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PUZZLE BOX Found footage horror - trailer and new clip - VOD on October 11
Puzzle Box is a 2023 found footage horror film about a drug addict who flees to a house in the woods to self-rehabilitate. Written, photographed, directed, edited and co-produced by Jack Dignan. Also produced by Morgan Wright. The Repeater Productions movie stars Kaitlyn Boyé, Laneikka Denne, Cassandre Girard, Janelle McMenamin, Matias Klaver and Hazel Pompeani. Plot: Kait (Kaitlyn Boyé), a…
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Puzzle Box (2023) Date de sortie : 12/08/2023 Réalisateur : Jack Dignan Scénario : Jack Dignan Avec : Kaitlyn Boyé, Laneikka Denne, Cassandre Girard
#Cassandre Girard#film d'horreur#Jack Dignan#Kaitlyn Boyé#Laneikka Denne#Puzzle Box (2023)#news#cinéma#actualité#film poster#acteurs#affiche de film
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lune, comme un sabre blanc, prête-moi ta plume
aurait-il fallu que dans La lune, comme un sabre blanc, le Pierrot lunaire de Schönberg flotte, unifiant la galerie Gounod espace scénique, conférant à qui regarde plus encore rôle d’acteurice ?
écrivant ici, ayant lu avant d’écrire, après avoir vu, ayant lu le communiqué avant d’écrire et après avoir vu, regardé, tourné, surplombé les figures, et avoir envisagé, dévisagé, corps à corps échelle souvent 1:1 du tableau (non de la représentation) à moi, dans cette proximité de La lune, comme un sabre blanc, m’arrête le point de départ, m’arrête des poèmes symbolistes que je ne connais pas, leur recueil, en 1884, sous le titre Pierrot Lunaire des poèmes d’Albert Giraud, et m’arrête, que je connais sans connaître, le Pierrot lunaire de Schönberg, m’arrêtent ces points de départs comme m’a arrêté, aurait été point de départ, hors lecture de ce communiqué le point de départ du récit de La lune, comme un sabre blanc, aurait été Katharina Ziemke en clown blanc, en clown triste, en pierrot lunaire, Comédie, 2018, encre et crayons de couleurs, 150x100cm, alors, alors je commence, recommence,
l’espace de la galerie est plein, les toiles se succèdent, et pour accéder aux toiles il faut serpenter entre des sculptures, des figures de bois, installées pour trois d’entre elles, toutes les femmes sculptés sont mises en regard de cadres de fer, installées pour trois d’entre elles en regard de cadre en fer, l’un au sol, la jeune lavandière à genoux qui, l’autre, agencement de cadres pour deux figures, la princesse et la sorcière, trois dimensions, ces cadres, la mise en scène de ces figures cadrées c’est un peu, d’une autre manière le corps comprimé, peint et dessiné, le corps plié d’un jeune homme qui tient dans l’angle de bois qu’une barrière fait, les figures sculptés sont droites, très droites, mêmes suspendues, c’est la verticalité qu’on retient, quand ce jeune homme pend, retenu par la barrière, pend, prêt à chuter en même temps que tout à fait calé, le cadre ici retient, quand les figures femmes sculptées sont encadrées par, mais se tenant elles-même dans ces espaces, peut-être ces espaces les tiennent à distance, ou peut-être, les cadres de fer et les figures jouent d’autant de raideur, se tenir l’un l’autre, faire exister l’espace entre, peut-être comme là où le jeune homme qui rêve fait exister par son corps tout ce sur quoi il ne tient pas, le rêve, The dream, encre et crayons de couleurs sur coton, 100 par 170 cm,
