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#Anne Le Maître
dandanjean · 6 months
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Le jardin nu
Tout est plus vivant de devoir mourir. Tel est l’enseignement. Toute vie est dérisoire, et toute vie est en même temps unique, infiniment fragile – la palpitation de la veine – précieuse en raison même de sa fragilité. A l’individualisme qui consacre Narcisse comme centre de son propre univers, je veux substituer l’attention infinie à chaque individu. A chaque humain, à chaque graine qui tente de…
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altered-tiababylo · 7 months
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BELLY OF THE BEAST · groupe aux opinions qui divergent bien souvent, débats animés et mesures souvent prises sur le pouce ; c'est une drôle de famille qui s'anime de façon très récurrente sous les éclats de rire et les absurdités générales. si les liens entre chaque individus seront à définir entre chaque joueur·euse pour plus de liberté, il y a toutefois une cohésion de groupe indiscutable, et une confiance - même partielle - qui règne entre chaque individu. iels ont tous·tes leur particularités, et si iels ne sont pas constamment sur le dos de chacun·e, iels veillent les uns sur les autres autant que sur l'Atlantis en tant que tel. loyauté qui fait figure de mot d'ordre au milieu de ce drôle de cirque, et il est certain d'une chose : Zola les apprécie tous·tes autant qu'iels sont, deuxième famille choisie.
sur never fade away, un forum city-gang furturiste, je suis à la recherche des quelques membres du staff du club de mercenaire nommé l'Atlantis ; réouvert sur les ruines d'un ancien club mythique au sein de la communauté du mercenariat de Night City, le club a réouvert ses portes avec à sa tête mon personnage : Zola, mercenaire, et surtout fixer du club. Divisé en plusieurs étages, l'Atlantis est ouvert autant au tout public qu'aux mercenaires.
comme mentionné plus haut, le staff est une drôle de seconde famille, où si tout le monde ne s'apprécie pas forcément, il y a un lien unique et une loyauté certaine entre tous les membres et le lieu en tant que tel. les PL disponibles ne sont que des idées globales, mais il est évident que tu peux venir avec tous les idées que tu veux et on s'en parlera avec plaisir, tout est possible et tout est négociable, arrangeable, viens comme tu es ! de nombreux liens seront possibles avec les membres déjà présents, mais aussi avec les membres du forum qui constituent une communauté adorable qui n'hésite pas à accueillir comme il se doit les petit·e·s nouveaux·elles ! Je me permets de glisser un petit résumé de chaque juste en dessous 🔥
· PAGE OF WANDS [NB/F/M] FCs suggérés: oscar isaac, ursula corbero, kelly reilly, lupita nyong'o. Chauffeur·euse et agent·e de sécurité de l'Atlantis, street racer nomade, membre des aldecaldos, tête brûlée, stable, responsable, confiant, observateur·rice, loyal·e.
· QUEEN OF SWORDS [NF/F/M] FCs suggérés: gemma chan, teyonah parris, jesse williams, freddy carter. Nettoyeur·euse de l'Atlantis, videur·euse du 2nd floor oeil d'acier, moralité en biais, vengeur·eresse, perfectionniste, solitaire, passé·e maître dans l'art du camouflage, loyal·e.
· FIVE OF SWORDS [NB/F/M] FCs suggérés: emma d'arcy, lola leon, ash stymest, reece king, daisuke ueda Videur·euse de l'Atlantis, autre job au choix griffes d'or, street kid, tête brûlée, poings d'argent, emmerdes sur emmerdes, wicked, provocateur·rice, adrenaline sucker, loyal·e.
· SEVEN OF CUPS [NB/F/M] FCs suggérés: riz ahmed, merle dandrige, lauren cohan, sofia boutella Armurier·ière de l'Atlantis, proprio d'une armurerie et stand de tir combat de rues, armure corporative, amour des armes, expert·e, oeil vif, calme, tempéré·e, sage, loval·e.
· KING OF PENTACLES [NB/F/M] FCs suggérés: laverne cox, tommaso ragno, viola davis, lenny kravitz Indic de l'Atlantis, ancien·ne membre d'une corporation manières et paillettes, client·e de la haute, toile tentaculaire, contacts par milliers, social butterfly, observateur·rice, loyal·e.
· KNIGHT OF SWORDS [NB/F/M] FCs suggérés: mei pang, lesley-ann brandt, diego luna, noah sebastian Mercenaire de l'Atlantis, membre des aldecaldos premier·ière mercenaire de l'atlantis, loyal·e jusqu'à la faute, frisson et adrénaline, urbex sucker, lien entre nomade et ville, impuslif·ve.
· NINE OF WANDS [NB/F/M] FCs suggérés: lee dong wook, elliot page, joseph quinn, zendaya coleman, elizabeth olsen Cuisinier·ière, ancien·ne employé·e d'Arasaka au Konpeki Plaza prix de l'excellence, toujours briller, compétitif·ve, connaît pas le sommeil, loyal·e, vif·ve, futé·e.
le forum en tant que tel est ouvert aux néophytes du genre, et on met un point d'honneur à offrir des event qualitatifs pour avoir un beau contexte évolutif grâce aux actions diverses des membres, on ne demande qu'un rp par mois, avec un petit recensement ouvert sur tout le mois ! bref, n'hésite pas à me mp si un pl t'intéresse ou que tu as des questions ! 🔥
>>> check les PL juste ici <<<
(pour vrai, venez venez, on est bien sur NFA 🥳 désolée, c'est pas souvent que je fais ma pub ici, surtout deux fois d'affilée, mais l'occasion était toute présente etoo, bref puis en plus on fête les un an du forum !! et ça c'est vraiment trop cool. bref, hésitez pas à venir, on est vraiment bien sur NFA !
bsx à vous et merci si vous prenez le temps de regarder/de lire 🧡)
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aedesluminis · 6 months
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Prieur's baptism certificate
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—from Archives départementales de la Côte-d'Or, Série E - État civil, notaires et autres officiers publics et ministériels, Registres paroissiaux et état civil, XVIe siècle-1938 (sous-série 2 E)
English translation:
Claude Antoine Prieur, son of Noël Antoine Prieur, tax collector in the bailiwick of Dôle, residing in Auxonne and of dame Anne Millot, born of legitimate marriage on the 22th of December 1763, was baptised on the same day, having as godfather messire Claude Prieur, master counselor at the chamber of accounts of Dôle, his paternal grandfather, represented by Dominique Gomion, master wigmaker in Auxonne, and as godmother dame Marie Millot, wife of messire François Bolet, treasurer of France in Dijon his maternal [great] aunt, represented by demoiselle Anne Fenoux, residing in said Auxonne, undersigned with us.
French original:
Claude Antoine Prieur, fils de Noël Antoine Prieur, receveur des finances du bailliage de Dôle, demeurant à Auxonne et de dame Anne Millot, né de légitime mariage le 22 décembre 1763, a été baptisé le même jour, ayant pour parrain messire Claude Prieur, conseiller-maître en la chambre des comptes de Dôle, son aïeul paternel, représenté par Dominique Gomion, maître perruquier à Auxonne, et pour marraine dame Marie Millot, épouse de messire François Bolet, trésorier de France à Dijon sa [grand] tante maternelle, représentée par demoiselle Anne Fenoux, demeurante audit Auxonne, soussignés avec nous.
Note: I didn't know how to properly translate "messire", "dame" and "demoiselle" in English since "Mr, Mrs" and "Miss" come from the 19th century and using "lady" and "maiden" didn't sound appropriate to me. If someone knows better options let me know!
