#Conseillère Académique
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From: Arcadia
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Aleksandra Violana is currently based in the United Kingdom, where she is funded through a Cambridge Le Bas Doctoral Scholarship in completing a PhD in English literature and language at the University of Cambridge. Prior to this, she completed an MPhil in English literature and language, drawing also on Russian literature and language, at the University of Cambridge, United Kingdom, and a BA Hons with concentrations in European literatures, linguistics, languages, arts and cultures at Utrecht University, Netherlands, having concluded her earlier school education in Slovenia. Parallel to her academic commitments, she has also worked in the arts and cultures more broadly, including as an art researcher, producer, collections aide, writer, proofreader, editor, translator and interpreter across a number of publications, educational initiatives, and arts and cultural institutions in Europe and Asia. She currently holds editorial posts at Arcadia, Switzerland, Eikon, Austria, and The Cambridge Journal of Law, Politics, and Art, United Kingdom. Her areas of editorial expertise include: • Cultural Criticism • Literature • Language • Art
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Aleksandra Violana est actuellement basée au Royaume-Uni, où elle est financée par une bourse de doctorat Cambridge Le Bas pour terminer un PhD en littérature et langue anglaise à L'Université de Cambridge. Avant cela, elle a obtenu un MPhil en littérature et langue anglaise, s'appuyant également sur la littérature et langue russe, à L'Université de Cambridge, au Royaume-Uni, et un BA Hons avec des concentrations en littératures, linguistiques, langues, arts et cultures européennes à L'Université d'Utrecht, Pays-Bas, après avoir terminé ses études scolaires antérieures en Slovénie.
Parallèlement à ses engagements académiques, elle a également travaillé dans le domaine des arts et de la culture plus généralement, notamment en tant que chercheuse et productrice en art, assistante de collections, écrivaine, relectrice, réviseuse, rédactrice, traductrice et interprète dans un nombre de publications, d'initiatives éducatives et d'institutions artistiques et culturelles en Europe et en Asie. Elle occupe actuellement des postes éditoriaux à Arcadia, en Suisse, à Eikon, en Autriche, et au The Cambridge Journal of Law, Politics, and Art, au Royaume-Uni.
Ses domaines d'expertise éditoriale comprennent : • Critique culturelle • Littérature • Langue • Art
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Aleksandra Violana lebt derzeit im Vereinigten Königreich, wo sie durch ein Cambridge Le Bas Doktorat-Stipendium finanziert wird, um an der Universität von Cambridge in englischer Literatur und Sprache zu promovieren. Zuvor absolvierte sie einen MPhil in englischer Literatur und Sprache, stützen auch auf russische Literatur und Sprache, an der Universität Cambridge, Vereinigten Königreich, und einen BA Hons mit Schwerpunkten in europäischen Literaturen, Linguistik, Sprachen, Künsten und Kulturen an der Universität Utrecht, Niederlande, nachdem sie ihr vorheriges Schulstudium in Slowenien abgeschlossen hatte.
Parallel zu ihren akademischen Verpflichtungen hat sie auch in den Künsten und Kulturen im weiteren Sinne gearbeitet, unter anderem als Kunstforscherin, Kunstproduzentin, Sammlungsassistentin, Autorin, Korrektorin, Redakteurin, Übersetzerin und Dolmetscherin im Rahmen einer Reihe von Publikationen, Bildungsinitiativen und Kunst- und Kulturinstitutionen in Europa und Asien. Derzeit ist sie Redakteurin bei Arcadia, Schweiz, Eikon, Österreich, und The Cambridge Journal of Law, Politics and Art, Vereinigten Königreich.
Zu ihren redaktionellen Fachgebieten gehören: • Kulturkritik • Literatur • Sprache • Kunst
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Whitney Snead est « Faculty Advisor » (conseillère académique) au Classical Studies Program de l’université Villanova, à Philadelphie (États-Unis). Passionnée par la Grèce antique, elle a étudié et enseigné les études classiques à l’université américaine. Afro-américaine, elle y a fait l’expérience de vexations et d’humiliations dues à sa couleur de peau – parfois insidieuses, parfois brutales et évidentes. Elle témoigne des discriminations qui abîment la vie académique dans les études classiques aux États-Unis… mais trouve malgré tout totalement absurde la décision de l’université de Princeton de supprimer l’enseignement obligatoire du grec et du latin dans ces départements. Témoignage.
« Concernant le fait que Princeton n’exige pas le grec ou le latin pour ses majors... cela me paraît ridicule. J’ai connu de nombreux classicists et, bien qu’on m’ait enseigné le latin et le grec, je me suis souvent senti négligée ou sous-estimée. Mes pensées et mes idées ont souvent été remises en question. Il n’y a aucune raison d’être un étudiant en Classics si l’on n’étudie pas ces langues. C’est la seule compétence que l’on acquiert dans cette filière.
