’s who just winked at you.
“Good girl”
Shivers were sent down your spine, your body felt hot. You wanted to hear her say it again.
“Again”
You whispered, hoping that she didn’t hear. Turning your attention down to the question in front of you, Nancy’s mouth was close to your ear now. Only you and her could hear both of your words.
“Good girl”
“Now let’s get on with this question”
Nancy helps you through the question, after 2 tries you are able to correctly answer it. You felt pleased with yourself, Nancy’s body was hovering over yours with her left hand supporting her body weight.
You wanted to stay like this forever, you secretly enjoyed Nancy praising you.
“Look at what such a good girl she’s been Robin”
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325 notes - publié le 3 août 2022
n°4
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365 notes - publié le 21 octobre 2022
n°3
Robin X Femreader Smut Imagine:
I can't believe this is happening
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Based off a dream by: @oo0lady-mad0oo
You and Robin the best of friends, seeing each other daily at school, in band practice and after school. Steve began to grow of all the time you guys spent together, always interrogating you both about whether there was a secret relationship happening that he wasn't in on.
You had fancied Robin since the moment your eyes met in the crowded hall just after band performance, you had been new to the school and were nervous to perform strongly in band practice. She reassured you that day, offering you lessons to improve your band practice. You soon grew close.
You came out to her about liking girls, anxious of her reaction her but she assured you that you were not the only girl who liked girls. Winking at you.
One night after a failed attempt at studying, you popped into Family Video to see Robin and Steve packing away a pile of video tapes chatting together. The noise of the door making Robin jump, a little squeal escaped her mouth causing you to smirk. She looked super cute trying to hide the fact that the noise was her, blushing at you.
Steve stood up and tilted his head to you,
''Alright'' he was clasping a bunch of video tapes firmly in his hands, his eyes staring into your soul.
He'd never tell Robin but he'd always thought you were cute.
You walked to the back of the shop, still aware that Robin was hiding from you. Assuming that she was talking about you.
Scanning the comedy movies until you noticed a new film had come out 'Ferris Bueller's day off' intrigued you picked it up, bringing it to the counter where Robin had popped up from beneath the counter.
You smirked as she ran the video tape through.
''Fancy giving this a watch with me? Its a new release isn't it?'' you softly spoke, edging closer to her. You felt her body tense up, there had always been an uncontrollable amount of tension between you two.
''Uh, Yeah it is. But sure, I'll be round yours once I clock off which is in an hour'' she smiled at you kind of awkwardly, winking at her as you grabbed the video tape and left.
An hour and 30 minutes later, you heard your doorbell ring. Getting up from the couch where you had arranged some snacks for you both. Robin had changed out of her Family Video clothing and into a soft green t-shirt and jeans with black boots, her hair was still wet from an obvious shower.
She looked irresistible.
Inviting her in, she sat awkwardly on the couch as you put the video into the television. You joined her waiting for the movie to start, making conservation you ask her about her day until the movie title screen blasts out noise causing you both to jump.
After relaxing, you both settle down into the couch munching on food. Robin keeps glancing over to you between scenes in the movie. Her laugh filled the room, the actress that Robin was clearly fixated on was annoying you.
She was pretty but you wanted her attention. Craved her attention, wanting to know what she tasted like.
You didn't notice that you had been staring at Robin, you turned to focus on the tv. Licking your lips, all the time you just wanted to kiss her.
Her attention was snatched once more to the beautiful actress, throwing her head back laughing looking at you. Her face was closer to you now, your breath was hitting her face as you stared at her in amazement.
Without thinking, you touched her face with your hand causing her to whimper in shock. Her face turned to look at you as you caressed her face, bringing her lips closer to yours. Robin was hesitant but kissed you softly back.
It wasn't long before she pushed you onto the couch kissing you aggressively, soft moans escaping both of your mouths. Switching positions as you lay on top of her, both of you now in your underwear. She looked stunning in her pastel pink lace underwear and matching sports bra, looking nervous as you kiss down her body.
You pull off her underwear with her teeth, growling as you lick down until you reach her clit. Her body quivers, you suck hard on her clit making her moan. Her hips bucking as she rides your face, grinding her clit against your tongue. Moaning loudly with pleasure, you insert your fingers inside her vagina. Feeling her wet pussy as you fuck her.
She cums hard in your mouth, removing your fingers you lick up her vagina and back on her clit again.
''No, Let me fuck you''
She pushes you off her, forcing you on your back. Pulling down your underwear and began grinding her clit against yours, as she kissed you passionately.
As your pussies moved together, watching her in pleasure. She looked wonderful and hot at the same time as she fucked up. Her hands wandered around your neck, choking you lightly not wanting to hurt you.
''Oh god I can't believe this is actually happening'' giggling through her orgasm.
Voir l'intégralité du billet
400 notes - publié le 29 juillet 2022
n°2
Eddie Munson would definitely push your head into the pillow as he fucked you from behind, muffling your moans
He’d be interested in wearing a cock ring as he choked you, enjoying the vibrations as it slid in and out of you.
Your voice going hoarse, his hands holding your arms above you. Your clit grinding against the bed, your body shaking as his tip hit your soft spot.
