#Almamy Kanouté
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gauthierguerrier · 2 years ago
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Prince de la Ville (12m35) - Amina Kramy & Kévin Koch : Hamid vit seul avec sa mère. En quête de stabilité affective il s’est réfugié dans le foot et a adopté Louis, son entraineur, comme père de substitution. Tout allait pour le mieux, jusqu’au jour où son géniteur refait surface.
Avec : Killyan Guechtoum-Robert, Akim Chir, Almamy Kanouté, Khelifa Belhaadj Adda, Halima Karoui, Messaouda Dendoune et les U16 de l’AAC Fresnes.
Chaque années les prestigieuses écoles de cinéma que sont la FÉMIS et la FILMAKADEMIE du Bade-Wurtemberg (Allemagne) font des échanges. En cette année de Coupe du Monde, j’ai été sollicité pour assister le binôme de réalisateurs Kévin Koch & Amina Krami dans leur projet de 3ème année sur le football.
Tourné essentiellement en banlieue entre les tours des cités de Bondy et les terrains de l’AAC Fresnes, le tournage de ce film aura mis en exergue mon anglais indispensable pour communiquer avec des collègues pour qui le français ne veut rien dire. De l’autre côté, j’ai aussi dû faire le traducteur pour les acteurs, membres de l’équipe ou autres qui ne bitent pas la langue de Shakespeare. L’autre gros défi de ce court-métrage doté d’un budget à 5 chiffres, aura été la gestion des nombreux figurants sans second assistant-réalisateur. Canaliser la quinzaine d’ados sur le terrain n’aura pas été une mince affaire, entre leur temps de concentration réduit et leur énergie débordante, il aura fallu de la patience et un brin d’autorité pour réussir à tourner.
Prince de la Ville est disponible en accès privé en cliquant ici.
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speakingparts · 2 years ago
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LES MISÉRABLES [Ladj Ly, 2019]
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watchingalotofmovies · 3 years ago
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Les Miserables
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Les Miserables    [trailer]
A cop from the provinces moves to Paris to join the Anti-Crime Brigade of Montfermeil, discovering an underworld where the tensions between the different groups mark the rhythm.
The location is uncommon, but the general power structure, consisting of corrupt cops and several self-governing gangs, applying their own rules and laws, is by now familiar.
The movie's gripping, but I expected a little more given the praise it has received. The additional ending is the most noteworthy. But it felt a bit tacked on.
There's probably some symbolism, because of the lions mentioned in a speech by Salah, but it seems a little ludicrous to steal a lion cub.
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gdn216 · 5 years ago
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T'es sûre de ce que tu racontes dans ta controverse ?
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sgparis · 4 years ago
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Almamy Kanouté, photographed by Stéphane Gaboué for Ubikwist magazine
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antikorg · 3 years ago
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A. Kazib, le Comité Adama et l'Après-M s'invitent à la fête de l'Huma
A. Kazib, le Comité Adama et l’Après-M s’invitent à la fête de l’Huma
2021-09-16 21:27:07 Revolution Permanente A l’initiative de Révolution Permanente, Youcef Brakni, Almamy Kanouté et Assa Traoré du Comité Adama, Kamel Guemari militant des quartiers à Marseille à l’initiative de l’Après-M (un restaurant McDonald’s réquisitionné pour mettre en place des distributions alimentaires dans les quartiers nord en plein milieu de la crise sanitaire), et Anasse Kazib…
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tpkoitv · 3 years ago
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Et toi ? Tu postes koi ?!
Besson ou Gastambide ? 🎬
Bamako ou Fresnes ? 🌍
Oscar ou César ? 🇫🇷🇺🇸 Dis nous tout !
Almamy Kanouté @barbpanther nous répond dans ce court extrait.
