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#CHICHI-PUI
momonohana-blog · 2 years
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millennium-bright · 5 months
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swedesinstockholm · 3 months
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11 juin
quand on a pris le métro j'ai commencé à sentir que je faisais la gueule parce qu'il me racontait quelque chose sur le carrelage de la station mais j'arrivais pas à m'y intéresser parce que j'avais juste envie de me coller contre lui. j'ai mis le sujet de la collab sur le tapis pendant qu'on attendait le bus, je lui ai fait part de mes doutes et de mon manque de source d'inspiration/d'exemple auquel me raccrocher, il m'a dit qu'il voulait pas m'en donner parce qu'il avait peur que ça gâche tout, que ça lui était déjà arrivé avec une musicienne suédoise sur qui il avait eu un coup de foudre musical, tiens tiens. je me suis demandé si c'était elle mon homologue. il disait que souvent le simple fait d'en discuter avant d'avoir fait quoique ce soit gâchait tout, donc j'ai dit ok changeons de sujet et quand je rentre je t'envoie un enregistrement and we go from there ok? et il m'a regardée d'un air surpris et reconnaissant en disant wow merci d'avoir pris les devants. j'aime cette lara-là, directe et franche et sans chichis. même si parfois je suis un peu brute. il m'a demandé de lui raconter l'histoire de mon roman mais j'avais pas envie de lui parler de a. alors j'ai dit non j'ai pas trop envie sans donner d'autre explication.
j'avais presque pas envie que s. le bassiste et m. la camerawoman nous rejoignent, je voulais rester seule avec lui pour toujours. avec s. c'était bien, mais dès que m. est arrivée j'ai changé de mood parce que c'était une fille et que je me sentais menacée. menacée de quoi je sais pas, étant donné que j'avais rien à perdre, puisque j'avais rien. avant qu'elle arrive on a fait un essai tous les trois avec le téléphone de r. et à la fin j'ai chanté le jingle de nostalgie parce que c'est les mêmes notes que les trois dernières notes du morceau et ils étaient tous les deux morts de rire et je sais pas si je l'aurais fait avec la fille dans la pièce. peut être que si. j'aime être la seule fille avec des mecs. et j'aime pas aimer ça, parce que j'aime pas, mais alors vraiment pas l'idée de me sentir en compétition avec d'autres filles. mais c'est malgré moi. elle m'a défendue en plus quand r. m'a dit de plus bouger mon visage quand je chante en disant on est pas tous jim carrey r. elle nous disait de plus nous regarder quand on chantait aussi mais dès que nos regards se sont croisés j'ai complètement perdu le fil de la chanson donc j'ai tout de suite abandonné cette directive. je me demande s'il pensait que j'étais meilleure performeuse que ça et qu'il s'est dit putain qu'est-ce qui m'a pris de la faire venir du luxembourg pour ça? il m'a quand même dit que j'étais trop jolie sur les rushes et que j'avais une présence de malade et puis il a ajouté une présence de malade mental(e?) parce qu'il trouvait ça drôle. tout le monde me dit que j'ai une présence de malade et je sais pas quoi en faire. j'espère que je trouverai à berlin. je lui en ai pas parlé. de berlin. j'ai déjà envie de le revoir putain.
la narratrice de miranda july s'est mis un élastique en caoutchouc autour du poignet et à chaque fois qu'elle pense au mec auquel elle doit pas penser elle tire dessus. d'après ses calculs elle pensait à lui à peu près 4000 fois par jour. je me demande combien de fois par jour je pense à r. peut être que je devrais essayer la technique de l'élastique. mais ça marche pas trop pour elle. alors elle fait le ménage, parce que ça l'occupe. elle dit que quand elle fait le ménage elle devient "the dutiful servant of a future, unheartbroken self." je trouve ça trop beau.
