#Beautés Soniques
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BERLIAL - Nourishing the Disaster To Come

Berlial est composé d’HellSod (guitares, basse, chant, programmation) et de CzH (chant lead, claviers, paroles), leur premier album est sorti en 2022 avec « Enfants de Putains » via Narcoleptica Records.
Désormais éloigné du black’n’roll de ses débuts, agressivité et théâtralité nourrissent le fiel de « Nourishing The Disaster To Come » via My Kingdom Music à l'international et Source Atone Records pour la France, dans un opus nourrit au nihilisme black metal, mais avec une abondante nourricière de styles musicaux. Les morceaux ont cette aisance abrasive et volatile à manier les structures progressives par des substances électroniques de nappes de claviers dungeon synth, grouillant dans une multitude de réverbération riffique et rythmique transportée dans les sphères post-rock, blackgaze et où l’expérimental et dissonance sont avalés. Passionné par un corps durci au mal et tremblant de fureur et de tentation sonique, « Nourishing the Disaster To Come » tourbillonne dans ses ouvertures wagnériennes 2.0, s’emporte par une acuité extrême à couper en morceaux le jeu frauduleux de sa zone de confort par une loyauté et verdict de ses émotions.
L’opus échappe à tout poncif, ouvre une nouvelle voie de navigation vers des territoires connus mais jamais vue sous cet angle. Samples et extraits de discours, spoken-word consolident la narration cinématographique, car la beauté et l’efficacité structurelle et imagée de cet album regorge d’un panel de lecture qui semble inépuisable.
Berlial est la contraction de Beria (ancien responsable du NKVD sous Staline après Ejov) et de Belial le lieutenant de Satan lors de sa chute d'Eden, démarque dans la destruction cet esprit du mal dont la violence terrasse ici, et se fait le portrait de l’homme dans sa détermination totalitaire et son aveuglement. Ces 6 titres évocateurs de l’empreinte néfaste de l’homme déterminent sa solution finale. Chaque angle musical est un propagateur saillant et chaque terminaison mélodique aspire au dénouement kamikaze, qu’il soit sur le désastre écologique, les guerres civilisationnelles, la colonisation de l'espace, où son ombre maligne dans les addictions, l'homme jongle dans un égoïsme nihiliste dont la misanthropie trouve ici une voie musicale qui en définie toute la pesanteur, la folie, la rage, la hauteur, la morgue.
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Hacking Beautés Soniques 2018 Voir le projet ► https://heajbeautessoniques18.tumblr.com
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Magie des mots
“Tailleur de syllabes en mal d’esthétie cherche muse à sublimer...”
Anselme était content, enfin, il avait trouvé l’annonce qui lui convenait. Et ce n’était pas rien, car il n’était pas facile à convaincre. Ho non ! Il n’était pas tel l’enfant qui boude à qui on promet une glace s’il arrête de faire sa mauvaise tête. D’ailleurs, Anselme n’était pas le genre de type qui s’achetait avec des sucreries. Non c’était un poète, et son éthique c’était pas du toc, c’était de l’or blanc avec des rubis dedans ! Du genre qu’on transige pas avec. Aussi quand il avait posté son annonce sur ce site de rencontre bien connu avait-il voulu être le plus clair possible quant à l’objet de sa recherche… une dulcinée certes, mais une qui lui inspire des rimes pas piquées des vers ! Des strophes qui éclaboussent de beauté intérieure ! Des tanka(s) qui renversent ! De la prose 4 étoiles ! En gros il voulait sa promise apte à faire jaillir de son thorax et de sa gorge la Magie des Mots !
Il entama son périple virtuel sur cette plateforme pour coeurs esseulés, par visiter moult donzelles dont il trouvait les profils attrayants, les photos aidaient pas mal aussi…
Il visita ainsi Karine44, Cépaletou, Jennylastar, Enviedetoibesoinderien, Maya313 et j’en passe...
Il se décida enfin, alléché tant par l’annonce que par le fichier JPG qui personnifiait physiquement Nenjetéplus... celle-ci annonçait la couleur d’une manière qui lui plu beaucoup “ Je cherche celui qui trouvera la clé de mon coeur… “ En effet, Anselme aimait les verrous, les cadenas, les serrures, il avait le truc pour les mécaniques du coeur, il avait lu un livre là-dessus ! c’est dire… Il lui envoya donc un message qui rendait hommage tant à son annonce qu’à son pseudo pour s’attirer à lui ses faveurs (il comptait l’attaquer au corps, un peu plus tard, c’est entendu).
“ Ta coupe est pleine, certes, mais la plume du poète, d’une légèreté sans pareil trouvera le sésame en plongeant dans tes yeux...”
