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#Chacun Sa Vie Lelouch
aucafedesloisirs · 8 years
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Chacun Sa Vie: Une pléiade d'acteurs pour un torrent d'émotions!
Chacun Sa Vie: Une pléiade d’acteurs pour un torrent d’émotions!
Date de sortie: 15 mars 2017De Claude LelouchAvec: Éric Dupond-Moretti, Johnny Hallyday, Nadia Farès..Genre: ComédieDurée: 1h 53min Synopsis:  Ils ne se connaissent pas, mais tous ont rendez-vous pour décider du sort d’un de leurs semblables. Avant d’être juges, avocats ou jurés, ils sont d’abord des femmes et des hommes au tournant de leurs existences, avec leurs rêves et leurs secrets, leurs…
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snap221me · 4 years
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Éric Dupond-Moretti : dans quels films a joué le ministre de la Justice ? Dimanche, France 2 propose un film choral de Claude Lelouch "Chacun sa vie". Aux côtés de Jean Dujardin, Nadia Farès, Johnny Hallyday, Julie Ferrier ou encore Gérard Darmon, on retrouve Éric Dupond-Moretti.
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lookatthescreen · 4 years
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Chronique #7 -  La ville de l’Amour, à la hauteur de sa réputation ? (Thème du mois d’avril - Paris fait son cinéma)
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“A Paris, les gens font l’amour, pas forcément mieux, mais certainement plus souvent. Ils le font n’importe quand, n’importe où, sur la rive gauche, la rive droite et même entre les deux” dit Maurice CHEVALIER dans Ariane, de Billy WILDER (1957). Paris serait-elle donc le symbole d’un idéal romantique, notamment au cinéma ?
love in the afternoon (Extrait de 1’08 à 3’06)
Pourquoi Paris ? Car Paris est la ville des écrivains romantiques du 19e siècle, elle est la ville que l’on associe à l’Art, au luxe, au raffinement.  Paris possède le Musée de la Vie romantique, le Pont des Arts et ses cadenas, le mur des Je t’aime de Montmartre… Tous ses éléments (factuels ou non) font de Paris une ville romantique dans l’inconscient collectif. Or, le cinéma joue beaucoup sur le référentiel commun (une image est associée à la même chose pour tout le monde). Ce référentiel commun permet de donner lieu à des récurrences, que l’on appelle clichés (qui enrichissent eux-mêmes le référentiel commun). Ainsi, pour le monde entier, l’amour, c’est à Paris.Paris, c’est tout d’abord la ville des rencontres amoureuses. Les étrangers viennent à Paris et y tombent amoureux, comme si c’était une évidence.
Dans Un Américain à Paris (Vincente MINNELLI, 1951) Gene KELLY, américain expatrié, rencontre Leslie CARON, danseuse française.
C’est à Paris que Rick et Ilsa (Humphrey BOGART et Ingrid BERGMAN) vivent leur amour avant de se retrouver au Maroc dans Casablanca (Michael CURTIZ, 1942).
Pourquoi ces parties d’histoire se déroulent-elles à Paris, alors qu’elles pourraient se dérouler ailleurs ? Parce que cela donne de la force à l’amour des personnages, cela rend leur histoire encore plus irréelles.
Dans Minuit à Paris de Woody ALLEN, c’est grâce à la magie parisienne que Gil rencontre la femme qui lui correspond. Pour Woody Allen, Paris est plus qu’un prétexte à l’amour. « Ma lettre d’amour à Paris », c’est ainsi que Woody ALLEN a pensé son film. Et il y a réuni tout ce qui rendait la ville si unique : l’amour et la fantaisie, la culture et les femmes, la décontraction et le passé chargé d’Histoire.