j'osais pas chanter à voix haute pendant qu'on tournait mais j'en avais trop envie alors je susurrais, parce que ça m'aidait à être plus expressive, et à la fin r. m'a dit c'était cool de t'entendre susurrer le morceau! et j'ai poussé un cri d'horreur mortifiée qu'il m'ait entendue. je me demandais si la fille avait deviné que j'étais amoureuse de lui cul par dessus chaise. si ça se voyait sur mon visage, ou plutôt dans mon comportement, vu que je devais probablement faire la gueule. hier matin quand j'ai parlé de lui à la kiné (elle me demandait ce que j'allais faire cette semaine alors je lui ai parlé du clip) j'ai senti mon sourire manger mon visage, mon visage illuminer le cabinet et mon corps s'élever au dessus des nuages. je lui ai parlé de berlin aussi. je crois qu'elle m'a implicitement encouragée à y aller. vous savez parfois il faut pas trop réfléchir et y aller. est-ce que j'avais pas dit que je voulais faire les choses sans réfléchir quand je sortirais de la non-vie? j'avais pas littéralement dit ça?
quand m. a dit à o. que je partais vivre à berlin le mois prochain il a cherché ma nouvelle adresse sur google maps et il a dit wow beautiful location! mais il avait un peu sous-estimé l'échelle de grandeur de la ville alors il m'a dit tu pourras faire du vélo. on lui a dit qu'on était pas trop vélo dans la famille mais j'ai dit but maybe i can be a new person in berlin. une fille qui fait du vélo et qui n'est pas amoureuse de r. d. je peux devenir la fille de mes rêves. bon mais je suis déjà un peu la fille de mes rêves là qui dit oui à tout ces derniers temps oui je viens faire une lecture à paris alors que je sais pas où je vais dormir oui je t'accompagne à ta fête parisienne où je connais personne oui je viens vivre dans ta coloc à berlin oui je viens jouer dans ton clip à bruxelles oui oui oui et de fil en aiguille je vais me détricoter de la Situation et me faire glisser dans la vraie vie.
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nullzo10 · 1 year
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maddogsociety · 9 months
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Bon. Je crois que finalement ce réveillon sans trop de chichi c'est pas si mal.
Regarder un film sympa en mangeant une tarte flambée ( que j'ai fait moi même ) c'est pas trop mal.
Je me suis maquillée quand même et je me suis coiffée aussi. On a fait quelques photos avec ma maman et puis voilà. Tranquille Émile.
Aujourd'hui on est un peu sorties en banlieues de Lyon, c'était sympa.
Pour l'instant, tout se passe bien.
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gonagaiworld · 1 year
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Le illustrazioni realizzate dall'Intelligenza Artificiale possono essere monetizzate Chichi-Pui aggiungerà la possibilità di monetizzare i contenuti pubblicati su questa piattaforma. Info:--> https://www.gonagaiworld.com/le-illustrazioni-realizzate-dallintelligenza-artificiale-possono-essere-monetizzate/?feed_id=367428&_unique_id=645f415b44303 #Culturaotaku #FANTIA #Intelligenzaartificiale #Pixiv
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aimzmwrn · 2 months
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雑感
AIイラスト投稿サイト「chichi-pui」は、7月4日に「ちちぷい生成機能限定」の投稿企画を開催したユーザーにポイントを進呈すると発表しました
https://chichipui.notion.site/300pui-a326731ee1d443648dcb9853ca158168
「ちちぷい生成機能」とはchichi-puiが提供するAI画像生成サービスで、そのサービスで使えるポイントを主催者にプレゼントするという試みです
ただし、「ちちぷい生成機能限定」ではR-15・R-18の投稿企画は開催できないという制約がありました
これを受け、私は「R指定の投稿企画を開催するユーザーがいなくなってしまうのでは?」という不安に駆られてしまいました
chichi-puiでは、ガイドラインの範囲内であればR指定の作品も投稿可能で、もちろんそれに限定した企画も開催することができます
しかし、全年齢向けに比べて、R指定限定の企画は圧倒的に開催数が少ないのが現状でした
chichi-puiはこれまで、「マジックミラー号」とのコラボや「アンリミテッド生成機能」など、成人向け表現に対して寛容なスタンスを取っているように見受けられましたが、この発表によって「サイト全体でR指定の表現が萎縮してしまうのでは?」と考えました
私はすでに、全年齢向けの「みんなの水分補給」と「ヤバいアイドル総選挙」の開催が決まっており、開催後の反応を見てから次の企画を考える予定でしたが、それを待たずしてR指定の企画を2件応募しました
応募した「舌フェチが沼る4日間」と「大人のバスタイム」は、どちらも無事審査を通過し、開催が決定しました
ただし、これらが開催されるのは今から1ヶ月以上先のことです
