#C'est Kanaky-Nouvelle-Calédonie
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So against my better judgement I started watching a French documentary on what's happening in Nouméa, Kanaky New Caledonia and first image:
For those who don't know, Nouméa is in Kanaky New Caledonia, an archipelago in the South Pacific Ocean, close to Australia. It is at about 24 000 km away from France and it takes around 24h to go from France to KNC.
KNC is a melting pot, more Pasifika than French and today, in French media it is acceptable to forgo it's name and simply say 'Nouméa, France' as though they don't exist.
#they disgust me#it's Kanaky New Caledonia🇳🇨#not france#keep your neocolonialism to yourself#C'est Kanaky-Nouvelle-Calédonie#pas France#dîtes notre nom!#say our name#this is erasure!#neocolonialism#france colonialism#free Kanaky#Vive la Kanaky libre#Kanaky vaincra !#independance de la Kanaky-Nouvelle-Calédonie#call for independance#propagande néocolonialiste
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24 septembre : la double face d’une fête nationale en Nouvelle Calédonie
Le 24 septembre est un jour férié en Nouvelle-Calédonie. C’est le 170e anniversaire du rattachement de la Nouvelle-Calédonie à la France. C'est, en effet, le 24 septembre 1853 que le contre-amiral Febvrier Despointes a pris possession de la Nouvelle-Calédonie au nom de l'Empereur Napoléon III.
De fait, le 24 septembre est considéré comme une journée de deuil national par les Kanaks, population autochtone de la Nouvelle-Calédonie. Pour eux, cette date ne symbolise que le jour de la prise de possession de leur pays par la France et le début du colonialisme en Kanaky.
Cette fête a été instituée en 1953, année du centenaire. En 2004, dans la foulée des Accords de Nouméa, elle est devenue la Fête de la citoyenneté à l’initiative de Déwé Gorodey, alors membre du gouvernement. Toutes les communautés sont invitées à partager leurs us et coutumes et leur vision de l’avenir. C’est la 19e édition de cette version nouvelle de la fête nationale de la Nouvelle Calédonie. Pour la seconde fois, un festival intitulé Caledonia marque ce moment de l'année. Il se tient à Nouméa, au centre Tjibaou, du 22 au 24 septembre avec pour thématique : "Partageons et affirmons nos cultures", et un accent particulier donné cette année à la jeunesse et la création.
À Moselle, sur la place du Mwa Kââ, le comité, créé à l'occasion du 150e anniversaire de la prise de possession de la Nouvelle-Calédonie par la France, appelle la population, "toutes communautés confondues", à se réunir pour commémorer cette date du 24 septembre, considérée comme un jour de deuil. Le Mwa Kââ, ou "maison de l'humanité", y est symbolisé par un poteau sculpté de douze mètres.
Après plus de trente ans de partage du pouvoir dans la collégialité, les loyalistes restent persuadés que dans l’État de « Kanaky-Nouvelle-Calédonie », les discriminations ethniques se manifesteraient à leur détriment et que seule la France a la capacité de les protéger. De leur côté, les Kanaks, dans leur grande majorité, dénoncent une situation coloniale, l’une des dernières à ne pas avoir été réglée selon l’ONU. Ce 24-Septembre est célèbré, cette année, dans un climat de grande crispation entre les deux camps, surtout depuis le boycott du 3e référendum d’autodétermination (prévu dans les accords de 1988) dont l’organisation était contestée par les indépendantistes. De fait, l’avenir institutionnel de l’archipel demeure très flou. L’Union calédonienne (UC), principale composante d’un Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) a rejeté le projet Darmanin et rompu toute relation avec le gouvernement, tout en appelant à une mobilisation politique pour ce 24-Septembre… À ces tensions locales s’ajoutent les tensions géopolitiques récurrentes dans la zone Asie-Pacifique.
La France considère, en effet, la Nouvelle-Calédonie comme un territoire stratégique essentiel dans la région Asie-Pacifique pour contrer les ambitions chinoise. Des exercices militaires sont d’ailleurs en cours. Du 10 au 30 septembre l'armée de Terre française et son homologue japonaise s'entraînent conjointement en Nouvelle-Calédonie dans le cadre de l'exercice Brunet-Takamori 23.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 23 septembre 2023
#Kanak#Kanaky#Nouméa#Febvrier Despointes#colonisation#indépendance#Nouvelle-Calédonie#Mwâ Kââ#Déwé Gorodey#Païta
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Ne regardez pas de loin ce qui se passe en Kanaky Nouvelle Calédonie, l'armée et le shutdown des réseaux sociaux. Si vous vous en foutez des Kanak parce que c'est loin, parce que personne n'en parle jamais, n'oubliez pas que c'est un laboratoire de la violence et un jour ce sera dans l'hexagone que l'armée arrivera et que nos réseaux seront coupés. La répression des gilets jaunes avait elle même était testé sur les banlieues.
