#8 juin 2015
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lesgenouxdanslegif · 6 months ago
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GEANT.
IL Y A UN AN, LA PLUS GRANDE PERFORMANCE FÉMININE DE L’HISTOIRE DU TRAIL. Western States, 25 juin 2023, le chef-d’œuvre d’une vie pour la présidente Courtney Dauwalter.
• 1). 15h29’34’’ pour 161 bornes et 5500m D+, soit 10,4 km/h de moyenne.
• 2). 6ème place au scratch à 20 minutes du podium, 7 minutes et 35 secondes devant Mathieu Blanchard (7ème).
• 3). 49 minutes de retard seulement sur le vainqueur au scratch, Tom Evans. Soit un écart de seulement 5,6%.
• 4). Record de l’épreuve explosé d’1h18.
• 5). 1h14 d’avance sur la deuxième Katie Schide qui pourtant réalise une course stratosphérique puisqu’elle a aussi effectué une clé de bras au record.
• 6). Avec 15h29, Courtney aurait gagné la course AU SCRATCH en 2017, 2016, 2014, 2011, 2009, 2007, 2006…
• 7). Avec 15h29, elle fait mieux que la légende Scott Jurek lors de ses 7 victoires (7 de suite, gros délire ça aussi).
• 8). Avec 15h29, elle fait mieux que Kilian Jornet quand il avait gagné la course en 2011 (15h34).
• 9). Avec 15h29, elle fait mieux que les trois meilleurs français sur cette course : Mathieu Blanchard (15h37, en 2023), François D'haene (15h54, en 2018) et Thomas Lorblanchet (15h56, en 2015).
• 10). 0, comme le nombre de pacer qui a accompagné la présidente. « Mieux vaut être seule que mal accompagnée », paraît-il.
Courtney on t’aime.
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Photo Alexis Berg
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gogmstuff · 1 year ago
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Images of 1910 in Fashion -
According to Wikipedia, "Geneviève Lantelme (born Mathilde Hortense Claire Fossey, 20 May 1883 – 24/25 July 1911) was a French stage actress, socialite, fashion icon, and courtesan. Considered by her contemporaries to be one of the most beautiful women of the Belle Epoque..."
1910 (November) Geneviève Lantelme in Paquin dress photo by Auguste Bert Le Théatre no. 286. From Wikimedia; fixed spots w Pshop 2489X3663.
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Left 1910 (Juin) Lantelme by Félix. From Wikimedia 1947X2868,
Right 1910 (june) Lantelme in Jeanne Lanvin dress photo by Félix Les Modes. From verbinina.wordpress.com/page/8/; fixed spots w Pshop 1864X2522.
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1910 (November) Femina cover Geneviève Lantelme wearing fur. From Wikimedia 1654X2068.
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According to Wikipedia, "Joaquín Sorolla y Bastida (Valencian: Joaquim Sorolla i Bastida, 27 February 1863 – 10 August 1923)[a] was a Spanish Valencian painter. Sorolla excelled in the painting of portraits, landscapes and monumental works of social and historical themes. His most typical works are characterized by a dexterous representation of the people and landscape under the bright sunlight of Spain and sunlit water." He painted several portraits of his wife Clotilde and at least one of daughter Elena. He portrayed people on the beach in white or dressed in traditional black.
Left 1910 Clotilde con perro y gato by Joaquín Sorolla y Bastida (Museo Sorolla). From joaquin-sorolla.blogspot.com/2009/06/clotilde-sentada_04.html 1000X1600.
Right 1910 Clotilde con sombrero negro by Joaquín Sorolla y Bastida (Museo Sorolla - Madrid, Spain) photo - Ramón Muñoz. From the photostream of Ramón Muñoz on flickr; fixed spots & wrinkles w Pshop 1122X1732.
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Left 1910 Clotilde con traje de noche by Joaquín Soroola y Bastida (Museo Sorolla - Madrid, Spain). From joaquin-sorolla.blogspot.com/2014/10/clotilde-con-traje-de-noche_5.html?m=1 1112X1600.
Right 1910 Clotilde sentada en un sofá by Joaquín Sorolla y Bastida (Museo Sorolla - Madrid, Spain). From Wikimedia; fixed spots w Pshop 1168X1932.
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1910 Elena (Sorolla) con sombrero negro by Joaquín Sorolla y Bastida (private collection). From joaquin-sorolla.blogspot.com/2015/08/elena-con-sombrero.html?m=1 1198X1594.
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Left 1910 Comtesse de la de la Maitrie in equestrian dress by Charles Albert Walhain (private collection) From liveinternet.ru/journalshowcomments.php?jpostid=319050317&journalid=4507805&go=prev&categ=0 950X1679.
Right 1910 Erzherzogin Maria Therese by H. C. Kosel. From eBay; removed mono-color tint 675X1061.