Eddie Munson’s rings would feel cold against your skin, his lips nibbling on your neck.
Whispering “you’re such a good girl, taking my cock aren’t you” as you whine and whimper.
593 notes - publié le 25 novembre 2022
Mon billet n°1 en 2022
Steve Harrington likes to fuck you slowly, his hands are intertwined with yours as he slide in and out of you. Wanting to truly feel you, hitting your soft spot with long and soft strokes.
His moans are raspy and hot against your ear, his lips peppering your neck and collarbones. He loves to watch you shiver as he blows on the wet spot.
His hands tightening as he would slowly move your legs around his back, shivering and whimpering as he’d try his hardest not to speed up. Even as you whispered in his ear, his pace would stay the same.
Your hips would buck beneath him, groaning and begging to speed up but his hands would slide around your neck and squeeze tightly.
His eyes would roll back as he’d continue to move so slowly, riding slowly through his orgasm. Only at the end would he speed up, his fingers would play with your clit as he came hard inside you.
Ensuring that you came too, your pleasure was important to him but he enjoyed edging you through slowly fucking you.
594 notes - publié le 18 novembre 2022
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lemondeabicyclette · 2 years
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« Exporter la faim »: Moscou renvoie l’Occident à ses fake news et promet de «tout faire» pour l’Afrique
«Les spéculations de la propagande occidentale et ukrainienne selon lesquelles la Russie "exporte la faim" sont absolument sans fondement», a argumenté Sergueï Lavrov dans un article publié dans des médias africains.
Le chef de la diplomatie russe a rappelé que pendant la crise du coronavirus, l'Occident avait capté les flux de matières premières et de nourriture, grâce à la planche à billets et la domination de ses devises.
A ce sujet, Lavrov a rappelé que la Russie travaillait à exclure le dollar et l’euro de ses échanges avec l’Afrique.
Indice que la crise alimentaire n’est pas totalement de la faute de la Russie, le régime de Kiev aurait accepté, selon le New York Times, de déminer des ports de la mer Noire, pour l’exportation de céréales et d’engrais.
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contesdefleurs · 2 years
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Dépression et écriture
[ TW - Dépression et mal-être ]
Ce billet n'a pas pour objectif d'offrir des solutions. C'est simplement une façon de m'exprimer librement sur ce sujet et de donner quelques petites ressources pour les personnes qui sont intéressées. Je sais que certain-e-s d'entre vous me liront en étant concerné-e-s par cette situation. Si c'est ton cas, je t'envoie tout mon soutien.
Ça va faire un bon moment que mon rythme d'écriture a radicalement changé. À l'origine, je n'en avais pas vraiment. Du moins, il n'était pas fixe, à cause de l'environnement dans lequel je vis, des études et autres contraintes que je ne pouvais pas ignorer. Aujourd'hui, c'est encore pire. Avec la dépression, et toutes les choses qui l'aggravent, il est plus compliqué de garder une certaine concentration ou de se motiver à ouvrir ses carnets ou ses fichiers pour continuer d'écrire. Comme si je ne trouvais plus aucun intérêt à rédiger la moindre ligne, même quand les idées bouillonnent intérieurement. Alors, le temps passe, et mes écrits sont toujours figés au moment où je les ai laissés. Dans ces moments-là, j'ai envie de tout abandonner, de les retirer d'internet. "À quoi bon écrire quand on pense que sa plume ne vaut plus rien ?" La dévalorisation qui accompagne cette dépression est constante, et même en ayant conscience que ce n'est pas vrai, ces mots persistent dans mon esprit.
Et quand écrire est une activité importante à tes yeux, difficile de poursuivre des projets, même ceux qui ont une grande valeur sentimentale. Parfois, j'ai le sentiment que je suis incapable, que je ne pourrai, de toute manière, jamais m'améliorer, à un tel point que je doute de toutes mes idées. Parfois, l'envie de tout faire est très présente, seulement l'inaction domine. Je me suis accrochée à tout ce que j'ai pu pour continuer d'écrire et j'ai dû me faire à l'évidence que forcer n'est peut-être pas bon pour moi. Après tout, j'ai le droit de prendre mon temps, mais c'est si frustrant de ne pouvoir complètement maîtriser son rythme quand depuis des mois, tu te bats pour pouvoir poursuivre des projets d'écriture qui te plaisent.
Quand je pense qu'il y a des gens pour croire que la dépression ou la mélancolie sont des moyens efficaces pour créer de "belles œuvres", que l'on peut transformer des troubles en productivité, qu'il suffit d'avoir de la volonté, que le seul frein à tout ça, c'est soi-même. Ce qui est, bien sûr, totalement faux. On va mal parce que quelque chose ne va pas (quel spoiler), et il serait temps d'arrêter de montrer les troubles ou les maladies mentales comme un moyen de "produire". Rien n'est plus normal que de ne pas produire. Je passe les discours remplis de positivité toxique ou de croyances biaisées basées sur des idées psychophobes et autres joyeusetés. Bien évidemment, il est possible d'écrire en pleine dépression, sauf que ce n'est pas grave si ça n'arrive pas, au contraire.
