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#Démerde toi
sassenashsworld · 1 year
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I'm really hard on the Nick Valentine thing, but I must confess I have a sticker of Hancock on my van mirror with the sentence : "get this freakshow on the road".
Too often, my road is long and hard, I have to drive against my heart to place I didn't wanna go (you may refer to a job but no, I work from my home)
And all this time I just look up at Hancock's smile and it's help me
Then, one day, my son was on the backseat behind me and saw the sticker: "wait, it's Hancock?"
"Yeah, it's help me when i have to beat some super-mutants"
"You mean, when you have to drive where is the one we have to not said the name?"
And that's when my daughter add: "It's my father, my father is the one we must not name"
And I look up at my Hancock's sticker and his smile seem to tell me : "hey, it's your freakshow, wipe your own shit" (try to translate démerde-toi avec)
Thank for your support, friend
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leleaulait · 1 year
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Faut que je parle d'un truc qui me soule !
Hier à la Baby Shower, il y avait une dizaine d'enfants/bébés, on a eu le droit à l'éternel discours du "et vous alors c'est pour quand les enfants ?" "Ça vous irez tellement bien un bébé" (WTF).
Et alors dès que tu ose dire "jamais ! On veut pas" tes placé dans la case "bizarre" et les gens ne comprennent pas, pour eux c'est le but de leur vie d'avoir un enfant et ils ne comprennent pas que nous on s'en bat les reins puissance milles ! Qu'on à d'autres priorités dans la vie, qu'on ne veut pas à avoir a éduquer un enfant ou juste tout simplement qu'on ne VEUX PAS d'enfants.
J'entends toujours des "oh tu verras plus tard tu en voudras sûrement" ou "mais ça change la vie un enfant ça te fait voir le monde autrement". Ouais peut-être mais je sais depuis 30ans maintenant que je n'en veux pas et que je ne veux pas voir ma vie changer non plus pour ça les gars ! Et si jamais plus tard j'en veux un, je sais que moi et mon chéri on veux adopter. Alors juste, lâchez nous avec ça sérieux, arrêtez de faire chier vos amies parce qu'il n'ont pas d'enfants ou n'en veulent pas ! En plus je fais partie des gens qui trouvent que faire un enfant dans le monde dans lequel on vit aujourd'hui c'est quand même bof bof quand on voit ce qu'on leur lègue... Aller tiens maintenant démerde toi avec le réchauffement climatique, les guerres, les prix abusé de la vie, la difficulté de trouver un emploi, l'extinction de la plupart des espèces, la fonte des banquises, la politique de merde et le fait que l'eau va devenir rare quand t'aura 20ans mon petit !
Ça n'engage que moi et ne prenez pas ça pour une attaque les gens qui veulent des gosse. C'est votre vie pas la mienne 💕
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tar-one · 1 year
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Ça y est, il est là, mon nouveau mini projet est dehors ! 5 mini titres pour 9min26 de feu.
Prods de mon Homie de longue date @ninolucania , immense talent brut qui régale les connaisseurs de l'underground depuis Montréal où il a posé ses valises depuis quelques années. Un des 4 fantastiques de la famille @crystalcaminobeats . Du drumless, du classic Boom Bap, de la boucle, du groove, des petits sons et variantes, de la Vibe Alchemistienne ou Madlibienne, en moins de 10min il offre plus de richesse que bien des albums de 20 tracks. Du soyeux à la hauteur de toutes les perles US auxquelles on se bute tous les deux.
Du coup, gros plaisir pour Flow là-dessus, je suis à l'aise et posé, je surfe en mode voix de miel. Pour les textes, ya deux trucs qui traînaient et prenaient la poussière pour rien dans le Book of Rhymes. Ya de l'inédit parce que je me sens toujours sur ma vague de créativité inspirée. Et donc même en mode récré spontanée, je me démerde quand même pour avoir des choses à dire qu'on n'entend pas toujours ailleurs, je tâche de ne pas tourner en rond. Fond et forme, t'inquiète l'exigence fait toujours partie de la politique maison. N'hésite pas à me faire savoir quelles sont tes barz préférées.
Tout ça ainsi que plein d'autres choses (dont un feat tout récent avec @bigmodcashmire sur une prod de @royazmusic) est dispo sur YT et toutes les plateformes de streaming. Nouvelle Dope cover de @daexdope et nouveau Dope mix de @_taipan_ . Plein d'autres choses arrivent.
Merci à celles et ceux qui ont donné, donnent et donneront du soutien.
Lyrics :
01. Joyaux
Vrai Hip Hop comme quand arrivent les LOX
Ma Reine paresse dans mon Hoodie comme Ari Lennox
J’aime quand pas d’stress on est tout chill, on rit d’conneries
J’aime quand nos pieds s’caressent pendant qu’on lit au lit
Quand c’est Olé Olé, chaud comme quand l’groove de Fela est là
Ce supplément d’âme comme Ella elle l’a
Plains ceux pour qui il n’y a que le boulard, couple
Egale savoir que tout n’tourne pas autour de soi comme Hula hoop
Ça vous la coupe comme j’peux vous tuer en une attaque
En une accap’, du napalm, jalouse pas du nabab
Car l’infortune peut même toucher les fortunés
Derrière c’Mic vaut mieux pas m’importuner
Plus de joyaux que n’en a chouravés l’occident
Z’ont tout raflé sacripants, c’tait surtout pas des accidents
Mais moi gracieusement j’vous en offre gracieusement
Le premier c’est l’cœur, j’le fais avec, ça s’ressent
blabla
Pas besoin d’une popularité à la Omar Sy
Je veux réussir des ambiances à la Roc Marci
Jalouse pas Roméo Elvis pour ses tas d’zéniths
Mais parce qu’il a collaboré avec Alchemist
Mais chanceux comme Luciano j’ai des gars comme Lucania
On fout l’bazar trop chauds comme full cagnard
Lyricalement je crains personne j’ai tout l’arsenal
Fais comme Iverson rookie : passe le Mic/Mike !