Dans Les Enfants du paradis (Marcel CARNÉ, 1945), Paris est véritable personnage, qui sert et dessert les amours de Garance et Baptiste. Tout d’abord vers le début du film, Garance fait la rencontre de Frédéric sur le Boulevard du Crime (Grands Boulevards) où il tente de la séduire, Garance moqueuse, lui rétorque qu’ils se reverront bientôt car “Paris est tout petit, pour les gens qui s’aiment comme nous d’un aussi grand amour.” Plus tard dans le film, lorsque Baptiste et Garance s’avouent enfin leur amour, ils se trouvent dans les rues pavées de Montmartre, à leur pied la ville illuminée dort. Mais c’est aussi la foule parisienne qui les séparera, alors que Garance quitte Baptiste, ce dernier essaye de se frôler un chemin parmi les festivités du Carnaval sur le Boulevard du Crime, pour rattraper sa bien-aimée. Mais Garance disparaît dans une calèche…
Les Enfants du Paradis - Extrait 1
Parfois, c’est la ville en elle-même qui est la raison de la rencontre amoureuse. C’est le cas dans Paris au mois d’août, où Charles AZNAVOUR aide Susan HAMPSHIRE à se repérer dans la ville. Si parfois Paris est vecteur de rencontres, c’est aussi une ville les personnages se rendent compte de leur amour, se l’avouent, le remettent en cause ou le vivent tout simplement pour la première fois…Dans Drôle de frimousse, les personnages se rendent à Paris pour des raisons professionnelles. C’est à Paris que les deux héros, new-yorkais, tombent amoureux. Le film, qui s’affirme comme comédie musicale romantique, nous présente donc Paris, ce lieu, si important pour l’histoire . En effet, dès leur arrivée à Paris, les personnages prétextent la fatigue pour rentrer au plus vite à leur hôtel mais ce n’est que pour mieux partir chacun de leur côté découvrir la Ville Lumière qui les impressionne tant. Ils entament alors l’un des morceaux de comédie musicale les plus connus : “Bonjour, Paris”.  En chantant leur enthousiasme pour la ville, des Champs Elysées à l’Opéra Garnier, en passant par Montmartre et bien sûr la Dame de Fer, les trois protagonistes sillonnent Paris… et nous présente le cadre de leur amour !
Funny Face (1957) - "Bonjour Paris" Song - Audrey Hepburn & Fred Astaire (4 of 10)
Dans le comédie française, Populaire de Régis ROINSARD, Rose et Louis, se plaisent, le spectateur le sait mais pas eux… c’est alors qu’ils viennent à Paris pour un concours dactylographique auquel doit participer Rose, que les deux protagonistes passent leur première nuit ensemble...  eux aussi Paris les aura eu !
Paris peut être aussi la ville de la seconde chance. En effet dans 2 jours à Paris, un couple revient de vacances à Venise, elle est française, il est américain… pendant ces deux jours, toute leur relation va être remise en question suite à des retrouvailles, des rencontres et à l’ambiance parisienne plus qu’étrange aux yeux de cet américain désopilant. Mais malgré tout cela, l’amour de Jack et Marion se révèle plus fort que tout et ces deux jours dans la ville de l’Amour n’aura fait que le renforcer !
Ou encore dans Before Sunset, Céline et Jesse se retrouvent 9 ans après avoir vécu une brève aventure à Vienne… En quelques heures, ils sillonnent les rues de Paris, en refaisant le monde, se racontant leur vie et retrouvant leur amour enfoui mais toujours là.
Paris, c’est aussi des lieux emblématiques du romantisme, qui en deviennent clichés mais qui parlent au spectateur puisque ces lieux font partie de ce référentiel commun. Les personnages passent par ces lieux, on les reconnaît et avant même que le baiser n’arrive, on sait qu’il va avoir lieu.
Les bords de Seine en sont un bon exemple. En plus de faire partie des lieux reconnaissables de Paris, car étant un lieu de rendez-vous des touristes, l’eau à son importance. Déjà dans la littérature romantique, le cadre bucolique, naturel est privilégié. LAMARTINE se torture, le coeur brisé, près du Lac du Bourget. Ces mêmes schémas se sont développés au cinéma (n’est ce pas dans la campagne française, au bord de l’eau qu’Audrey HEPBURN et Fred ASTAIRE se déclarent leur amour et se retrouvent pour le sceller ?).
Dans Un Américain à Paris, Gene Kelly chante “Our love is here to stay” à Leslie CARON, après avoir flirté avec elle. C’est sur les bords de Seine qu’il lui déclare son amour.
Gene Kelly & Leslie Caron - "Our Love is Here to Stay" - 'An American in Paris' (1951)
Il en va de même pour Minuit à Paris de Woody ALLEN. Où se trouve Owen WILSON, quand il invite Léa SEYDOUX à boire un verre ? Sur un pont, au bord de la Seine. Une fois encore, l’eau et donc à Paris, les bords de scène sont le lieu de la concrétisation amoureuse.
Pour reprendre l’exemple de Paris au mois d’août, les deux personnages flânant dans les rues parisiennes, arrivent aux bords de Seine et c’est alors que la jeune anglaise avoue son rêve  de se baigner dans “l’eau de Paris” et elle essaye de convaincre son partenaire, sans grand succès, heureusement pour elle… C’est alors un exemple de la fascination de l’étranger pour tout ce qui rattache à Paris.
