Tumgik
#A la fin de son sermon au cours de la messe dominicale
lolochaponnay · 2 months
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A la fin de son sermon au cours de la messe dominicale, le curé annonce à ses fidèles : - Mes chers paroissiens, le thème de mon sermon de dimanche prochain sera "FOURRER, PENETRER, DECHARGER et JOUIR". Merci de faire passer le message. Le dimanche suivant, l'église est bondée. Le prêtre monte en chaire et dit: - Mes bien chers frères, je vais maintenant aborder le thème annoncé dimanche dernier... FOURREZ-VOUS bien dans la tête que pour PENETRER dans le royaume des cieux, il faut vous DECHARGER de vos péchés, afin de JOUIR du paradis éternel ! Amen. Pour avoir eu de mauvaises pensées, vous direz 3 pater et 3 avé!
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claudehenrion · 5 years
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Notre Histoire au jour le jour - ( III ) : retour aux ''fondamentaux'' (suite & fin).
   Pour la (n + unième) fois, je vais rappeler le ''credo'' qui sous-tend la démarche de ce Blog : ''seul un vrai retour aux fondamentaux du christianisme en Occident peut encore sauver la planète, via le sauvetage de notre civilisation'', car personne, jamais, n'est arrivé à proposer une alternative heureuse (on dit ''un nouveau paradigme'') à ce mouvement des esprits qui a transformé le monde dans un sens qui fut si longtemps le meilleur possible... jusqu'à sa dissolution récente dans un corpus d'idées mortifères qui ne sont que mensonges et solutions à rien du tout.
  Le danger est immense, absolu. Et pourtant beaucoup, en lisant cet appel au secours à civilisation en danger, vont éprouver la tentation de regarder ailleurs, vers une de ces pseudo-évidences dont l'apparente rationalité, répétée ad nauseam, détruit tout ce qu'elle effleure (comme si redire dans cesse le même mensonge pouvait en faire une vérité !), alors que le plus inquiétant, c’est ce ''silence des pantoufles'' dont Martin Niemöller disait qu'il est ''plus dangereux que le bruit des bottes'', reprenant une idée de Einstein : ''Le monde est dangereux non pas tant à cause de ceux qui font le mal, qu’à cause de ceux qui regardent et laissent faire''.
  Comme beaucoup, je ne vis pas bien les reculades de notre civilisation devant la barbarie ou devant d'autres civilisations, dont l'islam que des ''leaders'' qui ne méritent pas notre confiance décrivent comme en position de s'imposer à nous, ce qui est faux : il est en piteux état, sans doute plus que nous. En outre, les mesures prises récemment ''sans moufeter'' devant la montée du coronavirus m'ont attristé : nos ''Monsignori'' auraient pu livrer un ''baroud d'honneur'' avant de mettre (par prudence) Dieu sous la coupe de César... et du stérilisant ''principe de précaution''.
  Dans le long processus de déchristianisation de l'Europe (seul continent à se suicider ainsi : les autres n'ont pas le même besoin masochiste de se renier et de se couper de tout ce qui peut encore les sauver),  Il paraît qu’il n’y aurait plus que 2 % de catholiques résiduels qui vont à la messe, A la décharge, des autres, il faut reconnaître que l'église catholique (je parle de ce que je connais bien. Mais les églises réformées ne font guère mieux. Seuls les orthodoxes restent... dans l'ortho-doxa, la bonne règle !) se donne bien du mal pour ressembler à une soupe indigeste sans beauté, sans profondeur et sans la raison d'être de ce catholicisme dont les restes culturels s'effilochent l'un après l'autre : les prénoms ne sont plus ''ceux du calendrier'', les mariages se transforment en ''pacs'' ou en dérives extravagantes, Noël est ridiculisé : une orgie, les''fêtes de fin d'année''... et les journalistes, déculturés à en être décérébrés, mettent religions, confessions, sagesses et cultes dans un ''fourre-tout'' pour attardés mentaux... Sauf l'Islam...
  Les valeurs typiquement chrétiennes (l'amour du prochain, l'espérance du salut selon ses actes, l'importance du remords et du pardon, le partage des pouvoirs entre Dieu et César (source exclusive de cette ''séparation'' dont la République est si fière), étaient si bonnes pour l'humanité que tout le monde les a copiées sans le reconnaître, en changeant simplement l'ordre et quelques mots. Ce serait déjà triste, mais... vu de l'intérieur de l'Eglise, le bilan n'est guère meilleur : deux mille ans d'églises romanes, de cathédrales flamboyantes, de merveilles baroques, de primitifs flamands, de Raphaël, de Bernin, de Michel-Ange... pour aboutir à ces offices sans relief, où le célébrant crachouille dans des micros mal réglés des textes barbants et stéréotypés, sur des autels qui ressemblent à des tables Ikéa, avec des crèches en papier-crépon remplies de personnages émaciés qui font peur, devant des fidèles munis de ''feuilles paroissiales'' ronéotées et illustrées (?) dans le style pseudo-enfantin d'une ''Anaïs-Duchmin-qui-dessine-si-bien''...
