#Cirque Lire
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malamilkbeats · 1 day ago
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Ink Meister
Such a swell guy. You can trust him with your tax information.
His name "Cirque Lire" emphasizes his connection to reading, information, and perhaps... manipulation of knowledge (which ties into his ink abilities and courtly intrigue). "Lire" (meaning "to read" in French) fits well with his cunning nature—someone who "reads" people, situations, and texts to his advantage.
Cirque Lire
Orientation: Aromantic
Gender: Male
Age: 27 (once appointed) 45 (currently)
Alignment: Lawful Neutral to Lawful Evil
Cirque Lire's ink abilities and how he uses them:
His ability to manipulate ink could extend far beyond just composing music; he could use it as a weapon in more subtle ways, especially in a court filled with intrigue and deception.
***************
Cirque Lire's fingertips sway as liquid shadows dance to the silent melody of his mind. With a twist of his hand, the ink dispersed into familiar calligraphy on the parchment before him. A royal decree—one that had never been written by the King's own hand, yet bore his perfect signature and seal.
Another masterpiece of forgery.
Another stride forward.
To the court, Cirque Lire was a master composer, a patron of the arts, a nobleshape whose ink created symphonies that moved the soul. His charisma was like a spell of its own; his honeyed words wove through courtly banter to ensure that his name was spoken with admiration and trust. But beneath the polish lurked a careful orchestrator of downfall—a man who knew that true power was not just taken with brute force but cultivated through deception, reputation, and carefully placed words.
His ink was his greatest weapon. One touch and he could rewrite the records or history, craft messages that shattered alliances. It's proven one letter would unmake a man – though, of course, no one could ever substantiate such charges. His talent for manipulation was subtle, a ripple in still water that never came back to him as the source. It never dirtied his own hands; it was the rumors, as well as the court that tore itself apart over trumped-up scandals while he stood above it all.
Lire did not merely ruin reputations—he got something out of it. A disgraced noble meant lands and titles went up for sale, assets were sanctioned, and his debts were called in. With his influence, he ensured that those desperate enough would turn to him for aid, signing away their wealth in return for salvation he never truly intended to give. A true robber barron in the making. He would orchestrate financial ruin, the buy out their holdings for a fraction of their worth to supply his own allies, growing his fortune while his targets dwindled to nothing. Shapes who owed him were never **truly** free, bound by invisible chains of obligation and debt that he tightened at his leisure.
He was politically keen enough to know the importance of positioning; he whispered advice into the ears of the right shapes, offering solutions to problems he himself had quietly created. His influence spread like ink upon a page, whereby ministers and lords alike depended upon his counsel. He did not need to raise a blade; he merely needed the right words, the right moment, and the right target. And when lords and ministries were under turmoil, Cirque Lire stood untouched, ever the benefactor of chaos.
Concavex, his daughter, was both his greatest asset and his biggest obstacle. She had been the simple key to his ascension, her telepathic abilities a tool he wielded with precision. The court was in strange fear, fearing what she would reveal. But Cirque Lire? He had molded her into something greater, something useful. She was his unseen eyes and ears, whether she wanted to be or not.
“Read them now,” Cirque would murmur while they sat among the masked smiles of the nobles. And Concavex would begrudgingly follow his command, her mind brushing against the thoughts of unsuspecting men and women too foolish to guard themselves. Through the insights, Cirque would know who was weak, who had doubt, who could be influenced given the proper incentive or broken with the right rumor.
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ptns-orageuses-rpg · 1 month ago
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OUVERTURE OFFICIELLE
Ça y est, c'est l'heure. Ce 11 janvier signe l'ouverture du forum. Plus qu'à assembler vos conneries pour nous montrer vos belles crapules. Plutôt que de faire un message solennel, on voudrait remercier les membres présents depuis le début en mettant en avant leur PL posté pendant la pré-ouverture ! Puis si ça peut vous donner deux - trois idées :
PL DES MEMBRES
(m) • ≈45 ans — le triton dansant La deuxième partie de ce trio amoureux. Ils se sont rencontré·es, il y a un moment maintenant ; reste à savoir ce qu'ils feront des souvenirs. Max, c'est un pacifiste, privilégie l'amour à la violence. Même les écailles de poisson sur ses jambes irradie l'amour de l'arc-en-ciel. 'Paraît que sous érythryle, il deviendrait le plus beau des tritons des catacombes.
(f) • ≈45 ans — la harpie sans ciel La troisième partie de ce trio amoureux. Silencieuse, observatrice ; perchée là-haut comme une vieille chouette à observer les rides de la ville. C'était une Misérable, à l'époque. Elle ne versait pas dans la violence, cependant : son truc à elle, c'était l'entraide communautaire. Lorsqu'ils se sont séparés, elle a volé de ses propres ailes : faut voir comme ils se sont aimés forts ces trois-là.
(m/nb) • 37 ans — adelphe caché·e Il en met plein les mirettes, l'artiste : membre d'un beau cirque altéré plein de promesses et de magies. Justicier, comme son frère, son militantisme passe par l'art et le spectacle. Douze années et un océan vous séparaient. Maintenant, vous vous retrouvez : reste à savoir ce que vous allez faire de tout ce temps à rattraper.
(f/m/nb) • 30 - 45 ans — toi C'est beau l'amour, parfois ça frappe comme ça, parfois c'est plus que médité. Il y a la liberté du scénario, l'envie de jouer une romance à construire avec son rpgiste. Plus qu'à associer vos histoires pour en construire une encore plus grande.
4/5 libres — la mutinerie Un effet papillon ; et la fumée des clopes est devenu la paillette des shows drags. La Mutinerie, c'est un bar queer dans les catacombes. Il est tenu par un vieux mec derrière son bar, mais il respire grâce aux belles âmes à l'intérieur. La bâtisse paraît ne jamais fatiguée, toujours fraiche, toujours slay. On pousse les tables, les meubles, pour faire du bar une estrade pour les étoiles d'une nuit.
Un grand merci de nous suivre jusqu'ici et à tous les membres déjà présents depuis le début de nos bêtises en décembre. On a juste trop trop hâte de lire vos personnages et vos fiches sur le forum. Putainement votre, Maxeine & Ekkymose
>>>LIEN VERS LE FORUM<<<
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ernestinee · 1 year ago
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2023
J'ai beaucoup lu.
J'ai appris la céramique.
J'ai recommencé le japonais.
J'ai mieux dormi, les chats ont un peu grandi, ils sont plus calmes la nuit.
J'ai essayé d'être plus proche de la nature et d'avoir une vie slow. Par contre j'ai moins marché au bois parce que je ne m'y sens plus bien, je dois trouver un autre endroit ou un moyen de me le réapproprier.
J'ai commencé la jonglerie et j'adore, ça me vide la tête, ça la réorganise et je progresse vite.
J'ai perdu 15 kg et repris 2. Je n'aime toujours pas mon corps mais j'aime ce qu'il me rend capable de faire. Concentration, coordination, force et souplesse.
J'ai pris des décisions financières importantes.
J'ai visité pas mal de musées, j'ai écouté beaucoup de musique.
Ça va bien avec mon conjoint et on fêtera nos 20 ans ensemble en 2024, c'est complètement dingue.
L'amitié aussi se porte bien. Je suis entourée de gens fantastiques, j'ai beaucoup de chance.
L'ado est... ado. C'est génial de le voir évoluer et un peu stressant aussi. Mais génial. Mais stressant ouais.
J'ai peu voyagé, j'ai peu pris de photos. On n'a fait que Bruxelles, Amsterdam et Paris. J'ai fait seule une petite virée d'un jour en Ardenne et je suis allée à Marseille.
On a fait des gros travaux dans la maison et le jardin.
J'ai beaucoup travaillé. J'ai terminé une formation que je faisais depuis 3 ans, j'ai la casquette graphothérapeute en plus d'être logopède.
J'ai encore eu des gros moments de nostalgie, de tristesse et de colère à propos de choses qu'on ne peut pas changer.
2024 verra :
La suite des travaux du jardin, planter des fruitiers et des fleurs, et créer un espace qui me plait.
J'ai envie d'un voyage, de photos et de concerts
Apprendre, encore, toujours. Plusieurs formations sont prévues déjà.
Travailler encore, toujours.
Cultiver l'amitié. Aimer au sens large et généreux.
Lire, lire, lire.
Le cirque, le cirque, le cirque !
Une hygiène de vie plutôt basée sur les rythmes de la nature. On verra comment ça se fera, concrètement.
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utank · 29 days ago
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Quelque chose a lu votre mule, voyons si ça la fait avancer…
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Ne jamais trop charger sa mule (proverbe mexicain).
Pour lire le bouquin, j'ai passé un coup de fil à mon iAmi.e qui a les moyens. Elle a elle même convoqué Virginie Despente et lui a ordonné de lire l'intégralité foireuse. Ce que V s'est dépêché de faire, sachant que son destin littéraire et passionnel était pendu à ce fil de conversation, mais encore bandant! Et sans une dose d'érotisme ou de porno à la Gégé assumé, que vaut notre belle langue? Résultat : Critique de "Comme une mule" à la manière de Virginie Despentes
François Bégaudeau, dans son dernier ouvrage Comme une mule, joue les hérétiques modernes. Il s’empare d’une affaire d’égout qui aurait dû être oubliée au lendemain de son acquittement — une blague pourrie, un procès en diffamation, et le cirque médiatique qui l’accompagne — pour en faire un étendard de sa réflexion sur l’humour, la politique, et le féminisme. Mais si la provocation était la stratégie, alors elle tourne court : Comme une mule n’a ni la rage nécessaire ni le culot suffisant pour être à la hauteur de ses prétentions.
Bégaudeau commence par poser une question de gamin dans la cour de récré : est-ce qu’on a encore le droit de rigoler ? Il prend soin de recadrer son récit autour de la nature blessante de l’humour : à qui on peut rire sans que la bien-pensance ne vienne frapper à la porte ? Il écrit : « La blague est un terrain de combat. Chaque rire marque un territoire, et le territoire du féminisme contemporain semble être celui d’un rire interdit. » Là où ça coince, c’est que cette question est déjà réglée. Oui, on peut rire, mais pas au mépris de la dignité des autres. Prétendre le contraire, c’est faire semblant d’ignorer que les mots sont des armes. Et cette blague infâme sur Ludivine Bantigny ? Une vacherie bien calibrée pour raviver des imaginaires sexistes, où le corps des femmes est toujours l’espace sur lequel les hommes règlent leurs comptes. L’acquittement judiciaire ne lave pas l’insulte.
Ce que Bégaudeau manque de comprendre, c’est que son humour n’est pas neutre. Quand il déplore la tyrannie d’un « féminisme funeste », il tombe dans le panneau classique du privilège aveugle. Il écrit encore : « Le féminisme déchaîné s’acharne sur le rire comme s’il était l’ultime bastion du patriarcat. Peut-on encore plaisanter sans être taxé de misogynie ? » Cette accusation d’être « funeste », c’est la même qui a été servie aux femmes depuis qu’elles osent ouvrir la bouche pour autre chose que soupirer de plaisir. Ce féminisme qui dérange, qui refuse de dire merci pour les miettes, il est tout sauf funeste. Il est vital. Et quand il appelle à rééduquer la manière dont les femmes rient, dont elles se défendent, il se place exactement dans la position qu’il prétend critiquer : celle du censeur.
