#Brigade antigangs
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Brigade antigangs (1966)
#pierre clementi#the way he said acab immediately and without hesitation in this... that's my king#why is his character's name trois pommes#the amount of leather jacket serving on display...#and the singing and dancing number.....#there are many things that are interesting about him#Brigade antigangs#mine
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Robert Hossein et Michel Galabru dans Brigade antigangs, 1966.
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Absurdité-e-s
Les premiers jours de cette enquête avaient été terribles à vivre pour l’inspecteur Pankol.
Terribles.
Des collègues attifés comme des zazous, qui l’attendaient sur les lieux de la scène de crime des sucettes à la bouche, même pas un seul fumeur dans le tas !
Il l’avait la preuve, il l’avait : en choeur ils lui avaient répondu quand il leur avait demandé comment que ça se faisait qu’ils fumaient pas, au moins la pipe : “ ça fait tousser !”
N’importe quoi, mais alors whaou !
Bon c’était son premier jour à la brigade antigang, il allait pas non plus dès le départ commencer à se mettre à faire le chef et les forcer à au moins chiquer, non, il savait se tenir le Pankol.
Mais c’était quand même le genre de type à qui on, l’a fait pas… Des yeux dans le dos et un moral à toute épreuve, voilà le genre d’article qu’il avait en magasin le bestiau… il avait pas fait l’Indo, ni l’Algérie, mais en vrai il aurait bien voulu.
Problème il était pas né à l’époque.
Certains auraient trouvé ça complexe de quand même vouloir y aller, mais pas Pankol. Dès qu’il avait eu dix-huit ans, il avait pris l’avion tout seul comme un grand et s’était rendu à Oran pour faire comprendre aux autochtones que ça allait pas le faire tout ce cirque avec le FLN. Mais alors pas du tout ! Lui il se voyait comme un citoyen de l’Empire Français depuis qu’il était né, et pas comme un citoyen français. Ce genre de statut c’était pas assez bien pour Pankol.
Bon à Oran, ça c’était pas super bien passé, et ce, dès sa descente d’avion. Parce qu’il avait direct sauté à la gorge d’un militaire local qu’était en faction au moment des faits. Un deuxième classe, mais quand même... Il avait réalisé cette contre-attaque de l’armée française à l’arrache, un peu à la manière de John Rambo. Mimant pour l’occasion le jeu d’acteur de Sylvester Stallone dans sa grande scène de l’attaque de sanglier au cours du film Rambo 1 quand il est dans les Appalaches et qu’il est poursuivi par un shérif qui veut à tout prix qu’il se douche au jet d’eau froide.
Mais cette histoire de jet d’eau et de sanglier, et ben les tondus oranais, ils la connaissaient pas et je crois même que ça aurait rien changer qu’ils fassent le rapprochement. De fait, il avait pris six mois de taule au bled le Pankol, qu’ont été vite fait transformés en quatre semaines en asile d’aliénés, puis en trois jours, parce qu’il s’était découvert une passion pour les relations homosexuelles lors de son séjour en ces lieux propices aux expérimentations de toute sorte. Et le ministre algérien de l’Intérieur de l’époque, il a voulu préserver la morale des taulards et des dingos de là-bas.
C’est un excité de la quéquette dans le privé, le Pankol pas un petit joueur de domino du dimanche.
Encore que dès fois ça arrive que les joueurs de domino du dimanche jouent aussi en semaine, quand la salle des fêtes est prise pour une soirée Bingo, par exemple.
Toujours est-il qu’au final, on pourra dire c’qu’on veut, mais il l’a quand même fait sa guerre d’Algérie perso, le Pankol. Mais il était pas encore inspecteur à ce moment-là de sa vie, et comme il l’est maintenant, là, en direct live où c’est que je vous parle, et ben on va causer de ça. C’est une enquête de police que je relate, pas les souvenirs de Jérémy Pankol, avec ma pipe au coin du feu. D’une parce que j’ai pas de pipe sous la main (ou si peu...) de deux parce que j’ai pas de coin du feu à disposition dans l’immédiat. Mon horoscope dit que ça va pas tarder, moi j’ai des doutes quand même. J’en veux pour preuve qu’hier il m’a dit que j’allais avoir mal au dos, et mes lombaires ça va merci ! Quel connard cet horoscope, pire que la météo !