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Left 1910 Lady Elsie Duveen, née Salamon by François Flameng (Ferens Art Gallery - Kingston upon Hull, East Riding of Yorkshire, UK). From artrenewal.org/artists/francois-flameng/158 2016X2610 @144 4.9Mp.
Right 1910 Madame Von Bodenhausen avec son enfant Luli by Theo van Rysselberghe (private collection). From the discontinued Athenaeum Web site 721X889.
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jojobegood1 · 1 year ago
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🇨🇵⚠️💘🐕⚠️ URGENTISSIME ADOPTEZ SVP ⚠️
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aurevoirmonty · 2 years ago
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Monsieur le Président,
Je vous écris de la prison d’Édimbourg, en Grande-Bretagne, où je suis détenu depuis le 10 novembre dernier. Le 8 juin 2023, la justice écossaise se prononcera sur mon extradition que la France réclame afin de me faire purger une peine de prison à laquelle j’ai été condamné en juin 2015.
Quel délit ai-je commis pour qu’on me pourchasse encore après plus de sept ans ? Ai-je braqué une banque, fraudé le fisc massivement, violé ou tué ? Non, j’ai diffusé sur YouTube une vidéo révisionniste — vous diriez : “négationniste” — dans laquelle je dénonçais l’embrigadement politique de la jeunesse au nom du « devoir de mémoire ». J’exposais plus particulièrement les contre-vérités qui lui étaient enseignées à propos d’Auschwitz. Pour cet exposé de moins d’une heure, la justice française m’a infligé un an de prison ferme. J’ai alors fui en Angleterre.
Le révisionnisme n’étant pas un délit au Royaume-Uni, afin d’obtenir mon extradition, les autorités françaises n’ont pas hésité à mentir : elles ont lancé un mandat d’arrêt européen prétendant que j’avais été condamné pour « racisme/xénophobie », un délit qui rend l’extradition automatique. La justice écossaise flairant la manœuvre, Paris a dû lancer un deuxième mandat d’arrêt, en vertu de trois plaintes déposées contre moi, dont une pour « provocation publique à la haine ».
Dans une vidéo diffusée en 2020, j’aurais prêché l’antijudaïsme. Pour l’alléguer, les autorités judiciaires ont extrait 31 secondes d’un exposé de 45 minutes ! Je répondais à un spectateur selon lequel l’extermination des Juifs serait un « mal nécessaire ». Après avoir souligné qu’un « mal nécessaire » était une contradiction morale, j’expliquais pourquoi exterminer les Juifs ne servirait à rien, ceux-ci ne faisant que révéler des dysfonctionnements dont souffriraient nos sociétés et dont nous étions les premiers responsables. Les 31 secondes extraites résument cette opinion : elles ne sauraient constituer un appel à la haine des Juifs.
Le visionnage de toute la vidéo le confirme. Je note d’ailleurs qu’en trente ans de militantisme, je n’avais jamais été poursuivi en vertu de la loi dite “antiraciste”. Pour une raison très simple : je ne suis pas “raciste” dans le sens donné aujourd’hui à ce mot (un “raciste” prônerait la haine raciale). De plus, je me déclare judéo-indifférent. Autrement dit : je n’éprouve ni sympathie ni antipathie pour ce peuple composé — comme tous les peuples — de gens très différents.
Ces poursuites abusives pour « provocation publique à la haine » sont une nouvelle manœuvre tentée par la France qui se démène pour obtenir mon extradition. L’objectif final est de me jeter en prison et de m’y maintenir le plus longtemps possible afin de me réduire au silence.
Quel aveu, Monsieur le Président ! Je ne pouvais espérer, de la part de vos autorités, une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux. En effet, comparons les forces en présence :
d’un côté, la France dotée de multiples musées mémoriaux : le Mémorial de la Shoah à Paris, le Musée de la Déportation à Lyon, le Mémorial de Caen, le Centre de la Mémoire d’Oradour à Oradour-sur-Glane, sans compter les dizaines de « livres de mémoire » à travers tout le pays, auxquels viennent s’ajoutent les programmes scolaires (la Shoah en primaire, au collège et au lycée), les « voyages pédagogiques » au Struthof, à Oradour ou à Auschwitz, les « passeurs de mémoire », les films, les émissions, les livres, les témoins dans les établissements scolaires, car le « devoir de mémoire » bénéficie de milliers de voix — toutes conformes à l’histoire officielle — et d’un financement qui atteint les millions d’euros.
en face de cela, un homme quasiment seul, qui ne dispose d’aucune subvention, seulement des dons venus de son public restreint (deux ou trois milliers de personnes tout au plus) ; qui, pour vivre, donne des cours particuliers ; il diffuse ses travaux à compte d’auteur et vend ses ouvrages au compte-gouttes, car aucun éditeur n’accepte de publier ses recherches ; qui, chassé de toutes les grandes plateformes de partage, publie ses vidéos dans les catacombes d’Internet — à savoir, une chaîne Gab et un blogue aux États-Unis d’Amérique.
