#Bells Of Notre Dam
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Okay. But. Hear me out.
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Up next on my 90's Fest Movie 🎬 🎞 🎥 🎦 📽 marathon...The Hunchback Of Notre Dame (1996) on glorious vintage VHS 📼! #Movie #movies #animation #musical #thehunchbackofnotredame #tomhulce #tonyjay #demimoore #KevinKline #jasonalexander #MaryWickes #BillFagerbakke #DavidOgdenStiers #RIPDavidOgdenStiers #charleskimbrough #ripcharleskimbrough #DanaHill #billfarmer #KathSoucie #vintage #VHS #90s #90sfest #durandurantulsas4thannual90sfest
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L'UE ''en état de mort cérébrale'' ?
Le Royaume-Uni a préféré faire face à d'énormes difficultés économiques et politiques plutôt que de rester dans l'étouffoir bruxellois, enrégimenté, pervers, et amoral puisque progressiste... Le pseudo couple franco-allemand bat de l'aile sans avoir jamais existé –sauf dans les rêves d'enfants de cœur... L'Italie est ''sous surveillance'' pour avoir fait un ''mauvais choix'' (?)... Les pays dits ''du Pacte de Visegrad'' ont de plus en plus raison... Ursula poursuit ses dérapages aux relents nauséabonds... Et l'Ukraine souligne la dépendance aux USA de cette soi-disant ''Europe'' qui n'est plus qu'une usine à gaz, normative, liberticide et de plus en plus lourde à subir, à laquelle les peuples tournent le dos.... L'Europe, c'est quoi ?
Le 7 novembre 2019, Emmanuel Macron, pour une fois bien inspiré (c'est si rare qu'il faut le souligner !) avait déclaré : ''l'Otan est en état de mort cérébrale'' (seul ennui, la mort clinique n'a pas suivi : cela nous eût épargné la calamiteuse gestion de la crise du covid et l'actuelle crise ukrainienne qui, de moins en moins limitée, risque d'exploser, à tout instant, en un champignon vénéneux). La tentation est grande, de se demander si ce ne serait pas l'Europe, qui est en état de mort cérébrale... à ceci près qu'il eût fallu qu'elle ait un cerveau... alors que, à la place de cet organe de toute première nécessité, on trouve, et ''c'est vraiment pas de bol'', la pernicieuse Ursula ''Von der des der'' qui est aussi dangereuse (et aussi ''con'', mais des choses comme ça ne s'écrivent pas ! Je ne vais donc pas l'écrire) qu'elle est jolie ! (NDLR : c'est dire combien elle est belle !). Il ne reste guère que la grosse Commission du Berlaymont dont les membres croient encore pouvoir nous persuader que quelque chose de bon pourrait sortir de... rien !
''Couac'' qu'il en soit (orthographe de circonstance), les membres de l'Union s’opposent sur tout. Nous sommes entrés –durablement, semble t-il-- dans une ère du ''chacun pour soi'', au grand dam du président français (qui est le seul à n'avoir rien compris à cette nouvelle distribution des cartes). Même une crise majeure comme la guerre Russie-Ukraine, dont on a pu croire qu'elle allait resserrer les liens entre les nations européennes, n'a pu le faire autrement que ''en façade'' et ''en paroles'', sur des sujets qui peuvent paraître faire consensus, feu artificiel plus que d'artifice dont les excès-mêmes auraient du attirer l'attention (NDLR - J'écrivais ici-même le 27 février dernier, (éditorial n°1375) : ‘'Mourir pour Kiev ? Après un ''baroud d'honneur'', la réponse est maintenant connue, et c'est NON. L’Union européenne n'est pas prête à sacrifier son bien-être, même pas à avoir un peu froid ! La solidarité avec Kiev, les discours creux ruisselants de pseudo ''valeurs'' réinventées, et les grands serments, la main sur le cœur ? Un tsunami de bluffs''... qu'on essaye de faire oublier, à coup de tanks Abrams de 60 tonnes ou Leopard à 6 millions de US $ l'un... qui sont autant de chiffons rouges qu’on agite pour exciter Poutine ! A force de flirter avec la ''zône rouge'', on va finir vitrifiés ! Les soi-disant ''experts-télé'', ces va-t-en guerre, s'en pourlèchent d'avance les badigoinces !
Après l'illusion des premières années ''post CEE'', la crise larvée qui finira inévitablement par éclater au grand jour (la seule question étant : ''quand ?'') s'est peu à peu structurée, à travers quelques grandes étapes : le rêve des années '60... le réajustement des années '70... le sursaut des années '80... le relâchement des années '90... l'effondrement des années 2000... les mensonges et les promesses intenables des années 2010... et la chute terminale qui sera, tout porte à le croire, pour les années 2020. Contrairement à des espoirs insensés –dont ceux de notre Président, qui est le dernier (donc le seul) dirigeant européen à rêver encore à cette caricature d'Europe et à une souveraineté européenne qui croyait trouver une excuse dans sa jeunesse et son inexpérience abyssale-- l'union sacrée n'a pas eu lieu... Ces naïfs répétaient qu'ils attendaient un prodige, pendant que, au même moment, ils tiraient chacun de son côté. Ah ! Les cons ! Et... ''pauvres de nous'' !
Devant l'ampleur d'un tel désastre annoncé (voir le prix que paie le Royaume Uni pour s'être libéré de cette hydre –qui est si juteuse, pour les prébendiers qui la servent, qu'ils rendent presque impossible de se libérer de ses griffes), la question qui se pose est, évidemment : ''Que reste-t-il de l'Union européenne voulue par les ''Pères Fondateurs'' ? ''. Cette question paraît incongrue à beaucoup, tant nous sommes imprégnés par une phraséologie qui parle (dans le vide) d'une Union prétendue évidente et dite incontestable, travestie avec emphase et approximation par des formules incroyables telles que : ''La France est notre patrie, l’Europe est notre avenir'' (ça, c'est du Mitterrand. Ça ne veut rien dire !), ou : ''Il y a une souveraineté européenne à construire'' (celle-là est de Macron. Même remarque). Ces verbiages n'ont aucun sens... Ils peuvent faire illusion et même sembler beaux... tant qu'on ne voit pas qu'ils sont désespérément vides !
Je regardais hier une récente vidéo de la ''sulfurieuse'' Ursula (NDLR - je promets que le ''i'' (bienvenu) dans ''sufurieuse'' est involontaire. Ce n'est qu'à la relecture que je m'en suis aperçu... et ai décidé de le garder : il est trop beau, trop vrai !) : elle était toute vêtue en bleu et jaune, aux couleurs de l'Ukraine, comme une insulte à la neutralité-de-fonction due à son job. J'attends avec impatience le ''thésard'' qui osera lister tout le mal qu'elle a pu causer, à elle toute seule, à l'Europe, à la civilisation, à l'humanité, à la paix dans le monde... et aussi à l'intelligence ! Elle vaut Erdoģan ! Mais contre tout ce qu'elle croit, raconte ou représente, il reste un espoir : l’Histoire nous enseigne que c’est à l’épreuve de la guerre que les peuples prennent conscience de leur identité (l'Ukraine illustrant parfaitement cette vieille sagesse des nations). Un espoir, donc, mais aussi une crainte : dans ce cas précis, il semblerait plutôt que, par une ruse dont l’Histoire est coutumière, la guerre a rouvert les cicatrices mal fermées des précédentes crises.
Un seul point d'interrogation subsiste : y aura-t-il un miracle qui nous sauvera ? Et si ''oui'', nos vieilles nations, épuisées par des décennies –ou par trois siècles, si on prend 1792 pour ''point zéro'' de notre décadence-- d'attaques ininterrompues et de guerres ravageuses entre membres d'une même famille, auront-elles encore la force, le ressort et la santé morale pour rebondir ? Rien ne permet d'en être certain. Et en attendant, ce machin abusivement appelé l'Europe, plus proche d'une déroute programmée que d'un chemin vers l'espoir, s'élargit à l'infini : n'ayant rien de moral, d'intellectuel, de culturel, et surtout pas d'intelligent à proposer comme ''projet à partager'', elle se rabat sur la taille en km² et la contrainte normative des citoyens.