Il relut sa phrase et il faut bien l’admettre, se complut un peu beaucoup dans l’autosatisfaction béate à la vue de cette suite de mots si subtilement agencés, puis n’y tenant plus, il cliqua sur l’encart “envoyer” judicieusement illustré par un avion en papier, tant il est vrai que le web designer (ou, la, hein !) du club de rencontre en ligne s’y connaissait en icônes qui en jettent.
Fébrilement, il attendit devant l’écran que l’élue de son coeur daigne à répondre à sa missive, quelques minutes passèrent et Anselme commença à douter de la qualité de ses formules d’approches tout en douceur quand finalement sa boîte de réception clignota…
Surexcité par ce signal libératoire, il manqua de faire tomber par terre le thé à la bergamote qu’il avait maladroitement installé près de la souris sur son bureau, mais signe des temps ou magie de la science, nul ne le saura sans doute jamais vraiment, il parvint à entraver sa chute sur la multiprise en contrebas au prix d’un quasi luxation de son bas-du-dos… Il gémit de douleur et des mots qu’on aurait cru exclusivement réservés aux taxis et aux routiers, jaillirent de sa bouche par gerbes fleuries, si bien qu’un feu d’artifice d’insanité décora l’espace sonique de bien vilaine manière.
Anselme se redressa avec peine sur sa chaise et continua à morigéner dans sa barbe diverses imprécations à l’endroit des lois de la gravité, Newton et consorts. Il se massa les reins en soupirant puis après avoir ingéré une goulée de ce thé chèrement sauvé au péril de sa santé vertébrale, il ouvrit le message de Nenjetéplus.
“ Un bon point pour l’originalité, par contre pour la clé, je pense pas quelle soit là où tu dis… Essaye encore...”
Dépité par ce message dès plus cavalier à son endroit, et sans doute encore un peu blessé par son sauvetage de tasse sur le fil, Anselme ne sut que répondre à cette supposée muse, sensé lui offrir à lui les clés de la création, ou tout du moins un minimum d’inspiration… mais qui dans l’état n’avait rien fait d’autre que de jouer les mouches du coche blasé, un peu à la manière d’une chatte qui rechignerait à goûter des croquettes d’une autre marque que celle à laquelle elle était habituée...“Essaye encore ?” non mais dit ho ! s’emporta-t-il en lui même et en guise de réponse à cette pseudo muse en carton il envoya un smiley qui ne souriait pas ! Il fut même à deux doigts de lui envoyer un smiley tout rouge, mais Anselme était un gentleman de la vieille école, et il ne s’abaissait à ce niveau qu’en cas de grave vexation…
Pensant s’être débarrassé de cette muse de seconde main du fait de l’utilisation de l’émoticône indiquant son dédain, il se rendit sur la page de recherche pour tenter de trouver la perle rare qui lui permettrait d’oublier cette malheureuse rencontre avec Nenjetéplus, l’hautaine de service ! Mais alors qu’il tentait de ne pas faire d’amalgame entre celle-ci et l’ensemble de la gente féminine présenté sur le site, v’là t’y pas que sa boîte de réception clignota à nouveau ! Et c’était Nenjeté plus qui y revenait !
Bon prince malgré tout ce qu’elle lui avait fait subir jusqu’ici, Anselme ouvrit le courriel d’un clic hésitant :
“ Alors ça ! Je dois dire que ton pseudo sent fort l’usurpation, poètedesesdames (le pseudo d’Anselme), un emoji ! Et un un qui boude en plus! valetdepieddesesdames, t’aurais du t’appeler !”
Après un telle attaque, aussi frontale qu’ignoble, Anselme fut pris d’une crise de tremblote aigue et appuya très fort sur ses tempes pour ne pas que ses synapses explosent sous ce coup de pression des plus inattendu ! Ainsi non contente d’avoir joué la grande dame, voici qu’elle jouait maintenant à la poupée avec son âme ! Et oui, ce pseudo des plus original qu’il avait trouvé après moult réflexions ne méritait en aucun cas d’être ainsi dans la boue, traîné ! C’était son totem, son surmoi incarné, un symbole de ses aspirations les plus nobles à l’endroit du beau sexe et qui prouvait par l’intermédiaire de Nenjetéplus qu’il pouvait aussi se vouer aux bassesses les plus viles !
Derechef, il répondit :
“ Je ne suis pas podophile si c’est ce que tu cherches !”
Et pour bien marquer son mécontentement il ajouta en guise de signature, une émoticone toute rouge !
Ensuite, il se leva de sa chaise lentement et rejoignit la cuisine pour se servir un verre de chablis, car oui, il avait besoin d’un remontant, il n’était pas de bois, l’Anselme, s’agissait pas de le chauffer trop non plus, poète d’accord, mais il n’était pas qu’une petite chose sans défense qu’on pouvait remuer dans tout les sens sans craindre de réactions malencontreuses, ah mais !