le visage de cet homme, aux yeux fermés, et les yeux sont tellement importants dans le travail de K. Ziemke, regard regardé pour une peintre, mais davantage que, c’est autant sensation que figuration, l’immense écart entre les deux en même temps que ce qui immédiat ne se décolle, paupières closes ici, le rêve et de l’autre côté, au-dessus du dos très droit de la princesse, Colombine, qui arrive un peu au milieu du corps de qui se tend par dessus Colombine et le cadre en fer qui à ses pieds circonscrit quelque chose pour regarder, ou être regardé par les yeux très ouverts de l’éveil, Risveglio, petite peinture, 60 par 75 cm, cependant échelle 1:1 dépassée, qui crée dans le rapport à Colombine quelque chose d’étrange, proche prêt loin, distances brouillées,
au corps contraint du rêveur, répond le corps envolé, faisant s’envoler un drap, The veil, ça vole figé, la position du corps très figée, encore très figée, suspendue, comme est suspendue la sorcière, Cassandre, position impossible ici, position possible là-bas, mais toutes deux figées, figée dans l’immobilité, figée dans le mouvement, et peut-être de ce rapport là, et reprenant ces disances brouillées suspendues dire quelque chose de la peinture et de la sculpture, de leur matérialité dans le travail de Ziemke, dire le flou, redire l’importance du regard, et répeter l’importance du floutage, des zones incertaines, d’un rapport figé en même temps que vivant, par le flou, d’une hésitation devant ces toiles de la maîtrise, de la certitude d’une maîtrise permettant de déjouer l’expression d’une maîtrise, le flou, déplacé, dans une zone similaire, tant de copeaux au sol autour de Pierrot, 96 cm de haut, bois tout pareil, et ce vrai faux je ne sais pas jeté de copeaux noirs, noirs comme est habillé Pierro, costume noir qui est un costume de ville, contemporain, jeté de copeaux autour depuis Pierrot vers qui regarde, vers la lumière, petite lumière au sol, rasante, face, un projecteur face en même temps que latérale et découpe ronde, lunaire, tout devient ici spectacle, j’aime la lumière moins les copeaux, encore que ce mouvement habite l’espace, mais figé, et quand rien du mouvement figé ne me gêne, ici quelque chose me retient, rien du figé ne me gêne, pas le figé de ces sculptures en bois, pas la maladresse qui contrepointe quelque chose de la maîtrise de l’autre médium, la peinture, mais m’interrogent ces copeaux comme flou, là où le flou m’attire dans les toiles de Ziemke, où le ciseau sur le bois trouble la ligne, où j’aimerai comprendre quelque chose des frontières qui s’établissent entre les masses colorées, et où toujours mon échec me renvoie à m’éloigner de la toile pour en saisir l’ensemble, sujet compris, ça ressemble à ce que je sais, à ce que je sais aussi du parlé-chanté du Pierrot Lunaire de Schönberg, ce frottement, on ne sait jamais exactement ce qui se passe dans la voix, dans le regard, dans la voix, dans la narration, dans la voix, le regard, mais par cela, ce rythme là, précis dans sa modulation et ses passages, toutes leurs rugosités, je me laisse emporter, ce Pierrot c’est un peu le double du point de départ, de Comédie, de Ziemke, qui n’est pas Colombine, clown blanc et triste, triste ?, Comédie, comédienne, metteuse en scène, peintre, sculpteuse, dramaturge, les images parlent quand partout le silence règne, qui regarde l’ensemble, depuis cet endroit de l’espace d’exposition, est-ce de ce lieu précis depuis lequel regarder, depuis lequel articuler tous les regards que se jettent tou,tes les protagonistes des toiles, quelle double narration s’étage depuis la hauteur des figures sculptée, jeux de recherds s’enchâssant au travers des structures métalliques et des tissus, ah ! les tissus entremêlés au métal !, les tissus traîtés comme l’intérieur de livres anciens, motifs mêmes !, la fluidité rigidifié des tissus, la liquidité du tissu dans les mains de la lavandière, celle autour des corps sculptés les habillant !, est-ce à partir d’ici qu’il faut écrire une histoire ?