Mais Bégaudeau n’est pas stupide, loin de là. Il manie la plume avec l’aisance de ceux qui savent qu’ils n’ont pas à rendre de comptes. Ce qui le perd, c’est son égo. À vouloir à tout prix rester celui qui détient les codes de l’humour subversif, il se perd dans des argumentations où il confond la provocation intelligente avec l’arrogance creuse. Il critique une société où l’on aurait perdu le sens de l’autodérision, mais il n’en montre aucun exemple valable. Se moquer de soi, ça ne veut pas dire piétiner les autres pour se hisser plus haut.
À travers tout ça, le livre aurait pu poser de vraies questions. Il aurait pu parler de comment le rire devient un outil de résistance, comment il peut détruire des hiérarchies au lieu d’en consolider. Il aurait pu interroger pourquoi certaines blagues d’hier semblent aujourd’hui insupportables — et non pas uniquement parce que le monde serait devenu prude. Mais ces opportunités sont abandonnées au profit d’un exercice d’autojustification. Et franchement, ça fait peine à voir. Parce que la critique sociale, la vraie, ne peut pas être un simple miroir tendu à soi-même. Elle doit aller au-delà, bousculer, remuer. Pas juste chatouiller l’égo de celui qui la fait.
Alors non, Comme une mule n’est pas un grand texte. C’est une tentative ratée d’assumer une provocation sans en comprendre les conséquences. C’est un livre qui donne l’impression d’être écrit pour une chambre d’écho, où seuls ceux qui partagent déjà l’avis de Bégaudeau trouveront à s’enthousiasmer. Pour les autres, c’est un rappel que l’humour, le vrai, c’est aussi de savoir quand on doit fermer sa gueule.
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jpbjazz · 10 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
HARRY JAMES, LES HAUTS ET LES BAS D’UN CHEF D’ORCHESTRE
“He had a black sound, and it was obvious he had been raised musically around black musicians. He was completely different from any other white trumpet player of his day.”
 
- Lionel Hampton
 
Né le 15 mars 1916 à Albany, en Georgie, Harry Haag James était le fils d’Everett Robert James, et de Myrtle Maybelle (Stewart). Le père de James était un chef d’orchestre qui jouait dans un cirque itinérant, le Mighty Haag Circus, et sa mère était acrobate et conductrice de chevaux. Sa soeur aînée était funambule.
 
Véritable enfant-prodige, James avait commencé à se produire dans un cirque à partir de l’âge de trois ans. Après avoir appris à jouer de la batterie à l’âge de sept ans (il avait même remplacé le batteur du cirque en donnant deux spectacles par soir), James avait commencé à apprendre la trompette avec son père trois ans plus tard. En fait, James était si talentueux qu’il avait commencé à diriger un des groupes du Christy Brothers Circus à l’âge de douze ans. Également contortionniste, James avait commencé à faire des acrobaties à l’âge de cinq ans sous le nom de “The Human Eel.” Malheureusement, après être entré en collision avec une cheval, une opération aux mastoïdes avait mis fin à la carrière de contortionniste de James, qui s’était alors tourné vers la trompette.
Le père de James lui avait donné un horaire très strict. Pour chaque leçon, James devait apprendre quelques pages de la méthode de trompette de J.B. Arban et n’était pas autorisé à poursuivre aucun autre passe-temps jusqu’à ce qu’il les ait complètement maîtrisées. Mais James avait relevé le défi. James, qui apprenait rapidement, s’était bientôt produit avec plusieurs groupes du Texas.
En 1924, la famille James s’était installée à Beaumont, au Texas. James était étudiant au Dick Dowling Junior High School lorsqu’il était devenu un membre régulier du Royal Purple Band du Beaumont High School. En mai 1931, James avait été couronné meilleur trompettiste soliste dans le cadre du concours annuel organisé par la Texas Band Teacher's Association à Temple, au Texas. James avait été surnommé "The Hawk" en raison de son habileté à lire la musique. Une plaisanterie avait même prétendu que si une mouche s’était posée sur une de ses partitions, James aurait été capable de la jouer...
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au début des années 1930, à l’âge d’environ quinze ans, James avait commencé à jouer avec des groupes de danse locaux. À l’époque, James se produisait aussi régulièrement avec le groupe d’Herman Waldman. C’est dans le cadre d’une de ses performances avec le groupe que James avait été remarqué par le célèbre chef d’orchestre Ben Pollack. C’est lors de sa collaboration avec Pollack en 1935 que James avait rencontré sa future épouse, la danseuse et chanteuse Louise Tobin. James avait découvert Tobin un peu par accident en écoutant l’émission "Dance Parade" diffusée sur les ondes de la station new-yorkaise WNEW.
James avait quitté le groupe de Pollack en décembre 1937 pour se joindre à l’orchestre de Benny Goodman dont il avait fait partie jusqu’en 1938.
Avec le groupe de Goodman, James avait formé ce qu’on avait appelé le “powerhouse trio” avec les trompettistes Ziggy Elman et Chris Griffin qui était devenu une des meilleures sections de trompettes de l’histoire du jazz. Ravi de sa nouvelle acquisition, Goodman avait déclaré au sujet du trio qu’il s’agissait de la meilleure section de trompette de l’histoire depuis l’époque de Fletcher Henderson. L’opinion de Goodman était d’ailleurs partagée par d’autres chefs d’orchestre comme Glenn Miller qui avait qualifié le trio de ‘’Marvel of the Age." Un des membres de l’orchestre, Chris Griffin, se souvenait particulièrement des commentaires de Duke Ellington. Griffin expliquait: "The best compliment we ever got, is when Duke Ellington once said we were the greatest trumpet section that ever was, as far as his liking."
Devenu le principal soliste du trio, James était devenu une grande vedette après avoir joué en solo sur les pièces “Ridin’ High” “Sing, Sing, Sing” et “One o’Clock Jump.” Dans le cadre de sa collaboration avec Goodman, James avait également composé et arrangé la chanson “Life Goes to a Party” qui était devenue une des meilleurs pièces du répertoire de l’orchestre.  Dans sa biographie de James intitulée ‘’Trumpet Blues: The Life of Harry James’’ publiée en 1999, Peter J. Levinson avait mentionné quelques musiciens qui avaient témoigné de l’impact du trompettiste sur le groupe de Goodman, dont Jimmy Maxwell. Trompettiste lui-même, Maxwell avait déclaré: “...When Harry joined the band, it got looser, much looser. It just totally changed like it had been electrified.’’ Très populaire, James avait été couronné meilleur trompettiste dans le cadre des sondages des magazines Down Beat et Metronome en 1937. En 1938, James avait connu un des grands sommets de sa carrière en accompagnant l’orchestre de Goodman dans le cadre du célèbre concert de Carnegie Hall. Décrivant sa collaboration avec Goodman, James avait commenté: "Benny's too great a guy to work for!"
Avec l’aide financière de Goodman, James avait formé son propre big band en janvier 1939. Même si l’orchestre avait livré sa première performance au Benjamin Franklin Hotel de Philadelphie le 9 février, il n’avait vraiment connu du succès qu’après avoir ajouté une section de cordes à son orchestre en 1941. Le 20 février 1939, l’orchestre avait fait ses premiers enregistrements pour les disques Brunswick. Même si les premières pièces enregistrées par le groupe n’avaient pas été très impressionnantes, les spectateurs et les auditeurs des émissions de radio avaient été comblés. James semblait également ravi. Lorsqu’on avait demandé à James s’il avait fait une erreur en quittant le groupe de Goodman, il avait simplement répondu: "No, I don't think I made any mistake when I left Benny. When I was with Benny, I often had to play sensational horn. I was one of a few featured men in a killer-diller band. Each of us had to impress all the time. Consequently, when I got up to take, say, sixteen bars, I'd have to try to cram everything into that short space." Doté d’une mémoire phénoménale, James pouvait non seulement se rappeler parfaitement de ses propres partitions, mais également de celles des autres membres de son orchestre.
Dès le départ, James avait décidé de concentrer son attention sur les ballades, particulièrement sur des pièces comme "I Surrender, Dear," "Just a Gigolo," "I'm in the Market for You" et "Black and Blue." Il expliquait: "Playing what you want to play is good for a guy's soul, you know.’’ Témoignant de l’importance de la danse pour son orchestre, James avait ajouté: "I want to have a band that really swings and that's easy to dance to all the time. Too many bands, in order to be sensational, hit tempos that you just can't dance to." À l’époque, Glenn Miller venait d’ailleurs de former son propre groupe qui mettait l’accent sur des pièces au tempo rapide. James poursuivait: "We're emphasizing middle tempos. They can swing just as much and they're certainly more danceable." 
Les uniformes de l’orchestre avaient d’ailleurs contribué à ajouter encore plus de couleur. James avait grandi dans un cirque, et ses goûts personnels avaient reflété cette réalité. Les musiciens du groupe portaient des vestons de couleur rouge plutôt voyants qui avaient contribué au caractère spectaculaire de la formation. Malgré tout, James avait continué d’afficher un tempérament sincère et plutôt candide. Partisan d’une approche informelle, James avait maintenu une très grande proximité avec ses musiciens.
En juin 1939, l’orchestre de James se produisait au Paramount Theater de New York. James était toujours au lit lorsqu’il avait entendu le groupe d’Harold Arlen jouer à Englewood, au New Jersey. James avait été particulièrement impressionné par le jeune chanteur du groupe dont il avait oublié de noter le nom. Le lendemain soir, après avoir présenté son concert, James s’était précipité au New Jersey pour faire connaissance avec le jeune chanteur. Il expliquait: "I asked the manager where I could find the singer, and he told me, 'We don't have a singer. But we do have an MC who sings a little bit.'"
Le maître de cérémonie en question était nul autre que Frank Sinatra. Après que Sinatra ait chanté quelques chansons, James avait été suffisamment convaincu pour lui faire une offre. Même si Sinatra avait accepté l’offre de James, ce dernier avait eu moins de succès lorsqu’il avait tenté de lui faire changer de nom pour adopter celui de ‘’Frankie Satin.’’ James précisait: "He did, and we made a deal. It was as simple as that. There was only one thing we didn't agree on. I wanted him to change his name because I thought people couldn't remember it. But he didn't want to. He kept pointing out that he had a cousin up in Boston named Ray Sinatra and he had done pretty well as a bandleader, so why shouldn't he keep his name?"