Blabla outro
02. Obsolescence
Oui j’nourris toujours ton esprit de ces rimes non périssables
Alors que les pourris fourmillent, fournissent des foutoirs méprisables
Vouloir des mirages ? Fous-toi de ces images
Et les brouhahas assourdissent, abasourdissent, Fuck tout c’blabla
Tout s’oublie, tout saoule vite, tous s’oublient
Tout s’achète, tout s’vend, tout s’jette tout l’temps, ôtant toute vie
Toute étincelle, toute humanité sur c’globe cramé
Même les relations semblent avoir une obsolescence programmée
On les consomme comme un truc qui s’jette, comme un kleenex
Plus de sens, de substance, plus qu’une une chasse fric-sex
Se noyer dans la jouissance plus pouvoir vivre sans cette ivresse
Ton phone vaut deux loyers mais pour les pauvres t’as pas une ptite pièce ?!
À chaque jour son buzz, t’es branché mais c’est pas l’bon ampérage
Ton encéphalogramme est plat, ton melon a enflé grave
Tu devrais t’prendre des claques quand tu crânes et flambes en terrasse
Moi j’fais dans l’vrai rap
En ces temps très barges une denrée rare
03. Pia Kemp
Ptit rappel : on arrive à peine à la cheville de Pia Kemp
Des meufs + burnées qu’toi, ne crois pas qu’il n’y qu’elle
Les punch subversives sont chez Virginie Despentes
Les rappeurs chantent, les amateurs de lyricisme déchantent
Un peu comme pour la baise, j’kiffe la scène
Prendre mais aussi donner du plaisir ça m’plaît
Veux complicité, Jim et Kim qui partagent une cigarette
T’as rien compris si tu te dis chuis trop fort si j’harcèle
Imagine subir 1 jour ces « psst psst madmoizelle »
Tu m’étonnes que certaines soient misandres, que certaines ne soient pas zen
Personne n’est défini par son sexe, par sa couleur
J’écris, tu vois des images, Hip Hop, Martha Cooper
J’ai les yeux rouges et suis le roi comme Myriam
J’ai pas d’ptits atouts, performances Nafissatou Thiam
Mon son t’enchante, il tue même si on s’en branle
C’est évident pourtant trop s’en foutent comme le consentement
blabla
Tar Un, j’te mets une douille
Fort comme un vagin et toi fragile comme une couille
04. Comme par miracle
En moi ya cette force qui m’anime, qui m’habite
Qui me donne cette manie de trouver la rime
Polysyllabique ou assez magique
Pour que ça te captive que ton esprit s’active
Mais entre ma vie et l’imaginatif
J’suis assez habile, assez agile
Des années passives, j’en ai à mon actif
Profond comme l’abîme connait le secret des pyramides
Comme Ali, j’suis fort man, natif
De Verviers ma ville, QG de ma clique
Où certains s’agitent et d’autres s’assagissent
Où je réalise que j’suis loin et chavire
Moi j’aspire à échapper à la spirale
Pour moi c’est vital les émotions véritables
Face à ces myriades de propagandes virales
De dirigeants minables, de sociétés, de filiales
La fumée du spliff j’inhale, me creuse la tête si j’cale
Avec la foi ça ira, c’texte se finira
Puis comme par miracle, de l’or sort alors que j’divague
Rimes riches comme un émirat, combatif comme Divac
Vérité dans chaque syllabe, s’évapore de mes synapses
Comme un bonzaï je cisaille mon flow, content que si j’gagne
Ma langue un sabre comme Gza, une technique indéchiffrable
Esprit pas en friche, fiable, talent de légende comme Zidane
05. J’ai plus de crew
Je me rappelle mon crew, les gens, mon clan, mon skwad
À la vie à la mort, partage tout, ensemble où qu’on soit
La vie devant nous, le monde à nous, c’était qu’une question d’temps
Les réponses à nos questions pas grave si nous restions sans
« on verra » et « ils verront », « on sera jamais des vieux cons ! »
On a vu, « eux » n’ont pas vu, la vie nous a donné quelques leçons
Vive la fougue et l’idéalisme
Nos rêves, nos choix, nos projet, peu importe si c’était irréaliste
Puis les situations évoluent, les trajectoires divergent
Étrange d’être presqu’étranger pour des personnes intimes hier
Toujours plus de rencontres, moins de temps, à l’occaz un trépasse
Toujours plus de gens à qui je dis sincèrement « Faut qu’on se voit un de ces 4 ! »
Prisonniers de nos quotidiens, on tente de savourer
Des moments qui seront toujours plus rares si on ose se l’avouer
Pour ceux qui savent et pour ceux qui ne le savent même pas
Un lien existe bel et bien et sachez que ça restera
blabla
Les potes, on s’est éloignés, tant de distance nous sépare
J’ai pas croulé sous les signes, les coups de fils, les messages
Mais y’en a eu et j’ai pas fait plus, malgré nos absences respectives
Avec ou sans moi dedans je vous souhaite une très belle vie
Et j’kiffe les chills, des coups, du son en petit comité
Comme Pharell Happy, Lucky, j’esquive coups du sort et veux profiter
Petit déglinguage à l’occaz, large smile quand j’danse
Limite en transe, euphorie que j’sens grande, ensemble, en bande
Mais bon j’ai donné, j’l’ai trop fait, débordé, dégommé
Décrocher avant de n’être que désolant et désolé
40 ans ne trainant qu’entre couilles c’est pas tentant
Poivrots pathétiques patentés : il est grand temps de changer de tendance
Envie de solitude ou de me mettre bien avec ma Reine
De bonnes discussions, de culture, faire de la merde j’arrête
Devenir l’idole des jeunes, j’crois que c’est niqué du coup
Oublie pas mes homies du tout mais tant pis, j’ai plus d’crew
Blabla outro
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bleu-sang · 1 year
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Et ça ose venir pleurer en disant "j'ai fait une connerie, je saigne un peu" après tout ça. Je n'arrive même plus à faire preuve de sympathie ni de compassion.