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basilepessoart · 3 months
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Moi vs Le Beauf eud' Cambrousse
Je sais, je pense trop à ça et je suis désolé, mais prenons par exemple cette photo qui a presque dix ans. Cela faisait déjà environ 1 an et demi que j'étais considéré comme un maître absolu en composition, ce qui n’était pas le cas avant, puisque la composition, ça se découvre. Au début, on "prend des choses". C'est ce que nous "expliquait" (entre guillemets car ni évidemment moi ni Anne n’avions besoin de ces explications) aussi un ancien ami en 2 015 sur la Plaça de la Villa de Gracia à Barcelone devant le campanile, avec un autre ami qui lui est un génie (JA Zamarripa aka Dabnotu) mais qui avait bien besoin de ces conseils, qu'il n'a pourtant jamais appliqués.
L'ancien ami est devenu un sérieux harceleur, y compris dans l'affaire du pédo US, juste par ultra-gauchisme, alors qu'il savait pertinemment que le harceleur délirait. Le type s'est excusé récemment, entre temps je l'avais chopé dans la rue en 2 019. Revenons à notre "mouton barbare" : pensez-vous que le cinglé croit que j'ai "raté le truc bleu" qui était "la chose que je voulais prendre"?
Comment peut-on être aussi fou et dénué de connaissance esthétique ? Je crois que je continuerai avec d'autres exemples. C'est édifiant. Sur cette photo, il y a à peu près 9 éléments. L'ombre en haut à droite et le rectangle gris clair en bas à droite sont eux aussi exactement calculés. Le "sujet' n'a aucun sens dans ce genre de photos. La plupart des gens prennent UNE chose ("le sujet"), avec souvent du matos très cher qui leur permet notamment d'avoir des bokehs.
N'importe quel beauf de cambrousse qui prend du piaf à tire-larigot me méprise parce qu'il croit que je "prends n'importe quoi", que je "rate mes cadrages" et/ou que je "prends au hasard".
Comme il ne comprend pas même si on lui explique, il pète les plombs et dit que je suis un "artiste content pour rien" qui "se prend pour un génie". Puis, il me classe dans la catégorie gauchiste s'il ne me connaît pas, et m'oppose aux "vrais artistes" qui "remettent cent fois leur oeuvre sur le métier". Il considère que je "fais le malin" parce que je "refuse les bases", alors que, tout simplement, prendre du piaf à tire-larigot ne m'intéresse absolument pas. BP.
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odnagnisul · 2 years
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100 livres à avoir lu dans sa vie (entre autres):
1984, George Orwell ✅
A la croisée des mondes, Philip Pullman
Agnès Grey, Agnès Bronte ✅
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ✅
Angélique marquise des anges, Anne Golon
Anna Karenine, Léon Tolstoï
A Rebours, Joris-Karl Huysmans
Au bonheur des dames, Émile Zola
Avec vue sur l'Arno, E.M Forster
Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell
Barry Lyndon, William Makepeace Thackeray
Belle du Seigneur, Albert Cohen
Blonde, Joyce Carol Oates
Bonjour tristesse, Françoise Sagan ✅
Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl ✅
Chéri, Colette
Crime et Châtiment, Féodor Dostoïevski
De grandes espérances, Charles Dickens
Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Des souris et des hommes, John Steinbeck ✅
Dix petits nègres, Agatha Christie ✅
Docteur Jekyll et Mister Hyde, Robert Louis Stevenson ✅
Don Quichotte, Miguel Cervantés
Dracula, Bram Stocker ✅
Du côté de chez Swann, Marcel Proust
Dune, Frank Herbert ✅
Fahrenheit 451, Ray Bradbury ✅
Fondation, Isaac Asimov
Frankenstein, Mary Shelley ✅
Gatsby le magnifique, Francis Scott Fitzgerald ✅
Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling
Home, Toni Morrison
Jane Eyre, Charlotte Bronte
Kafka sur le rivage, Haruki Murakami
L'adieu aux armes, Ernest Hemingway ✅
L'affaire Jane Eyre, Jasper Fforde
L'appel de la forêt, Jack London ✅
L'attrape-cœur, J. D. Salinger ✅
L'écume des jours, Boris Vian
L'étranger, Albert Camus ✅
L'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
La condition humaine, André Malraux
La dame aux camélias, Alexandre Dumas Fils
La dame en blanc, Wilkie Collins
La gloire de mon père, Marcel Pagnol
La ligne verte, Stephen King ✅
La nuit des temps, René Barjavel
La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette ✅
La Route, Cormac McCarthy ✅
Le chien des Baskerville, Arthur Conan Doyle
Le cœur cousu, Carole Martinez
Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas : tome 1 et 2
Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ✅
Le fantôme de l'opéra, Gaston Leroux
Le lièvre de Vaatanen, Arto Paasilinna
Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Le nom de la rose, Umberto Eco
Le parfum, Patrick Süskind
Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde ✅
Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupery ✅
Le père Goriot, Honoré de Balzac ✅
Le prophète, Khalil Gibran ✅
Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel
Le rouge et le noir, Stendhal ✅
Le Seigneur des anneaux, J.R Tolkien ✅
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda ✅
Les Chroniques de Narnia, CS Lewis
Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë
Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos ✅
Les Malaussène, Daniel Pennac ✅
Les mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de
Beauvoir
Les mystères d'Udolfo, Ann Radcliff
Les piliers de la Terre, Ken Follett : tome 1
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May
Alcott
Les racines du ciel, Romain Gary
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig ✅
Madame Bovary, Gustave Flaubert ✅
Millenium, Larson Stieg ✅
Miss Charity, Marie-Aude Murail
Mrs Dalloway, Virginia Woolf
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee ✅
Nord et Sud, Elisabeth Gaskell
Orgueil et Préjugés, Jane Austen
Pastorale américaine, Philip Roth
Peter Pan, James Matthew Barrie
Pilgrim, Timothy Findley
Rebecca, Daphne Du Maurier
Robinson Crusoé, Daniel Defoe ✅
Rouge Brésil, Jean Christophe Ruffin
Sa majesté des mouches, William Goldwin ✅
Tess d'Uberville, Thomas Hardy
Tous les matins du monde, Pascal Quignard
Un roi sans divertissement, Jean Giono
Une prière pour Owen, John Irving
Une Vie, Guy de Maupassant
Vent d'est, vent d'ouest, Pearl Buck
Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline ✅
Total : 37/100
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1939-wizard-of-oz · 11 months
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Un Trésor national voir Mondial : redécouvert dans une cuisine, un rarissime tableau de Cimabue entre au musée du Louvre
A National treasure or more a World treasure: found in a kitchen , a painting of Cimabue on a wood panel is coming in the Louvre Museum (Paris) !!!!!
Par Anne-Sophie Lesage-Münch le 02.11.2023 Connaissance des Arts
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Cimabue, Le Christ moqué (détail), 25,8x 20,3 cm, peinture à l'oeuf et fond d'or sur panneau de peuplier, Actéon Senlis, vente 27 octobre 2019.
Après trois années d’attente, La Dérision du Christ de Cimabue, petit panneau de bois du XIIIe siècle devenu le tableau primitif le plus cher du monde, rejoint les collections nationales.
Une bien discrète annonce pour une acquisition extraordinaire. En ce premier jeudi de novembre, où la tempête Ciaran occupe tous les esprits, le ministère de la Culture a diffusé sans crier gare un communiqué que beaucoup attendaient. Voilà en effet près de trois ans que la question ressurgissait de loin en loin : mais que devient le Cimabue sauvé d’une cuisine ? On apprend donc officiellement aujourd’hui que La Dérision du Christ, petit chef-d’œuvre miraculé classé Trésor national, rejoint les collections du musée du Louvre.
Ceci n’est pas une icône
Dans la famille des chefs-d’œuvre perdus et fortuitement redécouverts, ce petit panneau de bois peint d’à peine 25 cm de haut tient une place plus que remarquable. Son histoire récente débute en juin 2019 lorsque Philomène Wolf, commissaire-priseur pour la maison de vente Actéon, travaille sur l’inventaire de la maison d’une nonagénaire à Compiègne. Elle remarque alors, accroché dans la cuisine au-dessus des plaques de cuisson, ce que jusqu’alors la famille considérait comme une simple icône russe. De fait, l’art de Cimabue s’ancre dans la tradition de la peinture byzantine dont il s’affranchit cependant (et c’est là tout son génie) pour développer une nouvelle esthétique à l’orée de la Renaissance.