Sinatra avait enregistré ses premières pièces avec le groupe le 13 juillet 1939. Les chansons enregistrées étaient "From the Bottom of My Heart" et "Melancholy Mood." Mais le jeune chanteur manquait encore de confiance en lui et avait besoin d’encouragement. James avait rapidement su mettre en confiance son nouveau poulain et avait vite établi une excellente relation avec lui.
Premier chef d’orchestre important à engager Sinatra, James lui fait avait fait signer un contrat de 75$ par semaine en 1939 (l’équivalent de 1589$ par semaine au cours de 2022). En réalité, Sinatra n’avait d’abord été engagé que pour une durée de six mois. Ironiquement, la chanson “All or Nothing at All” avait été échec lorsque James et Sinatra l’avaient enregistrée initialement en 1939, mais elle avait vendu plus d’un million de copies lorsque le groupe l’avait de nouveau enregistrée en 1943. L’arrangeur Jack Matthias avait d’ailleurs écrit d’excellents arrangements pour Sinatra.
Sinatra avait fait partie de l’orchestre de James durant sept semaines avant de se joindre au groupe de Tommy Dorsey en 1940. L’orchestre de James comprenait aussi la chanteuse Helen Forrest. Par la suite, le batteur Buddy Rich et le contrebassiste Thurman Teague avaient également fait partie du groupe. Parmi les autres membres de la formation, on remarquait le saxophoniste et chanteur Johnny MacAfee, les saxophonistes Corky Corcoran, Claude Lakey, Vido Musso, Sam Donahue et Dave Matthews, le tromboniste Dalton Rizzotti et le pianiste Jack Gardner.
Après avoir terminé son contrat au Roseland Ballroom, l’orchestre s’était rendu à Los Angeles où il avait joué dans un restaurant appelé le Victor Hugo. C’est alors que les problèmes avaient commencé. James expliquait: "The owner kept telling us we were playing too loud. And so he wouldn't pay us. We were struggling pretty good and nobody had any money, so Frank would invite us up to his place and Nancy would cook spaghetti for everyone." 
Après le séjour avorté en Californie, l’orchestre était parti pour Chicago et s’était produit à l’Hôtel Sherman. C’est alors que Sinatra, dont l’épouse Nancy était enceinte, avait quitté le groupe pour se joindre à l’orchestre de Tommy Dorsey. C’est Dick Haymes qui avait pris la relève de Sinatra avec le groupe.
Même si les disques de l’orchestre ne se vendaient pas toujours très bien, James avait continué d’être adulé par ses musiciens. En janvier 1940, James avait même été couronné meilleur trompettiste dans le cadre de deux sondages du magazine Metronome. Le groupe était alors retourné jouer au Roseland Ballroom, où il avait excellé. Mais James avait d’autres ambitions que de jouer uniquement dans les salles de danse et les rares hôtels qui n’interdisaient pas les groupes de swing.
Lorsqu’il avait quitté l’orchestre de Goodman en 1939 pour former son propre groupe, James n’avait pas tardé à se rendre compte que le fait de diriger un groupe viable sur le plan commercial exigeait davantage d’habilité que d’être uniquement un musicien talentueux dans l’orchestre de quelqu’un d’autre.
Après avoir connu des difficultés financières, il était devenu de plus en plus difficile pour  James de payer les salaires de ses musiciens. En 1940, les disques Columbia avaient mis fin au contrat de James (il en avait signé un nouveau en 1941). Comme si ce n’était pas suffisant, Sinatra avait quitté le groupe en janvier 1940. Déterminé à revenir au sommet et à relancer son groupe, James avait décidé de jouer le tout pour le tout en adoptant un style plus doux, en ajoutant des cordes à son orchestre et en sélectionnant un répertoire plus commercial qui était beaucoup moins conforme à ses racines jazz. La décision avait éventuellement été profitable pour James qui avait eu plusieurs succès au Hit Parade. En 1945, un rapport du département du Trésor avait d’ailleurs mentionné James et son épouse Betty Grable comme le couple le mieux payé au pays. James avait également fait quelques changements à son alignement, en remplaçant notamment le saxophoniste Dave Matthews par Claude Lakey.
Après avoir terminé son contrat avec les disques Varsity, James était retourné chez Columbia. À l’époque, Columbia avait un très astucieux directeur du recrutement appelé Morty Palitz qui avait connu du succès avec la chanteuse Mildred Bailey et les compositeurs Eddie Sauter et Alec Wilder. C’est d’ailleurs Palitz qui avait suggéré à James de se doter d’une section de bois et d’un quatuor à cordes. Contre toute attente, James avaient réussi là où de grands chefs d’orchestre comme Artie Shaw et Glenn Miller avaient échoué. James avait expliqué: "I'm going to add strings and maybe even a novachord. Then we'll be able to play anywhere.’’ En avril 1941, l’orchestre avait remporté un grand succès avec la chanson “Music Makers” qui lui avait valu d’être surnommé “Harry James and His Music Makers”.
Avec son nouvel orchestre, James avait enregistré des pièces très audacieuses comme "The Flight of the Bumble Bee," "The Carnival of Venice" ainsi qu’une "Trumpet Rhapsody" en deux parties. Contrairement à des groupes comme ceux de Duke Ellington et Count Basie, l’orchestre de James avait adopté comme musique-thème la pièce “Chiribiribin”, une ancienne chanson folklorique européenne.
Le 20 mai 1941, James avait commis l’impensable en enregistrant la pièce ‘’You Made Me Love You’’ avec son orchestre à cordes. Même si la pièce avait été très mal reçue par les puristes du jazz, elle avait remporté un grand succès commercial. L’orchestre de James était de retour au sommet. James avait publié la pièce ‘’You Made Me Love You’’ pour une simple raison: il avait adoré la façon dont Judy Garland avait interprété la chanson.
Grand amateur de baseball, James avait également enregistré une pièce en l’honneur des Dodgers de Brooklyn intitulée "Dodgers' Fan Dance." Si la pièce n’avait pas remporté un grand succès, tel était loin d’être le cas de la chanson "You Made Me Love You"  qui avait changé radicalement le son du groupe. Devenue le plus grand succès de l’histoire du groupe, la chanson avait atteint la cinquième position du palmarès Billboard en novembre 1941. Du début de novembre 1941 jusqu’à la fin de janvier 1942, le simple avait passé dix semaines consécutives sur le Top Ten. Le groupe avait poursuivi sur sa lancée au cours des années suivantes avec des succès comme “I Don’t Want to Walk Without You”, “I’ll Get By” et “I’m Beginning to See the Light.” En fait, l’orchestre de James était si populaire à l’époque que les disques Columbia n’avaient pu imprimer suffisamment de copies pour répondre à la demande.Tout en continuant de jouer du swing, le groupe s’était concentré de plus en plus sur les ballades qui mettaient en vedette le son de James, avait écrit le magazine Metronome, ‘’with an inordinate amount of feeling, though many may object, and with just cause, to a vibrato that could easily span the distance from left field to first base."
Ironiquement, la chanson "You Made Me Love You"  n’avait pas été publiée avant quelques mois, possiblement parce que les dirigeants de Columbia partageaient les réserves des critiques de jazz au sujet de l’utilisation de cordes. Sur la face B, on retrouvait une des meilleures ballades du groupe, "A Sinner Kissed an Angel’’, qui avait contribué à démontrer quel grand chanteur Dick Haymes était devenu. À la même époque, Haymes avaient également enregistré d’autres chansons remarquables comme ‘’I'll Get By," "You Don't Know What Love Is" et "You've Changed."
Avec des chanteurs comme Sinatra et Haymes, James croyait sans doute qu’il n’avait pas besoin de chanteuse. Après avoir eu des chanteuses comme Bernice Byers puis Connie Haines lors des premières années d’activité de son orchestre, James avait recruté en mai 1941 Helen Ward, l’ancienne chanteuse de Benny Goodman, à qui il avait fait enregistré une nouvelle version de ‘’Daddy.’’ Par la suite, James avait eu à son emploi la showgirl Dell Parker qui avait été remplacée en juillet 1940 par Lynn Richards. Mais aucune de ces chanteuses ne s’était vraiment détachée du lot avant l’arrivée d’Helen Forrest. Après avoir enregistré quelques excellentes pièces avec Artie Shaw et Benny Goodman, Forrest avait fini par tout claquer à la fin de 1941, car elle ne pouvait plus supporter le tempérament autoritaire de Goodman qui lui avait presque fait faire une dépression nerveuse. De sa propre initiative, Forrest avait alors décidé de contacter James. Elle expliquait:
"I decided to contact Harry. I loved the way he played that trumpet, with that Jewish phrasing, and I thought I'd fit right in with the band. But Harry didn't seem to want me because he already had Dick Haymes to sing all the ballads and he was looking for a rhythm singer. Then Peewee Monte, his manager, had me come over to rehearsal, and after that the guys in the band took a vote and they decided they wanted me with them. So Harry agreed.’’
Très reconnaissante à James de lui avoir donné une seconde chance, Forrest avait ajouté: "I've got to thank Harry for letting me really develop even further as a singer. I'll always remain grateful to Artie and Benny. But they had been featuring me more like they did a member of the band, almost like another instrumental soloist. Harry, though, gave me the right sort of arrangements and setting that fit a singer. It wasn't just a matter of my getting up, singing a chorus, and sitting down again."
En construisant des arrangements autour de sa trompette et de la voix de Forrest, James avait fait de la chanteuse une grande vedette. Forrest, qui avait remporté le prix du magazine Metronome décerné à la meilleure chanteuse en 1941, était aussi chaleureuse en personne que sa voix le laissait suggérer. Forrest était également le complément idéal à la nouvelle orientation du groupe qui avait contribué à transformer l’orchestre en un des big bands les plus populaires au pays. Forrest avait également enregistré d’excellentes ballades comme ‘’He's I-A in the Army and He's A-I in My Heart", "I Don't Want to Walk Without You", "He's My Guy", "That Soldier of Mine", "My Beloved Is Rugged", "Make Love to Me", "But Not for Me", "Skylark", "I Cried for You", "I Had the Craziest Dream" et "I've Heard That Song Before." Une autre acquisition majeure de l’époque était le saxophoniste Corky Corcoran. Agé de dix-sept ans, Corcoran venait d’être congédié du groupe de Sonny Dunham après être passé sous la bistouri à la suite d’une opération à l’appendicite. Lorsque Corcoran s’était joint à l’orchestre, la formation venait de s’assurer les services de deux excellents saxophonistes alto, Sam Marowitz et Johnny McAfee. Ce dernier, qui était également chanteur, avait pris la relève de Haymes lorsqu’il avait quitté le groupe.