それまでの間は、chichi-puiの寛容さに感謝しつつ、自分自身も萎縮することなく様々な画像を発表し続けます
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fred-the-curator · 3 months
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Jungle Jack x GrandBazaar L'homme des Tavernes
Jungle Jack x GrandBazaar « L'homme des Tavernes » Commençons par Jungle Jack. Ce gars-là, c'est comme un Indiana Jones du rap français. Avec son flow acéré et ses lyrics qui sentent bon la naphtaline vintage, Jungle Jack explore les recoins les plus sombres de l'underground. Il pourrait probablement rapper le menu d'une taverne médiévale et en faire un hit.  Et puis, on a GrandBazaar. Comme son nom l'indique, ce producteur, c'est un véritable souk musical. Il mélange les sons comme un alchimiste fou, créant des beats plus addictifs qu'une partie de poker dans un casino clandestin. GrandBazaar, c'est le genre de mec qui pourrait faire groover un moine trappiste avec ses compositions.   Dans "L'homme des Tavernes", ces deux-là nous servent un cocktail sonore qui sent bon le cuir usé et la fumée de cigare. C'est du rap brut de décoffrage, sans chichis ni paillettes, qui te donne envie de commander une pinte de bière dans un gobelet en étain.  Jungle Jack et GrandBazaar, c'est comme un duo improbable sorti tout droit d'un roman de fantasy urbaine. L'un te bombarde de références vintage et de jeux de mots tordus, l'autre te plonge dans une ambiance sonore plus sombre qu'une ruelle mal éclairée un soir de nouvelle lune.  Alors, si vous voulez goûter à du rap qui a du coffre et qui ne mâche pas ses mots, foncez écouter "L'homme des Tavernes". C'est comme une virée dans un bar clandestin des années 30 : ça picote, ça surprend, et ça vous laisse une agréable sensation de transgression. Allez, trinquez avec vos oreilles et à la prochaine pour plus de pépites musicales qui déchirent ! via Blogger https://ift.tt/aDmYbw6 July 05, 2024 at 12:00PM
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lysdalhia · 3 months
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MA PREMIÈRE SORTIE 
De manière un peu inattendue nous nous sommes retrouvées à trois à faire une sortie de Mattindia, mes compagnes d’échappé se nomment Claire et Jade, des françaises de Narbonne. Première fois pour moi que cette sortie en taxi vers le musée d’histoire du Kerala, une deuxième étape : le Palace Montains et un temple hindou Agasthia 
Yiddishs le taxi-man, parle bien l’anglais et connaît très bien sa région. Il nous sera un guide précieux, double fonction qu’occupent souvent les chauffeurs de taxi. 
Le musée qui finalement a surtout à montrer les divinités et un certain nombres d’accessoires.  Il a une curiosité au deuxième étage. ça ressemble un peu à la caverne d’Alibaba, le musée vend des pièces anciennes. 
Claire fond pour une Tara, la même que celle que j’ai dans ma chambre, en plus grande. Tara est la déesse de la compassion, elle représente le féminin de Shiva. Sans elle pas de Shiva. 
En nanas, deux heures se sont écoulées sans même s’en rendre nt compte. Le taxi patient nous attend. Au retour il nous signale quand même qu’on ne pourra visiter l’intérieur du palais qu’il faudra se contenter des jardins. 
Après ces deux heures confinées à l’intérieur, la visite des jardins nous convient parfaitement. 
Avec mes deux camarades nous sommes très vite trouvées, pas de chichis, généreuses, aimant l’échange « On était raccord » comme on dit. C’était très agréable. 
Une grande bâtisse blanche en haut d’une colline, de grands escaliers mènent au palais, les jardins sont de part et d’autres. De nombreuses familles indiennes sont là, elles se prennent en photo. A deux reprises je propose de prendre la photo. Une des familles nous la retrouverons au temple. 
Le palais est l’ancien centre administratif de Maharadjah. Maintenant il propose une collection de vêtements armes et bizarrement de vélos 
Un petit arrêt dans mon premier café indien et découvert ce qu’ils appellent le Chai, offert par Claire. 