La suite sur YouTube : TPKOI TV
Link : https://youtu.be/MmY0jAgXaew
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Drammatico , Poliziesco , Thriller / Ladj Ly Attori : Damien Bonnard, Alexis Manenti, Djibril Zonga, Jeanne Balibar, Issa Perica, Al-Hassan Ly, Steve Tientcheu, Almamy Kanouté, Nizar Ben Fatma, Raymond Lopez, Luciano Lopez, Jaihson Lopez, Omar Soumare, Sana Joachaim, Lucas Omiri
Trama I miserabili Premio della Giuria a Cannes, I miserabili, acclamata opera prima del regista Ladj Ly, è candidato all’Oscar come miglior film straniero. Girato esattamente dove Victor Hugo aveva ambientato il suo romanzo, a Montfermeil, nella periferia a un’ora dal cuore di Parigi si consuma un thriller dal ritmo avvincente e adrenalinico. Stéphane, insieme a due colleghi veterani di una squadra anticrimine, si trova a fronteggiare una guerra tra bande, membri di un ordine religioso, ragazzini in rivolta. Un semplice episodio di cronaca diventerà il pretesto per una deflagrante battaglia per il controllo del territorio, in un tutti contro tutti senza pietà.
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laibamcasainfo · 4 years ago
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Manifestation contre les violences policières : « On ne se laissera plus faire, on ne se laissera plus malmener, maltraiter ou tuer », lance Almamy Kanouté Une nouvelle manifestation contre les violences policières est prévue à 14h30 samedi 13 juin, Place de la République à Paris, à l’appel notamment du comité pour 
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nomaaad · 4 years ago
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Live violences policières/racisme d'État avec Anasse Kazib, Julia Wallace et Almamy Kanouté du comité Justice pour Adama
“On est dans une société qui a tout intérêt à ce que chacun reste dans son petit coin, dans sa petite bulle, dans l’entre-soi et ainsi de suite. Moi je m’interdis de m’enfermer dans une forme d’entre-soi ou autre. Ce qui m’a poussé moi à m’engager c’est parce que je subissais la négrophobie et l’islamophobie parce que je suis de confession musulmane. Mais ça ne m’a pas empêché de soutenir la cause palestinienne. Je suis pas palestinien. Ça ne m’a pas empêché de soutenir la communauté asiatique qui subissait des agressions à répétition. Pourtant je suis pas asiatique et je n’ai aucun lien directe avec eux. Après j’ai envie de dire, pour voir un peu plus large, notre lien direct entre nous tous c’est qu’on est tous des êtres humains en fait. Et que si on fait l’effort demain de faire de nos différences une force de frappe, ce qui a été le cas mardi 2 juin, on a vu comment là ils sont en train de danser le twist. On a vu le changement de discours radical du ministre de l’intérieur. On a vu les changements de position, on a vu les prises de position. C’est qu’on a réussi à mettre un jour, une date précise, toute une diversité d’individus et ça, ça leur fait peur. C’est-à-dire que moi ce que je vois des états-unis c’est qu’un afro-américain s’est fait assassiné, tout le monde l’a vu. Dans la rue, je n’ai pas vu que des afro-américains. J’ai vu des citoyens américains révoltés qui exigeaient tous ensemble avec la même fermeté d’arrêter de tuer des hommes noirs comme des pauvres bêtes. Et je pense que si demain ça arrive à un latino, si ça arrive à un blanc, il y aura une même mobilisation, une même indignation. Et ça, cette exemple là, en est en train de faire une démonstration à nos politiques au niveau international. C’est : vous avez voulu nous diviser, nous on a compris votre jeu. On va rester uni et soudé et frapper de la même force.”
+ conclusion à partir de 2:00:03 de tout le monde, et de Anasse jusqu’à 2:12:33.
https://www.facebook.com/watch/?v=186273659380944
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lerepondeurdesinsoumis · 8 years ago
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Banlieues Debout : construire des ponts avec les quartiers populaires
Benjamin Sourice est un ancien journaliste, blogueur et acteur associatif de métier. Il a participé à la préparation et à l’animation de Nuit Debout, à travers le collectif les Engraineurs. Il vient de publier un nouvel ouvrage, La démocratie des Places, dans lequel il s’interroge sur la vitalité de ces mouvements citoyens tels que Nuit Debout, cherche à montrer les lignes de tension entre l’utopisme démocratique et le pragmatisme radical, et tente de relever le plus grand défi de l’idéal démocratique : réconcilier les opposés. Nous avons publié l’un de ces textes sur le féminisme à Nuit Debout et sur la commission Jury Citoyen. Aujourd’hui, la question des quartiers populaires, des Banlieues Debout, avec Almamy Kanouté.
