#Caroline Simonnet
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wornoutspines · 11 months ago
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The Marvels | Light Breezy Fun and A Potential Relaunch for the Franchise
The Marvels is now on digital check it out because this movie is better than what you might have heard it's not perfect, but it works. #CarolDanvers #MonicaRambeau & #KamalaKhan are great together. #TheMarvels #MovieReview #Marvel #Review my full review is here 👇
No matter the state of the Marvel Cinematic Universe, this particular movie would have had to face a particular kind of hate – if not an uphill battle – that started with Captain Marvel and was sustained by the MCU TV Series: Ms. Marvel that was bashed online or She-Hulk. Let’s not forget the unfortunate movie outings like Quantumania, or the even worse Love & Thunder. Brie Larson, Teyonah Parris…
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infraredmag · 1 year ago
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THE MARVELS
🌟 Get ready for the epic ride of "The Marvels" (2023) movie! Brie Larson returns as Captain Marvel, joined by Teyonah Parris as Monica Rambeau and Iman Vellani as Ms. Marvel. Brace yourself for mind-blowing action and superhero magic. Stay tuned for upda
THE MARVELS Running Time Not Yet Announced | Action / Adventure / Fantasy | Not Yet Rated | 10 November 2023 The Marvels is an upcoming American superhero film based on Marvel Comics featuring the characters Carol Danvers/ Captain Marvel, Kamala Khan/ Ms. Marvel, and Monica Rambeau. Produced by Marvel Studios and distributed by Walt Disney Studios Motion Pictures, it is intended to be the…
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lerepondeurdesinsoumis · 7 years ago
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Manif 12 septembre : La France Insoumise fera-t-elle aussi bien que la CGT ?
Alors que la CGT annonce 500 000 manifestants pour cette première journée de grève contre la Loi Travail XXL, de nombreux militants de la France Insoumise étaient présents dans le cortège. Et espèrent bien mobiliser autant de gens pour leur rassemblement prévu le 23 septembre prochain.
C’était l’affluence des grands jours pour cette première manifestation contre la réforme du code du travail, également surnommée « Loi Travail XXL ». Les militants se sont donné rendez-vous dans plus de 200 villes de France à l’appel de la CGT, suivie par la FSU, Solidaires et l’UNEF. Seule la CFDT et Force Ouvrière se sont désolidarisées de l’évènement. Une consigne restée en travers de la gorge de nombreux adhérents. « Si on lâche maintenant, le reste suivra. Je pense qu’il faut taper fort dès à présent « , grogne Jean Hedou de Force Ouvrière, au volant de sa voiture tirant la sono et le ballon gonflable de son syndicat. « Nous sommes une fédération. Chacun est libre de décider de venir ici ou pas ». Près de 52 unions départementales sur 101 appelaient à la mobilisation et 8 fédérations soutenaient le mouvement. Jean Hedou déplore ainsi la position de Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force Ouvrière, qui estimait qu’il ne fallait pas user ses forces immédiatement, car « on en aura peut-être besoin demain « . « La convergence, aujourd’hui, il n’y en a pas. D’ailleurs, je n’irai pas manifester le 23 septembre, la date de Jean-Luc Mélenchon, car il joue sa carte tout seul dans son coin. Le gouvernement n’entendra qu’une seule chose, la grogne des patrons. Et ces derniers iront pleurer seulement en cas de blocage économique. Et pour cela il n’y a pas de secret : il faut faire la grève et commencer bloquer les transports ».
Les Insoumis, nombreux dans le cortège
Le long du boulevard de la Bastille, La France Insoumise a monté son stand et de nombreux membres arboraient fièrement leur badge tout au long du défilé, entre Bastille et place d’Italie. Et pour eux, pas question de baisser les bras, malgré les échecs des mobilisation contre la loi travail première version. « Certes, il y a beaucoup de dates de manifs, mais cette loi travail va faire beaucoup de dégâts », lance Caroline, militante France Insoumise. « Faire grève est une gymnastique à laquelle nous sommes habituées ! » . Quelques mètres plus loin, Danielle Simonnet insiste sur « l’arrogance, la bêtise et le mépris » du gouvernement envers les Français. Elle non plus ne voit aucun problème à multiplier les dates de mobilisation. « Les syndicats jouent leur rôle pour mobiliser les salariés en semaine. Nous avons un rôle politique pour parler à ceux qui veulent se mobiliser le weekend ».
