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La nouvelle porte-parole de l’Ukraine est une mulâtresse numérique
Rencontrez Victoria Shi – une représentante numérique du MAE d’Ukraine, créée à l’aide de l’IA pour fournir des mises à jour opportunes sur les affaires consulaires !
Pour la première fois dans l’histoire, le MAE d’Ukraine a présenté un personnage numérique qui commentera officiellement pour les médias.
Qu’est-ce que le juif Zelensky sous-entend par là ?
TF1 :
C’est une déclaration pour le moins surprenante que vient d’effectuer le ministère ukrainien des Affaires étrangères. Il a en effet annoncé ce mercredi qu’une porte-parole générée par l’intelligence artificielle (IA) serait désormais chargée de commenter les affaires consulaires. Elle se chargera de lire des textes qui resteront au préalable rédigés par des humains. « Pour la première fois de l’Histoire, le ministère ukrainien des Affaires étrangères a créé une personnalité numérique utilisant des technologies d’intelligence artificielle pour commenter officiellement les informations consulaires destinées aux médias », a déclaré l’institution.
L’avatar qui a vu le jour a été dénommé Victoria Shi, un prénom qui évoque la « victoire » de son pays dans la guerre contre l’invasion russe et un nom de famille qui veut tout simplement dire « IA » en ukrainien. « Je suis une personne numérique. Cela signifie que le texte que vous entendez n’a pas été lu par une vraie personne. Cela a été créé par l’intelligence artificielle », a déclaré dans sa première vidéo la nouvelle porte-parole, sous les traits d’une jeune femme métisse.
La belle victoire de la démocratie métisse de marché, c’est en effet tout l’enjeu de la guerre de BlackRock au monde slave.
Si vous voulez une image de l’avenir, imaginez une métisse négroïde piétinant un visage humain – pour toujours.
Les juifs ont été un peu espiègles, ils n’en ont pas informé les droitardés qui font la promotion de l’état factice ukrainien depuis 2022.
Remarquez, ils sont tellement attardés qu’ils auraient quand même soutenu cette guerre à la Russie.
L’apparence de Victoria Shi ne sera pas totalement étrangère aux citoyens ukrainiens, puisqu’elle est inspirée de celle d’une chanteuse et influenceuse ukrainienne. Celle-ci se nomme Rosalie Nombre : née à Donetsk, elle a participé à l’édition ukrainienne de l’émission de téléréalité « The Bachelor ».
Voilà qui est rassurant.
Je l’ai déjà dit, mais il vaut mieux le redire : la seule façon pour l’Ukraine de conserver un semblant de ses caractéristiques ethniques est une victoire de la Russie. Rien d’autre.
L’alternative, c’est l’application du traitement démocratique à l’Ukraine dépeuplée, similaire à celui infligé à toutes les nations qui se trouvent déjà sous la botte judéo-américaine : l’immigration de remplacement et la démocratie multiraciale à perpétuité.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, avant la victoire des juifs en 1945, toutes les capitales du monde occidental étaient blanches.
youtube
Ces juifs préparent le terrain en mettant en scène le « nouveau visage » de l’Ukraine démocratisée et, étonnamment, elle a les traits d’une mulâtresse random de New York, Londres ou Paris.
Cela rend d’autant plus cruelle, et franchement grotesque, la mort pour l’Ukraine zelenskiste de tous ces hooligans depuis 2022. Surtout sous les ordres d’un juif, ce qui n’a visiblement jamais troublé leurs consciences.
Hélas, les hooligans ne sont pas connus pour avoir de solides connaissances historiques, politiques ou théoriques.
Si l’Ukraine gagnait, ce qui aujourd’hui est heureusement devenu impossible, la « reconstruction » du pays par la finance juive impliquerait l’importation à grande échelle de toutes les races de boue possibles et imaginables.
Les cadavres des derniers hommes ukrainiens n’auraient pas fini de pourrir en terre, que des bandes de chieurs de rue importées d’Inde ou du Pakistan seraient établies partout tandis que des gangs de nigérians superviseraient la traite de leurs filles survivantes dans les bordels du pays, bordels sur lesquels les juifs prélèveraient leurs parts, bien entendu.
Mykola était un brave goy
Il est à espérer que les Russes attrapent vivant Zelensky, car ce juif doit répondre à de très nombreuses questions avant d’être humilié rituellement et châtié.
Démocratie Participative
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Macron s’en va-t-en guerre, mironton, tonton, mirontaine...
Petit rappel : je vous ai proposé hier deux ''éditos'' sur Poutine en utilisant un autre angle de vue que le ''procès à charge et à sens unique'' en cours ! L'excès en tout est un défaut, et tue jusqu'à la possibilité de trouver une solution aux crises. Je précisais : ''En fait, la seule utilité d'un ’‘blogueur” serait de donner sa chance à une pensée non-clonée qui est, de nos jours, condamnée et ostracisée avant-même d'être entendue''. C'est avec ce ''bémol'' qu'il faut lire l'éditorial de ce jour : je ne prétends pas détenir la vérité... mais le discours actuel, lui, est à la fois faux, fou, et mortel, à terme.
Un jour, sans que personne ne lui demande à quoi il pensait –ce dont, d'après les sondages, une majorité de français se fout complètement-- Macron, seul au monde à oser émettre des idées aussi indéfendables, a déclaré à une conférence internationale de soutien à l’Ukraine (21 chefs d’État à l’Élysée) : ''La défaite de la Russie est indispensable (sic !) à la sécurité et à la stabilité de l’Europe. Et si ça (?) tourne mal, il faut envoyer des troupes''. Notre ''le plus jeune Président jamais'' a même ajouté : ''Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre''... sans préciser ce que voulait dire tout et gagner. ''Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont dites...'' murmurait Philinthe à Oronte, hors de toute culture française !