Mais de tout ça Pankol, pour ne pas le citer, il en avait rien à carrer. D’ailleurs, je doute qu’il lise cette histoire un jour, car à part les SAS de Gérard de Villiers (repose en paix Gégé), il aime pas pas beaucoup la littérature où c’est qu’y a pas de blondasse à gros néné en couverture. Alors vous allez me dire que tout à l’heure j’ai parlé du fait qu’il aimait bien la saucisse, le Jéjé ( pas de Villiers, l’autre), mais tous les goûts sont dans la nature, mesdames messieurs… Je m’étonne par là même que vous n’y ayez pas réfléchi avant d’ouvrir vos grands becs pour direct me reprocher d’une supposée faute de frappe que j’aurais commise à l’endroit de ma cohérence romanesque. Et bien, désolé de vous décevoir, mais ma cohérence romanesque va bien, elle est allée au cimetière à pied ce matin comme Jean-Paul Belmondo … (Ah merde, trop tôt ?)
Bon...
L’enquête piétinait c’est le moins que l’on puisse dire, parce que bon le Pankol, il avait dit négatif à propos des petits chaussons en toile que les agents de la police scientifique avaient voulu lui passer aux paturons. Faut dire qu’il était équipé de bien belles Méphisto l’inspecteur, et il avait argumenté qu’il était pas question qu’on dégrade son allure de vieux de la vieille avec gabardine et borsalino, en lui collant des chaussons en mousse pour pissouses. Négatif !
Si bien qu’au moment où je vous parle, il piétinait comme l’enquête à l’orée de la scène de crime en canardant parfois les pigeons du coin avec son Uzi trafiqué, qu’on lui avait d’ailleurs fait la remarque que c’était pas très réglementaire comme arme de poing... et puis qu’en plus dès fois ses balles ricochaient sur les passants et les badauds, voire même sur les gens… Bon les badauds, vous me direz, y’en a tellement, mais les gens quand même, faut pas charrier... ça donne pas une bonne image de la police nationale ce genre de comportement ! Peu ou prou c’est d’ailleurs ce que lui avait révélé un de ses collègues, mais Pankol en avait rien à secouer de ce que ce collègue pouvait bien avoir à lui dire. D’une parce que c’était pas un, mais unE collègue et de deux, elle avait une alliance au doigt, et donc ça voulait dire qu’elle était mariée. C’est un inspecteur que je vous dis, Pankol, il sait additionner les infos et en sortir une logique pile-poil, qui colle avec la réalité factuelle. Et son dédain pour sa collègue, vous me direz, qu’est-ce que ça a voir avec ? Eh ben tout… Pankol c’est un mec respectueux des institutions, quelles qu’elles soient. Alors il allait pas pouvoir lui montrer sa saucisse à sa collègue, même pas à noël ! donc vous pensez bien que son avis sur son attitude, elle pouvait se le mettre où elle voulait.
Enfin, ses autres collègues équipés normalement au niveau de l’entrejambe finirent par le rejoindre pour lui expliquer dans le détail ce qu’il avait pas pu inspecter par lui-même, rapport aux chaussons pour pisseuse qu’il avait pas voulu enfiler.
Il en crut pas ses oreilles, le Pankol !
Ni moi non plus d’ailleurs !
Tout ce tralala parce qu’un clodo avait tartiné un clandé à coup de barre à mine !
Pankol en revint pas de tant d’absurdités…
Ni moi non plus, d’ailleurs.
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Maroc : islamistes, Sahraouis, marxistes… Le retour des violences dans les universités
En avril, les universités de Martil, d’Oujda et d’Agadir ont été le théâtre d’une série d’affrontements entre factions étudiantes rivales. Des incidents qui, sans être aussi sanglants qu’au début des années 2000, inquiètent les autorités.
Plusieurs facultés marocaines ont été le théâtre, au cours du mois dernier, d’une série d’incidents violents entre membres de factions idéologiquement opposées. Des événements qui ne sont pas sans rappeler les déchirements survenus au sein de l’Union nationale des étudiants du Maroc (Unem), des années 1960 au début des années 2000.
Les derniers incidents de ce type remontaient à plus de quatre ans. Le 19 mai 2018, à l’université Ibn-Zohr d’Agadir, des affrontements entre des étudiants sahraouis et des membres du Mouvement culturel amazigh (MCA) avaient entraîné la mort de l’étudiant Abderrahim Badri.
Bain de sang évité à Agadir
Le 25 avril 2022, sur le campus de la même université, 23 machettes ont été découvertes par la brigade antigang de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGSN) et la police nationale.
Des armes artisanales qui auraient été remises dans un sac par un chauffeur de taxi à deux étudiants d’Ibn-Zohr. Les trois suspects ont été interpellés et font l’objet d’une enquête judiciaire ordonnée par le Parquet.
Selon les éléments de l’enquête préliminaire, les étudiants en question, Mohamed Layichi et Hassana Elloud, appartiennent à une faction étudiante pro-Polisario. Concernant les machettes, elles auraient été fabriquées par un forgeron de la localité de Sebt El Guerdane.
Le procès des étudiants sahraouis a été reporté au 5 mai à la demande de leur avocat. Le comité pour les étudiants sahraouis à Agadir évoquent des « accusations fabriquées » et « un enlèvement barbare » de la part des autorités.