Un peu plus loin, Eric Coquerel se prête avec joie au jeu des selfies et répond aux journalistes qui n’ont qu’une question aux lèvres : la manif du 23 septembre est-elle concurrente avec celle d’aujourd’hui ? « Il n’y a pas de concurrence mais de l’indépendance et de la convergence », assure l’homme politique. « Chaque manifestation nourrit l’autre, il est indispensable de maintenir la dynamique pour amplifier la mobilisation. Et nous sommes tous réunis ici pour la même chose : notre opposition à la loi travail ». Malgré les échecs des précédentes mobilisations, notamment au printemps 2016, qui n’ont pas réussi à faire flancher le gouvernement, Eric Coquerel assure réussir à mobiliser facilement ses militants. « Lorsqu’on a un groupe parlementaire à l’Assemblée, l’idée qu’on puisse un jour gouverner le pays n’est pas illusoire. Et ça mobilise ».
Reste Ă  savoir si la France Insoumise obtiendra des meilleurs scores que le rassemblement de la CGT, qui annonce 200 manifestations pour 500 000 participants.
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blogpresso · 7 years ago
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Alexis Corbière : «Le nom d'"insoumis" s’est imposé dans le vocabulaire politique»
L’heure de la rentrée a sonné pour La France insoumise, réunie à partir de ce jeudi et pendant quatre jours à Marseille, terre d’élection de Jean-Luc Mélenchon. A cette occasion, Libération a interrogé le député de Seine-Saint-Denis, figure centrale du mouvement. Outre l’avenir des insoumis, il revient sur le «grand succès» de la campagne «de l’aveu même de nos adversaires», sur les premiers mois du «social killer» Macron aux «sourires permanents» et sur les polémiques à propos du Venezuela ou de Neymar.
C’est la fin des vacances, un nouveau cycle s’ouvre. Mais d’abord, retour en arrière : quel est le bilan de La France insoumise depuis sa création en février 2016 ?
La France insoumise rassemble désormais plus de 500 000 personnes autour de sa plateforme numérique. Force ouverte, populaire, rassembleuse, écologique, sociale et pour une VIe République, elle est tournée vers l’action concrète. Elle s’est constituée initialement en soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle, avec un score de presque 20% à l’arrivée, c’est-à-dire dans le même étiage qu’Emmanuel Macron. La campagne, de l’aveu même de nos adversaires même les plus hostiles, fut un grand succès, mêlant intelligence et inventivité.
Cette dynamique ne s’est pas arrêtée au soir du premier tour. A l’occasion des élections législatives, les candidats de La France insoumise ont été présents dans la quasi-totalité des circonscriptions, et ils ont accédé au second tour dans près d’une centaine d’entre elles. Au final, nous avons fait entrer à l’Assemblée nationale un groupe parlementaire original qui a fait entendre une voix forte et une alternative sérieuse. Enfin, le nom d’«insoumis», devenu très populaire, s’est imposé dans le vocabulaire politique en tant que nouvelle sensibilité politique.
Bien sûr, à cette heure, nous aurions souhaité gouverner le pays pour répondre aux immenses défis qui sont devant lui. Mais ces deux campagnes ont permis de faire naître un large mouvement populaire qui dirigera un jour ce pays.
Aujourd’hui, le mouvement va devoir se développer. Est-ce que vous savez comment ? La France insoumise va-t-elle devenir un parti ? Une direction va-t-elle être nommée ou élue ?
Comme c’était le cas pour rédiger notre programme ou lors d’autres étapes de notre existence, toutes les décisions seront débattues par celles et ceux qui sont inscrits sur la plateforme LaFranceinsoumise.fr et dans les 5 000 groupes d’appui. C’est pourquoi d’ailleurs nous avons lancé une «boîte à idées» il y a quelques semaines, afin que les insoumis s’expriment. Cela permet actuellement aux signataires de proposer des pistes autour de 4 axes : Quelles campagnes pour le mouvement ? Quelles méthodes d’action ? Quels outils ? Quelle organisation ? C’est un débat passionnant qui s’ouvre, bien loin du caractère desséché de La République en marche (LRM), devenu simple chambre d’enregistrement du gouvernement, ou de la décomposition morbide des partis traditionnels… Nos décisions seront actées lors d’une convention nationale l’automne prochain.