Démerde-toi.
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sebastienrobertblr · 2 years
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Tout est à l'intérieur, suite.
Veut dire en vrai : démerdes toi tout seul. Ce n’est donc pas étonnant qu’il émane tant des réseaux aux philosophies sataniques. De plus, dans le monde médical, de ces mêmes réseaux, quand ils persécutent quelqu’un jusqu’à l’épuisement généralisé, ils trouveront ce concept aussi pratique, car il évite toujours d’aider. Par exemple l’épuisement entraine des contractures, qui nécessitent des…
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mellowmoonsublime · 2 years
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Un jour de pluie Chap 4
Pov Allen
 Le lendemain je pars tôt laissant encore une fois un gâteau pour les remercier. Par chance le soir même je peux rentrer chez moi et croise Lavi dans le hall d’entrée. 
-”Hey Allen-kun!” 
-”Salut!” Je dis lui offrant un sourire fatigué. 
-”Ta voiture sera prête demain soir, Yû pourra t’y emmener, je lui ai déjà demandé.” J’hoche la tête en le remerçiant. On parle de deux trois choses jusqu’à ce que l’on parle d’un sujet commun.
-"LA COÏNCIDENCE !"crie Lavi.
-"Gueule pas baka usagi!" Lavi me regarde avec un visage choqué, je venais de l’appeler comme Kanda. En vrai c’est sortit tout seul, mais c’est mieux que ce que j’avais en tête de base. Je suis poli de base mais faut pas pousser non plus.
-"Toi tu vas arrêter de côtoyer Yû hein!" Il me juge de la tête au pied et ça avait l’air d’être marrant pour le grand-père Bookman qui nous avait rejoint puisque Lavi prenait trop de temps pour rentrer.
-" En tout cas si tu as besoin d'un truc, demande nous, on doit se soutenir entre voisins." Reprend Lavi.
-"Merci!" Il sourit avant de rentrer chez lui, et moi bah par personne. J’ai déjà pensé à prendre un animal, mais je n’ai déjà pas à manger pour moi, ça ne serait pas juste pour une petite bête de ne pas recevoir la nourriture qu’il mérite.
Je ferme la porte derrière moi et le silence m’étouffe presque. Bizarrement c’est maintenant que je me rends compte que j’étais vraiment bien avec Kanda. J’étais apaisé.
Je n’ai rien à manger dans mon frigo et de toute façon, je n’ai  rien pour acheter de quoi manger alors de l'eau me suffira. 
Le lendemain comme promis après le travail, Kanda m’amène au petit garage du quartier. Je peux enfin revoir ma  voiture. Kanda était partit presque instantanément, ne me proposant même pas de m’accompagner. J’ai fait quelque chose de mal? Je ne le comprends pas pour le coup. 
Lavi m’a fait un prix d’ami pour la voiture, je le remercie grandement. Ça me permettra d’acheter des pattes pour les deux prochaines semaines.
J’ allais donc au travail tous les jours, tous les jours se ressembler. Et je me sentais petit à petit proche de ma limite mais faisait en sorte de ne pas m’écouter. Je vais bien. 
J’ai pas revu Kanda pendant plusieurs semaines après qu’il m’est déposé. 
Son père venait toujours à la boutique, toujours gentil et souriant, mais lui resté dans la voiture. Et puis d’un coup il a remontré le bout de son nez par moment avec lui, il me parlait un peu, simple bonjour et aurevoir. Ça me suffisait en vrai. 
D’un autre côté, je passais beaucoup de temps à parler avec Lavi. Je suis bien plus jeune que lui, et en vrai je devrais être à l'université mais je n’ai jamais aimé ça alors j’ai arrêté après un semestre et puis pour d'autres raisons aussi. Je fais tout par moi même et, même si je refuse de l’aide la plupart du temps, je fais toujours en sorte de rendre l’appareil. Je  ne pouvais pas non plus en faire trop. J’aide Lavi pour ses devoirs et les révisions puisqu’à côté de travailler au garage il est étudiant, lui. Je  fais aussi un petit casse-croûte pour la journée.
Je suis  complètement émancipé, donc je me démerde du mieux que je peux mais je n’ai aucun soutien autre que mon cul. Mais quand je savais qu’il venait,  je faisais en sorte de faire des courses pour manger un bon repas avec lui et son grand-père. Et puis Lavi est assez proche de Kanda même si le noiraud ne l’avouera pas. Même si ces deux-là jouaient au chat et à la souris, ils s'appréciaient vraiment. Un jour à la boutique quand  j’étais en train de remettre en rayon des pâtisseries et petit pain,  Kanda rentra dans la boutique sans son père, mais accompagné de Lavi tout sourire.
Naturellement je les gratifie d’un de mes plus beaux sourires toujours claqué, je n’arrive plus à dormir du tout. Mais le maquillage est là pour m’aider un peu à cacher tout ça. Maquillage gentillement offert par Lenalee pour mon anniversaire, l’hiver dernier. 
-”Ouah Allen t’es trop mignon avec ce petit tablier.” Je me  sens rougir sous la réflexion de Lavi, et cache mon visage derrière deux baguettes que j’avais dans les mains.