Livre La Démocratie des places, Benjamin Sourice
  « Par rapport à Nuit debout, dans les quartiers populaires, les ressorts de l’engagement sont différents », Almamy Kanouté
Almamy Kanouté vient de Fresnes. Âgé de 36 ans, il est éducateur dans sa ville auprès de jeunes des quartiers populaires, mais c’est aussi un militant chevronné avec de nombreuses initiatives politiques à son actif, toutes proposées en dehors du cadre des partis politiques. Il fait partie d’une génération de militants indépendants, solidement ancrés sur le terrain et farouchement méfiants à l’égard des professionnels de la politique. Il a également un franc-parler qui marque ses auditeurs : « Pendant longtemps, j’ai boycotté les questions politiques, tous des menteurs à mon sens, puis à un moment, j’ai décidé de passer de la critique à l’action, de me réapproprier les choses plutôt que d’abandonner tout ça aux cols blancs[1].» En 2008, Almamy lance sa liste citoyenne « Fresnes à venir » pour les municipales et recueille 11,11 % des suffrages. Le voilà désormais élu de la République. De cette expérience, il dresse un constat doux-amer : « Vu de l’intérieur, on a le sentiment d’une supercherie, d’un simulacre de démocratie chapeauté d’en haut, mais avec les listes citoyennes, on a réussi à diffuser l’idée qu’un braquage politique était possible pour se réapproprier la ville. »
Quand il arrive dans Nuit debout, il trouve sur la place « une ouverture rafraîchissante avec des personnes qui se rencontrent pour débattre et partagent les mêmes idéaux démocratiques » qui sont ceux qu’il défend depuis plusieurs années. Ce rassemblement correspond aussi d’après lui « à un besoin de résistance qui nécessitait d’inventer de nouvelles formes de militantisme, un militantisme qui cesse de demander l’autorisation pour agir, pour occuper, capable d’utiliser l’effet de surprise pour mener ses actions ». D’après son expérience, « les choses se provoquent, c’est pareil pour la convergence des luttes entre Nuit debout et les quartiers populaires, il faut briser l’attentisme et il ne faut pas avoir peur des frictions », s’enthousiasme Almamy. Cependant, comme d’autres personnes issues des quartiers populaires, il n’aime pas que « les banlieues soient vues sous un prisme exotique », une caution pour mettre de la couleur dans un mouvement social, ou comme il a pu l’entendre à Nuit debout « pour faire vraiment peur au pouvoir », tel un épouvantail à casquette rembourré aux préjugés.
À l’occasion de Nuit Debout, notamment lors des tentatives d’extension du mouvement Banlieues debout, quelques passifs politiques et militants ont ainsi été mis sur la place publique. Mohammed Mechmache du Collectif Pas sans Nous, fondateur d’AC le Feu et élu EELV au conseil régional d’Île-de-France, lança sur la place de la République un provoquant : « Où étiez-vous en 2005 ? », en référence aux émeutes urbaines après la mort de Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans, électrocutés dans l’enceinte d’un poste électrique après une course poursuite avec la police le 25 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois. « Pendant les 21 nuits de révolte sociale qui ont suivi, alors que les jeunes de ces quartiers revendiquaient leurs droits et luttaient contre les discriminations, on s’est senti bien seuls et isolés[2] », répétera ensuite M. Mechmache au journal Reporterre.
