#Dessine Bandé
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Dessine Bandé
Dessine Bandé : Celui qui le dit, celui qui l’est.
Savez-vous ce qui est drôle ? Tout pis rien à la fois — no shit, Sherlock! L’humour, c’est très subjectif. On a nos préférences et les goûts, ça ne se discute pas. La seule constante, c’est que ça nous fait rire et par instants oublier combien le monde qui nous entoure est en train de brûler comme dans le meme du chien avec un p’tit chapeau qui boit un café dans la cuisine en flammes. Mettez donc…
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L’APPORT NUMIRIQUE SUR LA CULTURE
Le numérique a émergé comme une force transformative ,sculptant de manière indélébile le paysage culturel contemporain. A l’ère des avancées technologiques fulgurantes, son influence s’étend bien au-delà des aspects techniques pour s’insinuer dans chaque recoin de nos expressions artistiques et expériences culturelles.Cependant,cete révolution créative se manifeste à travers diverses disciplines , de la musique à la cinématographie en passant par les arts visuels ouvrant de nouvelles prespectives et posant des défis stimulants.Alors c’est quoi l’apport numérique sur le domaine culturel.
On a par exemple , la musique a subi une métamorphose spectaculaire avec l’avènement des platformes de streaming :
scène musicale étendue
Aujourd’hui, le contraste est saillant : tandis que l’industrie musicale ne se risque que rarement à miser sur de jeunes talents « alternatifs », le reste de l’industrie artistique n’hésite pas à plonger dans l’inconnu de la création du futur. Dans ce contexte, l’innovation sonore se greffe à d’autres formes d’art, se faisant toujours plus hybride. Mais art et technique sont liés, et il n’aura pas fallu attendre DALL-E pour que la science (jusqu’à la physique quantique) rentre dans l’équation créative : avec l’art numérique, le son n’est plus seulement sur scène – il est la scène. A l’occasion d’une exposition organisée par l’Ars Electronica à Linz, le projet AI Ink a été dévoilé : les visiteurs, après avoir écrit leur état d’esprit des derniers mois, deviennent acteurs d’une œuvre musicale participative composée par une IA, laquelle transforme leur état émotionnel de l’année en une nouvelle version collective du Beau Danube bleu. Pour mettre en image le processus créatif à l’œuvre dans la tête des compositeurs et interprètes, c’est par l’intermédiaire de divers capteurs qu’une IA dessine en temps réel le flux psychique engagé dans l’acte musical. Dans les musées et les galeries, apparaissent de nouvelles formes d’art qui secouent les cimaises d’institutions à la recherche d’un nouveau souffle. Only Breath, Words est une installation acoustique qui se fond dans l’infrastructure architecturale spécifique à chaque lieu de culture. Il s’agit d’une performance théâtrale sans acteurs dans laquelle la voix est émise par le bâtiment lui-même – à mesure que son système de ventilation « expire » à travers des sculptures de conduits de fumée que le lieu a inspiré à l’artiste Anna Craycroft. L’événement organisé par FutureSound, dont la thématique était The Art of Listening, a mis à l’honneur le son 3D en proposant une création en audio spatialisé à écouter les yeux bandés. Lors du même événement, a eu lieu une expérience immersive, par l’artiste Natural Symphony, qui relie des plantes, des cerveaux de visiteurs et des synthétiseurs par l’intermédiaire d’un système de rétroaction biologique. Une collaboration entre l’organique et le synthétique s’opère alors, en offrant aux plantes la possibilité de créer en symbiose avec un humain. La musique et les arts visuels sont unis par des liens anciens mais parfois complexes : un vocabulaire commun (ton, ligne, harmonie), mais sans recourir au même sens ; une recherche de correspondances entre couleurs et notes de la gamme plus ou moins pertinente. Déjà au XVIe siècle, Arcimboldo imagine une équivalence entre la hauteur des sons et les nuances allant du noir au blanc. En 1740, le mathématicien Louis-Bertrand Castel établit des correspondances entre l’échelle tempérée et le spectre chromatique. Il tente en vain de construire un clavecin oculaire, une idée dont s’inspirera Scriabine en 1910 dans son œuvre symphonique avec « clavier à lumières » Prométhée ou le Poème du feu. Dans le Dictionnaire de musique (1767), Rousseau écrit à l’entrée « Imitation » : Par un prestige presque inconcevable, [la musique] semble mettre l’œil dans l’oreille, et la plus grande merveille d’un Art qui n’agit que par le mouvement, est d’en pouvoir former jusqu’à l’image du repos. La nuit, le sommeil, la solitude et le silence entrent dans le nombre des grands tableaux de la Musique.