La nouvelle orientation du groupe n’avait d’ailleurs pas tardé à produire des dividendes. Au printemps 1942, l’orchestre avait brisé des records tant sur la Côte est que sur la Côte ouest: d’abord au Meadowbrook de Cedar Grove, au New Jersey, puis au Palladium d’Hollywood, où il avait attiré 35 000 spectateurs en une semaine, dont 8000 en une seule soirée ! Cependant, le meilleur était encore à venir : à l’été 1942, l’orchestre avait remporté le sondage "Make Believe Ballroom" de Martin Block couronnant le meilleur big band au pays, devant le groupe que plusieurs considéraient comme le meilleur au pays, l’orchestre de Glenn Miller. Lorsque peu après, Miller avait démantelé son groupe pour entrer dans l’armée, son commanditaire, les cigarettes Chesterfield, avait choisi James pour le remplacer. Grâce à cette commandite, l’orchestre de James avait commencé à se produire à la radio cinq soirs par semaine dans le cadre de l’émission "The Jack Benny Show". Lors de son séjour dans l’est, le groupe s’était de nouveau produit au Meadowbrook. James avait également profité de l’occasion pour rembourser  une vieille dette envers Maria Kramer, la propriétaire du Lincoln Hotel où il avait souvent joué au début de sa carrière. James avait finalement dû mettre fin à son contrat précipitamment pour faire une apparition dans une adaptation cinématographique de la comédie musicale de Broadway ‘’Best Foot Forward.’’
En 1945, James avait remplacé l’acteur Danny Kaye durant l’été sur son émission diffusée sur le réseau CBS. James avait également dirigé son orchestre dans le cadre de l’émission ‘’Call for Music’’, qui avait été diffusée du 13 février 1948 au 29 juin 1948 sur les réseaux CBS et NBC.
Dans un article publié dans le magazine Metronome en décembre 1942, Barry Ulanov avait expliqué ainsi les raisons du succès remporté par l’orchestre de James:
‘’Rarely has the public's faith in a band been so generously rewarded as it has in the organization headed by Harry James. Of the number one favorites of recent years, Harry's gives its fans the most for its money. . . His taste is the public's taste, and his pulse runs wonderfully right along with that of the man in the street and the woman on the dance floor. . . Whether or not you agree with or accept Harry James' taste doesn't matter in appraising this band. It's not the band of tomorrow. It's not an experimental outfit. It's not even the brilliant jazz crew that Harry fronted a couple of years ago. It's just a fine all-around outfit that reflects dance music of today perfectly.’’
Le jour où l’orchestre devait inaugurer un lucratif contrat de 25 500$ par semaine au Théâtre Paramount de New York, il pleuvait à torrents. Malgré tout, les spectateurs n’avaient pas hésité à faire la queue pour se procurer des billets. En fait, si les autorités n’avaient pas appelé des policiers en renfort pour maintenir l’ordre, il y aurait probablement eu une émeute ! Autre signe de la popularité de l’orchestre: en juin 1942, les disques Columbia avaient annoncé que la version du groupe de la chanson "I've Heard That Song Before" était devenu leur meilleur vendeur de tous les temps avec un total de 1 259 000 copies vendues. Quant aux pièces "Velvet Moon" et "You Made Me Love You", elles avaient dépassé le cap des un million. Quant aux chansons "All or Nothing at All" et "Flash", qui s’étaient vendues à 16 000 exemplaires lorsqu’elles avaient été publiées trois ans plus tôt, elles avaient été rééditées et avaient vendu 975 000 copies à ce jour.
En plus d’avoir enregistré plusieurs disques à succès, James avait plusieurs apparitions au cinéma avec son groupe. Après avoir participé au tournage des films ‘’Private Buckaroo’’, ‘’Springtime in the Rockies’’ (tous les deux tournés en 1942) et ‘’Two Girls and a Sailor’’ (1944), James avait joué de la trompette dans le film de 1950 ‘’Young Man with a Horn’’ en tant que doublure de Kirk Douglas. L’orchestre de James avait également accompagné la chanteuse et actrice Doris Day, ce qui avait permis à la bande sonore du film d’atteindre la première position du Hit Parade. Toujours en 1950, James avait également fait une apparition dans le film ‘’I’ll Get By.’’ Grand amateur de westerns, James s’était même arrangé pour décrocher un rôle dans le film ‘’Outlaw Queen’’ en 1957.
Parallèlement à ses apparitions au cinéma, James avait aussi participé à de nombreuses émissions de télévision dans les années 1950 et 1960.
Mais il y avait également eu des signes inquiétants. Après avoir signé un contrat pour jouer dans deux autres films, ‘’Mr. Co-Ed’’ et ‘’A Tale of Two Sisters’’, James avait commencé à se rapprocher de plus en plus d’Hollywood, et plus particuliètrement de Betty Grable, qui avait occupé une table à chaque soir au Astor Roof lorsque le groupe s’y était produit au printemps 1943. James avait finalement épousé Grable à Las Vegas le 5 juillet. Plus préoccupant encore, James avait également commencé à se désintéresser de plus en plus du jazz au profit d’une musique beaucoup plus racoleuse destinée à plaire à ses admirateurs.
Lorsque le groupe était retourné dans l’est pour jouer à Meadowbrook, le critique Barry Ulanov avait fait remarquer que l’orchestre avait de nouveau mis davantage d’accent sur le jazz et avait invité James à jouer du swing plutôt que de miser sur la sécurité. Ulanov expliquait: "He has taken advantage of his unassailable commercial position to play good music, to diminish the amount of tremulous trash which formed the bulk of his sets when he was coming up. Now, if he will just drop those meaningless strings. . . " Mais James n’avait rien voulu entendre. Il avait même augmenté le nombre de membres de sa section de cordes à vingt-quatre musiciens.
Devenu de moins en moins intéressé à la musique, James était devenu un simple artiste de divertissement. En janvier 1945, James avait signé un contrat pour participer à l’émission de radio de Danny Kaye, non seulement comme trompettiste, mais également comme figurant et acteur. Le pire c’est que James semblait apprécier son nouveau rôle, peut-être encore plus que sa carrière de musicien.
Au cours de cette période, James avait également développé d’autres intérêts. Avec son épouse Betty Grable, James s’était impliqué de plus en plus dans les courses de chevaux. Il passait même le plus clair de son temps sur les pistes de courses. De fait, James avait remporté tellement de succès dans le cadre de compétitions hippiques qu’il avait commencé à choisir soigneusement les morceaux qu’il voulait interpréter avec l’orchestre, de façon à pouvoir mieux se concentrer sur ses activités en dehors de la musique.
Même si les membres du groupe avaient continué d’interpréter des ballades, ils étaient aussi beaucoup plus désabusés qu’auparavant. Comme un critique l’avait écrit en juillet 1943, "The stuff instead of sounding solid, sounds stolid, on the pompous side. You get the feeling that the men are plodding through the notes... I don't know whether it's because they are living too well, or because they just aren't capable of playing more rhythmically. . . "
Mais James avait également d’autres motifs de préoccupation. Avec la guerre qui s’éternisait, James avait perdu plusieurs de ses meilleurs musiciens qui avaient été mobilisés par l’armée. Après avoir été classé ‘’4-F’’ par l’armée le 5 août, des rumeurs avaient laissé entendre que James serait reclassé dans la catégorie I-A. Après avoir passé son examen médical le 11 février 1944, James avait avisé son groupe de se tenir aux aguets et d’attendre. En réalité, la partie était joué pour que le commanditaire de son émission de radio avait déjà annoncé le congédiement de l’orchestre en mars. À la dernière minute, James avait été reclassé dans la catégorie 4-F en raison d’une ancienne blessure. Se retournant rapidement, James avait rappelé certains de ses vétérans et leur avait annoncé que Buddy DiVito et Helen Ward deviendraient les chanteurs de l’orchestre (Helen Forrest avait quitté le groupe pour démarrer sa carrière solo à la fin de 1943). Finalement, Ward avait été remplacée par Kitty Kallen lorsque l’orchestre était retourné à l’Astor Roof le 22 mai. Pendant ce temps, Juan Tizol avait quitté l’orchestre de Duke Ellington pour venir jouer du trombone avec le groupe.
Ces difficultés n’avaient cependant pas empêché l’orchestre de multiplier les succès. Après avoir joué à l’Astor Roof, James avait fait le tour des États-Unis dans le cadre d’une tournée qui avait connu son point culminant au Rubber Bowl d’Akron, en Ohio, où il avait attiré une foule de 6000 personnes. La tournée s’était terminée en Californie, où l’orchestre avait amorcé une nouvelle série d’émissions commanditées par Coca-Cola.
En raison de la grève de l’Union des musiciens qui limitait les enregistrements dans les grandes studios, l’orchestre n’avait pas gravé de nouvelles pièces depuis plus de deux ans. Lorsque la grève avait finalement pris fin le 11 novembre 1944, l’orchestre était entré dans les studios de Columbia à New York pour enregistrer quatre pièces, dont un version du standard "I'm Beginning to See the Light" mettant en vedette sa nouvelle chanteuse Kitty Kallen. Dans ce cadre de cette session, le groupe avait également enregistré une première pièce de jazz en plus d’un an, "I'm Confessing", qui mettait en vedette Willie Smith, l’ancien saxophoniste alto de Jimmie Lunceford, qui venait tout juste de se joindre à la formation. Un brillant jeune pianiste appelé Arnold Ross participait également à l’enregistrement.
James ayant passé son enfance dans un cirque itinérant, il avait hérité d’un style flamboyant qui était caractérisé par l’utilisation d’un lourd vibrato et d’un important trémolo. Même si de telles techniques étaient très populaires au début de la carrière de Louis Armstrong, une des plus grandes influences de James, elles étaient tombées en désuétude dans les années 1950 avec l’avènement du Cool jazz. Les nombreuses heures de pratique que James s’était imposées au cours de son enfance lui avaient inculqué une solide technique. James ayant grandi dans le Sud, il avait également été exposé au blues, ce qui avait grandement influencé son style. James expliquait: "I was brought up in Texas with the blues – when I was eleven or twelve years old down in what they call 'barbecue row' I used to sit in with the guys that had the broken bottlenecks on their guitars, playing the blues; that's all we knew." Après avoir entendu James jouer en solo avec l’orchestre de Benny Goodman, Louis Armstrong avait déclaré à son ami Lionel Hampton:  "That white boy – he plays like a jig!"
Mais les succès commerciaux n’avaient pas nécessairement fait l’affaire de tout le monde. Dan Morgenstern, le critique et directeur de Institute of Jazz Studies, avait commenté en 1941 le succès de la pièce "You Made Me Love You" en déclarant que les critiques de jazz n’avaient jamais pardonné à James d’avoir enregistré la chanson. Plus James avait continué d’enchaîner les succès dans les années 1940, plus son jeu avait été qualifié de "schmaltzy" (larmoyant) et méprisé par les critiques, même si ses enregistrements de l’époque continuaient de démontrer de son dévouement sincère envers le jazz. Même si les enregistrements typiquement jazz de James à l’époque n’étaient pas aussi nombreux que ses chansons à succès, ils comprenaient plusieurs arrangements très modernes de Neal Hefti, Frank Devenport, Johnny Richards et Jimmy Mundy. Lorsque le bebop avait commencé à surclasser le swing à la fin des années 1940, James s’était d’ailleurs démontré ouvert à son développement.
