#Bretelles
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cristotof · 4 months ago
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thierrychristmann · 10 months ago
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Un p'tit gars, bretelles et galurin!!!
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vintagefashionplates · 7 hours ago
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1856 Wood Engraving Antique Victorian Fashion Bretelle Berthe Cloak
"Victorian Fashions"
This is an original 1856 black and white in-text wood engraving of a bretelle berthe with sleeves and a cloak for the fashionable Victorian lady.
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andrew-excelleen · 5 months ago
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Réaliser une bretelle amovible
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cartuchoword446 · 2 years ago
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Reggicalze
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bikeaospedacos · 2 years ago
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Avaliação bretelle modelo Race da Cycle7 - Lançamento
O bretelle Race foi criado para estabelecer um novo padrão de desempenho, conforto e valor. Veja o vídeo e entenda a razão.
Veja a avaliação do novo bretelle Race da Cycle7, que foi usando no MTB mas também na Estrada. Foto divulgação Aviso: Se você é o detentor dos direitos autorais das imagens utilizada nessa matéria, entre em contato para que possamos dar os devidos créditos ou retirar, caso assim seja necessário. Clique aqui e veja os descontos que nossos parceiros concede para nossos leitores. Além disso você…
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chic-a-gigot · 5 months ago
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La Mode illustrée, no. 41, 9 octobre 1892, Paris. Corsage-Empire décolleté. Modèle de chez Mmes Coussinet-Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Ce corsage-blouse à taille courte, de genre Empire et fermant derrière, est fait en soie crème comme la jupe-fourreau qui se termine dans le bas par un large ourlet. Une broderie de soie rose orne les contours du bord supérieur du corsage ainsi que les manches courtes bouffantes qui sont relevées vers l'épaule par des nœuds de ruban rose. La taille est marquée par deux rangs de ruban de soie rose de 3 centimètres de largeur posés en ceinture à 3 centimètres l'un de l'autre; le devant du corsage (voir fig. 1) est orné de rubans de soie rose de même largeur, qui après s'être entrecroisés en biais au dessus de la ceinture passent sous cette dernière pour en ressortir sous forme de coques ou boucles, se terminant par des pans très courts; les rubans partant des nœuds d'épaule (voir fig. 2) descendent dans le dos sous forme de bretelle et passent sous la ceinture au-dessous de laquelle ils forment des coques et se terminent par de longs pans.
This short-waisted, Empire-style blouse-bodice, closing at the back, is made of cream silk like the sheath skirt which ends at the bottom with a wide hem. Pink silk embroidery adorns the contours of the upper edge of the bodice as well as the short puffed sleeves which are raised towards the shoulder by pink ribbon bows. The waist is marked by two rows of pink silk ribbon 3 centimeters wide placed as a belt 3 centimeters from each other; the front of the bodice (see fig. 1) is decorated with pink silk ribbons of the same width, which after crossing diagonally above the belt pass under the latter to come out in the form of shells or loops, ending in very short panels; the ribbons starting from the shoulder bows (see fig. 2) descend in the back in the form of straps and pass under the belt below which they form shells and end in long panels.
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erinsvintageemporium · 2 months ago
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It's Fashion Plate Friday!
This week I have a fashion plate from Journal des Demoiselles, dating to January of 1892. Signed by P. Deferneville, featuring toilettes by Madame Pelletier-Vidal of 19 Rue de la Paix, corsets by Madame Emma-Guelle of 3 Place du Théàtre Français, perfumes by Maison Guerlain of 15 Rue de la Paix and shoes by Maison Kahn of 55 Rue Montorgeuil.