-”C’est pas vrai.” Je dis ultra gêné, andouille! 
-”Mais si c’est vrai! “ confirma Lavi une deuxième fois,  mais il avait l’air plus intéressé par les gâteaux que par moi et encore heureux. Il était à la  limite de baver en regardant les pâtisseries pour le coup. Je souris lui tendant le petit gâteau que j’avais gardé pour moi.  Il le prit tout joyeux mais un peu hésitant.
-”Merci beauté.”  Kanda à la rescousse, il lui écrase son poing sur le crâne et me dit la fameuse phrase. 
-”T’es long crétin. Comme d’habitude s’il te plait.” Ouah première fois que j’ai le droit à un “s’il te plait”. Je lui souris préparant le tout. Il ajoute: 
-”Et mon père voudrait faire une commande d’un gâteau pour la semaine prochaine pour l’anniversaire de ma mère.” Je souris heureux, j’aime bien les anniversaires et lui donne le catalogue gentillement et le laisse regarder. Il s'attable avec le rouquin  et regarde attentivement, je viens les rejoindre tous les trois penché au-dessus des différentes photos de gâteau. 
-”Chocolat tout le monde aime le chocolat!”  Dit Lavi ultra sûr de lui montrant un super jolie gâteau et bouré de chocolat que même moi je ne pourrais pas manger une part entière sans me sentir sur le point d’exploser.
-”Ma mère n’aime pas ça, et moi non plus.” Et une personne choquée! Une! Lavi lui était sur le point d’argumenter je lui enfourne une chouquette dans la bouche pour éviter qu’il ne se fasse tuer par Kanda en hurlant des choses sans vraiment de sens.
-”Fruit de la passion alors?” Proposa  Lavi montrant le jolie gateau au mélange de couleur pâle et pétillante à la fois. 
-”Pourquoi pas. “ Il me regarde comme pour avoir mon avis. Et moi en vrai de mon côté, je  pensais juste  au fait que j’avais faim et ça se fit entendre. Un énorme bruit sortit du plus profond de mon bidou, j’étais vraiment très gênée et m'éclata la tête contre la table murmurant un petit “pardon” quand les deux garçons me regardèrent les yeux grand ouverts.
-”Tu n’as pas mangé ce midi Allen?” Demande Lavi un tout petit peu inquiet mais surtout très impressionné par le bruit que mon estomac a fait. Je secoue la tête. Ouais et puis hier soir non plus et ce matin  j’ai  avalé rapidement une chouquette en cachette.
-”Non.” Je n'ose pas dire que ce qu’avait mangé le rouquin quelques minutes plus tôt était censé être mon repas, je ne veux pas qu’il se sente mal pour moi. 
-"Idiot, nourris toi mieux!” Ça c’était Kanda. Je le sais déjà ça!  Mais je ne pouvais pas faire autrement, je n'ai  pas assez d’argent pour prendre à manger cette semaine   et dire que je suis  sur la paille n’est pas si loin de la vérité. Je  décide de passer outre. Me relevant et regardant la composition du gâteau avec attention, comme si de rien était. 
-”Je pense que fruit de la passion c’est très bien et puis c’est léger pour la fin d’un repas et pas trop sucré. “ Il hoche la tête et le commande pour la semaine qui suit. Kanda serra les poings et dit avant de partir. 
-”Au fait, ma mère à insisté pour que vous veniez toi et Moyashi. Elle a envie de vous revoir. -”Merci mais mon nom c’est Allan Bakanda.” Je rajoute tout sourire. Je me  tourne vers le noiraud, souriant.
-”Ça sera avec plaisir.” Je souris et lui tend ce qu’il avait pris pour le club. Il me paye glissant une pièce dans la paume de ma main. Ses doigts frôle ma main et je me rends compte qu'ils sont vraiment chauds contrairement aux miens. 
-”Et tu devrais arrêter de donner ce que tu dois manger, Moyashi, tu as la peau sur les os.” 
-”Abuse pas non plus.” Je le fâche, il fait un  tch et part. J’espère juste que Lavi n’a pas entendu. Je ne veux pas qu’il se sente coupable pour ça, en vrai voir ses petites joues rosies en mangeant me fait bien plus plaisir qu’autre chose. C’est le moins que je puisse faire pour lui et pour eux en général.
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Voilà pour aujourd'hui!
Crédit : cutespacew0lf on wattpad
#allen walker#kanda yuu#d gray man#yullen#fiction#fandom ships
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rusticpotatoes · 2 years
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ma voisine elle frappe à ma porte en panique cet aprem pour que je vienne tuer une araignée parce qu'il y a personne chez elle et qu'elle est trop grosse
jlui dis ''ok pas de souci j'arrive pour la sortir''
ptdr j'arrive dans le salon je vois le morceau sur le rideau carrément on voyait ses pinces s'actionner ?!? ok j'ai compris pourquoi la voisine elle tremblait et était à deux doigts de pleurer mdr
je voulais archi pas la tuer de base mais là vraiment j'ai jamais vu une araignée aussi GROSSE alors je lui ai foutu des coups de pelle à balayette et la gow elle était encore vivante, elle était même pas écrasée
conclusion : jsuis une adulte sans peur mais j'ai tué un enfant d'aragog et j'ai peur qu'iels viennent se venger dans la nuit.
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gifsenvrac · 7 years
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rolistesoliste-blog · 6 years
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Les scénarii (2/2)
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Quand après moultes négociations tu renonces à ta première idée pour couper la poire en deux et fais des propositions, tout ça pour que l’autre joueur ne te réponde que pour te parler de SON personnage visiblement immuable et limite sacré sans faire aucune concession.