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Les ailes de kanaky
Cette œuvre définie tout pour moi. On a beau quitter notre terre natale, notre famille, nos amis en Nouvelle-Calédonie même au bout du monde on finit toujours par revenir au pays là où on est né pour les revoir et surtout pour se ressourcer car c'est la famille d'abord et mes amis qui me donnent des forces pour aller jusqu'au bout de mes rêves, de mes limites et surtout aller de l'avant. Merci à toute ma famille et à tous mes amis ça été un immense plaisir de vous revoir.
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Nouvelle Calédonie, 25 janvier 2015
Voici l'un des plus étonnants emblèmes faunistiques de Kanaky. Le Tricot rayé est l'un des serpents les plus venimeux du monde (10 fois plus que le cobra royal tout de même), mais sur terre, il a l'énergie d'une patate neurasthénique et l’agressivité d'une tortue sous cannabis. Celui ci est un Tricot rayé bleu
Même lorsqu'on marche dessus, son réflexe est plus de s'enfuir que de tenter de mordre, c'est pourquoi les accidents, s'il y en a jamais eu, sont rarissimes.
Le Tricot rayé doit son nom à sa vague ressemblance à une chaussette qui serait très très longue; c'est une bestiole qui dispose de grands pouvoirs que son caractère placide lui défend d'employer.. rien d'étonnant à ce que cette brave bête soit désormais une mascotte locale, égérie d'une marque de T Shirts.
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Dimanche 17 novembre 2019 – Tiendanite, fief indépendantiste
Hier Geneviève a appelé Gaby, une de ses connaissances kanak, pour lui demander s'il pouvait nous accompagner à Tiendanite, la tribu de la famille Tjibaou, où sont enterrés Jean-Marie Tjibaou, assassiné en 1989, et toutes les victimes de la fusillade de 1984. La réponse positive nous parvient dans la matinée. Il faut alors préparer le manu, pièce de tissu nécessaire à la coutume pour remercier le petit chef de la tribu – le propre frère de Tjibaou – d'accepter de nous accueillir sur ses terres. Préparé par Geneviève dans son bureau, cela permet en plus à Marie-Do de visiter le lycée.
Un déjeuner rapide et nous partons pour Hienghène accompagnés de Gaby, sa femme originaire de Gap et son fils. Une fois arrivés sur place nous obliquons à gauche pour remonter la rivière sur une bonne vingtaine de kilomètres. Le paysage est très vert, rivière bordée d'épais massifs de bambous et fougères arborescentes. La route est parfois goudronnée mais en mauvais état, parfois en piste.
Après quelque temps nous arrivons à la maison de Vianey Tjibaou, frère cadet de Jean-Marie Tjibaou, aujourd'hui âgé de 73 ans, fatigué et souffrant de la goutte… C'est lui-même un des 7 rescapés de la fusillade de décembre 1984 au cours de laquelle deux de ses frères sont morts. Rémi remercie le vieil homme selon la tradition coutumière canaque, en prenant la parole et effectuant les gestes coutumiers : remise du manu accompagné d'un billet de 1000 francs CFP, environ 10 euros. Sans manquer la photo souvenir.
Quelques kilomètres plus loin nous débouchons sur une clairière en pente et engazonnée où l'espace se partage entre une case de chef, une petite église, un alignement de 10 tombes et une tombe isolée et fleurie. C'est celle de Jean-Marie Tjibaou, dans un enclos à part, près de laquelle trône une sculpture traditionnelle faite à cette occasion par les jeunes de Canala.
Même si nous n'embrassons pas totalement les thèses indépendantistes, c'est un moment fort et émouvant tant l'homme a marqué par sa sagesse et son charisme. Son assassinat en 1989 par un de ses collègues indépendantistes, en désaccord avec les accords de Nouméa que Tjibaou avait signés avec Lafleur en 1988, est révélateur des difficultés auxquelles les canaques seront confrontés si un jour ils accèdent à l'indépendance : d'abord s'entendre entre eux… Avant même d'essayer de s'entendre avec les autres populations du Caillou : les caldoches et les métros. Geneviève dépose sur la tombe un bouquet de fleurs de son jardin.