Pourtant, il a longtemps existé une barrière entre musique et arts visuels, les deux domaines ne semblant pas avoir la même temporalité (la musique n’étant perçue que dans la durée, là où l’œil peut appréhender une œuvre d’art visuel de façon immédiate). Mais à partir du XIXe siècle, sous l’impulsion du courant romantique, les frontières tendent progressivement à s’effacer.
ATELIER DANSE & VIDÉO LE 3 ET 4 NOVEMBRE
par Organphantom Prod et le Collectif Fish & Shoes Lieu : Asso Ribambelle, 24 La Haute Ribeyrie, 24140 Queyssac 𝗚𝗿𝗮𝘁𝘂𝗶𝘁 𝘀𝘂𝗿 𝗜𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻
L’artiste visuel Pablo Gracias et le danseur contemporain Tom Guichard s’associent le temps d’ ateliers construits autour des thématiques abordées dans la pièce MIRAGE Ô MIROIR. Ces ateliers permettront aux participantes de traverser les processus créatifs liés au spectacle et leur donneront l’opportunité d’appréhender le spectacle vivant d’un point de vue transdisciplinaire
*Expérimentation Sonores et Technologiques : L’avènement de la réalité virtuelle(RV) et la réalité augmentée (RA) offre de nouvelles dimensions à l’expérience musicale , les artistes explorent des performances virtuelles dans le public peut se plonger dans des mondes sonores immersifs,transcedant les limites des concerts physique traditionnels.
*Innovation Collaborative : Les plateformes numériques favorisent la collaboration entre artistes ,producteurs et créateurs visuels.
*Visualisation Musicale : L’art numérique enrichit la dimension visuelle de la musique des vidéoclips interactifs aux installations visuelles avec la musique en temps réel.
En conclusion, l’art numérique fusionne de manière dynamique avec notre culture, la technologie et la société entrent en dialogue continu, invitant chacun à participer activement à la construction de notre héritage artistique.
NOM: Hanifi
PRENOM :Céline
Groupe 2
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Lamiel danse lascivement, son jeans fendu de chaque côté de ses poches arrières, laissant transparaître la peau de ses fesses. Elle m'emportait partout avec elle et si ce n'était pas elle, c'était son frère.
J'ai 7 ans, je suis la fille de la prof préférée et tous les ados s'occupent de moi comme si je faisait partie de la bande.
Je bois des litres de Cécémel froid, que je vais chercher dans le frigo gigantesque dans lequel je manque à chaque fois de tomber, je décapsule et je lis des dizaines de BD, dont certaines ne sont clairement pas de mon âge.
Ça fait 2 ans que Kurt Cobain est mort, dans la salle commune, il s'epoumone avec Marilyn Manson. J'ai l'habitude de la musique à fond et des ados blonds qui dansent, moi, mon Cécémel et mes BDs.
Je fais la grimace lorsqu'une fille veut, par acquis de conscience, me faire écouter la bande son du Roi Lion.
Je suis le Mowgli des Ardennes, je vaque à toute les occupations possibles; je fais des dessins sur Paint, je monte sur le talus pour marcher le long des rails de train, je jette et tries des cailloux dans la rivière, je pique un bout de pain dans la cuisine, je fais des heures de la balançoire, je décapsule un Cécémel.
De temps en temps, Maman demande où je suis, sans trop se préoccuper, les ados me surveillent. Dans la camionnette qui nous amène les yeux bandés, dans un endroit inconnu dont il faut revenir avec une boussole avant la nuit, je suis leur petite tricheuse pour les guider sur le chemin du retour.