Sur le plan personnel, vous avez pris de la place. On vous voit beaucoup dans les médias… Est-ce qu’on peut dire que vous avez grandi politiquement ?
Qu’importe ma personne. C’est notre mouvement qui a progressé politiquement, et nous avons tous grandi avec. Cette belle croissance est le fruit de raisons politiques. C’est notre diagnostic initial sur la décomposition de la Ve République et la crise des partis, qui en constitue les piliers, qui était juste. Nous avons compris mieux que d’autres la force du «dégagisme» qui allait s’exprimer durant cette campagne et qui a broyé tous les prétendus vainqueurs annoncés d’avance. Nous avons également analysé que les primaires du PS, dans lesquelles certains voulaient nous entraîner de force ou en nous injuriant, ne pouvaient que produire un étouffoir populaire, allant vers l’échec quel que soit le candidat qui les emportait.
Pour ma part, avec d’autres comme Manuel Bompard, notre directeur de campagne, ou Charlotte Girard, qui a dirigé la rédaction du programme, je me suis mis au service de cette orientation et cette stratégie, sous la conduite de notre collectif, dans mon rôle de porte-parole. D’autres nombreux visages sont apparus durant cette campagne, et notamment ceux de nouveaux jeunes députés talentueux comme Mathilde Panot, Danièle Obono, Adrien Quatennens, Ugo Bernalicis, Caroline Fiat ou Bastien Lachaud. Ces personnalités sont venues rejoindre sur le front médiatique ceux qui étaient déjà identifiés comme Danielle Simonnet, Eric Coquerel, Leila Chaibi, Liêm Hoang-Ngoc, Clémentine Autain ou Raquel Garrido. A quoi s’est ajouté désormais l’ami François Ruffin… J’en oublie beaucoup d’autres aussi rayonnants, j’espère qu’ils ne m’en voudront pas.
Notons enfin que nous sommes la seule force à avoir fait émerger autant de femmes, ce qui est remarquable. Je suis très fier de cet élargissement. J’ai souvent subi durant cette campagne des propos persifleurs de journalistes : «A La France insoumise, il n’y a personne à part Mélenchon.» Qui peut répéter de telles sottises à présent ?
Cet été, votre mouvement a été la cible de plusieurs critiques au sujet des événements au Venezuela. Certains vous ont accusés de garder le silence, d’autres de soutenir le président Maduro. Comment expliquez-vous les critiques et quelle est votre position vis-à-vis de Maduro ?
Ce harcèlement pour nourrir un minable «Mélenchon bashing» est ridicule. Avec d’autres membres de La France insoumise, nous passons notre temps depuis le début du mois d’août à parler du Venezuela mais on nous répète de façon mécanique, sans nous écouter, que nous gardons le silence. Absurde.
La situation difficile du pays vient essentiellement de la lourde chute du baril du pétrole qui a entraîné des difficultés sociales réelles, malgré l’œuvre sociale considérable (lutte pour l’éducation, pour la santé, le logement, etc.) accomplie depuis 1999 sous l’impulsion de Hugo Chávez. Sous sa présidence, l’argent du pétrole ne servait pas à acheter des joueurs de football ! Or une partie de l’opposition de droite, voire d’extrême droite, n’a jamais accepté que les plus modestes soient enfin considérées. Elle avait déjà initié un coup d’Etat contre Chávez en 2002. Elle a choisi depuis l’élection de Maduro une stratégie de la tension en utilisant les difficultés sociales, en multipliant les manifestations violentes et les actes d’intimidation pour renverser le gouvernement.