Puis ce fut la traversée de la ville, dans ce que j’ai vu, le plus grand chaos circulatoire. De partout, ça surgit, ça frêne, ça débit bien sûr ça klaxonne. Je filmais ébahie c’était comme dans les films. 
A l’arrivée le guide nous prévient : c’est sans chaussures. Je rechigne on est sur un parking de terre et de pierres. Il est intraitable : non c’est comme ça. 
Les temples hindous de la région ne sont pas les beaux temples sculptés ou empilés des autres parties de l’Inde que l’on trouvera pas exemple en masse dans le Tamil Nadu. Ici c’est comme un énorme marché couvert décoré. 
Tout en ayant au cœur du lieu un vrai temple, sorte de maison chinoise et là c’est très beau. Mais n’étant pas hindou nous n’avons pas le droit d’y rentrer. Mais il y a une fenêtre ouverte où l’on voit les pièces qui se succèdent en enfilade pour arriver à la divinité Amma. Les pénitents femmes et hommes passent par des portes sculptées qui sont en or. Précision les hommes se présentent dans le temple torse nu. 
J’ai avec mes camarades pu allumer une mèche posée dans une petite coupelle d’huile avec une prière. Un homme est là qui veille au mur de lumière. On dirait un sage indien, grande barbe blanche, sari jaune safran. Le guide nous explique qu’il est sans bien été qu’il est nourri par les dons fait au temple. 
C’était un moment très fort pour nous trois. 
Autre curiosité : une énorme balance 
Je demande : à quoi ça sert ? 
Quand il y a une demande de guérison on se pose d’un côté de l’autre l’équivalent en riz, papaye, oranges… quand la balance trouve l’équilibre, l’offrande est prête.  Elle est remise au temple. 
Il y en aurait encore beaucoup à raconter sur cette escapade du jour mais justement le jour ici tombe et le dîner sera bientôt servi. 
Ce soir les tambours donnent du son. Il y la fête sur la rive en face. C’est un peu la brousse africaine. 
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jepersonne · 4 months
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868 (Puy-en-Velay -> Linards, 2)
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voiture 1
dame maigre de plus de 65 ans approx
elle aime les coquelicots et les fleurs blanches à côté des coquelicots
elle dit qu'elle a peur du radar, un radar intelligent qui fait la moyenne de la vitesse du véhicule sur un tronçon donné, alors elle roule lentement à cause des amendes déjà reçues
60 km/h, il y a un bouchon derrière
elle dit que les gens sont gentils ici, surtout à Saint-Paulien, elle a une vieille grange et un potager là-bas, elle dit qu'il y fait frais, elle dit qu'elle a des amis qui la chérissent parce qu'elle est excellente cuisinière
elle travaillait à Antibes
c'était trop pour elle
elle parle de copropriété et d'un problème d'espaces verts, elle parle d'un procès, elle parle de deux lesbiennes*
on fait 10 kilomètres, stop près du rond-point, vouvoiement, l'espace est meilleur pour tendre le pouce, il pleut, il fait gris, normal
-
*je repense à sa mention des deux lesbiennes, elle en parle lors d'une prise de parole pendant laquelle elle parle des gens en ville qui ne savent pas vivre simplement, elle mélange ce propos avec le fait qu'à Antibes les gens sont riches, ce sont ses mots, elle parle du sud, pour elle c'est dans le sud que les gens sont superficiels, je comprends que, selon elle, superficialité / problème de copropriété /lesbianisme / richesse semblent avoir un lien : celui de personnes qui se peuvent se regarder, trop selon elle, et je me permets de l’interpréter comme ça car tout au long de ces dix minutes d'échange, elle ne cesse d'en appeler à une recherche de simplicité, une envie de vivre des choses normales, sans chichi, et ce bien-vivre semble se caractériser par le fait de se dispenser de se poser certaines questions et de ne pas trop faire chier les autres en suivant un supposé bon sens commun (cf. selon elle, tout le monde semble avoir compris l'accord tacite par rapport à la propriété à partager, sauf les lesbiennes)
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millennium-bright · 5 months
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reussir-a-tout-prix · 9 months