L'arrivée de la Croatie (pays sympathique, mais c'est hors sujet) dans le pervers et mortifère ''espace Schengen'' et sans doute de l'Ukraine, bientôt –qui pourtant ''coche un minimum de cases''-- n'est qu'une étape de plus vers la Turquie, à qui personne n'a jamais osé dire que ce n’est que comme envahisseur indésirable qu’elle a jamais joué un rôle en Europe... qu'elle aimerait tellement torpiller une bonne fois pour toutes, de l'intérieur... Mais nos européâtres sont si stupides, si incultes et si confits dans leur ''maso-aveuglement''... qu'ils finiront bien par inviter le renard dans le poulailler : ils semblent avoir fait le choix criminel de ne considérer souhaitables que les chemins sans issue et conséquences autres qu'effroyables !
H-Cl.
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French Blog #7! (French Music Exploration)
Une chanson française que j'aime beaucoup écouter et que je trouve très jolie c'est Je te laissera des mots. Pour moi cette chanson parle de l'expression de l'amour et que nos mots sont vraiment puissants. Les notes de la chanson sont des petits morceaux du chanteur, il laisse des notes. La chanson parle d'amour profond. Je crois aussi que la chanson parle d'un désir profond. Le piano et la mélodie sont absolument magnifiques. J'aime qu'on interprète tous les chansons différemment parce que la musique est vraiment une thérapie. C'est tellement cool et incroyable qu'on aime tous des genres de musique différents et des musiciens différents qu'on aime. La musique est notre façon de nous exprimer et d'exprimer nos sentiments et nos émotions. Cette chanson française dans son ensemble est une belle chanson et elle est dans ma playlist Spotify j'adore la chanson. Cette chanson me fait me sentir calme et paisible. La chanson est douce et agréable. Même si elle me fait ressentir cela, la chanson est un peu triste et sonne triste. Voici les paroles à lire : Pa, da, da, pa-la-la-dam-da Pa-la-la-lam, la-la-la, da Pa-la-la-la, la-la-la, la-la-la Pa-la-la-la, la-la-la, la Da-dam [Pont : instrumental] [Couplet] Je te laisserai des mots Sous ta porte Sous les murs qui chantent Tout près d'où vont tes pieds Cachés dans les trous de ton canapé Et quand tu es seul un moment [Refrain] Viens me chercher Quand tu veux Viens me chercher Quand tu veux Viens me chercher Quand tu veux
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“Disney doesn’t make movies like Hunchback anymore because they now pander to the woke agenda!” Is a real actual take that I have seen way too often.
Last time I went to listen to The Bells of Notre Dam, like half the comments under it were complaining about “wokeness” instead of actually discussing how beautiful and powerful the film’s music is.
This is what the death of media literacy looks like, guys. Not young people enjoying Marvel and Kaiju Movies.
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Déceptions | Trahisons | Escroqueries | Arnaques... ma vie quoi!
Les années de mon enfance restent dans ma mémoire riches et vibrantes au sein du clan familial mais moroses et inexistantes sur le plan social.
Grandissant dans une maison située à l'extrême sortie du village et de surcroît sous l’autorité d'une mère rigide et peu sociable, aucunes sorties, anniversaires ou sleep over ne me furent autorisés tout le long de mon enfance. Les activités extérieures et loisirs se déroulaient uniquement en famille.
Aussi, l’adolescence ne fut pas tendre avec moi, les années collège résonnant encore douloureusement dans mes souvenirs, tant sur le plan humain que scolaire. Grand adolescent boutonneux, timide, redoublant et fréquemment rejeté par mes pairs, je devins vite aigri et révolté par mon quotidien.
C’est ainsi qu’en 4ème je me lie d’amitié avec Frédéric G., une âme rebelle comme moi et nous clôturons ensemble ce cycle collégial, seuls contre tous. Cette amitié perdure après le collège et les week-ends sont autant d'opportunités de se rencontrer.
Peinant dans son orientation, il opte pour un travail de rayonniste en supermarché dans un quartier populaire de la ville.
Sa vision étriquée et son éducation villageoise ignorante ont en tout temps alimentés son creuset de haine contre les populations musulmanes.
C’est dans ce contexte qu’il rencontre sa première petite amie. Je fus amusé d'apprendre que cette dernière était musulmane. Ne sachant assumer ses prises de position passées et probablement mon sourire ironique, il préféra couper court à notre amitié et disparaître pour vivre son idylle loin de moi.
Ce fût ma première déception en amitié…
Durant cette même période, je fais l'achat de mon premier véhicule, une 205 vieille de 10 ans. J'investis toutes mes économies au grand dam de mes parents qui ont contribué pendant maintes années à l'élaboration de cette cagnotte.
Le choix s'avère être mauvais et le moteur cassa quelques mois à peine après l'achat. Une belle arnaque, moi qui voulais justement procéder à un achat sensé sans écouter mes envies mais plutôt la raison, choisissant un véhicule peu performant et pas gourmand en énergie.
Pendant mon cycle d'études professionnelles, je parviens enfin à démarrer une nouvelle vie sociale et découvre un tout autre monde.
je me lie d’amitié avec Thomas B., vivant dans un village proche du mien. Mais nos centres d'intérêts bien différents nous séparent naturellement.
C'est une autre personne qui allait complètement bouleverser ma vie sociale, Nicolas P.,ancien camarade de lycée. Il devint pour moi comme un frère et cette amitié nous liera pendant une décade.
Ensemble, nous vécûmes de belles années et expérimentions notre jeunesse dans les sorties, les sports, les travails saisonniers et loisirs divers. On peut dire que nous avions fait les 400 coups ensemble.
Je le choisi bien sûr tout naturellement pour être le parrain de mon fils.
Néanmoins, lors d’un repas entre nos parents (qui avaient eu le temps de sympathiser depuis des années), quelque chose se produisit et toute son attitude changea. Je soupçonne ma mère, trop bavarde, d'être à l’origine du malaise.
A l'époque je trouvais naturel de partager mes frasques avec mes parents, bien loin de me douter que la fuite de certaines informations allaient nous être préjudiciable.
Tout cela se produisit seulement deux ans après la rencontre avec ma femme.
Ma plus grande déception à ce jour. J’ai tenté de connaître les raisons de cette rupture mais jusqu’à aujourd’hui cela reste un mystère. Quel gâchis !
Après la naissance de mon fils, ma femme et moi décidâmes de déménager dans le sud de la France à Marseille. Je décroche un travail de chef cuisinier dans un petit restaurant situé dans le vieux port. Travaillant avec l'apprenti et un extra pendant les week- end, les mois passent sans encombres jusqu'à l'embauche d'un certain serveur (dont je ne me souviens plus du nom). Par une combine malicieuse, ce dernier parvint à convaincre le propriétaire (jamais présent) de me faire virer ainsi que le gérant.
Malheureusement pour lui, je m'étais lié d'amitié avec un extra qui travaillait avec moi en cuisine, Mouss. Un an plus tard, Mouss me recontacte pour m'informer de la tournure des évènements. Ce dernier, après mon départ, avait gardé tous les bons de prise de commande cuisine.
Le serveur malicieux travaillait uniquement avec l'apprenti et Mouss en cuisine. Seul maître à bord, il a pu détourner tout l'argent qu'il désirait. Quel ne fut pas son étonnement quand le patron, un ancien mafieux du sentier accompagné de deux gardes du corps, s'assoit devant lui et demande le remboursement immédiat de tout l'argent détourné.
Je ne connais pas la suite de l'histoire, mais il m'a été conté que le serveur malicieux pleurnicha et trembla de tout son corps.
Le karma n'oublie pas et s'abat sur tous, tôt ou tard!
Dix années après m’être fait escroquer sur ma première voiture, je remets le couvert et me fais arnaquer sur l’achat d’une vieille opel vectra. Je me suis laissé séduire par le côté v6, réalisant trop tardivement que son moteur suintait l’huile de partout et qu'elle était bonne pour la casse. Je réussi néanmoins à la revendre pour une poignée de billets, cette dernière finissant sa carrière en apothéose en participant au cambriolage réussi d’une bijouterie...
Je décide ensuite de partir et tente l’aventure sur un autre continent, dans un pays asiatique. Une place de chef exécutif m'est offerte dans un grand hôtel 5*.
Un endroit digne des plus belles cartes postales mais qui se transforme vite en douce panique. Mon département perdant de l'argent, je mets à jour un grand réseau de détournement sévissant au sein de l’hôtel et décide de fuir après avoir reçu de sérieuses menaces de mort de la part du DAF.
Je décide donc de changer encore de continent, mais cette fois avec ma famille, et me rends dans un pays d’Afrique de l'Ouest.