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Classé Trésor national en 2019, le tableau La Dérision du Christ de Cimabue rejoint les collections du musée du Louvre. ©Actéon
L’œuvre est alors soumise à l’expertise du cabinet Turquin qui l’attribue finalement, après des mois de recherche, au fascinant peintre florentin, maître de Giotto, dont on ne connaît à ce jour qu’une quinzaine de réalisations. Cette étude permet également de comprendre que le panneau appartient à un diptyque (un objet de dévotion privée) composé de huit scènes de la Passion du Christ, datant de 1280, dont seulement deux autres panneaux nous sont parvenus : La Flagellation du Christ, conservé à la Frick Collection de New York depuis 1950, et La Vierge à l’Enfant, acheté par la National Gallery à Londres en 2000.
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Reconstitution du diptyque auquel a appartenu le Christ moqué de Cimabue ©Actéon
Une exposition exceptionnelle en 2025
Estimée entre 4 et 6 millions d’euros, l’œuvre est présentée aux enchères le 27 octobre 2019 où elle atteint le prix de vente record de 24 millions d’euros, devenant ainsi le tableau primitif le plus cher du monde (et accède également au 8e rang des tableaux anciens les plus chers jamais vendus). Le musée du Louvre, qui souhaitait se porter acquéreur, n’a alors pas encore pu réunir la somme nécessaire à sa préemption. Quelques semaines plus tard, la veille de Noël, on apprend que l’œuvre est finalement classée « Trésor national », un label qui exclut de fait toute autorisation de sortie du territoire français durant une période de 30 mois. Cette manœuvre va alors laisser le temps à l’administration de réunir les fonds pour l’acquisition du chef-d’œuvre.
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Cimabue, La Vierge et l’Enfant en majesté entourés de six anges (Maestà), vers de 1275 à 1300, tempera et fond or, musée du Louvre ©Wikimedia Commons
Aujourd’hui le musée du Louvre peut se féliciter de l’entrée dans ses collections de cette œuvre insigne qui, comme l’explique Laurence Des Cars, présidente-directrice du musée « constitue un jalon crucial dans l’histoire de l’art, marquant la fascinante transition de l’icône vers la peinture ». La Dérision du Christ met déjà en œuvre des questions qui deviendront centrales dans les arts de la Renaissance, en particulier la représentation de l’espace, de la lumière ou encore des sentiments humains. Elle rejoint la monumentale Maestà, autre chef-d’œuvre du peintre florentin qu’abrite l’institution parisienne, et qui fait actuellement l’objet d’une campagne de restauration. Les deux tableaux, qui à grande comme à petite échelle font la démonstration du caractère révolutionnaire de l’art de Cimabue, seront au cœur d’une exposition au printemps 2025.
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corydon8 · 10 months
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LE MAJOR STEDE BONNET
Pirate par humeur
Le Major Stede Bonnet était un gentilhomme retraité de l’armée qui vivait sur ses plantages, dans l’île de Barbados, vers 1715. Ses champs de cannes à sucre et de caféiers lui donnaient des revenus, et il fumait avec plaisir du tabac qu’il cultivait lui-même. Ayant été marié, il n’avait point été heureux en ménage, et on disait que sa femme lui avait tourné la cervelle. En effet sa manie ne le prit guère qu’après la quarantaine, et d’abord ses voisins et ses domestiques y cédèrent innocemment.
La manie du Major Stede Bonnet fut telle. En toute occasion, il commença de déprécier la tactique terrestre et de louer la marine. Les seuls noms qu’il eût à la bouche étaient ceux d’Avery, de Charles Vane, de Benjamin Hornigold et d’Edward Teach. C’étaient, selon lui, de hardis navigateurs et des hommes d’entreprise. Ils écumaient dans ce temps la mer des Antilles. S’il advenait qu’on les nommât pirates devant le Major, celui-ci s’écriait :
— Loué donc soit Dieu pour avoir permis à ces pirates, comme vous dites, de donner l’exemple de la vie franche et commune que menaient nos aïeux. Lors il n’y avait point de possesseurs de richesses, ni de gardiens de femmes, ni d’esclaves pour fournir le sucre, le coton ou l’indigo ; mais un dieu généreux dispensait toutes choses et chacun en recevait sa part. Voilà pourquoi j’admire extrêmement les hommes libres qui partagent les biens entre eux et mènent ensemble la vie des compagnons de fortune.
Parcourant ses plantages, le Major frappait souvent l’épaule d’un travailleur :
— Et ne ferais-tu pas mieux, imbécile, d’arrimer dans quelque flûte ou brigantine les ballots de la misérable plante sur les pousses de laquelle tu verses ici ta sueur ?
Presque tous les soirs, le Major réunissait ses serviteurs sous les appentis à grains, où il leur lisait, à la chandelle, tandis que des mouches de couleur bruissaient autour, les grandes actions des pirates d’Hispaniola et de l’île de la Tortue. Car des feuilles volantes avertissaient de leurs rapines les villages et les fermes.
— Excellent Vane ! s’écriait le Major. Brave Hornigold, véritable corne d’abondance emplie d’or ! Sublime Avery, chargé des joyaux du grand Mogol et roi de Madagascar ! Admirable Teach, qui as su gouverner successivement quatorze femmes et t’en débarrasser, et qui as imaginé de livrer tous les soirs la dernière (elle n’a que seize ans) à tes meilleurs compagnons (par pure générosité, grandeur d’âme et science du monde) dans ta bonne île d’Okerecok ! Ô qu’heureux serait celui qui suivrait votre sillage, celui qui boirait son rhum avec toi, Barbe-Noire, maître de la Revanche de la Reine Anne !
Tous discours que les domestiques du Major écoutaient avec surprise et en silence ; et les paroles du Major n’étaient interrompues que par le léger bruit mat des petits lézards, à mesure qu’ils tombaient du toit, la frayeur relâchant les ventouses de leurs pattes. Puis le Major, abritant la chandelle de la main, traçait de sa canne parmi les feuilles de tabac toutes les manœuvres navales de ces grands capitaines et menaçaient de la loi de Moïse (c’est ainsi que les pirates nomment une bastonnade de quarante coups) quiconque ne comprendrait point la finesse des évolutions tactiques propres à la flibuste.
Finalement le Major Stede Bonnet ne put y résister davantage ; et, ayant acheté une vieille chaloupe de dix pièces de canons, il l’équipa de tout ce qui convenait à la piraterie comme coutelas, arquebuses, échelles, planches, grappins, haches, Bibles (pour prêter serment), pipes de rhum, lanternes, suie à noircir le visage, poix, mèches à faire brûler entre les doigts des riches marchands et force drapeaux noirs à tête de mort blanche, avec deux fémurs croisés et le nom du vaisseau : la Revanche. Puis, il fit monter soudain à bord soixante-dix de ses domestiques et prit la mer, de nuit, droit à l’Ouest, rasant Saint-Vincent, pour doubler le Yucatan et écumer toutes les côtes jusqu’à Savannah (où il n’arriva point).
Le Major Stede Bonnet ne connaissait rien aux choses de la mer. Il commença donc à perdre la tête entre la boussole et l’astrolabe, brouillant artimon avec artillerie, misaine avec dizaine, boute-dehors avec boute-selle, lumières de caronade avec lumières de canon, écoutille avec écouvillon, commandant de charger pour carguer, bref, tant agité par le tumulte des mots inconnus et le mouvement inusité de la mer, qu’il pensa regagner la terre de Barbados, si le glorieux désir de hisser le drapeau noir à la vue du premier vaisseau ne l’eût maintenu dans son dessein. Il n’avait embarqué nulles provisions, comptant sur son pillage. Mais la première nuit on n’aperçut pas les feux de la moindre flûte. Le Major Stede Bonnet décida donc qu’il faudrait attaquer un village.