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GRAVURE DE MODES nº 4866 bis Toilettes de Mme. Pelletier-Vidal, rue de la Paix, 19
TOILETTE DE BAL. Robe en gaze brochée Nil pour jeune fille. Jupe légèrement drapée faisant un peu la traîne et garnie dans le bas d'une chicorée en gaze découpée, sur laquelle est posé un cordon de roses pom-pons. Le corsage, drapé en travers, est décolleté en carré devant et derrière; double bretelle de roses pompons maintenant le haut du drapé; manche bouffante avec bracelet de roses pompons. Coiffure grecque avec cordon de roses enroulé dans le nœud des cheveux.
TOILETTE DE DINER. Polonaise en tissu tête de nègre rayé de petits liserés de soie vieux rose en saillie sur l'étoffe. Le corsage est décolleté en cœur devant, sur une guimpe plate en velours gros vert, à revers brodés. Col montant doublé de fourrure; le tour de la jupe, le décolleté du corsage et le bas des manches sont bordés de fourrure.
1892-01 JDD4866bis
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dandelionsandderivatives · 6 months ago
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It still boggles my mind that her summer dress and her meet outfit look so much alike. It just seems like bad planning to try to convince a parent to buy both of these?
Duel of the American Girl Dolls: Marie-Grace Edition (Round 2)
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chicinsilk · 20 days ago
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US Vogue February 1, 1959
Anne St. Marie wears a dress in green and gray checked silk organdy floating over mauve taffeta, floating on rope straps. Dress, by Kay Selig.
Anne St. Marie porte une robe en organdi de soie à carreaux vert et gris flottant sur du taffetas mauve, flottant sur des bretelles en corde. Robe, par Kay Selig.
Photo Tom Palumbo vogue archive
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cristotof · 3 months ago
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teenagedirtstache · 17 days ago
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Emporio Amani Bomber in nylon cangiante con bretelle in corda, guanti in pelle, berretto in lana. Jeans in sovrapantaloni in plastica elasticizzata, Armani Jeans
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coovieilledentelle · 14 days ago
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L'amour est fait de hasard et de chance. À une bretelle de la vie, il est là, offrande sur le chemin. S'il est sincère, il se bonifie avec le temps. Et s'il ne dure pas, c'est que l'on s'est trompé de mode d'emploi. Bonne soirée avec l'être aimé
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pompadourpink · 1 month ago
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Children's story - Corduroy
Corduroy is a bear who once lived in the toy department of a big store. Day after day he waited with all the other animals and dolls for someone to come along and take him home. The store was always filled with shoppers buying all sorts of things, but no one ever seemed to want a small bear in green overalls. Then one morning a little girl stopped and looked straight into Corduroy's bright eyes. “Oh, Mommy!” she said. “Look! There's the very bear I've always wanted.” “Not today, dear.” Her mother sighed. “I've spent too much already. Besides, he doesn't look new. He's lost the button to one of his shoulder straps.” Corduroy watched them sadly as they walked away. “I didn't know I'd lost a button,” he said to himself. “Tonight I'll go and see if I can find it.”
Corduroy est un ours qui vivait autrefois dans le rayon jouets d'un grand magasin. Jour après jour, il attendait, avec tous les autres animaux et poupées, que quelqu'un vienne le chercher pour le ramener chez lui. Le magasin était toujours rempli de clients qui achetaient toutes sortes de choses, mais personne ne semblait vouloir d'un petit ours en salopette verte. Un matin, une petite fille s'arrêta et regarda droit dans les yeux brillants de Corduroy. « Oh, maman ! dit-elle. « Oh, maman, dit-elle, regarde ! Voilà l'ours que j'ai toujours voulu ! « Pas aujourd'hui, ma chérie ». Sa mère soupire. « J'ai déjà dépensé trop d'argent. En plus, il n'a pas l'air neuf. Il a perdu le bouton d'une de ses bretelles ». Corduroy les regarda tristement s'éloigner. « Je ne savais pas que j'avais perdu un bouton », se dit-il. « Ce soir, j'irai voir si je peux le retrouver. »
Late that evening, when all the shoppers had gone and the doors were shut and locked, Corduroy climbed carefully down from his shelf and began searching everywhere on the floor for his lost button. Suddenly he felt the floor moving under him! Quite by accident he had stepped onto an escalator – and up he went! “Could this be a mountain?” he wondered. “I think I've always wanted to climb a mountain.” He stepped off the escalator as it reached the next floor, and there, before his eyes, was a most amazing sight – tables and chairs and lamps and sofas, and rows and rows of beds. “This must be a palace!” Corduroy gasped. “I guess I've always wanted to live in a palace.” He wandered around admiring the furniture. “This must be a bed,” he said. “I've always wanted to sleep in a bed.”