À Marseille, une tentative de délocaliser Nuit Debout vers les quartiers Nord de la ville, dans la cité des Flamants, provoqua aussi quelques mésententes et incompréhensions entre les participants comme le relata un reporter du Monde : « Ici, cela fait trente ans qu’on est debout. On n’a pas attendu pour combattre la précarité, les violences policières, les injustices sociales… Vous venez libérer notre parole ? Mais notre parole est libre. Personne ne l’entend parce qu’elle est censurée et stigmatisée[3] », expliquait un militant de ces quartiers marginalisés. D’autres avancèrent que la Loi travail n’inquiétait que ceux qui avaient peur de perdre leurs avantages, laissant de marbre les relégués sociaux, abonnés aux emplois précaires ou chômeurs. Selon le militant de Fresnes, si les gens des quartiers populaires ne se sont pas plus engagés dans Nuit debout, c’est d’abord « parce que les ressorts de l’engagement sont différents, il y a besoin de démontrer que l’on est dans l’action pour séduire, pour créer une dynamique. Parler, marcher, ça ne fonctionne pas ».
Pourtant, au-delà de la question sociale, les commissions thématiques furent nombreuses et visibles, impliquant des problématiques issues de la réflexion et de l’expérience d’habitants et de militants des quartiers populaires, comme les problèmes de contrôle au faciès et le « racisme d’État » ou encore la question des bavures, avec la présence active sur la place de la République du collectif Urgence notre police assassine emmené par Amal Bentounsi dont le frère fut tué d’une balle dans le dos par un policier désormais condamné. « Nos projets d’éducation populaire, nos luttes contre les violences policières, notre soutien au peuple palestinien, contre les racismes et en particulier contre l’islamophobie forment chaque jour des lutteurs dans nos quartiers. Chaque engagement a ses priorités et ses points de convergence. Il n’est pas étonnant que cela soit en partie par les luttes contre les violences policières que la jonction avec Nuit debout s’opère le plus facilement[4] », soulignent les rédacteurs du blog Quartiers libres, même si l’ensemble des thématiques citées furent l’objet de commissions à Nuit debout.
Pour Almamy Kanouté, des ponts ont été lancés mais la dynamique de cohésion n’est pas encore aboutie. Comme s’adressant aux absents, il pense que : « Nuit Debout aurait pu être l’occasion de voir qu’il y a une sincérité dans l’engagement de beaucoup, qu’il peut y avoir des disputes et qu’on peut les résoudre, qu’on apprend à se connaître par l’action et la discussion. Ce qui compte, c’est de trouver des gens avec qui l’on partage les mêmes dynamiques, et non pas de se confiner à un cadre, il faut briser ces frontières, ne pas croire qu’on est si différent. » Sa conclusion sur Nuit debout ? « C’est un mouvement qui vient d’en bas. C’est la grande leçon, si les choses doivent changer, ça partira du local ». Il défend l’absence de leadership qui a « déstabilisé les récupérateurs habituels. Ce qui ressort de Nuit debout, c’est un nouveau souffle politique basé sur un refus commun de la domination des structures et de l’individualisation, on est à la fois dans la recherche d’une certaine coordination tout en permettant une autonomie locale. Maintenant que l’on a appris à se connaître, à se faire confiance, il faut que cela aboutisse sur des actions communes. La responsabilité est désormais dans les mains de chacun pour continuer à construire des ponts ».
[1]          . Almamy Kanouté, participant à Nuit debout République à Paris, propos recueillis le 1er juin 2016.
[2]          . Ibid.
[3]          . Gilles Rof, « À Marseille, Nuit debout se heurte durement à la réalité des quartiers nord », Le Monde, 24 avril 2016.
[4]    . « Nuit debout pas sans nous », blog Quartiers libres, 25 avril 2016.
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speakingparts · 2 years ago
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LES MISÉRABLES [Ladj Ly, 2019]
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ladystylestores · 4 years ago
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Your Wednesday Briefing – The New York Times
U.S.-China ties in a free fall
Sanctions over Hong Kong and Xinjiang. A campaign against Huawei. Challenges to Beijing’s claims in the South China Sea.
For a long time, historians dismissed the idea of a Cold War between the U.S. and China. But the relationship between the superpowers is increasingly imbued with deep distrust and animosity.