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À la Une de la Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel : l’Union européenne est orpheline. « Le père de l’Europe » est mort, écrit Le Soir : Jacques Delors s’est éteint mercredi 27 décembre, chez lui à Paris, à l’âge de 98 ans. Et ce jeudi matin, tous les journaux européens rendent hommage à celui qui est, pour certains, « l’architecte » de l’Europe, pour d’autres son « bâtisseur » – dans tous les cas, celui qui a construit de ses idées le projet européen. Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel Un homme discret, pour qui « le glamour n’a jamais été important » se souvient la Sueddeutsche Zeitung. Un homme qui se distinguait par son « élan » autant que sa « modestie » estime Le Soir, « sans chichis » ajoute encore El Pais. Quelques pages plus loin, le journal espagnol affirme sans ambages qu’« aucune personnalité n’est autant associée que la sienne à la présidence de la Commission » qu’il a emmenée pendant dix ans. Un héritage imposant En fait, sans « ​​​​​​​ce petit homme presque discret, l’euro n’existerait pas aujourd’hui », assène le Sueddeutsche Zeitung, « et peut-être même pas le marché intérieur ». Car malgré sa modestie, Jacques Delors était animé, « désireux de changer le cours des choses », croit savoir Le Temps. De tout son parcours – employé de la Banque de France, député européen, ministre de l’Économie et des Finances –, c'est bien son « ​​​​​​​long mandat » auprès de la Commission européenne qui marque le plus les esprits. →A lire aussi 🔴 En direct Guerre Israël-Hamas : 500 morts dans le bombardement d’un hôpital à Gaza Une décennie parmi « les plus fertiles de l’Europe » salue Le Soir, ponctuée par « ​​​​​​​le temps du marché unique, du traité de Maastricht, de l’Union économique et monétaire, de la charte sociale, du programme Erasmus ». Et comme si cela ne suffisait pas, c’est aussi, ajoute le journal belge, « ​​​​​​​le temps de l’élargissement » (Portugal, Espagne, Autriche, Finlande, Suède). Et puis, « ​​​​​​​le temps de la réunification allemande » ; le temps, enfin, « ​​​​​​​des prémices de l’euro ». Un personnage ne faisant pas l’unanimité Et particulièrement pas en Grande-Bretagne où, se souvient le Guardian, « ​​​​​​​Delors s’est régulièrement pris le bec avec la Première ministre d’alors, Margaret Thatcher ». Au point de devenir « ​​​​​​​le croquemitaine en chef des eurosceptiques britanniques », jusqu’à ce coup d’éclat du Sun, dont se souvient le journal britannique : « Ce sont ces relations qui ont conduit le tabloïd à titrer en Une, en 1990, "Delors, va te faire voir". » →A lire aussi Décès de Moumy et la sortie de son album ce vendredi : Wally Seck a pris sa décision Rétrospectivement, estime le Guardian, c’était « ​​​​​​​un avant-goût de ce qui se produirait 25 ans plus tard durant la campagne pour le Brexit ». En France non plus, Jacques Delors ne faisait pas l’unanimité : « Vous n’êtes pas assez à gauche pour le Parti socialiste », lui aurait dit l’ancien président François Mitterrand, rappelle ainsi Libération. Jacques Delors a, en effet, « perdu de nombreux amis à gauche » avec ses politiques d’austérité au début des années 1980. Mais tout est affaire de points de vue, puisque Le Figaro considère au contraire que Delors était un « ​​​​​​​géant de la gauche française ». En France, l’histoire d’une succession de loupés D’abord, Jacques Delors n’a jamais été Premier ministre. Il y a eu aussi ces bras de fer fréquents avec son propre camp, lui qui, selon Le Temps, « ​​​​​​​incarne sans états d’âme la rigueur ». Et surtout, il y a ce que le journal suisse, mais aussi Le Soir, qualifient de « ​​​​​​​rendez-vous manqué » : son renoncement à la présidentielle de 1995. À l’époque, se souvient Libé, il rentre en France, « ​​​​​​​auréolé de son bilan à Bruxelles » et « ​​​​​​​est vu comme le seul, à gauche, à avoir une stature d’homme d’État ». En ce 11 décembre 1994, raconte Le Soir, « ​​​​​​​le pays entier est suspendu à la télévision », dans l’attente de l’évidence : l’officialisation de la candidature de Jacques Delors.