Dans ma formation en Classics, j’ai été confrontée au racisme. J’hésite à parler de racisme parce que je ne peux pas différencier cette haine de la misogynie ou du classisme. Je pense que les trois sont présents, même s’il est difficile de savoir lequel des trois domine à tel ou tel moment. En général, j’ai fait partie de départements plutôt progressistes. Je pense que cela peut constituer un problème plus important car, bien qu’“invitée à m’asseoir à la table”, j’ai souvent été réduite au silence ou à la honte. Je préfère qu’on me renvoie plutôt que de prendre des coups.
Dans toutes les facultés où j’ai enseigné, on pratique une ignorance délibérée. Trop souvent, je suis la seule personne noire dans le département, voire dans la classe. Lorsque j’enseignais dans un programme d’été intensif, un père a retiré son enfant et l’a mis dans le programme de grec ancien lorsqu’il a découvert que j’enseignais le latin. J’avais 22 ans et j’étais naïve. Je m’en fichais et j’étais heureuse d’avoir le poste et un élève de moins dans la classe. Mais l’école aurait dû me soutenir. On aurait dû demander au père et au fils de partir et ne pas leur rembourser leur argent. Je regrette de ne pas avoir pris conscience de la situation et de ne pas m’être défendue.
Et maintenant, vingt ans plus tard, je me souviens de cinquante autres cas où les responsables et l’administration ont permis que je sois harcelée ou victime de discrimination. J’ai eu par exemple un étudiant de premier cycle violent. Il me menaçait et écrivait des courriels violents. Vers la fin du cours, les responsables de l’université et les parents sont intervenus. Ses accès de violence ont nécessité la présence d’un policier dans ma classe pendant les trois dernières semaines. Avant cette escalade, cependant, j’avais fait part de mes préoccupations à mon responsable, mais il les avait rejetées. Il disait que je pouvais “le remettre sur le droit chemin”. Il a insisté sur le fait que j’étais forte et que je pouvais tenir la classe. Je sais maintenant qu’il s’agissait d’une micro-agression et, là encore, j’aurais aimé dire quelque chose à ce moment-là. Mon responsable, qui me connaissait alors depuis deux ans déjà, n’y a vu qu’une “fille noire qui en a vu d’autres” [“a tough Black girl”]. Il a vu tous les stéréotypes négatifs, toutes les caricatures bruyantes des femmes noires, et a simplement supposé que j’étais comme ça. En fait, ce semestre et les années suivantes ont été horribles. J’étais déprimée et j’avais du mal à me concentrer. J’ai commencé une thérapie, et l’on m’a mise sous antidépresseurs. Tous les professeurs semblaient déçus par le fait que je n’étais pas une guerrière noire et me faisaient me sentir honteuse. C’était comme s’ils n’acceptaient qu’une seule personne noire, et qu’ils en avaient une qui avait besoin d’autant de gentillesse et de conseils que n’importe quel autre étudiant diplômé.
En continuant à enseigner, je dois, plus que mes homologues masculins blancs, défendre l’attribution des notes obtenues. Il n’y a pas eu une seule année universitaire au cours de laquelle je n’ai pas été réprimandée d’une manière ou d’une autre pour une mauvaise note donnée à un étudiant. J’ai toujours été mise au courant de chaque plainte d’un élève ou d’un parent concernant la note, et j’ai toujours subi des pressions pour changer les notes. Chaque B (ou pire) [équivalent d’un quinze ou seize sur vingt dans le système de notation français] que j’attribue à un élève est une crise existentielle pour moi. Je mets en balance ma santé mentale et la stabilité financière de ma famille. Je pense à mon fils et à ce qu’il est préférable qu’il voie : une femme qui a un emploi rémunéré et qui n’est pas intègre, ou une mère au chômage qui a des principes. Et je reconnais l’ironie qu’il y a dans le fait qu’il puisse recevoir des notes inférieures ou des commentaires négatifs, justement parce qu’il est noir. Cela constitue déjà un véritable combat que de le défendre tout en espérant ne pas être vue comme une maman noire insolente [“a sassy Black mama”].
En fin de compte, je quitte les Classics parce que tout cela me semble désuet. Quand j’ai dit à mon petit ami nigérian, aujourd’hui mon mari, ce que j’étudiais et recherchais, il a ri. Il pensait que j’étais riche et oisive. Comment quelque chose d’aussi ancien pouvait-il avoir de l’importance aujourd’hui ? Je me suis battue contre cette façon de penser à l’époque. J’étais à Sofia, en Bulgarie, et j’essayais d’apprendre ce que cela signifiait dans l’Antiquité d’être Grec tout en vivant en Thrace ou en Sarmatie. Je voulais savoir si l’argent était le grand égalisateur, réunissant Scythes et Grecs marchands. Mais en plus de tout ce qui a précédé, les luttes actuelles pour savoir ce que c’est que d’être Noir se sont infiltrées partout. On me crachait dessus à l’arrêt de bus. Les gens venaient trop souvent vers moi et caressaient mes cheveux ou touchaient ma peau. Certains de mes collègues à l’école étaient grossiers et méprisants. Plus je vieillis, moins j’ai de résistance à de tels traitements.