Je me fais escroquer à présent différemment. Rien ne vaut l’expérience !
Je travaille sur le projet d’ouverture d’un restaurant . La veille de l’ouverture, je demande une dotation minimum, travaillant sur le projet pendant plusieurs mois sur fonds propre. Mon associé me montre alors son vrai visage et refuse de m'octroyer un seul centime. Je quitte alors le projet, dépité et dégouté mais croise plus tard cette même personne qui fuira mon regard, la honte le submergeant. Heureusement pour lui que la honte ne tue pas!
Quelques années plus tard, j'accepte le poste de chef de cuisine pour un grand traiteur de la place. Je me lie d’amitié avec David T. mon supérieur hiérarchique et nous garderons contact pendant plusieurs années.
Je n’apprécie pas le type de management de la direction et les conflits sont fréquents entre les membres et eux mêmes, malgré les sommes colossales engendrées et le succès acquis. Après quatre contrats de différentes durées étalés sur une année, je signe un CDI pour rendre ma démission deux semaines plus tard. N'appréciant guère leur condescendance hautaine et mépris envers le personnel, je ressenti la nécessité impérieuse de faire passer un message.
Sans salaire, avec ma femme à terme, me voilà obligé de déménager de ma villa avec piscine en plein centre ville pour migrer dans un quartier populaire à loyer modéré. La maison que nous avions dénichée était dans un état pitoyable mais la propriétaire nous promis de procéder à la remise à niveau après paiement de la caution. Nouvelle arnaque ! La maison ne fut pas remise à niveau... Nous ne restons que 3 mois, perdant notre caution et luttant contre la propriétaire malhonnête avide, jusque devant la justice. Une histoire banale si ce n'est que la maison était en plus réellement hantée!
Un nouveau déménagement s'impose et nous décidons de partager notre nouvelle demeure avec une amie proche et son fils. Elle nous promis de payer la moitié du loyer mais ne remplira jamais sa part du contrat. Travaillant dans un pays limitrophe, nous assumions la responsabilité et charge de son fils.
Elle est arrêtée plus tard par la police judiciaire suite à de fausses accusations proférés par ses associés, qui avaient vu en elle le bouc émissaire idéal. Un piège presque parfait fomenté avec la complicité d'un juge et d'avocats corrompus, dans le seul but de détourner de grandes sommes d'argent.
Grace à l'intervention de ma femme, elle est libérée le jour de Noël et fuira quelques mois plus tard vers la France en laissant 10 années de vie derrière.
La maison étant trop onéreuse pour nous seulement, nous décidons de nous en séparer et repeignons la totalité de cette dernière afin de la rendre comme neuve. L’avocate en charge de la maison ne nous rendra jamais notre caution.
C’est à ce moment là que les conflits interne entre deux factions politique opposées dans le pays débouchent sur une guerre qui durera près d’un an.
La paix revenue, un hôtel me recrute pour prendre le rôle de chef exécutif. Ayant un sens du travail bien fait et un souci de la satisfaction client, la fréquentation augmente drastiquement. C’est au cours de cette première année qu'un nouveau directeur de la restauration est engagé.
Nous sympathisons très rapidement et arrivons vite à nous apprécier mutuellement. Nous surfons sur la sortie de crise et son boom économique pour dynamiser la restauration et remplir les objectifs financiers.
Mon collègue Ahmed S. et moi-même passons beaucoup de temps ensemble et une amitié voit le jour.
Le pays offre une nouvelle paix et sécurité permettant à la clientèle de sortir les soirs en groupe et de profiter des nombreux bars et restaurants.
La direction alors m’impute la baisse de fréquentation et exige ma participation active pour ambiancer la clientèle restante pendant les soirées moroses, m'obligeant à cumuler un nombre d’heures de travail supplémentaire.
Dans l’intervalle, le propriétaire Ahmed O., tente de profiter du carnet d’adresse de ma femme et lui propose un poste dans une société annexe. Mais ma femme ne désirant pas le poste et n'appréciant pas le personnage refuse l'offre, agaçant au passage l'égo d'Ahmed O., impactant indirectement mes relations avec la direction.
Le directeur d’exploitation, Christian F., suggère de dynamiser la restauration de l’hôtel en proposant des concepts farfelus car non adaptés aux contraintes liés aux espaces de restauration.
Je les analyse, explique pourquoi je les décline, et deviens ainsi la personne à abattre après 3 années de bons et loyaux services.
C’est ainsi qu’après plusieurs années de collaboration, mon « ami » décide de se rallier à la direction afin de m'écraser. Du jour au lendemain toute sa personnalité change et il adopte un comportement pathétique.
L’homme n’est rien ! Sans hésitation il retourna sa veste de peur de perdre son travail... il sera lui même viré quelques temps plus tard.
C’est ainsi qu’après plus de trois années d’objectifs atteints, on me jette dehors comme un voleur. Je refuse leur aumône et exige une année de compensation. C’est à ce moment là que la frustration de l'employeur Ahmed O., le motiva à investir dans une vengeance diabolique. Pendant les dix années qui suivirent, toute ma vie professionnelle prit un virage à 180°.
Ce n'est que plus tard que je compris que ce dernier avait sollicité l’appui d’un féticheur pour m’ensorceler, voiler mon étoile et voler ma chance.
Deux années plus tard, un ami à ma femme me demande si je suis intéressé par son restaurant bar que gère sa sœur. Après un rapide audit, j’investis mes dernières économies afin de lancer un concept de tapas soigné. Les premières semaines se passent bien et nos proches viennent découvrir le nouveau concept à maintes reprises. Mais, sans aucune communication, le restaurant devient vite de plus en plus vide.
Corinne P.E., chargée de la communication, ne fait rien pour permettre au restaurant de gagner en clientèle, préfère vivoter et se la couler douce. Ses seules interventions consiste à retirer pour ses dépenses personnelles les maigres entrées d’argent déposées sur le compte de la société.
Après avoir travaillé 4 mois, investi mes dernières économies sans jamais me payer, j’arrête l'aventure et procède au retour de toutes les boissons non consommées afin de ne pas laisser de dettes. Une arnaque de plus, je deviens collectionneur.
Pour parachever le tout, j'apprends plus tard par certains de nos amis communs que Corinne P.E. se plait à salir mon nom en ville afin de se faire passer pour une victime. A vomir !
La pilule est dure à avaler, mais je commence à apprendre de mes erreurs et parviens à éviter certains plans foireux, tel celui de Christelle V. qui me sollicita pour procéder au lancement de son traiteur. Ayant déjà lancé la carte de son restaurant principal en escroquant un chef cuisinier que je connais, la pro forma envoyée ne recevra aucune réponse.
Depuis toujours passionné par la nature et manquant de travail, je tente de me lancer dans la naturopathie.
Charles, un ancien collègue, me présente un de ses amis naturopathe, Koffi. Nous apprenons à nous connaître et de fil en aiguille, commençons par réaliser des recettes de tisanes détoxifiantes, le tout grâce à ses connaissances.
Je lui ouvre ma maison et l'accepte au sein de ma famille. Ayant encore envie de croire en l'amitié, je lui offre ma confiance et décide de créer une société dans laquelle nous serions associés. Les produits sont finalisés et mon grand frère nous aide dans la créa qui aboutit sur un packaging extraordinaire. Nous lançons la production et la publicité via les réseaux sociaux et les pharmacies.
Je m'occupe des investissements, de la logistique et des réseaux sociaux, et demande à Koffi de s’occuper un peu des ventes en utilisant sa communauté.
Mais Il ne fait rien de bon et malgré cela les seuls bénéfices réalisés lui sont quand même alloués pour le motiver et l'aider dans ses difficultés financières. Pour rajouter au tableau, au lieu de vendre les tisanes produites par la société, ce dernier continue de fabriquer dans son coin ses propres tisanes afin de les vendre pour son compte.
C’est dans cette même période qu'un de mes anciens chef, Steve V.R. me propose un travail en Suisse pour le seconder. J’accepte, et avant de partir fait promettre à Koffi de veiller sur ma famille et de continuer à faire vivre le business. Il ne fit rien et délaissa complètement le tout.
Ma femme fait alors fermer la société et part me rejoindre. Koffi tentera de s’excuser par rapport à ses agissements, mais il sera déjà trop tard.
Encore tout un investissement qui part à la poubelle ! Une amitié bafouée.
Après quelques années d’absence, nous décidons de rentrer au pays.