La bonne nouvelle, c'est que pas un seul des caciques présents n'a suivi cette prise de position suicidaire : nuls, mais pas fous ! En revanche, 64 % des français questionnés, pauvres victimes de la ''Propaganda'' officielle macrono-bideneuse, croient à la fable d'un Poutine attaquant tous les pays d'Europe à la fois, des pays baltes à la Moldavie, dès le lendemain matin d'une victoire sur l'Ukraine (qui est déjà ''de fait'', nous l'avons expliqué hier. Mais le voudrait-il, qu'il ne le pourrait pas !).
A trois reprises déjà, ce Blog a parlé de l'Ukraine. La première fois, c'était le 2 déc. 2021, un peu avant le début de cette guerre que, seul ou peu s'en faut, j'avais clairement annoncée (''Editorial'' n°1331 : ''L'Ukraine : une petite Russie... ou la guerre'')... La seconde fois, le 28 fév. 2022, le jour-même de l'invasion russe (éditorial n°1375, ''Mourir pour Kiev ?'')... et la troisième fois, le 3 déc. 2022 (''La crise russo-ukrainienne : quelques vérités dérangeantes'') : la partition était facile à déchiffrer puisque, petit blogueur de quartier, j'y étais arrivé et que, en 7 années, les événements ont suivi fidèlement ce qui était annoncé... Offrons-nous un ''retour sur images'' :
En février 2022, j'écrivais : “Faut-il mourir pour Kiev ? L'analyse de nos soi-disant “experts du 20 heures” tenait alors en quelques affirmations évidemment fausses qu'ils enchaînaient sans honte : Poutine est fou (?), il a le cancer (?), des complots de Palais autour de lui (?), le peuple russe va se révolter (?), les dégâts des blocus successifs sont gigantesques (?), l'armée russe n'est pas prête (?) et les armements fournis par l'OTAN (?) devaient amener assez vite la victoire totale de l'Ukraine (?), bientôt suivie de son adhésion triomphale à l'OTAN, pour le bonheur (?) des peuples européens euphoriques, dansant de joie dans les rues de nos capitales''… Et je commentais : ''Ou bien ils ont raison de penser que Poutine est fou… et leur “jusqu'au boutisme” nous mène à l’apocalypse... ou bien ils ont raison de voir des succès ukrainiens partout et ils n'ont alors pas besoin du battage médiatique et du lavage de cerveau qu'ils nous font subir... Ou bien, plus vraisemblablement, ils ne sont pas sûrs du tout du bien-fondé de ce qu'ils nous racontent''.
Sans rien retirer à l'horreur de la situation, au courage des ukrainiens bien à plaindre, ni au fait que Poutine, dont le “dossier” était excellent jusque là, s'est mis en tort “plein pot” en passant à l'acte… tous nos Nuls majuscules ont été obligés de découvrir que leurs idioties n'ont aucun effet : la Russie tient bon, infiniment mieux que nous, et a toujours 300 000 hommes de plus à jeter dans toute bataille. En fait, ce conflit ne peut évoluer –comme il a été dit ici-même dès le premier jour-- que… soit en une guerre de 100 ans... soit en préférant le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.. à un maintien difficilement justifiable de frontières qui ont été dessinées sans aucun lien avec les raisons (staliniennes) au nom desquelles on prétend les faire perdurer
(NDLR – Souvenirs, souvenirs : pour ma génération, nos livres de géographie, le Demangeon, et nos cartes murales Vidal-Lablache plaçaient Crimée et Donbass dans l'URSS –je l'ai vérifié. Et tous les bons auteurs des siècles précédents --tels Jules Verne (Michel Strogoff) ou la Comtesse de Ségur (''née Rostopchine'')-- n'ont jamais hésité à savoir où ne s'arrêtaient pas les frontières de la Russie.
J'ai hésité avant de publier ce billet : son contenu est tellement loin du discours officiel que j'ai peur de choquer quelques lecteurs. S'il n'est pas question d'excuser l'invasion de l'Ukraine, cela ne suffit pas à interdire toute réflexion sur le ''pourquoi'', sur le ''comment'' et sur les raisons qui ont rendu cette faute difficilement évitable. Les condamnations systémiques et a priori, les jugements dont les ''attendus'' ne sont pas corroborés par les faits, les ''Haro sur le baudet'' qui sont une caractéristiques du moment affreux que nous vivons, ne sauraient déboucher sur des solutions intelligentes. Et les derniers discours de Macron ne sont rien moins que terrifiants, tant ils ferment toutes les portes... à double tour.
Que peut-il se passer maintenant ? Jusqu'aux deux récentes initiatives incompréhensibles de Macron, (son pacte de 10 ans, il y a 15 jours, et son intervention au sol)--, il semblait à peu près exclu que ce conflit s’étende au-delà de l’Ukraine, contrairement à ce que blatèrent les moulins à bobards US. D'abord parce que les US et l’OTAN (sauf la France, donc) ont confirmé qu’ils ne combattraient pas la Russie (ce ne sont que des promesses de politiciens, mais c'est un micro-signe !), et parce que la Russie n’est pas en état de mener une extension du conflit, contrairement à ce qui se raconte sur nos petits écrans, pollués par les idées fixes de la doxa élyséenne...
La Russie refuse une Ukraine-porte-avions-américain à ses portes. Elle refuse aussi d'être “occidentalisée” de force... et elle a les moyens de sa volonté de suivre une autre voie, laissant tous les pays occidentaux s'enfoncer dans le naufrage “XXL”, économique, moral et idéologique en cours (inflation, invasions migratoires, émeutes, violences urbaines, décolonialisme ''woke'', racisme inversé, ou haine anti-Blancs)... et dans la dégringolade verticale de la morale et de la moralité (déviances sexuelles promues au rang de ''Valeurs'', négation de notre passé chrétien, promotion des mouvements LGBT, de la drogue, des réseaux pédophiles et des changements de sexe des petits enfants (une monstruosité !), etc… ces fausses ''modes'' toutes létales auxquelles la Russie a bien résisté, devenant l'ennemi public n°1 de l'Occident en chute... Mais personne n'a cherché à savoir s'il n'y aurait pas un peu de vrai, dans ce diagnostic...