LA DISEUSE, 2018 - ENCRE ET CRAYON DE COULEUR SUR COTON - 75 X 60 CM
c’est l’histoire de cet homme, Freud, Ensor, en face, qui regarde tour à tout les masques dont il pare ses patientes, des masques d’hommes qui sont reflets de lui-même, comme face à lui, lui entre lui et Anna, La diseuse, la diseuse dont le crâne s’ouvre derrière, s’ouvre comme ses lèvres et dont le cerveau et l’imaginaire s’échappe, passant de sa bouche au fond bleu de la toile, c’est un mouvement infini, comme peut l’imaginer Magritte ou Duchamp, le passage, l’entre, et dans ce passage, par les yeux, ce flux devient dire, cette diseuse creuse et pleine, c’est Anna sur lequel Freud pose masque après masque, pour qu’elle ne dise pas, pour que, mais s’échappe, de sa bouche et du derrière de son crâne s’échappe, regarde depuis par dessus, mouvement d’aspiration elle boit Cassandre, l’aspire et la maintient dans ce mouvement, menaçante sans l’être, ne menace plus Colombine, ne menace plus la princesse, la princesse n’aura plus à être lavandière, n’aura plus à courir pour sécher le linge, pourra courrir libre, libre sauter, même si peut-être tombera statue, pourra courir et s’envoler, Colombine-Cassandre, cette double-figure, fait peur et au dessus-au dessous d’elles réveille les yeux du dormeur, très tendres yeux inquiets, très éveillé le dormeur se regarde dormir et ne pas tomber, tentant de retenir du rêve la double figure, Colombine-Cassandre, quel symbole, depuis quel symbole, essaye de figer, c’est si flou le souvenir du rêve, la mémoire, se regarde, se souvient dormant surprendre l’homme qui manipule, qui surpris à manipuler, est en colère terrible, qui manipule au derrière des masques, au derrière de celui qui manipule et appose les masques les petites figures, les petites marionettes, qui ?, Pinnochio lui-même ?, Pierpinochio dans son jeté de copeaux et sa mise en lumière ?, la mise en lumière nécessaire coupé par qui passe dans le champ ?, est-ce finalement lui, le double de Comédie, l’homme d’affaires qui orchestre tout, ou le point de vue depuis lequel cette histoire est écrite, Comédie ?
tant d’autres histoires, des dialogues, cette installation de peintures et de sculpture donne envie d’écrire des dialogues, suivant l’intution, l’esprit du rêve, l’association d’idées, de sensations, que les personnages qui se révèlent puissent muter autres aussitôt, c’est ce que La lune, comme un sabre blanc suggère, depuis l’écriture, la musique, le chanté-parlé, la figuration, et tout ce que pour le moment j’ai choisi de ne pas explorer, l’écriture de Girard et la précision de son récit, dans l’inconscient, Mon ami Pierrot, prête moi ta plume, ou encore Ensor, et tous les liens intimes, les sources des images, depuis tout cela, et mon intution, ce sont des dialogues qui sous les doigts, depuis les yeux, fourmillent dans ce décor de théâtre déreplié,
http://galerie-gounod.com/artistes/oeuvres/7458/katharina-ziemke
#katharina ziemke#isabelle gounot#la lune comme un sabre blanc#art contemporain#paris#pierrot lunaire#colombine#cassandre#the dream#the veil#poésie critique#anne kawala
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PUZZLE BOX Reviews of Aussie found-footage horror plus trailer and release date
Puzzle Box is a 2023 Australian found-footage horror film about a drug addict who flees to a house in the woods to self-rehabilitate. Written, photographed, directed, edited and co-produced by Jack Dignan. Also produced by Morgan Wright. The Repeater Productions movie stars Kaitlyn Boyé, Laneikka Denne, Cassandre Girard, Janelle McMenamin, Matias Klaver and Hazel Pompeani. Plot: Kait (Kaitlyn…
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PUZZLE BOX (2023) Reviews of Aussie found-footage horror
Puzzle Box is a 2023 Australian found-footage horror film about a drug addict who flees to a house in the woods to self-rehabilitate. Written, photographed, directed, edited and co-produced by Jack Dignan. Also produced by Morgan Wright. The Repeater Productions movie stars Kaitlyn Boyé, Laneikka Denne, Cassandre Girard, Janelle McMenamin, Matias Klaver and Hazel Pompeani. Plot: Kait (Kaitlyn…
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PUZZLE BOX (2023) Preview of Aussie found-footage horror
Puzzle Box is a 2023 Australian found-footage horror film about a drug addict who flees to a house in the woods to self-rehabilitate. Written, photographed, directed, edited and co-produced by Jack Dignan. Also produced by Morgan Wright. The Repeater Productions movie stars Kaitlyn Boyé, Laneikka Denne, Cassandre Girard, Janelle McMenamin, Matias Klaver and Hazel Pompeani. Plot: Kait (Kaitlyn…
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Puzzle Box (2024) Date de sortie : Courant 2024 Réalisateur : Jack Dignan Scénario : Jack Dignan Avec : Kaitlyn Boyé, Laneikka Denne, Cassandre Girard
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