#Baptiste Ferrandis
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Sarāb, nouvel album Arwāh Hurra
Sarāb est de retour avec son second album Arwāh Hurra, que l’on pourrait traduire par Âmes Libres, et qui est prévu le 12 novembre 2021 chez L’Autre Distribution. Engagé, le groupe mêle la fureur du jazz contemporain et l'infinie richesse des musiques et des textes traditionnels du Moyen Orient.
Une aventure musicale unique avec en invités le percussionniste Wassim Hallal, le joueur de saz Abdallah Abozekry ou encore l'auteur engagé et écrivain de science-fiction Alain Damasio.
Le groupe : Climène Zarkan (voix) Thibault Gomez (piano Fender Rhodes, voix) Baptiste Ferrandis (guitare) Robinson Khoury (trombone, voix) Timothée Robert (basse électrique) Paul Berne (batterie)
En concert à Paris au Pan Piper le 15/11/2021
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Sarāb - Nouvel album : Arwāh Hurra - En concert le 15/11 au Pan Piper, Paris
Sarāb – Nouvel album : Arwāh Hurra – En concert le 15/11 au Pan Piper, Paris
Sarāb est de retour avec son second album Arwāh Hurra, que l’on pourrait traduire par Âmes Libres, et qui est prévu le 12 novembre 2021 chez L’Autre Distribution. L’album approfondit un style unique et engagé, entre jazz, rock et musique du Moyen Orient. Né de la rencontre entre la chanteuse franco-syrienne Climène Zarkan et le guitariste Baptiste Ferrandis, Sarāb, qui signifie mirage en arabe,…
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🌟🌟Le Concours National du Meilleur Apprenti Cuisinier de France 2018 est lancé, prêt à donner le meilleur ?🌟🌟 Inscrivez-vous vite: https://ift.tt/2u4CVBv Un grand merci à @EmmanuelRenaut qui nous fait l'honneur d'être le parrain de la promotion 2018. Un grand merci aux écoles participantes 2017, et nous attendons vos candidats 2018 😜 Lycée Jacques Coeur Lycee Professionnel Jean Guehenno cfa la noue Lycée La Closerie CDI Lycée Flora Tristan Camblanes Lycée Châteauneuf Rue Albert-Bayet CFA Tours Alternance Formation CFA IMT grenoble Lycée Hôtelier Lesdiguières Lycée Professionnel Françoise Dolto Lycée Jean de la Taille CFA Européen Louis Prioux Lycée Alain Fournier Lycée Jeanne d'Arc-Saint Ivy La Providence - Orchies CVL du lycée Jessé de Forest Cefppa Adrien Zeller Lycée Hôtelier Alexandre Dumas Officiel Lycée Charles Pointet Ferrandi Paris, l’école française de gastronomie & de management hôtelier Ferrandi Paris Campus Saint-gratien Ferrandi Paris Jouy En Josas Lycée Hotelier Boulanger Georges Baptiste Lycée du Marquenterre Ecole Hôtelière d'Avignon Maison de la Formation Lycée Marc Godrie Cfa De Villepinte IMA De Villiers le Bel https://ift.tt/2u3O85e
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"La majorité des films sont des lèche-pompes à fric" : ce cinéaste défie les César
Sur les 4.287 membres de l’Académie des César, il y en a au moins un qui a vu tous les films. En décembre dernier, juste avant les fêtes de Noël, le réalisateur Laurent Bouhnik termine l’écriture d’un livre et de deux scénarios. Ses enfants partis en vacances, il se retrouve seul chez lui et en profite pour regarder le coffret des César (voir encadré).
Il a alors l’idée de rendre compte au jour le jour de ses visionnages sur son profil Facebook. "Le but était de vraiment dire tout ce que je pense. C’est comme ça que je me suis fait piéger", s’esclaffe-t-il, accoudé au bar de sa petite cuisine américaine.