Seul contre tous (donc je me trompe sûrement)… je crois voir, plutôt, que 60 % de la planète soutient Poutine et tourne le dos à l'Occident, à ses analyses au premier degré, et à sa façon de voir les choses, refusant tout net d'adhérer à son jugement et à ses “sanctions” –très coûteuses à Paris mais à peine visibles à Moscou qui se porte infiniment mieux que notre France “en arrêt permanent’‘ : les pénuries et l'éclatement social sont bien plus graves ici que ’'là-bas”, et la popularité de Poutine en Russie est bien supérieure à l'impopularité XXL de Macron en France, que les processus électoraux soient ''truqués'' ou pas (87 % de ''pour Poutine'', avant-hier. Attendons nos ''européennes'', dans 2 mois, et on comparera les scores ! Les paris sont ouverts !).
Car avant de critiquer leurs élections... souvenons-nous du scandale qu'à été l'éviction de François Fillon... seule explication à l'élection de Macron, c'est-à-dire à notre dégringolade actuelle, à notre état pré-insurrectionnel, à la déchirure du peuple français, à la fin de notre industrie, de notre agriculture, de notre école, et de nos hôpitaux, à l'envol dingue de notre dette... à la mort de notre culture, de notre Histoire et de notre civilisation, à toutes les catastrophes qui nous pendent au nez... et à notre perte de l'espoir de nous redresser un jour...
H-Cl.
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« Il s’est chié dessus » : Medvedev s’amuse de la nouvelle annulation du voyage de Macron à Kiev.
Ce tweet est ÉPIQUE.
Et dire que pour traîner Macron dans la merde à ce niveau, il nous faudrait être :
ex-président de la Fédération de Russie
chef de l’effort de guerre russe
Ce ne sera pas pour cette vie, je le crains.
Sacré Dmitry, merci d’avoir pitié de nous qui devons subir cette énorme fiotte de Macron.
Donc, en fait, Macron comptait aller voir le terroriste juif de Kiev, mais il a annulé sa visite au dernier moment. C’est la seconde fois.
Le président français Emmanuel Macron se rendra en Ukraine « dans les prochaines semaines », a déclaré la présidence, dans un nouveau report apparent d’une visite qui aurait déjà dû avoir lieu.
French President Emmanuel Macron is to travel to Ukraine « in the coming weeks » the presidency said, in an apparent new postponement of a visit that was supposed to have already taken place.https://t.co/tzP1bFbqE7 — AFP News Agency (@AFP) March 11, 2024
D’après Medvedev, Macron allait être reçu par une bordée de missiles russes sur la capitale ukrainienne. Je crois les Russes capables de cibler au moins l’immeuble voisin de celui où il se trouverait.
C’est normal, du reste. Macron veut faire tuer des tas de gens pour les besoins de sa campagne électorale, il est logique qu’il soit exposé.
Vivement la suite.
Démocratie Participative
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«Pour éradiquer l’infection»: Medvedev rappelle que l’armée russe peut revenir à Kiev si nécessaire
«S’il faut aller à Lvov, nous irons à Lvov», foyer historique du nationalisme ukrainien et plateforme logistique de l’OTAN, car proche de la Pologne.
«Notre pays est en guerre avec l’armée de l’OTAN forte de 3,6 millions de militaires, a estimé Medvedev, faisant référence aux effectifs très théoriques de l’Alliance, combattants et non-combattants, en additionnant les armées de ses membres, plus l’armée de Kiev.
Il est nécessaire d'atteindre tous les objectifs qui ont été fixés pour protéger nos territoires: chasser tous les étrangers qui s'y trouvent, et créer une bande sanitaire démilitarisée, afin de rendre impossibles les tirs d’armes à courte et moyenne portée. Soit 70 à 100 kilomètres, a préconisé Medvedev.
En février 2022, l’armée russe était parvenue dans la banlieue de Kiev en quelques jours seulement, dans un mouvement pour fixer l’armée ukrainienne sur la capitale et faciliter l’opération dans le Donbass.
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Joe Biden en visite surprise à Kiev, une première depuis le début du conflit Attendu en Pologne mardi, le président américain s’est finalement rendu dans la capitale ukrainienne, un déplacement tenu secret jusqu’à ce que des images soient diffusées par des médias et des parlementaires ukrainiens. https://www.instagram.com/p/Co4YQqBojue2fhXxsylIlmmWUlrNIhSJO2pmP80/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Une série d'explosions s'est produite à Kiev
© Photo : Service d’urgence de l’État de la région de Soumy Les pompiers ukrainiens éteignent l’incendie. Photo d’archive MOSCOU, 22 novembre – RIA Novosti. Une série d’explosions s’est produite dans la capitale ukrainienne, a rapporté la publication “Strana.ua” sur la chaîne Telegram . “Des explosions <…> se font entendre à Kiev”, indique le journal. Continue reading Une série d’explosions…
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L'EXPRESS - "Vous êtes notre futur" : en Ukraine, une nouvelle rentrée scolaire sous les bombes - 02/09/2023
Près de 3 000 écoles ukrainiennes ont été détruites ou endommagées depuis le début de l’invasion. Après les réparations, l’une d’elles rouvre ses portes.
La guerre, les bombardements, l’exil… : du haut de ses douze ans, Rouslan a déjà vécu beaucoup trop de drames. Le garçon aux joues rondes et juvéniles, dont le regard trahit une certaine tristesse, fait sa première rentrée "en vrai" depuis le début de l’invasion, dans le bourg de Sytnyaky, à 60 kilomètres à l’ouest de Kiev, dans le district de Boutcha.
Il y a dix-huit mois, le 15 mars 2022, son école a été touchée par un bombardement. La région où se situe ce grand bâtiment, qui regroupe une école primaire et un collège, s’est retrouvée au cœur des combats pendant près d’un mois quand les troupes russes tentaient d’envahir Kiev. L’autoroute qui la traverse était stratégique pour atteindre la capitale.
(...)