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scienceoftheidiot · 6 years
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Je suis écologue, envoyez moi des sioux svp
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perduedansmatete · 2 years
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je suis une poubelle à émotions
on me raconte toujours les pires trucs
et on me dit démerde toi avec ça
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nanananerd · 2 years
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Jour 16 : Némésis.
   
Et puis un jour, j'ai compris, ma pire Némésis, c’était moi-même. Mon propre reflet, que j’avais appris à hair et à fuir, plutôt que d’affronter celle contre laquelle je ne gagnerais jamais. 
Cassandre referma le manuscrit. Elle soupira en retirant ces lunettes à écailles. Elle ramena son carré courts de cheveux noires en arrière et lâcha :
-”Wack.”
Elle ouvra son MacBook pro à laide de sa main impeccablement manucuré de rouges et écrit à son assistante :
-”Le livre est mauvais. Trop profond, trop sensible, trop gnangnan. Après une bouteille de Château-Neuf, j’écris la même merde. Vire-moi cet auteur, et démerde-toi pour me trouver la future E.L James.”
Elle envoya le message et referma son ordinateur. Elle le rangea dans une housse de soie, qu’elle glissa dans un sac de cuir Hermès. Elle se leva, passa sa main sur son tailleur noir et fit claquer ces escarpins aux semelles rouges hors de son bureau.
Cassandre était l’archétype presque caricatural de la business woman succesful. Elle avit investi l’argent hérité de ses parents dans une maison d’éditions, dont elle avait redressé les ventes grâce à une stratégie agressive, d’un remaniement drastique et du rachat du catalogue de maisons d’éditions qui avait fait faillite.
Arrivé dans le parking, elle démarra sa BMW M3 grise, activa le mode éco, et rentra prudemment chez elle.
On aurai imaginé une femme de ce standing vivant dans un appartement au sommet d’une tour, le genre de duplex de créateurs, au design épuré. Mais elle vivait en périphérie. Dans une maison modeste. L’intérieur était certes épuré, mais semblait sortir tout droit d’nn catalogue. Elle jetta ses chaussures en entrant. Elle avait un tatouage représentant un dragon qui entourait son pied. Elle retira son chemisier, se retrouvant en soutien-gorge dans le salon : elle avait le ventre et les bras presque entièrement tatoué. Elle s’alluma un joint et alluma son enceinte connecté: le son lourd et gras de Pisse envahis l’appartement. Elle dansait doucement. Chez elle, tous les miroirs était couvert. Aucune surface ne réfléchissait quoique ce soit ; elle avait fait polir son plan de travail. 
Après un repas frugale et une douche, elle alla se coucher. Comme toutes les nuits, elle fit le même rêve. Elle s’avncait vers une vasque. Du reflet de l’eau sortait un miroir, et en général, elle frappait ce dernier avant de voir son reflet. Elle se réveillait plusieurs fois par nuit sans pouvoir fuir ce rêve. 
Le jour se leva. Un autre tailleur sombre, pour une autre journée morne. D’habitude si déterminé et froide, elle se surprit sur la route à accélérer plus que de raison. Elle avit totalement oublié d’activé le mode éco. En arrivant au bureau, la secrétaire d’accueil lui annonça que son assistance était en arrêt maladie pour la journée.
-”Wack”. Répondit-elle en allant à son bureau. Elle s’installa et commença à rédiger sur un pense-bête les instructions pour la journée : Ne router que les appels des auteurs avec un contrat en cours. Les nouveaux attendraient. Router les appels des imprimeries. Le reste, pas important. Elle sortit son pc de son sac, l’ouvrit et sortit déposer le pense-bête à l’employée d’accueil. Leur doigts s’effleurèrent. Soudain, elle la remarqua : elle était jolie avec ces cheveux rouges henné. Assise derrière son comptoir, elle offrait involontairement une vue plongeante sur son décolleté. Cassandre se reprit et retourna dans son bureau. Elle n’avait plus le temps pour désirer. Elle s’assit devant son ordinateur et surprit son reflet. Elle ferma l’ordinateur d’un geste sec. Elle ne supportait pas ce reflet. Elle se pencha en arrière dans son siège et réfléchit. Elle devait trouver une solution pour sa maison d’éditions. Un milliardaire lui avait fait une offre pour racheter son entreprise. Elle avait dit qu’elle réfléchirait. Elle serait très riche si elle accepté la vente, mais quelque chose l’a gênée. Non. Il valait mieux d’attirer un nouveau public. Trouver l’auteur qui pondrait le nouveau succès
Pourquoi pas nous ?
La journée passa relativement bien. Elle répondit aux angoisses de ces auteurs. Trouva un arrangement avec l’éditeur pour résoudre les problèmes d’approvisionnement en papier. Puis, elle reçut la lettre de démission de son assistante. Elle sourit et répondit rapidement. Un problème de plus, elle n’était plus à ça près. En partant, elle laissa trainer son regard sur l’employée d’accueil qui rangeait ses affaires. 
Elle s’assit dans sa voiture, s’apprêta à allumer le mode éco et réfléchit : il était 20.30. Il n’y avait plus personne sur la route. Elle alluma son auto-radio et Pantera rugit dans les hauts parleurs. Elle sortit rapidement de la ville, et activa le mode sport. Elle roula longtemps. Cassandre ne voulait pas rentrer chez elle. Elle ne voulait pas dormir. Elle ne voulait pas refaire ce rêve. Et puis demain, c'était samedi, pas de boulot. 
Elle s’arréta finalement au sommet d’une colline qui dominé la plaine. Elle sortit de sa voiture et respira l’air frais. Il fallait qu’elle rentre, la fatigue se faisait sentir. Mais au loin, des éclaires rouges zébrés le ciel. Sans un bruit, l’orage arrivait. Elle rentra chez elle, avec une conduite nerveuse.
