#Destination Sud Réunion

[icariebzh]

C’est le moment d’en apprendre un peu plus, entre coupe de cheveux, pétards et menu du réveillon.

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Le Nouvel An lunaire est également appelé « Fête de la Lune » ou « Fête du Têt » (au Vietnam). Il est célébré dans une grande partie de l’Asie de l’Est et du Sud-Est (Hong Kong, Taiwan, Vietnam, Singapour, Corée, Malaisie et Tibet) mais également partout dans le monde grâce à sa diaspora. Cette journée si importante tombe le premier jour du calendrier luni-solaire et sa date, qui change chaque année, se situe généralement entre la fin du mois de janvier et la mi-février.

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Les festivités durent quinze jours, à partir de la nouvelle lune, jusqu’à la première pleine lune, marquée par la Fête des Lanternes. À New York, Vancouver, Londres, Sidney ou encore Paris, elles réunissent les communautés asiatiques mais boostent également le tourisme autour de temps forts comme les défilés de danse du lion et du dragon.

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Le 22 janvier 2023, nous entrons dans l’année du lapin (ou chat) d'eau.  Le 10 février 2024, ce sera l'année du Dragon de bois.

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Le Nouvel An lunaire se célèbre la veille au soir, comme Noël ou Kippour. Cette réunion familiale est un incontournable. Le réveillon se déroule autour d’un repas qui varie selon les pays. En Chine, on mange des raviolis à la viande (parce que l’année a été prospère), du poisson, des clémentines ou des nouilles (pour la longévité). Au Vietnam, on déguste un gâteau au riz gluant, haricots mungo et viande parfumée.

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La tradition veut que l’on célèbre ce passage à la nouvelle année dans son foyer, en famille, sous peine de se porter malchance. Ainsi, il faut s’attendre à de grandes migrations partout en Asie, où les grandes villes se vident pour que leurs habitants retournent dans leurs provinces. En Chine, des centaines de millions de personnes prennent quelques jours de congés (entre une semaine et dix jours) et se déplacent en train, en avion, en voiture ou en bateau, créant des embouteillages monstres.

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Les pétards, allumés après le souper, font fuir Niang, un esprit maléfique. Plus on fait de bruit, meilleure sera l’année. Cependant, depuis quelques temps, les pétards et feux d’artifices utilisés par les particuliers sont de plus en plus restreints par mesure de sécurité mais aussi afin de limiter la pollution.

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Le premier jour de l’An, on présente ses vœux aux aînés, en tout premier, puis à ses proches. On porte du rouge par superstition. Le rouge, symbole de joie, de prospérité et de bonne santé, est ainsi partout : sur les portes des maisons, les décorations dans les rues, et même les sous-vêtements. Par ailleurs, toute parole, toute action aura une répercussion sur l’année qui débute.

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On offre de petites enveloppes rouges contenant de l’argent aux plus jeunes. Cela leur apportera la prospérité. Ces enveloppes peuvent également s’échanger entre amis ou à destination des célibataires et sont désormais passées au numérique. En 2017, 46 milliards de dons ont été enregistrés sur WeChat en six jours. Attention, en Chine, le chiffre 4 représente la mort, alors on évite ses multiples !

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Les présentateurs Arthur et Patrick Sébastien ont leur égal en Chine. Le soir du réveillon, tous les Chinois sont devant CCTV, chaîne d’État, qui enregistre chaque année plus de 700 millions de téléspectateurs (en comparaison, le Super Bowl américain réunit un peu plus de 100 millions de personnes). Chants populaires, sketchs, performances acrobatiques et stars locales sont toujours de la partie. Même chose au Vietnam, sur HTV (au sud) ou VTV (au nord). Sur cette dernière chaîne, les Vietnamiens regardent en direct la cérémonie où l’on sonne la cloche du Temple de la montagne de jade et où les moines et officiels jettent des poissons dans le lac Hoan Kiem.

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Les portes et les fenêtres sont ouvertes jusqu’à minuit, afin de laisser l’année écoulée s’en aller. D’ailleurs, on laisse également derrière soi son ancienne coupe de cheveux en allant chez le coiffeur avant le Nouvel An, pour débuter l’année en beauté. Le jour même : interdiction de faire le ménage, au risque de balayer la bonne fortune !

Article initialement publié dans le magazine Koï, numéro 15, janvier-février 2020.

[santorinetcrete2023]

Visite du Jardin botanique de Crète et incursion sur la côte sud de l’île

Je tenais à visiter le jardin botanique, car les commentaires sur Internet étaient excellents. Situé en pleine montagne, l’endroit est magnifique. Les sentiers nous font circuler sur une distance de 2,5 km à des hauteurs variées. On y trouve des arbres tropicaux provenant de différents endroits du globe, des plantes médicinales, des fines herbes et des arbres fruitiers. Chaque spécimen est clairement identifié et on en explique les vertus. J’ai appris que la stivia, qui remplace le sucre, sert aussi à contrôler la faim et l’envie de boire. Robert pense que ça pourrait lui être utile… pas beaucoup de fleurs dans ce jardin, mais ce n’est pas sa vocation.

On a hésité avant de décider où aller après la visite du jardin. Les distances sur la carte ne semblent pas longues, mais comme il faut traverser les montagnes sur de petites routes où on ne peut aller plus vite que 40 km à l’heure, ça prend un temps fou pour couvrir de petites distances. Finalement, on a opté pour la côte sud de l’île, car on voulait voir ce côté. Ça nous a pris 1 h 30 pour couvrir 51 kilomètres… il fallait toute la concentration de Robert pour rouler, car il y avait des routes en lacet partout. Il a joué pas mal avec les vitesses.

Arrivés à destination, je sors de l’auto et qu’est-ce que j’aperçois au loin sur la plage? des fesses de monsieur. Comme je ne vois pas très bien de loin, je pense avoir la berlue. Et je n’en parle pas. Sougia est un très petit village de 109 habitants. C’est vraiment très très tranquille. Ce sont les touristes en quête de calme qui viennent ici pour se reposer. On traverse la rue principale en deux minutes et demie, et on mange. Il est trois heures. On se dit qu’on va se baigner, car on a fait beaucoup de route, alors il faut bien passer un peu de temps ici avant de reprendre le volant. En se promenant un peu avant de nous changer, on aperçoit une femme complètement nue étendue sur la plage. C’est alors que Robert me dit : « ah oui, j’ai lu qu’il y avait une section réservée aux nudistes ici ». Bon, je n’avais pas rêvé alors en arrivant. C’était bien une paire de fesses que j’avais vue…

On reprend le volant à 17 h, et une heure et demie plus tard, on est de retour à l’hôtel. Le restaurant où nous voulions aller ce soir est malheureusement fermé. On a donc choisi une taverne qui sert des mets crétois traditionnels.

Il nous reste l’avant-midi de demain mercredi avant de retourner la voiture. Nous devrons décider où aller en si peu de temps. On aura donc un autre déjeuner réunion en se levant.