"Vous êtes notre futur" : en Ukraine, une nouvelle rentrée scolaire sous les bombes – L'Express (lexpress.fr)
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19 août : Journée internationale de l'aide humanitaire
L’ONU commémore la tragédie de Bagdad de 2003. Le 19 août, un camion piégé explosait devant l’hotel Canal, siège de l’ONU dans la capitale irakienne. On relèvera 22 morts et 150 blessés. L’attentat sera revendiqué quelques jours plus tard par une guérilla pro-saddam Hussein, le dictateur déchu qui avait alors disparu. En 2009, l’ONU a transformée la commémoration annuelle de la tragédie en une Journée internationale de l’aide humanitaire.
À l'occasion de la Journée mondiale de l'aide humanitaire, l’ONU attire l'attention sur les millions de civils touchés par les conflits armés chaque jour. Ceux qui habitent dans les villes luttent pour trouver de la nourriture, de l'eau et un abri sûr, tandis que les combats chassent des millions d'autres de leurs foyers. Les enfants sont recrutés et utilisés pour se battre, et leurs écoles sont détruites. Les femmes sont maltraitées et humiliées, comme en Afghanistan sous le règne des talibans. Et alors que les travailleurs humanitaires apportent de l'aide et que les travailleurs médicaux traitent les blessés et les malades, ils sont directement pris pour cibles, traités comme des menaces et empêchés d'apporter secours et soins à ceux qui en ont désespérément besoin. L’accueil des migrants menacés dans leur pays d’origine est un des axes majeurs de l’aide humanitaire. La crise afghane puis la crise ukrainienne sont l’occasion de mettre en jeu la solidarité internationale dont l’ONU se réclame.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde
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Guerre en Ukraine : journée de deuil à Kiev où le bilan des morts s'alourdit (revoir notre direct) - RTBF Actus
Source: RTBF
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https://www.journaldemontreal.com/2022/01/28/qui-larmee-canadienne-forme-t-elle-en-ukraine
NORMAND LESTER
Vendredi, 28 janvier 2022 15:39
MISE À JOUR Vendredi, 28 janvier 2022 15:39
Justin Trudeau vient d’annoncer l’élargissement et la prolongation de trois ans de l’opération d'assistance à l'armée ukrainienne UNIFIER. L’effectif des Forces armées canadiennes sur place pourrait doubler pour compter jusqu’à 400 militaires. Trudeau a insisté sur le fait que la mission du Canada n’en était pas une de combat, mais d’entraînement et de formation. Depuis le début de la mission, en 2015, le Canada a formé environ 33 000 soldats ukrainiens.
Encore faudrait-il qu’Ottawa surveille qui l’armée canadienne forme et entraîne en Ukraine.
L’Université George Washington de la capitale américaine a publié une étude troublante sur la présence du groupe d'extrême droite «Centuria» à l’Académie militaire nationale ukrainienne (NAA) Hetman Petro Sahaidachny. Selon l’étude, des membres de Centuria se sont vantés sur les réseaux sociaux d'avoir reçu une formation des Forces armées canadiennes et d’autres armées occidentales. Des conseillers militaires canadiens sont affectés à plein temps à l’académie qui possède d’ailleurs une «salle de classe Delta» de haute technologie parrainée par le Canada.
Centuria s’est donné pour mission de faire de l'armée ukrainienne un instrument de défense de l'«identité culturelle et ethnique» des peuples européens. Ça ne correspond pas exactement au multiculturalisme trudeauiste. Le groupe affirme que ses membres servent comme officiers dans plusieurs unités de l'armée ukrainienne.
En avril 2020, Centuria a fait sur internet l’éloge de la division SS ukrainienne «14e Waffen Grenadier» de la Seconde Guerre mondiale, présentant l’unité nazie comme «le symbole qui fait peur aux ennemis de l'Ukraine». Parmi les figures nazies vénérées par Centuria, l’officier SS belge Léon Degrelle, décrit comme un «vrai Européen».
CAPTURE D’ÉCRAN DE CENTURIA SUR TELEGRAM MESSENGER
Le ministère ukrainien de la Défense a déclaré qu'il ne contrôlait pas les postulants à son académie militaire pour leurs opinions ou leurs appartenances politiques. Pas plus que le Canada, les États-Unis, le Royaume-Uni ou la France, qui prêtent assistance à l’Ukraine pour former les futurs officiers de ses forces armées.
Dans une déclaration à CTV News lors de la publication de l'étude de l’Université George Washington, les Forces armées canadiennes se sont dites «très préoccupées» par ces révélations. La sécurité militaire canadienne n’avait rien vu, rien su. Vraiment?
Centuria a des liens étroits avec le mouvement ukrainien d'extrême droite Azov, dont l’aile militaire appelée «Bataillon Azov» opère comme détachement d'opérations spéciales de la Garde nationale ukrainienne.
Le logo du bataillon Azov, semblable à une croix gammée IMAGE TIRÉE DE WIKIPÉDIA COMMONS
Des documents de la défense nationale obtenus par l'Ottawa Citizen à la suite d'une demande d’accès à l’information indiquent que des officiers et des diplomates canadiens ont rencontré des chefs du bataillon néonazi Azov en juin 2018. Pourtant, en 2015, le ministre de la Défense du gouvernement Harper, Jason Kenney, avait affirmé qu’Azov n’était rien de plus qu'un «petit nombre de brebis galeuses» et ne recevrait pas de soutien canadien.
Un porte-parole de la défense nationale s’est senti obligé de préciser au Citizen que «le Canada n'a pas fourni et ne fournira pas de soutien à Azov et aux entités affiliées». Ah bon! Quelles vérifications ont été faites?
Azov est aussi un mouvement politique néofasciste en pleine croissance. Ses membres s’attaquent régulièrement à des manifestations antifascistes, des personnalités et des médias adverses, à l'instar de milices américaines comme les Proud Boys et les Oath Keepers. La fragile démocratie ukrainienne serait-elle aussi menacée par l’extrême droite que la démocratie américaine?
Le Congrès américain a interdit en 2018 toute aide budgétaire «pour fournir des armes, une formation ou une autre assistance au bataillon Azov» et a maintenu cette disposition dans le projet de loi budgétaire de 2021. Les législateurs américains ont demandé à plusieurs reprises au Département d'État de désigner Azov comme organisation terroriste. Le Canada de Justin Trudeau devrait en faire autant. OK, OK, vous allez me dire que ce n’est pas le moment, présentement.