J'achète une Hyundai importée du Canada qui affiche seulement 35.000 km au compteur et 6 ans d’âge. Une belle somme qui pour moi garantirai une tranquillité d'esprit. Quel ne fut pas mon étonnement en réalisant que je m’étais bien fait rouler. Je n’ai jamais investis autant dans les réparations d'un véhicule, ce dernier ayant surement périclité en stationnant dans des températures négatives extrêmes!
J'emménage dans une villa et commence à m'équiper. J'achète un frigo d'occasion qui panne après panne fini par être viré. Ensuite, je décide d’acheter un canapé d'occasion. Nous étions 4 à le regarder, le toucher, s’assoir dessus… il était comme neuf. C’était sans compter la sorcellerie des libanais. Se faire beurrer les yeux est une expression que l’on ne comprend qu’après en avoir fait l’expérience. A peine déposé dans la maison, nous nous rendons compte que ce dernier est en fait dans un piteux état. Nous ne nous sommes jamais assis dessus, et un an plus tard l’avons cédé pour un quart du prix d’achat!
Pour finir cette session, voici l'histoire non moins banal qui m'est arrivé. Un ancien collègue Stéphane A. me refile le contact d’une personne cherchant un chef cuisinier pour le lancement d’un hôtel. Il s'avère qu’il ne s’agit que de l'ouverture d’un restaurant. J’accepte néanmoins le deal dans l’optique d'augmenter ma réputation en positionnant l'établissement dans le top 10 des meilleures tables de la ville.
Contrat signé en poche, je m’occupe de toute la partie cuisine. Recrutements, formations, testings, lancement, suivi des coûts etc.
Quant à ma femme, voyant le potentiel et désirant m'aider, utilise son carnet d’adresse pour résoudre les aspects administratifs que l'employeur Jean-Louis V. ne pouvait solutionner.
Après 6 mois d’ouverture, le restaurant tourne à 800 couverts par mois et génère déjà un beau bénéfice. Le pari est gagné et la réputation est acquise. Je demande alors le paiement de mes bonus trimestriels, stipulés dans mon contrat.
Mais ce dernier refuse, prétextant des difficultés financières. Après de maintes relances verbales, je formalise par courrier. Jean-Louis V. me fait alors convoqué au commissariat 4 jours plus tard après avoir déposé une plainte pour vol de viande du personnel���
Je tombe des nues et me rends compte à ce moment là qu’une arnaque peut devenir extrêmement pénible et préjudiciable. Les accusations calomnieuses sont une nouveauté pour moi et ce stress inattendue impacta négativement ma santé.
Je me rendis compte trop tardivement que cette personne était un pervers narcissique doté une personnalité sale et abjecte.
De plus dans l’intervalle, mon sous-chef Stéphane A., m’arnaque sur l’achat de deux scooters. Initié à des pratiques occultes, il posera certains actes pour me verrouiller.
Sans oublier les deux fruits pourris de mon équipe, la pâtissière Fani S. et Jacob l’entremétier qui n'ont pas hésité à se liguer avec l'employeur contre moi en réalisant plusieurs réunions secrètes durant les jours de fermeture pour lui faire croire qu'ils pouvaient me remplacer au pied levé.
Ces deux personnes qui se disent "religieuses" et "pratiquantes", que j’ai aidé de bon cœur lors de leur tribulations, me remercient en enfonçant leurs crochets venimeux dans mon dos.
David T, l'ancien mentor de la pâtissière et ami commun, soudainement coupa toute communication avec moi sur les réseaux sociaux. Entre les menteurs et ceux qui se plaisent à écouter, il ne reste que peu de place pour les gens honnêtes!
Je suis dépassé par l'être humain.
L'homme est un loup pour l'homme.
Sorcellerie, complot, mensonge, trahison, arnaque.
Ca a été un sacré cheminement!
Je n'ai jamais tenté de nuire à mon prochain.
Mais ils répondront tous de leur agissement!
Le Karma est patient mais réponds toujours présent!
Je décrète à présent la fin d’une époque noire!
La fin de mon Kali Yuga.
La sortie du tunnel.
Elle est là la lumière!
Il est là l'âge d'or.
Connectons seulement avec les personnes sincères et marchant dans la lumière!
Ôm Shanti
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JEUDI 18 MAI 2023 (Billet 1 / 3)
« JEANNE DU BARRY » (1h 56min)
Un film de Maïwenn, avec Maïwenn, Johnny Depp, Benjamin Lavernhe, Pierre Richard…
Comme annoncé dans notre dernière Newsletter, nous y sommes allés hier à 14h, jour de sa sortie en salle, influencés par l’article d’Eric Neuhof dans le Figaro.
Mais après avoir vu le film et lu toutes le critiques « Pro » (qui sont loin d’être unanimes, dans un sens ou dans un autre) et celles des spectateurs (idem), c’est finalement celle de l’Obs qui se rapprochait le plus de ce qu’on en a pensé et nous n’avons presque rien à rajouter.
Peut-être, pour les amoureux de Versailles, dire qu’il y a des plans sublimes du château, les cadrages, les décors et les costumes sont exceptionnels, Maïwen incarnant la Comtesse est très bien, Johnny Depp, litote : « on l’a connu mieux dans d’autres rôles »… mais Benjamin Lavernhe est exceptionnel et nous avons bien apprécié certaines caricatures, très drôles, les filles du Roi, entre autres. Dommage que les colombes blanches de la bande-annonce lorsque Jeanne fait son entrée à la Cour aient disparu dans le film.
Marina a donné au film ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️,5 sur 5 (un demi-point de plus parce qu’il fait partie de ceux qui sont amoureux de Versailles et qu’il trouve que c’est le plus beau château du monde !).
Maintenant, c’est à vous de voir… ou pas.
Une chose est sûre, les positions de Maïwen sur certains sujets de société sont clivantes, le féminisme par exemple… ou plutôt son anti-féminisme (principalement ses excès), le fait qu’elle ait tiré les cheveux d’un journaliste de Gauche de renom (que personnellement nous détestons) dans un grand restaurant parce qu’il avait écrit des horreurs sur le premier amour de sa vie (Luc Besson) et père de son premier enfant (nous, on trouve ça très gonflé, très romantique)… bref, après l’avoir eue, « elle n’a plus la carte » comme on dit. Cela vous amusera, en lisant les critiques « Pro », à part l’Obs, de constater que tous ceux qui l’ont descendue sont des journalistes de Gauche.
CE QUI EST NUL ! Comme si le talent pouvait avoir une couleur politique !
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Même le château de Versailles, ce vieux beau, retrouve, à la voir, une nouvelle jeunesse. Elle le charme, l’encanaille, l’oblige à l’audace et à bouleverser le protocole. Il cède. Elle, c’est Maïwenn, l’actrice-réalisatrice de « Polisse », qui passe ainsi des bureaux de la brigade de protection des mineurs, où officiait Joey Starr, à la Galerie des Glaces et au parc à la française, où officiait André Le Nôtre. Elle, c’est la courtisane qu’elle incarne, Jeanne Vaubernier, de son vrai nom Jeanne Bécu, une « fille des rues » que le comte du Barry (Melvil Poupaud) épouse pour mieux l’offrir, par l’entremise du duc de Richelieu (Pierre Richard), au roi Louis XV, ce lovelace blasé. Et voici qu’il se ressaisit, s’éprend de la belle et en fait sa favorite, au grand dam de la cour, scandalisée, de ses trois furies de filles, et de la dauphine de France, Marie-Antoinette d’Autriche, toutes choquées de voir une « moins que rien », une opportuniste, succéder à Madame de Pompadour. On connaît l’Histoire. Maïwenn, dont on sent bien qu’elle s’identifie à cette transfuge de classe de l’Ancien Régime, la restitue en grâce et… majesté. Elle filme Versailles, ses ors, ses lustres, ses perspectives au cordeau, avec des yeux de midinette émerveillée, mais sans jamais chercher à moderniser ce conte de fées, qui se terminera mal.