Tard dans la soirée, lorsque tous les clients furent partis et que les portes furent fermées et verrouillées, Corduroy descendit prudemment de son étagère et commença à inspecter le sol pour trouver son bouton perdu. Soudain, il sentit le sol bouger sous lui ! Tout à fait par hasard, il était monté sur un escalator - et il montait ! « Est-ce que c'est une montagne ? se demande-t-il. « Je crois que j'ai toujours voulu escalader une montagne ». Il descendit de l'escalator au moment où celui-ci atteignait l'étage suivant, des tables, des chaises, des lampes, des canapés et des rangées de lits. « C'est sûrement un palais ! s'exclame Corduroy. « Je crois que j'ai toujours voulu vivre dans un palais. » Il se promène en admirant les meubles. « C'est sûrement un lit », dit-il. « J'ai toujours voulu dormir dans un lit. »
And up he crawled onto a large, thick mattress. All at once he saw something small and round. “Why, here's my button!” he cried. And he tried to pick it up. But, like all the other buttons on the mattress, it was tied down tight. He yanked and pulled with both paws until POP! Off came the button – and off the mattress Corduroy toppled, bang into a tall floor lamp. Over it fell with a crash! Corduroy didn't know it, but there was someone else awake in the store. The night watchman was going his rounds on the floor above. When he heard the crash he came dashing down the escalator. “Now who in the world did that!” he exclaimed. “Somebody must be hiding around here!” He flashed his light under and over sofas and beds until he came to the biggest bed of all. And there he saw two fuzzy brown ears sticking up from under the cover. “Hello!” he said. “How did you get upstairs?”
Il s'est mis à ramper sur un grand et épais matelas. Tout à coup, il vit quelque chose de petit et de rond. Il s'écria : « Voilà mon bouton ! » Et il essaya de le ramasser. Mais comme tous les autres boutons du matelas, il était bien attaché. Il tira avec ses deux pattes jusqu'à ce que POP ! le bouton se détache et Corduroy tomba du matelas, heurtant de plein fouet un grand lampadaire. Celui-ci tomba avec fracas ! Corduroy ne le savait pas, mais il y avait quelqu'un d'autre d'éveillé dans le magasin. magasin. Le veilleur de nuit faisait sa ronde à l'étage du dessus. Lorsqu'il entendit le fracas, il descendit précipitamment l'escalator. « Qui diable a fait ça ? s'exclama-t-il. « Il doit y avoir quelqu'un de caché dans les environs ! » Il passa sa lampe en dessous et au-dessus des canapés et des lits jusqu'à ce qu'il arrive au plus grand des lits. Et là, il vit deux oreilles brunes et duveteuses qui sortaient de la couverture. « Bonjour ! » lui dit-il. « Comment est-ce que tu es arrivé à l'étage ? »
The watchman tucked Corduroy under his arm and carried him down the escalator and set him on the shelf in the toy department with the other animals and dolls. Corduroy was just waking up when the first customers came into the store in the morning. And there, looking at him with a wide, warm smile, was the same little girl he'd seen only the day before. “I'm Lisa,” she said, “and you're going to be my very own bear. Last night I counted what I've saved in my piggy bank and my mother said I could bring you home.” “Shall I put him in a box for you?” the saleslady asked. “Oh, no thank you,” Lisa answered.