Et pourtant : « ​​​​​​​C’est la douche froide. Le candidat pressenti renonce. Et c’est irrévocable. » Car en réalité, croit savoir le journal belge, « ​​​​​​​de [la] gauche, il sait pertinemment qu’il n’est que le candidat par défaut, lui dont le programme n’est pas alors franchement celui défendu par les socialistes ». revue-de-presse-internationale →A lire aussi Construction de l’Usine de Mbakhana : 2 Européens et des Africains à l’ouvrage Car Jacques Delors voulait apurer les finances publiques, brutalement s’il le fallait. Et puis, peut-être, interprète Le Temps, Jacques Delors était-il « l’homme qui craignait de se salir les mains ». C’est à partir de ce moment-là que, à l’aube de ses 70 ans, il se retire peu à peu dans l’ombre, collabore avec l’Unesco, crée son think tank. Avec le temps, reconnaît le Sueddeutsche Zeitung, « son influence a diminué ». Cela n’interdit pas au journal allemand de rendre ce dernier hommage : « ​​​​​​​Merci, monsieur Euro. » Par : La Rédaction Kafunel
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nullzo10 · 1 year
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katakaal · 9 months
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À la Une de la Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel : l’Union européenne est orpheline. « Le père de l’Europe » est mort, écrit Le Soir : Jacques Delors s’est éteint mercredi 27 décembre, chez lui à Paris, à l’âge de 98 ans. Et ce jeudi matin, tous les journaux européens rendent hommage à celui qui est, pour certains, « l’architecte » de l’Europe, pour d’autres son « bâtisseur » – dans tous les cas, celui qui a construit de ses idées le projet européen. Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel Un homme discret, pour qui « le glamour n’a jamais été important » se souvient la Sueddeutsche Zeitung. Un homme qui se distinguait par son « élan » autant que sa « modestie » estime Le Soir, « sans chichis » ajoute encore El Pais. Quelques pages plus loin, le journal espagnol affirme sans ambages qu’« aucune personnalité n’est autant associée que la sienne à la présidence de la Commission » qu’il a emmenée pendant dix ans. Un héritage imposant En fait, sans « ​​​​​​​ce petit homme presque discret, l’euro n’existerait pas aujourd’hui », assène le Sueddeutsche Zeitung, « et peut-être même pas le marché intérieur ». Car malgré sa modestie, Jacques Delors était animé, « désireux de changer le cours des choses », croit savoir Le Temps. De tout son parcours – employé de la Banque de France, député européen, ministre de l’Économie et des Finances –, c'est bien son « ​​​​​​​long mandat » auprès de la Commission européenne qui marque le plus les esprits. →A lire aussi 🔴 En direct Guerre Israël-Hamas : 500 morts dans le bombardement d’un hôpital à Gaza Une décennie parmi « les plus fertiles de l’Europe » salue Le Soir, ponctuée par « ​​​​​​​le temps du marché unique, du traité de Maastricht, de l’Union économique et monétaire, de la charte sociale, du programme Erasmus ». Et comme si cela ne suffisait pas, c’est aussi, ajoute le journal belge, « ​​​​​​​le temps de l’élargissement » (Portugal, Espagne, Autriche, Finlande, Suède). Et puis, « ​​​​​​​le temps de la réunification allemande » ; le temps, enfin, « ​​​​​​​des prémices de l’euro ». Un personnage ne faisant pas l’unanimité Et particulièrement pas en Grande-Bretagne où, se souvient le Guardian, « ​​​​​​​Delors s’est régulièrement pris le bec avec la Première ministre d’alors, Margaret Thatcher ». Au point de devenir « ​​​​​​​le croquemitaine en chef des eurosceptiques britanniques », jusqu’à ce coup d’éclat du Sun, dont se souvient le journal britannique : « Ce sont ces relations qui ont conduit le tabloïd à titrer en Une, en 1990, "Delors, va te faire voir". » →A lire aussi Décès de Moumy et la sortie de son album ce vendredi : Wally Seck a pris sa décision