Aux États-Unis, les études classiques semblent être l’apanage des riches oisifs. Ils en sont les gardiens ; ils vous laisseront entrer et vous soutiendront si vous êtes comme eux. Je ne sais pas s’il faut changer les programmes ou donner la priorité à l’esclavage antique ou aux pièces de Térence [poète comique latin d’origine berbère] plutôt qu’à celles de Plaute [auteur comique latin né en Italie centrale]. Ces choses sont superficielles. Je ne cherche pas la “blackness” dans les Classics. Je cherchais l’équité et le soutien sur mon lieu de travail. »
#mmh témoignage intéressant#je peux compter sur les doigts d'une main les profs de fac non blancs que j'ai eu ça doit pas être très beau en France non plus :/#french#upthebaguette#usa#racism#bee tries to talk#je suis un peu éberlué par le fait qu'elle doive 'défendre' des B par contre#tous les américains auxquels j'ai parlé me disaient que les notes en France étaient bien plus durs mais je pensais pas à ce point
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Stephanie Kelton : Le grand mythe des déficits publics | TED
Stephanie Kelton est économiste du comité du budget du Sénat US pour le groupe du parti démocrate en 2015, puis elle est nommée conseillère économique de la campagne pour la présidence des États-Unis de 2016 du candidat démocrate Bernie Sanders. Activités de recherche Les recherches académiques de Stephanie Kelton s’inscrivent dans la perspective de la « théorie monétaire moderne » (en anglais :…
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NOUVEAU : Suivez l'actu du blog sur Telegram ! Une professeure d’anglais revendique le droit d’utiliser des insultes raciales au nom de la justice raciale Le Royaume-Uni a connu une affaire intéressante sur la liberté académique et les politiques de lutte contre la discrimination. Aysha Khanom a été licenciée en tant que conseillère académique à…
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Yvette Chassagne, une femme de grandes premières dans l’administration
Organisée dans le cadre de la Journée internationale des archives, la Grande collecte 2018 est consacrée cette année à l’Histoire des femmes. A cette occasion, le service des archives des ministères vous propose de découvrir Yvette Chassagne, qui occupe une place à part dans l’histoire des femmes aux ministères de l’économie et des finances, de l’action et des comptes publics.
Née le 28 mars 1922 à Bordeaux (Gironde), Yvette Chassagne, née Brunetière, est licenciée ès lettres, et certifiée en droit. Ayant eu une activité au sein de la résistance dès 1940, elle participe à des œuvres de propagande contre l’occupant au sein de la faculté des lettres de Bordeaux. Employée à la préfecture de Gironde, elle contribue jusqu’en 1943 au secours de Français de confession juive et de résistants des régions Est de la France occupée. D’octobre 1943 à octobre 1944, elle est agent de renseignement au sein du groupe Jade Amicol de l’Etat-major interallié. Elle a ainsi transmis à la résistance des renseignements capitaux relatifs à la défense de Bordeaux (zones minées et base sous-marine), aux mouvements de bateaux de guerre allemands et à l’établissement de cartes d’identité. Arrêtée par la Gestapo qui la soupçonne de résistance et malgré les brimades et menaces de mort, Yvette Chassagne ne dénonce pas son groupe de rattachement. Elle poursuit son travail au sein de la résistance jusqu’au 15 septembre 1944. Elle témoignera d’ailleurs au procès de Maurice Papon en 1998.
Parmi les premières femmes de l’ENA
Nommée en 1944 membre du comité départemental de l’Union des femmes françaises, elle travaille à partir d’août 1945 comme attachée de direction à l’Office de radiodiffusion – télévision française (ORTF). Elle intègre ensuite la promotion Jean Moulin de l’Ecole nationale d’administration (ENA) le 1er février 1947 et fait donc partie des trois premières femmes à avoir intégré l’institution.
A sa sortie de l’ENA en 1950, Yvette Chassagne, est nommée administrateur civil à l’administration centrale du ministère des armées. Rapidement reconnue pour son expertise en matière économique et financière notamment sur la coopération technique avec les jeunes États francophones d’Afrique noire, elle est détachée au ministère des finances et des affaires économiques en avril 1959. Chef de bureau à la direction des assurances en 1964, elle gravit ensuite tous les échelons de l’administration : 1ère femme « sous-directeur » du ministère des finances à la direction des assurances en 1967, elle devient ensuite directrice du développement économique au ministère de la coopération de 1974 à 1978. Elle est également la première femme à être nommée « conseiller maître » à la Cour des comptes par décret du 19 novembre 1979.
Première femme préfet
En juillet 1981, elle est nommée 1ère femme préfet par le ministre de l’intérieur, Gaston Defferre, dans le département du Loir-et-Cher. Présidente de l’Union des assurances de Paris (UAP) de 1983 à 1987, elle termine sa carrière comme présidente d’honneur de la Prévention routière en 1989 tout en étant conseillère du président du Club Méditerranée (1988-1994). Elle écrit en 1988 un livre intitulé Fonctionnaire et patron, les préjugés renversés. Elle est l’un des membres fondateurs de l’Assemblée des femmes et présidente du comité de soutien de l’Assemblée des femmes du Languedoc et du Roussillon (2000-2007).