Si elle a découvert Jeanne du Barry sous les traits d’Asia Argento dans le « Marie-Antoinette » de Sofia Coppola, Maïwenn ne glisse dans ses plans ni Converse ni macarons Ladurée. Il lui suffit, sans renier ses origines, d’être téméraire et amoureuse, de croire les sentiments plus forts que l’étiquette, de se moquer du qu’en-dira-t-on, pour montrer combien ce destin d’autrefois a des accents d’aujourd’hui. Farouche devant la caméra, respectueuse derrière, Maïwenn signe un portrait royal de la maîtresse royale. On guettait évidemment Johnny Depp, ce pirate des Caraïbes, dans les habits dorés de Louis XV : marmoréen et silencieux, il fait le job. Mais c’est son premier valet de chambre et rabatteur délicat qui emporte ici le morceau : dans le rôle de La Borde, Benjamin Lavernhe est exceptionnel. A la fois intraitable, impénétrable et attendrissant, il initie Jeanne du Barry au protocole de la cour et la protège des avanies dont elle est la victime. On dirait parfois que, dans les coulisses, il conduit le film jusqu’à son épilogue dramatique. Un film en forme de plaidoyer et aux allures de tragi-comédie, tourné en 35 mm, qu’on croirait éclairé aux chandelles.
Loin de sa zone de confort, Maïwenn montre qu’elle a, comme Jeanne, de l’aplomb. Elle ose même le classicisme !
(Source : « Jérôme Garcin, critique cinéma à l’Obs »)
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Chère Adenium,
J'aimerai te dire tout haut,
ce que mon coeur me dicte en bat'.
Mais pour respecter ton choix,
Je me dois de bien choisir mes mots.
En bref, j'aimerai te dévoiler mon âme,
Au risque que ce soit à notre grand dam.
Je n'ai, normalement, pas besoin
D'aller beaucoup plus loin.
Et peut-être que ce que tu sens t'effraie,
Car effectivement nous pourrions en faire les frais.
D'une amitié, tu es d'accord pour en tisser une.
Et c'est ainsi très bien comme ça.
Mais, plus fort que moi, quelque chose s'élança.
Serait-ce, par joyeux hasard, une sensation commune ?
Pas si loin de moi, l'idée de te faire souffrir à mes dépens,
Le paradoxe est là, je ne peux m'empêcher de faire le paon.
En quelques jours je t'ai vu sourire, rire et pleurer,
Quelle femme se lâche ainsi sans crainte de se leurrer ?
Si la fleur symbolise la connaissance plutôt que l'amour,
C'est pour signifier que chacune d'elle est belle et unique,
Il en va ainsi de la vérité, et ce depuis toujours,
Aussi vrai qu'une rose est parfumée autant qu'elle pique.
Quelle hérésie que voilà ! Cueillir une fleur ?!
Bin oui, c'est juste pour la rapprocher de mon cœur !
Mais elle va se faner si tu l'arraches !
Que faire alors de mieux que la contempler ?
Regarde la s'épanouir, pauvre tâche !
Mais que faire alors ! Dis moi ! Sois fair-play !
C'est le secret de la vie,
La conciliation des contraires.
C'est dans ton regard que je me perds,
Ce contact des âmes, sans demander l'avis.
Tes yeux noirs, plein de haine et de malice,
C'est toi qui connais le prix des zgegs en latex !
Derrière tes airs de douceur, il y a du vice,
Peut-on dire que tu es aussi redoutable que complexe ?
J'ai pas besoin de toi, je suis le porteur de lumière,
Mais j'avoue, wlh, avec toi ça péterait sa mère.
J'aimerai voir ton visage sans maquillage,
Sans artifices, juste toi, nul mirage.
Le noeud de ton pull, j'aimerais te le défaire,
Pour voir ton corps nu,
jouir de la vue
de tes seins à l'air.
Nous pourrions alors, tendrement nous enlacer,
Peau contre peau, sans même aller s'embrasser.
Juste toi et moi, l'un contre l'autre, comme une éternité,
Je pourrais abandonner mon Rêve, pour faire de ces vers une réalité.
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okay let’s try this: here’s some disney song sorted into somewhat formal categories and ranked.
oh sweet that seems to have worked!
disclaimer i guess: i hate disney as a corporation for a lot of reasons, but i love movies and music and animation and talking about music and movies and animation. so here we are
“i want” songs: a term taken from broadway by ashman and menken to describe the song towards the beginning of the movie where the protagonist sings about their goals at the outset of the story. this is the only one with a top ten instead of a top five, and even a couple honorable mentions
10. a dream is a wish your heart makes— cinderella. it’s memorable and sweet!
9. one jump ahead— aladdin. it’s catchy and energetic and fun, and a better world builder than the actual opener (what with that one revised racist line)
8. for the first time in forever— frozen. i think it does really well to showcase anna and elsa’s conflicting feelings about opening the castle, how their wants and needs are at odds with themselves and each other, and i love how the musical motifs from “let it go” are introduced here.
7. reflection— mulan. it’s so beautiful and evocative, you can really feel mulan’s inner conflict
6. i just can’t wait to be king— the lion king. fun catchy and with a bitter ironic twist
5. repunzels daily routine— tangled it’s sweet it’s fun it’s catchy, i like repunzel
4. how far i’ll go— moana. i love how the melody reprises in “i am moana” it’s just so good
3. almost there— princess and the frog. it’s so fun and energetic, and it’s more ambitious than wistful which is a welcome change
2. belle & belle reprise— beauty and the beast. this serves sort of a double purpose as a world builder and an “i want” song and really elegantly contextualizes how what belle wants is at odds with the world she lives in. would be number one except it feels like cheating to give an ensemble number and a two parter that spot.
honorable mentions: when you wish upon a star— pinocchio. not a classical “i want” song because pinocchio isn’t singing it, but disney uses it as their brand leitmotif so. there’s that. go the distance— hercules. it’s good. like other girls— mulan TWO?? the only song from a sequel i remember even a little bit, it’s such a bop.
1. part of your world— the little mermaid. THE “i want” song. i also have a special place in my heart for this one because it was the first song i ever learned when i took voice lessons as a kid (which is. i won’t get into it.) but anyway, ariel’s curiosity and earnestness is touching, it’s no wonder this song kicked off the disney renaissance.
villain songs: people love villain songs and they love to talk about how much they love villain songs. here are some of them.
5. hellfire— hunchback of notre dam. grandiose and scary, this is a killer song about religious intolerance and hypocrisy.
4. gaston/mob song— beauty and the beast. would be ranked higher except i can’t rightly separate these two. “gaston” particularly serves a duel purpose as a “fun-and-games” song FOR the villain and the villagers, and also sets up gaston’s power of popularity and just how he can sweep the whole village into a mob at the snap of his fingers. also they’re both in a major key (in the movie. in the musical it says mob song is in a minor. does this happen a lot with broadway adaptations?)
3. mother knows best— tangled. so insidious and manipulative i love it.
2. be prepared— the lion king. this is not a hot take this is like everyone’s favorite disney song. honestly the hottest take is not giving it the number one spot.
honorable mention: cruella de ville— 101 dalmatians. it’s got a recognizable melody and it’s so funny that roger hates his wife’s coworker so much he wrote a whole song about it. friends on the other side— princess and the frog. it’s a bop!
1. poor unfortunate souls— i love how the lyrics are ursula talking about how “helpful” she is while the music itself sounds so sinister. honestly this ranks really close to “be prepared” in my head but i think it’s just slightly under rated while be prepared is just slightly over rated.
“fun and games” songs— this is a term im borrowing from film school, but probably musical theatre has its own name for it. anyway these are big, danceable ensemble numbers.
5. under the sea— the little mermaid. great example of this song but over rated if you ask me.
4. friend like me and prince ali— aladdin. i think they go together alright because friend like me is the genie introducing himself and his powers to aladdin, and prince ali shows him using his powers. robin williams is great!
3. zero to hero— hercules. so fun and catchy i love the muses.
2. hakuna matata— the lion king. it means no worries for the rest of your days!
honorable mentions: bare necessities— the jungle book. a cute proto hakuna matata. human again— beauty and the beast extended edition. it’s not even in the original movie but it’s so good! love a waltz!
1. be our guest— beauty and the beast. maybe a predictable number one choice but it’s just so funny and charming with this infectious energy, and such a creative animation sequence, (or dance & costume sequence in stage adaptations) i love lumiere’s little boo hoo moment.
world builders— this is a term im taking i from sci fi fantasy media criticism i guess. kind of a weird vague category that can include anything from big ensemble numbers to un named narrators. actually, there aren’t that many examples of this, so i only have a top four.
4. meet the madrigals— encanto. i keep forgetting to include this movie because it’s so new, but this is a bop and a good introduction to the characters.