Tels sont donc les éléments en présence, que l’on pourrait dépeindre ainsi : face à une immense chorale qui chante à tue-tête accompagnée d’un orchestre assourdissant, un homme seul, muni d’un cône en papier dérisoire en guise de porte-voix. Toutefois, pour les autorités françaises, c’est encore trop : il faut faire taire cet homme seul en le saisissant à tout prix et en le jetant en prison ! Un premier mandat d’arrêt ne suffisant pas, elles en lancent un deuxième après avoir déposé trois plaintes supplémentaires. Oui, vraiment, je ne pouvais espérer une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux.
Vous alléguerez sans doute, Monsieur le Président, que la répression à mon encontre a une tout autre cause : mes thèses, direz-vous, offensent les victimes et peuvent conduire certains éléments fragiles de la population à perpétrer des actes “racistes”. Je répondrai que c’est faux, pour deux raisons.
Je n’ai jamais nié l’effroyable tragédie vécue par les gens présents à Oradour-sur-Glane le samedi 10 juin 1944. Je n’ai jamais nié le drame que fut la déportation précipitée, en pleine guerre, de millions de gens, parmi lesquels des femmes, des enfants, des vieillards, des affaiblis et des handicapés. Si les fouilles menées depuis vingt-cinq ans dans les camps de Treblinka, Sobibor, Belzec et Chelmno n’ont pas permis de découvrir des chambres à gaz, elles ont en revanche contribué à la mise à jour de nombreuses fosses communes improvisées. Ces fosses, je n’en ai jamais contesté l’existence. Elles contiennent les corps de dizaines de milliers de Juifs morts dans les trains ou euthanasiés à leur arrivée, parce que blessés, malades ou trop affaiblis pour aller plus loin vers l’Est. De nombreux récits corroborent ces constats matériels. Dans plusieurs vidéos, j’en ai cité, sans les contester ni les rejeter. S’y ajoutent les conditions de vie dans les ghettos surpeuplés et parfois mal ravitaillés en Pologne ou à l’Est : elles firent de nombreuses victimes que j’ai également mentionnées. Viennent enfin tous les déportés morts dans les derniers mois de la guerre lorsqu’au sein d’une Allemagne laminée par les bombardements, la situation à l’intérieur des camps se détériora (surpopulation, manque de médicaments, ravitaillement insuffisant). Les photos effroyables prises à la libération de Buchenwald, de Dachau, de Vaihingen ou de Bergen-Belsen, je les ai montrées à de multiples reprises, sans jamais les qualifier de montages. Personne, donc, ne peut prétendre honnêtement que j’offenserais la mémoire des victimes en niant leur mort ou les circonstances terribles de leur décès.
quant à mener certaines personnes à commettre des actes “racistes”, ma réponse sera simple : depuis trente ans que je diffuse mes travaux, aucune agression n’est à déplorer, dont je me serais révélé être l’inspirateur.
Cependant, allons plus loin. Oui, admettons que mes exposés puissent conduire une poignée de personnes fragiles à perpétrer des violences “racistes”. Faut-il pour autant priver toute la population de certaines vérités historiques en sanctionnant leur diffusion publique ? Assurément non !
Toutefois, j’entends déjà votre réplique, Monsieur le Président : « Pays de la liberté de recherche, à France n’interdira jamais la diffusion de vérités scientifiquement établies. Avec les négationnistes toutefois, il n’est pas question de vérités, mais de mensonges réfutés par les témoins fiables et une cohorte d’historiens accrédités. Vous êtes bien présomptueux, Monsieur Reynouard, de prétendre avoir raison contre ces gens. »
En réalité, je ne suis pas plus orgueilleux qu’un enquêteur persuadé d’avoir élucidé une affaire malgré les dénégations des inculpés et de leurs avocats. Pourquoi ? Parce que d’Oradour à Auschwitz, j’ai adopté les méthodes traditionnelles utilisées dans des enqu��tes criminelles.
Je me suis rendu sur place afin d’examiner la scène du crime allégué ;
j’ai effectué des constats matériels afin de comprendre ce qui a pu se passer ;
j’ai vérifié les récits recueillis (témoignages et aveux) en les confrontant aux constats matériels et en analysant leur cohérence interne ;
j’ai complété mes recherches avec l’étude de documents utiles. En résumé, j’ai établi la matérialité des faits.
Ai-je tort dans mes conclusions ? Débattons-en loyalement, chaque partie pouvant librement s’exprimer et déposer ses documents sur la table. Cette confrontation à armes égales, j’y suis prêt. Je la réclame même.
Vous m’objecterez qu’on ne débat pas d’Histoire avec une personne dénuée de toute formation d’historien. Dois-je en déduire, Monsieur le Président, qu’un non-historien ne saurait intervenir dans une question d’Histoire ? Voilà trente ans toutefois, en 1993, le CNRS publia un ouvrage intitulé : Les Crématoires d’Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse.