DERNIÈRES ANNÉES
Au milieu des années 1940, lorsque les big bands étaient entrés dans une période de déclin, James avait commencé à se remettre en question et à réévaluer les choix qu’il avait adoptés plus tôt dans sa carrière. Lorsque Count Basie avait ouvert le mouvement en transformant son big band en groupe de seize musiciens, James avait emboîté le pas.
Le déclin avait commencé en 1946.
À l’époque, les contrats lucratifs ayant commencé à se faire plus rares, James s’était mis à accepter des contrats d’un seul soir, ce qu’il avait refusé jusque-là parce qu’il désirait demeurer au coeur de l’action. Mais les réalités avaient changé, et en février James avait annoncé son intention de faire une nouvelle tournée avec son groupe. Même si ses attentes étaient élevées, James n’avait pas réussi à attirer des foules aussi nombreuses qu’auparavant. En décembre 1946, dix ans après s’être joint à l’orchestre de Benny Goodman, James avait annoncé qu’il laissait tomber les cordes. Au cours du même mois, Goodman avait d’ailleurs pris la même décision. À l’été 1947, James avait expliqué sa décision en déclarant: "First of all, I've settled a few problems in my mind, problems nobody ever knew I had and which I didn't bother telling anyone about. But when you're worried and upset, you don't feel like playing and you certainly can't relax enough to play anything like good jazz."
Déterminé à remonter la pente, James avait même coupé ses tarifs de moitié. Il avait aussi accepté de présenter des concerts d’un seul soir partout où il en avait l’opportunité. Contre toute attente, ce nouveau départ avait même suscité un regain d’enthousiasme chez les musiciens. Trente ans auparavant, James avait déclaré: "The most important thing that makes me want to play, is this new band of mine. You know what I've had in the past. Well, now I've got me a bunch of kids and their spirit kills me. They're up on the bandstand wanting to play all the time, so how can I possibly not feel like blowing! I haven't had a bunch like this since my first band." Après des mois d’incertitude, il semble que cette profession de foi était de nouveau à l’ordre du jour. Pour célébrer cette renaissance, James avait même formé un nouveau groupe de swing qui ne comprenait aucune corde.
En 1953, James avait poursuivi sur sa lancée en recrutant le batteur Buddy Rich. Afin de regarnir les goussets de son orchestre, James se produisait durant plusieurs mois par année au célèbre casino Flamingo de Las Vegas.
Même si après avoir signé un contrat avec les disques Capitol en 1955, James avait publié de nouvelles versions studio de chansons qu’il avait d’abord publiées avec les disques Columbia, il avait aussi enregistré dix nouvelles pièces pour un album intitulé ‘’Wild About Harry!’’ Premier d’une série d’albums enregistrés pour Capitol, et poursuivis plus tard pour MGM, le disque était représentatif du style pro-Basie que James avait choisi d’adopter durant cette période. Plusieurs des nouveaux arrangements du groupe avaient d’ailleurs été composés par Ernie Wilkins, l’ancien saxophoniste et arrangeur de Basie, que James avait ‘’débauché’’ pour venir jouer avec son orchestre. Le batteur Buddy Rich, qui avait d’abord joué avec le groupe sur une base intermittente, avait de nouveau fait partie de l’orchestre de 1962 à 1966, ce qui avait permis au groupe de retrouver une certaine rentabilité. À l’époque, James se produisait principalement au Nevada, au rythme de quarante semaines par année.
En 1966,  James avait ramené son groupe à New York pour quelques semaines. À l’époque, l’orchestre comprenait des jeunes recrues ainsi que des vétérans aguerris comme Corky Corcoran et Louis Bellson, qui venait de prendre la relève de Rich à la batterie. Ravi de son nouveau groupe, James n’avait pu contenir son enthousiasme et avait déclaré: "This is the best band I've ever had in my life! These young musicians, they're getting so much better training and they can do so much more! It was quite a sight to see and quite a sound to hear!”
Même si James était retourné vers des enregistrements plus orientés vers le jazz à la fin des années 1950 et durant les années 1960, il n’avait jamais vraiment retrouvé la faveur des critiques qui l’avaient abandonné lors de son virage plus commercial. Comparant James à Louis Armstrong, Bill Kirchner écrivait dans les notes de pochette de la compilation ‘’Harry James Verve Jazz Masters 55’’:
“If a poll were taken to pick the most famous trumpeters in the history of twentieth-century music, chances are that Louis Armstrong and Harry James would top most lists. Armstrong, of course, also has a most secure place in the jazz pantheon, but James does not, due to the "burden" of having achieved enormous commercial success early in his career. It's ironic that while few judge Armstrong's achievements on the basis of such hits as "Hello, Dolly", James is still viewed in many quarters mainly as an early-Forties purveyor of schmaltzy ballads such as "You Made Me Love You" and such virtuoso pop-classical fare as "Flight of the Bumble Bee". 
Mais c’est James qui avait finalement eu le dernier mot. Lors d’une visite à Londres en 1972, le critique anglais Steve Voce avait demandé à James si les spectateurs qui assistaient à ses concerts étaient venus pour entendre ses grands succès ou plutôt la musique de jazz qui l’avait caractérisée à ses débuts. James avait répondu:
"That would depend on for whom you are playing. If you're playing for a jazz audience, I'm pretty sure that some of the jazz things we do would be a lot more popular than 'Sleepy Lagoon,' and if we're playing at a country club or playing Vegas, in which we have many, many types of people, then I'm sure that 'Sleepy Lagoon' would be more popular at that particular time. But I really get bugged about these people talking about commercial tunes, because to me, if you're gonna be commercial, you're gonna stand on your head and make funny noises and do idiotic things. I don't think we've ever recorded or played one tune that I didn't particularly love to play. Otherwise, I wouldn't play it."
Reconnu pour être un coureur de jupons, James s’était marié à trois reprises. Le 4 mai 1935, James avait d’abord épousé la chanteuse Louise Tobin. Le couple a eu deux fils, Harry Jeffrey James (né en 1941) et Timothy Ray James (né en 1942) avant de divorcer en 1943. Plus tard la même année, James s’était remarié à l’actrice Betty Grable. James et Grable ont eu deux filles, Victoria Elizabeth (née en 1944) et Jessica (née en 1947). Grable, qui en avait finalement eu assez du mode de vie dépensier de James, de ses infidélités notoires et de son importante consommation d’alcool, avait obtenu le divorce en 1965 pour des motifs d’extrême cruauté.
En décembre 1967, James s’était remarié avec  Joan Boyd, une danseuse de Las Vegas. Le couple a eu un fils, Michael, avant de divorcer en 1970. Décrit par un de ses musiciens comme un ‘’perpétuel adolescent’’, James n’avait jamais su résister à ses inhibitions et n’avait jamais eu aucune envie de changer sa conduite.
Mais James avait également ses bons côtés. Il savait se montrer généreux envers ses collaborateurs et avait défendu énergiquement les musiciens de couleur de son orchestre lorsqu’ils avaient souffert de discrimination raciale. Par exemple, pendant qu’Artie Shaw demandait à Billie Holiday d’utiliser l’ascenseur de service pour éviter de côtoyer les clients blancs, James avait demandé à ses musiciens de faire leurs valises lorsqu’on avait interdit aux membres de couleur de son orchestre d’avoir une chambre d’hôtel.
Mais même si James savait faire preuve d’empathie à l’occasion, il n’avait jamais été très proche de ses musiciens. Un de ses batteurs avait commenté: "Harry never got close to people. I don't think anybody really liked him." La première épouse de James, Louise Tobin, l’avait même qualifié d’être inhumain, froid et complètement indifférent au sort de ses propres enfants. Particulièrement immature, James n’avait jamais pu contrôler ses impulsions et ne se sentait à l’aise que lorsqu’il jouait de la trompette. La chanteuse Helen Forrest avait commenté: ‘’He was at peace and he knew he was loved, when he was playing the trumpet.... He knew nobody could hurt him." Une autre chanteuse, Marion Morgan, croyait pour sa part que James donnait tout ce qu’il avait quand il jouait de la trompette. Elle avait ajouté: ‘’There just wasn't much left." Finalement, malgré tous ses succès, James avait eu une existence plutôt triste. Son biographe Peter Levinson croyait même que James ne connaissait même pas la signification du mot amour.  
Grand amateur d’équitation, James était propriétaire de plusieurs chevaux de race Thoroughbred qui avaient remporté des courses dans le cadre de compétitions comme les California Breeders' Champion Stakes (1951) et les San Vicente Stakes (1954). James avait également été un des premiers investisseurs de la course d’Atlantic City. En 1958, on avait fait l’éloge des connaissances des courses de chevaux de James dans le cadre d’un épisode de la Lucy–Desi Comedy Hour intitulé "Lucy Wins A Racehorse.’’ Passionné de baseball, James recrutait les membres de son groupe à la fois pour leurs aptitudes musicales que pour leurs qualités athlétiques.
Bon vivant, James aimait également fumer, boire et parier. Même si on lui avait diagnostiqué un cancer lymphatique en 1983, James avait continué de travailler même s’il ne pouvait plus jouer de trompette en raison du mauvais état de ses dents. James a présenté son dernier concert dans le cadre d’une performance à Los Angeles avec son orchestre le 26 juin 1983. Il est mort le 5 juillet à Las Vegas à l’âge de soixante-sept ans. C’est Frank Sinatra qui avait prononcé l’éloge funèbre de James lors de ses funérailles qui avaient également été tenues à Las Vegas.
Au cours de sa carrière, Harry James avait enregistré trente albums studio, plus de 200 simples, 47 EP’s, plusieurs albums live et compilations, sans parler de ses apparitions avec d’autres musiciens. Neuf chansons de James avaient atteint la première position du Hit Parade, trente-deux s’étaient classées au Top 10, et soixante-dix avaient terminé au Top 100 des palmarès américains, tandis que sept s’étaient classées sur le palmarès R & B.
Caractérisé par une technique impeccable et par une sonorité très puissante marquée par un profond sens du swing, James avait été décrit par l’historien du jazz Gunther Schuller comme “the most technically assured and prodigiously talented white trumpet player of the late Swing Era and early postwar years, both as an improvising jazz and blues player and as a richly expressive ballad performer.” James avait eu plusieurs arrangeurs talentueux à son emploi au cours de sa carrière, dont Ralph Burns, Bob Florence, Neal Hefti, Ray Conniff, Johnny Thompson, Dave Matthews, Leroy Holmes, Thad Jones et surtout Ernie Wilkins. Wilkins et Hefti avaient d’ailleurs travaillé pour Count Basie que James admirait par-dessus tout et qu’il avait souvent tenté d’imiter. Parmi les musiciens qui avaient fait partie de l’orchestre de James, on remarquait le batteur Buddy Rich, le saxophoniste alto Willie Smith, les saxophonistes ténor Corky Corcoran et Sam Firmature, le tromboniste Ray Sims (le frère du saxophoniste Zoot Sims), le pianiste Jack Perciful, le guitariste Alan Reuss et les contrebassistes Red Kelly et Ed Mihelich.