The disagreements span cyberspace and outer space, the Taiwan Strait and the South China Sea, and even the Persian Gulf. Beijing and Washington are pushing other countries to take sides. The coronavirus pandemic has turned existing fissures into chasms that could be difficult to overcome, no matter the outcome of this year’s U.S. presidential election, our correspondents write.
Quotable: U.S. policy toward China is “fraught with emotions and whims and McCarthyist bigotry,” China’s foreign minister, Wang Yi, said last week. “It seems as if every Chinese investment is politically driven, every Chinese student is a spy and every cooperation initiative is a scheme with a hidden agenda.”
Go deeper: Secretary of State Mike Pompeo announced on Monday that China’s expansive maritime claims across most of the South China Sea were “completely unlawful,” setting the stage for potential American military confrontations with Beijing.
Britain bars Huawei from 5G network
In a major reversal, Britain announced that it would ban the use of equipment from the Chinese telecommunications giant in the country’s high-speed wireless network. The decision was a big victory for the Trump administration, which had blacklisted Huawei.
Prime Minister Boris Johnson had faced growing political pressure at home to take a hard line against Beijing, and the move signals a new willingness among Western countries to confront China.
The announcement came as President Trump’s national security adviser was in Paris for meetings about China with representatives from Britain, France, Germany and Italy.
Response: Huawei has long rejected claims that the Chinese government could use the equipment for espionage. The company described the announcement on Tuesday as “bad news for anyone in the U.K. with a mobile phone.”
A fuller picture of Covid’s economic toll
Reopenings have happened in fits and starts, and the U.S. earnings season, which kicked off on Tuesday, is a first chance for investors to hear from businesses about how the coronavirus pandemic has hurt profits.
The reports showed struggles: Banks and airlines reported losses. More shutdowns are likely to come in the next months amid a recent surge in coronavirus cases across the U.S.
In Britain, new data showed that the economy did not grow as much as expected in May, which was supposed to be the first month of the country’s economic recovery. Some economists had predicted the economy would grow by 5.5 percent, but the data showed just a 1.8 percent increase from the month before. The outlook for the rest of the year is bleak.
Details: JPMorgan reported that its earnings had halved in the second quarter, while Wells Fargo had its first quarterly loss since 2008, and Delta Air Lines said revenue plunged by 88 percent.
But some good news: Consumers in Europe are going on a shopping spree as their economies reopen, offering hope that a recovery may be taking hold. Investors were initially worried that people would be too shaken to spend, as happened with consumers in China. Imports in China also rose for the first time since the virus took hold, another good sign.
Here are the latest virus updates and maps.
In other virus developments:
If you have 6 minutes, this is worth it
A new way of seeing race in France
The killing of George Floyd by the police in Minneapolis is leading more people to think differently about race in France. Discussion of race and religion there has taken a back seat to a colorblind ideal that all people share the same universal rights.
With an eye on the U.S., children of immigrants from Africa and the Caribbean are bringing race into the public discourse. “Here, they want us to melt into a single body and put aside our cultural diversity,” said Almamy Kanouté, above, who is leading protests against police violence in France. “With us, that’s not possible. We’re French, but we don’t forget what makes us whole.”
Snapshot: Above, French Air Force jets fly over the Arc de Triomphe during a Bastille Day celebration in Paris on Tuesday. The traditional parade was canceled because of the pandemic, but public health workers were honored as heroes and will soon receive pay raises.
What we’re reading: This Interview magazine Q. and A. with the writer Jia Tolentino. “What really struck me about this interview is Jia’s ability to synthesize such broad, weighty topics and current events into crystal clear, thoughtful responses,” says Sanam Yar, from the team at The Morning briefing.
Now, a break from the news
Cook: This eggplant and zucchini pasta with feta and dill is packed with vegetables for a simple yet hearty weeknight meal.
Listen: “Richard II,” a four-part audio play rises to the challenge of telling a story solely through speech and sound effects.
Read: In “Blue Ticket,” Sophie Mackintosh presents us with a dystopian tale of a woman desperate to have a child in a place that affords only certain women that privilege.
Staying safe at home is easier when you have plenty of things to read, cook, watch and do. At Home has our full collection of ideas.