La presse l’encensa, affirmant qu’il réfutait définitivement les thèses révisionnistes. Or son auteur, Jean-Claude Pressac, était… pharmacien de profession. Plus révélateur encore : l’homme considéré jusqu’à sa mort comme l’expert numéro un de l’Holocauste, Raul Hilberg, n’était pas, lui non plus, historien de formation. Je pourrais également citer Robert Jan Von Pelt, Jean-Jacques Fouché ou Guy Pauchou (pour Oradour). Preuve que des non-historiens peuvent intervenir dans des questions d’Histoire.
Certains de mes contradicteurs — Gilles Karmasyn par exemple — prétendent me réfuter, mais sans jamais accepter le débat. Ils sont comparables à des boxeurs qui, seuls sur le ring, donneraient des coups de poing dans le vide avant de lever les bras en criant : « J’ai gagné ! Il est KO. » À celui qui s’étonnerait de l’absence de l’adversaire, ils répondent : « Voyons ! On ne boxe pas avec un non-boxeur ». Prétendre qu’on ne débat pas d’Histoire avec un non-historien est une dérobade pitoyable.
Certes, je n’ai aucune formation en la matière, mais à Auschwitz et à Oradour, les SS sont accusés d’avoir massacré des innocents. Il s’agit donc d’affaires criminelles. Le fait que les meurtres allégués auraient été commis dans le passé ne modifie pas la nature de la question, donc ne change en rien les méthodes d’enquête. Or, je le répète, j’applique scrupuleusement ces méthodes.
En voulez-vous la preuve ? Voici : à Birkenau, les SS auraient aménagé des chambres à gaz homicides dans quatre grands crématoires. La plus meurtrière — 400 000 victimes alléguées — se serait trouvée dans le Krema II. Les SS auraient déversé le Zykon B par quatre orifices carrés pratiqués dans le toit. Les granulés mortels seraient tombés le long de quatre colonnes grillagées fixées solidement au sol et au plafond. Bien que le crématoire ait été dynamité, le toit, partiellement effondré, subsiste. L’ayant inspecté du dessus et du dessous, je n’ai vu nulle trace ni d’un quelconque orifice d’introduction ni d’une fixation de colonne grillagée. Rien.
Certes, en 2004, trois chercheurs indépendants (MM. Keren, McCarthy et Mazal) prétendirent avoir localisé trois des quatre trous ; mais les autorités du Musée d’Auschwitz n’ont jamais osé invoquer leur étude. Sept ans plus tard d’ailleurs, le directeur du Musée préfaça un Guide historique d’Auschwitz dans lequel les deux auteurs prévenaient qu’il était vain de rechercher l’emplacement exact de ces orifices fantomatiques. Depuis, rien n’a changé.
En cas de débat avec un historien, je porterais tout d’abord la discussion sur ce sujet. Je proposerais que l’on se rende ensemble sur les lieux, à la recherche des trous allégués ainsi que des traces des colonnes grillagées. Je profiterais de notre présence sur le site pour demander à mon contradicteur s’il peut me montrer des traces bleues sur le mur ou au plafond de la « chambre à gaz ».
Au printemps 1943, en effet (date du début des gazages massifs dans les crématoires d’après la chronologie officielle), la structure venait d’être construite. Par conséquent, les maçonneries étaient alcalines. L’acide cyanhydrique prétendument utilisé par les SS pour gazer en masse aurait pénétré en partie dans les matériaux humides (briques, plâtres, béton). Il s’y serait dissocié pour former un pigment à base de ferrocyanures : le Bleu de Prusse.
Très stable, résistant aux rayons lumineux et aux intempéries, les murs et le plafond de la pièce présentée comme ayant servi de chambre à gaz devraient en contenir encore aujourd’hui. Aussi devrait-on y voir des traces bleues plus ou moins larges. Toutefois, l’historien serait dans l’impossibilité de m’en montrer une seule. Prétendrait-il que ce pigment ne peut se former dans une pièce non chauffée ? Je lui démontrerais le contraire. Sur les plans originaux du crématoire, cette salle est désignée comme une morgue. Tout démontre qu’elle a été utilisée à cette fin, sans jamais avoir été reconvertie en chambre à gaz homicide.
« No Hole No Holocaust » (pas de trou, pas d’Holocauste), répétait le professeur Faurisson depuis 1994. Il avait raison, car sans ces trous, les 400 000 victimes alléguées de cette chambre à gaz sont imaginaires. Tous les témoignages et les aveux n’y changeront rien.
Les antirévisionnistes nous demandent : « si les millions de Juifs n’ont pas été exterminés, alors où étaient-ils passés en 1945 ? » Pardon, mais c’est inverser la charge de la preuve. C’est aux antirévisionnistes de démontrer que les Juifs auraient été exterminés systématiquement, parmi lesquels trois millions auraient péri dans des chambres à gaz.