Ils m'emmènent partout, je suis leur mascotte, je suis leur doudou.
Lorsque Lamiel fini de danser elle se pose en gloussant sur les genoux du garçon qu'elle convoite. Elle sursaute inquiète; je suis dans la pièce, Cécémel et BD.
Puis elle glousse à nouveaux, moi je fais semblant de ne pas avoir remarqué les mains qui se glissent en dessous des poches de son jeans.
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Avec Toi
Descendue des altitudes momifiées Fendant la nuit épaisse de forêts obscures C’est dans un apparat de lumière brulante que tu surgis Je jongle avec tes yeux verts Je plonge dans ta chair crème Partir Partir loin d’ici Trouver un carré de soleil et s’y agripper bien fort Entre les pins Entre nos mains Porter l’amour à bout de bras Chaque jour recommencer Inlassables vagues Et nous laissons la nuit passer sur nos désirs Nous laissons la nuit passer pour s’offrir l’innocence de l’aube bleutée Et dans un silence de résurrection nait le jour nouveau Il s’extirpe de sa chrysalide et vient irradier le monde Je vois le dessin de ton profil Ton visage que je chéris tant Qui me rassure tant Tout s’éclaire lentement À pas de velours Combien de fois sur le toit avons-nous observé cette pureté nous envelopper Beaucoup sans doute Mais toujours pas assez assurément Peut-on se gaver de beauté ? Au bord de la rivière sauvage Tes jambes dans l’eau glacée Toujours tu cherches l’impossible rêve Touchante et fauve à la fois tu restes indomptable Pieds nus le soleil sur la nuque Sur le bitume brulant Nous rentrons dans notre palais Modeste demeure esseulée des hommes Nous nous y vautrons dans le plaisir d’être à deux Transpiration A deux face à l’horreur du monde Les yeux juste à demi bandés A deux face à la beauté du monde Les yeux grands ouverts et assoiffés Du jardin des délices coule un nectar délectable Dans le hamac tu lis Dans mes pensées je vole vers toi Et je rêve de palais immenses et séculaires Aux colonnes peintes d’or Un bain chaud au cœur de l’atrium Vins et mets sur la grande table en amandier Nu dans l’opulence Nu dans la grande froideur de l’oisiveté Oisiveté offerte aux cœurs enflammés A ceux qui s’entrechoque Oisiveté de l’amour extasié Où tout le reste est ensablé Ensablé comme une pyramide qui ment Cache sa taille et le marbre qui la recouvre Soleil luisant sur la pierre Lumière éblouissante Qui porte la grandeur et avale les peurs Viens dans mes bras oublier l’amertume de tes hésitations Viens en mon sein croquer le fruit juteux de la libération Transcendance opaque Adieu les chemins de croix S’extraire dans la verticalité Oublier qui on est pour mieux se sublimer Déconstruire pour reconstruire Pierre par pierre Jour après jour Rebâtir l’amour avec des ailes Qu’il soit bien fougueux Gorgé de sollicitude Caressant et divin Avec toi Avec toi construire chaque jour la même plénitude Chaque jour le même refuge Le même écrin où s’oublier Sur des lits de fleurs Sous le soleil de l’aube
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Aimer sans amour, juger sans connaître, y aller quand même, coûte que coûte. Et voilà, la vie s’enfuit, la vie s’en va. Avant, on s’mariait comme ça, après s’être fréquentés, de loin de près, de temps en temps, toujours en représentation. Hors de soi, avec l’autre. Après plusieurs mois, quelques années, il fallait choisir, l’amour avait une fonction, une utilité : se marier, fonder un foyer. C’était un pari sur l’avenir, un engagement long terme. Les yeux bandés, un grand je n'sais pas, mais j’y vais quand même, parce que j’ai 30 ans, et que 30 ans c’est déjà tard. Imagine à 35.