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Télétravailler en vacances, est une tendance grandissante depuis l'avènement du télétravail. Les tracances (travail et vacances), appelée également workation (work and vacation), bleisure (business et pleasure) en anglais sont devenues une tendance du télétravail. Cette pratique consiste à télé-travailler sur votre lieu de vacances au lieu de travail à votre domicile. La plupart des gens choisissent des endroits exotiques, comme l’Asie ou le Sud-est asiatique, toutes les destinations de rêves s'ouvrent à vous sans que vous ayez besoin de poser des congés payés. Quelque soit votre situation, en vacances classiques, en expatriation ou en reconversion professionnelle en digital nomad les tracances vous permettent de voyager tout en travaillant. 1. Tracance, les avantages du télétravail en vacances Pourquoi télétravailler en vacances? Allier vacances et télétravail présente de nombreux avantages. Que vous soyez un travailleur freelance, une micro-entreprise une petite ou moyenne entreprise, en tracances vous pourrez économiser pour vous faire plaisir pour éviter les coûts d’une location de bureau vous pourriez passer au télétravailler complet. Ainsi vous économisez, pour pouvoir vous exporter dans votre destination de rêve. Lorsque vous êtes en tracance vous pouvez bénéficier des avantages d'un voyage tout continuant à rester productif. Assister à une réunion au bord de la piscine, se baigner juste après une signature client, rentrer d'un trek juste avant un appel client vous passerez du travail à la détente en un instant. Vous gagnerez du temps, vous pourrez profiter de votre temps pour découvrir de nouvelles activités. Attention vous aurez tellement d'aventures à raconter que vous allez faire des envieux! Autre avantage, vous travaillez quand vous êtes disponible et non pas au rythme des horaires d’un employeur. Vous avez aussi la possibilité de faire du télétravail à votre domicile ou chez un client à qui vous allez rendre visite. Vous êtes autonome vous gérer votre temps comme vous l'entendez Télétravailler durant vacances vous offre la possibilité de passer plus de temps avec famille. Au revoir le métro boulot et dodo. Dès que vous fermez votre ordinateur portable, vous pourrez profiter de votre proches sans attendre. 2. Les inconvénients des tracances Télétravailler en vacances peut représenter un réel avantage pour votre confort de vie. Pourtant ce nouvelle manière de travail présente des inconvénients à prendre en compte. Si vous souhaitez vous essayer à la tracance, vous allez devoir vous organiser de façon rigoureuse. En effet, vous devriez planifier chacune de vos journées, voir vos semaines afin d'à la fois devenir productif et profiter de vos vacances. Dans le cas contraire vous vous sentirez déborder et démotiver, vous n'arriverez pas à remplir vos missions avec efficacité. Choisir la tracance, c'est également favoriser son bien-être et non vous provoquer un burn-out. Vous ne serez jamais totalement hors ligne. Ce risque n'est pas inhérent à la tracance, il concerne le télétravail en général. Votre employeur, manageur peut vous demander d'effectuer une tâche alors que vous êtes censée être connectée. Ce n'est pas un drame cette situation arrivent également à ceux qui ont choisis de travailler au bureau. Il vous suffira de poser vos limites. Tout dépend de votre poste et des responsabilités qui en découle. En revanche si vous êtes en freelance, vos disposez d'horaires plus flexibles. Le dernier inconvénient est le risque d'isolement. Vous ne vous trouvez sur votre environnement de travail traditionnel. Il vous manquera peut-être le contact humain du bureau: les petites conversation avec le collègue du bureau d'à côté, la blague en face de la machine à café, les after-work, les pots de départs, les restaurants et les pots après le bureau. Télétravailler en vacances peut entrainer un bouleversement de votre vie sociale. Selon une étude , une personne passe % de sa vie au bureau . En conséquence, nos collègues sont les personnes que nous côtoyons le plus.

Se s'éloigner de votre environnement de travail habituel, peut paraître un vrai challenge. Encore une fois, ce n'est spécifique à la tracance mais au travail à distance. 3. Comment bien organiser ses tracances Vous l'avez bien compris la tracance favorise votre bien-être, votre vie de famille et vous offre une flexibilité dans votre travail. En revanche si vous souhaitez tirer profit de vos tracances et de ses bénéfices, notre conseil est de vous établir est plan afin de remplir vos objectifs tout en profitant pleinement de vos vacances. Voici les étapes à mettre en place avant de. Assurer vous que votre activité professionnelle est compatible avec la tracance Télétravailler en vacances demeure encore peu répandu. Tous les postes ne conviennent pas à ces conditions de travail particulières. Si vous souhaiter réellement devenir un digital nomad dans le but de travailler tout en étant libre de voyager quand vous le souhaiter, pensez à une reconversion professionnelle. Choisissez votre destination votre destination de tracances Vous avez toujours rêvé de visiter les pyramides de Guizèh ou la Grande Muraille de Chine. C'est l'occasion de vivre votre rêve. Choisissez, le pays que vous voulez visiter. Outre l'envie de découvrir, établissez des critères d'être sur que votre afin que votre pays d'accueil soit compatible avec votre activité et vos propres exigences. Assurer vous d'avoir une bonne connexion internet La condition sine qua non pour partir en tracance est de disposer d'une connexion internet fluide et continue. Une bonne connexion vous permettra de communiquer avec votre équipe de travail et vos clients. Vous devriez pas avoir de problème si vous voyager dans métropoles européenne, nord américaine et nord-est asiatique. En revanche, la couverture réseau haut-débit et fibre ne s'étend pas forcément aux campagnes et les petites de provinces. C'est également le cas pour certains pays d'Afrique et d'Amérique du Sud ou le réseaux est parfois embouteillé. Vous devriez également pensez à vous munir d'un VPN. Plusieurs pays restreignent l'accès aux sites internet sur lesquels vous surfez quotidiennement. Ces restriction risques d'entraver votre travailler à distance. Adapter votre assurance Travailler en vacances n'est pas sans risque. Lorsque vous travailler à distance vous n'êtes pas couvert contre La tracance peut entrainer un changement de couverture sociale selon l'activité que vous exercer, le lieu ou vous êtes exporté et le contrat dont vous disposez. Vous pourrez voir tous les statuts sur le site du ministère de. Des assurances supplémentaires pour votre santé, votre logement et votre matériel de travail. Décollez! Vous disposez de tous les bagages nécessaires pour passer d'agréables tracances. C'est l'heure des réserver votre billet et de vous envolez vers votre destination.

[toutmontbeliard-com]

Pôle métropolitain Nord-Franche-Comté : informations sur le gaz radon

Après avoir réalisé des mesures de radon chez près de 350 habitants, le Pôle métropolitain Nord-Franche-Comté et Pays de Montbéliard Agglomération poursuivent la lutte contre ce gaz indolore et inodore. Si certains foyers pourront se contenter de bonnes pratiques d’aération, d’autres sont susceptibles de devoir engager des travaux. Voici les prochaines étapes de la campagne visant à les accompagner. L’hiver dernier, 486 kits de mesure ont été distribués aux particuliers, habitants du Pays de Montbéliard dans le cadre d’une campagne pilotée par l’Agglomération ou résidents dans une commune du Grand Belfort, des Vosges du Sud ou du Pays d’Héricourt dans le cadre d’une autre campagne animée par le Pôle métropolitain. Pour accompagner les volontaires ayant participé à ces mesures dans la construction de réponses individuelles à ces expositions, les deux collectivités organisent : une formation à destination de professionnels de l’habitat du Nord Franche-Comté pour mieux comprendre la problématique du radon et l’intégrer dans leurs conseils aux particuliers, elle se tiendra les mardi 12 et et mercredi 13 septembre 2023 à la Maison des énergies de Franche-Comté à Héricourt ; deux réunions d’information les 18 et 19 octobre 2023 (lieux et horaires à préciser) à destination du grand public pour mieux connaître le radon et contextualiser les résultats de mesure obtenus dans le cadre des deux campagnes. Ces actions sont financées par l’Agence régionale de Santé dans le cadre du Contrat Local de Santé Nord Franche-Comté. Read the full article