D’après l’Histoire officielle, Auschwitz-Birkenau aurait été le centre de cette extermination par gaz (près d’un million de victimes). La chambre à gaz du Krema II aurait été la plus meurtrière (40 % des asphyxiés). C’est donc elle qu’il faut examiner en premier. Où sont les orifices d’introduction du Zyklon B ? Historiennes et historiens, montrez-les nous, qu’on en discute. Et où sont les traces bleues ? Il est vrai qu’une formation en chimie est nécessaire pour comprendre l’importance de leur absence. Titulaire d’un diplôme de chimie organique, je suis donc mieux placé qu’un historien pour conclure.
Il en va de même à Oradour. Les Waffen SS sont accusés d’avoir massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants dans l’église du village. Ils auraient tenté de les asphyxier avant de les mitrailler, puis d’incendier le bâtiment. L’incendie généralisé aurait transformé le lieu saint en four crématoire, et de très nombreux corps auraient été réduits en cendres. Dans cette affaire, des notions en diffusion de la chaleur, en rayonnement et en résistance des matériaux se révèlent nécessaires.
Mes études m’ayant conduit à étudier ces matières, j’ai mis mes connaissances à profit pour expertiser l’église. Cette expertise fait l’objet d’un chapitre entier de mon ouvrage paru en décembre 2022 : Oradour, le cri des victimes. J’en conclus que l’histoire officielle est fausse : les femmes et les enfants sont morts dans des explosions qui ont ébranlé tout l’édifice. Comment suis-je parvenu à cette conclusion ? Voici :
La préservation du mobilier en bois (le confessionnal dans la chapelle de la Vierge et l’autel de la chapelle Saint-Joseph) dément la thèse de l’incendie généralisé ;
La fusion partielle des cloches (des parties totalement fondues, d’autres intactes au point de montrer encore les motifs qui y étaient gravés) démontre que l’événement destructeur fut très rapide et très bref, en un mot, une explosion ;
L’observation des coups portés à la fine sphère en laiton sous la croix faîtière confirme que le phénomène destructeur fut accompagné d’un souffle puissant.
S’y ajoute l’état des corps retrouvés dans l’église ou à côté : ils ne sont pas carbonisés, mais déchiquetés, avec les habits intacts, comme après un bombardement.
Viennent enfin les récits racontés par la femme présentée comme l’unique rescapée de l’église, Marguerite Rouffanche. Quelques semaines après le drame, par deux fois en novembre 1944, puis une fois janvier 1953 (au procès des Waffen SS) et une encore une fois en 1969 (pour la télévision), elle témoigna. L’étude comparative des différentes versions fait apparaître des contradictions insurmontables et des impossibilités matérielles manifestes.
Fin juin 1944 ainsi, Madame Rouffanche affirma que le massacre de l’église avait commencé avec une « caisse » apportée par deux Waffen SS. L’engin n’avait pas explosé, il avait uniquement dégagé une épaisse fumée noire.
Quelques mois plus tard toutefois, les voûtes de la nef de l’église s’effondrèrent, attestant que l’édifice avait été ébranlé sévèrement. Pour l’expliquer, il fallait invoquer une explosion : le 16 novembre 1944, Madame Rouffanche opéra donc un virage à 180 degrés et prétendit que la “caisse” avait été le siège d’une « petite détonation ».
Toutefois, c’était insuffisant pour expliquer l’ébranlement de ce bâtiment fortifié. Deux semaines plus tard, « l’unique rescapée » changea encore sa version : elle allégua que l’engin avait explosé fortement. Ce témoignage devint le récit officiel, publié partout, cependant que celui du 16 novembre resterait à l’abri des regards, dans les archives militaires fermées au public.
Aux contradictions s’ajoutent des impossibilités manifestes. En particulier, la fuite de Mme Rouffanche hors de l’église, en se hissant jusqu’à un vitrail puis en sautant de quatre mètres de haut sur un plan fortement incliné sans s’occasionner la moindre blessure, un exploit impossible pour une femme de 46 ans.
Dans l’affaire d’Oradour, tout trahit le mensonge improvisé maladroitement. M’appuyant sur les constats matériels, sur les documents et sur des témoignages ignorés, j’affirme qu’un dépôt clandestin de munitions se trouvait sous les combles de l’église, au-dessus des voûtes.
Dans quelles circonstances a-t-il été mis à feu ? Tant que les archives militaires seront fermées aux chercheurs indépendants, aucune réponse certaine ne pourra être avancée. Toutefois, à supposer que, l’ayant découvert, les Waffen SS l’aient fait sauter pour tuer les femmes et les enfants, dès 1944, le fait aurait été révélé : Oradour-sur-Glane aurait été présenté comme un village héroïque dans sa résistance à l’Occupant, victime d’une vengeance abominable des “nazis”. Voilà pourquoi je reste persuadé que les Waffen SS ne portent aucune responsabilité directe dans le déclenchement de la tragédie de l’église.
