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Review: ‘A Tale of Love and Desire’ a rich, if jumbled, look at a young Algerian in Paris
BY CARLOS AGUILAR MARCH 10, 2022 7 AM PT
Erotic verses from ancient Arab poetry enrapture a painfully inhibited young man in the sensual coming-of-age drama “A Tale of Love and Desire” from Tunisian director Leyla Bouzid. Insecurity plagues Ahmed (Sami Outalbali), the 18-year-old son of Algerian refugees studying literature at the famed Sorbonne in Paris. There, he falls for Farah (Zbeida Belhajamor), an open-minded girl from Tunis who challenges his sexist hypocrisy.
In touch with her own carnal desires, Farah repeatedly tries to free Ahmed from the emotional blockage imposed by patriarchal norms. Bouzid makes the case that before religious restrictions maligned hedonism, Arab art and philosophy advocated for physical pleasure.
But despite having connected with words that exalt romantic lust, Ahmed still sees sex as an impure act that taints love and not as a manifestation of it. In the disenfranchisement he feels from his heritage, there’s something lost about himself that‘s replaced with an opaqueness of spirit and a defeated demeanor.
Ahmed’s personal struggles mimic the oppression in Algeria and throughout the Arab world. While scenes at home broaden this context, showing his uprooted father’s influence on him, the intermingling of all these ideas lacks strong cohesion. There are lyrical touches in the form of dance and magical realist inserts that act as a visual escape valve for the pressure that builds from the protagonist’s overwhelming uneasiness.
Throughout, we share in Farah’s frustration, as Ahmed’s behavior suffocates the film, exponentially raising the necessity for a narrative catharsis. And in that regard, the director’s intent is effective, given that she waits until the very end to provide this release. Outalbali’s apprehensively quiet portrayal of this repressed individual, out of touch with his Algerian identity, feels deliberately one-noted until a liberating turning point.
Intellectually rich even if jumbled, “Tale” plays like a spiritual continuation of Bouzid’s 2015 debut, “As I Open My Eyes,” in the prominence of Arab music, its political undertones related to the Arab Spring, and because it also focuses on a defiant young woman named Farah with vaguely similar characteristics. Both pieces convey a yearning for an individual and collective freedom that begins with control over one’s own body as a means of expression.
‘A Tale of Love and Desire ’ In French and Arabic with English subtitles Not Rated Running time: 1 hour, 42 minutes
#A Tale of Love and Desire#Une histoire d'amour et de désir#Cinema#France#Tunisia#French#Arabic#Sami Outalbali#Zbeida Belhajamor#Diong-Kéba Tacu#Aurélia Petit#Mahia Zrouki#Bellamine Abdelmalek#Mathilde Lamusse#Samir El Hakim#Khemissa Zarouel#Sofia Lesaffre#Baptiste Carrion-Weiss#Charles Poitevin#Omar Khasb#Zaineb Bouzid#Carlos Aguilar
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Bad movie I have Titane 2021
#Titane#Vincent Lindon#Agathe Rousselle#Garance Marillier#Laïs Salameh#Mara Cisse#Marin Judas#Diong-Kéba Tacu#Myriem Akheddiou#Bertrand Bonello#Céline Carrère#Adèle Guigue#Thibault Cathalifaud#Dominique Frot#Lamine Cissokho#Florence Janas#Frédéric Jardin#Olivia Venner#Thibault Villette#Sylvain Baumann#Nathalie Boyer#Théo Hellermann
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Titane, Julia Ducournau (2021)
#Julia Ducournau#Agathe Rousselle#Vincent Lindon#Garance Marillier#Laïs Salameh#Mara Cisse#Marin Judas#Diong Kéba Tacu#Myriem Akheddiou#Bertrand Bonello#Adèle Guigue#Dominique Frot#Ruben Impens#Séverin Favriau#Jim Williams#Jean Christophe Bouzy#2021#woman director
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SAMEDI 18 SEPTEMBRE 2021 (Billet 1 / 4)
Si vous aimez nos Billets consacrés au cinéma, lisez s’il vous plaît, attentivement, cette critique sur un film que JM est allé voir tout seul mardi après-midi.
Ensuite, regardez la bande-annonce ci-dessus… puis, pour finir, lisez ce qu’il en a pensé à la fin du Billet
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« UNE HISTOIRE D’AMOUR ET DE DÉSIR » (1h42)
Un film de Leyla Bouzid, avec Sami Outalbali, Zbeida Belhajamor, Diong-Kéba Tacu, Aurélia Petit...
Film présenté à la clôture de la « Semaine de la Critique » au Festival de Cannes 2021.
« Valois de Diamant du Meilleur Film » et « Valois du Meilleur Acteur » au Festival du Film Francophone d’Angoulême.