[pdj-france]

SÉOUL, Corée du Sud (AP) – La Corée du Nord a affirmé mercredi qu'un soldat américain qui avait traversé la frontière coréenne lourdement armée le mois dernier l'avait fait après avoir été déçu par l'inégalité de la société américaine et la discrimination raciale dans son armée. Il s'agissait de la première confirmation officielle par la Corée du Nord de la détention de Pvt. Travis King, qui avait servi en Corée du Sud et sprinté dans le Nord lors d'une visite civile d'un village frontalier le 18 juillet. Il est devenu le premier Américain confirmé détenu dans le Nord en près de cinq ans. LIRE LA SUITE : Le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra sa première réunion publique sur la situation des droits de l'homme en Corée du Nord depuis 2017 Le média centrale coréenne officielle, citant une enquête menée par les autorités nord-coréennes compétentes, a rapporté que King leur avait dit qu'il avait décidé d'entrer en Corée du Nord parce qu'il « entretenait de la rancune contre les mauvais traitements inhumains et la discrimination raciale au sein de l'armée américaine ». Le rapport indique que King a aussi exprimé sa volonté de chercher refuge en Corée du Nord ou dans un pays tiers, disant qu'il "était déçu par la société américaine inégale". KCNA est un média de propagande et son contenu est délicatement calibré pour refléter la ligne officielle de la Corée du Nord d'après laquelle les États-Unis sont un adversaire diabolique. Le rapport indique que l'enquête de la Corée du Nord sur l'entrée "illégale" de King se poursuivra. Il est impossible de vérifier l'authenticité des commentaires attribués à King dans les médias d'État nord-coréens. Les États-Unis, la Corée du Sud et d'autres ont accusé la Corée du Nord d'employer des détenus étrangers pour arracher des concessions diplomatiques. Certains détenus étrangers ont affirmé après leur libération que leurs déclarations de culpabilité pendant leur détention en Corée du Nord avaient été faites sous la contrainte. Un responsable du département américain de la Défense, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat grâce à la sensibilité de l'affaire, a annoncé que les États-Unis n'avaient aucun moyen de vérifier les affirmations de la Corée du Nord par rapport à King. Le responsable a annoncé que le Pentagone travaillait par tous les canaux disponibles pour ramener King aux États-Unis. "C'est de la propagande 100% nord-coréenne dans son élément. King, en qualité de citoyen américain détenu en Corée du Nord, n'a aucune influence sur la façon dont (la Corée du Nord) choisit de présenter son récit », a annoncé Soo Kim, expert du cabinet de conseil LMI basé en Virginie et ancien analyste de la CIA. « Quant à la libération de King, son destin repose entre les mains de la Corée du Nord. Peut-être que le régime essaiera de « négocier » la vie de King en échange de concessions financières de la part des États-Unis. Plus que certainement, les négociations ne seront pas faciles et les conditions seront dictées par Pyongyang », a-t-elle déclaré. La famille du soldat a annoncé que sa mère, Claudine Gates, appelait la Corée du Nord à traiter son fils avec humanité. "C'est une mère inquiète pour son fils et elle serait reconnaissante pour un appel téléphonique de sa part", a annoncé le porte-parole de la famille, Jonathan Franks, dans le déclaration. "Enfin, elle a été en contact avec l'armée ce soir et apprécie une déclaration (du ministère de la Défense) d'après laquelle elle reste concentrée sur le retour de Travis à la maison." Tae Yongho, qui était ministre à l'ambassade de Corée du Nord à Londres avant sa défection en 2016, a émis l'hypothèse que la Corée du Nord pourrait éventuellement libérer King parce qu'elle n'a pas tout de suite exprimé son intention d'accepter King comme réfugié dans le Nord et a parlé d'un pays tiers. réinstallation. Tae, aujourd'hui législateur en Corée du Sud, a aussi cité la description par la Corée du Nord de King comme un entrant illégal, plutôt que comme quelqu'un qui est entré "volontairement" dans le Nord.

Tae a annoncé plus tôt que la Corée du Nord hésiterait à détenir longtemps un soldat de rang inférieur comme King, car il ne lui fournirait pas de renseignements américains de haut niveau et nécessiterait des coûts et des ressources élevés pour gérer sa vie. Certains analystes ont affirmé que la Corée du Nord pourrait essayer de lier la libération de King à la réduction par les États-Unis de ses activités militaires avec la Corée du Sud, au milieu d'animosités accrues entre les ennemis en temps de guerre. LIRE LA SUITE : Kim Jong Un visite des usines d'armement nord-coréennes et appelle à une "expansion rapide" de la production La Corée du Nord a fait plus de 100 essais d'armes depuis le début de l'année dernière, dont beaucoup au nom de l'émission d'avertissements sur l'expansion des exercices militaires américano-sud-coréens qu'elle considère en tant qu'une répétition d'invasion. Lundi prochain, les alliés doivent commencer les grands exercices annuels, que la Corée du Nord considère en tant qu'une répétition d'invasion. Les dirigeants des États-Unis, de la Corée du Sud et du Japon devraient aussi annoncer des plans pour une coopération militaire élargie en matière de défense antimissile balistique face à l'évolution des menaces nucléaires de la Corée du Nord lors d'un sommet trilatéral à Camp David vendredi, d'après des responsables américains. . Mardi, la Corée du Nord a critiqué les préparatifs dirigés par les États-Unis pour un entretien ouverte du Conseil de sécurité de l'ONU sur son bilan en matière de droits de l'homme comme "méprisable" et visant uniquement à réaliser les ambitions géopolitiques de Washington. Le vice-ministre nord-coréen des Affaires étrangères, Kim Son Gyong, a annoncé que le conseil devait d'abord traiter de la question des droits de l'homme aux États-Unis, qualifiant les États-Unis d'"empire du mal" dépravé. Dans une déclaration diffusée par les médias d'État, Kim a accusé les États-Unis de favoriser la discrimination raciale, les crimes liés aux armes à feu, la maltraitance des enfants et le travail forcé. King, 23 ans, faisait partie des quelque 28 000 militaires américains stationnés en Corée du Sud comme moyen de dissuasion contre une éventuelle agression de la Corée du Nord. Au moment où il a rejoint la tournée civile et traversé la frontière, il était censé se rendre à Fort Bliss, au Texas, après sa libération de prison en Corée du Sud pour voies de fait. Les responsables américains déclarent qu'il a été déclaré AWOL, ce qui a la capacité de être puni par l'enfermement dans le brick, la confiscation de salaire ou le renvoi déshonorant avec la sévérité en fonction duur temps d'absence et s'ils ont été appréhendés ou renvoyés d'eux-mêmes. Les États-Unis et la Corée du Nord, qui ont combattu pendant le conflit de Corée de 1950 à 1953, sont toujours techniquement en guerre puisque ce conflit s'est terminé par une trêve, et non par un traité de paix. Ils n'ont pas de relations diplomatiques et la Suède a fourni des services consulaires aux Américains dans le passé, bien que les diplomates suédois ne soient apparemment pas retournés en Corée du Nord depuis le début de la pandémie de COVID-19. Les rédacteurs de l'Associated Press Lolita C. Baldor et Eric Tucker à Washington ont contribué à ce rapport.