Ayant rangé tous ses hommes sur le pont, il leur distribua des coutelas neufs et les exhorta à la plus grande férocité ; puis fit apporter un baquet de suie dont il se noircit lui-même le visage, en leur ordonnant de l’imiter, ce qu’ils firent non sans gaieté.
Enfin, jugeant d’après ses souvenirs qu’il convenait de stimuler son équipage avec quelque boisson coutumière aux pirates, il leur fit avaler à chacun une pinte de rhum mêlée de poudre (n’ayant point de vin qui est l’ingrédient ordinaire en piraterie). Les domestiques du Major obéirent ; mais, contrairement aux usages, leur figure ne s’enflamma pas de fureur. Ils s’avancèrent avec assez d’ensemble à bâbord et à tribord, et, penchant leurs faces noires sur les bastingages, offrirent cette mixture à la mer scélérate. Après quoi, la Revanche étant à peu près échouée sur la côte de Saint-Vincent, ils débarquèrent en chancelant.
L’heure était matinale, et les visages étonnés des villageois n’excitaient point à la colère. Le cœur du Major lui-même n’était pas disposé à des hurlements. Il fit donc fièrement l’emplette de riz et de légumes secs avec du porc salé, lesquels il paya (en façon de pirate et fort noblement, lui sembla-t-il) avec deux barriques de rhum et un vieux câble. Après quoi, les hommes réussirent péniblement à remettre la Revanche à flot ; et le Major Stede Bonnet, enflé de sa première conquête, reprit la mer.
Il fit voile tout le jour et toute la nuit, ne sachant point de quel vent il était poussé. Vers l’aube du second jour, s’étant assoupi contre l’habitacle du timonier, fort gêné de son coutelas et de son espingole, le Major Stede Bonnet fut éveillé par le cri :
— Ohé de la chaloupe !
Et il aperçut à une encâblure le bout-dehors d’un vaisseau qui se balançait. Un homme très barbu était à la proue. Un petit drapeau noir flottait au mât.
— Hisse notre pavillon de mort ! s’écria le Major Stede Bonnet.
Et, se souvenant que son titre était d’armée de terre, il décida sur-le-champ de prendre un autre nom, suivant d’illustres exemples. Sans aucun retard, il répondit donc :
— Chaloupe la Revanche, commandée par moi, capitaine Thomas, avec mes compagnons de fortune.
Sur quoi l’homme barbu se mit à rire :
— Bien rencontré, compagnon, dit-il. Nous pourrons voguer de conserve. Et venez boire un peu de rhum à bord de la Revanche de la Reine Anne.
Le Major Stede Bonnet comprit de suite qu’il avait rencontré le capitaine Teach, Barbe-Noire, le plus fameux de ceux qu’il admirait. Mais sa joie fut moins grande qu’il ne l’eût pensé. Il eut le sentiment qu’il allait perdre sa liberté de pirate. Taciturne, il passa sur le bord du vaisseau de Teach, qui le reçut avec beaucoup de grâce, le verre en main.
— Compagnon, dit Barbe-Noire, tu me plais infiniment. Mais tu navigues avec imprudence. Et, si tu m’en crois, capitaine Thomas, tu demeureras dans notre bon vaisseau, et je ferai diriger ta chaloupe par ce brave homme très expérimenté qui s’appelle Richards ; et sur le vaisseau de Barbe-Noire tu auras tout loisir de profiter en la liberté d’existence des gentilshommes de fortune.
Le Major Stede Bonnet n’osa refuser. On le débarrassa de son coutelas et de son espingole. Il prêta serment sur la hache (car Barbe-Noire ne pouvait supporter la vue d’une Bible) et on lui assigna sa ration de biscuit et de rhum, avec sa part des prises futures. Le Major ne s’était point imaginé que la vie des pirates fût aussi réglementée. Il subit les fureurs de Barbe-Noire et les affres de la navigation. Étant parti de Barbados en gentilhomme, afin d’être pirate à sa fantaisie, il fut ainsi contraint de devenir véritablement pirate sur la Revanche de la Reine Anne.
Il mena cette vie pendant trois mois, durant lesquels il assista son maître dans treize prises, puis trouva moyen de repasser sur sa propre chaloupe, la Revanche, sous le commandement de Richards. En quoi il fut prudent, car la nuit suivante, Barbe-Noire fut attaqué à l’entrée de son île d’Okerecok par le lieutenant Maynard, qui arrivait de Bathtown. Barbe-Noire fut tué dans le combat, et le lieutenant ordonna qu’on lui coupât la tête et qu’on l’attachât au bout de son beaupré ; ce qui fut fait.
Cependant, le pauvre capitaine Thomas s’enfuit vers la Caroline du Sud et navigua tristement encore plusieurs semaines. Le gouverneur de Charlestown, averti de son passage, délégua le colonel Rhet pour s’emparer de lui à l’île de Sullivans. Le capitaine Thomas se laissa prendre. Il fut mené à Charlestown en grande pompe, sous le nom de Major Stede Bonnet, qu’il réassuma sitôt qu’il le put. Il fut mis en geôle jusqu’au 10 novembre 1718, où il comparut devant la cour de la vice-amirauté. Le chef de la justice, Nicolas Trot, le condamna à mort par le très beau discours que voici :
— Major Stede Bonnet, vous êtes convaincu de deux accusations de piraterie : mais vous savez que vous avez pillé au moins treize vaisseaux. En sorte que vous pourriez être accusé de onze chefs de plus ; mais deux nous suffiront (dit Nicolas Trot), car ils sont contraires à la loi divine qui ordonne : Tu ne déroberas point (Exod. 20, 15) et l’apôtre saint Paul déclare expressément que les larrons n’hériteront point le Royaume de Dieu (I. Cor. 6, 10). Mais encore êtes-vous coupable d’homicide : et les assassins (dit Nicolas Trot) auront leur part dans l’étang ardent de feu et de soufre qui est la seconde mort (Apoc. 21, 8). Et qui donc (dit Nicolas Trot) pourra séjourner avec les ardeurs éternelles ? (Esaï. 33, 14). Ah ! Major Stede Bonnet, j’ai juste raison de craindre que les principes de la religion dont on a imbu votre jeunesse (dit Nicolas Trot) ne soient très corrompus par votre mauvaise vie et par votre trop grande application à la littérature et à la vaine philosophie de ce temps ; car si votre plaisir eût été en la loi de l’Éternel (dit Nicolas Trot) et que vous l’eussiez méditée nuit et jour (Psal. 1, 2) vous auriez trouvé que la parole de Dieu était une lampe à vos pieds et une lumière à vos sentiers (Psal. 119, 105). Mais ainsi n’avez-vous fait. Il ne vous reste donc qu’à vous fier sur l’Agneau de Dieu (dit Nicolas Trot) qui ôte le péché du monde (Jean. 1, 29) qui est venu pour sauver ce qui était perdu (Matthieu. 18, 11), et a promis qu’il ne jettera point dehors celui qui viendra à lui (Jean. 6, 37). En sorte que si vous voulez retourner à lui, quoique tard (dit Nicolas Trot), comme les ouvriers de la onzième heure dans la parabole des vignerons (Matthieu. 20, 6, 9), il pourra encore vous recevoir. Cependant la cour prononce (dit Nicolas Trot) que vous serez conduit au lieu de l’exécution où vous serez pendu par le col jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Le Major Stede Bonnet, ayant écouté avec componction le discours du chef de la justice, Nicolas Trot, fut pendu le même jour à Charlestown comme larron et pirate.
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extrabeurre · 11 months
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Gala Québec Cinéma 2023: les nominations
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Animé par Jay Du Temple, le 25e Gala Québec Cinéma sera diffusé le dimanche 10 décembre prochain à 20h sur les ondes de Noovo et Noovo.ca, en direct des studios Grandé de Montréal. Le Gala Artisans, animé par Fabiola Nyrva Aladin, aura lieu le 7 décembre à 19h30 au Studio TD.