Conseillère municipale à Narbonne (Aude), elle s’éteint le 4 septembre 2007 à l’âge de 85 ans.
Yvette Chassagne était commandeur dans l’ordre de la Légion d’honneur, Grand officier de l’ordre national du Mérite et chevalier dans l’ordre des palmes académiques et du mérite agricole.
[Crédits photos et documents]
Note de la direction des assurances, 11 décembre 1962 (MEF-MACP/SAEF).
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Entrevue secondaire 5
1. Sais-tu ce que tu veux faire plus tard au niveau professionnel ?
Je n’ai aucune idée de ce que je veux faire plus tard. La seule chose que je sais, c’est que j’aimerais aller à l’université.
2. Quels sont les outils que tu utilises actuellement afin de définir ton choix ? (Par exemple : Sondages en ligne offerts par les établissements postsecondaires, conseils proférés par les membres de ta famille, rendez-vous avec la conseillère pédagogique de ton école secondaire, etc.).
Actuellement, j’essaie de remplir de petits questionnaires comme celui du Cégep Maisonneuve afin de mieux savoir dans quoi étudier. J’essaie aussi d’avoir des rencontres avec la conseillère en orientation de mon école secondaire et je me renseigne auprès des gens que je connais. Par exemple, je pose des questions à mes collègues de travail sur les études qu’ils font présentement où celles qu’ils ont déjà faites pour me donner une idée des possibilités que je pourrais envisager.
3. Quelle est ta plus grande source de pression concernant ton choix ?
Selon moi, c’est la pression sociale. Je trouve qu’on nous demande très tôt de faire un choix. On nous dit souvent que nous, « les jeunes », nous sommes le futur de la société. Alors, en tant qu’adolescent de 16-17 ans, choisir ce qu’on veut faire pour le reste de notre vie c’est quelque chose de gros comparé aux décisions antérieures que nous avons eues à prendre.
4. Est-ce que tu te sens soutenu dans ton choix par ton entourage ?
Présentement, non. En tant qu’élève de l’inter, j’ai tellement de travaux, de projets, de devoirs et d’études que prendre du temps pour en apprendre sur les différents programmes qui sont offerts ou même les différents cégeps c’est quelque chose que je suis malheureusement obligé d’enlever de mon horaire. On nous répète souvent de penser à notre futur programme d’études, mais on ne nous dit pas vraiment quels sont nos choix possibles.
5. Est-ce que tu ressens de la pression concernant ta performance académique ?
Personnellement, je trouve que je ressens de la pression académique. Ce ne sont pas mes parents qui me mettent de la pression, mais bien moi-même. Depuis qu’on est tout jeune, on nous dit qu’il est bon d’être un premier de classe, que d’avoir des 90 partout c’est ce qu’il faut pour bien réussir. On nous met de la pression en nous comparant au reste du groupe avec la moyenne de classe. C’est à se demander si c’est vraiment ça le secret pour bien réussir, si c’est ça qu’il faut pour avoir une « belle vie ».
6. Sens-tu de la pression de la part de la société concernant ton choix de carrière ? Si oui, à quel niveau ? Exemple : prestige, prospérité financière, etc.
Je trouve que oui. La société est basée sur la performance et sur l’argent, et je trouve cela dommage. Tout le monde est toujours pressé de faire 1000 choses à la fois, mais personne ne prend vraiment le temps d’apprécier la vie pour de vrai. J’ai l’impression que les gens vivent beaucoup de pression concernant le travail. Pourtant, on devrait tout simplement travailler pour vivre.
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Atelier de pratique musicale - Lundi 15 janvier 2018
Hervé Cligniez, clarinettiste de l’EOC, accompagné par Sylvie Jambrésic (conseillère musique - Inspection académique de la Loire) a proposé à plusieurs enseignants du premier degré un atelier de pratique autour de la musique contemporaine.
Comment l’écouter, la faire partager à ses élèves, ou encore monter un projet autour de la musique contemporaine sans avoir soi-même de connaissance dans ce domaine ? Echanges d’expériences et de pratiques ont été au coeur de cette soirée pour aborder cet univers musical qui intime encore trop souvent.
L’atelier se poursuit le mercredi 7 février prochain.
Atelier de pratique proposé dans le cadre du plan départemental de formation continue de l’Inspection académique de la Loire.
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Saison 2, épisode 1 : mais qu’est-ce que je fous là ?
Je suis en stage. Voilà c’est tout pour aujourd’hui, je vais me coucher car il est presque 23h, merci d’avoir suivi cet épisode.