Un rapport de 2016 du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme détaille les accusations de torture et d'autres crimes portées contre Azov à l’occasion de la révolution de Maïdan et des troubles entourant l’annexion de la Crimée par la Russie. Une violation du droit international n’en justifie pas une autre.
Si l'Ukraine sombre dans une guerre de partisans après une invasion russe dans les semaines qui viennent, comme c’est à prévoir, il faut s’attendre à ce que les milices néonazies ukrainiennes d’adonnent de nouveau à des exactions comme en 2014. Même celles dont les officiers auront reçu une formation de nos forces armées.
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La situation entre la Russie et l'Ukraine s'est encore aggravée avec les récents événements survenus vendredi. Selon les déclarations officielles, l'Ukraine aurait tiré un missile en direction de Moscou, tout en lançant simultanément une attaque coordonnée en utilisant 42 drones sur la péninsule de Crimée. Cette action représente l'une des plus vastes attaques aériennes ukrainiennes à ce jour sur le territoire sous contrôle russe. Le ministère russe de la Défense a confirmé qu'un missile S-200 modifié avait été abattu au-dessus de la région de Kalouga, située à proximité de la capitale russe. Les autorités russes ont souligné que le missile avait été intercepté par la défense aérienne dans la région de Kalouga, qui se trouve à moins de 200 kilomètres de Moscou. Heureusement, aucune victime n'a été signalée, selon Vladislav Shapsha, le gouverneur de Kalouga. Parallèlement, le ministère de la Défense russe a fait état d'une attaque sur la Crimée, péninsule annexée par la Russie en 2014. Dans cette attaque, neuf drones ont été neutralisés par les forces de défense aérienne, tandis que 33 autres ont été rendus inopérants grâce à des contre-mesures de guerre électronique. Ces derniers se sont écrasés au-dessus de la Crimée sans atteindre leurs cibles prévues. Il est important de noter que l'Ukraine considère la Crimée comme faisant partie de son territoire internationalement reconnu. Mikhaïl Razvojaev, gouverneur de la ville portuaire de Sébastopol en Crimée, a confirmé que plusieurs drones avaient été détruits au-dessus du promontoire de Khersones, près de Sébastopol. Ces développements récents soulignent les tensions grandissantes entre les deux pays et la fragilité de la situation en cours. Les détails restent à clarifier, mais cette escalade ne manque pas d'attirer l'attention internationale sur la région.
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Note : le journal The Times n’est pas un site factice créé par les services de renseignements russe, mais l’un des journaux britanniques les plus respectés et Tristan Mendès « France » est bel et bien juif.
J’allais justement le dire, mais si les Anglais le disent en premier, très bien.
Il est temps de parler de la chute de Kiev (écrivez « Kyiv » si vous êtes homosexuel).
C’est désormais admis : l’Ukraine est finie et ce n’est qu’une question de temps avant que la Russie remporte une victoire triomphale sur le juif Zelensky.
The Times :
Nous sommes en juillet et l’armée russe est aux portes de Kiev. Le président Zelensky diffuse un message d’urgence pour réitérer ses propos provocateurs, prononcés pour la première fois en février 2022, selon lesquels il n’a pas besoin de quitter l’Ukraine. Non, il a besoin de munitions pour rester et combattre les Russes. Si seulement l’Occident avait écouté et fait davantage lorsque les courageux Ukrainiens imploraient de l’aide, cela aurait pu faire la différence. Alors que les alliés se querellent et que les États-Unis finissent par fournir 60 milliards de dollars d’aide supplémentaire, le printemps se transforme en été et les troupes de Poutine percent les lignes au sud et à l’est. Les forces ukrainiennes en retraite n’ont pu que ralentir leur progression. Lorsque les Russes se sont rapprochés de la capitale, une nouvelle vague de réfugiés a fui l’Ukraine pour se mettre à l’abri des bombardements incessants.
Tel est le scénario cauchemardesque qu’envisagent aujourd’hui les responsables politiques occidentaux. Les événements obligent les dirigeants militaires et civils de Londres, Washington, Paris et Bruxelles à envisager l’effondrement catastrophique des forces ukrainiennes, privées des armes et des munitions dont elles ont besoin.
Contrairement à l’opinion prédominante selon laquelle il s’agit d’un « conflit gelé » perpétuel, où aucune des parties n’est en mesure de prendre un avantage décisif, la ligne de front est âprement disputée et il existe un risque réel de voir les forces ukrainiennes repoussées. Les dirigeants de l’OTAN doivent espérer que leur rassemblement à Washington en juillet pour un sommet célébrant le 75e anniversaire de l’alliance ne sera pas accaparé par une telle crise.
Il y a un an à peine, la situation était bien différente. On espérait alors une offensive ukrainienne au printemps pour reconquérir le territoire. Cela n’a pas fonctionné et, comme le magazine américain Foreign Affairs l’a écrit cette semaine, « l’Ukraine saigne ». « Sans une nouvelle aide militaire américaine, les forces terrestres ukrainiennes pourraient ne pas être en mesure de tenir la ligne face à une armée russe implacable ».
Les gouvernements qui soutiennent le plus fermement l’Ukraine sont manifestement inquiets et envisagent même les pires scénarios. La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a lancé plusieurs avertissements sur le fait que l’Ukraine était à court d’argent, tout en exhortant le Congrès à adopter le projet de loi sur l’aide qui est bloqué en raison de luttes législatives intestines. Les États-Unis risquent d’être responsables de la défaite de l’Ukraine, a-t-elle déclaré.
Une avancée russe serait évidemment désastreuse pour les Ukrainiens. Elle confronterait également l’Occident à toutes sortes de défis difficiles à relever. Les alliés enverraient-ils des troupes pour défendre Kiev ? Le président Macron a clairement senti le danger et tente d’orienter l’Occident vers une approche plus musclée en évoquant la possibilité d’envoyer des troupes au sol. D’autres pays, comme l’Allemagne, s’y opposent fermement.