And now for the Back Story on …
When the virus strikes at home
Edgar Sandoval, a reporter on our Metro desk, wrote about the calamitous sweep of the coronavirus through New York City before volunteering to cover the outbreak in his hometown on the Texas-Mexico border. In that outbreak, it turns out, his family became part of the story. Here’s what he wrote.
The day before I boarded a plane from New York, my youngest sister sent me a text message that froze me in place. “Brother, it looks like all of the Sandovales have Covid,” it read in Spanish.
Five in my family, including my mother, Arcelia; my father, Filiberto; two sisters; and a nephew all had symptoms, she said. By the time my plane landed the next day, that number had doubled.
I did not worry much for myself — I had come down with the virus earlier in New York, and had antibodies that might fend it off.
On July 1, I hurried to my parents’ home and found my mother — I usually call her “Ama” — in the living room, gasping for air.
By the time my sister and I got her into the emergency room at Doctors Hospital at Renaissance in McAllen, her blood oxygen level had reached a paltry 80 percent, and a nurse quickly connected her to an oxygen supply. X-ray images showed her lungs nearly covered in what resembled pale spider webs.
Less than an hour after a nurse administered a coronavirus test, he announced that she was positive. “No surprise there,” Ama said.
Two attendants arrived with a stretcher to transport her into a Covid wing at another location, where she would not be allowed to have visitors, I knew. My throat tightened.
I fought the urge to reach for her and say something profound. Should I say I love you? Was it time for a heartfelt farewell? What if this was the last time I would see her alive?
I decided that if I said something poignant, she might interpret it as a final goodbye and give up. Instead, I decided to act as casual as possible.
Nearly a week after I had dropped her at the emergency room, her mood and breathing had significantly improved. She was able to sit upright and hold a phone conversation for five minutes. We began talking about preparations for her eventual return home.
I wanted to say I loved her. But again I choked. Don’t make it sound like you’re saying goodbye, I told myself.
After we hung up, I sent her a GIF of a white bunny that shoots hearts every time it hugs.
“I love you,” the message flashed, over and over.
That’s it for this briefing. See you next time.
— Melina
Thank you Theodore Kim and Jahaan Singh wrote the break from the news. You can reach the team at [email protected].
P.S. • We’re listening to “The Daily.” Our latest episode includes an interview with a doctor in Italy who reflects on triaging care at the peak of the pandemic. • Here’s our Mini Crossword, and a clue: Cool and distant (five letters). You can find all our puzzles here. • “Father Soldier Son,” The Times’s first feature documentary on Netflix, debuted its trailer last week and will premiere this Friday, July 17. It follows a single father injured in combat and his sons as they try to heal.
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razki030775 · 4 years ago
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Almamy Kanouté: "Emmanuel Macron n'a pas tenté de rassurer les familles de victimes de violences policières" //https://t.co/WdAmFMNNiB
Almamy Kanouté: "Emmanuel Macron n'a pas tenté de rassurer les familles de victimes de violences policières" //https://t.co/WdAmFMNNiB
— razki030775 (@razki030775) June 15, 2020
via Twitter https://twitter.com/razki030775 June 15, 2020 at 09:19AM
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sgparis · 4 years ago
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Almamy Kanouté, photographed by Stéphane Gaboué for Ubikwist magazine
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basketsblanches · 10 years ago
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[Event] No Joke (Spécial Brésil) - Grand évènement de street workout - Showcase Juicy P & La Comera - 21/09 (Grigny)
[Event] No Joke (Spécial Brésil) – Grand évènement de street workout – Showcase Juicy P & La Comera – 21/09 (Grigny)
Afin de financer un lieu d’activités pour les enfants des favelas au Brésil, No Joke organise le plus grand événement de street workout d’Europe. Tractions, pompes,abdos, Ju Jitsu Brésilien, cross training, Capoeira, Dips, venez assister et/ou participer à ces disciplines, le dimanche 21 septembre 2014 au Parc Coteaux Vlaminck de Grigny,.
En plus des activités physiques, la team No Joke a prévu,…
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