Le gardien a mis Corduroy sous son bras et a pris l'escalator pour le ramener à l'étage en dessous et l'installa sur l'étagère du rayon jouets avec les autres animaux et poupées. Corduroy se réveillait à peine lorsque les premiers clients entrèrent dans le magasin le matin. magasin le matin. Et là, le regardant avec un large et chaleureux sourire, se trouvait la même petite fille qu'il avait vue la veille. « Je m'appelle Lisa, dit-elle, et tu vas devenir mon ours rien qu'à moi. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé dans ma tirelire et ma mère m'a dit que je pouvais te ramener à la maison. « Est-ce que je vous l'emballe ? » demande la vendeuse. « Oh, non merci », répond Lisa. And she carried Corduroy home in her arms. She ran all the way up four flights of stairs, into her family's apartment, and straight to her own room. Corduroy blinked. There was a chair and a chest of drawers, and alongside a girl-size bed stood a little bed just the right size for him. The room was small, nothing like that enormous palace in the department store. “This must be home,” he said. “I know I've always wanted a home!” Lisa sat down with Corduroy on her lap and began to sew a button on his overalls. “I like you the way you are,” she said, “but you'll be more comfortable with your shoulder strap fastened.” “You must be a friend,” said Corduroy. “I've always wanted a friend.” “Me too!” said Lisa, and gave him a big hug.
Et elle a ramené Corduroy chez elle en le tenant dans ses bras. Elle monta en courant les quatre étages, entra dans l'appartement de sa famille et se rendit directement dans sa propre chambre. Corduroy cligna des yeux. Il y avait une chaise et une commode, et à côté d'un lit de petite fille se trouvait un petit lit de la bonne taille pour lui. La chambre était petite, rien à voir avec l'énorme palais du grand magasin. « C'est sûrement une maison », dit-il. « Je sais que j'ai toujours voulu avoir une maison ! Lisa s'assit et mit Corduroy sur ses genoux et commença à coudre un bouton sur sa salopette. « Je t'aime comme tu es, dit-elle, mais tu seras plus à l'aise avec ta bretelle attachée. « Tu es sûrement mon amie », dit Corduroy. « J'ai toujours voulu avoir un ami. » « Moi aussi », dit Lisa, et elle le serra dans ses bras.
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 357
24h du Mans moto-3
18/04 suite :
En attendant nous passons notre temps entre mater la course et se balader le long du circuit. Bon d'accord je mate aussi les petits culs quand ils sont bien mis en valeur par les pantalons ou les combis en cuir. On croise quand même un bon nombre de petits mecs qui accompagnent leurs pilotes !
Ils sont reconnaissables à différents détails : une différence d'âge limite père/fils, des physiques disparates avec souvent un des deux typé " crevette ", et pour celui-ci une tenue plus soignée que celle du motard de base qui privilégie le confort à l'esthétisme. Ils répondent sans pudeur par un grand sourire à mes clins d'oeil quand nos regards se croisent.
On se retrouve tous pour diner. Bon ça prend une bonne demi-heure pour que nous soyons tous réunis mais nous sommes au complet pour nous restaurer. Nous choisissons la " gargote " en fonction de sa capacité à nous recevoir tous.
La nuit tombe sur le circuit et l'ambiance change. Malgré la fraicheur qui tombe, l'alcool ingurgité tout l'après-midi commence à faire des effets sur un bon nombre de spectateurs. Ça va des mecs qui cuvent sur un talus à ceux qui n'en sont pas loin mais gerbent le surplus sans compter les mauvais coucheurs qui interpellent ceux qui passent à leur portée dans le but inavoué de déclencher une bagarre.
Notre groupe décourage les emmerdeurs même si nous sommes moins discrets et que les couples qui le compose sont évidents, plus collés/serrés.