La suite après cette publicité
(MPO)
A quelques mètres de lui, son canapé et le fameux coffret, preuve de son exploit : il a vu 151 longs-métrages et 36 courts-métrages en vingt-trois jours ! Or, c’est un secret de polichinelle : les votants n’ont ni le temps ni l’envie d’ingurgiter l’ensemble de la production cinématographique française. Bouhnik est-il le seul à avoir fait le job : juger et comparer les films de l’année ? C’est en tout cas le seul à avoir documenté l’expérience. Avec une franchise inédite chez les professionnels de la profession.
César 2018 : découvrez la liste complète des nommés
Durant près d’un mois, on a ainsi pu suivre la liste de ses avis sur chaque film du coffret, dans l’ordre alphabétique, un post après l’autre. Des critiques souvent percutantes, écrites au fil de la plume. Sans autocensure ?
"Jamais. Il m’est même arrivé de me relire après avoir balancé un texte et de me dire 'Oh putain !'."
Morceaux choisis.
Ce qui m’emmerde le plus dans les films français, c’est leur côté propret
Sur "Chez nous", le film de Lucas Belvaux à propos du Front national :
"Il est formidable, ce téléfilm. FR3 Champagne-Ardenne va encore se régaler… Et puis j’aime bien les champs-contrechamps, et les champs-contrechamps, et les champs-contrechamps…"
"Chez nous", de Lucas Belvaux : "Le vote FN m'intrigue, me fait mal"
Sur "les Gardiennes", de Xavier Beauvois, avec Nathalie Baye :
"Les fringues, elles sont nickel ! Repassées ! Sur un champ de bataille ! Savez-vous ce qu’étaient les champs d’horreur en 1914 ? Un énorme merdier dégueu, plein de boue, de chairs ensanglantées et de cris de moribonds à l’agonie (voir et lire et relire les bandes dessinées extraordinaires de Tardi, un immense celui-là). Même pas dégueu, les mectons clamsés. Aussi raides qu’un chibre au garde-à-vous. Mais avec des uniformes bien nettoyés. Il joue à quoi, le réal ?"
Nathalie Baye et Laura Smet dans "les Gardiennes", de Xavier Beauvois. (GUY FERRANDIS/PATHÉ DISTRIBUTION)
Adeline D’Hermy dans "Maryline", de Guillaume Gallienne. (THIERRY VALLETOUX/GAUMONT)
Sur "Maryline", de Guillaume Gallienne :
"C’est donc cela que France Télévisions pense mettre en concurrence avec Netflix ?"
Sur "Carbone", d’Olivier Marchal :
"Qu’est-ce que tu fais, Olivier ? Avant, tes films puaient la sueur et l’after- shave, les flics pas frais, les gangsters avec de la merde au cul. Aujourd’hui, tes comédiens schlinguent l’eau de Javel. Je crois que ce qui m’emmerde le plus dans les films français, c’est leur côté propret. Complètement déconnecté de la réalité. Perso, j’aime quand tu pisses pas droit Olivier."
Sur "M", de Sara Forestier :
"Ce film, c’est un peu comme de la harissa dans le cul d’un cheval. Il t’embarque fort, puis te jette sans prévenir."
Redouanne Harjane et l’actrice et réalisatrice de "M", Sara Forestier. (CHIFOUMI PRODUCTIONS)
Vincent Lindon dans "Rodin", de Jacques Doillon. (SHANNA BESSON/LES FILS DU LENDEMAIN)
Sur "Rodin", de Jacques Doillon, avec Vincent Lindon :
"J’en ai déjà parlé, de la 'juste distance'. Mais là, je parlais de cinéma ! Il doit se croire au théâtre, Doillon. Avec des dialogues soulignant, expliquant ce que nous sommes capables de voir. 'Tu as modelé tout cela ?' Tout cela… D’où comment qu’elle cause celle-là ? A la Comédie-Française ? 'Tu endormais ta bouche sur ma mamelle'… Je rêve… ??? Cela n’est pas un film de cinéma. Un film sans doute. Du théâtre filmé. J’en reviens encore là. Mais pas du bon théâtre. Non ! On le trouve au théâtre, celui-là ! Comment ces comédiens, franchement pas mauvais, arrivent-ils à ânonner de telles inepties ?"
Vincent Lindon : "Je suis Rodin"
Desplechin, fonce au cinéma et apprends, pour une fois !