Voici la liste complète des nominations:
IRIS HOMMAGE Rémy Girard
MEILLEUR FILM Arsenault et Fils | La maison de prod — Stéphanie Morissette, Charles Stéphane Roy Babysitter | Amérique Film — Martin Paul-Hus, Catherine Léger ; Phase 4 Productions — Pierre-Marcel Blanchot, Fabrice Lambot Falcon Lake | Metafilms — Nancy Grant, Sylvain Corbeil ; Onzecinq — Dany Boon, Jalil Lespert ; Cinéfrance Studios — Julien Deris, David Gauquié, Jean-Luc Ormières Le plongeur | Sphère Média — Marie-Claude Poulin Les chambres rouges | Némésis Films — Dominique Dussault Noémie dit oui | Productions Leitmotiv — Patricia Bergeron Viking | micro_scope — Luc Déry, Kim McCraw
MEILLEUR PREMIER FILM
Falcon Lake | Charlotte Le Bon Farador | Édouard Albernhe Tremblay Les hommes de ma mère | Anik Jean Noémie dit oui | Geneviève Albert Rodéo | Joëlle Desjardins Paquette
MEILLEURE RÉALISATION Monia Chokri | Babysitter Stéphane Lafleur | Viking Francis Leclerc | Le plongeur Rafaël Ouellet | Arsenault et Fils Pascal Plante | Les chambres rouges
MEILLEUR SCÉNARIO Eric K. Boulianne, Francis Leclerc | Le plongeur Stéphane Lafleur, Eric K. Boulianne | Viking Catherine Léger | Babysitter Rafaël Ouellet | Arsenault et Fils Pascal Plante | Les chambres rouges MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE Larissa Corriveau (Steven) | Viking Kelly Depeault (Noémie) | Noémie dit oui Hélène Florent (Rose Lemay) | Une femme respectable Léane Labrèche-Dor (Elsie) | Les hommes de ma mère Sara Montpetit (Chloé) | Falcon Lake
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE Guillaume Cyr (Adam) | Arsenault et Fils Patrick Hivon (Cédric) | Babysitter Steve Laplante (John) | Viking Henri Picard (Stéphane) | Le plongeur Luc Picard (Gérald Gallant) | Confessions
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN Laurie Babin (Clémentine) | Les chambres rouges Élise Guilbault (Soeur Monique) | Le temps d’un été Ève Landry (Josée) | Bungalow Julie Le Breton (Isabelle) | Tu te souviendras de moi Nadia Tereszkiewicz (Amy) | Babysitter
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN Maxime de Cotret (Greg) | Le plongeur Charles-Aubey Houde (Bébert) | Le plongeur Denis Houle (Liz)| Viking Steve Laplante (Jean-Michel) | Babysitter Guy Nadon (Maître Jean-Pierre Genin) | Le temps d’un été
RÉVÉLATION DE L’ANNÉE Fabiola N. Aladin (Janet) | Viking Emi Chicoine (Léa) | Noémie dit oui Virginie Fortin (Elsa) | 23 décembre Juliette Gariépy (Kelly-Anne) | Les chambres rouges Joan Hart (Bonnie) | Le plongeur François Pérusse (Alain) | Niagara
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES Nathalie Boutrie — Nathalie Boutrie Casting | Arsenault et Fils Marilou Richer — Marilou Richer Casting | Les chambres rouges Lucie Robitaille, Dandy Thibaudeau — Casting Lucie Robitaille | Viking Annie St-Pierre, Antoinette Boulat | Babysitter Brigitte Viau — Casting Brigitte Viau | Le plongeur MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE André-Line Beauparlant | Viking Sylvie Desmarais| Bungalow Mathieu Lemay | Le plongeur Laura Nhem | Les chambres rouges Colombe Raby | Babysitter
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE Steve Asselin | Le plongeur Vincent Biron| Les chambres rouges Kristof Brandl | Falcon Lake Josée Deshaies | Babysitter Sara Mishara | Viking
MEILLEURS EFFETS VISUELS Marc Hall — A.A. Studios | Babysitter Marc Hall — A.A. Studios, Alex GD — RGB124 | Farador Marc Hall — A.A. Studios | La cordonnière Marie-Claude Lafontaine, Simon Beaupré — Alchimie 24 | Viking Mathilde Vézina-Bouchard | Mistral spatial
MEILLEUR SON Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, Pierre Bertrand | Viking Olivier Calvert, Stéphane Bergeron, Martyne Morin | Les chambres rouges Olivier Calvert, Luc Boudrias, Yann Cleary | Le plongeur Stephen De Oliveira, Séverin Favriau, Stéphane Thiébaut | Falcon Lake Daniel Fontaine-Bégin, Luc Boudrias, Henry Jr Godding | Arsenault et Fils
MEILLEUR MONTAGE Pauline Gaillard | Babysitter Sophie Leblond| Viking Myriam Magassouba | Arsenault et Fils Jonah Malak | Les chambres rouges Isabelle Malenfant | Le plongeur
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE Viviane Audet, Robin-Joël Cool, Alexis Martin | Arsenault et Fils Daniel Bélanger | Confessions Christophe Lamarche-Ledoux, Mathieu Charbonneau | Viking Martin Léon | Tu te souviendras de moi Dominique Plante | Les chambres rouges MEILLEURS COSTUMES Mariane Carter | La cordonnière Guillaume Laflamme | Babysitter Sophie Lefebvre | Une femme respectable Sophie Lefebvre | Viking Annabelle Roy, Delphine Gagné | Farador
MEILLEUR MAQUILLAGE Kathryn Casault, Bruno Gatien | Confessions Marie-Josée Galibert | Viking Marie Salvado | Les chambres rouges Lyne Tremblay, Faustina De Sousa, François Gauthier, Michael Loncin | Farador Adriana Verbert | Babysitter
MEILLEURE COIFFURE Vincent Dufault | Viking André Duval | Une femme respectable Nermin Grbic | Les chambres rouges Richard Hansen, Réjean Forget, Johanne Hansen | La cordonnière Ann-Louise Landry | Babysitter
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE Dear Audrey | Réalisation : Jeremiah Hayes | Scénario : Jeremiah Hayes | Office national du film du Canada — Jeremiah Hayes, André Barro, Annette Clarke Gabor | Réalisation : Joannie Lafrenière | Scénario : Joannie Lafrenière | Tak films — Line Sander Egede Geographies of Solitude | Réalisation : Jacquelyn Mills | Scénario : Jacquelyn Mills | Rosalie Chicoine Perreault, Jacquelyn Mills Je vous salue salope : la misogynie au temps du numérique | Réalisation : Léa Clermont-Dion, Guylaine Maroist | Scénario : Léa Clermont-Dion, Guylaine Maroist | La Ruelle Films — Eric Ruel, Guylaine Maroist Rojek | Réalisation : Zaynê Akyol | Scénario : Zaynê Akyol | Metafilms — Sylvain Corbeil, Audrey-Ann Dupuis-Pierre ; Zaynê Akyol
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE Geoffroy Beauchemin | Humus Nicolas Canniccioni, Arshia Shakiba | Rojek Joannie Lafrenière | Gabor Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude Maude Plante-Husaruk | Au-delà des hautes vallées MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE Mélanie Gauthier, Jeremiah Hayes, Isabelle Lussier | Dear Audrey Maxime Lacoste-Lebuis, Eric Shaw, Jean Paul Vialard | Au-delà des hautes vallées Andreas Mendritzki, Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude Jean-François Sauvé, Martin M. Messier, Bruno Pucella | 305 Bellechasse Catherine Van Der Donckt, Jean Paul Vialard | Au-delà du papier
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE Mathieu Bouchard-Malo| Rojek Jeremiah Hayes | Dear Audrey Emmanuelle Lane | Gabor Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude Oana Suteu Khintirian | Au-delà du papier
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE | FILM DOCUMENTAIRE Olivier Alary, Johannes Malfatti | Twice Colonized Gervaise | Gabor Walter Grimshaw | Dear Audrey Maxime Lacoste-Lebuis | Au-delà des hautes vallées Delphine Measroch | Humus