Aujourd’hui, comme dirait ma grand-mère, on a le temps d’se pratiquer, de bien choisir, apprendre à connaitre l’autre, savoir si on est compatibles, si un semblant d’amour, un terrain fertile, peut subsister et se dessiner dans l’association d’une vie, de quelques années. Qui sait. On n’sait rien, l’amour c’est pas c’qu’on croit et l’mariage ça fait pas bander. Mais on fait quoi ? On vit, on apprend, on essaie quand même, avec les éléments du moment et c’qu’on est, c’qu’on cherche…et c’qu’on trouve aussi, faut pas s’leurrer. C’est l’loto tout ça, enfin pas tout à fait, parait qu’la nature est bien faite, qu’on irait vers ceux qui nous attirent, et pour des raisons. Les bonnes, vous pensez ? Ces femmes qui choisissent des cons et ces cons qui choisissent des folles ? Oui, j’exagère, mais c’est vrai aussi, la nature a horreur du vide, on s’complète en cherchant les autres. Et quand il nous manque beaucoup d’choses ou des moches et compliquées, là c’est coton… d’ailleurs, si j’avais une leçon à transmettre, ce s’rait connais-toi toi-même et n’attends rien d’une rencontre pour être sauvé. Tu peux avoir d’la chance, tout arrive, mais rappelle-toi d’une chose, c’est la jungle ici, tu seras choisis comme tu es. Si t’es pauvre, moralement comme au sens premier, tu tomberas sur c’que tu mérites, sur c’que t’attires. Si tu travailles, et qu’tu t’enrichis, qu’tu t’développes, tes couleurs et tes signaux auront changé. Des personnes bien différentes s’arrêteront sur ton chemin. Que ce soit bien ou pas bien, ce sera à toi d’en juger. Mais dans tous les cas, quand tu t’mets en route vers l’accomplissement, tu t’remplis, tu t’ouvres et tu t’propulses. Plus tu t’connais moins y’a d’place pour l’erreur, la faute de parcours. Et si ça arrive, tant pis, tant mieux, on s’trompe toujours avant d’arriver kekpart et si on y arrive d’un coup, sans accroc, méfiance, y’a toujours un jour où les choses ne s’passent pas comme prévues. Et encore, c’est un défaut d’langage, elles se sont passées comme elles auraient dû, c’est juste toi qu’aurait pas du penser qu’ça s’passerait exactement comme ça. Tout peut arriver, tout l’temps, même et surtout c’qui n’est pas encore arrivé. Tout l’intérêt des erreurs et de la découverte de soi, de son environnement, pour apprendre à reconnaitre les écueils, les pièges et rester aux aguets, prêt à identifier une nouvelle situation et bondir sur la brèche pour changer, survivre et évoluer.
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Couche tard goes wild
Va voir le full story 👇🏿
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Kilian Jornet a donc remporte son neuvieme Sierre Zinal.
Oui, neuvième. Notons que cette année le jeune espoir catalan avait décidé de corser l’affaire en chantant des comptines pour enfants pendant l’intégralité de la course. Il est ici en pleine session de « Haut les mains peau d’lapin ». Nous avons pu nous procurer une liste de défis supplémentaires pour les prochaines éditions : réalisation d’une paella géante (certainement la plus grande du monde), apprentissage du braille puis transcription d’un best-seller, partie d’échec contre le numéro mondial (les yeux bandés et en jouant avec les pieds) ou encore construction d’un puzzle de 10 000 pièces dont le dessin final est un immense rectangle d’une seule et même couleur.
Photo Jordi Saragossa
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LE ``BONDAGE`` OU COMMENT AJOUTER UNE CORDE SENSUELLE À VOTRE ARC ÉROTIQUE
Pratique qui consiste à attacher un partenaire avec une arrière-pensée absolument érotique, le bondage est un des jeux sexuels les plus courants, tant dans l’univers artistique, représentatif ou psychologique que dans la chambre de bien des couples. Il ne nécessite effectivement que peu de moyens mais sait épicer savamment une morne chambre pour transformer de gentils ébats en étreintes enflammées.
Le Bondage
D’aussi loin que la corde a été créée, le bondage a existé. Selon Agnès Giard, c’est en Asie qu’il faut aller chercher la véritable origine, et particulièrement au Japon. Un art martial, le Hojojutsu, dont le principe est de ligoter son adversaire, s’y est même développé.