[ouyander]

L’affaire Khalifa Ababacar Sall revient au-devant de l’actualité, la Cour suprême devant statuer ce jeudi sur le recours introduit par les avocats du maire de Dakar, à la suite de sa condamnation pour escroquerie sur les deniers publics, dans le cadre de la gestion de la "caisse d’avance" de la municipalité de la capitale.  Khalifa Ababacar Sall avait été condamné en mars dernier à cinq ans de prison par la chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Dakar, un verdict confirmé jeudi par la cour d’appel de Dakar.  Il était poursuivi pour escroquerie portant sur un montant de 1,8 milliard de francs CFA, dans le cadre de la gestion de la "caisse d’avance" de la ville de Dakar, dont le procès en appel s’était ouvert le 9 juillet dernier.  "Khalifa Sall face à son destin", titre par exemple le quotidien L’As, au sujet du pourvoi en cassation du maire de Dakar, qui sera examiné ce jeudi par la Cour suprême.  "Ses avocats demandent le renvoi", là où ses partisans "fusillent le président Macky Sall", écrit le même journal, dont la une est illustrée par une photo de l’ex-maire de la capitale, tout de blanc vêtu, tête baissée et la main sur le front.  "Jour de vérité finale" pour Khalifa Sall, affirme le quotidien EnQuête. "L’affaire de la caisse d’avance connaitra un dénouement judiciaire définitif aujourd’hui", note ce journal. "Khalifa Sall abat ses dernières cartes", relève Walfquotidien, pour souligner le fait qu’il s’agit d’un "jour décisif" pour l’ancien maire, un "ultime et suprême recours".  Le même titre revient également à la une de Source A, qui fait état en plus des "13 pourvois déposés" par l’ancien maire, candidat déclaré à l’élection présidentielle de février prochain. Sud Quotidien estime que la candidature de Khalifa Sall est "entre les mains de la Cour suprême".   Ce journal évoque par ailleurs la prestation de serment des juges Mouhamadou Diawara et Abdoulaye Sylla, nouvellement nommés au sein de la plus haute juridiction du pays.  "Les 7 +sages+ au complet", écrit Sud Quotidien, évoquant l’installation des deux juges, lors d’une audience solennelle de la Cour suprême. Le quotidien Le Soleil, loin de la sphère judiciaire, s’intéresse à la visite du chef de l’Etat, Macky Sall, à Tunis. "Six accords de coopération signés", écrit le journal sur sa manchette illustrée d’une poignée de main entre les deux chefs d’Etat, Macky Sall, et Béji Caïd Essebsi, son homologue tunisien.  Dakar et Tunis veulent donner un "souffle nouveau à leur coopération bilatérale" avec ses accords dans plusieurs domaines dont l’éducation, les technologies de l’information et de la communication, l’économie numérique et la culture, ajoute Le Soleil.  Toujours en économie, mais dans un tout autre domaine, La Tribune donne la parole à l’économiste Khadim Diagne qui se prononce sur les retombées de la réunion du Groupe consultatif, lundi, à Paris. Le président de la République et le ministre des Finances, Amadou Ba, ont rencontré des partenaires financiers sollicités pour le financement de la seconde phase du Plan Sénégal émergent (PSE).  "Le Sénégal n’a pas de secteur privé pour l’émergence", écrit le journal, rapportant les propos de l’économiste sénégalais, selon lequel "le vrai défi à relever est l’usage qui sera fait de la manne financière promise par les bailleurs".  Des promesses de financement de 7.356 milliards ont été faites par ces derniers, lors de cette rencontre.  L’Observateur, de son côté, évoque le Groupe consultatif de Paris, objet de toutes les attentions, cette semaine. "En marge du Groupe consultatif : Macky-Sarkozy, la rencontre secrète de Paris", titre le journal.  "Me Robert Bourgi et Pierre Barret, le conseiller diplomatique de l’ancien chef d’Etat français, présents à l’audience", ajoute L’Observateur.  En politique, Vox Populi, Le Témoin Quotidien et le journal Le Quotidien assurent la garde. "Le +doxantu+ (promenade, en wolof) mouvementé pour Barth

et Sonko" au centre-ville de Dakar, titre le premier, concernant l’ancien député Barthélémy Dias, et le candidat déclaré à l’élection présidentielle, Ousmane Sonko.   "Cooptation de 7 membres de la société civile au Conseil constitutionnel : l’opposition dénonce des choix douteux… Le pouvoir parle de faux débat", écrit Vox Populi.   "A deux mois des élections, le fichier en débat", peut-on lire sur la une du journal Le Quotidien. Dans la rubrique société, Libération s’intéresse aux "Sénégalaises au cœur d’une information judiciaire pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste".   "Sept djihadistes visées", écrit le journal, précisant que les mises en cause, actives dans les bastions de l’Etat islamique en Afrique, "ont été identifiées en marge de l’affaire Aida Sagna, écrouée à Dakar pour terrorisme après son expulsion de Lybie".

[naantokhi]