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | ANIMATION A night for the dogs | Max Woodward | Confettis Production — Guillaume Dubois, Camille Lequenne Harvey | Janice Nadeau | Folimage – Reginald de Guillebon, Pierre Méloni ; Office national du film du Canada — Marc Bertrand, Christine Noël, Julie Roy Madeleine | Raquel Sancinetti | Production : Raquel Sancinetti Marie · Eduardo · Sophie | Thomas Corriveau | Production : Thomas Corriveau Triangle noir | Marie-Noëlle Moreau Robidas | Embuscade Films — Nicolas Dufour-Laperrière
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE Belle River | Guillaume Fournier, Samuel Matteau, Yannick Nolin | Kinomada — Jean-Pierre Vézina Fire-Jo-Ball | Audrey Nantel-Gagnon | Office national du film du Canada — Nathalie Cloutier Notes sur la mémoire et l’oubli | Amélie Hardy | Club Vidéo de Montréal — Isabelle Grignon-Francke Oasis | Justine Martin | Déjà Vu — Louis-Emmanuel Gagné-Brochu Zug Island | Nicolas Lachapelle | Production : Guillaume Collin, Nicolas Lachapelle
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | FICTION Invincible | Vincent René-Lortie | Telescope Films — Élise Lardinois, Samuel Caron Nanitic | Carol Nguyen | Coop Vidéo de Montréal — Marie Lytwynuk ; Carol Nguyen Nuit blonde | Gabrielle Demers | Cinquième maison — Nellie Carrier Pas de fantôme à la morgue | Marilyn Cooke | La 115e — Kélyna N. Lauzier, Macha Houssart Simo | Aziz Zoromba | Scarab Films — Rosalie Chicoine Perreault PRIX DU PUBLIC 23 décembre | Immina Films — Patrick Roy | A Média Productions — Guillaume Lespérance | Réalisation : Miryam Bouchard | Scénario : India Desjardins Confessions | Les Films Opale — Christian Larouche, Sébastien Létourneau | Christal Film Productions — Christian Larouche | Réalisation : Luc Picard | Scénario : Sylvain Guy Katak le brave béluga | Attraction Distribution — Xiaojuan Zhou, Maison 4:3 — Chantale Pagé | 10e Ave Productions — Nancy Florence Savard | Réalisation : Christine Dallaire-Dupont, Nicola Lemay | Scénario : Andrée Lambert Le temps d’un été | Immina Films — Patrick Roy | Attraction — Antonello Cozzolino, Brigitte Léveillé | Réalisation : Louise Archambault | Scénario : Marie Vien Les hommes de ma mère | Immina Films — Patrick Roy | Jessie Films — Patrick Huard, Anik Jean | Réalisation : Anik Jean | Scénario : Maryse Latendresse
FILM S’ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L’EXTÉRIEUR DU QUÉBEC Cette maison | Embuscade Films — Félix Dufour-Laperrière | Réalisation : Miryam Charles | Scénario : Miryam Charles | La Distributrice de films — Serge Abiaad Dounia et la princesse d’Alep | Tobo — Judith Beauregard | Réalisation : Marya Zarif, André Kadi | Scénario : Marya Zarif | Maison 4:3 — Chantale Pagé Falcon Lake| Metafilms — Nancy Grant, Sylvain Corbeil ; Onzecinq — Dany Boon, Jalil Lespert ; Cinéfrance Studios — Julien Deris, David Gauquié, Jean-Luc Ormières | Réalisation : Charlotte Le Bon | Scénario : Charlotte Le Bon | Sphère Films — Ariane Giroux-Dallaire Katak le brave béluga | 10e Ave Productions — Nancy Florence Savard | Réalisation : Christine Dallaire- Dupont, Nicola Lemay | Scénario : Andrée Lambert | Attraction Distribution — Xiaojuan Zhou, Maison 4:3 — Chantale Pagé Viking | micro_scope — Luc Déry, Kim McCraw | Réalisation : Stéphane Lafleur | Scénario : Stéphane Lafleur, Eric K. Boulianne | Les Films Opale — Christian Larouche, Sébastien Létourneau
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pascal-et-sarah · 10 months
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Séance du mercredi 2023-11-29
Laputa c'est quand même un nom étrange
Le château dans le ciel - 天空の城ラピュタ - Netflix - 2h05 - 🇯🇵🏰🤖
Comme vous êtes au pays du cinéma vous avez la chance d'aller voir en salle le dernier film d'animation du maître Miyazaki. Dans notre pays exotique nous n'avons pas encore eu cette chance alors du coup on revoit tous les films du studio Ghibli pour passer le temps. Après Naussicaä une fable écologique on est là face à une fable anti guerre. Les méchants hommes en marrons du gouvernement tente d'emprisonner une jeune femme qui est héritière d'un royaume disparu.
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Le film explore de nombreux thèmes chers à Miyaszaki, l'aviation, les royaumes oubliés, la folie des Hommes... Le tout avec une virtuosité et une poésie sans nom. Si Nausicaä manquait parfois de rythme Le château dans le ciel montre à voir une épure de cinéma parfait où tout s'ordonne autour d'un message d'une beauté hallucinante.
8/10
Encore une histoire vraie... Mais au moins c'est marrant
Quiz Lady - Netflix - 1h40 - 🇺🇸🎯🦮
Awkwafina est une actrice américaine d'origine chinoise qui me fait très souvent rire, donc quand elle décide de participer à un film je lève un sourcil. Elle joue ici Anne une introvertie qui n'aime que deux choses dans la vie, son chien et une émission de trivia à la question pour un champion. Un jour forcée par sa sœur extravertie (Sandra Oh) elle va participer au jeu en tant que candidate.
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Aucune surprise ici, c'est l'archétype du film hollywoodien. Elle ne veut pas, elle ne peut pas, elle se fâche avec sa sœur et à la fin le pouvoir de la famille bla bla bla. Et pourtant, on ne passe pas un mauvais moment, l'alchimie fonctionne, Will Ferell en animateur du jeu est fort sympathique. Un bon dimanche soir au coin de la télévision.
5/10
croa croa
Les oiseaux - The Birds - Internet - 1h59 - 🇺🇸🐦‍⬛🦜
Le maître du suspens des années 60-70 adapte une nouvelle de la romancière britannique géniale Daphné du Maurier. Que pourrait-il donc se passer? Une riche fille à papa rencontre un avocat sexy chez la vendeur d'oiseaux. Et donc elle décide de le suivre dans sa ville d'origine pour le week-end.
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La pauvre Mélanie arrive en ville et pouf elle se fait agresser par une mouette. Les poules arrêtent de manger, les corbeaux commencent à s'agiter... Bref les oiseaux ne sont pas content. Le film n'est pas le meilleur de la carrière d'Alfred (on pense à fenêtre sur cour...) mais il y a quand même de grands moment (la discussion entre Mélanie et Annie pleine de sous-entendus est une des scènes de dialogue les plus forte du cinéma américain). À voir dans une vie de cinéphile quand même.
7/10
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clemjolichose · 1 year
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you won't have to hide away - partie 3
Fandom : Nassau : la nuit des canons
Pairing : Anne Bonny x Mary Read, Jack Rackham x Stede Bonnet, Charles Vane x Lucy Greenwood
Nombre de mots : 716 mots
Avertissement : Violence, mort
Résumé : Qui est ce mystérieux personnage venant au secours de la fugitive ? Quelles sont ses motivations ? Serait-il un allié ?
Note d’auteurice : Vous pouvez aussi lire ce texte sur Wattpad ou AO3 ! Cette fanfiction, basée sur une comédie musicale indépendante, a plus d'un an et je suis fièr-e de vous la partager enfin !