Dans cet épisode, on va reprendre un peu les bases. En théorie, une Ambassade permet de représenter le gouvernement d’un pays auprès d’un autre pays, et donc on s’installe dans la capitale, puisque c’est là que tout se passe. Pour les autres coins du pays, on installe des Consulats qui sont là pour rendre des services aux Français et soutenir les actions de l’Ambassade - il y a 10 Consulats Généraux aux États-Unis. Quand j’étais en Caroline du Nord, on était rattaché au Consulat d’Atlanta en Géorgie. Il y en a un à New York qui se trouve non loin des Services Culturels sur la 5ème avenue, parce que c’est l’avenue la plus célèbre et que la France ne fait pas les choses à moitié. La partie culturelle de l’Ambassade a été installée à New York, car c’est un centre très actif du monde de la culture - c’est pas contre D.C., mais New York est clairement plus “vibrant” comme on dit ici. Donc voilà un service installé en face du Met et de Central Park pour rendre les pauses déjeuner intéressantes. Si vous cherchez un Consulat ou une institution étrangère, elle se trouve probablement sur la 5e ou Madison Avenue, c’est the place to be - le centre culturel ukrainien est voisin des Services Culturels et il y a le Consulat de Grèce pas très loin.
Les Services Culturels de l’Ambassade se sont installés dans la Payne Whitney Mansion qui date de la période du Gilded Age (fin XIXème siècle). Je vous mets la photo de la façade qui est sur le site car je n’en ai pas encore pris moi-même.
Et comme je sais que vous êtes de vraies fouines et que vous voulez savoir ce qu’il y a à l’intérieur, vous pouvez consulter ce lien qui se trouve aussi sur le site : http://frenchculture.org/sites/default/files/payne_whitney_mansion_overview_0.pdf - comme ça vous voyez que c’est vraiment hyper classe.
D’ailleurs, ce site (http://frenchculture.org/) donne une vue d’ensemble des projets des Services Culturels : concerts, littérature, expositions d’art, décorations dans l’Ordre des Arts et des Lettres - mais aussi tout un volet académique avec le développement de programmes bilingues et d’échanges scolaires. Bref, si vous vous promenez un peu sur ce site, ça vous donnera une idée des activités menées par les Services.
(J’ai mentionné le volet éducatif : gros événement mardi 26 mars avec la publication d’une tribune en faveur de l’apprentissage des langues par la Conseillère des Services Culturels dans le New York Times. Je vous mets le lien ici car c’est vraiment la classe - c’est le New York TImes ! Bon évidemment, c’est tout en anglais, mais ça dit qu’il faut soutenir l’apprentissage des langues et arrêter de couper les budgets : https://www.nytimes.com/2019/03/26/opinion/learn-foreign-language.html)
Et on en vient maintenant à Albertine. Ce n’est pas une personne, mais un endroit, qui se situe dans la Payne Whitney Mansion : une superbe librairie française. Alerte lieu hautement instagrammable, certes, mais c’est surtout un super endroit pour les communautés francophones et francophiles de New York. On y trouve des livres en français ainsi que des traductions de titres français en anglais. Bref, vive la France. Albertine est un projet des Services Culturels qui accueille de nombreux événements de débats, de présentations d’ouvrages, de rencontres avec des auteurs et même des ateliers pour les enfants avec des auteurs jeunesse et des illustrateurs - le calendrier d’Albertine est bien rempli. Bref, il se passe toujours quelque chose à Albertine et l’endroit est vraiment superbe, donc à mettre dans votre liste d’adresses chouettes quand vous visitez New York, soyez sympa, passez faire coucou. C’est la 5e avenue, en face de Central Park et du Met, ne me dites pas que vous n’allez pas passer par là. Pour fouiner un peu sur Albertine c’est ce lien : https://www.albertine.com/ - et si vous fouinez vous allez certainement tomber sur des choses mises en ligne par quelqu’un que vous connaissez. Vous ne le saurez pas, mais moi je sais. En dessous, deux petites photos d’Albertine pour vous montrer comme c’est joli, avec des étoiles, des constellations et des planètes sur le plafond. Avouez que vous avez envie d’y aller.
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Health Data Hub : dix premiers projets pour faire émerger la future plateforme de données de santé
La mission de préfiguration du Health Data Hub, pilotée par Jean-Marc Aubert, directeur de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), a dévoil�� le 16 avril les 10 lauréats du premier appel à projets pour la création de cette future plateforme de données de santé, en présence d'Agnès Buzyn
Né d'un rapport rédigé par Dominique Polton, présidente de l'Institut national de données de santé (INDS), le Dr Marc Cuggia, professeur d'informatique médicale et praticien hospitalier au CHU de Rennes, et Gilles Wainrib, président-fondateur de la start-up Owkin, le Health Data Hub a pour objectif de favoriser l’utilisation et l'exploitation des données de santé, en particulier dans les domaines de la recherche, de l’appui au personnel de santé, du pilotage du système de santé, du suivi et de l’information des patients.
Cette future plateforme de données de santé doit permettre le développement de l’intelligence artificielle (IA) en santé et aura un rôle de promotion de l’innovation dans l’utilisation des données. Prévu dans l'article 11 du projet de loi de santé, le hub fonctionnera sous la forme d'un groupement d’intérêt public (GIP) et combinera des financements publics et privés.
Le patron de la Drees a indiqué que l'Etat participera à hauteur de "80 millions d'euros sur quatre ans".