Même rituel que tous les soirs. Sauf que ce soir, elle fuma plus, se déshabilla complètement pour sauter sur les riffs des groupes de punk allemand. Et finit par s’endormir dans son superbe canapé blanc.
Toujours la vasque. Toujours le miroir qui apparait. Mais cette fois-ci, elle voulut affronter son reflet. Dans ce miroir, elle était différente : sa nuque et les côtés de son crâne était rasé et tatoué. Elle portait de nombreux piercings sur le visage. Elle était nue, comme elle, pour une fois. Le reflet parla :
-”Alors ça y est, tu te decite à nouveau à m’affronter ?”
Cassandre ne répondit pas.
-”Tu sais que je suis la solution, j’ai toujours était la solution.”
-”Non. Certes, tu as était la solution quand j’étais une ado, tu étais la fille forte dont, j'avais besoin. Mais une fois qu’ils étaient morts, tu nous aurai juste détruits. J’ai été la solution. Je nous ai construit un empire de stabilité.”
-”Oui, et aujourd’hui ton empire est menacé.”
-”Oui, même si on est protégé.”
-”Avoue que le dernier manuscrit que tu as lu t’a remué.”
Silence.
-”Allez, avoue-le.”
-”Oui ! Mais le truc, c'est que cet auteur parle de son syndrome de l’imposteur, alors que nous on est deux dans un corps, une chimère.”
-”Justement, nos parents voulait nous donner des noms grecs avait qu’il ne découvrent qu’une des jumelles avait disparu durant la grossesse. S’il te plait, laisse-moi revenir.”
-”Non. J’ai trop peur que tu détruise tout ce que j’ai construit, que tu te venges de t’avoir volé ta vie.”
-”Arrête tes conneries, on est pas différentes l’une de l’autre. Crois-moi, tu aura besoin de moi plus vite que tu ne le pense.”
Elle fut réveillée par le soleil qui venait caresser son corps alanguis. Elle mit de longues minutes à émerger. Puis, elle se leva, et alla se préparer un café. D’habitude, le dimanche, elle s’occupait de préparer sa semaine. Mais son rêve continuait de la travailler. Némésis avait raison. Elle était une des dernières librairies indépendantes et puissantes de ce pays. Un magnat des autoroutes et des aéroports avait quasiment tout racheté en quelques années. Si elle ne se démarquait pas très vite, elle allait sombrer. Il lui fallait une solution. Elle se dirigea vers son placard, et enfila un caleçon et un t-shirt déformé d’un groupe de punk. Elle retourna rapidement à la cuisine pour attraper une nouvelle tasse de café, qu’elle posa sur la table du salon. Elle retourna à sa voiture pour attraper son sac, indifférente aux gravillons de son allée sous ses pieds nus. Elle était déterminée. Elle roula rapidement un joint, l’alluma et s’assit par terre. Elle posa son ordinateur sur la table basse, l’ouvrit et se regarda. Elle retira alors ces lentilles ; ces yeux, noires auparavant, était désormais vairons, un œil noisettes et un œil vert. 
-”Montre-moi de quoi t’es capable.”
Elle passa le reste de la journée à écrire différent texte, préparant divers dossiers contenant des synopsis et des premiers jets. Elle ne s’arréta d’écrire que pour fumer, boire plus de café, grignoter. Quand les étoiles commencèrent à briller, Cassandre se leva. 
-”C’est bon pour aujourd’hui. Demain, j'attaque ma partie du taff. Fais-moi confiance.”
La nuit se passa sans rêve ; et au réveil, Cassandre était incroyablement reposée. Mais sa détermination n’avais pas changé. Elle s’habilla différemment : un pantalon taille haute à pince, un crop top noir, et sa veste de tailleur. Ses tatouages se voyaient. Dans la salle de bain, elle décida d’attacher ses cheveux, ne laissant que quelques mèches encadrait son visages. Elle maquilla ses lêvres de rouge. Elle avisa ses lentilles, et décida de mettre des lunettes à la place. 
Elle ne prit pas le temps de prendre un petit déjeuner, attrapa son ordinateur et son sac, enfila ses chaussures et fila vers sa voiture. Elle démarra violemment, en faisant jaillir une gerbe de gravillons. Elle roula de manière agressive jusqu’à un coffee shop, où elle acheta trois café, trois muffins et reprit la route. En arrivant à son bureau, son employée d’accueil trottina jusqu’à elle :
“Madame, je suis désolé, mais je n’ai pas de nouvelles de votre assistante.”
Cassandre lui sourit, son plateau de cartons de café en mains.
-”C’est normal, elle à démissionné. Suivez-moi dans mon bureau.” L’employée la regarda avec des grands yeux et lui emboita le pas. Cassandre posa les cafés sur son bureau, et s’assit. Elle invita d’un geste de la main la jeune fille à faire de même. 
-”Comment vous appelez vous ?”
-”Hélène” répondit timidement la jeune fille en baissant les yeux.
-”Quel est votre parcours ?”
-”Bac littéraire, puis j’ai fait deux ans de licence de littérature anciennes et finalement un DUT en éditions. C’est mon premier boulot.”
-”Vous écrivez ?”
Hélène rougit.
-”Oui, mis sous un pseudonyme, j’écris des textes un peu particulier, je poste surtout sur Tumblr et Wattpad.”
-”Parfait.”
Hélène ouvrit grand les yeux.
-”Quel genre écrivez-vous ?”
Hélène vira au cramoisi.