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Trajet de Eskimo
Eskimo n’en finit pas de brouiller les pistes avec délectation. Un chant en anglais, français, japonais ou coréen, une voix impressionniste, des musiques qui ne veulent pas choisir entre pop et jazz, un univers riche et singulier, exigeant mais accessible : tout ce qui constitue le 1er album “Que faire de son cœur ?“ sorti en début d’année 2020. Pour Trajets, nous suivons Marie, l’âme du projet Eskimo, au gré de ses voyages et des concerts auxquels elle assiste, comme autant de jalons géographiques et musicaux.

Eskimo © Indira Dominici
MON ENFANCE sera baignée par la musique de mon Père qui écoutait avant tout Bach, Monteverdi mais également Michel Portal, Eddy Louis, Ferrat, Messiaen, Simon & Garfunkel et Pink Floyd surtout dans la voiture. Et quand il mettait ça pour partir en vacances dans l’auto j’étais déjà loin dans mon esprit.
Ces deux morceaux je les ai écouté tellement de fois avec lui. J’ai le même ressenti à leur sujet : Ils sont énigmatiques et beaux.
1/ EDDY LOUIS - Blue for Kook https://www.youtube.com/watch?v=9t1ganCGlQ4
2/ MICHEL PORTAL - Mozambic https://www.youtube.com/watch?v=Z3LMTYNotGY
MON ENFANCE dans ma chambre se résume surtout aux Platters, ils m’ont submergé d’émotion en les écoutant. Et quelque chose s’est produit dans ma tête tel un déclic. Je chantais déjà tout le temps mais il y a eu un avant et un après.
3/ THE PLATTERS - My prayer https://www.youtube.com/watch?v=DE0UMnrQBD0
4/ TINA TURNER AND IKE - Proud Mary https://www.youtube.com/watch?v=hzQnPz6TpGc
Ella Fitzgerald, James Brown qui étaient sur une compile que j’avais trouvé et qui trainait dans la maison. Et j’écoutais tout ça en boucle.
5/ ELLA FITZGERALD - Stormy Weather https://www.youtube.com/watch?v=teXOPAFMOp0
Petite, j’allais à la danse. La première année où il y eut un gala, j’avais dansé sur Moments of love de Art of Noise et The Race de Yello qui avaient été mixé ensemble pour notre prestation. Et je me souviens encore du début des pas. J’adorais tellement ces deux morceaux. Des univers qui me plaisaient et que j’entendais peu à la radio ou chez moi.
6/ ARTS OF NOISE - Moments of love https://www.youtube.com/watch?v=ux3u31SAeEM
7/ YELLO - The Race https://www.youtube.com/watch?v=Y4QbJRAWvRU
ADO ce sera Lauryn Hill que je chante en m’enfermant dans la salle de bain tout le temps. L’album Miseducation c’était le truc qui me faisait le plus vibrer à cette époque.
8/ LAURYN HILL - EX Factor https://www.youtube.com/watch?v=JfvMHO6Y8kw
Il y avait eux aussi que j’aimais tant The Roots
9/ THE ROOTS - The panic https://www.youtube.com/watch?v=yLu3Q3ObkjM
Sonic Youth, je préférais ça à tellement d’autres trucs rock. Ça semblait vrai.
10/ SONIC YOUTH - Crème brulée https://www.youtube.com/watch?v=jKhB0Fldusc
Puis le choc Bjork.
Je sais pas si c’est le fait que ce soit une femme ou bien qu’elle soit d’Islande ou bien de ou bien mais j’ai tout de suite aimé ce qu’elle faisait.
Chez moi c’est assez spontané quelque chose de l’ordre des viscères, du tréfonds et des vibrations. Et là, il y avait reconnaissance.
11/ BJORK - Anchor Song https://www.youtube.com/watch?v=-IyoLPvFU5Y
Et puis, il y aura aussi un morceau de Ravel qui marque aussi mon envie de plus de musique classique. Le mystère qui s’installe et qu’on ne cherche pas à approfondir car on veut qu’il reste un trésor.
12/ RAVEL - Introduction et allegro pour harpe, flûte et clarinette et quatuor à cordes https://www.youtube.com/watch?v=bBm1w8J63mg
En musique contemporaine Arvo Pärt : il emmène dans les profondeurs de l’âme.
13/ ARVO PÄRT - Spiegel im spiegel https://www.youtube.com/watch?v=TJ6Mzvh3XCc
Et puis, je pars vivre en Angleterre. On est en pleine jungle dans les clubs en 2000 en Angleterre. Mais j’écoute plutôt Massive Attack, Portishead. Je suis comme d’habitude pas dans l’époque et j’adore ce son trip hop, ainsi que Morcheeba.
14/ MASSIVE ATTACK - Better things https://www.youtube.com/watch?v=M-muSqqvFio
15/ PORTISHEAD - Roads https://www.youtube.com/watch?v=Vg1jyL3cr60
Portishead c’était cette femme que je trouvais si fragile, si touchante. Elle arrive avec le dos vouté en live et cette voix si folle. Je tombe sous le charme de cette mystérieuse personne. Et c’est ça qui me plaît je me dis : "l’étrange".