La structure reprendra les missions actuelles de l'INDS, auquel il se substituera, tout en les élargissant. Le GIP INDS -qui a succédé en avril 2017 à l’Institut des données de santé (IDS), créé en 2007- a pour missions de veiller à la qualité des données de santé et en faciliter l’accès.
Pour mettre en place le Health Data Hub, plusieurs actions ont été définies: créer une plateforme technologique de mise à disposition des données de santé, organiser l’accompagnement technique des producteurs pour la collecte et l’amélioration de la qualité des données, et renforcer l’accompagnement des utilisateurs et promouvoir des événements fédérateurs au sein de la communauté tels que des challenges visant à mettre en valeur les compétences expertes des acteurs de l’écosystème sur des jeux de données ciblés.
La première version de la plateforme technologique et du dispositif d’accompagnement sera testée par les 10 "projets pilotes" retenus dans le cadre de l'appel à projets. Ils contribueront à la coconstruction du Health Data Hub par l’enrichissement de son catalogue de données et l’expérimentation de son offre de services.
"Je souhaite que ce hub soit créé, définitivement, d'ici au 31 octobre 2019", a souligné Agnès Buzyn le 16 avril, se félicitant de "l'enthousiasme suscité par le projet".
"Les attentes sont très nombreuses aujourd’hui et l'intérêt que suscite le projet est immense. Le défi est désormais de gagner la confiance des Français et elle se gagnera si une exigence est respectée : maintenir une approche humaine des patients et de la médecine", a prévenu la ministre.
Un site dédié au projet est déjà en ligne à l'adresse www.health-data-hub.fr.
Dix projets "matures"
"Nous attendions une cinquantaine de candidatures, nous avons reçu 189 projets. Nous allons essayer d'aider les 179 autres projets dans les prochains mois même s'ils n'ont pas été choisis ce soir. Ce n'est qu'un début", a déclaré Jean-Marc Aubert, le 16 avril.
"L'objet du hub est de mettre en avant des preuves de concept assez rapidement et pour ce premier appel à projets, les pouvoirs publics ont sélectionné des projets lisibles par le grand public", a expliqué à TICsanté un acteur de l'e-santé, candidat malheureux à l'appel à projets.
Portés par des organismes de recherche, des établissements de santé, des professionnels de santé, des associations de patients, des industriels et des start-up, les 10 lauréats ont satisfait plusieurs critères : la maturité de leur projet, leur caractère innovant en matière d’exploitation des données, leur intérêt public, les bénéfices potentiels attendus, leur contribution à la constitution du catalogue des données du hub et au partage des données, des outils et des connaissances.
Les 10 projets retenus sont :
• Deepsarc. Porté par le professeur Jean-Yves Blay, directeur général du centre Léon-Bérard (centre de lutte contre le cancer de Lyon) et directeur du réseau NetSarc, le projet doit permettre d'identifier les meilleurs schémas thérapeutiques pour le traitement du sarcome.
• Parcours IDM en Ile-de-France. Porté par le Dr Axelle Menu-Branthomme, responsable de département à l’agence régionale de santé (ARS) Ile-deFrance, avec le soutien du Samu 78 et du groupement de coopération sanitaire (GCS) Sesan, ce projet doit évaluer et améliorer les parcours de soins après un infarctus du myocarde (IDM).
• Pimpon. Porté par Jean-François Forget, directeur médical dans la société Vidal, Pimpon a pour ambition d'aider les prescripteurs en leur faisant remonter les alertes pour les interactions médicamenteuses et réduire ainsi les complications.
• Hydro. Porté par le Dr Arnaud Rosier, président de la start-up Implicity, le projet doit permettre de prédire les crises d'insuffisance cardiaque pour les patients porteurs de pacemaker.
• NS Park. Porté par le Pr Jean-Christophe Corvol, neurologue à la PitiéSalpêtrière (AP-HP, Paris), et soutenu par l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM), l’Inserm et le F-CRIN (French Clinical Research Infrastructure Network), le projet doit prédire les trajectoires individuelles des patients parkinsoniens et modéliser la progression de la pathologie.
• Arac. Le projet de Laurent Borella, directeur santé à Malakoff Médéric Humanis, porte sur la mesure et la "compréhension" des restes à charge réels des patients et doit permettre "d'interroger les modes de financement des dépenses de santé".
• Ordei. Porté par Patrick Maison, conseiller scientifique à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le projet prévoit de quantifier la proportion de patients touchés par un effet indésirable médicamenteux.
• Oscour. Le projet de Yann Le Strat, directeur de l'appui, des traitements et des analyses des données de l'Agence nationale de santé publique (ANSP - Santé publique France) propose de "mobiliser les données d’urgences" pour améliorer la surveillance sanitaire. La première expérimentation sera menée sur les accidents vasculaires cérébraux (AVC) avec le concours de la Fédération des observatoires régionaux des urgences (Fedoru), des équipes du registre AVC de Brest et de l'université de Rennes.