Bouhnik ne fait pas dans la demi-mesure. Il déteste comme il aime, avec ferveur. Parmi ses enthousiasmes : "Le Caire confidentiel", de Tarik Saleh, "Barbara", de Mathieu Amalric, "Grave", de Julia Ducournau, "120 Battements par minute", de Robin Campillo, "la Belle et la Meute", de Kaouther Ben Hania, "Petit Paysan", d’Hubert Charuel, "Corniche Kennedy", de Dominique Cabrera, et "Faute d’amour", d’Andreï Zviaguintsev, qui lui inspire cette confraternelle injonction :
"Desplechin, lâche tes courgettes et fonce au cinéma. Apprends, pour une fois !"
Parmi ses followers, deux réalisateurs qui ont un film dans le coffret, Stéphanie Pillonca-Kervern et Chad Chenouga, écrivent un petit mot sur son mur pour exprimer leur crainte de son verdict. De "Fleur de tonnerre", celui de la première, il écrit :
"Cette réalisatrice doit être sous l’emprise du trichloréthylène… Qui peut financer un truc pareil ?"
En revanche, "De toutes mes forces", du second, le chamboule : sa "trace restera brûlante dans votre mémoire", prévient-il.
Jeanne Balibar, la "Barbara" de Mathieu Amalric. (GAUMONT)
Swann Arlaud dans "Petit Paysan", d’Hubert Charuel. (DOMINO FILMS)
Qu’on partage ou non ses goûts, ses emballements et ses colères, la sincérité de Bouhnik force le respect. Elle trahit, en outre, le regard d’un vrai amoureux du cinéma et fait le buzz parmi les gens du métier, les journalistes, les cinéphiles et les curieux, de plus en plus nombreux à fréquenter sa page Facebook.
"En plein boom, j’avais trente à quarante demandes d’amis par jour. J’ai même été obligé de faire le tri : le nombre d’amis Facebook est limité à 5.000, j’en ai encore 1.000 en attente."
Les lecteurs affluent, mais les réactions se font prudentes.
"Pour les films que je défendais, ça allait jusqu’à 260 'like'. Pour ceux que je défonçais, ça tournait plus autour de 60. Et dès que c’était une chronique plus générale, sans avis sur un film précis, pan, 600 'like' !"
Parmi les rares personnalités qui rebondissent à ses posts, l’actrice Vahina Giocante ou le réalisateur Jean-Jacques Beineix, un autre franc-tireur aujourd’hui marginalisé.
Tout le monde m’a niqué dans ce métier
Car fut un temps où Bouhnik faisait partie des valeurs montantes du cinéma français. Apparu au mitan des années 1990 avec la génération des Cédric Klapisch, Gaspar Noé et Cédric Kahn, cet enfant de la rue, fils de Barbès-Rochechouart, a contourné la case prison en s’emparant d’un stylo pour écrire et d’une caméra pour filmer.
Il a révélé Julie Gayet ("Select Hotel") et Jamel Debbouze ("Zonzon"), a adapté "Vingt-Quatre Heures de la vie d’une femme", avec Michel Serrault, Agnès Jaoui, Bérénice Bejo et Nikolaj Coster-Waldau (bien avant son rôle de Jaime Lannister dans "Game of Thrones"). Il a signé une comédie fortunée, "l’Invité", avec Auteuil, Lhermitte et Lemercier, qui l’a dégoûté ("Ce n’est pas mon film. J’ai cassé la gueule au producteur, associé de Luc Besson, qui m’empêchait de tourner"). Puis une comédie X et féministe, réalisée en vidéo avec des inconnus ("Q"), qui l’a ostracisé dans le milieu. Il vient de boucler un long-métrage, "Entre le jour et la nuit", filmé en douze jours pour 12.000 euros.
"Tout le monde m’a niqué dans ce métier : mon producteur, mon distributeur, mon agent. Mais c’est quoi le cinéma ?! On est là pour s’entuber ?! Moi, je cherche à faire des films, à raconter des histoires. Pour imposer Jamel Debbouze, dont personne ne voulait à l’époque, dans 'Zonzon', j’ai perdu une bonne partie du budget ; aujourd’hui, il ne me répond plus. 'Select Hotel' est le film qui a lancé Julie Gayet, elle pourrait me renvoyer l’ascenseur. Qu’on se serre les coudes, merde ! La seule à qui je peux téléphoner, c’est Bérénice Bejo."