Tom Waits, sublime texte et sublime orchestration pour l’album Blood Money.
16/ TOM WAITS - All the world is green https://www.youtube.com/watch?v=mg7wRhtYXnw
Beck avec l’album Midnite Vulture, il se renouvelle toujours et dans cet album il s’essaie même à rapper dans le morceau Hollywood Freaks
17/ BECK - Debra https://www.youtube.com/watch?v=rpv-CcRX4X4
Nico, une trouvaille dans un disquaire londonien. Et je suis transportée par cette voix et son harmonium indien qui fait un peu "temps anciens".
18/ NICO - Janitor of Lunacy https://www.youtube.com/watch?v=fgG3EaOCh_c
Je suis fascinée par Radiohead et cet album d’une beauté simple et froide qui te mets dans une condition de nostalgie et de bien être en même temps. Grosse influence !
19/ RADIOHEAD - How to disappear completely https://www.youtube.com/watch?v=6W6HhdqA95w
Discographie sublime venant d’un monsieur pourvu d’une grâce dans son écriture.
20/ BRIAN ENO - By this river https://www.youtube.com/watch?v=SrZYP8SzlN8
Et puis, je rentre sur Paris et je découvre Sigur Ros par le magazine Trax.
21/ SIGUR ROS - Ny Batteri https://www.youtube.com/results?search_query=sigur+Ros+ny+battery
Gil Scott Heron, grosse révélation avec l’album Winter in America
22/ GIL SCOTT HERON - Rivers of my fathers https://www.youtube.com/watch?v=LmXz9I0zI5w
23/ ALI FARKA TOURÉ - Allah Uya https://www.youtube.com/watch?v=339uFnhymM4
et la musique Gnawa et beaucoup de jazz comme Miles Davis, John Coltrane, Katonoma.
24/ JOHN COLTRANE - A love supreme, Pt 4-Psalm https://www.youtube.com/watch?v=yjZc7KIFlNs
J’habitais pas loin de la Fnac Bastille et c’était assez magique pour écouter plein de choses diverses : Daniel Johnston, Syd Barrett, Slowdive, Nick Drake…
Et je tombe sur Cat Power et là tout bascule. Je trouve celle qui va m’inspirer pendant un bon bout de temps à faire de la musique et à créer. Je suis déjà dans une école de musique mais je sais vers où je dois aller.
25/ CAT POWER - Metal heart https://www.youtube.com/watch?v=kx6F1jesJ5o
Bashung, peu de musique française mais lui me fera renouer avec le français. Avant il y avait Gainsbourg, Colette Magny, Brigitte Fontaine. Mais Bashung je comprends son texte, il parle à mon coeur.
26/ BASHUNG - Des bras https://www.youtube.com/watch?v=CrzF8yBOEEA
Et puis des choses plus expérimentales comme Haino Keiji, Fred Frith, Makoto Kawabata.
27/ HAINO KEIJI - An Untroublesome Defencelessness https://www.youtube.com/watch?v=nZy-g8Dx8PU
Ensuite, je pars vivre à Cophenhague. je vais écouter Pavement, Atlas Sound, Animal Collective, Connan Mockasin, Field Mice, Deerhunter, Felt, Destroyer, Mazzy Star, The Clientele, Stereolab, Ben Watt, Karen Dalton et Nina Simone, Sibylle Baier, Mojave 3 et Five or Six. Et cette période fut celle où j’ai écrit les morceaux de mon Ep "Dancing Shadows". C’était une période sombre et d’introspection. Il y régnait une grande solitude et tristesse.
Ce morceau de Ben Watt et Robert Wyatt est magnifique. C’est simple et beau.
28/ BEN WATT - ROBERT WYATT - Walter and John https://www.youtube.com/watch?v=3ySNVcJ4v6s
29/ DESTROYER - Painter in your pochet / album Destroyer ’s Rubies, j’ai écouté de si nombreuses fois. Il me soulageait. https://www.youtube.com/watch?v=bdPbBglm7lc
Je retourne sur Paris, Villette Sonique, groupe Nisennenmondai et je n’en reviens pas de la claque monumentale qu’elles m’ont mise.
30/ NISENNENMONDAI - A https://www.youtube.com/watch?v=NNKA7i4i9GA
31/ ATLAS SOUND - Quarantined (à l’Alhambra mémorable) https://www.youtube.com/watch?v=Rl-Ed5B8sI0
Dirty Beaches à la maroquinerie avec juste un sax … moment suspendu
32/ DIRTY BEACHES - Casino Lisboa https://www.youtube.com/watch?v=WOZFVFF-ATw
33/ JEAN FRANÇOIS PAUVROS - Mon homme https://www.youtube.com/watch?v=RmpLdJRIRKE
34/ MATANA ROBERTS - Mississippi Moonchild (j’entends parler d’elle pour la première fois en lisant Wire et choc émotionnel) https://www.youtube.com/watch?v=JbNKUAy0Qik
Mon morceau préféré aurait pu être The River Man de Nick Drake mais je choisis Nina Simone qui est l’unique.