• Deep Piste. Porté par Francisco Orchard, responsable d'unité data science au sein de la société Epiconcept, appuyé par le Centre régional de coordination des dépistages des cancers en Occitanie et l’Institut Curie, ce projet vise à évaluer l’apport de l’intelligence artificielle (IA) dans le dépistage organisé du cancer du sein.
• Retrexis. Ce projet, porté par le Dr Pierre Marquet du CHU de Limoges, avec l’appui de l’Inserm et de la société Optim’Care, doit permettre de mesurer l’impact à long terme de l’exposition aux médicaments immunosuppresseurs des patients greffés rénaux pour, à terme, optimiser les stratégies thérapeutiques, les doses mais aussi les formules de ces médicaments.
Les lauréats ont été sélectionnés par un jury d'experts présidé par le Pr Bernard Nordlinger, membre de l'Académie nationale de médecine et chirurgien oncologue à l'hôpital Ambroise-Paré (AP-HP, Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine).
Il était composé de :
• Emmanuel Bacry, directeur de recherche au CNRS et directeur scientifique du Health Data Hub
• Olivier Clatz, directeur du grand défi "IA et diagnostics" au secrétariat général pour l'investissement (SGI) à Matignon
• Stéphanie Combes, cheffe de projet du Health Data Hub à la Drees
• Isabelle Gentil, experte en IA et santé au ministère des solidarités et de la santé
• Didier Guillemot, professeur à l'université Versailles Saint-Quentin et chercheur à l'Inserm et à l'Institut Pasteur
• Yves Lévy, directeur exécutif du Vaccine Research Institute, ancien patron de l'Inserm, aujourd'hui conseiller d’Etat en service extraordinaire
• Rosalie Maurisse, responsable santé au sein de la direction innovation de la banque publique d'investissement Bpifrance
• Anne Paoletti, directrice scientifique dans le secteur biologie santé de la direction générale de la recherche et de l'innovation (DGRI)
• Marie Séval, conseillère information en santé au sein de la direction générale de la santé (DGS).
Les premiers résultats des projets retenus sont attendus "pour la fin de l'année", a rappelé le Pr Bernard Nordlinger.
Plusieurs recrutements dans les prochains mois
Annoncé comme le premier recrutement du futur GIP, Emmanuel Bacry, le nouveau directeur scientifique de l'INDS -qui se transformera en Health Data Hub dans le cadre de la future loi de santé, rappelle-t-on-, a expliqué à TICsanté que "ce qui a manqué à certains projets était le partage sans condition de leurs données pour alimenter et enrichir le hub".
En attendant, la mission du directeur scientifique est de "mobiliser le monde académique autour du hub et constituer un écosystème".
Dans un deuxième temps, Emmanuel Bacry procèdera "à plusieurs recrutements pour permettre de construire la structure de la plateforme. Parmi ceux-là : un chief technical officer (CTO ou directeur technique), des data scientists, des ingénieurs et des managers de projet.
Aucun calendrier de recrutement précis n'est pour l'heure fixé. "Nous devons d'abord évaluer les besoins en recrutement", a précisé le nouveau directeur scientifique de l'INDS/Health Data Hub.
Une fois la plateforme créée, le directeur scientifique sera également chargé d'organiser "des challenges, type hackathon ou datathon" et de "nouer des partenariats à l'échelle européenne", a-t-il indiqué.
Outre les équipes techniques du hub, "nous souhaitons recruter une vingtaine de personnes en 2019 pour nos quatre pôles : plateforme, data, accompagnement pilote et animation de l'écosystème", a observé auprès de TICsanté Stéphanie Combes, cheffe de la mission de préfiguration au sein de la Drees.
Cette mission planche sur le deuxième appel à projets, qui devrait être lancé dans les six mois. "Nous réfléchissons à la façon de procéder pour ce deuxième appel à projets : en thématisant ? Par technologies ? Par pathologies ?", s'est-elle interrogée.
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Poser la question, c’est y répondre...
« Les chercheurs ont-il vocation à intervenir dans les médias ? » se demande (sérieusement ?) le site de France TV Info. Alors que les « partis-pris » d’Eric Zemmour gagnent du terrain dans l’opinion, à force de sectarisme, les journalistes du service public ont des nœuds dans le cerveau…
Sur le site de France TV info, quatre intellectuels ont décidé de prendre leurs distances avec le pugilat médiatique. Bruno Cautrès, Pierre Lefébure, Julien Longhi et Claire Sécail se questionnent en synode sur le rôle que doivent tenir les chercheurs dans nos médias. Une entreprise curieuse… eux l’ont apparemment estimée salutaire !