Moins de deux semaines plus tôt, le 9 avril, c’est l’université d’Oujda qui était le théâtre d’affrontements entre étudiants. Des militants de la gauche radicale, communément appelés les « basistes » (pour leur appartenance à la Voie démocratique basistes, à ne pas confondre avec les « baathistes »), se sont opposés aux militants du MCA. À l’issue des heurts, plusieurs individus ont été convoqués par la police dans le cadre d’une enquête judiciaire.
Mais l’épisode qui a fait le plus parler de lui s’est déroulé le 5 avril au sein de la faculté des Lettres et des Sciences humaines de Martil, affiliée à l’université Abdelmalek-Essaâdi de Tétouan.
En marge des élections pour la formation du Bureau du mutualisme, supervisé par la Coordination de l’Unem, des militants basistes et islamistes en sont venus aux mains.
Motif de la rixe : la tentative des basistes de faire annuler ces élections qu’ils considèrent comme une « imposture » depuis l’échec du 17e Congrès de l’Unem, en 1981. Une intervention que les Adlistes, proches du mouvement fondamentaliste Al Adl wal Ihsane, représentants autoproclamés de l’Unem actuelle, ont contré par la force. Plusieurs d’entre eux auraient répliqué en descendant armés dans la cour pour menacer les membres des chapelles adverses.
Plusieurs sources font état de nombreux blessés admis à l’hôpital Saniat-Dermal de Tétouan, en plus d’importants actes de vandalisme. Seulement, d’après Ayoub Harbaoui, coordinateur national et porte-parole des Démocrates progressistes, basé à Tétouan, « les violences de ce type sont exceptionnelles et ont été largement exagérées dans les médias ». Il assure : « Seuls deux étudiants ont été blessés. Personne n’a été arrêté et aucune procédure disciplinaire n’a été engagée. »
Désaccords clivants
Militant au sein d’un mouvement « marxiste pacifiste » considéré comme la branche étudiante du Parti Annahj Addimocrati (La Voie démocratique), Ayoub se défend : « Nous n’avons rien à voir avec les basistes. Nous sommes absolument opposés à l’usage de la violence, même dans les cas de légitime défense. Mais il est évident qu’on les rejoint dans l’idée que ces élections ne sont ni transparentes ni démocratiques. En réalité, à part les Adlistes, aucune des factions étudiantes n’estime que ces élections sont légitimes. » Le coordinateur des socialistes progressistes justifie cette vague de violences par « l’urgence de remettre sur pied l’Unem », qui n’est plus qu’une « étiquette ».
La restructuration de l’union étudiante est pour le coordinateur syndical l’unique moyen de « concrétiser les demandes des étudiants en termes d’amélioration de l’offre pédagogique et des moyens matériels ». Il développe : « Certaines factions n’ont même pas de coordinateurs. Alors les négociations internes sont impossibles dans la mesure où il n’y a pas d’interlocuteurs officiels. »
Une position partagée par le professeur en sciences politiques Mohamed Tozy. Faisant allusion à l’échec du 17e Congrès de l’Unem, le chercheur étaye : « La non-syndicalisation des étudiants est un des facteurs aggravants. Pour expliquer la situation, on peut revenir sur le 17e Congrès de l’Unem, prévu en 1981 et qui n’a jamais eu lieu, ou sur le flicage permanent des campus universitaires. Au gouvernement, il n’y a pas eu de volonté de comprendre la politisation des étudiants ni de concevoir l’université comme lieu d’apprentissage du politique, de la différence et du pluralisme. »
Pour certains, l’existence de l’Unem n’est même plus justifiée. « Au sein de certaines universités comme à Fès ou à Oujda, les désaccords idéologiques sont si clivants que certaines factions œuvrent sous leur propre nom et non pas sous la bannière de l’Unem », précise Ayoub Harbaoui.
Genèse de l’Unem
Pourtant, l’Unem a jadis été le berceau des mouvements politiques marocains de tous bords. De la naissance des partis de gauche à l’arrivée au pouvoir des islamistes, l’influence de l’union s’est progressivement délitée. Pour comprendre la chute de cette institution historique, il faut revenir à son congrès fondateur de décembre 1956. À son issue, celui qui est alors prince héritier, Hassan II, est nommé président d’honneur de l’organisation nationale.
Jusqu’en 1958, l’Unem reste dans le giron de l’Istiqlal, avant de se ranger du côté de l’aile progressiste du parti. Lors du quatrième congrès du 27 août 1959, l’Unem devient officiellement le bras syndical de l’Union nationale des forces populaires (UNFP), issue de la scission au sein du parti d’Allal El Fassi.