3. the gospel truth— hercules. i think it’s so interesting to do a gospel music homage in a movie about greek gods and i’ll be damned if the muses aren’t wonderful to listen to. what fun exposition!
2. honor to us all— mulan. closer to the style of “belle” the “prologue”, this tells us the world mulan lives in and we really get a sense of the pressure she’s under.
honorable mentions i guess: prologue— beauty and the beast. i don’t like that it’s just talking over music, but it introduces some beautiful musical motifs that are used later. “belle” with the villagers is also kind of a world opener but it’s so heavily contextualized with belle reprise, belle’s i want song, that i won’t put it here. arabian nights— aladdin. EXACT same situation with one jump ahead and it’s reprise doubling as a world builder and an i want song, except instead of my issue being talking over music, my issue is the orientalism.
1. the circle of life— the lion king. rip to the zebras and gazelles but this is one hell of an opening number.
love songs— self explanatory!
5. once upon a dream— sleeping beauty. i just think it’s pretty and i love how it takes the melody from the ballet.
4. beauty and the beast (a tale as old as time)— beauty and the beast. i’ve already doubled up belle and belle reprise, and gaston and mob song, but for this one i’m actually going to take up two spots in my top five with beauty and the beast songs! it’s just a beautiful song with a beautiful animation sequence. it’s lovely!
3. something there— beauty and the beast. hot take to put two beauty and the beast songs in my top five, an even hotter take to put this non oscar winning song above beauty and the beast, but i love this one. i like that belle and the beast actually sing, but the castle staff still have a few lines to gossip about them lol. their trepidation about falling in love makes their relationship feel so well built. it’s just very sweet.
2. a whole new world— aladdin. i actually don’t have a lot to say about this one, i just think it’s really good.
honorable mention: at last i see the light— repunzel. pretty song and a good storytelling “want vs need” moment where repunzel accomplishes her goal of seeing the lights and realizes it evens more to see then with eugene, and eugene realizes his goal of selling the crown for riches or whatever isn’t as important to him as being with repunzel. that considered, it should be higher, but the music just doesn’t stick with me like some of these others, idk. love is an open door— frozen. a cute little pastiche of fairy tale “love at first sight”, way better than the terrible troll song about kristoff, the actual love interest.
1. won’t say i’m in love— hercules. susan egan. the muses. the concept of this jaded, love spurned princess fighting her feelings until that last soft, reluctant “at least out loud i won’t say i’m in love”. this song gives a lot of much needed depth to the hercules-meg-hades conflict (which i say because herc and hades are more distant from each other and more closely connected to meg) i digress, good song.
#disney tw sorry#disney#um#beauty and the beast#hercules#aladdin#the lion king#the little mermaid#mulan#tangled#i think those are the ones that show up the most so that’s probably fine
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hi i just wahted to say ur art is amazing also isnt kampana tagalog for bell???
Yes it is sksks, because he's in noble bell college in notre dam I just named him bell lol
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the one where you’re someone else. [donghyuck] [part 1]
lee donghyuck x reader // words // high school!au // body switch!au
summary; in which you wake up in someone else’s body. more than once.
warnings: swearing, confusion, terrible enemies to lovers trope
requested; nope
“So, is your face just... like that, or do you consciously have a permanent frown?” Donghyuck looks you up and down, his eyes narrowed. The left side of his mouth lifts up slightly at the way you raise an eyebrow at him.
“Have you ever toyed with the thought that it’s just you that I dislike?” You look at him briefly, standing on the other side of your open locker door, unluckily located right beside his. Since he began the conversation, he’d closed his locker so now he was leaning against the door in a stance that was all too casual and all too annoying. You could swear you could smell his bad breath from where you were standing. Your nose wrinkles at the thought.
“Ooh, ‘dislike’, ” a wide smile makes its way onto his face. “Didnt you ‘hate’ me yesterday? You’re not going soft on me, are you?”
Rolling your eyes, you decide not to grace him with a response. Instead, you look up to the top corner of your locker where you’d tacked your class schedule. Donghyuck’s gaze flicks from your face to the top of corner of your locker door, as if he could see through the metal.
Easily reaching over the door’s edge, his hand finds the piece of paper before you can work out what your first class of the day is. He easily pulls it from its position, looking at it, “Whats this?” Looking up at you, he feigns hurt, placing a hand over his heart, “Aw, y/n. Did you forget we have history together? I’m disappointed.”
“Very funny,” you deadpan. You hold out a hand, “Give it back.”
“History, literature, calculus,” he reads your schedule for the day out loud, but you’re unsure which day he’s reading since he’d taken it before you could see.
“Donghyuck.” His eyes snap up to look at you through his lashes; he can sense your growing frustration.
“Y/n,” he mocks. He holds it over his head, “Take it.”
You’re so sick of him.
You simply raise your hand, not making any effort to jump or stand taller. At some point he’s going to have to get bored of this game.
But you haven’t noticed his other hand reopening his locker. As quickly as he’d taken it from your locker, he places it in his own, quickly shutting the door. You stand in stunned silence as he bends down to pick his backpack up from where it has been previously sitting by his feet.
“See you in history, y/n,” he smirks. Asshole.
You watch him go, and as soon as he’s rounded the corner, you reach over as subtly as you can and play with his locker handle. No use. But a few odd looks from people walking past who can see you rattling the handle.
With a huff, you grab your books for history and start walking in the direction of your homeroom. On second thought, you walk back to your locker and stuff a few of your other textbooks in it, ignoring the weight and deciding its better to be prepared for any class you have next than be late to go get books.
——————
“Well if it isn’t the hunchback of notre dam,” Jongho greets, watching as you wearily place your backpack at your feet beside your usual cafeteria table.
“Yeah, well, Mr Lim made me stay back and i didn’t want to get stuck in the long lines so I came straight here. Call me when the bell needs to be rung,” you stretch your arms over your head, feeling your back crack as you move.
“Why are you carrying all your books?” San looks wearily into your backpack.
“Forget your locker combo?” Wooyoung asks, then sits back in his seat, stretching out in a cocky manner. “Been there before. Busted my lock a month in, and now it doesn’t even work!”
Seonghwa rolls his eyes and leans forward on his elbows, “Seriously, y/n, I could hear your back cracking from over here.”
“Donghyuck took my schedule and I didn’t know what classes I had, so I packed for all,” you shrug, not really seeing an issue with your idea. It’s not like you were walking long distances, anyway.
“Seriously? He’s still messing with you?” San’s brows furrow.
“Yeah, because she’s still messing with him,” Yunho laughs, and then laughs harder when you shrug in agreement.
“Why didn’t you just use your phone?” Hongjoong asks, spooning a mouthful of soggy salad onto San’s tray, who looks at the food in disgust. He pushes the tray away and settles his attention back onto you. You suddenly feel like an idiot for not checking your phone. At least you won’t have to carry your books around for the rest of the day.
“What did you do to him?!” Wooyoung excitedly turns around in his seat, eager to hear what brought on such a bitter revenge.
“Okay, so maybe, someone took something from him and he didn’t like it so much,” you look at them all in turn. “But no one knows who did it, and there’s no evidence to say i did-“
“But there’s definitely motive,” Jongho smirks.
“I don’t think pure undying hatred counts as a motive.” You raise an eyebrow at Seonghwa’s dry tone, but he just shrugs in response.
“No, he ‘accidentally’ squirted her with a hose at the car wash fundraiser,” Yunho laughs, recalling the memory of you shrieking from the cold water.
“Because she ‘forgot’ to turn off the tap and he got a hose to the face, right?” Yeosang pipes up, his chin resting in his hand on the table.
“Jesus, y/n, it’s impossible to keep up with you two,” Seonghwa throws his hands up in defeat.
“Well, he started it, so every time I retaliate it’s just me trying to settle the score,” you try and explain in the most innocent tone you can muster. He rolls his eyes but you can see the small smile that settles on his face as he looks away from you.
“What are you going to do?” San’s eyes widen at the look in your eye.
“I’m not sure,” you think, glancing quickly over your shoulder at the lunch line, which you still haven’t joined. It’s shorter now that most people in this lunch block have already sat down, and you feel your stomach rumble. Almost immediately, you spot the person in question, joking with a few of his friends in line. “I’m gonna get some food. I’ll be right back.”
Grabbing a tray from the stand, you join the line, only a few people behind them. While playfully shoving Jeno, Donghyuck’s eyes find you over Jeno’s shoulder.
“Hey, y/n!” He calls out.
You pretend not to hear.