Selon un sondage réalisé en janvier par le Conseil européen des relations étrangères dans 12 pays, seuls 10 % des électeurs pensent que l’Ukraine peut gagner. Quelque 37 % d’entre eux pensent qu’un compromis est le plus probable et 19,5 % pensent que la Russie finira par l’emporter.
D’autres scénarios que la défaite militaire sont possibles, bien sûr. Il pourrait y avoir un coup d’État en Russie ou un président Trump nouvellement élu pourrait chercher à imposer un cessez-le-feu et une capitulation de facto de l’Ukraine. Peut-être que l’Ukraine s’accroche et que l’Europe se ressaisit, en utilisant le poids d’un PIB dix fois supérieur à celui de la Russie pour une population trois fois et demie plus importante.
Ce n���est pas une question de PIB. Environ 90% du PIB de l’Europe est à l’ouest du continent et les Européens de l’Ouest se foutent énormément du sort de cet état factice post-soviétique qu’est l’Ukraine.
Quant aux rares états d’Europe qui s’en soucient, ce sont des états sans le moindre sou qui appellent à la guerre, mais avec notre argent. Qui peut croire que les Pays Baltes ou la Roumanie peuvent faire la différence face à la Russie ?
La seule chose que l’Ukraine a créé, ce sont des problèmes entre l’Europe développée et la Russie, pour le compte des juifs de Washington.
La défaite de l’Ukraine est indispensable au retour de l’ordre sur le continent. Pour que les bourgeoisies européennes soient définitivement vaccinées de leur suivisme pro-américain, il faut que cette défaite soit sévère, avec une épuration de l’Ukraine à grande échelle par les forces de libération russes.
Cet exemple refroidirait les têtes brûlées qui parlent bien trop fort depuis la Finlande, les Pays Baltes ou la Pologne. Ces gens-là doivent réapprendre la politesse.
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La crise russo-ukrainienne : retour sur des vérités douloureuses…
Devant la violence d'un pilonnage médiatique et politique qui n'admet même pas l'existence d'une pensée “autre”, j'avais opté pour une posture “en retrait” : “Dans les périodes troubles, conseillait Sénèque, le sage se terre”. Mais, chaque jour, je reçois pourtant une véritable ‘’moisson’’ de mails, plus souvent “va-t'en guerre” qu'autre chose, qui me font peur : ou bien ils ont raison de penser que Poutine est fou… et leur “jusqu'auboutisme” nous conduit vers l’ apocalypse… ou bien ils ont raison de voir des succès ukrainiens partout… et ils n'ont alors pas besoin de tout le battage médiatique ambiant, ni de leurs prises de positions –qui ne s'expliquent que s'ils ne sont pas si sûrs du bien-fondé ou du résultat final qu'ils annoncent.
Le problème, tel que je crois qu'il se pose, est : “Faut-il mourir pour Kiev ?”. En réponse à cette question angoissante, la parole de nos soi-disant “experts du 20 heures” tient en quelques affirmations indémontrables : Poutine est fou (?), il a le cancer (?), des complots de Palais autour de lui (?), le peuple russe va se révolter (?), les dégâts des blocus successifs sont gigantesques (?), l'armée russe n'est pas prête (?) et les armements fournis par l'OTAN (?) –qui est bien entendu tout-à-fait extérieure à ce conflit (?) devaient amener assez vite la victoire totale de l'Ukraine (?), bientôt suivie de son adhésion triomphale à l'OTAN, pour le bonheur (?) des peuples européens euphoriques, dansant de joie dans les rues de nos capitales…
Vous souvenez vous que chaque jour, au plus noir de la crise dite “du covid” , des médecins, rebaptisés “La Science”, ont eu “tout faux” jour après jour (personne ne devrait oublier une seule de leurs scandaleuses “intubations” qui assassinaient plus et mieux que tout SARS-Cov II !) ? Eh ! bien, de la même manière, des “experts du 20 heures” sur l'Ukraine, ex-généraux d'Etat-major (CR), si admiratifs les uns des autres qu'ils se répètent en circuit fermé… ne voient pas que leur suivisme béat ne fait pas progresser le schmilblick d'un iota… Bien au contraire : les occidentaux découvrent qu'ils sont plus isolés qu'ils ne se le racontent, et sont de plus en plus détestés : obsédés par leur “vouloir avoir raison” ontologique, ils ont cru trouver, dans le vote de l'ONU le 24 février dernier, que (je cite) “une majorité écrasante de la communauté internationale a confirmé son fort soutien à l'Ukraine” (sic !)… alors que les 39 pays qui ont refusé de condamner l’agression russe (malgré les terribles pressions US) représentent 4,2Mds de personnes, soit sensiblement plus de la moitié de l’humanité (“Mince de majorité écrasante”, comme on dit familièrement !).
Seul contre tous (donc je me trompe sûrement)… je lis plutôt qu'une grosse moitié de la planète a tourné le dos à l'Occident –sans doute pas à cause de l'Ukraine, mais “parce qu'il est l'Occident”, ce qui ne change rien aux chiffres–, et refuse d'adhérer à ses “sanctions” –très coûteuses pour les européens mais presque inoffensives pour la Russie qui, même si ça fait mal de le dire, se porte infiniment mieux que notre France “en arrêt reconductible’‘ : pénuries et éclatement social sont bien plus graves ici que ’'là-bas”, et je parie 3 sous ½ que la popularité de Poutine en Russie est supérieure à l'impopularité XXL de Macron en France ! En attendant, à force de voir célébrées les victoires ukrainiennes chaque soir sur nos chaînes, la Russie avance, “lentement mais”… Le rouble va très, bien merci pour lui… Et l'économie russe caracole (+ 2,1 % annoncés pour 2024 par le FMI, vraiment pas “pro-russe”, contre un effondrement, en Europe). Cherchez l'erreur…
Il y a quelques jours, sans doute à cause de ce vote onusien, nos dirigeants ont enfin tous semblé ouvrir les yeux : sans rien retirer à l'horreur de la situation, au courage des ukrainiens bien à plaindre, ni au fait que Poutine, dont le “dossier” était excellent jusque là, s'est mis en tort “plein pot” en déclenchant les hostilités… tous nos Nuls majuscules ont été obligés de découvrir qu'un blocus n'a jamais servi à rien : La Russie tient bon ; ses armées ont toujours un million d'hommes de plus à jeter dans toute bataille ; et ce conflit ne peut se résoudre –comme il a été dit ici-même dès le premier jour (cf. Edito n°1386 du 28 févr. 2022 : “Faut-il mourir pour Kiev”?)– que… soit par et dans une guerre de 100 ans, soit en préférant le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes à un maintien injustifiable de frontières qui ont été dessinées dans des circonstances qui n'avaient rien à voir avec celles au nom desquelles on prétend les faire perdurer. (Souvenirs : Crimée et Donbass, pour ma génération, faisaient partie indiscutable de l'URSS, dans nos livres de géographie Demangeon et sur 100% de nos cartes murales Vidal-Lablache ! –j'ai vérifié).