Mais nous tombons sur un groupe d'Anglais inconscients. Ils sont une 10aine et nous aussi puisque l'autre moitié de notre groupe nous suit à plus de 20 mètres derrière. Ils sont plein de bière et nous insultent. Même si nous leur faisons savoir que nous sommes tout à fait d'accord avec eux quand ils nous traitent de PD, ils n'en restent pas là et veulent vraiment se battre. Nous sommes dans une partie peu fréquentée du circuit et ils se pensent vraiment au-dessus de nous avec leurs physiques lourds !
On essaye de leur faire comprendre que ce ne serait pas raisonnable pour eux de continuer à nous chercher mais ils sont sourds, les oreilles bouchées par l'alcool ingurgité en grande quantité.
La première ligne anglaise laisse passer ceux qui étaient derrière. Eux sont armés de chaines. Moins drôle tout à coup ! Heureusement nous sommes tous équipés de cuir et les renforts vont nous servir.
Je pense qu'ils se sentent réglos en avançant un par un.  J'engage le premier qui se présente. Contrairement à ce que son alcoolisation pourrait le faire penser, il est encore très lucide ! On fait à peu près la même taille mais il me semble plus lourd.
J'attends qu'il fasse le premier pas. Il me fonce dessus. Je tente un truc qui devrait, si cela marche, l'arrêter direct. Il s'agit de frapper très fort avec le plat de la main situé à l'aplomb du bras sur le front de l'agresseur. Selon la théorie, car c'est évident qu'on n'a pas essayé ça entre nous, ça doit stopper un boeuf.
Je tente et frappe à l'endroit voulu. Ça marche !! Le mec tombe à mes pieds. Par contre le choc en retour est costaud.
Ses potes sont sidérés. Ça devait être leur leader car ils restent comme des cons sans réagir. Un des internes s'occupe du mec que j'ai couché. Il nous rassure tous, oui même moi. Le mec est juste assommé. Les copains nous rejoignent. Ça finit de dissuader les anglais qui repartent avec leur pote.
On rejoint des lieux plus éclairés en discutant de l'efficacité de ma riposte. Nos deux gendarmes ne connaissaient pas et trouvent ça plutôt pratique. PH et Ludovic sont un peu déçu que le reste de la troupe n'ai pas suivi et me reprocheraient même d'avoir été trop rapide. Ils se font remonter les bretelles par Marc et nos représentants de l'ordre public. On était là pour la course pas pour se faire un tableau de chasse.
Frank me dit avoir filmé la scène avec son smartphone. On s'isole et je mate la vidéo. On voit bien le geste. Je lui dis qu'il devra me l'envoyer pour que je le passe à notre prochaine séance d'entrainement.      
On s'approche de la zone du concert. La foule est dense pour écouter les Wampas. On passe un bon moment entre musique et " gesticulations ".
Un nouveau tour du côté de la piste et comme minuit est passé nous rentrons dormir un peu. Pas un chat sur la route, nous mettons 5mn pour arriver au château.
Notre hôte n'est pas encore couché. J'en profite pour lui donner son t-shirt. Il est tout content et nous accompagne pour l'en cas que nous avions prévus. Alors qu'il apporte les plats avec l'aide de quelques-uns d'entre nous, Frank branche son portable sur l'écran plat. Les professionnels (gendarmes) et même les autres regardent le geste que j'ai fait et l'analysent.
On critique le mouvement et je leur explique que si ça mis le mec au tapis, ce n'est pas sans douleur au poignet au moment du choc. Donc c'est le genre de truc à ne pas louper. Les médecins expliquent le phénomène. Ça ressemble au KO d'un boxeur. Le choc au front entraine un traumatisme du cerveau et une perte de connaissance. Les lobes situés à l'avant du cerveau contrôlent la parole et le langage, le raisonnement, la mémoire et divers autres fonctions dont et surtout les mouvements. Le lobe frontal droit gère les mouvements du côté gauche du corps, et inversement pour le gauche.
Donc quand on choque cette partie du cerveau avec une force suffisante, on obtient une immobilisation temporaire immédiate.