He smiles wider; he knows exactly what you’re doing. Raising his voice slightly, he calls out again.
Once again, you ignore him.
Renjun shakes his head as he hits Donghyuck on the arm, but Donghyuck’s eyes don’t leave your face, which are intently searching the room. He pushes Renjun’s hand away and then raises his voice an impossible amount, “Y/n! Over here!” It feels like all eyes have turned your way.
You startle at the sudden outburst, and you look to him in exasperation. At the sight of his smirk, you bristle, roll your shoulders back and quietly respond, “What?” You pretend not to notice the people who are still watching you.
“Wanna join us in line?” Donghyuck gestures down to the floor at his feet in a way that makes you think he’s up to something.
“I’m not cutting line,” you say.
Without missing a beat, he shoves the shoulder of the person nearest to him, which just so happens to be Renjun, who is still standing right beside him. With a quick shove, Renjun stumbles out of line and between two nearby cafeteria tables. With a bright smile, Donghyuck gestures to the space Renjun had previously been standing, “Its not cutting if no people are added to the line.”
“It’s still cutting,” you say, your expression showing how bored you were of this conversation.
He doesn’t have time to respond as Renjun comes flying into Donghyuck, swearing (you presume) at him in Chinese. You didn’t know much about Renjun, with the exception of the fact that he’s Chinese and hangs out with Donghyuck. It was due to the latter that you hadnt really been excited to speak to him. Right now, you take a quick liking to the guy.
The argument continues as the line moves, and you take your tray around them to get your lunch, making your way to your table before theyve even begun paying for their food.
“What was that about?” Yunho asks as soon as you’ve sat down, his eyebrows furrowing as he looks over your head to where Donghyuck and his friends are walking to their own table. Renjun appears to be the only one not laughing.
“I don’t know, but Donghyuck tried to give up Renjuns spot in line for me,” you look down at your food, eyeing the cold french fried on your tray, cringing.
“How... nice of him?” Wooyoung says, and one look around the group makes you all simultaneously burst out into laughter.
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Tinder: l’homme le plus populaire de l’appli dévoile ses dix secrets !
Être populaire sur Tinder et consorts n'est pas une mince affaire. L'homme avec le profil le plus populaire sur l'app révèle ses secrets...
Draguer et pécho sur Tinder, c’est tout un art en somme. Ainsi, les experts en séduction arrivent à attirer bon nombre de prétendantes et prétendants. Pour nous aider à attirer nos crushes dans nos filets, un expert en séduction a donc livré ses secrets. MCE TV vous dit tout de A à Z.
LES SECRETS POUR SÉDUIRE COMME PERSONNE
Certains hommes et certaines femmes ont plus de succès que d’autres sur les appli de rencontre. En grande partie sur Tinder, l’une des plus prisées du marché.
On a beau passer des soirées tout entières à swiper, on ne trouve pas l’élu.e de notre cœur. Et ce, à notre plus grand dam en soi. La barbe !
Pas de panique : un homme s’est récemment entretenu avec Esquire. Dans son entrevue, ce dernier dévoile ses secrets pour séduire comme personne sur l’application de rencontre.
Il faut dire que cet homme en question a un bon nombre de conquêtes à son palmarès. C’est d’ailleurs l’un des plus populaires sur l’application de rencontre.
En tout, c’est donc une dizaine de secrets de séduction que l’expert nous révèle dans son entretien avec Esquire. Envie de découvrir ce qui se dit ? Poursuivez donc votre lecture !
TINDER: UN MEMBRE DE L’ÉLITE DONNE SES MEILLEURS CONSEILS
Maurice Saunders fait donc partie des hommes les plus prisés de Tinder aux États-Unis. Cet homme fait partie d’une catégorie bien spéciale sur l’appli.
Il compte parmi les 1%. Le must. La crème de la crème anglaise. En d’autres termes, c’est un membre de l’élite et l’un de ceux qui compte le plus de swipes à droite aux USA.
Un secret — pas si — bien gardé qui entre de bonnes mains vous aidera à faire des ravages. On sort donc ses plus belles photos et on réinstalle l’appli pour combler son cœur esseulé.
Premier conseil de l’expert : opter pour une photo sur laquelle vous souriez pour la photo principale. C’est une règle élémentaire en somme, qui montre que vous êtes avenant.
Exit les « je souris plus en vrai que sur les photos », alors on sort son plus joli rictus. 2e conseil : soyez clair sur vos intentions : on draguouille, on cherche l’âme sœur, des amitiés durable mais on y va pas « au feeling » !
3e conseil et non des moindres : ne swiper qu’une fois par semaine, ni plus ni moins. Ne vous enfermez pas dans un schéma où vous swipez à la moindre occasion. Soyez détaché le plus possible.
Conseil n°4 : être mystérieux. Une bio de quelques lignes suffit. Pour vos photos, essayez d’être le plus varié possible sur les poses. On évite aussi d’être trop cru dès la première approche.
Tinder vous notifie que vous avez un match ? C’est parfait ! Maintenant vous allez briser la glace avec une question bien catchy ou proposer deux choix, du genre « burgers ou sushi ? »
C’est bien jusque-là, on a fait de grands pas… L’étape suivante : le date. À trop parler, on rate une occasion. Toutefois, restez positif, malgré la pandémie et prévoyez une rencontre !
photographe Tinder
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Le Brexit (suite, mais pas fin… )
Voilà quelques jours –c’était le 31 janvier très exactement– le Royaume-Uni est officiellement sorti de l’Union européenne. Le Brexit est maintenant chose faite, conséquence du référendum par lequel les Britanniques avaient décidé de quitter l’Union. Je m'en souviens comme si c'était hier… Le lendemain matin, dès potron-minet, j'avais écrit un “billet” qui, ce matin-là, avait une saveur très particulière : il était 6 h du matin, ce 24 juin 2016, et j'avais mis mon réveil plus tôt pour avoir le résultat (conforme à ce que j'annonçais depuis des semaines, seul contre tous ou presque –comme souvent), pas connu à l'heure (tardive) où je m'étais couché.
Sous le titre “Europe : the Brexit breaks it !”, j'ai écrit, ce matin-là : “Alea jacta est ! Le Brexit a cassé l'Europe, comme nous l'avons annoncé ici si souvent, à rebrousse poil de tous les gens intelligents : consulter les peuples, c'est prendre le risque certain de les voir rejeter ce qu'est devenu l'Europe, cette tueuse de nations, cet ogre avaleur de ce qui est important (tellement plus que tous leurs arguments faussement rationnels et que leur vision marxiste d'un homme ramené à un ’‘homo” essentiellement économique) : “Tirez-vous les premiers, Messieurs les Anglais” !“. Mon maître André Siegfried appelait joliment ces arcs réflexes : l'Ame des peuples.
Je continuais : ’'Une campagne pas toujours très ’‘british“ ni ’'gentleman-like” a vu s'opposer deux visions non pas de l'Europe mais de l'Homme lui-même : ’'l'homo œconomicus’' pour les partisans du ’'Remain”, et “l'homo sapiens” pour les tenants de la sortie. Pour les ‘’pro-maintien’’, des menaces d'apocalypse, d'une violence peu croyable : “Vous allez voir, le ciel va vous tomber sur le tête” (A.Merkel)… ou encore : “Il n'y aura pas de retour, nous serons implacables” (Junker, Hollande, Barnier). Pour les pro-départ, c'était l'invocation de l'âme de ce peuple anglais qui, au prix de quelques mauvaises farces faites à ses voisins continentaux, a toujours montré une force de caractère que rien n'a jamais fait céder : “Nous voulons rester ce que nous sommes” (B.Johnson), “Vous ne comprenez rien” (N.Farrage) ou, pour montrer l'ancrage de ces racines, “We want our country back” (d'après M.Thatcher).
’'Et maintenant, quoi ? Les boursicoteurs vont se donner en spectacle, la livre sterling va prendre un grand coup, avant de regagner peu à peu le chemin perdu, les instances bruxelloises vont montrer à quel point ceux qui les remplissent ont l'âme mesquine et vindicative, et les retraités britanniques qui vivent en France vont être très anxieux pour leur futur. Ca, c'est pour tout de suite. Mais c'est au delà que réside la “terra incognita’’, et on peut faire confiance aux esprits supérieurement formés du ’'Foreign Office” pour déclencher une contre-offensive churchillienne qui jettera peu à peu les bases d'une autre ’'Europe”, plus humaine, plus attractive, plus réaliste, et moins contraignante, moins coûteuse, moins technocratique que celle dont nous sommes habitués à accepter les règles absurdes, les idées saugrenues, les diktats autoritaristes et l'inefficacité permanente… Nous n'avons pas fini de déguster leur “bouillon d'onze heures’' ! (fin de citation). Je ne change pas un mot.