(NDLR : “ils ont tous enfin ouvert les yeux”… avons-nous écrit ci-dessus. Ces mots s'entendent, bien sûr, “sauf Macron” qui continue à ne rien “piger” au monde actuel. A ce point et à ce niveau, c'est pathétique : notre président est le dernier spécialiste des idées d'avant-hier, et sa vision du monde –si tant est qu'il en ait une– date des années ‘70… Sa prestation en Afrique, avant hier, en a été une preuve de trop ! Ezéchiel prévenait, il y a 2700 ans : “Malheur au pays dont le Prince est un enfant”).
Les “victoires” de Zélensky (autre “puceau” politique, mais qui a surpris tout le monde, en bien, lui) sont si énormes… qu'il en est réduit à quémander de plus en plus d'armes de plus en plus puissantes : toutes celles déjà livrées n'ont, en gros, servi à peu près à rien (si ce n'est un effet-retard)… mais ont mis “à poil” et ’'à l'os’’ les stocks d'armements des pays occidentaux. Et je ne suis pas certain que nos états-majors soient ravis de donner (pour rien et contre encore moins) d'avantage d'armes et de munitions qu'ils n'en possèdent (pour les voir détruites par les russes), au moment où la planète semble “en veillée d'armes d'une conflagration Chine-USA”. Et on se demande même ce qu'il va nous rester à faire défiler sur les ‘’Champs’’, le 14 Juillet ? Des fantassins à trottinette, armés de sarbacanes ?
Mais une fois qu'il a demandé et obtenu des milliards de dollars, puis des millions de tonnes de munitions, puis des canons César, puis des tanks légers AMX 10, puis des chars lourds Leopard ou autres, puis d'autres milliards de dollars, puis d'autres millions de tonnes de munitions… il a fallu qu’il demande des avions, qui arrivent. Et comme tout ce ‘’matos’’ n'a aucune chance d'entraîner un effondrement russe (ce qu'on sait depuis le début !)… il reste quoi ? Mais voyons : la demande d'armes nucléaires tactiques (pour commencer… sauf qu'il faudra bien s'aligner devant la réplique russe, qui sera vraisemblablement monstrueuse…). Et tant pis pour nous (les démocrates US, eux, protégés des batailles, encaisseront les dividendes…).
Personne n'a “voulu” la guerre, ni en 1914, ni en 1939, surtout telles qu'elles se sont déroulées… mais un petit truc en a entraîné un petit autre, sans véritables différences quali- ou quantitatives avec ce que nous vivons. Le résultat de cette myopie volontaire fut… 2 ou 300 millions de morts “tout compris”, à ± 50 millions près, à chaque fois ! Ce coup-ci, la barre serait infiniment plus élevée, nucléaire commande ! Malgré ça, nous refusons de voir que nous sommes en train de danser au bord d'un précipice avec un pied et demi en permanence dans le vide
Biden, pourtant, devrait avoir compris que son ennemi –et le danger, pour lui– n'est pas la Russie mais la Chine… et que 140 milliards de dollars et un véritable arsenal ont déjà été “détournés” de leur véritable objectif asiatique pour ou vers un objectif finalement secondaire (avec tous les “bémols” et les excuses qu'exige l'emploi de ce mot… dont je demande pardon au peuple ukrainien… Mais je ne dispose que d'une page “A4” pour chaque “édito”, et des raccourcis sont donc inévitables !).
Notre “lider minimo” répète devant les caméras, le menton mussolinien, la rouflaquette tremblante et le verbe belliqueux (mais en bras de chemise et en boite de nuit !) que Zélensky “ne peut ni ne doit perdre cette guerre qu'il a peu de chances de gagner”, et que Poutine, lui, “ne doit ni ne peut gagner cette guerre… qu'on lui interdit de gagner”… ce qui, concrètement, ne veut rien dire : une fois qu'on a récité des mots creux… on fait quoi, pratiquement, à part regretter, amèrement, de s'être auto-enfermés dans une nasse sans aucune sortie autre que “à qui perd, perd” dans un jeu sans issue… autre que totalement inenvisageable, et qu'il va pourtant falloir envisager ? Rarement autant qu'aujourd'hui n'ai-je été aussi content (d'une joie morose, et même plus noire que “rose”) de n'être que ce que je suis : à la fois rien et personne !
H-Cl.