J'explique que c'est la première fois qu'on met en oeuvre cette parade. Ils rient et nous disent d'éviter de nous entrainer sur nous-même. Chaque choc à la tête provoque la destruction de centaines de neurones.
Ils nous disent aussi que ce n'est qu'en dernier recours que nous devrions avoir recours à cette parade. Les risques sont important pour le frappé d'avoir des séquelles importantes si le choc est trop fort.
On en prend note et les assurons que nous l'utiliserons qu'en arme ultime.
Nos faims calmées nous partons dormir un peu.
19/04 :
Réveils décousus sur une bonne heure. Je suis le premier debout et part vite plonger dans l'eau me réveiller et détendre mes muscles. Quand je sors de l'eau, le cuisinier m'apporte un café accompagné d'un croissant tout frais. Je lui dis de rester là et pars chercher son t-shirt dans le sac resté dans l'entrée. Quand je reviens il est toujours planté à côté de la table de jardin. Je lui tends le bout de tissu. Il le déplie, lit l'inscription et me remercie qu'il ne fallait pas. Je lui dis que c'est pour le remercier de nous avoir sacrifié son WE. Je m'approche de lui, retire le t-shirt basique blanc qui recouvre son torse et après m'être rincé l'oeil, lui dit d'enfiler le nouveau. La taille est bonne, c'est-à-dire 1 en dessous. Ça le moule bien et on devine le modelé de ses abdos. Pour les pecs, c'est évident et de profil même ses tétons sont visibles !
Quand il repart en cuisine je lui sors un " bonne chance maintenant pour éviter de te faire violer ". Il se retourne et me remercie du compliment.
Mes acolytes se réveillent dans le désordre et me rejoignent, les yeux encore collés, qui les cheveux en bataille quand ce n'est pas les deux à la fois.
Comme prévu, ce sont des sifflements qui sortent de toutes les bouches quand le cuisinier apporte les plateaux de bouffe. Mes amis attendent quand même qu'il les ait déposés avant de passer leurs mains dessus, justes pour apprécier le-t-shirt bien sûr !!
Nous arrivons à le faire bander même s'il n'est pas persuadé de baiser avec nous !
Donc petit déjeuner, douches, enfilage des combis et on saute sur nos motos pour rejoindre le circuit. Nous arrivons en milieu de matinée et la population debout, autour de la piste est encore dispersée. Nous sommes frais et propre par rapport à ceux qui sont restés toute la nuit dans l'enceinte du circuit. On fait le point sur les évolutions de la nuit, qui est en première place, qui en second ...
Il fait beau. Je retire mes bras du haut de ma combi et me met torse nu. Je suis imité par mes mecs (PH et Ludovic) et par la moitié de notre groupe. Ceux qui voudront nous chercher sauront à quoi s'attendre. Plus cachés sous le cuir, nos masses musculaires imberbes font dans la dissuasion.
Et c'est efficace car bien que nous ne nous retenions pas en geste tendre (sans non plus être collés tout le temps à se rouler des pelles) nous n'entendons plus les remarques homophobes de la veille et ne sommes pas pris à partie.
La journée se passe merveilleusement bien jusqu'au drapeau à damier.
Comme bon nombre de motards, nous envahissons la piste et attendons sous le podium la remise du prix et la douche de champagne. Ça parle toutes les langues autour de nous, Espagnol, Italien, Anglais bien sûr mais aussi des langues du nord, hollandais et plus septentrional encore type norvégien et suédois. Non je ne comprends pas toutes ces langues mais comme les diffuseurs agitent des drapeaux nationaux, j'arrive à deviner !
On n'est pas les seuls à être torse nu mais on est le groupe le plus homogène question muscles.
Comme j'ai loué jusqu'à demain matin, personne n'est pressé et nous laissons partir la majorité des motards avant de retrouver nos montures et rentrer au château.