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Ahmed vit en banlieue parisienne. De ses origines algériennes, il ne sait que peu de choses. Passionné de littérature, il commence des études à la Sorbonne et suit notamment un cursus consacré aux écrits arabes courtisans et érotiques. Il y fait la rencontre de Farah, jeune Tunisienne pleine d'énergie fraîchement débarquée en France. Si Ahmed ne se sent pas totalement à sa place dans ce monde universitaire si loin de son quotidien et dans ce cours ouvert à la sensualit��, Farah, elle, semble tout à fait dans son élément. Elle boit du vin, il boit du Coca. Il n'a jamais mis les pieds en Algérie et ne parle pas un mot d'arabe, elle l'écrit parfaitement. Elle habite une chambre de bonne, il vit chez ses parents, entre un père dépressif depuis qu'il a quitté l'Algérie durant les années noires, ancien journaliste réduit au chômage, et une mère sacrificielle. Farah lui demande de la guider dans Paris – qu'il ne connaît pas. Ahmed est peu à peu submergé de désir pour cette fille libre et joyeuse. Perturbé par cet amour naissant et par la découverte de cette littérature dont il ne soupçonnait pas l'existence, Ahmed va tenter d'y résister…
« Une histoire d'amour et de désir » est la chronique subtile d'une émancipation, qui impose en douceur son originalité : le récit est tout entier centré sur le regard d'Ahmed et sur le frémissement de ses sentiments. Celle, ensuite, d'accompagner le bouillonnement intérieur du protagoniste par des textes méconnus de la poésie arabe, qui résonnent avec son initiation et éclairent ses atermoiements. Celle, enfin, de dresser un portrait tout en nuances de la « communauté maghrébine », dévoilant sa pluralité et sa complexité. À l'image de son joli titre, ce film raconte avec beaucoup d'intelligence l'éveil des sens et la construction de l'identité d'un jeune homme tiraillé entre de trop nombreuses injonctions contradictoires.
(Source : « american-cosmograph.fr »)
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Voilà un très beau film qui relate de l'éveil de la sexualité et la naissance d'un amour. Entre pudeur et poésie, retenue et impulsions, la metteuse en scène tunisienne Leyla Bouzid vise en plein dans le mille.
Avec délicatesse et sensualité, la réalisatrice érotise le corps masculin et met en scène le chemin de sa première fois, de ses blocages à ses « lâcher-prises ». C'est très bien interprété. Sami Outalbali est parfait et sa partenaire Zbeida Belhajamor, remarquable. On parle d’ailleurs davantage dans les critiques du talent du jeune acteur, en plaçant Zbeida Balhajamor un peu au second plan… alors qu’elle est étonnante de justesse de la première à la dernière image. Le premier semble être en contrôle permanent, avec la peur d'être jugé et rejeté, la seconde est libérée dans l'expression de ses sentiments.
L'autre point de vue très intéressant et presque central du film, c'est la place qu'occupe la littérature dans l'éveil des sens et des plaisirs de la chair. Par le biais de scènes de cours avec une professeure passionnée, la littérature devient le ciment qui imbrique les différentes scènes intimes entre elles. D'ailleurs, ces séquences sont très troublantes, notamment celle où Ahmed lit des poèmes arabes érotiques dans sa chambre.
Enfin, le scénario de « Une histoire d'amour et de désir » a le mérite de casser les idées reçues en évoquant une culture arabe ouverte au monde, aux plaisirs et au corps. Il y a aussi une volonté de montrer une génération à la croisée de deux cultures, frustrée d'une transmission incomplète et qui pourrait être condamnée à l'échec juste parce qu'elle est issue de la banlieue.
JM après avoir un peu hésité, lui a attribué finalement ♥♥♥♥ sur 5 mais le recommande essentiellement à ceux qui aiment les histoires d’amour, la littérature et la poésie, qu’elles soient arabes ou pas.
Il dédie ce Billet à un lecteur ami et abonné du Blog, Noureddine (B.), poète, écrivain et enseignant (il a dirigé le département « Langue et Littérature françaises » de l’université Cadi Ayyad de Marrakech), maintenant retraité.
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🎬💞🎞️ #Osmosis (Serie de TV) (2019) Sinopsis Serie de ciencia ficción de 8 episodios. Ambientada en París en un futuro cercano, la tecnología ha conquistado la última frontera: decodificar el amor verdadero. Indagando en los datos obtenidos de las mentes de los usuarios, la nueva aplicación para citas "Osmosis" es capaz de conseguir la pareja perfecta con un 100% de precisión, convirtiendo el concepto de alma gemela en una realidad. Pero hay un precio a pagar cuando dejas que un algoritmo decida a quién amar para el resto de tu vida; a cambio de este amor profundo y eterno, la tecnología puede acceder a los rincones más oscuros de tu mente y a los secretos que guarda tu corazón. (Vía @FILMAFFINITY) Dirección Audrey Fouché (Creator) Thomas Vincent Pierre Aknine Mona Achache Reparto Hugo Becker Agathe Bonitzer Diong-Kéba Tacu Lionel Lingelser Viktor Klépal Año / País: 2019 / 🇫🇷 Francia (en Caracas) https://www.instagram.com/p/BwGCQu1ncTj/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1nxqqsam1fazj
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La semaine dernière, avec Simon Rieth (réalisateur), Laura Chebar (productrice et actrice), Diong-Kéba Tacu (acteur) et Lucas Plançon (monteur), nous étions à Valence pour présenter Feu Mes Frères au festival international de moyens-métrages La Cabina.
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A Tale of Love and Desire (Une histoire d'amour et de désir), Leyla Bouzid (2021)
#Leyla Bouzid#Sami Outalbali#Zbeida Belhajamor#Diong Kéba Tacu#Aurélia Petit#Mahia Zrouki#Bellamine Abdelmalek#Mathilde Lamusse#Samir El Hakim#Khemissa Zarouel#Sébastien Goepfert#Lucas Gaudin#Lilian Corbeille#2021#woman director
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