Partie : 3/11 - Le Démon de Nassau
Partie 1 | Partie 2
Chanson : Run Boy Run de Woodkid
Le tintement du métal semblait effroyable dans le silence de la forêt. Mary se leva dès qu'elle put, avec la volonté d'aider quiconque l'avait sauvée. Elle se battit ainsi contre le corps de chasse de Calico, au côté d'une personne qu'elle n'avait encore pu voir. Mais le combat ne fut pas long puisque pour une obscure raison, Woodes Rogers fit battre les hommes en retraite. Stede Bonnet se tenait à ses côtés et venait de lui murmurer à l'oreille - c'était sûrement ce qui l'avait dissuadé de mener bataille. Tant mieux. Mary s'étira, sa chute ayant été douloureuse, et se tourna vers le mystérieux inconnu- la mystérieuse inconnue, à vrai dire. "Anne Bonny, lança Bonnet. Où est ton maître ? Il doit être perdu sans son soutien moral... -Oh, t'as pas un thé à siroter le petit doigt levé en léchant les bottes de la Navy ? répliqua la susnommée du tac au tac. T'es sur mes terres, et tu le sais très bien, alors dégage tes sales pattes d'ici avant que je ne déclenche un incident diplomatique." Le roi leva les mains en signe d'apaisement et récula doucement. Comme Rogers ne faisait pas de même, il le tira. "Je préfère ça." Anne Bonny rangea sa lame. Un dernier regard, et elle fit volte-face pour rejoindre son propre royaume. Mary Read la suivit en boitant, à cause de sa blessure, et tenta d'attirer son attention. "Eh ! Merci, pour- pour m'avoir défendue face à eux. -Je défends surtout mon territoire. La Navy n'a aucun droit sur Nassau, répliqua Anne avec énervement." Puis elle regarda Mary de la tête aux pieds. "Sympa le déguisement. T'as l'air d'avoir les épaules d'une pirate, dommage que t'en ai pas le nom. -C'est quoi le problème avec mon nom ?! -Mary Read ? C'est pas un nom de pirate ! -Et Anne Bonny alors ?!" Mary était vexée, et Anne ne faisait que rire. La première se relaxa tout de même, apaisée de sentir sa bienfaitrice aussi détendue et amicale auprès d'elle. Elle avait vraiment cru qu'elle allait tuer ce Stede Bonnet d'un regard...
Anne Bonny invita Mary dans la forteresse de Nassau, qui était à peu près le seul bâtiment se tenant sur les terres de Nassau, mais elle était bien remplie : des pirates en tout genre et de tous genres l'habitaient, bien que le port semblait bien vide. Nassau était pauvre et en difficulté, à côté de la resplendissante Calico, ou du troisième royaume de l'île, plus menaçant : La Vanerie. Les deux jeunes femmes traversèrent la place du marché, au sein de la forteresse, et se rendirent dans une taverne appelée Le Goulot des Sirènes. Encore une taverne, pensa Mary. À l'intérieure, elles saluèrent la propriétaire qu'Anne présenta brièvement : "Lucy Greenwood, la maman de tout le monde ici." Ladite Lucy sourit en saluant Mary. Elle avait un regard perçant, comme si elle pouvait percer tous les secrets d'une personne par sa simple vision. Et elle semblait déjà en voir long. Mary était un peu mal à l'aise de cette contemplation insistante, mais ne dit rien. De toute manière, Anne était en train d'expliquer sa bien mauvaise situation et en deux temps trois mouvements, Mary se retrouva à l'abri des regards, dans une chambre, sans pantalon, Lucy soignant sa jambe. Les crocs ne s'étaient pas enfoncés trop profondément et la blessure avait cessé de saigner pendant sa marche jusqu'à la forteresse, mais la propriétaire de la taverne semblait tout de même inquiète. "Anne m'a dit que c'est un chien de chasse de Bonnet qui t'a fait ça..." Elle se faisait étrangement plus douce que lorsqu'elle était derrière son bar. Mary pouvait voir pourquoi on disait d'elle qu'elle était la maman de tout le monde. Elle hocha la tête. "Que s'est-il passé ? -J'étais prisonnière de la Navy et- -Oh mon Dieu, Lucy la coupa-t-elle. C'est eux qui ont dû partir à ta recherche avec l'aide des chiens de chasse de Bonnet. -C'est ça, oui. Il y avait ce corsaire, Woodes Rogers." Lucy soupira. "Une chose est sûre, il ne te lâchera pas de sitôt. Mais ne t'en fais pas, Nassau te protégera." Elle sourit doucement en terminant de bander la jambe de Mary. "Et voilà, évite de marcher pendant deux-trois jours et tu seras sur pied en un rien de temps ! -Merci madame Greenwood- -Oh appelle-moi Lucy, la coupa-t-elle encore." Les deux femmes sursautèrent en entendant des cris au rez-de-chaussée. "Reste là." Lucy sortit précipitamment de la chambre.
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dandanjean · 6 months
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Désir de silence
Déposer pour quelques minutes, quelques heures, la contrainte sociale. Se reconnaître simplement vivant même quand les autres vivants ne sont pas là, c’est enrichir sa façon d’habiter le réel. C’est s’accorder un peu mieux avec l’habit de chair que nous avons revêtu au jour de notre conception. Parce qu’il ne saurait y avoir d’expérience sans fécondité et qu’il ne tient qu’à nous que ce que nous…
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L’Atelier XVIe siècle reçoit David Vandermeulen, auteur de bandes dessinées, à la Sorbonne
David Vandermeulen parlera de notre livre « La Passion des Anabaptistes » ce samedi 15 avril 2023: 
“Ce samedi 15 avril, dans le cadre des journées de l’Atelier XVIe siècle de Paris-Sorbonne (dirigé par Mireille Huchon et Anne-Pascale Pouey-Mounou), j’échangerai autour de mes ouvrages « La Passion des Anabaptistes » et « Fritz Haber » avec Philippe Maupeu, Maître de Conférences en langue et littérature médiévales et rhétorique de l'image à l'université Toulouse Jean Jaurès. La rencontre se déroulera salle des Actes, à partir de 10h. Sur inscription uniquement à : [email protected]
https://cornucopia16.com/blog/event/latelier-xvie-siecle-recoit-david-vandermeulen-auteur-de-bandes-dessinees-a-la-sorbonne/
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yes-bernie-stuff · 12 days
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Prier en tout temps
◀ 13 SEPTEMBRE ▶ La Bonne Semence
Priez par toutes sortes de prières et de supplications, en tout temps, par l’Esprit, et veillez à cela avec toute persévérance ; faites des supplications en faveur de tous les saints. Ephésiens 6 : 18
J’exhorte donc, avant tout, à faire des supplications, des prières, des intercessions, des actions de grâces pour tous les hommes. 1 Timothée 2 : 1
À quoi puis-je être utile ?
Ma grand-mère, qui est morte presque centenaire, a habité pendant une quinzaine d’années dans un petit logement aménagé pour elle chez mes parents. Ma chambre n’était séparée de la sienne que par un couloir, et très souvent, à tout moment de la journée et même de la nuit, je l’ai entendue prier. A haute voix, elle s’adressait à son Père céleste et lui parlait de chacun de ceux qu’elle aimait. Il lui arrivait pourtant, comme à beaucoup de personnes âgées, de dire qu’elle était inutile et qu’elle ne comprenait pas pourquoi le Seigneur ne la reprenait pas à lui. Mais le Maître (c’est ainsi qu’elle désignait souvent son Dieu) savait ce qu’il faisait, et nul doute que ses prières avaient à Ses yeux une grande utilité. Elle me rappelle cette autre femme de l’Evangile : Anne, une prophétesse très âgée, veuve, parvenue à l’âge de quatre-vingt-quatre ans, ne quittait pas le temple, servant Dieu en jeûnes et en prières, nuit et jour (Luc 2 : 36, 37). Il y a sans doute, parmi les lecteurs de ces lignes, des croyants que l’âge ou la maladie contraignent à l’inactivité physique. Ne croyez pas que vous êtes inutiles, bien au contraire. Pensez à ce combat que n’aurait pas remporté Josué, si Moïse avait cessé d’élever ses mains en prières (lire Exode 17 : 8-16). Dieu a besoin d’intercesseurs qui ont du temps pour prier pour leurs frères et sœurs dans la foi, et pour tous les hommes. - Lire plus ici :
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christophe76460 · 16 days
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☀️ ✝️ Un dimanche lumineux ! ✝️ ☀️
Quelle stupeur pour Jean !