Nicolas nous attendait. On se met à poil et directs dans la piscine. Comme c'est évident qu'on va baiser, pas la peine de s'encombrer de maillots ! Bonne détente musculaire et ça dérape vite. On sort de l'eau et ça s'embrasse de tous les côtés juste au moment où Nicolas arrive avec les bières fraiches.
L'un de nous veut l'entrainer dans notre délire mais il recule et me dit que son cuisinier est là et qu'il ne veut pas être en porte à faux avec lui. Je comprends. Je pars donc en cuisine chercher " l'empêcheur de tourner en rond ".
Je le trouve avec le t-shirt que je lui ai offert le matin même. Il est toujours aussi sexy. Je profite qu'il a les mains pleines pour passer mes bras autour de sa taille, lui faire un bisou dans le cou et lui dire que nous attendons qu'il nous rejoigne à la piscine. Il pose sa poêle se retourne (oui je l'avais attrapé de dos) et me dit que c'est impossible elle est réservée aux clients. Il m'énerve ! Je le bascule sur mon épaule et le porte jusqu'à la piscine où je l'envoi dedans. Puis j'avise Nicolas et lui annonce que son homme est dans l'eau et qu'on va se charger de lui apprendre à baiser des mecs. Donc, lui n'a plus de raison de se retenir, son chef cuistot ne saurait le faire chanter une fois dépucelé.
Le temps qu'on discute, les deux gendarmes et 3 autres sont dans l'eau à dévêtir le nouveau venu.
Quand il est éjecté de l'eau, il est donc tout nu et déjà bandant ! Comme quoi c'était bien la peine de me dire non !!
Nicolas est un peu gêné jusqu'à ce que Louis se mette à téter sa bite.
Moi, son cuisinier m'attire. C'est normal, je ne le connais pas ! Je dois pousser deux Bordelais pour pouvoir atteindre sa peau. Il est face à moi. Le mec est canon de corps (tête normale) surtout un bassin étroit qui porte une belle bite aux couilles rasées et pubis dégagé, raide comme un bâton.
Les deux " expulsés " me poussent dans ses bras et j'en profite. Tentative de roulage de pelle qui est finalement acceptée et même voracement acceptée. Ma bite vient au contact de la sienne et mes mains descendent de son dos pour attraper ses petites fesses. J'essaye de les écarter. Il serre ses fessiers et m'empêche quelques secondes d'accéder à sa rondelle. On continue à se mélanger nos langues et à frotter nos queues l'une contre l'autre.
Les copains me le laissent et sont partis chercher leur plaisir entre eux. Mes tétons durcissent contre les siens. Il lève ses bras pose ses mains derrière ma tête et appui histoire de me retenir au cas improbable où j'aurais souhaité le laisser tomber !
Il relâche ses muscles et j'arrive à séparer ses fesses et à poser un doigt sur sa rondelle. Je sens sa bite sursauter contre la mienne dès que le bout de mon doigt se pose sur cet endroit intime.
Je repousse ma tête, le fixe dans les yeux et lui dis " tu veux me faire croire que t'as pas envie de ma bite au fond de ton cul peut être ? ". Il m'embrasse dans le cou et me souffle que, faire ça chez son boss c'était pas évident pour lui.
C'est vrai, nous c'est facile, on est des clients mais lui, c'est Nicolas qui le paye.
Je lui dis d'ouvrir une parenthèse que demain quand on sera parti, il l'a refermera tout comme son boss et il ne restera qu'un bon souvenir pour tous.
Je descends ma tête jusqu'à ses tétons déjà raidis. Je suce, mordille. Je l'entends gémir. Je descends encore et trouve son gland juste au niveau de son nombril. Il est circoncis et gonflé à en éclater. Je m'empresse de tempérer son extrémité. J'ouvre la bouche et après l'avoir mis dedans, je joue de ma langue. Léchages langue plate, tour de sa couronne, tentative de l'enfiler dans son méat, je m'occupe bien de son bout avant de me l'enfoncer dans la gorge. Je ressens son sursaut alors que son gland passe ma glotte. J'attrape ses fesses et les tire vers moi pour bien écraser mon nez sur son pubis. Sa bite rentre profond. A vue de gorge, elle doit faire dans les 21cm. Je m'étouffe puis recule pour respirer puis recommence. Je l'entends au-dessus de moi gémir que c'est trop bon.