L’affaire Khalifa Ababacar Sall revient au-devant de l’actualité, la Cour suprême devant statuer ce jeudi sur le recours introduit par les avocats du maire de Dakar, à la suite de sa condamnation pour escroquerie sur les deniers publics, dans le cadre de la gestion de la "caisse d’avance" de la municipalité de la capitale.  Khalifa Ababacar Sall avait été condamné en mars dernier à cinq ans de prison par la chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Dakar, un verdict confirmé jeudi par la cour d’appel de Dakar.  Il était poursuivi pour escroquerie portant sur un montant de 1,8 milliard de francs CFA, dans le cadre de la gestion de la "caisse d’avance" de la ville de Dakar, dont le procès en appel s’était ouvert le 9 juillet dernier.  "Khalifa Sall face à son destin", titre par exemple le quotidien L’As, au sujet du pourvoi en cassation du maire de Dakar, qui sera examiné ce jeudi par la Cour suprême.  "Ses avocats demandent le renvoi", là où ses partisans "fusillent le président Macky Sall", écrit le même journal, dont la une est illustrée par une photo de l’ex-maire de la capitale, tout de blanc vêtu, tête baissée et la main sur le front.  "Jour de vérité finale" pour Khalifa Sall, affirme le quotidien EnQuête. "L’affaire de la caisse d’avance connaitra un dénouement judiciaire définitif aujourd’hui", note ce journal. "Khalifa Sall abat ses dernières cartes", relève Walfquotidien, pour souligner le fait qu’il s’agit d’un "jour décisif" pour l’ancien maire, un "ultime et suprême recours".  Le même titre revient également à la une de Source A, qui fait état en plus des "13 pourvois déposés" par l’ancien maire, candidat déclaré à l’élection présidentielle de février prochain. Sud Quotidien estime que la candidature de Khalifa Sall est "entre les mains de la Cour suprême".   Ce journal évoque par ailleurs la prestation de serment des juges Mouhamadou Diawara et Abdoulaye Sylla, nouvellement nommés au sein de la plus haute juridiction du pays.  "Les 7 +sages+ au complet", écrit Sud Quotidien, évoquant l’installation des deux juges, lors d’une audience solennelle de la Cour suprême. Le quotidien Le Soleil, loin de la sphère judiciaire, s’intéresse à la visite du chef de l’Etat, Macky Sall, à Tunis. "Six accords de coopération signés", écrit le journal sur sa manchette illustrée d’une poignée de main entre les deux chefs d’Etat, Macky Sall, et Béji Caïd Essebsi, son homologue tunisien.  Dakar et Tunis veulent donner un "souffle nouveau à leur coopération bilatérale" avec ses accords dans plusieurs domaines dont l’éducation, les technologies de l’information et de la communication, l’économie numérique et la culture, ajoute Le Soleil.  Toujours en économie, mais dans un tout autre domaine, La Tribune donne la parole à l’économiste Khadim Diagne qui se prononce sur les retombées de la réunion du Groupe consultatif, lundi, à Paris. Le président de la République et le ministre des Finances, Amadou Ba, ont rencontré des partenaires financiers sollicités pour le financement de la seconde phase du Plan Sénégal émergent (PSE).  "Le Sénégal n’a pas de secteur privé pour l’émergence", écrit le journal, rapportant les propos de l’économiste sénégalais, selon lequel "le vrai défi à relever est l’usage qui sera fait de la manne financière promise par les bailleurs".  Des promesses de financement de 7.356 milliards ont été faites par ces derniers, lors de cette rencontre.  L’Observateur, de son côté, évoque le Groupe consultatif de Paris, objet de toutes les attentions, cette semaine. "En marge du Groupe consultatif : Macky-Sarkozy, la rencontre secrète de Paris", titre le journal.  "Me Robert Bourgi et Pierre Barret, le conseiller diplomatique de l’ancien chef d’Etat français, présents à l’audience", ajoute L’Observateur.  En politique, Vox Populi, Le Témoin Quotidien et le journal Le Quotidien assurent la garde. "Le +doxantu+ (promenade, en wolof) mouvementé pour Barth

et Sonko" au centre-ville de Dakar, titre le premier, concernant l’ancien député Barthélémy Dias, et le candidat déclaré à l’élection présidentielle, Ousmane Sonko.   "Cooptation de 7 membres de la société civile au Conseil constitutionnel : l’opposition dénonce des choix douteux… Le pouvoir parle de faux débat", écrit Vox Populi.   "A deux mois des élections, le fichier en débat", peut-on lire sur la une du journal Le Quotidien. Dans la rubrique société, Libération s’intéresse aux "Sénégalaises au cœur d’une information judiciaire pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste".   "Sept djihadistes visées", écrit le journal, précisant que les mises en cause, actives dans les bastions de l’Etat islamique en Afrique, "ont été identifiées en marge de l’affaire Aida Sagna, écrouée à Dakar pour terrorisme après son expulsion de Lybie".

[katakaal]

L’affaire Khalifa Ababacar Sall revient au-devant de l’actualité, la Cour suprême devant statuer ce jeudi sur le recours introduit par les avocats du maire de Dakar, à la suite de sa condamnation pour escroquerie sur les deniers publics, dans le cadre de la gestion de la "caisse d’avance" de la municipalité de la capitale.  Khalifa Ababacar Sall avait été condamné en mars dernier à cinq ans de prison par la chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Dakar, un verdict confirmé jeudi par la cour d’appel de Dakar.  Il était poursuivi pour escroquerie portant sur un montant de 1,8 milliard de francs CFA, dans le cadre de la gestion de la "caisse d’avance" de la ville de Dakar, dont le procès en appel s’était ouvert le 9 juillet dernier.  "Khalifa Sall face à son destin", titre par exemple le quotidien L’As, au sujet du pourvoi en cassation du maire de Dakar, qui sera examiné ce jeudi par la Cour suprême.  "Ses avocats demandent le renvoi", là où ses partisans "fusillent le président Macky Sall", écrit le même journal, dont la une est illustrée par une photo de l’ex-maire de la capitale, tout de blanc vêtu, tête baissée et la main sur le front.  "Jour de vérité finale" pour Khalifa Sall, affirme le quotidien EnQuête. "L’affaire de la caisse d’avance connaitra un dénouement judiciaire définitif aujourd’hui", note ce journal. "Khalifa Sall abat ses dernières cartes", relève Walfquotidien, pour souligner le fait qu’il s’agit d’un "jour décisif" pour l’ancien maire, un "ultime et suprême recours".  Le même titre revient également à la une de Source A, qui fait état en plus des "13 pourvois déposés" par l’ancien maire, candidat déclaré à l’élection présidentielle de février prochain. Sud Quotidien estime que la candidature de Khalifa Sall est "entre les mains de la Cour suprême".   Ce journal évoque par ailleurs la prestation de serment des juges Mouhamadou Diawara et Abdoulaye Sylla, nouvellement nommés au sein de la plus haute juridiction du pays.  "Les 7 +sages+ au complet", écrit Sud Quotidien, évoquant l’installation des deux juges, lors d’une audience solennelle de la Cour suprême. Le quotidien Le Soleil, loin de la sphère judiciaire, s’intéresse à la visite du chef de l’Etat, Macky Sall, à Tunis. "Six accords de coopération signés", écrit le journal sur sa manchette illustrée d’une poignée de main entre les deux chefs d’Etat, Macky Sall, et Béji Caïd Essebsi, son homologue tunisien.  Dakar et Tunis veulent donner un "souffle nouveau à leur coopération bilatérale" avec ses accords dans plusieurs domaines dont l’éducation, les technologies de l’information et de la communication, l’économie numérique et la culture, ajoute Le Soleil.  Toujours en économie, mais dans un tout autre domaine, La Tribune donne la parole à l’économiste Khadim Diagne qui se prononce sur les retombées de la réunion du Groupe consultatif, lundi, à Paris. Le président de la République et le ministre des Finances, Amadou Ba, ont rencontré des partenaires financiers sollicités pour le financement de la seconde phase du Plan Sénégal émergent (PSE).  "Le Sénégal n’a pas de secteur privé pour l’émergence", écrit le journal, rapportant les propos de l’économiste sénégalais, selon lequel "le vrai défi à relever est l’usage qui sera fait de la manne financière promise par les bailleurs".  Des promesses de financement de 7.356 milliards ont été faites par ces derniers, lors de cette rencontre.  L’Observateur, de son côté, évoque le Groupe consultatif de Paris, objet de toutes les attentions, cette semaine. "En marge du Groupe consultatif : Macky-Sarkozy, la rencontre secrète de Paris", titre le journal.  "Me Robert Bourgi et Pierre Barret, le conseiller diplomatique de l’ancien chef d’Etat français, présents à l’audience", ajoute L’Observateur.  En politique, Vox Populi, Le Témoin Quotidien et le journal Le Quotidien assurent la garde. "Le +doxantu+ (promenade, en wolof) mouvementé pour Barth

et Sonko" au centre-ville de Dakar, titre le premier, concernant l’ancien député Barthélémy Dias, et le candidat déclaré à l’élection présidentielle, Ousmane Sonko.   "Cooptation de 7 membres de la société civile au Conseil constitutionnel : l’opposition dénonce des choix douteux… Le pouvoir parle de faux débat", écrit Vox Populi.   "A deux mois des élections, le fichier en débat", peut-on lire sur la une du journal Le Quotidien. Dans la rubrique société, Libération s’intéresse aux "Sénégalaises au cœur d’une information judiciaire pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste".   "Sept djihadistes visées", écrit le journal, précisant que les mises en cause, actives dans les bastions de l’Etat islamique en Afrique, "ont été identifiées en marge de l’affaire Aida Sagna, écrouée à Dakar pour terrorisme après son expulsion de Lybie".