Avec Duke Ellington, James avait été un des premiers chefs d’orchestre à exploiter pleinement le potentiel de ses chanteurs et chanteuses en créant des arrangements expressément à leur intention. En 1999, Peter Levinson avait publié une biographie de James intitulée Trumpet Blues: The Life of Harry James. Décrivant James à la fois comme "one of the most essential trumpeters and bandleaders in the history of American music’’ et comme un homme triste qui avait été très mal dirigé, Levinson écrivait:
"I first met James in the fall of 1959 when I was a young MCA talent agent. During the next twenty-four years, or until his death in July 1983,I spent considerable time with him in New York, Las Vegas, Hollywood—on the road, at personal appearances, and during recording sessions. I also wrote several magazine articles on him over the years. Through knowing him, I discovered the other side of stardom in the music business. Here was a musician who combined both extraordinary talent and dashing good looks, who could play a romantic ballad like no other trumpeter, which had enabled him to achieve enormous success; yet this was also a man who ruined his life through serious addictions to alcohol and gambling." 
L’ouvrage était basé non seulement sur les souvenirs de Levinson, mais sur environ deux cents entrevues menées auprès des collaborateurs et amis de James. Selon Levinson, qui est décédé des suites de la maladie de Lou Gehrig (sclérose latérale amyotrophique) en 2008, James aurait même servi d’inspiration au chanteur des Rolling Stones, Mick Jagger. Levinson était également l’auteur d’une biographie de Tommy Dorsey publiée en 2005.
Rarement mentionné parmi les plus grands trompettistes de l’histoire aus côtés de Louis Armstrong, Dizzy Gillespie, Miles Davis et Clifford Brown, Harry James est considéré beaucoup plus favorablement de nos jours. En 2014, Marc Myers du magazine JazzWax avait commenté:  "[James's] band of the mid-1940s was more modern than most of the majors, and in 1949 he led one of the finest bands of the year." Décrivant les disques publiés par James de 1958 à 1961, Myers avait ajouté: "The James band during this period has been eclipsed by bands led by Basie, Maynard Ferguson and Stan Kenton. While each served up its own brand of magnificence, James produced more consistently brilliant tracks than the others... virtually everything James recorded during this period was an uncompromising, swinging gem." Pour sa part, Joe Cabot, le trompettiste et futur directeur du Harry James Orchestra, avait déclaré: "Harry James was a deep, deep, deep man; he may not have been academically educated guy, but he was street educated. He was as perceptive as anybody I have ever known. His first exposure to life was to circus people. If you want to learn about life, those are the people you want to talk to." Quant au saxophoniste Arthur Rollini, un ancien membre de l’orchestre de Benny Goodman de 1937 à 1938, il avait ajouté: "Harry James was a genius. He could read all of the highly syncopated charts at sight, and he played fantastic jazz solos—different every time {...}. He was also a good conductor and a fine arranger." Penchant dans le même sens, le saxophoniste ténor Jay Corre avait déclaré que James était le meilleur musicien avec lequel il avait joué au cours de sa carrière.
Décrivant le jeu de James, l’historien du jazz Gunther Schuller écrivait dans l’ouvrage The Swing Era publié en 1991:
“James's own playing had lost none of its assurance; his solo work poured out of his horn—as it was to throughout his career—with a sense of inevitability that no other trumpeter could equal with such consistency. In a long and truly remarkable career as a trumpet player James hardly ever missed a note. He played extraordinarily well almost until the day he died, an astonishing achievement for a brass player.” Schuller avait ajouté: ''His solo work poured out of his horn with a sense of inevitability that no other trumpeter could equal with such consistency." 
 
Plusieurs trompettistes avaient exprimé leur admiration pour le jeu de James, dont Miles Davis, Clark Terry et Louis Armstrong. Terry, qui croyait que James pouvait jouer n’importe quoi, avait déclaré à son sujet: “Don’t go to sleep on Harry James. He’s a bad dude.” Quant à Lionel Hampton, il avait soutenu que James jouait tellement comme un Noir qu’on aurait cru qu’il avait été élevé parmi les gens de couleur. Hampton avait déclaré: “He had a black sound, and it was obvious he had been raised musically around black musicians. He was completely different from any other white trumpet player of his day.”
 
Après la mort de James, ses anciens collaborateurs avaient fondé le Harry James Orchestra pour lui rendre hommage. Le groupe était toujours en activité en 2018. Toujours interprétée au cinéma, la musique de James peut être entendue dans des films comme ‘’My Dog Skip’’ (2000) ainsi que dans les films de super-héros de la série Marvel ‘’Captain America: The Winter Soldier’’ (2014) et ‘’Avengers: Endgame’’ (2019). La musique de James est également en vedette dans le film de Woody Allen ’’Hannah and Her Sisters’’ (1986).
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SOURCES:
CERRA, Steven.’’Harry James: Parts 1-6 Complete.’’ Steven Cerra, 17 juillet 2021.
‘’Harry James.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Harry James.’’ Jazzstandards.com, 2023.
‘’Harry James, American musician.’’ Encyclopaedia Britannica, 2023.
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ambipolis · 11 months ago
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Lundi 18 mars 2024
Premier round de la campagne pour les élections européennes 
C’est le président de la République qui est venu au Salon de l’agriculture pour inaugurer... le lancement de la campagne pour les élections Européennes et son « cirque médiatique » dénoncé par le Premier ministre Gabriel Attal. 
Il n’a pas attendu la désignation et les premières prises de parole balbutiante de Valérie Hayer, tête de liste de la majorité présidentielle, pour fixer la feuille de route : accuser le RN de tous les maux en le faisant passer selon l’expression de Luc Ferry pour ce qu’il n’est pas et non pour ce qu’il est ; à savoir le complice de Poutine et favorable au Frexit. Un moyen détourné d’éviter de défendre le bilan et de la commission de l’Union européenne.
Acte 2 de la campagne de désinformation : le meeting du RN le dimanche 3 mars à Marseille. Jordan Bardella a accusé Emmanuel Macron d’être « le grand effaceur » parce qu’il aurait effacé la France en Europe. Pas totalement faux, mais un peu exagéré, comme de prétendre que l’Europe attend le RN et va revivre grâce au RN. Propos d’estrade : avec le RN au pouvoir la France protégera ses frontières et la naïveté sera terminée !
On attendait donc après ce jeu de dupes à deux l’acte 3 avec le premier meeting de Valérie Hayer le samedi 9 et surtout le meeting de Marion Maréchal et Eric Zemour le dimanche 10. Rien de particulier pour le meeting du 9 dans le droit fil de la feuille de route du président si ce n’est que Valérie Hayer a affirmé, et donc reconnu, qu’elle faisait partie de la coalition pro-Ursula von der Leyen !
En revanche le meeting de Reconquête au Dôme de Paris - Palais des Sports a permis  à Marion Maréchal, Guillaume Peltier, Nicolas Bay et Eric Zemmour de rappeler que ce n’est pas le PPE duquel font partie les Républicains, la majorité présidentielle, les socialistes et les verts qui permettra un changement de politique sans Ursula von der Leyen, ni la formation à laquelle est rattachée le RN si elle ne s’allie pas avec la formation qui regroupe déjà le parti de Giorgia Meloni, les partis polonais et hongrois, le parti VOX espagnol rejoints par les députés européens de la liste Reconquête ; encore faut-il que la liste Reconquête conduite par Marion Maréchal  dépasse la barre des 5%.
Marion Maréchal y croit en dévoilant le slogan  Marion ! La France fière, en commençant son discours avec un autre slogan Touche pas à ma fille, puis en continuant avec un troisième Ni soumission, ni conversion, en rappelant le slogan d’une association subventionnée par l’Union européenne « La joie est dans le dans le djihad », en finissant par un appel à Marine et Jordan adversaires complémentaires, mais pas ennemis.
Eric Zemmour avait auparavant préparé le terrain en déclarant aux sympathisants LR et RN : « On vous aime. » Son slogan « Ne les laissons pas remplacer l'Europe. Ne les laissons pas assassiner Mozart. » Il a développé les raisons de voter pour la liste conduite par Marion Maréchal.
Il faut lire et relire l’interview d’Eric Zemmour dans le JDD du dimanche 10 avec deux phrases-choc : « Macron ne veut pas faire peur à Poutine, mais aux Français… Macron-Le Pen, c’est le contraire d’un duel : c’est un duo. »
Le président Emmanuel Macron et le Premier ministre Gabriel Attal, à défaut de Valérie Hayer, vont-ils comprendre que la progression des intentions de vote en faveur de Reconquête est le seul moyen de faire baisser significativement le score du RN et qu’ils feraient mieux de s’attaquer aux listes de la Nupes en faveur d’une Europe islamo-gauchiste qui recherche les voix de pro-Hamas.
Ce sont comme toujours les Français qui trancheront.
François BAUDILLON *
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screenwritinggym · 1 year ago
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Chill Sentenza - Parodie de la menteuse Mélissa Theuriau la pouffiasse!!
Rends moi un service et passe le bonjour aux équipes de Konbini, tu dois leur dire que j'ai vu leur vidéo qu'ils ont posté il y'a 3heures de ça, it was 3 hours ago, ils se moquent de Mélissa Theuriau la menteuse, elle voulait faire un Me Too rempli de mensonges. Tu vas rigoler, c'est trop marrant, les équipes de Konbini lisent mon blog car les Meufia leur fournissent des infos en scred, discret quoi et ils ont vu que j'ai traité Mélissa Theuriau de menteuse alors ils ont décidé de parodier la menteuse, elle dit: "Qu'est-ce qu'on doit faire pour que vous nous croyez?"
Et moi je réponds: "Espèce de sale bouffone!! Il faut d'abord que je t'ouvre la porte, si je n'ouvre jamais la porte, tu ne pourras jamais réussir à comploter contre moi, pouffiasse!!"
Je remercie KONBINI team pour leur parodie, ça été posté y'a même pas 3 heures de ça, c'est trop marrant.
Voici le lien de la video, click sur le lien: https://www.youtube.com/watch?v=PG9KK2LxDmA
Voici la page wiki de Konbini: https://fr.wikipedia.org/wiki/Konbini_(site_web)
Fuck off!! Mélissa, you ain't shit anyway!! Dumb broads will always lose.
P.S.:
J'ai insulté Bill Gates hier soir, j'ai insulté le clown et devine comment il m'a repondu? Avec un article sur CNN, le pouvoir de Bill Gates, en es-tu témoin?
Voici un article posté aujourd'hui le 18 janvier sur CNN, click sur lien: https://edition.cnn.com/2024/01/18/us/nicholas-rossi-utah-arthur-knight-cec/index.html
Voici la page wiki de Nicholas Rossi, click sur le lien: https://en.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Alahverdian
Je t'encourage à lire le wiki de Nicholas car ils l'ont accusé d'être un homme qui a des problèmes mentaux, qu'il est un violeur etc.. C'est comme ça qu'ils humilient les hommes qui refuse de leur obéir. Ils détruisent leur réputation et leur carrière, mais moi je suis un guerrier, ils ne peuvent pas me toucher, j'ai une armée redoutable qui va leur tomber du ciel, je suis intouchable et je n'ai pas peur d'eux.