Ayant découvert que le bâtiment servait à la Résistance locale (qui y cachait des pilotes alliés tombés en France et pris en charge par le réseau d’évasion « Comet Escape Line »), ma thèse est la suivante.
Le 10 juin 1944, des maquisards s’étaient réfugiés dans l’église, avec leurs munitions. En effet, les Waffen SS ayant cerné le village, il était impossible de fuir. Dénoncés par deux collaborateurs vivant dans le bourg (cf. le témoignage de Mathieu Borie enfin publié dans son intégralité), ils firent exploser le dépôt de munitions afin de couvrir leur fuite par une porte latérale qui donnait sur la sortie de l’agglomération. Ils n’avaient pas prévu que les explosions se propageraient au clocher, provoquant la destruction de la voûte fragilisée par la présence de l’oculus. Les gaz surchauffés se répandirent dans la nef, entraînant des débris qui mutilèrent les gens présents.
À Oradour, comme à Auschwitz, mes constats matériels sont indéniables, mes analyses, méticuleuses, et mes arguments, rationnels. Loin de toute considération idéologique, je reste sur le terrain des faits. D’où cette volonté et cet acharnement à me faire taire, les autres raisons invoquées relevant de prétextes fumeux.
La France parviendra-t-elle à me faire extrader ? Peut-être, mais il est trop tard : j’ai diffusé mes travaux sur Internet et j’ai pu de justesse — avant mon arrestation le 10 novembre 2022 — finir mon ouvrage sur Oradour. Depuis janvier dernier, il est en vente.
Voilà une trentaine d’années, tout jeune révisionniste, j’avais été invité chez les Faurisson. Un matin, je discutais dans la salle de travail ; je soulignais que nos adversaires disposaient de moyens financiers et répressifs. Le professeur Faurisson se lavait dans la salle de bain attenante. À ces mots, il entrebâilla la porte et, passant la tête, il lança : « Oui, mais nous, on dort tranquille. »
C’était vrai à l’époque, ça le reste aujourd’hui : dans ma cellule à Édimbourg, je dors tranquille, car ayant semé des graines de vérités historiques, j’ai accompli mon devoir. Désormais, mon destin personnel n’a plus aucune importance. La France que vous représentez peut s’acharner à me faire extrader pour m’emprisonner. Quand on dresse le bilan des forces en présence, son acharnement apparaît comme un aveu : l’aveu que j’ai raison et que mes travaux sont importants. Oui, vraiment, je dors tranquille, et plus vos sbires s’acharneront, plus je dormirai tranquille.
Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes sentiments choisis.
Vincent Reynouard
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earaercircular · 2 years ago
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The Recyclerie sportive in Lyon is in great shape
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In the Duchère district, it is a booming business that is developing in premises of 300 m² dedicated to the repair and sale of sporting goods to raise awareness of zero waste sport.
La Recyclerie sportive[1], a national association for the collection, recycling, reuse and resale of second-hand sports equipment, has nine branches in the country. The one in Lyon opened in August 2021 on Avenue du Plateau, the shopping street of the Duchère district[2]. For Alexandra Pinto, manager and creator of this boutique-workshop-activity space, the establishment in the heart of this popular eco-district well equipped with sports equipment was “meaningful and obvious”. Among the main objectives of La Recyclerie is the promotion of sport for all and of responsible and zero waste sports activities.
Renew, repair, mend
La Recyclerie is primarily a shop selling sports, technical and textile equipment, donated by individuals, companies (unsold items, customer returns, defective items) but also partner sports structures, including the Lou Rugby club and climbing halls. “The material that we recover – four tonnes over the first four months of 2023 – is generally in good condition, thanks to the awareness of our donors and the organisers of collection points: we achieve a reuse rate of 75%, after sorting and possible repair”, says Alexandra Pinto. The selling prices of the products are deliberately very low, accessible to all but subject to an annual subscription of 5 euros.
However, La Recyclerie is much more than just a solidarity shop. It organises sports equipment co-repair workshops in its 300 m² premises, two afternoons a week: for a subscription of 15 to 25 euros (including the support of a technician, the provision of tools and spare parts and access to the shop), individuals can come and change the brakes or adjust the gearing system of their bike, renew the strings of their racket, repair their rollerblades or their scooter, mend their kimono or their torn football shirt… The branch also hosts the distribution of organic baskets from Amap de la Duchère[3], created by residents, as well as yoga classes.
Zero waste sports
Place of life and activities, with 1,150 members who live or work for the majority of them in the district, the Recyclerie employs two employees and two work-study students and benefits from the skills of volunteers. The structure is booming, with a third employee being recruited, particularly in the face of strong demand for outsourced workshops: manufacture of everyday or decorative objects from recovered sports equipment, workshops to learn how to extend the lifespan of its means of mobility, awareness of zero waste and anti-waste sport...