Je me redresse et on se roule une nouvelle pelle. Il est encore plus chaud qu'avant. A son tour, il glisse contre moi et sans arrêt part directement chercher ma queue. Sa pipe est bonne mais pas du niveau de la mienne. Il s'y essaye pourtant et s'étrangle deux fois avant de se contenter de me téter le gland. Il l'aspire collant ses joues contre lui. Il gonfle ses joues pour avoir la place d'en faire le tour avec sa langue.
C'est pas mauvais non plus !
C'est lui-même qui se redresse et me tourne le dos tout en restant collé contre moi. Il roule du bassin jusqu'à ce que ma bite se calle entre ses fesses. Là, il contracte ses muscles et elle se retrouve emprisonnée alors que je suis toujours dehors ! Pas mal du tout !!
Je glisse entre elle comme un hétéro entre deux seins ! Mais c'est meilleur car plus de compression.
Je mordille son cou et lui souffle à l'oreille que j'adorerai lui défoncer la rondelle. Réponse : " pareil ", " enfin non, je veux ta bite en moi ". Bon on est sur la même longueur d'onde, c'est tout bon.
Je me kpote et lui enduit le trou de gel. Bon je lui enfonce quand même deux doigts bien profond pour graisser l'entrée. Ils rentrent facile. Je les remplace par ma bite. Je pousse doucement je lui laisse le temps de se détendre. J'accentue ma pression et mon gland pénètre son ampoule anale. Je cesse de pousser le temps qu'il s'habitue à ma présence. En fait j'attends et c'est lui qui relance la pénétration en se reculant.
Je termine d'un coup sec et pose mes hanches contre ses fesses. Dieu que c'est bon un cul nouveau ! J'y vais doucement les trois/quatre premiers assauts.  Je monte en puissance. Il encaisse bien et prend du plaisir sous mes coups de boutoirs. Sa rondelle se crispe par moment et amplifie mon propre plaisir. Je me couche sur son dos et lui affirme que je suis bien dans son cul mais que je ne suis sûrement pas le premier. Il tourne la tête, me sourit et me confirme le fait. Il ajoute que ce n'est quand même pas sa pratique habituelle et que sa dernière sodo remontait à quelques mois quand même.
Sans cesser notre emboitement mouvementé, on mate un peu les autres baiseurs. Il rigole de voir son patron dans sa position, avec un gendarme à chaque extrémité. Je fais un panoramique. Mes mecs sont bien occupés aussi. Ludovic est en train d'enculer le Louis de Frank avec ce dernier planté dans son cul. PH lui est occupé avec deux de nos bordelais. Kamal lui s'éclate la rondelle sur la méga-bite du Lad.
La baise est intense. Entre les gémissements on peut distinguer des " Fuck ", des " t'es trop bon toi ", des " plus fort ". Tout va bien !!
Quand la baise est finie, nous mettons tous la main à la pâte pour finir la préparation du diner et ce malgré les refus répétés de Nicolas et de son cuisinier.
C'est sûr qu'il ne faudrait pas que la DDPP se pointe pour une visite sanitaire. Voir des mecs en maillot dans la cuisine, ça passerait pas !
Soirée calme puis gros dodo en prévision des retours.
Jardinier
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bikeaospedacos · 2 years ago
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Nova coleção Cycle7 | Camisas, bermudas, bretelles e macaquinhos
Descubra a nova coleção de roupas de ciclismo da Cycle7, que reúne o melhor da tecnologia, moda e conforto.
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