35/ NINA SIMONE - Wild is the wind https://www.youtube.com/watch?v=CiVDzTT4CbE
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/eric-clapton-premiers-jours-yardbirds/
Eric Clapton : ses premiers jours dans les Yardbirds
Le 20 octobre 1963, Eric Clapton intègre les Yardbirds. Ce jour-là, il remplace le guitariste originel des Yardbirds, Top Topham. Pour jouer du blues, rien que du blues. C’est le début de la saga d’un groupe qui marquera un vrai tournant dans l’histoire du rock « British »
Le jeune Eric Clapton (ex-Roosters et ex-Casey Jones & The Engineers) connaît bien le chanteur des Yardbirds, Keith Relf. Ils se sont rencontrés dans un pub. Clapton raconte : « Je jouais des morceaux de Big Bill Broonzy et tentais d’imiter l’idiome folk acoustique de musiciens tel Wizz Jones qui interperétaient le blues de la baie de San Francisco. Je faisais tout mon possible pour attirer l’attention et me saoulais la gueule. Keith Relf avait son propre groupe, les Yardbirds. Il m’avait déjà entendu jouer. Quand il a fallu remplacer Top Topham (prié par son paternel de quitter le groupe NDLR), il m’a proposé de tenir la guitare à sa place. »
Les dés sont jetés, d’autant plus que Clapton a fréquenté la même école que Chris Dreja et qu’il a assimilé les phrasés guitaristiques de Robert Johnson et de Blind Lemon Jefferson. Par ailleurs, Clapton bénéficie d’une aura non négligeable au sein de l’établissement scolaire. Il change régulièrement de tenue vestimentaire à une époque où l’uniforme est de rigueur. Le guitariste réinvente sa personnalité en permanence. Il culture un look que ses acolytes ne tarderont pas à imiter. En fait, dixit Paul Samwell-Smith, guitariste de The Metropolitan Blues Quartet et futur Yardbirds, Clapton n’avait qu’un seul but : devenir une star de la guitare sans aucune concession commerciale, en grand puriste du blues. Un rêve éveillé qui va devenir réalité ?
Surnommé « Slowhand » à cause de la lenteur à laquelle il change les cordes de guitare qu’il casse au fil de phrasés et de solos d’une violence inouïe, Clapton s’impose comme le maestro des Yardbirds. Avec lui, le groupe va connaître le succès et susciter le respect. Eric peut se flatter f’avoir une cour de groupies agglutinées devant lui au bord de la scène et, malgré ses cheveux blonds, ses crissements d’harmonica et ses parties vocales de toute beauté, Keith Relf n’arrive pas à le surpasser. En fait, au début des sixties, Eric Clapton, avec ses fringues flashy et son charisme irrésistible, est exactement aux Yardbirds ce que Brian Jones est aux Stones : le leader. Un phénomène qui s’explique notamment par des origines pauvres et prolétaires que le guitariste (né le 30 mars 1945 à Ripley et élevé par ses grands-parents) exorcise chaque soir à travers les démons du blues, musique de souffrance, de frustrations, de transe et d’abandon à des plaisirs souvent illicites, éraflure sonore à la fois revendicative et révoltée.
Paul Samwell-Smith résume parfaitement l’état d’esprit et les origines du groupe : « Nous étions fascinés par ces Noirs qui chantaient leurs problèmes. Quand les Blancs les pendaient à la branche d’un arbre, ils se transformaient en fruits. » Fin 1963, les Yardbirds rencontrent le légendaire bluesman Sonny Boy Williamson, venu tout droit du Delta du Mississippi. Le 8 décembre, le groupe se produit au Crawdaddy à Richmond, club appartenant à leur impresario russe, l’excentrique Giorgio Gomelsky, qui les a pris sous son aile après s’être fait lâcher par des Rolling Stones débutants au profit d’Andrew « Loog » Oldham.
Ce concert est mythique. Les Yardbirds accompagnent Sonny Boy Williamson, passablement imbibé au Johnny Walker… A l’opposé du son aigu de l’harmonica de Keith Relf, celui de Sonny Boy Williamson se révèle au diapason d’une voix rauque & r��le. Le vieux bluesman enchaîne ses compositions, comme autant de morceau de bravoure. Quant à Clapton, véritable attraction scénique et sonique, il boit la coupe divine jusqu’à la lie. Pour la petite (?) histoire, sachez que les Yardbirds accompagnent à nouveau Sonny Boy Williamson le 26 février 1964 à… la Cavern de Liverpool.