Alien Putin n'a pas peur, il a une arme nucléaire et je n'hésiterai pas à appuyer sur le bouton, la fin de votre cirque.
Tu vois bien qu'ils veulent me faire passer pour un violeur mais je ne suis jamais sorti de ma maison, donc leur mensonge est flagrant et c'est une défaite humiliante et inévitable pour les menteuses comme Mélissa Theuriau et Meufia, bande de pouffiasses.
Jean Dujardin rigole car c'est trop marrant, c'est vraiment un cirque:
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philippebresson · 1 year ago
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Monsieur Depardieu
J'ai visionné la récente émission qui vous a été consacrée. Évidemment je n'émettrai aucun jugement définitif sur la base de ce reportage à charge essentiellement constitué de séquences volées. Pourtant, je vous y ai par moments trouvé très con et je dis ça parce que je vous aime bien, mais ceux qui vous ont dans le collimateur vont sans doute s'en donner à cœur joie pour vous fustiger allègrement.
Vos saillies verbales graveleuses (en Corée du Nord !) m'ont rappelé celles de Gainsbourg époque Gainsbarre qui, ado, alors que je l'admirais beaucoup par ailleurs, me mettaient terriblement mal à l'aise. Comme un aveu d'impuissance aux accents pathétiques.
Un point commun entre lui et vous outre la provocation : la poésie (il n'y a qu'à lire vos écrits pour s'en rendre compte, ou vous écouter parler en interview). Pas celle qui fait rimer hirondelle avec bleu du ciel, non ; plutôt celle, âpre, rugueuse, mal léchée, qui éructe ses mots en rappelant à qui veut/peut l'entendre que "ce qui est beau est moral, voilà tout et rien de plus. La poésie, comme le soleil, met de l'or sur le fumier. Tant pis pour ceux qui ne le voient pas." (Flaubert)
Bien-sûr, si vous avez abusé de votre pouvoir pour contraindre des victimes non consentantes, il faut qu'elles portent plainte et... dura lex, sed lex. Mais en attendant que la justice, si les faits sont avérés, vous soumette à sa loi, je voudrais formuler un vœu pieux à l'approche des fêtes de Noël : arrêtez votre cirque et continuez de nous émouvoir comme vous le fîtes par exemple au Cirque d'hiver en chantant Barbara. Merci.
"Je ne cherche pas à être un Saint. Je préfère être ce que je suis. Un innocent. Quelqu'un à qui les choses arrivent, qui laisse les choses lui arriver sans aucune préméditation. Quelqu'un qui traverse la beauté des choses et qui est traversé par la beauté des choses. Je suis quelqu'un qui se fie à la vie, aux autres, je ne suis pas quelqu'un qui se méfie. C'est là, en général, où tu te fais ratatiner la gueule mais ça ne fait rien. L'innocent, il est comme le chien errant, il sent les gens, il s'approche toujours, et s'il prend un coup de pied, c'est pas grave, il se barre, il va voir plus loin." (G. Depardieu)
Philippe Bresson
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louisstephaneulysse · 2 years ago
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Pas d’épitaphe, pas de mégot de cigarette, qu’il avait toujours au bec, ni de têtes de chou qui ornent la tombe de son ami Serge Gainsbourg, à Montparnasse. Au fin fond du parc de trois hectares de l’abbaye de Bois-Aubry, à Luzé, seulement une pierre tombale blanche de laquelle il faut se rapprocher, après avoir soulevé quelques branches, pour lire les lettres et chiffres qui y sont gravés. La sépulture de Yul Brynner se veut aussi simple et austère que la carrière de cet homme aux mille vies a été riche. Star d’Hollywood, du cirque d’hiver et des nuits parisiennes Un contraste qui ne fait que nourrir un peu plus la légende du chauve le plus célèbre d’Hollywood, que l’on peut nommer aujourd’hui le défunt le plus connu d’Indre-et-Loire. Star du septième art - pour ses succès dans Le Roi et moi ou Les Sept mercenaires -, officiellement nommée roi des Tsiganes avec qui il fut guitariste dans les boîtes de nuit parisiennes, trapéziste puis clown au cirque d’hiver, oiseau de nuit tombé dans l’opium qui le fera rencontrer Cocteau et intégrer son cercle en devenant dealer… Yul Brynner est depuis une trentaine d’années rattaché à l’histoire du village de Luzé, dans le Richelais, et de son abbaye.
À Luzé, la légende de Yul Brynner continue à prendre vie à l'abbaye de Bois-Aubry
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malamilkbeats · 2 days ago
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Concavex's dad, Cirque Lire, Composer and Inkshifter.
Alignment: Lawful Neutral to Evil
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His rise to nobility was far from traditional—he owes his position to the abilities of his daughter. His appointment was part of a strategy to use Concavex as a noblesse de robe, entering the service nobility.
**MORE ABOUT CIRQUE LIRE:**
[Father-Daughter Dynamic]
Cirque’s expectations have shaped Concavex’s entire life. From a young age of 3, she was forced to attend long hours of practice, not just in music and courtly manners, but also in mental discipline. Her father would constantly push her to be the best, berate her when she made mistakes, and praises came rarely. There was no room for failure in his eyes.
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(Concavex Circlette art drawn by @raisa-drawz )
Cirque’s resentment toward Concavex is rooted in the fact that she is the one who enabled his rise. His ambition, though vast, is also deeply tied to his insecurity about his own abilities, although unquie on their own. He might have been a gifted composer and inkshifter, but it was Concavex’s telepathy that earned him his noble title. Though he would never admit it to her, Cirque often feels as though he owes his success to her, and that bitterness fuels his controlling behavior.
The relationship between father and daughter is one of duty rather than love. While Cirque may claim that his strictness is for her own good, Concavex sees through his guise. Prehaps, he was afraid of his own daughter. The deeper she grows into her telepathic abilities, the more she begins to understand her father’s inner turmoil, but she doesn’t know how to confront him without even more pressure. She loves him in her own way, but she cannot help feeling that her identity is being subsumed by his vision of what she should be and his fears.
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christophe76460 · 2 years ago
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Je continue.
Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas. Puis il les fit sortir et leur demanda : — Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? (Actes 16:29-30).
Ce geôlier avait sans doute entendu le message de la Bonne Nouvelle en Jésus-Christ, et maintenant, avec tous les événements qui venaient de se passer, il était terrifié. Alors, son cœur s’est considérablement ramolli et il reconnaît en Paul et Silas des messagers du Dieu très-haut.
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Je continue.
— Crois au Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, et tu seras sauvé, toi et les tiens. Et ils lui annoncèrent la Parole de Dieu, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa maison. À l’heure même, en pleine nuit, le gardien les prit avec lui et lava leurs blessures. Il fut baptisé aussitôt après, lui et tous les siens. Puis il fit monter Paul et Silas dans sa maison, leur offrit un repas, et se réjouit, avec toute sa famille, d’avoir cru en Dieu (Actes 16:31-34).
À cause des événements chargés d’émotions fortes qu’ils avaient vécus, tous les gens de cette maisonnée étaient bien disposés vis-à-vis de la personne de Jésus-Christ. Néanmoins, il était nécessaire de leur préciser exactement en quoi consiste la Bonne Nouvelle. Comme Paul et Silas étaient couverts de blessures, de sang, et de poussière, le geôlier maintenant animé d’un esprit de miséricorde panse leurs plaies. Les apôtres ont d’abord annoncé le salut en Jésus-Christ, et ensuite seulement se sont fait soigner. Comme je me connais, je crois bien que j’aurais fait l’inverse. J’aurais d’abord voulu que mon sang s’arrête de couler avant d’en venir aux réalités spirituelles. Mais Paul et Silas ne vivaient que pour Jésus-Christ ; leur vie n’avait de valeur que dans la mesure où elle leur permettait d’accomplir leur mission. J’en suis abasourdi.
Il y avait dans la cour de la prison un réservoir dans lequel se déversaient les eaux de pluie et qui servait à tous les usages domestiques. C’est également là que le gardien et les membres de sa famille furent baptisés. D’après le texte, il semble que les adultes ont accepté le message de la Bonne Nouvelle que leur apportaient les apôtres. On ne sait rien concernant les enfants, car à cette époque ils ne comptaient pas et on ne les mentionnait pas, parce que contrairement à notre point de vue d’aujourd’hui, ils n’étaient pas considérés comme des personnes à part entière.
Après le baptême, ils ont tous fait la fête dans la maison du geôlier qui était attenante à la prison. Dieu est vraiment à l’œuvre avec puissance par l’intermédiaire de Paul et Silas. Que ce soit sur un lieu de prière ou dans une prison, et ce, malgré l’hostilité persistante, la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ fait son chemin dans beaucoup de cœurs.
L’intolérance en matière religieuse est une plaie qui a affecté et infecté la plupart des sociétés de tous les temps. L’Inquisition du Moyen-Âge et les jeux du cirque dans lesquels les lions déchiraient les chrétiens sont parmi les plus connues. C’est une chose que de lire ces fâcheux événements dans les livres d’histoire et c’en est une autre que d’être soi-même une victime. Des persécutions guettaient continuellement l’apôtre Paul et Silas, son compagnon de ministère. Ils viennent justement de goûter le confort des geôles romaines après avoir été fouettés. Mais Dieu est intervenu en leur faveur et le geôlier ainsi que sa maisonnée ont accepté la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ.
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joannanikku · 2 years ago
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à 17 ans, lorsque j'étais en pleine période de deuil après avoir perdu un être cher, j'ai écrit une petite histoire qui m'a permis d'évacuer ma tristesse.
disponible sur le site thebookedition.com au format papier, je vous invite à lire la triste histoire de Domino, un petit clown en bois forcé de travailler dans un grand cirque, dont il est la vedette, la bête de foire.