Ces tentatives de déstabilisation sont bien sûr soutenues de l’extérieur. Les folles déclarations de Donald Trump, président des Etats-Unis, qui va jusqu’à évoquer une possible option militaire contre Caracas, sont la preuve de l’implication des officines de la Maison Blanche. Et c’est ce même Trump, celui qui banalise les manifestations néonazies, que le président Macron a invité le 14 Juillet. Sidérant.
Pour ma part, je condamne toutes les violences et je suis pour une solution pacifique et démocratique pour résoudre la tension actuelle. Et comme toujours, la solution c’est le peuple. C’est seulement par des élections démocratiques qu’une solution allant vers l’apaisement pourra être trouvée. Je note d’ailleurs que l’opposition a annoncé vouloir participer aux prochaines élections régionales. Laissons le peuple vénézuélien faire son choix !
Pendant ce temps, dans un silence médiatique assourdissant, l’Arabie Saoudite m��ne une guerre infâme au Yémen, qui a déjà fait plus de 15 000 morts parmi les populations civiles pour la seule année 2016 et menace 7 millions de personnes de famine. Mais dans la mesure où les Etats-Unis soutiennent les Saoudiens, nul n’en parle. Je ne suis donc pas dupe des indignations à géométrie variable de certains.
La rentrée de La France insoumise se déroule à Marseille, dans la circonscription de Jean-Luc Mélenchon, c’est votre nouveau camp de base ?
Notre camp de base réel est l’Hexagone. La France insoumise est partout chez elle. Marseille est une ville magnifique, envoûtante sur le plan politique, où les quartiers populaires sont encore au centre de la ville. Le peuple est au cœur de la cité, où il se fait entendre par ses éclats de voix et sa passion de justice et d’égalité. Ici, tout est politique et source de débats. Cela peut être le laboratoire de notre projet. On a parfois l’impression qu’un Marseillais est toujours un insoumis, quel que soit son vote ensuite. Les idées que nous défendons y sont comme un poisson dans l’eau… Elles se fondent dans l’ensemble pour le rendre plus agréable !
Quel est votre regard sur les premiers mois de Macron ? Est-ce qu’il y a des choses qui vous ont surprises ?
Cet homme, malgré ses sourires permanents, est un «social killer» à la communication très verrouillée. Son fanatisme économique me surprend parfois tellement, il est la reproduction fainéante de solutions qui ont échoué partout. Il semble entouré de suprémacistes libéraux revanchards, biberonnés à la fraction la plus dure du Medef, qui veulent punir les milieux populaires. La mesquine suppression de 5 euros des APL pour 6,8 millions de Français les plus modestes, parallèlement à la volonté de réduire l’ISF pour les ultra-riches en leur rendant 2,5 milliards d’euros, en est un exemple désolant. Je n’oublie pas aussi l’augmentation de la CSG qui va pénaliser 60% des retraités. Mais surtout, il veut casser le code du travail, patiemment construit par des décennies de luttes sociales et des victoires électorales, et qui protège 18 millions de salariés et d’employeurs !
A lire aussi :Contre le gouvernement, trois camps à cran
Le dessein macronien c’est La République en marche… arrière ! Il veut ubériser la société française, faciliter les licenciements même abusifs, précariser les salariés, affaiblir les instances de représentation des personnels, inverser la hiérarchie des normes sociales, etc. Alors que la précarité se répand dans le pays, il veut la généraliser davantage. Nous verrons les contours précis de ses méfaits le 31 août. Mais il faut craindre le pire. C’est pourquoi nous donnons rendez-vous le 23 septembre et que nous manifesterons le 12 à l’appel des organisations syndicales. Le pouvoir macroniste, malgré son arrogance de façade, est une réalité très faible. Ses idées sont minoritaires dans la société. Il n’a pas de base sociale réellement solide pour mener sa politique. Macron a été essentiellement élu dans un rejet du FN, et non une adhésion à ses propositions. Son aplomb repose sur un pouvoir présidentiel d’ordre monarchique et des institutions godillotes. Mais il n’est pas sûr que les 310 députés En marche soient prêts à affronter une contestation populaire.
Beaucoup prédisent une rentrée optimiste de l’économie française : merci François Hollande ou c’est déjà l’effet Macron ?