Nous allons ensuite voir les 10 tombes des victimes de l'embuscade de décembre 1984, autre épisode tragique et révélateur de l'histoire récente de la Calédonie. Ces 10 hommes de la tribu de Tiendanite, dont deux frères de J.M. Tjibaou, sont tombés dans une embuscade montée par deux ou trois familles caldoches voisines de la tribu. Un barrage sur la piste et trois équipes armées positionnées en bordure de celle-ci ne leur ont laissés aucune chance. Il semble même qu'ils aient achevé les blessés et brûlé les corps sur place. Sur les 17 hommes embarqués dans les 2 pickups tombés dans le guet apens seuls les 7 qui ont pu s'enfuir ont survécu, certains étant quand même blessés. Au procès qui s'est tenu trois ans plus tard les caldoches ont plaidé la légitime défense par anticipation (!), arguant du fait qu'ils avaient reçu des menaces de mort. Par souci d'apaisement ou par simple lâcheté ils ont tous été acquittés… Là encore le moment est émouvant, d'autant que sur la route du retour nous nous arrêtons au mémorial récemment ouvert sur les lieux de l'embuscade avec les carcasses des deux véhicules criblés de balles et la narration des événements.
Après ces petits moments d'histoire de la République et ses colonies, Gaby nous emmène voir le terrain où il a passé son enfance et où ses ancêtres sont enterrés. Vestiges d'une vie canaque passée, avec traces d'une case de chef et buttes de culture d'ignames. Malgré 25 ans passés en métropole il ne pouvait que revenir vivre sur ces lieux ancestraux. Il nous montre également le terrain en friche qu'il a cédé à son fils de 20 ans pour qu'il s'y établisse et construise sa maison.
Nous terminons la journée dans la case en dur de Gaby située sur une ancienne léproserie. Il nous offre à boire et quelques bananes fraîchement cueillies avant de nous entreprendre sur la marche de la Calédonie vers l'indépendance. Membre de l'UC, Union Calédonienne un des quatre partis prônant l'indépendance de la Calédonie, sans doute depuis sa création il y a 50 ans, il y milite activement. Il considère que la Calédonie doit accéder à la pleine souveraineté pour ensuite négocier des partenariats stratégiques avec qui bon lui semble y compris la France mais pas que. Il pense que les 4 composantes indépendantistes canaques ayant un objectif commun elles parviendront à s'entendre pour gouverner le nouvel Etat. Enfin il considère que tout le monde aura sa place dans la Kanaky nouvelle, canaques, caldoches et métros. Nous pensons en silence et unanimement qu'il s'illusionne sur beaucoup de ces points.
Geneviève lui dit être particulièrement choquée par la violence au quotidien sur tout le territoire. Cela l'irrite un peu au point d'affirmer que non, la Nouvelle Calédonie n'est pas violente. Les visites du jour en sont pourtant un éclatant exemple.
Pour finir Gaby nous montre le « Vieux », sorte de totem que les comités locaux de l'UC chargés d'organiser le congrès annuel du mouvement se transmettent au fur et à mesure de l'organisation de ces congrès. Le congrès de l'an prochain se tenant à Touho, c'est donc Gaby qui a hérité du « Vieux » et c'est fièrement qu'il nous le présente en nous demandant toutefois d'éviter de le photographier. C'est sur cette présentation que nous quittons Gaby et ses grandes idées. La conversation aura été intéressante et instructive. En dépit de la motivation et de la volonté des acteurs canaques locaux, le chemin vers l'indépendance nous semble encore bien loin voire même bien illusoire tant la réalité du pays est complexe et les intérêts des différentes communautés antagonistes. Ģaby a beau souhaiter que tout cela ne se termine pas en République bananière, c'est bien ce qui risque d'arriver si un jour le Caillou accède à l'indépendance.
Fin d'une journée très riche en émotions et discussions. Demain retour sur Nouméa, la blanche.
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France ou Kanaky, la Nouvelle-Calédonie va faire son choix
La France ou la "Kanaky"? C'est le choix que font dimanche les électeurs de Nouvelle-Calédonie, petit territoire stratégique de 270.000 habitants dans le Pacifique, lors d'un référendum historique où les sondages prédisent la victoire du non à l'indépendance. Près de 175.000 électeurs de cet archipel français colonisé en 1853 et disposant d'importantes réserves de nickel devront dire s'ils veulent "que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante". from Challenges en temps réel : Économie https://ift.tt/2yO5h5Y via IFTTT
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Il est temps qu'on se casse de la Kanaky. En 2013 l'ONU mettait la Nouvelle Calédonie sur la liste des pays à décoloniser. 2013, c'est nous, c'est tout de suite, c'est maintenant, c'est le 21eme siècle, c'est la colonisation de la France de 2024.
Ils ont coupés Tik Tok, c'est illégal c'est digne des meilleures dictatures.
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