Le processus a été long, laborieux, parfois pénible. Pendant ce délai, que n’avons-nous entendu ! Les médias adorent accabler les souverainistes, les partisans de l’indépendance nationale et les eurosceptiques, tous ces ’'populistes” (sic !) qui joueraient avec les peurs ! Jouer avec les peurs ? Parlons-en ! Car en matière de catastrophisme, depuis ce 24 juin 2016, nous avons été servis : ce sont bien les europhiles qui nous ont expliqué à longueur de tribunes, de discours et d'exposés que l’avenir des Britanniques, par la faute de leur vote “inconscient”, ressemblerait à l'enfer. Par containers entiers de scénarios-catastrophe, on nous annonçait que ces idiots d'anglais allaient tomber de leur piédestal, allaient s’enfoncer dans la crise économique, plonger dans la récession, perdre leur statut de puissance, être frappés par la peste, le choléra et le typhus. Mais ’'Covid est arrivé… é… é…“ et en fin de compte, a mis tout le monde d'accord par KO ! Et son variant dit anglais n'est ni le dernier ni le plus vicelard de tous ceux qui vont nous tomber sur la cafetière !
Mais avec une opiniâtreté toute britannique, Boris Johnson a réussi, seul contre tous, à sauver la liberté de son pays. Pour l’instant, il fait un sans-faute au service des intérêts de Sa Gracieuse Majesté et de ses sujets. Un seul exemple ? Les vaccins, LE sujet du moment l Avec quel brio le gouvernement britannique a réussi à garantir ses livraisons de doses, au nez et à la barbe de la lamentable Union européenne, et AstraZeneca va livrer en priorité les Britanniques, au grand dam de Bruxelles. Plus honteux encore, Valneva, une start-up nantaise qui a mis au point un vrai vaccin contre le covid, s’est heurtée à l'apathie consternante de la France et de l’Union européenne… et c'est encore le Royaume-Uni qui, ayant financé les essais cliniques de l’entreprise l’année dernière et les problèmes industriels cette année, en recueille logiquement les fruits. Le vaccin sera produit chez eux, et en priorité pour les Anglais… les Européens devant patienter jusqu’à 2022 pour être servis. Empruntons aux anglais la conclusion de ce paragraphe : ’'No comment’' !
Sur les autres sujets, la catastrophe annoncée a-t-elle eu lieu ? Il est évident que non. Par exemple, l’effondrement annoncé de l’industrie automobile ne se produira pas, le secteur ayant habilement négocié dans l’immédiat l’absence de droits de douane et de quotas, c’est-à-dire les avantages d’un marché commun sans les inconvénients : le Royaume-Uni peut faire repartir la production auto outre-Manche, et le groupe Nissan se maintient sur le marché anglais. A terme, pour garantir que les composants des voitures proviennent bien au maximum du Royaume-Uni (ex : les batteries), de gros investissements vont profiter à toute l’industrie britannique.
Quant à la finance… le panorama de désolation que nous promettaient Bruxelles, l'Elysée et Matignon est à revoir. Les négociations vont bon train, mais le Royaume-Uni est d'ores et déjà assuré de rebondir : sur les quelque 80 milliards de livres que représentent les services financiers britanniques exportés, seulement 20 % sont pour l’UE. Le risque serait plutôt que nombre d'entreprises préfèrent choisir des places non européennes (New York ?) pour leurs transactions. Mais il semble certain que ce n’est ni Paris, ni l’Europe qui récupéreront ce que Londres perdra…
En ce début d’année morose au delà du possible, le cas anglais vient nous réchauffer le cœur, même si ce n'est pas directement bon pour nous, à court terme : il démontre qu’avec de la volonté politique et de la fierté nationale, on peut aller très loin, à contre-courant du prétendu ’'sens de l’histoire” que l’on cherche à nous imposer. Si seulement cela pouvait servir de leçon à nos pseudo “élites” incultes, ondoyantes, errantes, et soumises au vent mauvais de l'affreux progressisme qui ruine jour après jour notre pays… et tant d'autres… Faisons un rêve : que nos politicards myopes (quand ce n'est pas aveugles), fermés à tout ce qui marche et à tout ce qui est vrai et bon pour l'Homme, se souviennent de Napoléon Ier, en cette année qui devrait commémorer, au niveau qu'il mérite, le bicentenaire de sa mort : “Impossible n’est pas français !”. Espérons, malgré tout : tout espoir n'est pas perdu ! Mais comment ne pas penser, en écrivant ce ‘’billet’’, à cette belle ‘’manchette’’ du Times de Londres, le 22 octobre 1957 (je l'ai conservée, dans mon “bêtisier”) : “Epais brouillard sur la Manche : le continent est isolé” ?
H-Cl.
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The Hunchback of Notre Dame Musical: The Bells of Notre Dam, Topsy Turvy, Tavern Song, Out There Me:
#im jammin my dudes#its so good#check it out on youtube#the hunchback of notre dame#the hunchback of notre dame musical#the hunchback#the hunchback musical#musical#karen please stop
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Starting Off a New Era
Starting Off A New Era by Avidiece
Chat Noir can feel his heart in his throat as he follows her down off the ledge. They just won, but this doesn't feel like he expected it to. Maybe he'd been missing something the past few weeks- maybe he misread what he assumed was exhaustion, and she'd been harbouring some dark secret. Ladybug gently pulls him across the roof tops to the Notre Dam, and they sit in their normal spot. But this doesn't feel normal. Ladybug is hiding something from him, and it's something important enough that she couldn't tell him earlier. Alarm bells are thundering in his ears. -- With Hawkmoth defeated, Ladybug must return the Miraculous box, and with it her memories as her time as a superhero. Before she does, she lets Chat Noir into her last secret, and he's not sure how to process it alone.
Words: 1297, Chapters: 1/?, Language: English
Series: Part 2 of a new era
Fandoms: Miraculous Ladybug
Rating: General Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Characters: Adrien Agreste | Chat Noir, Marinette Dupain-Cheng | Ladybug
Relationships: Adrien Agreste | Chat Noir & Marinette Dupain-Cheng | Ladybug
Additional Tags: Adrien Agreste | Chat Noir-centric, Memory Loss, Post-Canon, spoilers for s3e26 miracle queen, Minor Spoilers, Angst with a Happy Ending, Angst, Partial Identity Reveal, Identity Reveal, Marinette Dupain-Cheng | Ladybug Identity Reveal
Read Here: https://archiveofourown.org/works/26494150
#AO3 Feed#FanFiction#AO3 Adrien & Marinette#🐞#💚#Adrien#Marinette#Miraculous Ladybug#♦#R:G#A:Avidiece#Reveal Fic#Future Fic#Angst
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Starting Off a New Era
Starting Off A New Era by Avidiece
Chat Noir can feel his heart in his throat as he follows her down off the ledge. They just won, but this doesn't feel like he expected it to. Maybe he'd been missing something the past few weeks- maybe he misread what he assumed was exhaustion, and she'd been harbouring some dark secret. Ladybug gently pulls him across the roof tops to the Notre Dam, and they sit in their normal spot. But this doesn't feel normal. Ladybug is hiding something from him, and it's something important enough that she couldn't tell him earlier. Alarm bells are thundering in his ears. -- With Hawkmoth defeated, Ladybug must return the Miraculous box, and with it her memories as her time as a superhero. Before she does, she lets Chat Noir into her last secret, and he's not sure how to process it alone.
Words: 1297, Chapters: 1/?, Language: English
Series: Part 2 of a new era
Fandoms: Miraculous Ladybug
Rating: General Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Characters: Adrien Agreste | Chat Noir, Marinette Dupain-Cheng | Ladybug
Relationships: Adrien Agreste | Chat Noir & Marinette Dupain-Cheng | Ladybug
Additional Tags: Adrien Agreste | Chat Noir-centric, Memory Loss, Post-Canon, spoilers for s3e26 miracle queen, Minor Spoilers, Angst with a Happy Ending, Angst, Partial Identity Reveal, Identity Reveal, Marinette Dupain-Cheng | Ladybug Identity Reveal
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