C’est à cette époque que le groupe effectue ses premières séances au studio RG Jones : « I Wish You Would », « A certain girl » et « You Can’t Judge a Book ». Le 20 mars, les Yardbirds enregistrent un concert au Marquee qui donnera le jour à l’unique et fantastique album du groupe avec Eric Clapton dans son line-up : Five Live Yardbirds. Un monument hallucinant de blues-rock surspeedé revissant Chuck Berry, Slim Harpo, Howlin’ Wolf, les Isley Brothers, Bo Diddley, John Lee Hooker etc…
Retour en studio en août pour l’enregistrement de « Good Morning Little Schoolgirl » et « Got to Hurry », instrumental composé par Clapton sous le pseudo de O. Rasputin… Puis c’est « I Ain’t Got You » et « For Your Love » le 1er février 65. Onze jours plus tard, Eric Clapton fait part de son intention de quitter le groupe, jugeant « For Your Love », composition du génial Graham Gouldman (« Heart Full of Soul », « Bus Stop », « No Milk Today », « I’m Not in Love » etc…) trop pop, trop éloignée des sacro-saintes douze mesures du blues ancestral. Il préfère retourner aux sources et rejoint John Mayall & The Bluesbreakers avec qui il grave un album d’anthologie. La légende des Yardbirds, elle, perdurera avec l’arrivée dans leurs rangs d’autres prodiges de la six-cordes, Jimmy Page et Jeff Beck.
Frédéric Lecomte
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Prochain événement où retrouver Equilibre Fragile : Beautés Soniques @ Librairie Papyrus, Namur (Be) le 26 octobre. Table ronde + Showcase My North Eye
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IOTUNN – Kinship

Le cristallin Scandinave de « Kinship » via metal Blade, second album du quintette Iotunn en dix ans d’existence, est bien plus qu’un disque, c’est le meilleur de 2024 dans le style, c’est l’éveil de Iotunn qui a imaginé avec audace et pensé avec le cœur un développement mysticömélødique.
Ce joyau de beauté mélodique sombre et diaphane déploie de somptueux atours, nacrée de chrysanthème à la profondeur doomy, doté d’un sens épique de la tragédie pour faire monter la noblesse des sentiments, de superbes envolées. Le chant stratosphérique de Jón Aldará pose les étincelles d’un death mélodique au spleen subtil.
Le quintet de Copenhague élabore des parcelles progressives en teinte Leprousienne (= groupe Leprous), chargeant d’une élégance nuageuse ses embruns mélancoliques dans la chair sonique. Depuis 2009 le guitariste Jesper Gräs avait l’ambition d’un groupe de space rock 70’s. C’est fait avec ce line-up actuel, la maitrise technique est enveloppée par la passion mélodique émotionnelle qui le domine. Le concept album est là, mythologique et mystique, étendant une musique périlleuse. La saveur musclée est ici bandée par un death mélö épaulé de ligne black et heavy metal homérique jouxtant le récit, du côté prog le synthé déploie des lignes constellées et des nappes atmosphériques de voie lactée que le chant épouse à merveille. Le groupe maintient une dualité, mais non pas comme un combat d’opposition mais davantage de transcendance et d’équilibre. Jouant entre atmosphérique et ancrage, profondeur et légèreté, bien et mal, dans ce renouvellement que la musique fait découvrir en termes d’émotions, que la spiritualité amène comme élévation, que le corps ressent dans une subtilité de saveurs.
Nous sommes sur terre, il n'y a pas de remède à ça, mais nous pouvons nous élever avec l’art. Iotunn touche le point G avec la langue mélodique la plus profonde.
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Playing a bunch of shows in autumn and winter!
07/10/2018 KinoCafé, Taufkirchen (Vils) (DE) 08/10/2018 Ostentor, Regensburg (DE) 09/10/2018 Das Kino, Salzburg (AT) 10/10/2018 Gaswerk (Kino Nische), Winterthur (CH) 11/10/2018 Le Farmer, Lyon (FR) 13/10/2018 Gambetta Club, Paris (FR) 23/10/2018 CC Joseph Faucon, Le Rœulx (BE) 24/10/2018 Beautés Soniques, Namur (BE) 13/12/2018 Magasin 4, Bruxelles (BE) 28/12/2018 Lantarenvenster, Rotterdam (NL) 23/02/2019 Kino Eye Festival, Neunkirchen (DE)
#USA1982#ussr1926#livesoundtrack#lantarenvenster#beautessoniques#gaswerk#paris#gambetta#magasin4#live shows#touring#music#westoodlikekings
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Centre Culturel de Namur / Turbulences 2015
Belle surprise aujourd’hui… Je remercie le Centre Culturel de Namur d’avoir intégré ma peinture (réalisée en Live lors du MyToolz Market) à son univers pour le festival Turbulences 2015.