Dans Bastille, court-métrage d’Isabel COIXET, inclut dans Paris, je t’aime, Sergio veut annoncer à sa femme qu’il la quitte pour sa jeune maîtresse. L’intrigue est racontée en voix off, avec des images illustrant les propos. La séquence qui montre Sergio avec sa maîtresse se situe au bord de la Seine, dans le 12e arrondissement de Paris. L’eau et la passion font donc bon ménage.
Les lieux romantiques de Paris, se sont aussi ses monuments historiques. Premièrement les faire apparaître dans les films permet au spectateur de reconnaître immédiatement la ville. Mais certains de ces monuments ont aussi une symbolique profondément romantique. Prenons en exemple Notre Dame de Paris. Ce lieu religieux gagne son statut romantique avec Victor HUGO et son roman du même nom. Cela s’étend au cinéma avec les adaptations dudit roman.
Qui ne se souvient pas de Gina LOLLOBRIGIDA en Esmeralda, dansant langoureusement sur le parvis de la Cathédrale, sous l’oeil inquisiteur mais néanmoins luxurieux d’Alain CUNY en Frollo, dans la version de Jean DELANNOY en 1956 ? Même Disney, grand spécialiste des princesses et des films d’amour tout rose, s’empare de Notre-Dame de Paris.
Dans le Woody ALLEN, Tout le monde dit “I love you”, au beau milieu de la nuit, sur les quais de Seine, Joe BERLIN et Steffi DANDRIGE se retrouvent. Après un réveillon endiablé, leur ancienne histoire d’amour semble renaître, presqu’aussi intacte qu’au premier jour. À deux pas du Pont de la Tournelle et de Notre-Dame, leur danse romantique se transforme en un envol poétique inoubliable sur l’air de la chanson « I’m Through With Love ».
Everyone says I love you - I'm Thru with Love by Goldie Hawn
Son aspect romantique est tellement présent qu’on finit même par oublier que c’est un lieu de culte avant tout.
Paris incite tant à l’amour, que même les lieux les plus insolites sont le théâtre de passions amoureuses au cinéma. Un cimetière est un lieu un peu étrange pour y raconter une histoire d’amour, encore plus un voyage de fiançailles. C’est pourtant ce que fait Wes CRAVEN dans Père-Lachaise (court-métrage inclut dans Paris, je t’aime) où un couple se dispute puis se réconcilie dans le cimetière. A Paris, tout est romantique !
Pour clore cette chronique, nous parlerons du court-métrage Rendez-vous de Claude Lelouch, dans lequel à bord d’une Ferrari, il traverse Paris à une vitesse grand V, brûlant tous les feux rouges, pour retrouver son amoureuse… cela nous donne l’occasion de voir la ville se réveiller et encore une fois… pour que l’amour triomphe.
Claude Lelouch Rendezvous - Ferrari racing through the streets of Paris
Tout cela montre ainsi l’engouement et l’amour que suscite elle-même la ville grâce à ses mille facettes, aux yeux des étrangers mais aussi des Français. Le cinéma est aussi là pour faire rêver et quoi de mieux que l’Amour dans la ville du romantisme pour un combo parfait ?
Chronique écrite par Lucie Basso de March et Eva Guiomar
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cinebib38 · 6 years
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LE GRAND BAIN vs. SOFIA ANTIPOLIS
Il y a bien évidemment plusieurs façons de faire un cinéma du réel aujourd’hui. La plus tendance consiste à choper un fait social (être migrant, transgenre, syndicaliste en guerre, choix non exhaustif) et à le triturer par tous les bouts comme de la pâte à modeler et étaler tout ça comme on peut. Ça donne des machins type « Fatima », césar du meilleur film en je sais plus quelle année, évanouissements en masse chez les petits copains de Télérama-France-Inter-les-Inrocks, ce qui laisse pantois sur la confusion qu’il peut y avoir entre l’importance d’un propos et le fait que cela soit du cinéma ou non.
Mais il y a d’autres manières. Ouf. La comédie notamment, qui peut être une vitrine assez pertinente de notre société. Ce fut le cas de grandes séries, américaines notamment, comme « The Office » ou « Louie », ultra drôles et gênantes, car très à propos, visant très juste. Côté films, il y a certains Delépine-Kervern (« Aaltra » notamment), la micro filmo de Riad Sattouf, aussi grand anthropologiste au cinéma qu’à la BD, ou encore le cinéma belge (« Eldorado », « Belgica », « La merditude des choses »), ou plus lointain « Affreux sales et méchants » d’Ettore Scola (toujours faire une référence au cinéma italien, ça pose).