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Explorer le monde|Consulter ce qui se passe dans dans le monde entier. | Les motivations du voyageurl à travers le globe (autour du globe)

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Télétravailler en vacances, est une tendance grandissante depuis l'avènement du télétravail. Les tracances (travail et vacances), appelée également workation (work and vacation), bleisure (business et pleasure) en anglais sont devenues une tendance du télétravail. Cette pratique consiste à télé-travailler sur votre lieu de vacances au lieu de travail à votre domicile. La plupart des gens choisissent des endroits exotiques, comme l’Asie ou le Sud-est asiatique, toutes les destinations de rêves s'ouvrent à vous sans que vous ayez besoin de poser des congés payés. Quelque soit votre situation, en vacances classiques, en expatriation ou en reconversion professionnelle en digital nomad les tracances vous permettent de voyager tout en travaillant. 1. Tracance, les avantages du télétravail en vacances Pourquoi télétravailler en vacances? Allier vacances et télétravail présente de nombreux avantages. Que vous soyez un travailleur freelance, une micro-entreprise une petite ou moyenne entreprise, en tracances vous pourrez économiser pour vous faire plaisir pour éviter les coûts d’une location de bureau vous pourriez passer au télétravailler complet. Ainsi vous économisez, pour pouvoir vous exporter dans votre destination de rêve. Lorsque vous êtes en tracance vous pouvez bénéficier des avantages d'un voyage tout continuant à rester productif. Assister à une réunion au bord de la piscine, se baigner juste après une signature client, rentrer d'un trek juste avant un appel client vous passerez du travail à la détente en un instant. Vous gagnerez du temps, vous pourrez profiter de votre temps pour découvrir de nouvelles activités. Attention vous aurez tellement d'aventures à raconter que vous allez faire des envieux! Autre avantage, vous travaillez quand vous êtes disponible et non pas au rythme des horaires d’un employeur. Vous avez aussi la possibilité de faire du télétravail à votre domicile ou chez un client à qui vous allez rendre visite. Vous êtes autonome vous gérer votre temps comme vous l'entendez Télétravailler durant vacances vous offre la possibilité de passer plus de temps avec famille. Au revoir le métro boulot et dodo. Dès que vous fermez votre ordinateur portable, vous pourrez profiter de votre proches sans attendre. 2. Les inconvénients des tracances Télétravailler en vacances peut représenter un réel avantage pour votre confort de vie. Pourtant ce nouvelle manière de travail présente des inconvénients à prendre en compte. Si vous souhaitez vous essayer à la tracance, vous allez devoir vous organiser de façon rigoureuse. En effet, vous devriez planifier chacune de vos journées, voir vos semaines afin d'à la fois devenir productif et profiter de vos vacances. Dans le cas contraire vous vous sentirez déborder et démotiver, vous n'arriverez pas à remplir vos missions avec efficacité. Choisir la tracance, c'est également favoriser son bien-être et non vous provoquer un burn-out. Vous ne serez jamais totalement hors ligne. Ce risque n'est pas inhérent à la tracance, il concerne le télétravail en général. Votre employeur, manageur peut vous demander d'effectuer une tâche alors que vous êtes censée être connectée. Ce n'est pas un drame cette situation arrivent également à ceux qui ont choisis de travailler au bureau. Il vous suffira de poser vos limites. Tout dépend de votre poste et des responsabilités qui en découle. En revanche si vous êtes en freelance, vos disposez d'horaires plus flexibles. Le dernier inconvénient est le risque d'isolement. Vous ne vous trouvez sur votre environnement de travail traditionnel. Il vous manquera peut-être le contact humain du bureau: les petites conversation avec le collègue du bureau d'à côté, la blague en face de la machine à café, les after-work, les pots de départs, les restaurants et les pots après le bureau. Télétravailler en vacances peut entrainer un bouleversement de votre vie sociale. Selon une étude , une personne passe % de sa vie au bureau . En conséquence, nos collègues sont les personnes que nous côtoyons le plus.

Se s'éloigner de votre environnement de travail habituel, peut paraître un vrai challenge. Encore une fois, ce n'est spécifique à la tracance mais au travail à distance. 3. Comment bien organiser ses tracances Vous l'avez bien compris la tracance favorise votre bien-être, votre vie de famille et vous offre une flexibilité dans votre travail. En revanche si vous souhaitez tirer profit de vos tracances et de ses bénéfices, notre conseil est de vous établir est plan afin de remplir vos objectifs tout en profitant pleinement de vos vacances. Voici les étapes à mettre en place avant de. Assurer vous que votre activité professionnelle est compatible avec la tracance Télétravailler en vacances demeure encore peu répandu. Tous les postes ne conviennent pas à ces conditions de travail particulières. Si vous souhaiter réellement devenir un digital nomad dans le but de travailler tout en étant libre de voyager quand vous le souhaiter, pensez à une reconversion professionnelle. Choisissez votre destination votre destination de tracances Vous avez toujours rêvé de visiter les pyramides de Guizèh ou la Grande Muraille de Chine. C'est l'occasion de vivre votre rêve. Choisissez, le pays que vous voulez visiter. Outre l'envie de découvrir, établissez des critères d'être sur que votre afin que votre pays d'accueil soit compatible avec votre activité et vos propres exigences. Assurer vous d'avoir une bonne connexion internet La condition sine qua non pour partir en tracance est de disposer d'une connexion internet fluide et continue. Une bonne connexion vous permettra de communiquer avec votre équipe de travail et vos clients. Vous devriez pas avoir de problème si vous voyager dans métropoles européenne, nord américaine et nord-est asiatique. En revanche, la couverture réseau haut-débit et fibre ne s'étend pas forcément aux campagnes et les petites de provinces. C'est également le cas pour certains pays d'Afrique et d'Amérique du Sud ou le réseaux est parfois embouteillé. Vous devriez également pensez à vous munir d'un VPN. Plusieurs pays restreignent l'accès aux sites internet sur lesquels vous surfez quotidiennement. Ces restriction risques d'entraver votre travailler à distance. Adapter votre assurance Travailler en vacances n'est pas sans risque. Lorsque vous travailler à distance vous n'êtes pas couvert contre La tracance peut entrainer un changement de couverture sociale selon l'activité que vous exercer, le lieu ou vous êtes exporté et le contrat dont vous disposez. Vous pourrez voir tous les statuts sur le site du ministère de. Des assurances supplémentaires pour votre santé, votre logement et votre matériel de travail. Décollez! Vous disposez de tous les bagages nécessaires pour passer d'agréables tracances. C'est l'heure des réserver votre billet et de vous envolez vers votre destination.