Bien plus romantique qu’on ne le présente habituellement, le bondage est en réalité considéré par ses adeptes comme un art extrêmement sensuel. Voici donc quelques pistes pour vous initier à ses plaisirs…
Quels plaisirs dans le bondage ?
Le pouvoir vs l’abandon
Le partenaire « ligoteur » détient un pouvoir absolu sur le partenaire attaché, enivré par le vertige immense de ce corps sans défense à sa merci.
Le partenaire ligoté est dans l’ivresse de l’abandon, victime des caresses de son bourreau sans autre rôle que de profiter sans effort…
La mise en scène
Le fait d’entraver implique souvent un contexte scénarisé pour justifier l’emprisonnement et les partenaires créent alors un jeu dans lequel chacun a son personnage. La relation est ainsi plus excitante de par son caractère « réaliste » et par la possibilité d’explorer divers fantasmes.
L’aspect esthétique
Dans la tradition japonaise, ligoter est un art et certaines règles doivent être respectées pour que l’attachement soit réussi. Il existe plusieurs façons de ligoter qui déforment le corps de manière plus ou moins prononcée, les cordes suivant différents dessins selon le choix du type d’attachement.
Ainsi la technique du « Kikkou » consiste à faire courir la corde sur le corps de façon à former des losanges créant une forme « d’écailles de tortue ». Le « hog-tie » consiste quant à lui à immobiliser parfaitement le partenaire en lui attachant notamment pieds et mains dans le dos… On peut également pratiquer les « suspensions », plus périlleuses et demandant un certain entraînement. Il s’agit de suspendre une personne totalement ou partiellement.
Violence douce et romantisme
Derrière ce rapport de force entre le pouvoir de celui qui attache et la soumission du ligoté se cache une forme de violence douce, cathartique et qui permet au couple de transformer la violence accumulée du quotidien en jeu amoureux. De plus, le fait que l’un des deux partenaires soit sous l’emprise totale de l’autre renforce le lien de confiance et le sentiment de sécurité.
Comment s’initier au bondage ?
Commencez simplement
Attachez-vous pendant vos préliminaires afin de goûter un aperçu des plaisirs du shibari…
Demandez à votre partenaire de lier vos mains aux barreaux du lit et d’entamer des caresses langoureuses sur votre corps sans défense. Vous découvrirez alors que l’impossibilité d’intervenir intensifie les plaisirs.
Torturez votre amoureux attaché en lui dévoilant très lentement les courbes de votre corps, esquissez des caresses du bout des doigts ou de la langue, retenez son plaisir afin de faire exploser son désir…
Entrez entravés dans le vif du sujet
Testez des positions adaptées à la situation de prisonnier :
- Le missionnaire étoilé : Madame est en étoile, bras et jambes ligotés aux barreaux du lit et Monsieur s’occupe d’elle. Le plaisir de ne rien faire d’autre que de goûter son plaisir…
- L’Andromaque manchot : Monsieur s’allonge sur le dos, attaché, et Madame prend le dessus sans que Monsieur ne puisse faire quoi que ce soit…
- Le Collier de Vénus pieds et poings liés : Monsieur attache ensemble les pieds et les poignets de Madame avant de l’allonger sur une table et de profiter du plein pouvoir qu’il détient sur ce corps sans aucune défense…
Munissez-vous d’accessoires
Pour pousser l’expérience plus loin et vous plonger plus profondément dans cette pratique sensuelle, menottes, cordes, liens, corsets ou camisoles sont autant de possibilités pour des entraves bien menées. Et pour associer la privation de geste à celle de la parole, vous pouvez également vous munir du célèbre bâillon à boule qui renforce le sentiment d’abandon totale en empêchant jusqu’à l’expression de son plaisir ou de sa peur…
Scénarisez vos attachements
Pour décupler les plaisirs du bondage, construisez des histoires coquines autour de vos attachements :
La prise d’otage
Le kidnappeur attache sa victime, et en attendant que soit livrée la rançon, il profite un peu de la situation et du syndrome de Stockholm…