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La France, la Russie et les traîtres (suite)
Constatons ici que dans notre milieu patriote, les opinions pro-russes sont logiquement très largement majoritaires. Il existe néanmoins une toute petite minorité de sympathisants pro-Ukraine. Qu’observe-t-on en les regardant de plus près ? Que 1 : Ce sont souvent (pas toujours) des admirateurs du Troisième Reich qui ont noué des contacts ces dernières années avec des camarades ukrainiens à la faveur de voyages dans ce pays. Et 2 : Ils sont mariés à des femmes de l’Europe orientale ou bien habitent eux-mêmes en Europe orientale. Alors autant que ce soit clair : Soutenir l’Ukraine par sympathie pour le régiment Azov peut se comprendre. Soutenir l’Ukraine parce que l’on est marié avec une Ukrainienne, une Slovaque ou une Polonaise peut se comprendre. Soutenir l’Ukraine parce que l’on habite à Varsovie ou à Bucarest et que ses amis proches sont des Européens de l’Est peut se comprendre. Mais ce ne sont pas là des réflexes d’intellectuels. Ces gars-là n’agissent qu’en fonction de leurs intérêts personnels et certainement pas en fonction d’intérêts supérieurs. Ils souhaiteraient que les armées de l’OTAN aillent dérouiller les Russes pour que l’Ukraine et les pays d’Europe orientale puissent conserver leur niveau de vie, qui a considérablement augmenté ces deux dernières décennies grâce aux milliards d’euros tirés de la poche des contribuables français et allemands. Quand ils habitent sur place, ils bénéficient la plupart du temps des allocations de l’État français qui leur permettent de vivre à peu près décemment dans ces pays où tout est beaucoup moins cher qu’ici. Ce qu’ils veulent, c’est continuer à vivre tranquillement dans ces sociétés encore saines et préservées de l’immigration massive (en dépit des pressions de l’Union européenne), à profiter de la société de consommation le samedi et saluer le bras tendu son équipe de foot préférée le dimanche. Parce que, de fait, les partisans de Zélensky dans le milieu patriote français sont surtout des supporters d’équipes de football. Je ne porte pas de jugement ; je constate. Objectivement, les super-nazis qui ont choisi l’Ukraine se retrouvent maintenant du côté de Bernard-Henri Lévy, Macron, Biden et George Soros. Sans s’en apercevoir, ils sont maintenant dans le camp de la démocratie et du mondialisme. Ils ne voient pas le tableau d’ensemble, le « big picture », comme disent les Américains, parce qu’ils sont aveuglés par une petite amie ukrainienne rencontrée quatre ans auparavant. Ils sont maintenant prêts à mourir à 3000 kilomètres de chez eux en laissant leur pays envahi par des hordes de sauvages. Quant aux populations locales, leur haine ou leur crainte des Russes est parfaitement légitime quand on connaît l’histoire récente. Mais ce sont des habitants de l’Europe orientale, et de toute évidence, ils n’ont pas les mêmes intérêts que nous. Et ne nous dites pas que la Russie n’a pas de légitimité dans cette affaire. Quel État accepterait d’avoir des têtes nucléaires à sa frontière pointées contre sa capitale ? Les États-Unis ont réagi avec vigueur en 1961 quand les soviétiques ont tenté d’en installer à Cuba. Les Russes, aujourd’hui, n’accepteront jamais d’avoir des militaires de l’OTAN à 400 kilomètres de Moscou. L’Ukraine doit être un État neutre ou bien revenir à ce qu’elle était depuis des siècles. Selon certains youtubeurs dits "occidentalistes", le soutien à la Russie et à ses peuplades asiatiques, contre une Ukraine blanche ethniquement homogène représenterait une "trahison civilisationnelle".
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BUCAREST, Roumanie (AP) – L'Ukraine et la Roumanie voisine ont signé vendredi un accord pour travailler ensemble afin de stimuler les exportations de céréales de Kiev via la Roumanie après que Moscou a rompu un accord maritime clé en temps de guerre qui permettait un passage sûr à travers la mer Noire. L'accord a été signé lors d'un voyage du Premier ministre ukrainien Denys Shmyhal dans la capitale roumaine, Bucarest, pour des entretiens avec son homologue roumain Marcel Ciolacu. Les deux dirigeants ont discuté des moyens d'augmenter les principales exportations de céréales du pays déchiré par le conflit et d'améliorer les infrastructures de transport fluvial, ferroviaire, routier, maritime, y compris aux postes frontaliers. L'économie de l'Ukraine est fortement dépendante de l'agriculture et ses céréales sont cruciales pour l'approvisionnement mondial en blé, en orge et en huile de tournesol. Ciolacu a annoncé lors d'un entretien avec les médias après la réunion qu'il espère que la Roumanie pourra transporter plus de 60% des exportations de céréales de l'Ukraine. LIRE LA SUITE: Les prix mondiaux des denrées alimentaires augmentent après que la Russie a mis fin à l'accord sur les céréales avec l'Ukraine et que l'Inde a restreint les exportations de riz Il a aussi noté l'objectif "ambitieux" de doubler le transport de céréales ukrainiennes à travers la Roumanie qui a été fixé quelques jours auparavant lors d'une réunion qui comprenait des responsables occidentaux et ukrainiens dans la ville roumaine de Galati, sur le Danube. La Roumanie a l'intention de doubler le montant de 2 millions à 4 millions de tonnes par mois, mais Ciolacu n'a pas précisé de calendrier pour l'augmentation. "J'ai souligné l'importance de la collaboration entre nos pays ainsi qu'avec nos partenaires internationaux", a-t-il déclaré. Le dirigeant roumain a également ajouté que le port de la mer Noire de Constanta restera une voie de transport clé pour acheminer les marchandises ukrainiennes vers le marché international. Le canal de Sulina, un bras du Danube sur ce qui est le deuxième plus long fleuve d'Europe et une voie de transport clé, jouera aussi un rôle. La réunion bilatérale intervient au milieu de semaines de frappes russes sur le stockage de céréales et les installations portuaires de l'Ukraine le long du Danube. L'Ukraine s'est de plus en plus appuyée sur ces ports du Danube après que Moscou a rompu un accord maritime clé en temps de guerre qui permettait le passage sûr des exportations de céréales à travers la mer Noire. En conséquence, Kiev a cherché à rediriger les transports via le Danube et les liaisons routières et ferroviaires vers l'UE. Pour sa part, le Premier ministre ukrainien Shmyhal a annoncé que les deux voisins viseront à rationaliser les contrôles aux frontières aux points de passage pour faciliter le transport plus fluide des marchandises. "Nous avons discuté de l'amélioration des infrastructures de transport détruites par la Russie", a-t-il déclaré. Ciolacu a également ajouté: "Nous resterons aux côtés de l'Ukraine aussi longtemps qu'il le faudra."
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