Arrêtez vos plaisanteries de mauvais goût. Le chômage a touché 1 million de personnes supplémentaires sous le quinquennat de François Hollande, le nombre de pauvres aussi a augmenté. Dire merci à cette politique et ceux qui l’ont impulsé serait indécent. Monsieur Macron était alors secrétaire général adjoint de l’Elysée puis ministre de l’Economie. Il en est aussi responsable. Aucune des décisions prises par le gouvernement précédent et actuel n’a le moindre effet positif pour l’emploi. Ils n’ont aucun grand projet économique pour notre pays et tournent le dos à toute bifurcation écologique. En Europe, toutes les études attestent que la prétendue reprise économique que vous évoquez profite essentiellement aux actionnaires. Et la France reste le plus gros pourvoyeur de dividendes. Il n’y a vraiment pas de quoi être optimiste sans intervention populaire pour changer tout cela.
A lire aussi :Baisse de cotisations : l’astuce de Bercy pour faire des économies
Comment imaginez-vous le mois de septembre avec les nombreuses manifestations d’opposition à la loi travail ? Quel est l’objectif de La France insoumise ?
Nous jouerons notre rôle de force utile au peuple, en faisant connaître les dangers contenus dans la réforme du code du travail. Nous mènerons un travail d’éducation populaire dans le pays pour informer les nôtres, dans les quartiers et les lieux de travail. Nous utiliserons également l’hémicycle de l’Assemblée nationale pour nous faire entendre. Le mois de septembre doit être celui du grand refus populaire à la régression macroniste.
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Dès le mois de juin, votre mouvement a réussi à se faire remarquer à l’Assemblée nationale avec des nouvelles têtes et vous avez clamé à plusieurs reprises que La France insoumise était la première force d’opposition. C’est un enjeu ?
La question ne se pose pas ainsi. Comme Jean-Luc Mélenchon l’a dit à la tribune de l’Assemblée nationale, nous ne sommes pas seulement une force d’opposition à la politique du gouvernement. C’est un projet trop mince pour nous. Notre ambition dépasse cela. Nous sommes une force d’alternative au pouvoir en place, pour mener demain ce pays vers les choix écologiques indispensables et le partage des richesses nécessaire. Il faut nous préparer à diriger ce pays… et cela ici et maintenant, en refusant les mauvais coups du gouvernement.
Est-ce qu’on peut imaginer des rapprochements entre votre mouvement, le PCF, les écolos et le PS ?
La France insoumise se veut un mouvement ouvert et accueillant. Toutes celles et ceux qui veulent participer à sa construction sont les bienvenus. Mais il ne peut être question de revenir à une forme de cartel : la campagne de La France insoumise a montré l’aspiration à une forme nouvelle et souple et son refus du vieux monde politique en crise. Ensuite, nous pouvons mener des actions communes avec tous ceux qui veulent défendre le peuple face à l’oligarchie. Des additions ponctuelles peuvent avoir lieu comme notre saisie commune du Conseil constitutionnel sur les ordonnances. Mais la base de toute clarté est le refus de la politique de Macron. Or le groupe des députés PS s’est très largement abstenu ou même a voté pour la confiance au gouvernement.
Certains, à gauche, souhaitent organiser des états généraux de la gauche d’ici à la fin de l’année, ça vous tente ?
Je respecte cette démarche mais je ne la partage pas. La France insoumise ne s’inscrit pas dans une démarche de reconstruction de «la gauche», ni de recomposition avec des forces qui se décomposent. Elle souhaite être l’outil du peuple français dans sa mobilisation pour apporter des solutions concrètes aux urgences sociales et écologiques auxquelles il est confronté. La question n’est donc pas pour moi de mettre son énergie dans un nouveau round de discussions à l’intérieur d’un espace qui ne veut plus dire grand-chose, avec des formules épuisées déjà utilisées sans succès, mais de la projeter dans la société pour aider à la mise en mouvement populaire. Notre responsabilité est d’agréger, pas de créer une confusion qui désagrège. Notre perspective reste de gagner les élections, pas de constituer une minorité un peu plus garnie.