[claudehenrion]

Du bon emploi d'un machin inconnu des “experts” (mais ils ne le savent pas !)

  Cela fait plus de 6 mois que le Covid donne le vertige. Depuis que ceux qui ne savent rien de la Chine ont découvert Wuhan et les pangolins, on a collectionné les masques, les crises de nerfs des ministres et des mandarins contre Didier Raoult, les lits, les tests et les queues, les paniques injustifiées, les ''vagues'' qui n'arrivent jamais –et pour cause--, mais sont ‘’là, quand même’’, sans preuve, et jusqu'à la durée de la ''40-aine'', qui va de 14 jours... à 7 !  (Patience ! Bientôt, on va nous dire que, comme les autres mesures à 135 € l'une, tout ça ne sert à rien !). Et pendant ce temps, ce salopard de coronavirus serait en train de muter, sans nous le dire ! 

  Ce machin venu de Chine parle couramment l'anglais et n'est donc vraiment heureux que dans des “clusters” (prononcé “Kleusstairz”, pour que les anglais ne comprennent pas de quoi on parle). De là, il a attaqué les jeunes, qui, c'est bien connu, passent leur vie en réunions festives… mais pas les 12 000 spectateurs du Puy-du-Fou. Ensuite, il a été contaminer les baigneurs sur les plages (où il était dangereux de 21 heures à 7 heures du matin, mais pas le reste du temps), mais pas les sans-abri, qui ne risquent pas grand chose. Et il continue à pourrir la vie des pauvres marseillais (qui n'avaient qu'à ne pas héberger un type aussi politiquement incorrect que cet insupportable Didier Raoult). Alors, pas de pitié : il faut fermer tous les lieux où on pourrait penser à autre chose, et transformer nos villes en décor pour un film sur le “blitz'’ en 1941 : rues vides, lumières éteintes, défense passive…

  Mais trop, c'est trop, et on voit poindre des envies de sécession dans le sud.. Macron et son fichu ’‘progressisme” auront vraiment réussi… tout ce qu'il ne fallait pas, mais ce n'est pas grave : “il assume’’ (sic !) ! Sous l’angle économique, c’est autre chose : comme on est en France, tout est simple : au nom du virus, l'Etat à la dérive met tout le monde au chômage… mais permet la fraude éponyme, et il répartit ses aides financières au petit bonheur la chance en aidant les uns mais pas les autres, comme à la roulette belge. Mieux encore : il peut tuer votre belle-mère de 70 ans si elle vient vous voir, mais pas si elle garde vos enfants. Il est sympa !

  Quant aux vieillards, il est cruel d’en parler : d’abord amnésiques (’’Un quoi ? Un EHPAD ? Kékcékssa ? Ca ne compte pas dans les totaux’’ !), nos leaders sont devenus gérontophobes, avec l’idée présidentielle d’une piqure de Rivotril pour abréger les souffrances (sic !), alors que 95 % auraient survécu, sans cela ! Puis nos démocrates de salon ont vu l’intérêt électoral de cette couche (c'est le bon mot : qu'est-ce qu'ils tiennent !) de la population, d’où la fiction ridicule de ’'les plus-vulnérables-d'entre-nous” : on les emmure vivants, dans une solitude sans espoir, ’’pour les ‘’maintenir en vie’’. Et ils en meurent, les pauvres, par foules entières. 

  On a mis longtemps à comprendre que non seulement il rend fou, ce virus, mais qu'il a permis à la folie de prendre le pouvoir, à travers ou grâce à notre Gouvernement et les “experts-ès-nullité” dont il s'est entouré, ce qui est, sans doute, le plus mortifère de tout ! Les ordres et contrordres fusent de toute part, sans le moindre résultat perceptible, mais il paraît que “ça aurait pu être pire, sans ça’’ (N'importe quoi !). Et dans ce tableau un peu cru, il ne faut pas oublier les ’'Big  Pharma” et ceux qu'ils arrosent : eux, savent ce qu'ils veulent !

  Il sature nos postes de télévision de scientifiques-qui-pensent-comme-il-faut, qui se ruent pour répéter ad nauseam le même commentaire, en arrivant à dire le contraire l'un de l'autre. C'est le triomphe de l’information-spectacle, chacun ne pensant qu'à prolonger cette “heure de gloire’' : ’'Tu as vu, Germaine ? Je suis passé à la télé ! J'ai été bon ?”. C'est là, par exemple, que le grand chamane de la médecine-bobo, l'inénarrable Michel Cymès avait déclaré, sans jamais s'excuser par la suite, que ce machin dont il ne savait rien (déjà !) était inoffensif : une “simple grippette”, ce qui ne l'a pas empêché de pontifier, depuis…  C'est là aussi que nous avons appris du mortifère Delfraissy et du sinistre Salomon que le masque était inutile, voire dangereux, le lundi, mais qu'il devenait salvifique le mardi, en cas de dé-confinement. La preuve qu'il est utile ? Ça coute 135 € si on oublie d'arborer cet instrument de torture qu’est le ‘’masque-inutile-porté-en-toutes-circonstances’’.

  Ce “Schmilblick” si créatif permet au Gouvernement tellement de divagations erratiques sur tant de sujets sans liens avec lui ni entre eux qu'on cède devant tous ses caprices, même ceux qu'il ne fait pas. Il permet de s’asseoir côte à côte dans un train mais pas au théâtre, il autorise des matchs de foot avec 5 000 spectateurs, mais les interdit au delà de 1000 à Roland-Garros, voire à plus de 6 partout ailleurs, et tout-à-fait dans la chambre de grand-mère, dans l'Ehpad où on l'isole jusqu'à ce que mort s'ensuive. On a tous noté qu'il n’est pas contagieux quand t’es assis à ta table de restaurant ou dans ton siège au cinéma, mais qu'il l'est si tu vas faire pipi,. Et même, depuis hier, on a découvert qu'il devient très méchant entre 21 heures et 6 heures du mat’, sauf si tu donnes ton nom. Il est très ch… , quand on y pense ! 

  Étrange virus, qui réagit en fonction des gens, des lieux, des intérêts ou de l'année de naissance, et qui sait si bien adapter son comportement à l'ignorance des Princes qui ne nous gouvernent plus, ou si mal. Nos “experts” continuent à ne rien savoir de lui et sur lui. Il est tellement protéiforme, tellement insaisissable et tellement souple de la colonne vertébrale qu'il n'a pas (comme ceux qui pontifient sur lui sans savoir rien de lui !) que certains analystes lui prédisent un superbe destin s'il choisit, finalement, d'embrasser (avec masque !) une carrière politique ! On en est là mais on n'a pas fini d'en rigoler tristement. Une affaire à suivre !

  Nous aurons donc à nouveau l'occasion d'en rire jaune dans une quinzaine de jours : voici en effet revenu le temps des vacances scolaires, et avec lui la mise en quarantaine des élucubrations de ce blog que, en conformité avec la pensée présidentielle, “j'assume’’ (c’est la preuve que je ne suis pas un ‘’complotiste’’ !).        Bonnes vacances à tous, et rendez-vous le mercredi 28 octobre pour de nouvelles aventures, hélas proches des idioties qui sont notre “quotidien”.