“Much remains to be done, our promotion of a circular economy is far from convincing the majority of Lyonnais,” smiles Alexandra Pinto. She works on a strong link with recycling centres, where too much unused equipment still ends up and calls for a change of mentality, an alternative to buying new: "Second-hand is neither poor quality nor dirty, but a real way to equip yourself!”
Source
François Carrel, A Lyon, la Recyclerie sportive en grande forme, in : Libération, 8-05-2023 ;
[1] https://recyclerie-sportive.org/  Le projet de la Recyclerie Sportive est né en juin 2015 de la rencontre de deux acteurs, respectivement du milieu du sport et de la gestion des déchets. Inscrite dans l’économie circulaire, la Recyclerie Sportive fournit des biens et des services de manière durable, en limitant la consommation et le gaspillage de ressources (matières premières, eau, énergie) ainsi que la production des déchets. Il s’agit de rompre avec le modèle de l’économie linéaire (extraire, fabriquer, consommer, jeter) pour aller vers un modèle économique « circulaire » dans le domaine du sport. L’association a pour but de favoriser l’accès au sport à tous et de prioriser le développement de l’emploi local et l’insertion professionnelle de personnes en difficultés.
Les fondateurs ont repensé les problématiques environnementales du sport afin d’y apporter des solutions : comment chacun peut agir pour réduire son impact sur l’environnement, même dans le domaine du sport ? Comment le sport peut-il faire converger les consciences vers un développement soutenable et respectueux de son environnement ? Parmi toutes les problématiques sociales et environnementales du sport, trois majeures ont été relevées :
– les déchets sportifs
– le « fast sport » et les moyens de transport énergivores
– l’accès au sport pour tous.
[2] La Duchère is an eco-district of Lyon and a concerted development zone of approximately 120 hectares located in the 9th arrondissement. The district of La Duchère, labelled eco-district in 2013 located on the 3rd hill of Lyon in terms of altitude, dominates the Saône by forming the plateau of West Lyonnais. The district is often defined as being the third hill of Lyon, after Fourvière and La Croix-Rousse.
[3] The AMAP, Association for the Maintenance of Peasant Agriculture, are solidarity partnerships between one or more peasants and a group of citizens. https://amap-aura.org/quest-ce-quune-amap/
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claudehenrion · 2 years ago
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Vieillir jeune...
  C'est souvent que les gens de ma génération, qui ont donc entre 85 et 95 ans, font des allusions --rarement ''que réjouissantes''-- à leur âge. A la question rituelle ''Comment vas-tu ?'', ma réponse unique –pour éviter d’avoir à répondre !-- est : ''Comme les jeunes !'', la provocation étant si évidente que le questionneur passe à autre chose...  Lorsque j'ai eu un de mes 2 cancers, je me plaignais un jour devant mon fils Emmanuel de la fatigue, de la lassitude, et de l'impression de ''ne plus en pouvoir'' qui sont une des conséquences de ce mal. Il m'a bloqué : ''Arrête, avec ton cancer ! Ta seule maladie, c'est ton année de naissance'', analyse que j'ai, depuis, faite mienne : du coup, je fais sans cesse des plans à 20 ans, sur tous les sujets !
Tout ça pour vous dire que l'Insee vient tout juste de publier une étude que je trouve passionnante (''1934'' oblige !) sur les centenaires français... Et comme tout être actuellement vivant peut être un candidat à cette modification de l'état civil qu'est le Centennat, je pense utile de la partager avec mes chers contemporains des deux sexes (car un des rares avantages qu'il y a a avoir notre très grand âge, c'est que personne ne vient nous titiller en nous susurrant vicieusement que, bien que vivant comme un homme depuis pas loin de 90 années, j'étais peut-être une ex-nana qui s'est ignorée tout ce temps-là, ou que mes amies d'enfance, par ailleurs arrières grand-mères comblées, pourraient être des mecs avec tous leurs défauts : sans hormones a-sexuantes et sans chirurgie castratrice, on laisse leurs idioties aux imbéciles qui se croient  révolutionnaires en proférant des insanités dystopiques.
La France, mes bien chers frères, qui va si mal dans la totalité de tous les autres domaines, cercles, secteurs, villes et villages, métiers, tranches d'âge, etc...  est et reste donc, cette année encore, une sorte de paradis pour ''vioques'', nous confirme l'INSEE : juste derrière le Japon, nous sommes bien installés sur le podium, avec plus de 30 000 centenaires en stock, et en progression notable... pendant qu'une partie de la jeunesse et nos ''actifs'' syndiqués foutent le pays en l'air en refusant de voir ce qui, pourtant, crève les yeux, et en psalmodiant des slogans ''hors sol'', de Bastille à Nation (Nous sommes les seconds en longévité, mais les premiers en connerie, ça c'est sûr !). Contre ce que dit la Gauche et ce que croient entre 70 et 90 % des français, nous caracolons, hardi, petit, devant l'Espagne, l'Italie et la Suisse... ce qui n'est pas rien. A titre de comparaison, les centenaires étaient 1610 en 1970, et... 16 288 en 2010 – soit presque un doublement entre 2010 et 2022 !