Rétrospectivement, estime le Guardian, c’était « ​​​​​​​un avant-goût de ce qui se produirait 25 ans plus tard durant la campagne pour le Brexit ». En France non plus, Jacques Delors ne faisait pas l’unanimité : « Vous n’êtes pas assez à gauche pour le Parti socialiste », lui aurait dit l’ancien président François Mitterrand, rappelle ainsi Libération. Jacques Delors a, en effet, « perdu de nombreux amis à gauche » avec ses politiques d’austérité au début des années 1980. Mais tout est affaire de points de vue, puisque Le Figaro considère au contraire que Delors était un « ​​​​​​​géant de la gauche française ». En France, l’histoire d’une succession de loupés D’abord, Jacques Delors n’a jamais été Premier ministre. Il y a eu aussi ces bras de fer fréquents avec son propre camp, lui qui, selon Le Temps, « ​​​​​​​incarne sans états d’âme la rigueur ». Et surtout, il y a ce que le journal suisse, mais aussi Le Soir, qualifient de « ​​​​​​​rendez-vous manqué » : son renoncement à la présidentielle de 1995. À l’époque, se souvient Libé, il rentre en France, « ​​​​​​​auréolé de son bilan à Bruxelles » et « ​​​​​​​est vu comme le seul, à gauche, à avoir une stature d’homme d’État ». En ce 11 décembre 1994, raconte Le Soir, « ​​​​​​​le pays entier est suspendu à la télévision », dans l’attente de l’évidence : l’officialisation de la candidature de Jacques Delors.
Et pourtant : « ​​​​​​​C’est la douche froide. Le candidat pressenti renonce. Et c’est irrévocable. » Car en réalité, croit savoir le journal belge, « ​​​​​​​de [la] gauche, il sait pertinemment qu’il n’est que le candidat par défaut, lui dont le programme n’est pas alors franchement celui défendu par les socialistes ». revue-de-presse-internationale →A lire aussi Construction de l’Usine de Mbakhana : 2 Européens et des Africains à l’ouvrage Car Jacques Delors voulait apurer les finances publiques, brutalement s’il le fallait. Et puis, peut-être, interprète Le Temps, Jacques Delors était-il « l’homme qui craignait de se salir les mains ». C’est à partir de ce moment-là que, à l’aube de ses 70 ans, il se retire peu à peu dans l’ombre, collabore avec l’Unesco, crée son think tank. Avec le temps, reconnaît le Sueddeutsche Zeitung, « son influence a diminué ». Cela n’interdit pas au journal allemand de rendre ce dernier hommage : « ​​​​​​​Merci, monsieur Euro. » Par : La Rédaction Kafunel
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baitibindja · 9 months
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À la Une de la Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel : l’Union européenne est orpheline. « Le père de l’Europe » est mort, écrit Le Soir : Jacques Delors s’est éteint mercredi 27 décembre, chez lui à Paris, à l’âge de 98 ans. Et ce jeudi matin, tous les journaux européens rendent hommage à celui qui est, pour certains, « l’architecte » de l’Europe, pour d’autres son « bâtisseur » – dans tous les cas, celui qui a construit de ses idées le projet européen. Revue de presse internationale du 28 décembre 2023 Kafunel Un homme discret, pour qui « le glamour n’a jamais été important » se souvient la Sueddeutsche Zeitung. Un homme qui se distinguait par son « élan » autant que sa « modestie » estime Le Soir, « sans chichis » ajoute encore El Pais. Quelques pages plus loin, le journal espagnol affirme sans ambages qu’« aucune personnalité n’est autant associée que la sienne à la présidence de la Commission » qu’il a emmenée pendant dix ans. Un héritage imposant En fait, sans « ​​​​​​​ce petit homme presque discret, l’euro n’existerait pas aujourd’hui », assène le Sueddeutsche Zeitung, « et peut-être même pas le marché intérieur ». Car malgré sa modestie, Jacques Delors était animé, « désireux de changer le cours des choses », croit savoir Le Temps. De tout son parcours – employé de la Banque de France, député européen, ministre de l’Économie et des Finances –, c'est bien son « ​​​​​​​long mandat » auprès de la Commission européenne qui marque le plus les esprits. →A lire aussi 🔴 En direct Guerre Israël-Hamas : 500 morts dans le bombardement d’un hôpital à Gaza Une décennie parmi « les plus fertiles de l’Europe » salue Le Soir, ponctuée par « ​​​​​​​le temps du marché unique, du traité de Maastricht, de l’Union économique et monétaire, de la charte sociale, du programme Erasmus ». Et comme si cela ne suffisait pas, c’est aussi, ajoute le journal belge, « ​​​​​​​le temps de l’élargissement » (Portugal, Espagne, Autriche, Finlande, Suède). Et puis, « ​​​​​​​le temps de la réunification allemande » ; le temps, enfin, « ​​​​​​​des prémices de l’euro ». Un personnage ne faisant pas l’unanimité Et particulièrement pas en Grande-Bretagne où, se souvient le Guardian, « ​​​​​​​Delors s’est régulièrement pris le bec avec la Première ministre d’alors, Margaret Thatcher ». Au point de devenir « ​​​​​​​le croquemitaine en chef des eurosceptiques britanniques », jusqu’à ce coup d’éclat du Sun, dont se souvient le journal britannique : « Ce sont ces relations qui ont conduit le tabloïd à titrer en Une, en 1990, "Delors, va te faire voir". » →A lire aussi Décès de Moumy et la sortie de son album ce vendredi : Wally Seck a pris sa décision Rétrospectivement, estime le Guardian, c’était « ​​​​​​​un avant-goût de ce qui se produirait 25 ans plus tard durant la campagne pour le Brexit ». En France non plus, Jacques Delors ne faisait pas l’unanimité : « Vous n’êtes pas assez à gauche pour le Parti socialiste », lui aurait dit l’ancien président François Mitterrand, rappelle ainsi Libération. Jacques Delors a, en effet, « perdu de nombreux amis à gauche » avec ses politiques d’austérité au début des années 1980. Mais tout est affaire de points de vue, puisque Le Figaro considère au contraire que Delors était un « ​​​​​​​géant de la gauche française ». En France, l’histoire d’une succession de loupés D’abord, Jacques Delors n’a jamais été Premier ministre. Il y a eu aussi ces bras de fer fréquents avec son propre camp, lui qui, selon Le Temps, « ​​​​​​​incarne sans états d’âme la rigueur ». Et surtout, il y a ce que le journal suisse, mais aussi Le Soir, qualifient de « ​​​​​​​rendez-vous manqué » : son renoncement à la présidentielle de 1995. À l’époque, se souvient Libé, il rentre en France, « ​​​​​​​auréolé de son bilan à Bruxelles » et « ​​​​​​​est vu comme le seul, à gauche, à avoir une stature d’homme d’État ». En ce 11 décembre 1994, raconte Le Soir, « ​​​​​​​le pays entier est suspendu à la télévision », dans l’attente de l’évidence : l’officialisation de la candidature de Jacques Delors.
Et pourtant : « ​​​​​​​C’est la douche froide. Le candidat pressenti renonce. Et c’est irrévocable. » Car en réalité, croit savoir le journal belge, « ​​​​​​​de [la] gauche, il sait pertinemment qu’il n’est que le candidat par défaut, lui dont le programme n’est pas alors franchement celui défendu par les socialistes ». revue-de-presse-internationale →A lire aussi Construction de l’Usine de Mbakhana : 2 Européens et des Africains à l’ouvrage Car Jacques Delors voulait apurer les finances publiques, brutalement s’il le fallait. Et puis, peut-être, interprète Le Temps, Jacques Delors était-il « l’homme qui craignait de se salir les mains ». C’est à partir de ce moment-là que, à l’aube de ses 70 ans, il se retire peu à peu dans l’ombre, collabore avec l’Unesco, crée son think tank. Avec le temps, reconnaît le Sueddeutsche Zeitung, « son influence a diminué ». Cela n’interdit pas au journal allemand de rendre ce dernier hommage : « ​​​​​​​Merci, monsieur Euro. » Par : La Rédaction Kafunel
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auto-mation · 1 year
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chichipuiの投稿企画「猫」に投稿したりしなかったりしたやつ
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