-” De l’érotique, voir du porno”
-”C’est votre premier boulot, et votre première promotion ! Vous devenez mon assistante. On va changer de ligne éditorial pour pouvoir vaincre ce gros connard qui espère nous racheter et faire de Chimère une maison bien guindée. On va chercher des auteurs comme vous. Mettre en avant non seulement le sexe féministe, mais aussi la scène queer. J’ai une nouvelle autrice dans mon répertoire qui nous à déjà promis rois nouveaux ouvrages ; de la littérature prophétiques, de la littérature pour ados, très queer et un pamphlet au vitriol sur la société actuelle.”
-”Ah oui, c'est sûr que ça change.”
-”Oui, et j’ai besoin de vous. Non seulement, je veux lire ce que vous écrivez, mais j’aimerais que vous me prépariez une sélection de texte. On va offrir à toute cette marge d’auteur une chance d’etre publié et lu.”
-”Bien Madame.”
-”Appelle-moi Kassandre, on change tout, y comprit la dynamique interne. Ça va être un rude combat, mais j’ai envie de me battre pour quelque chose qui a du sens. Au fait, je t’ai pris un café”.
-”Merci Kassandre, je vous envoie le liens vers ma page et je me mets à chercher des auteurs, je vous transfère les appels comme avant ?”
-”Merde, j'avais oublié ça. Pour aujourd’hui oui, mais je vais embaucher une troisième personne, vos recommandations sont les bienvenues.”
Le reste de la journée fut chargée. Entre lecture de textes prometteurs, rédaction du nouveau contrat d’Hélène, mise en ligne de l’annonce de recrutement pour un.e secrétaire et un.e développeur.e web. Les deux femme se quittèrent tard. Quand Cassandre retourna dans la voiture, elle ouvrit le pare-soleil et se regarda dans le miroir. Némésis l’a regardé avec un sourire. Cassandre lui demanda :
-”ça te va comme projet ?”
-”Carrément, on va l’avoir notre vengeance sur ces culs serrés.”
Elle démarra sa voiture en trombe, du Judas Priest crachant par les haut-parleurs. 
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uniqueivresse · 2 years
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Petites news :
- Plus que 2 mois et demi dans cette alternance, à faire des 42h par semaine sans être payée.
Je garde espoir, je signe mon cdi lundi pour une nouvelle aventure, j'ai si hâte 🥰
- Dans le nouvel appartement je m'y sens bien, je suis apaisée d'être ici (en plus devant mes 2 petits balconnets j'ai de la verdure et des oiseaux chantants)🌼🐦.
Surtout j'ai compris plusieurs choses après quelques mois passés en Bourgogne :
- mon ancienne vie parisienne était dense, sans repos pour éviter d'être chez mes parents
- la relation que j'ai avec ma famille est compliquée ( je me suis prise la tête avec eux il y a peu). Je n'arrive pas à les comprendre, mon petit frère me manque. J'essaye tant bien que mal à garder ce contacte, cet espoir. Mais je ne peux nier l'évidence : même dans le besoin ils ne sont pas là. Pourtant c'est ce qu'ils avaient annoncé devant les médecins. Mais tout est faux, tout est jeux, tout est manipulation. Leur réponse est : "on a déjà beaucoup donné pour toi". J'ai juste l'impression d'avoir une valeur marchande; on a atteind le plafond donc démerde toi. C'est triste.
- Alors aujourd'hui je suis fiere, de me débrouiller comme je peux avec mon conjoint. Je travaille, j'ai trouvé un cdi, j'avance tout simplement.
- je vais sûrement reprendre la danse contemporaine et les beaux arts, au conservatoire, juste pour le plaisir 🎨 (je suis un peu effrayée mon niveau de concentration est parfois faible et ai peur de ne pas retenir correctement les gestes).
- à partir de septembre je rembourse mes prêts étudiants, cela devrait normalement bien se passer 🤗
- mon chat se porte toujours aussi bien, ma petite crevette 🌼
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saecookie · 3 years
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Coucou!
Le numéro 7 pour le pairing que tu sais ^_^
Merci! 😘
C'est beaucoup trop doux par rapport aux vibes de la chanson, mais osef.
I'll be there - Walk Off the Earth. Venec/Alzagar.
(Send me a pairing and a number between 1-100 and I’ll write a short scene based on my Spotify Top 100 playlist)
- T'sais quoi, c'est bon, lâche-moi.
Alzagar s'agace, lève les bras devant la rebutade de Venec. Il fait quelques pas autour de la pièce. Les mots lui manquent. Il est plus frustré que vraiment énervé, mais les deux se ressemblent fort chez lui, il le sait.
- Pourquoi tu t'énerves comme ça ? Je suis là, je suis venu, non ?
Venec lui lance un regard assassin.
- Sérieux ? Tu te pointes trois semaines plus tard comme une fleur–
- T'appelles ça comme une fleur ?! Je sais pas qu'est-ce qu'il te faut, j'étais à dix jours de voyage, il a fallu que je me démerdes pour quitter Padoue, que je trouves dans quel putain de bordel tu t'étais foutu, et tu me dis comme une fleur ?! Tu manques pas de culot putain.
Venec est dans un salle état, mais au moins il est tiré d'affaire. Ses geôliers ne tiennent qu'aux soins corrects qu'ils lui ont prodigués d'avoir la vie sauve. Peu sont au courant de l'affection qui unit de loin les deux contrebandiers, mais le milieu dans lequel ils trempent est suffisamment violent pour qu'on ne tue pas quelqu'un à l'aveugle.
Ils ont eu raison, pense Alzagar, sardonique.
Il vient s'asseoir près de Venec sur le lit, tâche de calmer la rage qui bouillonne en lui, de perdre la tension qui ne l'a pas quittée de tout le voyage. Un tout petit mot a réussi à lui parvenir, mais assez pour comprendre que son mec était dans la merde.
Il lui prend la main.
- Venec. Tu sais bien que je viens toujours.