Ces dernières semaines, un film cartonne dans ce registre, c’est le désormais fameux « Grand bain » de Gilles Lelouche. Enthousiasme critique et public. Histoire de types (et de femmes aussi) plus ou moins quadras et plus ou moins largués socialement (boulot, dépression, vie perso, dépendance à alcool, à la clope ou aux médocs, tout l’attirail) et qui retrouvent le goût à la vie, comme on dit, grâce à la natation synchronisée masculine. Carrément. Ce sport existe-t-il vraiment ? On s’en fiche. L’important est ici ce décalage plutôt réussi à la « Full Monthy » et on appréciera ces images continues de corps normaux et donc imparfaits. C’est loin d’être anodin.
Autre belle surprise : ce film s’avère d’emblée assez mélancolique, ne trouvant son rythme de comédie qu’à la moitié des deux heures, sans pour autant perdre son temps. Qu’un réalisateur ose aujourd’hui prendre à revers la majorité de son public (par rapport à la bande annonce notamment), c’est plutôt gonflé.
Mais, car il y a un « mais », toute ce temps qui se veut à la fois social et intime ronronne clichés scénaristiques et paresse de réalisation. Du déjà-vu en catalogue, chacun a son boulet de vie, son étiquette. On s’y attarde et l’on croit que ça suffit à donner une quelconque profondeur à ces braves gens.
Autre façon de procéder : « Sophia Antipolis », dernier film de Virgil Vernier. Comment qualifier le genre du film ? Diable. Ce réalisateur est réputé pour nous prodiguer un cinéma rêche, frontal, aux frontières du naturalisme documentaire et de l’étrange. Mais – et « Sophia Antipolis » nous le confirme – il est malin (et surtout doué) car son cinéma s’avère magnifiquement construit, très bien écrit, et le tout sans équivoque politiquement. Quand j’écris cela, je ne dis pas que Virgil Vernier nous tend sa carte du parti, absolument pas. La force politique de ce film est bien de nous confronter à la déstructuration sociale de notre époque anesthésiée où beaucoup peuvent se réfugier dans les artifices que sont le mysticisme sectaire et crétin, la vigilance citoyenne – resucée de la bonne vieille milice à la papa – ou encore la chirurgie esthétique. Mais là ou Virgil Vernier est très fort, c’est qu’il ne s’arrête pas à ce simple tableau. Tout (écriture, mise en scène) nous dévoile l’air de rien des individualités passionnantes et bouleversantes. Et c’est ce qui fait de ce film une œuvre cinématographique et sociale puissante.
L’auteur fait confiance à son spectateur, il ne le prend pas pour un gamin de CE1. Mais ce film est assez simple à comprendre, il propose seulement des codes visuels inhabituels et donc possiblement perturbants.
Il n’y a eu que sept séances de « Sophia Antipolis » sur Grenoble (Méliès). Sept. Et c’est certainement suffisant vu que chacune d’entre elle n’a dû accueillir que cinq à dix spectateurs maximum. D’où – incroyable mais vrai – l’importance capitale que nous avons à jouer dans notre proposition cinéma au sein des bibliothèques : permettre la découverte d’œuvres intéressantes, abordables et confidentielles. Et ce n’est pas tant une porte ouverte que j’enfonce en écrivant cela.
Il y a un double atout pour favoriser l’éducation à la qualité : à la fois le cinéma (format souvent court des films, 2 heures, 2 heures et demie maximum pour la plupart) et le prêt en bibliothèque (ça ne me coûtera rien de sortir de ma zone de confort) permettent une absence d’engagement absolument formidable pour le public. C’est idéal.
J’aime le cinéma et comme (presque) tout le monde j’ai mes préférences en tant qu’individu. Mais en tant que professionnel, je dois bien rester vigilant par rapport à ce que le bon sens populaire nous matraque très souvent, comme quoi tous les goûts seraient dans la nature. C’est un des grands mensonges de notre société pasteurisée à la « petite éthique »1 auxquels nous sommes confrontés en tant que bibliothécaire. Non, tous les goûts ne sont pas dans la nature, ils sont extrêmement tributaires d’une époque, de modes et de conformisme (et ce n’est pas très grave, il suffit juste de le reconnaître). S’il existe beaucoup d’œuvres ou d’idées qui nécessitent et favorisent le débat et la contradiction, il faudra quand même admettre un jour que certaines autres sont objectivement mauvaises ou, au contraire, objectivement réussies. Sans discussion possible. Ce qui d’ailleurs n’empêche nullement de les aimer ou pas. On a heureusement le droit d’avoir mauvais goût et de l’assumer (j’en abuse) en tant que personne, mais on a, je pense, le devoir en tant que bibliothécaire de défendre l’inverse.