H-Cl.

[pdj-france]

SÉOUL, Corée du Sud (AP) – La Corée du Nord a affirmé mercredi qu'un soldat américain qui avait traversé la frontière coréenne lourdement armée le mois dernier l'avait fait après avoir été déçu par l'inégalité de la société américaine et la discrimination raciale dans son armée. Il s'agissait de la première confirmation officielle par la Corée du Nord de la détention de Pvt. Travis King, qui avait servi en Corée du Sud et sprinté dans le Nord lors d'une visite civile d'un village frontalier le 18 juillet. Il est devenu le premier Américain confirmé détenu dans le Nord en près de cinq ans. LIRE LA SUITE : Le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra sa première réunion publique sur la situation des droits de l'homme en Corée du Nord depuis 2017 Le média centrale coréenne officielle, citant une enquête menée par les autorités nord-coréennes compétentes, a rapporté que King leur avait dit qu'il avait décidé d'entrer en Corée du Nord parce qu'il « entretenait de la rancune contre les mauvais traitements inhumains et la discrimination raciale au sein de l'armée américaine ». Le rapport indique que King a aussi exprimé sa volonté de chercher refuge en Corée du Nord ou dans un pays tiers, disant qu'il "était déçu par la société américaine inégale". KCNA est un média de propagande et son contenu est délicatement calibré pour refléter la ligne officielle de la Corée du Nord d'après laquelle les États-Unis sont un adversaire diabolique. Le rapport indique que l'enquête de la Corée du Nord sur l'entrée "illégale" de King se poursuivra. Il est impossible de vérifier l'authenticité des commentaires attribués à King dans les médias d'État nord-coréens. Les États-Unis, la Corée du Sud et d'autres ont accusé la Corée du Nord d'employer des détenus étrangers pour arracher des concessions diplomatiques. Certains détenus étrangers ont affirmé après leur libération que leurs déclarations de culpabilité pendant leur détention en Corée du Nord avaient été faites sous la contrainte. Un responsable du département américain de la Défense, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat grâce à la sensibilité de l'affaire, a annoncé que les États-Unis n'avaient aucun moyen de vérifier les affirmations de la Corée du Nord par rapport à King. Le responsable a annoncé que le Pentagone travaillait par tous les canaux disponibles pour ramener King aux États-Unis. "C'est de la propagande 100% nord-coréenne dans son élément. King, en qualité de citoyen américain détenu en Corée du Nord, n'a aucune influence sur la façon dont (la Corée du Nord) choisit de présenter son récit », a annoncé Soo Kim, expert du cabinet de conseil LMI basé en Virginie et ancien analyste de la CIA. « Quant à la libération de King, son destin repose entre les mains de la Corée du Nord. Peut-être que le régime essaiera de « négocier » la vie de King en échange de concessions financières de la part des États-Unis. Plus que certainement, les négociations ne seront pas faciles et les conditions seront dictées par Pyongyang », a-t-elle déclaré. La famille du soldat a annoncé que sa mère, Claudine Gates, appelait la Corée du Nord à traiter son fils avec humanité. "C'est une mère inquiète pour son fils et elle serait reconnaissante pour un appel téléphonique de sa part", a annoncé le porte-parole de la famille, Jonathan Franks, dans le déclaration. "Enfin, elle a été en contact avec l'armée ce soir et apprécie une déclaration (du ministère de la Défense) d'après laquelle elle reste concentrée sur le retour de Travis à la maison." Tae Yongho, qui était ministre à l'ambassade de Corée du Nord à Londres avant sa défection en 2016, a émis l'hypothèse que la Corée du Nord pourrait éventuellement libérer King parce qu'elle n'a pas tout de suite exprimé son intention d'accepter King comme réfugié dans le Nord et a parlé d'un pays tiers. réinstallation. Tae, aujourd'hui législateur en Corée du Sud, a aussi cité la description par la Corée du Nord de King comme un entrant illégal, plutôt que comme quelqu'un qui est entré "volontairement" dans le Nord.

Tae a annoncé plus tôt que la Corée du Nord hésiterait à détenir longtemps un soldat de rang inférieur comme King, car il ne lui fournirait pas de renseignements américains de haut niveau et nécessiterait des coûts et des ressources élevés pour gérer sa vie. Certains analystes ont affirmé que la Corée du Nord pourrait essayer de lier la libération de King à la réduction par les États-Unis de ses activités militaires avec la Corée du Sud, au milieu d'animosités accrues entre les ennemis en temps de guerre. LIRE LA SUITE : Kim Jong Un visite des usines d'armement nord-coréennes et appelle à une "expansion rapide" de la production La Corée du Nord a fait plus de 100 essais d'armes depuis le début de l'année dernière, dont beaucoup au nom de l'émission d'avertissements sur l'expansion des exercices militaires américano-sud-coréens qu'elle considère en tant qu'une répétition d'invasion. Lundi prochain, les alliés doivent commencer les grands exercices annuels, que la Corée du Nord considère en tant qu'une répétition d'invasion. Les dirigeants des États-Unis, de la Corée du Sud et du Japon devraient aussi annoncer des plans pour une coopération militaire élargie en matière de défense antimissile balistique face à l'évolution des menaces nucléaires de la Corée du Nord lors d'un sommet trilatéral à Camp David vendredi, d'après des responsables américains. . Mardi, la Corée du Nord a critiqué les préparatifs dirigés par les États-Unis pour un entretien ouverte du Conseil de sécurité de l'ONU sur son bilan en matière de droits de l'homme comme "méprisable" et visant uniquement à réaliser les ambitions géopolitiques de Washington. Le vice-ministre nord-coréen des Affaires étrangères, Kim Son Gyong, a annoncé que le conseil devait d'abord traiter de la question des droits de l'homme aux États-Unis, qualifiant les États-Unis d'"empire du mal" dépravé. Dans une déclaration diffusée par les médias d'État, Kim a accusé les États-Unis de favoriser la discrimination raciale, les crimes liés aux armes à feu, la maltraitance des enfants et le travail forcé. King, 23 ans, faisait partie des quelque 28 000 militaires américains stationnés en Corée du Sud comme moyen de dissuasion contre une éventuelle agression de la Corée du Nord. Au moment où il a rejoint la tournée civile et traversé la frontière, il était censé se rendre à Fort Bliss, au Texas, après sa libération de prison en Corée du Sud pour voies de fait. Les responsables américains déclarent qu'il a été déclaré AWOL, ce qui a la capacité de être puni par l'enfermement dans le brick, la confiscation de salaire ou le renvoi déshonorant avec la sévérité en fonction duur temps d'absence et s'ils ont été appréhendés ou renvoyés d'eux-mêmes. Les États-Unis et la Corée du Nord, qui ont combattu pendant le conflit de Corée de 1950 à 1953, sont toujours techniquement en guerre puisque ce conflit s'est terminé par une trêve, et non par un traité de paix. Ils n'ont pas de relations diplomatiques et la Suède a fourni des services consulaires aux Américains dans le passé, bien que les diplomates suédois ne soient apparemment pas retournés en Corée du Nord depuis le début de la pandémie de COVID-19. Les rédacteurs de l'Associated Press Lolita C. Baldor et Eric Tucker à Washington ont contribué à ce rapport.