Comme s'il fallait être "utile", selon les critères normatifs qu'on assimile à ce mot (qui signifie finalement tout et rien), pour exister.
C'est dur de faire des choses que tu aimes sans te sentir comme une personne qui ne vaut rien, sans se sentir envahi-e par des pensées sombres. Le temps défile, et tu n'arrives pas à avancer. Peut-être que toi qui lis ce billet, tu as ressenti toutes ces choses et que tu as la sensation de te noyer sans aucun moyen de remonter à la surface. Quelques trucs m'aident à tenir bon, malgré tout, en attendant que certaines choses dans ma vie s'arrangent et que ça aille mieux grâce aux soins et aux séances psy.
CE QUI M'AIDE À ME SENTIR UN PEU MIEUX
Je ne sais pas comment tu le vis, en tout cas de mon côté, je rencontre des sortes de phases où parfois la vie devient clairement infernale parce que la santé mentale est au plus bas, et d'autres phases où j'arrive mieux à gérer mes émotions très influencées par mes pensées, des fois trop envahissantes et rarement joyeuses. Pour écrire, ce n'est pas facile comme tu t'en doutes. Alors pour surmonter ça, et surtout essayer de continuer d'écrire quand j'ai vraiment envie de dégainer ma plume sans savoir quoi marquer, car je culpabilise de ne pas continuer des projets en cours, je me rappelle que :
Je ne suis pas nul-le parce que je n'arrive pas à écrire
Je n'ai pas besoin d'être utile pour avoir de la "valeur", je compte pour des gens, et des gens m'aiment et me soutiennent
J'ai le droit de prendre soin de moi et de ne rien faire
Je peux prendre mon temps, autant qu'il le faudra, pour me sentir mieux et ensuite reprendre mes projets
J'ai mes propres objectifs, mais je peux les adapter à mes besoins
J'ai le droit de partir sur un tout nouveau projet, il n'y a pas de règle stipulant que je dois avoir terminé les autres textes, surtout quand repartir de zéro avec quelque chose de tout nouveau peut me faire du bien
Je peux demander de l'aide et du soutien
Ne pas réussir ou rencontrer des échecs, c'est normal et c'est ok
Même si j'ai laissé mes écrits dormir, il y aura toujours des gens pour me lire quand je reviendrai
Ce n'est pas parce que d'autres ont réussi à surmonter certaines choses et moi non que je vaille moins que ces personnes, nous n'avons pas toustes les mêmes parcours de vie et les difficultés ne sont jamais pareilles d'un-e individu-e à un-e autre
Faire une pause n'est ni un drame, ni une honte, ni un échec, je peux en faire plein et elle peut durer autant que possible pour me ressourcer et aller mieux
Ce n'est pas parce que j'ai du mal à écrire que tout ce que je fais ne sert à rien ou n'a aucune valeur
Je dois aller à mon rythme, se presser n'est pas nécessaire, et il n'y a aucun mal à prendre son temps
Liste non exhaustive. Avec ces phrases, je tente aussi de négocier avec moi-même pour continuer à faire certaines choses. L'écriture peut se faire en créant de nouveaux personnages, en écrivant des brouillons ou des notes pour étendre un univers. Des fois, on ne se sent pas bien dans le monde réel, imaginer un autre monde peut aider à trouver un lieu fictif dans lequel s'évader un petit peu tous les jours. L'écrire, ce monde, serait aussi un moyen de se focaliser sur autre chose que des pensées pesantes et angoissantes. Il est également possible de juste faire des recherches en lien avec un projet qui nous tient à cœur, ou encore de dessiner des cartes par exemples, des petits portraits, créer des playlists. En bref, tout ce qui peut entourer tes histoires, de loin ou de près.
Dans tous les cas, si tu te sens mal parce que tu n'arrives plus à écrire, ou pas comme avant, parce que ta santé mentale t'en empêche ou que le mal-être persiste, sache que ce que tu fais ou ne fais pas ça ne regarde que toi. Tu n'as rien à prouver à qui que ce soit, et même si tu as certaines frustrations parce que c'est compliqué et que tu aimerais avancer, ce n'est pas grave de ne pas y parvenir. Le plus important dans ce genre de situation, c'est de prendre soin de toi, et quand cela est possible, de prendre du plaisir à écrire, quelle que soit l'histoire ou le texte que tu écriras.
Ce billet ne t'aidera peut-être pas, mais si ça t'a fait du bien de le lire, alors je te souhaite beaucoup de bonheur et j'espère que tout s'arrangera dans ta vie. En cas d'urgence, appelle tes proches ou des personnes de confiance, tu n'es pas seul-e. Sur ce blog, il y a des billets où je partage des tips, si cela peut t'aider côté anxiété et gestion des émotions, tu peux les retrouver dans les archives avec le #tipspelucheux notamment. Et si tu veux quelques idées pour écrire autrement et plus souvent, j'ai écrit ce petit billet :
Si la dépression, c'est quelque chose que tu connais peu et que tu aimerais mieux comprendre, concerné-e ou non, voici quelques ressources sur le sujet pour te donner une idée :
Prends bien soin de toi et à bientôt !
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