Centre Culturel de Namur / Turbulences 2015 was originally published on Fantomboy81
#abattoires#beautés soniques#belgique#bomel#ccnamur#centre culturel#expo#fantomboy81#live painting#mytoolz#namur#olivier demet#peinture#turbulence
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► MATCH ROLLER DERBY + LES PASSEURS DE DISQUES Dimanche 2 novembre | 15h30-18H00 | Hall des sports de l’IATA En collaboration avec Namur Roller Girls @ Beautés Soniques
http://beautessoniques.be/
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TYRAN - Tyran's Oath

Tyran est un groupe de heavy Allemand formé en 2020, anciennement connu sous le nom de Martyr, il a sorti 2 singles avant l'avènement de ce premier opus via Iron Shield Records.
Le groupe propose un heavy metOl capable de mélanger Helloween et Anthrax avec des larmes de dragon, pour un un riffing qui crache des flammes entre heavy/hard et speed metal, un chant qui n'hésite pas à monter ces falsettos dans le royaume de King Diamond et de Rob Halford. Le groupe aborde les thèmes classiques des warriors heavy 80's avec le jus contemporain d'Enforcer et Night Demon.
Est ce que le titre « Bomber » est un hommage au Motörhead de Lemmy ? Quand au titre « Thrill On The Chase » est très hard rock et un peu à part dans la mouture de l'opus.
Mais un vent étrange s'échappe de cet opus, caressé par les grimoires d'une rythmique lourde à la chaleur épaisse. Il y a une brûlure où metal et lave comme un conjoint opiacé étrangement beau prononce ces incantations, où le groupe tisse des serpents soniques dans les montagnes de ses climats, avec du Accept dans sa forge. Façonné par les mains assidues d'un nécromancien qui mord farouchement le cœur glorifié de chaque titre, le groupe ne dissipe nullement les mystifications qu’il engendre, bâtissant cette nef d’os et de ferraille, de vérité nue, de maléfice satanique saupoudrant son rythme majestueusement, et sans jamais répandre une once d’imposture.
À l'intérieur des fragments d’acier tourbillonnent et brillent comme une pluie de ténèbres affleure la beauté d'une maléfique ardeur. Ce disque brille dans le noir saint de son abîme lié par des cordes de braises. L’on est percuté par son tumulte naissant, l'agitation des sens bondissants, du corps et de l'âme de ses ailes, là où Satan distille les ténèbres avec gloire, brûle comme le feu sur les collines. Plus vous ajoutez du noir à une couleur, plus elle devient rêveuse… Le noir a de la profondeur.
Un groupe est comme un arbre au milieu d’une forêt dense, il creuse ses racines et évolue dans son ascension. Mais il n’est point aisé de s'adapter aux changements que le temps féconde. Même si chaque pousse et feuille dit quelque chose de significatif, que chaque époque murmure un message caché dans le silence, ça pénètre et ça demeure...ça creuse et ça s’incruste...l'eau se transforme en glace et le feu en chaleur, la graine en arbre et la fleur dans le fruit. Ce groupe est arrivé après les 80's. Ce n’est pas grave en soi, l’homme est capable de soigner des plaies sans les rouvrir par la grâce de son indulgence, abnégation à croire en son art.
Ce disque est démoniaque. Il y a quelque chose dedans et vous en serez possédé.
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FLOTSAM ET JETSAM - I Am the Weapon

Entre leur premier album en 1986 "Doomsday For The Receiver" et leur 15ème album studio "I Am The Weapon" sur AFM/Believe, quarante ans où Flotsam And Jetsam de Phoenix en Arizona, évolue dans les eaux turbulentes du thrash heavy.
"I Am The Weapon" a été composé et produit par l'ensemble du groupe et les onze chansons ont été enregistrées chez SonicPhish. Productions, Gnome Lord Studios, Wayne Manor Studios et Seventh Spike Studios. La superbe pochette était encore une fois créé par Andy Pilkington.
Les chansons sont agressives et rythmées avec des aventureuses progressives, toujours mélodiques et qui restent lourdes. Confronté à sa part d'agonies et d'extases le groupe transforme sa lyre en poignard. La composition apporte les impulsions de la nature du groupe ainsi que sur les exactions et les violences qu’il saisit du monde. Dans ces vagues de décadence dans la chair sonique le groupe incorpore le venin d'Overkill, et un crépuscule de lavande dans le brasier de Megadeth.
Ce disque de beauté mystérieuse, où Dieu et le diable s'y battent dans un champ de bataille thrashy heavy en est le cœur de feu, et laisse des titres haletants au goût de sang !