Lors de la signature du brésilien Neymar au PSG, vous êtes montés au créneau pour dénoncer les chiffres de son transfert. Depuis, vous avez vu ses débuts et ses premiers dribbles et buts ?
Que Monsieur Neymar soit un joueur de ballon de grand talent ne fait pas de doute. Mais faut-il applaudir les sommes délirantes qui circulent dans le football, notamment quand elles proviennent d’un pays où les droits de l’homme ne sont pas respectés comme au Qatar ? Là-bas, les femmes sont méprisées, les travailleurs mal traités et l’esclavage est encore une réalité, malgré les déclarations des rois du pétrole. Aucun des dribbles de Neymar ou de qui que ce soit ne me fera perdre ma conscience humaniste. Enfin, je continue de penser qu’une société où les sportifs (même talentueux) sont 10 000 fois mieux payés que ses savants, ses ouvriers, ses agriculteurs, ses enseignants, ses infirmières, ses poètes… est une société malade.
La beauté du geste sportif ne peut tout justifier. Les petits maillots floqués «Neymar» qui se vendent 140 euros pièce ont un prix de fabrication réel de 6 euros par des ouvriers mal payés ! Ils sont vendus 20 fois plus chers ! Cet univers nouveau du «fric foot» n’est qu’une parabole de la mondialisation libérale : concentration de richesse d’un côté, pauvreté de l’autre. Et pour faire accepter ces injustices, on fabrique des idoles, hommes-sandwichs modernes, puissants émetteurs idéologiques dont la mission réelle est de faire admirer les milliardaires par les plus modestes. La star brésilienne du ballon rond peut faire vibrer les stades par ses jeux de jambes et ses tatouages irréprochables, le système dont elle est la vitrine n’a pas d’avenir positif à proposer. L’amour du sport doit passer par sa définanciarisation. C’est cela que je dénonce.
Rachid LaĂŻreche
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wornoutspines · 1 year ago
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The Marvels | Light Breezy Fun and A Potential Relaunch for the Franchise
Just Saw #TheMarvels it has that "exciting things to come" feel from earlier MCU movies even w/out the post-credit scenes. It's not perfect but it works. #CarolDanvers #MonicaRambeau & #KamalaKhan are great together. #MovieReview #Marvel #Review
No matter the state of the Marvel Cinematic Universe, this particular movie would have had to face a particular kind of hate – if not an uphill battle – that started with Captain Marvel and was sustained by the MCU TV Series: Ms. Marvel that was bashed online or She-Hulk. Let’s not forget the unfortunate movie outings like Quantumania, or the even worse Love & Thunder. Brie Larson, Teyonah Parris…
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wornoutspines · 1 year ago
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The Marvels | Featurette
I'm still really hyped for this movie. #TheMarvels #MCU #MarvelStudio
Writer: Gene Colan & Roy Thomas Director: Nia DaCosta Stars: Brie Larson, Samuel L. Jackson, Iman Vellani, Teyonah Parris, Zawe Ashton, Park Seo-Joon The Marvels will hit theatres on November 10th, 2023
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wornoutspines · 1 year ago
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The Marvels | Official Trailer
I feel like I've done a decent job avoiding spoilers for #TheMarvels but this newest trailer kind of makes me want to check them out but I'll stay strong. #Marvel #MCU #MsMarvel #WandaVision #SecretInvasion #CaptainMarvel #MarvelStudio
Writer: Gene Colan & Roy Thomas Director: Nia DaCosta Stars: Brie Larson, Samuel L. Jackson, Iman Vellani, Teyonah Parris, Zawe Ashton, Park Seo-Joon The Marvels will hit theatres on November 10th, 2023
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wornoutspines · 2 years ago
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The Marvels | Trailer
#TheMarvels teaser has a lot of potential, I can already see how amazing the predicament they find themselves in could look in a well choreographed fight scene. #Marvel #MCU #BrieLarson #TeyonahParris #ImanVellani #SamuelLJackson #TeaserTrailer
Writer: Gene Colan & Roy Thomas Director: Nia DaCosta Stars: Brie Larson, Samuel L. Jackson, Iman Vellani, Teyonah Parris, Zawe Ashton, Park Seo-Joon The Marvels will hit theatres in November 2023
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