« Certains chercheurs vont jusqu’à débattre avec Eric Zemmour de nos jours… Oùva-t-on, mes bons amis ? »
Anne-Claire Ruel, conseillère en stratégie d’opinion et prof de fac, était d’humeur un peu chafouine après un éprouvant visionnage. De quoi parle-t-on ? Du débat contradictoire de BFMTV entre un polémiste trop orienté idéologiquement à son goût (Eric Zemmour) et un historien du CNRS fort respectable (Patrick Weil), où il faut bien reconnaître que le second n’a pas été le plus brillant orateur. A sa décharge, au programme étaient abordés tous les thèmes sulfureux adorés par Zemmour (collaboration en 1940, invasion de hordes arabes dans l’hexagone, multiplication des librairies halal etc.). Un petit festival :
Anne-Claire Ruel décroche son téléphone pour interroger ses plus éminents confrères sur le sujet et organiser une réflexion entre ecclésiastiques éclairés. Voir débattre à la télévision un éminent historien accrédité avec un polémiste populaire n’est-il pas un mélange des genres des plus vulgaires ? « Certains chercheurs vont jusqu’à débattre avec Eric Zemmour de nos jours… Où va-t-on, mes bons amis ? » s’emporte-t-elle outrée au téléphone.
Les réflexions de haute tenue qui vont suivre sont regroupées dans le long et soporifique billet de blog hébergé par France Télévisions (la redevance télé est décidément judicieusement dépensée).
A part leur rejet sous-jacent permanent des théories du journaliste du Figaro Magazine, pas évident en vérité de voir où veulent en venir nos régisseurs du débat d’idées ! Sous le prétexte d’expliquer combien il est difficile pour un chercheur de s’adapter aux contraintes des affreux médias modernes où ils sont appelés à témoigner, une glose sans fin se développe. Voici la substantifique moelle qu’on peut tirer des questionnements de nos éminents savants « progressistes ».
Zemmour n’est même pas chercheur au CNRS !
Les médias n’offrent pas le support idéal pour exposer tout le savoir scientifique. Les chaînes info en continu sont apparemment un fléau où les journalistes travaillent dans l’urgence. Les émissions racoleuses concoctées par ces derniers ne permettent que trop rarement au chercheur d’y développer toute l’étendue de son sidéral savoir universitaire. Scoop ! Les médiatiques mettent sur un plan d’égalité les différents intervenants. Un petit scandale ! Si le vote de chaque citoyen a la même valeur, dans le domaine des opinions, faudrait pas pousser ! Demandons à BFMTV de mettre en gros et en bien gras les titres des scientifiques intervenants sur les plateaux. Ils y sont visiblement très attachés . Sinon, la parole d’un vulgaire « polémiste » est autant considérée que celle d’un « vrai » chercheur. Comment le citoyen peut-il ne pas voter comme un sagouin ensuite ? La télévision ne permet pas de « notes de bas de pages », de « bibliographie », « d’équations ou de modèles ». C’est vraiment ballot, car les scientifiques excellent dans ces domaines.
Certains journalistes mal intentionnés retranscrivent de travers les citations les plus brillantes de nos savants. Ceci dans le but fallacieux de « conforter ou illustrer un aspect de l’angle développé dans [leur] article ». Salauds ! Pour en revenir à Belzébuth (Gargamel / Zemmour NDLR), qui parvient de son côté à se jouer de tous ces pièges, son « régime de parole » est celui du « domaine de l’opinion masquée derrière une pseudo-scientificité ». Alors que, bien sûr, le régime de parole de Weil « c’est la vérité du savoir et des connaissances scientifiques ».
Déplorant que Weil n’ait pas eu droit à sa propre émission (Gargamel est parfois invité seul ce privilégié !), le conclave de conclure : « Il y a donc une double responsabilité : celle des historiens scientifiques de s’exprimer dans les médias et celles des médias de leur fournir les conditions les plus favorables puisque, par ailleurs, leur fonctionnement ordinaire fournit à Zemmour des formats d’expression dans lesquels il est à l’aise. »
Certains idéologues sont plus égaux que d’autres
Tout le champ lexical pédant des sciences sociales et de la linguistique a beau être convoqué, la glose de nos archidiacres ci-dessus résumée peine à accoucher d’autre chose que d’une souris pour défendre la cause du malheureux Patrick Weil.
D’une part, Zemmour, en vérité toujours présenté avec beaucoup de pincettes par les journalistes qui l’invitent, accepte humblement de se voir qualifier d’ « essayiste » voire de « polémiste » (ce qui peut être un rien condescendant). D’autre part, il n’a jamais réclamé le titre d’historien.
Quelque idéologie qui puisse s’en dégager, quiconque a lu un de ses bouquins ne peut qu’en relever la qualité. Et dans la République des Lettres, 400 000 exemplaires du Suicide français vendus valent fort heureusement bien des titres académiques pompeux, n’en déplaise à certains ! Sur BFMTV deux idéologies se sont opposées (ouverture et fermeture). Nos quatre experts font semblant de ne pas voir l’essentiel : sur la bataille des idées, le camp progressiste a du plomb dans l’aile. Des deux idéologies et analyses de l’immigration ou de l’islam en France, la première étant tellement hégémonique dans leurs cercles, nos archidiacres ne distinguent plus qu’autre chose puisse seulement exister ! Zemmour peut continuer de ricaner dans sa barbe et s’en aller plus loin manger deux ou trois autres Schtroumpfs ! Nos quatre experts, eux, peuvent crier : « Raphaël Glucksmann, vite ! »
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