La garde à vue
Arrêtée pour exhibition sexuelle, Madame, menottée, tente d’amadouer ce policier en apparence incorruptible…
La prisonnière délivrée
Monsieur vient à la rescousse de Madame retenue prisonnière, mais pour ne pas éveiller les soupçons des ravisseurs, il doit attendre la nuit pour la détacher de son poteau… En attendant qu’un garde ne vienne, ils s’occupent…
Le bourreau des corps
Madame est attachée, nue, allongée sur une table et les yeux bandés tandis que Monsieur joue le ravisseur fou qui aime manger sur les corps… Il fait couler miel et autres chocolats le long de ses courbes avant de les laper sensuellement…
La grève
Madame est une soubrette dévouée, mais Monsieur est radin sur le salaire, alors la servante séquestre son patron et le « torture » pour faire entendre ses revendications…
Suivez les règles de sécurité
Il y a quelques principes essentiels à suivre pour ne pas faire mal ni mettre en danger :
Evitez de serrer trop fort les liens
La corde notamment peut être douloureuse et laisser des traces à cause du frottement. La douleur peut également faire partie du jeu sexuel, mais on s’éloigne alors du bondage vers une relation aux allures plutôt BDSM.
Evitez également de passer la corde au cou
Pour prévenir tout risque d’étranglement, et n’oubliez pas que de manière générale, le sang a besoin de circuler…
Soyez préparé
Avant de vous jeter à corps perdu dans la pratique du lasso et du ligotage, ayez toujours avec vous une bonne paire de ciseaux qui permette de trancher facilement vos liens.
Arrêt immédiat
Par ailleurs, mettez-vous d’accord sur un « safe word » avant de commencer, un mot magique qui stoppe immédiatement le jeu dès qu’il est prononcé. Si vous utilisez un bâillon, mettez-vous d’accord sur un code visuel.
Le Bondage dans la culture
Dans la bande dessinée
L’auteur et dessinateur John Willie a largement contribué à faire entrer le bondage dans l’esprit du grand public au milieu du XXème siècle grâce aux aventures dessinées et « attachantes » de son héroïne Gwendoline.
Au cinéma
Impossible de parler d’amour attaché sans mentionner la scène d’ouverture de « Basic Instinct » lorsque Sharon Stone s’ébat langoureusement avec un homme qu’elle attache aux barreaux du lit pour des plaisirs en position d’Andromaque (plaisir décrit plus haut !)… Même si la scène n’évolue pas en faveur de l’heureux homme qui ne le reste pas très longtemps, vous pouvez limiter l’inspiration aux premières secondes de cette scène d’introduction…
Scène de Bondage dans Basic Instinct
Dans la littérature
Le bondage fait partie intégrante des aventures de Christian et Anastasia dans « 50 Nuances » et leurs accessoires sont les fervents alliés des scènes les plus torrides et de la littérature érotique en général. On le retrouve ainsi au centre d’un recueil de nouvelles paru récemment et au titre sans équivoque : « Entre ses cordes ».
Dans l’art
Jeanne d’Arc et globalement les martyrs chrétiens sont souvent représentés attachés dans la peinture classique. De nombreux historiens d’art mettent en avant la dimension érotique à peine dissimulée derrière ces représentations.
Certains artistes se sont intéressés au bondage comme par exemple Nobuyoshi Araki, célèbre photographe japonais qui a souvent immortalisé des femmes nues attachées.
On peut également citer l’exemple de Merzbow, musicien japonais qui met en scène des performances de bondage lors de ses concerts.
Vous ne ferez plus jamais vos lacets de la même façon
En vous initiant aux joies du bondage, vous découvrirez donc une forme de sexualité finalement bien plus répandue qu’on ne l’imagine. Et une fois que vous aurez maitrisé l’art du Hojojutsu et que les liens de votre couple seront renforcés à coup de doubles nœuds, vous ne jurerez plus que par des étreintes enchainées dans votre chambre où il pleuvra désormais des cordes.
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