Et donc pour conclure, parce que bon : il y a beaucoup plus de chances que, le moment venu, j’achète plutôt « Sophia Antipolis » que « Le Grand bain » pour la bibliothèque. Pour mes stats de prêts, je me tire une balle dans le pied. Par contre je sers à quelque chose. Éternel débat ?
___________________
1 Mark Hunyadi, La tyrannie des modes de vie.
http://www.editionsbdl.com/fr/books/la-tyrannie-des-modes-de-vie.-sur-le-paradoxe-moral-de-notre-temps-/465/
Christophe, Médiathèque de Varces
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havaforever · 7 years
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CHACUN SA VIE - Un film poubelle, fabriqué en mode économique avec de vieilles idées déjà usagées, récupérées et mal défroissées, pour du cinéma équitable, essentiellement bricolé à partir de débris de 45ans et plus !!
Bref un salade à la Lelouche où les destins se croisent, un récit circulaire, qui parle de l’amour et des artistes, des couples homos et hétéros parce que c’est la mode, mais aussi de la France profonde et des amateurs de bon vin. Plein d’acteurs en réinsertion professionnelle pour un scénario qui manque de l’ampleur que donnent habituellement les paysages des pays lointains, et les lieux inconnus du bout du monde.
Donc ça manque d’une pellicule photo, d’une bonne musique, la bande-son éternellement jazzy ou ringarde n’est pas assez variée, si seulement le film se jouait à Belfort, nous aurions eu droit à aux Eurockéennes comme fond musical de ce laborieux procès de la vie!!
A la barre: les échecs, les ratés, les remords et les regrets. Tout cela manque de joie, de quelque chose qui porte, d’un ailleurs vers lequel ces séquences très décousues auraient pu nous mener.
Note 8/20 - Des hommes et des femmes, des uns et des autres, des bons et des méchants, des hasards et des coïncidences, des jours et des lunes, mais sans Le Gange, sans Venise, sans les chutes d’Acapulco, et sans le tragique de La Seconde Guerre Mondiale.
Ça manque de Luchini, de Belmondo, de Gérard Lanvin, d’une vraie belle actrice qui crève l’écran, et d’une bande son qui donne envie de fredonner encore 20 ans plus tard No-Nay-No-Nay-No-Nayyyyy !
C’est du Lelouch pur jus mais bricolé à la hâte en mode recyclage, du cinéma équitable pour vieux débris du Show Bizz, le tout paresseusement filmé, l’été dernier, dans la ville de Beaune: quel ennui!         
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swagtory · 8 years
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Elsa Zylberstein & Claude Lelouch
Movie Premiere : Chacun sa Vie 
http://www.imdb.com/title/tt5825150/
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rollingstonemag · 8 years
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/sorties-cine-le-film-qui-fait-grave-parler/
Sorties ciné - Le film qui fait "Grave" parler
Cette semaine, c’est le film Grave qui tient le haut de la carte. Au menu : viande crue, vétérinaires et envies de cannibalisme. Un film qui a fait l’événement
Il était présenté au festival de Sundance, à Gerardmer ou encore au festival de Toronto… Grave, par Julia Ducourneau, restera définitivement le film de ce début d’année en France à avoir marqué les esprits. On suit le parcours de la jeune Justine, 16 ans. Dans sa famille, tout le monde est végétarien et vétérinaire. Pour suivre ce destin tout tracé, elle intègre en avance une école de vétérinaire où le bizutage ne se fait pas attendre. Et en guise d’accueil, les nouveaux doivent manger un oeil. Une expérience qui va révéler la vraie nature de la jeune femme.
Loin d’être un simple film d’horreur, Grave propose une vraie réflexion sur l’adaptation, la transition vers l’âge adulte et toutes ces interrogations que peuvent se poser les adolescents. Au casting, on retrouve l’acteur Rabah Naït Oufella, que l’on avait découvert dans Bande de Filles, Braqueurs ou encore Patients.