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freelance-informatique · 2 years ago
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Romain Molina s'embrouille avec Daniel Riolo sur Twitter
Le monde des médias et de l'édition est actuellement en ébullition suite à un échange de messages Twitter entre Romain Molina et Daniel Riolo. Les deux hommes s'accusent mutuellement de mensonges et de calomnies dans le cadre de leur travail respectif, mais les choses ont pris une tournure particulièrement acrimonieuse ces derniers jours. Romain Molina VS Daniel Riolo : un clash sur Twitter Le conflit a commencé lorsque Romain Molina a accusé Daniel Riolo d'avoir menti dans son dernier livre, mais de ne pas lui avoir donné le droit de réponse ou de débat. Cette accusation a été immédiatement réfutée par Riolo, qui a déclaré qu'ils se verraient devant les tribunaux pour que la vérité éclate enfin. Les choses ont ensuite pris une tournure encore plus sombre lorsque Romain Molina a nié avoir parlé avec une personne nommée Cesar, malgré les allégations de Daniel Riolo selon lesquelles il avait des preuves de cette conversation. Molina a affirmé que les autorités policières savaient qu'il n'avait jamais parlé à cette personne, et qu'il n'y avait aucune preuve pour étayer les affirmations de Riolo. Lire aussi :  - Julien Cazarre : voici le portrait du meilleur humoriste du football ! Romain Molina et Daniel Riolo : Qui dit vrai ? C'est à ce moment-là que Daniel Riolo a révélé qu'il avait des preuves tangibles de la conversation en question, et qu'il les présenterait devant les tribunaux pour prouver que Molina avait menti. Il a également ajouté qu'une fois que Molina aurait le rapport et les écoutes en sa possession, il devrait arrêter son "cirque" et reconnaître la vérité. Cela a provoqué une réponse enflammée de Romain Molina, qui a demandé si Daniel Riolo faisait référence au rapport et aux écoutes que Hamraoui lui avait donné suite à un rendez-vous organisé par Teddy Pessot. Il a réaffirmé qu'il n'avait jamais parlé à Cesar, et a même offert une somme de 10 millions d'euros si Riolo pouvait prouver le contraire. Lire également :  - Affaire Le Graët : L'ancien de la FFF risque des poursuites pénales. Daniel Riolo menace Romain Molina de procès Daniel Riolo a averti Romain Molina que s'il envisageait de porter plainte, il devrait s'attendre à engager des frais importants pour se défendre contre les accusations portées par les avocats d'Hamraoui et Ollé-Nicolle. Riolo a souligné que les actions de Molina ont eu un impact significatif sur la vie de ces personnes en les discréditant publiquement et en perturbant leur quotidien. https://twitter.com/lnstantFoot/status/1639430903628742657 Le conflit entre Romain Molina et Daniel Riolo est donc loin d'être terminé, et il semble que les tribunaux devront trancher la question de savoir qui dit vrai. En attendant, il est clair que les deux hommes ont des opinions très fortes sur l'autre, et que leur relation professionnelle ne sera pas facile à réparer. Nous suivrons cette affaire de près pour vous tenir informé de tous les développements à venir. _____ Retrouvez toutes l'actualité foot sur notre site web ou sur notre page Twitter. Read the full article
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franckdoutrery · 2 years ago
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Chronique du cirque forain
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Cette chronique voulant comme toujours joindre l’utile à l’agréable, je chanterai cette fois le cirque. J’entends l’ancien et le nouveau, l’antique et le moderne. Notons d’abord qu’il remonte aux temps les plus reculés. Déjà Marcellin l’Hésychaste en parle d’abondance dans ses sublimes Panégyriques. Et Tacite accuse Néron d’y avoir livré aux fauves les premiers chrétiens. À lire l’historien romain, on dirait que les lions d’Afrique y avaient droit comme ration quotidienne. Tantôt on leur servait du catéchumène en robe des champs, tantôt du prosélyte attendri. Parfois même de la vierge consacrée (comme dessert). Mais le cirque fut aussi l’enceinte où s’affrontaient les gladiateurs. Dans son roman Quo Vadis ?, Sienkiewicz rapporte comment, avant d’engager leurs cruels combats singuliers, ils s’adressaient à l’empereur en criant : « Ceux qui vont mourir te saluent ! » Ce qui était un peu exagéré, avouons-le, car sur les deux, un seul devait mordre la poussière. En tout cas, le plus fort (ou le plus rusé) avait la vie sauve, même s’il en sortait souvent avec un œil au beurre noir, voire amputé d’un nez, d’une oreille ou d’un bras. Preuve que les jeux du cirque n’étaient pas bons pour la santé. Et qu’en général les gladiateurs ne faisaient pas de vieux os.
Tout cela a changé avec l’avènement du cirque moderne. Au lieu de faire couler le sang, on en a fait un spectacle bon enfant débordant d’éclats de rires, de surprises, d’ébahissements même. De peurs aussi, car un accroc est si vite arrivé. On ne sait jamais si l’escamoteur, qui a caché sa femme dans une malle et s’apprête à la scier en deux, ne ratera pas son coup. Et quand, après moult voltiges, l’acrobate se lance dans un salto mortale, on retient son souffle de crainte que, pour une fois, le saut ne soit vraiment mortel. De même, quand le dompteur plonge sa tête jusqu’au cou dans la gueule du tigre de Sibérie, est-on sûr que la bête affamée n’a pas oublié sa leçon ? On voit par là que l’homme tient à se faire peur, à condition de n’avoir rien à craindre, comme il adore également lire des récits d’expéditions polaires, à condition d’être bien assis dans son fauteuil bergère au coin du feu. 
Je chanterai donc les louanges du cirque. Car qu’y a-t-il de plus exaltant ou de plus dépaysant ? Vous me répondrez : deux cirques ! Et vous aurez mille fois raison. Parce qu’il y a Bouglione et Pinder. Si on avait été Monsieur Larousse, on aurait inséré leur profil jumelé dans son dictionnaire. Comme il l’a fait pour les frères Lumière. Ou pour Marx et Engels. Quoi qu’il en soit, il n’existe aujourd’hui rien de plus flatteur que le cirque. Car ce qu’on voit et entend sous le chapiteau, c’est un concentré des hauteurs auxquelles peut aspirer l’homme. Dans le sérieux ou l’austère comme dans le rigolo, le ridicule ou le cocasse. Il n’y a qu’à regarder et écouter les clowns. Que ce soit le blanc ou l’Auguste, ce sont des hommes dilatés, sinon éclatés. Sous les dehors de bouffons ou de pitres, il nous tendent le miroir de ce que nous sommes au tréfonds, sans jamais oser l’avouer : des gugusses, des guignols, des histrions, voire des hominidés à peine sortis des cavernes.
Mais il n’y a pas que les clowns. Il y a aussi les danseurs de corde, les équilibristes, les jongleurs, les fildeféristes, les prestidigitateurs, les mimes et les magiciens, sans parler du manège avec ses fauves si dociles ou si savants. Et tout cela au rythme des flonflons d’un orchestre vibrant, qui accompagne les numéros et agrémente les intervalles. Quand les acrobates montent tout en haut du chapiteau et se lancent à travers l’espace, accrochés à leurs trapèzes, en y traçant de sublimes paraboles, les trompettes et trombones soulignent leurs arabesques de pianos et de fortes assortis. À voir virevolter ainsi ces gymnastes, ne dirait-on pas des hommes-oiseaux, qui se souviennent de la forêt vierge, où ils se balançaient jadis de liane en liane (comme Jeanne, la « tarzane » d’Annie Cordy) ? Or tout à coup, l’orchestre fait taire les cuivres, ne laissant plus sonner qu’un roulement de tambours. C’est que, pour l’acrobate là-haut, le danger est à son comble. Pour éviter de lâcher prise, il s’est bien sûr enduit les mains d’une poudre blanche à base de magnésium, mais on ne sait jamais. D’autant que cette fois-ci, il prépare plus qu’un numéro de voltige. Ce sera le saut périlleux. Et sans filet ! 
Résumons-nous, je louangerai le cirque. Je l’applaudirai, je l’encenserai, je lui consacrerai des versets dithyrambiques. Et on n’a encore rien dit des éléphants si considérables, qui montent sur un trépied minuscule, des chevaux savants qui comptent jusqu’à cent, des jongleurs qui lancent en l’air vingt assiettes sans en casser une, des équilibristes qui font un tour de piste sur un vélo à roues ovales, des prestidigitateurs qui tirent de leur chapeau un lâcher de pigeons qui comblerait d’aise un colombophile du Nord. En somme, comme le disait un sage, le cirque est un endroit où les chevaux, les otaries et les éléphants sont autorisés à venir voir les humains s’amuser comme des fous.
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librairiemelodieensoussol · 2 years ago
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Ray Manzarek ~ le poète en exil Roman grand format Edition aux forges de vulcain 2021 Etat correct car il a pris l'humidité donc un petit peu gondolé mais pas du tout abîmé Raymond Daniel Manczarek Jr., dit Ray Manzarek, né le 12 février 1939 à Chicago aux États-Unis et mort le 20 mai 2013 à Rosenheim en Allemagne, est un musicien américain, cofondateur et claviériste et chanteur du groupe The Doors. Bien des années après, il reçoit de l'autre bout du monde une carte postale énigmatique, qui fait renaître en lui l'espoir. Est-ce que cette disparition n'était qu'un subterfuge pour fuir le cirque médiatique ? Roy prend un billet d'avion pour rejoindre ce mystérieux expéditeur et mener l'enquête. Ray Manzarek, dans ce court roman émouvant, donne à lire un éloge émouvant du rock, d'une de ses étoiles éteintes trop tôt, et de l'amitié, au-delà de la mort. #librairiemelodieensoussol  #melodieensoussol #oiseaumortvintage #libraire #librairie #librairiemarseille #librairieparis #librairieindependante #librairieenligne #librairiedoccasion #livresdoccasion #bookstagram #booklover #thedoors #raymanzarek #auxforgesdevulcain #jimmorrison https://www.instagram.com/p/CpkYUjyM0mX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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silkepan · 5 years ago
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(Text in English below 🇬🇧) Pour ceux qui voudraient un peu de lecture je partage ici le lien du dernier article de mon blog 📄 https://blogs.illustre.ch/silke-pan/2020/06/03/tel-un-phenix-qui-renait-de-ses-cendres-definition-en-bas-darticle/ Retour sur ces deux mois de confinement, une période difficile pour notre société mais qui a été pour moi synonyme d'une renaissance 🌅 Cela me démontre une fois de plus que la vie et plus forte que la tristesse et qu'il ne faut jamais se déclarer vaincu 💪 Je l'ai expérimenté si souvent, dans des situations je me sentais perdue, où tout était noir autour de moi, je continuais à porter mon regard vers le haut, vers les sommets et le soleil 🗻 Et c'est ainsi, plus d'une fois, que des portes inattendues se sont ouvertes et mon permis de retrouver le chemin vers le bonheur ☀️ 📷 Merci à @anthonydemierre pour les photos ! ------------------- For those who understand French, I would like to share the last article of my blog ➡️ blogs.illustre.ch/silke-pan I look back over the events of these two months of quarantine, a difficult period for our society, which for me became an astonishing story of survival and renewal 🌅 This shows me once again that life is stronger than sadness and that we never should declare ourselves defeated 💪 I experienced it so often, in situations where I felt lost, where everything was dark around me, I kept looking upwards, towards the peaks and the sun 🗻 And, more than once, unexpected doors opened and took me back to happiness ☀️ #lire #lecture #blogger #blog #penseepositive #developpementpersonnel #nevergiveup #motivation #love #life #believe #inspiration #success #goals #mindset #lifestyle #cirque #handbike #acrobatics https://www.instagram.com/p/CCQxYM9Jyol/?igshid=63x3i5abd3oe
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