Il cherche son regard, baisse la tête. Venec fait la moue, évite son regard. Ce n'est pas le moment de le trouver mignon.
- Venec. Toi aussi, tu viens toujours. Tu le sais. C'est pareil pour moi. Je suis désolé que t'aies flippé autant. Je suis désolé qu't'ai cru que je venais pas. J'ai fait aussi vite que j'ai pu.
Son ton s'adoucit. Il essaye ; il fait de son mieux.
Venec ne dit rien, ce qui est bon signe. Il pourrait s'énerver plus. Alzagar choisit de croire qu'il est d'accord, qu'il comprend, qu'il sait qu'il a raison.
- Je viens toujours. Quand la chance tourne et que t'as plus un rond. Quand t'as besoin de mecs pour faire les gros bras. Quand tu sors de boîte et que tu peux pas mettre un pied devant l'autre. Quand tu veux juste me voir. Je viens toujours.
Un imperceptible hochement de tête accueille sa déclaration. Avec soin, Alzagar décale le bras blessé de son amant, et vient s'allonger contre sa silhouette assise.
Ils sont en sécurité, dans la villa vénitienne d'Alzagar. Le mec qui les trouvera là aura de la chance s'il parvient à passer la sécurité.
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adeylescosmic · 3 years
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- Tu t'accroches au passé, tu vis dans ce qui a été, tu fais semblant d'avoir oublié mais tu y penses tout. le. temps.
- Je ne fais pas semblant d'avoir oublié, je n'ai pas envie d'oublier d'ailleurs. Ce sont des bons souvenirs, même s'ils sont teintés de tristesse, de mélancolie.
- Tu veux qu'on te plaigne, tu te fais passer pour la pauvre malheureuse c'est fatiguant, on dirait que tu n'as rien appris en fait. Tu fais les mêmes erreurs, tu ressasses et tu nous emporte avec toi dans ta spirale. J'en veux pas de ta spirale, démerde-toi avec tes souvenirs et ta mélancolie. Grandis un peu.
- Je ne me fais passer pour rien et je ne demande à personne de m'accompagner où que ce soit dans les méandres de mes pensées. Je suis comme ça, c'est tout. Fatigante je suis, certainement. Usant pour les autres, c'est possible. C'est ainsi que je suis, et tu m'as bien fait comprendre combien tu n'avais plus envie de ça pour toi, pour nous. Je ne me plains pas, c'est ma façon de partager.
- C'est trop lourd.
- Pardon.
- ...
- Tu as raison, même si je ne veux pas oublier, j'aimerais me délivrer un peu de ce passé et ces souvenirs qui m'étouffent un peu. Ce sont des vagues, les flots surgissent et je ne peux plus contrôler. Je me noie et m'enfonce dans le labyrinthe de ces instants survenus. Est-ce que je dois pardonner les autres, ou moi, ou tout ça à la fois, je n'en sais rien. Je crois que je souffre, c'est tout.
- Eh bien je suis désolée pour toi mais me concernant c'est terminé, je n'en souffre pas et je n'ai aucune raison de me rattacher à ce passé. Arrête de me faire vivre comme ça, c'est malsain et je ne t'ai jamais donné cette autorisation.
- Je n'ai pas besoin de ton autorisation, je crois ?
- Peut-être que si. Et je ne te la donne pas.
- Tu me manques. De nombreuses parties de toi me manquent.
- Je ne suis pas des parties. Je suis partie. C'est tout ou rien. Te concernant c'est rien.
- ...
- Tu l'as choisi et voulu, c'est toi qui es partie. Je n'ai rien demandé, je n'ai fait que subir.
- Oh arrête tes conneries, tu n'as rien fait pour que je reste, bien au contraire. Tu as laissé la porte entr'ouverte dans l'espoir que je m'en aille. Félicitations, tu as réussi. Et j'ai même eu la décence de partir en toute discrétion. Aucun mot ni scandale ni attaque. Oh, ne fais pas celle qui en est blessée, je sais que ça t'arrangeait parfaitement ! Je reconnais tous mes torts, aies au moins l'honnêteté de reconnaître les tiens.
- Je n'ai pas envie de me battre avec toi, surtout avec des mots; tu aimes les manier : ça t'arrange, tu joues avec des armes que tu sais utiliser. Je ne suis plus ni dupe ni consentante. C'est terminé.
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diesiraekaa · 3 years
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Livre VI Episode IV - Arturi Inquisitio
Caesar : Il parait que t'es fortiche en stratégie ?
Arturus : J'ai tout lu.
Caesar : Tout lu quoi ?
Arturus : Tous vos écrits ! Je connais tout par cœur !
Caesar : Mes écrits.. sur la stratégie ? C'est que de la connerie !
Arturus : Ah bah non, quand même...
Caesar : Non, non, pardon. C'est pas que des conneries mais... Déjà, la moitié, c'est pompé sur Sun Tzu.
Arturus : Sur qui ?
Caesar : Un chinetoque. Ah là là, ça me parait bien loin, tout ça... A l'époque, quand je levais le doigt, il y avait quinze mille soldats qui gueulaient "Imperator !". Maintenant, quand je lève le doit, c'est pour qu'on m'emmène pisser.. Les héros, ça vieillit mal.
Arturus : Les connards aussi, ça vieillit mal. Franchement, quitte à vieillir, je préférais être un héros comme vous. C'est comme les bouquin.. il vaut mieux les pomper sur de chinetoques que de pas les écrire.
Caesar : Te laisse pas faire, Arturus.
Arturus : C'est-à-dire ?
Caesar : Je sais pas. J'en sais rien. Fais-en ce que tu veux, démerde-toi. Te laisse pas faire, c'est tout. C'est un ordre.
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