Faut-il voir dans cette "opération coffret des César" celle, pour Bouhnik, de la dernière chance ? La vengeance du paria en manque de reconnaissance ? "Il ne fallait surtout pas que ça tourne à la petite cuisine revancharde", concède-t-il. Bouhnik est plus pertinent que ça, et sa démarche, par bien des aspects, autrement salutaire.
Tops, flops et polémiques : l'année 2017 au cinéma
Il pointe l’ambition à peine télévisuelle d’une bonne partie de la production française ; la paresse, voire la nullité crasse des innombrables comédies dites populaires, dont la plupart ne remplissent même pas les salles ; le poujadisme des clichés en vogue qui fait, selon lui, le lit du Front national. Et cet anar de gauche, ennemi des nanars, de fustiger avec une violence rare "Par instinct", où Alexandra Lamy joue une avocate en voyage au Maroc qui se retrouve avec un bébé orphelin sur les bras ("Même 'Tintin au Congo' est moins raciste") ou "Il a déjà tes yeux", la comédie de Lucien Jean-Baptiste sur un couple de Noirs qui adopte un bébé blond aux yeux bleus : "J’imagine bien que le réalisateur d’'Il a déjà tes yeux' n’est pas raciste, nous dit-il. Mais ce que son film véhicule, si. En voulant dénoncer le racisme, il offre des arguments pour l’être davantage." Question de cinéma.
"La société humaine qu’on tente de nous vendre absolument dans les comédies françaises ressemble toujours à celle des curetons, séparée par le bien et le mal sans en dévoiler sa complexité", écrit-il dans sa chronique de 'Sous le même toit', de Dominique Farrugia.
"Un manichéisme ronronnant qui ne ressemble en rien à la réalité. Tout film est politique, comme je ne cesse de le répéter. Le cinéma français est devenu une doctrine fascisante. Manipulant le spectateur pour le rassurer et surtout pour ne pas le faire réfléchir sur la vie qu’il mène."
La majorité des films sont des lèche-pompes à fric
Au terme de son séjour dans le désert du votant consciencieux, mené en carburant au Red Bull et au rythme d’une dizaine de films par jour, Laurent Bouhnik a fait un check-up : "Je prends des médocs pour dormir : j’avais des problèmes de sommeil, je me réveillais toutes les deux heures." Puis il est reparti au front. Après l’annonce des nominations, il n’a rien dit sur les favoris ("120 BPM", de Robin Campillo, et "Au revoir là-haut", d’Albert Dupontel, treize citations chacun), ni sur les outsiders ("le Sens de la fête", "Barbara " et "Petit Paysan").
En revanche, il a déploré certains oublis : "Une vie violente", de Thierry de Peretti, Khaled Alouach en espoir masculin pour "De toutes mes forces", Véro Tshanda Beya Mputu, la comédienne de "Félicité", d’Alain Gomis.
"Et Luc Besson n’est pas cité une seule fois pour 'Valérian et la cité des mille planètes' ! J’ai eu des problèmes avec Besson, je n’aime pas la BD ni le film, mais je reconnais le putain de boulot. On ne peut pas lui enlever ça. Pour les décors, pour les costumes, s’il n’y a pas Besson, ça ne veut rien dire."
Besson aurait pu se consoler avec le césar du public, nouveauté controversée de cette année qui distingue le film français ayant réuni le plus de spectateurs, mais "Raid dingue", de Dany Boon, dépasse son "Valérian" d’une courte tête (4,5 millions contre 4 millions d’entrées).