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HYSTERIA - Heretic, Sadistic And Sexual Ecstasy

HYSTERIA est un quatuor lyonnais de Death / Black formé en 1996. Un premier EP 4 titres “Abyssal Plains Of Chaos” en 2002 via le label INFERNAL WAVES. Leur premier album “Haunted By Words Of Gods” sort en Mai 2006 via ADIPOCERE. Puis en 2009 “When Believers Preach Their” via TRENKILL RECORDINGS, « Flesh, Humilation and Irreligious deviance » sortira en Mars 2016 sur le label Great Dane Records. En 2019 l’E.P « From The Abyss… To The Flesh » sur le label ADIPOCERE RECORDS avec 3 nouveaux morceaux et 3 titres enregistrés lors de son passage au SYLAK OPEN AIR en 2015.
"HERETIC, SADISTIC AND SEXUAL ECSTASY…” est sorti n janvier 2024 via ADIPOCERE RECORDS et la production a été confiée à Thibault Bernard au CONVULSOUND Studio (CELESTE,
BENIGHTED, DEATHAWAITS, DEPERIR…). Il est composé de 9 titres.
Face aux ténèbres le groupe a dressé des clartés qui persistent dans la nuit de son black deathalique. Il a planté des flambeaux à la lisière des nuits entre ombres et barbaries des oripeaux sur ses titres capiteux. Il devient dans sa bestialité sonique cette quête du néant tapant ses sabots et sa fourche caudines contre les os irascibles de tous ses démons qu’il vous jette. Le chant (à double voix) ruissèle de sang et craquelle la musique de mille démons tourmenteurs. De superbes solos viennent étourdir leur flux dans cette quête violente et exécutrice. L’opus transpire ses obsessions à travers la chair, qu’elle soit incarnée, sexuelle, musicale elle devient bestiale. Le titre « BLASHEMATICAL SCRIPTURES » est l’unique à posséder un texte et chant en français. Les atmosphères sont belles, elles forment des brumes, épaisses. La rythmique suit et englobe les contrastes, fait battre le pouls de chaque instant.
Les piaillements et les grincements des créatures de la nuit viennent dans les ombres superposées et ramène des choses sauvages dans l'obscurité de ce disque. Belle est cette beauté maléfique qui mérite toute votre lumière.
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20 SECONDS FALLING MAN – Resilience

Depuis 2009 le groupe 20 Seconds Falling Man écharde sa musique par des épines de tension post-hardcore, noueuses de pression et par effet de dilation d’explosivité libératoire.
20SFM (abrégé) appose dans sa pleine démarche ce que le post-metal transfigure dans sa légitimité créatrice, dans une dualité de lumière, de ton et de constate complexe, que les différents climats racontent dans le fond et la forme des courants de plusieurs styles musicaux.
Il y eut come genèse musicale cette émergence sonique avec les EP#2 en 2018 et EP#1 en 2011, du “Live At Le Ferrailleur” (Live - 2021), le single “ A Forest” (The Cure Cover) en 2019, aujourd’hui « RESILIENCE » est la seconde partie du diptyque initié par le premier long format « VOID » en 2021.
Pénétrées d’étreintes cannibales « Resilience » épouse le fiel et une ardente plénitude tout à la fois. Le groupe agite l’obscur comme pour le suspendre et en magnifier sa résistance au choc de ses métaux lourds, au trauma de sa noirceur nihiliste par sa capacité à surmonter son désespoir vers la lumière humble de ses faiblesses humaines, de son émouvante émotion à la divulguer, par des tempêtes majestueuses, par ses clairs-obscurs crépusculaires qui s’évanouissent vers des aubes de lumière céleste.
Je trouve toujours la beauté dans les choses étranges et ‘’imparfaites’’, ils sont beaucoup plus intéressants. Outre la forme d’une dualité, ombr et lumière, cri et chant posé, etc…Il y a dans cet opus cet équilibre qui sur le papier parait assez distinct et pourtant s’avère d’une tenue sidérante. L’on puise dans la musicalité du quintette les précipices d’Amenra, entre lourdeur congestionnée et force centrifugeuse, cri des profondeurs. Mais aussi toute une lumière favorisant une complexité dense, accrue, et des mouvements éthérés, explorant tout un pan d’intériorité qui nous transperce brillamment, bruyamment. Je pense au Japonais de Envy, dans ces éclairs d’espérance striés d’amertume vers une résilience lente mais profonde, comme un pardon que l’on se fait à soi-même, comblant les vides pour se vouer corps et bien à des émotions bouleversantes. Nous les avions au fond de nous sans savoir de leur véracité existentielle, et de leur impact cathartique une fois qu’elles ont trouvé la voie d’être expurgée.
L’album est autoproduit, composé de 7 titres, il a été enregistré et mixé par Christophe Hogommat (Dust Lovers, Mad Foxes, etc.). Le mastering a été confié à Thibaut Chaumont au Deviant Lab (Carpenter Brut, Hypno5e, Birds in Row, etc.). Le superbe artwork est de Jeff Grimal (The Great Old Ones, Gorod, etc.).
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