Son maître bien-aimé, doux et humble de cœur, il le découvre maintenant revêtu de gloire et de puissance !
Seigneur Jésus, bientôt tout œil te verra dans la splendeur de ta gloire, toi le Dieu grand et terrible...
Mais pour l'instant encore, tu interpelles avec bonté, tu offres ta grâce.
Que beaucoup l'acceptent tant qu'il est temps !
Texte de Anne-Laure Prohin, transmis par G. L., 8 septembre 2024.
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toutmontbeliard-com · 21 days
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Élection de Miss Franche-Comté 2024
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Le samedi 21 septembre 2024, La Commanderie de Dole (39-Jura) sera le théâtre de l’élection de Miss Franche-Comté 2024. Cet événement prestigieux, attendu chaque année avec impatience, permettra de couronner celle qui représentera fièrement la région lors de l’élection de Miss France diffusée sur TF1 en décembre prochain. La nouvelle Miss Franche-Comté aura l’honneur de marcher dans les pas de Sonia Coutant, Miss Franche-Comté 2023 et Miss Jura 2023, également couronnée à Dole l’an dernier (notre info "Miss Franche-Comté 2023 est Sonia Coutant"). Une soirée pleine d’émotions, de beauté et de talent en perspective. "L’élection de Miss Franche-Comté est plus qu’une simple compétition de beauté. C’est un moment où la région tout entière se rassemble pour célébrer la grâce, le talent et l’ambition de jeunes femmes qui incarnent l’esprit et les valeurs de la Franche-Comté", déclare Anne-Laure Vouillot, Présidente du Comité Miss Franche-Comté et Déléguée régionale Miss France. Un thème musical festif et interactif : "Let's the Music Play" Le thème de cette année, "Let's the Music Play", promet une ambiance chaleureuse et entraînante. Au rythme de musiques dynamiques et populaires, le public sera invité à chanter, dans un esprit de karaoké collectif qui transformera La Commanderie en une véritable scène de fête rassemblant toutes les générations. "Le choix de ce thème s'inscrit parfaitement dans notre volonté de créer une soirée à la fois dynamique et interactive. La musique a le pouvoir de rassembler les gens et de transformer une simple soirée en un événement inoubliable", commente Pol Laurent, Directeur Artistique et membre du Comité Miss Franche-Comté. Les chorégraphies des candidates signées Mathieu Dussaucy Pour sublimer cette soirée, la chorégraphie sera orchestrée par Mathieu Dussaucy, de l'école de danse Moondance à Vesoul (70-Haute-Saône). Ce partenaire du comité Miss Franche-Comté depuis 2020, est reconnu pour son talent à créer des performances captivantes qui mêlent élégance et modernité. Les candidates, offriront au public un spectacle inoubliable, où la danse rejoindra l’art de la scène. Une deuxième partie pleine de surprises et de talents locaux La soirée se poursuivra avec une série de surprises, incluant des performances d’artistes jurassiens et d’autres talents venus d’ailleurs ainsi que d’anciennes Miss qui prendront beaucoup de plaisir à revenir sur scène. Cette deuxième partie de soirée sera placée sous le signe du partage et de la découverte, offrant un moment festif et convivial qui ravira tous les participants. Musique, spectacle et bonne humeur seront les maîtres mots de cette fin de soirée avant l’annonce des résultats et le couronnement de Miss Franche-Comté 2024. infos > www.miss-franchecomte.fr Read the full article
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subiysu-chan · 28 days
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Pauvre Marie Colin...
10 mars 1774, Melun Marie-Anne Colin c'était réveillée de bon matin pour chauffer la cheminé, à son habitude. Quand elle ouvrit la chambre de son maître pour y apporter les bûches, elle faillit s'évanouir. Toute la chambre était en sang, son maître gisant innanimé, appuyé sur sa table de chevet. Sous le choque, elle perdit l'équilibre, tombant sur le sol, salissant ainsi ses habits sang et d'urine, et la hache qu'elle avait à la ceinture tomba quand elle s'enfargea dans son tablier en tentant de se relever. Allertées par le bruit, la maîtresse de maison et sa fille coururent à l'étage, découvrant la scène d'horreur. 13 mars 1774, Melun Cela faisait deux jours que Marie n'avait pas dormit. Elle était très nerveuse pendant le procès, où elle se défendit très mal, dans son mi-français, mi-patois. Les autres prisonniers avec qui elle était obligée de partager sa cellule étaient tous plus âgés, plus costauds et plus brûtaux qu'elle. Puis, elle c'est entendue condamnée à la question préalable. Depuis, elle était maintenue à jeûn. Bientôt, s'approcha de la porte de sa cellule une femme en âge d'être sa mère, vêtue d'oripeaux d'une richesse déchue. Elle devina rapidement que c'était la bourrelle. "Vous avez ben des ventrières pour vérifier ça, non ? -Marie-Anne Colin, c'est bien vous ? -Oui. -Je dois simplement m'assurer que vous êtes à jeûn. Puis, en effet, un médecin vérifiera votre capacité à endurer la question. -J'ai pas mes mois, et je ne suis pas grosse. Fichez-moi la paix." La jeune fille aurait voulu la tutoyer, mais le courage lui manqua. "Vos mains, que je vous emmênes à la chambre de la question. À moins que vous ne voulez être examinée ici même." Marie frissonna à l'idée d'être dénudée devant cinq gaillards, d'autant plus qu'elle entendit un ou deux sifflement. Elle obéit cette fois-ci. Les liens étaient indolores, à sa surprise. Les deux se rendient à la salle de torture. La bourrelle la fit coucher sur le banc, et commençait à défaire les lacets de son corset. La jeune fille protesta. "Considerez-vous chanceuse de pouvoir encore défendre votre innocence, jeune fille." Elle lui releva la chemise, de manière à découvrir le ventre mais à toujours cacher ses seins, et baissa le jupon jusqu'aux hanches, à un doigt de la toison pubienne. "Vous aurez le droit de la remonter à la taille après la question, pas avant. Me suis-je bien fait comprendre. Vous pouvez à présent remettre la chemise sous le jupon, mais celui-ci doit rester, une fois attachée, juste au-dessus de la toison, pour que le ventre puisse se gonfler d'eau. Me suis-je fais comprendre ? -Euh…Ouais." Marie se sentait très exposée et vulnérable sans être protégée par son corset de jonc et de cuir. Puis, le jupon était trop long pour être porté aux hanches sans l'enfarger. "J'ai quand même payer six sols pour garder mes hardes. V'aurez donc bien la gentillesse de me rendre mon croset et mon manteau d'lit après ? -Ça dépendra du verdict." L'ancienne domestique fit une moue de défit. Honnêtement, elle avait hâte d'en finir. Elle fut conduite dans une petite cellule individuelle, où elle s'assoupie malgré elle, beaucoup plus profondément qu'elle l'aurait imaginer. "V'êtes chanceuses. Vous allez pouvoir recevoir l'eau aujourd'hui. Pas de grossesse ni de règles. dit la sage-femme de la prison, quand Marie ouvrit les yeux. -Je l'ai déjà répéter une douzaine de fois à la geôlière et au médecin. Est-ce qu'on a vérifier mon poult pendant mon sommeil aussi. -Non. Et la bourrelle risque de revenir pour vous faire subir encore quelques préparatifs. Rien de bien grave, juste un peu de vinaigre pour que vous restez consiente pendant la question." Ce n'était donc jamais assez ?
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