Mais le sixième congrès à Azrou (1961) marque une nouvelle étape pour l’Unem. L’organisation passe à l’opposition et appelle au boycott du référendum constitutionnel de 1962. La fin des années 1960 sera marquée par une violente contestation étudiante, fortement réprimée par le pouvoir.
À cette période, l’Unem se radicalise à gauche et dès 1969, le courant marxiste-léniniste conteste le monopole des étudiants socialistes. Principales sources de divergence : « l’attentisme des socialistes » et la question du Sahara. En moins de trois ans, le mouvement d’extrême gauche gagne du terrain, jusqu’à se hisser à la présidence de l’Unem. Mais le 24 janvier 1973, les autorités décrètent l’interdiction administrative de l’Union.
Quand sera levée l’interdiction, en novembre 1978, l’organisation aura été largement désertée par son noyau militant progressiste. Une fragilité structurelle qui coïncide avec la montée progressive du mouvement islamiste dès les années 1980, comme les courants issus de la Chabiba Islamiya (ancêtre du PJD) et autres sympathisants d’Al Adl wal Ihsane.
Communautarisation des conflits
Ces récents affrontements étudiants peuvent laisser croire à une alarmante résurgence d’un phénomène ancien. « Quand on s’y intéresse de plus près, on remarque qu’il s’agit de manifestations anciennes et récurrentes, mais qui ont profondément muté à la suite d’événements historiques majeurs, nuance Mohamed Tozy.
L’ouverture de l’espace politique institué, la multiplication des espaces et des moyens d’expression politique, ainsi que la transformation de la population estudiantine expliquent partiellement cette mutation », analyse-t-il.
Toujours selon le chercheur, « le manque de formation politique des étudiants syndiqués » pousserait les conflits vers une forme de communautarisation. Faute de véritables débats politiques, le militantisme s’est réduit à la défense de son « camp ». « Il y a huit ans déjà, une simple dispute relative à un aspect domestique de la vie étudiante pouvait conduire à une spirale de violences impliquant des membres de deux factions soit idéologiquement, soit identitairement opposées. »
Ces conclusions, le professeur Tozy y était parvenu en 2014, dans le cadre d’une étude qu’il a présidée pour le compte du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) et réalisée avec le Centre marocain des sciences sociales de l’université Hassan-II de Casablanca. Ladite étude dressait au travers d’entretiens sociologiques une cartographie de la violence au sein des campus de Casablanca, Rabat, Fès, Marrakech et Agadir.
Ayoub Harbaoui, actuellement sur le terrain, ne nie pas le caractère anarchique des mouvements étudiants. Mais lui ne considère pas les récents épisodes comme étant anecdotiques. Il va même plus loin en établissant un lien entre le « retour de ce phénomène » et les mouvements de protestation de décembre 2021 contre la réforme du ministère de l’Éducation autour du plafonnement, à 30 ans, de l’âge de candidature aux concours d’enseignement.
« Les facultés les plus touchées [par les violences, ndlr], Oujda et Tétouan, sont par ailleurs les sites où la revendication contre la réforme de décembre a été la plus intense », avance-t-il. L’étudiant syndicaliste accuse également le pouvoir : « Chaque effort fédérateur des syndicats étudiants est détruit. Cette stratégie a pour but de décrédibiliser les mouvements étudiants et de les détourner de leurs objectifs. »
Bien que discutée à l’occasion d’une Assemblée générale à Rabat, l’étude de 124 pages commandée par le CNDH a finalement été rangée dans les tiroirs de l’administration. « Elle pointait de façon flagrante la responsabilité de l’État. Notamment par rapport aux conditions de logement indignes et aux modes de gestion des campus », se souvient Mohamed Tozy. « La présidence du CNDH a jugé que l’étude n’était pas suffisamment qualitative », rétorque une source proche du dossier.
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BRONX d'Olivier Marchal https://youtu.be/LTt-hVUzSJI SYNOPSIS Dans les quartiers Nord de Marseille, une tuerie orchestrée par le clan Bastiani a lieu. Deux rivaux sont en charge de l’enquête, Vronski, un flic de la brigade antigang et Costa, un chef de groupe de la BRB aux pratiques douteuses. La situation dégénère lorsqu’un témoin-clé est assassiné durant sa garde à vue. En pleine guerre des gangs, Vronski et ses hommes, pour sauver leur peau, seront obligés de faire des choix lourds de conséquences… DÉTAILS 30 octobre 2020 sur Netflix / 1h 56min / Policier, Action, Drame De Olivier Marchal Avec Lannick Gautry, Stanislas Merhar, Kaaris Nationalité français #culturejaiflash #cineseriedunbonheurcontagieux https://www.instagram.com/p/CHNIlAbnpLb/?igshid=14fb2z46mfyf7
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