Et aussi…
The Lost City of Z, par James Gray
Percival Harrison Fawcett a marqué l’Histoire du XXè siècle grâce à ses explorations. Ce colonel britannique est parti à la frontière entre le Brésil et la Bolivie, pour remplir la mission que la Société géographique royale d’Angleterre lui a donné : cartographier les limites des deux pays. Mais une fois sur place, Fawcett devient passionné par une rumeur évoquant une cité perdue.
Chacun sa vie, par Claude Lelouch
Résumer le film de Claude Lelouch s’annonce complexe. Le réalisateur français s’est fait plaisir en rassemblant un casting particulièrement hétéroclite, allant de l’avocat Eric Dupont-Moretti à Johnny Hallyday en passant par Jean Dujardin et Elsa Zylberstein. Tous vont se donner rendez-vous sans se connaître, pour sceller le destin d’un homme.
1:54, par Yan England
Tim a 16 ans, il est timide et brillant, il excelle en sport. Mais Tim va faire face à une pression infernale, mise par ses adversaires du club d’athlétisme. Un harcèlement qui poussera Tim jusque dans ses derniers retranchements. Antoine-Olivier Pilon, qui joue le rôle principal, s’était révélé dans Mommy. Il est aujourd’hui de retour dans un rôle toujours aussi intense.
L-C. B.
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La première bande-annonce du film Chacun Sa Vie
Le prochain de Claude Lelouch, Chacun Sa Vie, vient de s’offrir une première bande-annonce. Ce long-métrage, qui sortira le 15 mars prochain, réunira une pléiade d’acteurs à l’instar de Johnny Hallyday, Mathilde Seigner, Christophe Lambert et Jean Dujardin, entre autres.
youtube
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aucafedesloisirs · 8 years
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CHACUN SA VIE de Claude Lelouch: Découvrez l'affiche et la bande-annonce
CHACUN SA VIE de Claude Lelouch: Découvrez l’affiche et la bande-annonce
CHACUN SA VIE de Claude Lelouch: Découvrez l’affiche et la bande-annonce
Le prochain film de Claude Lelouch, Chacun Sa Vie, qui regroupe un casting plus que prestigieux, se dévoile à travers une première bande-annonce ainsi qu’une première affiche. Découvrez-les sans plus attendre!
– LE 15 MARS AU CINÉMA –
Synopsis:
12 histoires sur l’intime conviction, conduisant à une 13e.
Bande-annonce: 
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snap221me · 4 years
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Claude Lelouch : son magnifique hommage à Johnny Hallyday
Claude Lelouch : son magnifique hommage à Johnny Hallyday
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Le plus célèbre des rockeurs français est décédé le 5 décembre 2017. Mais aucun de ses fans ou de ceux qui ont croisé sa route ne l’ont oublié. Dimanche 28 juin, le réalisateur Claude Lelouchétait l’invité de Michel Drucker dans son fameux canapé rouge. Le réalisateur a tourné deux films avec Johnny Hallyday, d’abord “Salaud, on t’aime” en 2014 puis “Chacun sa vie” en 2017. Alors qu’un extrait…
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callasdiva · 8 years
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Jean Dujardin in “Chacun sa vie” (2017 - Claude Lelouch)
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polyvinylfilms · 8 years
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Chacun Sa Vie film by Claude Lelouch
Coming 15 March in France
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aucafedesloisirs · 8 years
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CHACUN SA VIE de Claude Lelouch: Découvrez l'affiche et la bande-annonce
CHACUN SA VIE de Claude Lelouch: Découvrez l’affiche et la bande-annonce
CHACUN SA VIE de Claude Lelouch: Découvrez l’affiche et la bande-annonce Le prochain film de Claude Lelouch, Chacun Sa Vie, qui regroupe un casting plus que prestigieux, se dévoile à travers une première bande-annonce ainsi qu’une première affiche. Découvrez-les sans plus attendre! – LE 15 MARS AU CINÉMA – Synopsis: 12 histoires sur l’intime conviction, conduisant à une 13e. Bande-annonce: …
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filmistreaming1 · 7 years
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Chacun sa vie streaming
Date de sortie :15 mars 2017 Genre :Comédie Nationalité :Français Avec :Éric Dupond-Moretti, Johnny Hallyday, Nadia Farès Réalisateur :Claude Lelouch
Entrée d’être juges, avocats ou présagés, ils sont d’apparence des femmes et des nation au volute de à eux existences, revers leur rêves et à eux secrets, à elles espoirs et leur limites, totaux dessous un égal soleil, quiconque avec sa bout d’apparence.
from Film en Streaming VF http://filmistreaming.net/chacun-sa-vie-streaming/
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