  Et s'il n'y avait que ça ! Mais il y a les musiques, hélas ! Dans un désir inexplicable de minimalisme misérabiliste, on a remplacé par une guitare Monteverdi, Mozart ou Bach, nos belles chorales et nos grandes orgues (''rien n'est trop beau pour le service de Dieu'', disait-on...), tandis qu'une brave dadame à la voix approximative et trop métallique bat mal et mollement une mesure dont personne n'a besoin, en accélérant à certains mots (''Alléluia'' en est un : pour montrer l'allégresse, on en remet un coup : ''alélou, allélou, allélouia'' (sic !). Ces cantilènes improbables, à la musicalité douteuse et aux rimes approximatives, me rendent souvent très triste (une exception : dans ma grande église paroissiale, une dame fort jolie dont le ''toucher'' pianistique vaut le déplacement vient de temps en temps, trop rarement, éclairer la platitude. (NB : j'essaye de rester honnête : quand c'est bien, on dit ''c'est bien''... Mais quand c'est moche... il faut savoir reconnaître que c'est moche !)
  Je ne me permets pas de juger la foi des participants. Cependant, on sait qu'il n'est pas possible de séparer le fond de la forme, et donc la Foi du Rite... Comme nous le répétait mon vieux prof de philo, ''prenez une bouteille de vin, et séparez la forme du fond : il n'y a plus qu'une grosse tache sur le tapis'' ! Il ne se peut pas que, sur le long terme, ces sermons le plus souvent inintéressants n'aient pas un effet pervers sur l'assistance dominicale : il s'agit du même texte, pour toutes les églises, pour tous les publics et tous les âges, en général écrit à Paray-le-Monial par des professionnels du texte au kilomètre. Exception : hier matin (22 mars 2020) dans l'émission ''Le Jour du Seigneur'', un jeune dominicain, le frère Yves Combeau, a été brillant, et cela m'a interpellé : depuis combien de temps n'avais-je pas entendu un vrai sermon, improvisé par un officiant qui jette toute sa foi et tout son cœur dans un acte dont on sort comme transformé par la Grâce ?         Comment les églises pourraient-elles être remplies --même en célébrant dans une paroisse sur 4 ou 5 pour regrouper des fidèles qui, malgré cet artifice, vont s'amenuisant ? Comment s'étonner que les enfants s'y ennuient (c'est un grand débat quotidien dans ''La Croix'') ? (NDLR : je ne me souviens pas de m'être ennuyé dans une église, enfant : c’était beau, c’était intéressant, on savait tous les chants, et on avait l'impression de participer à une chose plus grande que nous !).
  Dans les grandes vérités éternelles que Vatican II a oubliées, il y a celle-ci : la beauté d'un office tient aussi à son mystère, ''à sa pompe'' et à des rituels (peut-être étranges, mais justement !). Chez les orthodoxes, à la Synagogue, les chants sont profonds et beaux et ne changent pas tout le temps, les ministres du culte suivent des cours de chant, de ''parole'', d'harmonie, de ''microphonie''. Le Muezzin de la  grande mosquée d'Istanbul, la Süleymaniye Çamii, est sélectionné sur sa voix.         Et là où les catholiques ont abandonné tout usage du latin (devenu synonyme de rébellion ! C'est ridicule !), on est bien obligé de constater que le succès de l'islam tient largement à l'utilisation d'une langue vétéro-arabe incompréhensible des indonésiens, des iraniens, des malais, des bosniaques, de mes amis ''chleuhs'', qui parlent t'Amazight... mais même d’une majorité des arabophones d'aujourd'hui...
  En ces temps où l'obscurantisme progressiste tient inexplicablement le haut du pavé en Europe, on constate que ‘‘les Ecritures’’ restent le meilleur moyen de comprendre ce qui se passe ''pour de vrai'' : elles seules intègrent la diversité et la fragilité de l'âme humaine dans la description du ''réel''. Leur (re-) lecture permet de découvrir des rapports insoupçonnés entre les crises économiques, la montée d'un islam guerrier, l'explosion de pandémies incontrôlables ou l'épuisement de la Planète que nous n'avons pas su gérer comme la Genèse nous recommandait de le faire (dès le verset 2 du premier chapitre... Nous en reparlerons). Alors qu'il serait si simple et si facile de ''corriger le tir'', nous tournons le dos à notre futur... 
H-Cl.
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