"Le césar du public ?! Toute ma chronique est contre ça. Je respecte les gens qui sont fatigués de leur journée de travail, qui veulent rigoler. Mais on ne respecte pas une énorme partie des gens qui ne vont plus au cinéma parce qu’on leur propose de la daube. Ce qui m’a insupporté sur Facebook, ce sont les techniciens qui m’ont agressé en me disant : 'Les merdes, ça fait vivre le cinéma français.' Ah non ! C’est ce qui va tuer le cinéma français. Si on respectait réellement le public, on serait scié du nombre d’entrées que feraient certains bons films. Encore faudrait-il qu’ils soient correctement exploités."
Dans son commentaire conclusif posté sur Facebook, Bouhnik dresse un bilan :
"Quelques films d’exception devant une majorité de lèche-pompes à fric."
Il pacifie le débat :
"Si j’ai blessé certaines ou certains de mes collègues, j’en suis désolé, mais ne le regrette pas. Car je pense que notre cinéma a besoin d’un bon coup de pompe dans le train pour réfléchir à s’améliorer, à ne plus se mentir."
Et s’interroge :
"Comment ceux qui votent pour les César font-ils leurs choix ? Copinage ? Pub ? Beau temps ? Furoncle ? Indigestion ?… Il est nécessaire de faire une réforme des César ! Et de toute urgence. Avant qu’ils ne deviennent une confrérie de peinturlurées du cil et de vieux briscards se congratulant les miches devant les derniers aficionados de la téloche. J’ai bien quelques idées…"
Pour les César et pour le cinéma français. Bouhnik, ex-représentant de la SRF (Société des Réalisateurs français) réputé pour ses prises de position radicales, est même en train de monter un groupe, baptisé Godard. "'120 Battements par minute' m’a donné l’envie de retourner au combat." Il compte approcher les institutions et s’attaquer concrètement aux problèmes. Lesquels vont, selon lui, de la faible rémunération des scénaristes au monopole des grands groupes (Pathé, Gaumont, UGC) à la fois producteurs, distributeurs et exploitants, en passant par la place de plus en plus réduite accordée dans les salles au cinéma indépendant.
"Le milliardaire Warren Buffett a dit : 'La lutte des classes, on l’a gagnée.' Cela se voit aussi au cinéma. L’élite et le système y écrasent tout le monde. On a les meilleurs techniciens, pourquoi fait-on des films aussi pourris ? Le cinéaste doit reprendre sa place, mais il doit le faire avec le producteur. Une cinquantaine de gens du métier m’ont appelé ou contacté à la suite de mes posts. Certains me disent : 'Nous, on ne peut pas y aller, mais on va te donner des petits coups de main.' Je suis un optimiste."
Don Quichotte ou Che Guevara ? Au moins Bouhnik donne-t-il un coup de pied dans la grande fourmilière du cinéma français.
Nicolas Schaller
43e cérémonie des César, Canal+, 2 mars, 21 heures.
Coffret des César, mode d'emploi Depuis son institution en 2005, le coffret des César réunit les DVD d’une grande partie des films sortis en salles dans l’année. Il est envoyé vers la mi-décembre aux 4.287 membres de l’Académie des César pour qu’ils puissent juger sur pièces avant de voter au premier tour et d’établir ainsi la liste des nommés dans chaque catégorie. Pour voir son film rejoindre le coffret, il faut débourser 7.000 euros à l’Académie, ce qui n’est pas dans les moyens ni du goût de tous. En 2016, par exemple, sur 364 longs-métrages éligibles, autour de 150 figuraient dans le coffret. Parmi les absents, le très art et essai "la Mort de Louis XIV", avec Jean-Pierre Léaud. Son producteur, Thierry Lounas, de Capricci, dénonçait sur le site des Inrocks "un impôt injuste… prélevé par l’Académie, tout ça parce que les professionnels ne font pas leur travail en n’allant pas voir les films en salle". Cette année, n’étaient pas dans le coffret les comédies "Alibi.com" et "Epouse-moi, mon pote", cartons au box-office, dont les chances de nomination sont si maigres que le jeu n’en valait sûrement pas la chandelle. N. S.
Article complet: L'Obs en temps réel : Accueil — http://actualites.nouvelobs.com/cinema/20180301.OBS2940/la-majorite-des-films-sont-des-leche-pompes-a-fric-ce-cineaste-defie-les-cesar.html?xtor=RSS-81
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