Un détail amusant : la progression a été régulière à (+ 8 %) par an... sauf de 2015 à 2019 où on a constaté une chute très nette... due (ont dit les démographes) au déficit de naissances qu'il y a eu entre 1914 et 1918. Autrement dit, je puis déjà vous annoncer qu'il y aura un déficit de centenaires en Russie et en Ukraine dans les années 2120 : jamais ce blog n'a mérité son nom Comprendre demain comme aujourd'hui ! Depuis, la courbe a repris sa pente, avec un (+ 15 %) régulier... qui aurait pu être plus élevé  –car rien n'est jamais simple-- sans un léger fléchissement  de la courbe pour cause de covid. (NB : il faut dire que, avec tout ce qu'on a fait subir aux vieux, rebaptisés ''les plus vulnérables d'entre nous'', ce qui a autorisé –soi-disant-- à les tuer en masse, via le confinement, la solitude, les intubations, le Rivotril obligatoire (le monstrueux décret du 29 juin 2020), le vaccin inapproprié et le masque inutile obligatoires, l’interdiction de sortir et/ou de recevoir la moindre visite etc, ils avaient toutes les raisons de quitter à jamais ce pays de dingos...).
Loin derrière notre fierté nationale Jeanne Calment et ses 122 anniversaires au compteur... (Jolie perf' !),  et derrière sa ''demoiselle d'honneur'' la religieuse Sœur Andrée –seulement 118 printemps recensés-- la moyenne de nos centenaires se situe à 103 ans et notre nouvelle doyenne, elle, n'a ‘’que’’ 112 ans... (NB : elle ne peut qu'améliorer son record personnel, ce que nous lui souhaitons, avec une immense tendresse). Mais le point sur lequel je voudrais insister, c'est que, en cas de continuité des conditions géopolitiques qui prévalent actuellement (c’est-à-dire en l'absence de guerre nucléaire, pour appeler les choses par leur nom), les projections relatives au nombre de nos centenaires, qui est actuellement de 0,04 % de la population française, devraient continuer à augmenter, en nombre et en pourcentage. Jusqu'à ce que, selon les Experts ès-vieillerie, le nombre de centenaires atteigne logiquement, voire dépasse les 76 000, soit 0,1 % de la population française, en 2040--et ça, c'est après-demain ! Mais ce n’est pas tout !
Les prévisions annoncent 156 623 centenaires en 2060 et 211 482 en 2070 (admirez la précision, illusoire, des chiffres !), et on comprend de moins en moins le néfaste combat d'arrière-garde de nos manifestants pour gagner ''epsilon %'' aux prochaines élections syndicales, d'autant plus que les démographes les plus optimistes parlent d'un véritable saut quantique, valable pour toutes les tranches d'âge, même après les 64 ans objets de toutes les fureurs  Pauvre France ! (NDLR: mon ‘’non-macronisme’’ revendiqué garantit que cette opinion est non-influencée).
On trouve aussi, dans cette étude, des considérations parfois surprenantes. Par exemple : 86 % de ces centenaires sont des femmes (elles sont bien plus malines que nous : c'est elles qui nous ont fait croquer la pomme... et nous ont fait trouver ''ça'' délicieux !).  Et ''in cauda chocolatum'' : plus de la moitié des centenaires vit ''à la maison'', et très grand âge n’est donc  plus toujours synonyme de dépendance, de naufrage, ou EHPAD... ce qui est une superbe nouvelle, reconnaissons-le.
Autre nouvelle, excellente pour les uns et atroce pour les autres : les suicides de vieux –quasiment absents des statistiques nécrologiques-- vont faire une entrée en fanfare (mais sans fanfare, en même temps ! ) dans la littérature obituaire, et ce, grâce à Macron, qui réussit, par le biais détourné d'une loi qui ouvre la porte à plein d'excès, à concrétiser son rêve : que son règne, chaotique et cahotique, laisse une trace dans l'histoire pour une raison autre que l'addiction quasi-pathologique au 49-3 ou que la californisation osée du 9-3 : pour que la mort des vieux devienne une option ''au choix'', surtout des héritiers. (On parie ?) (NB : à la condition que son suicide-par-un-autre soit comptabilisé en Suicides et non dans les Assassinats).
Car les Attali, Minc, Aurore Berger, Méchencon et tant d’autres de ces catastrophes ambulantes pour la France et les français, nous ont prévenus, cent fois, mille fois, que ces ''bouches inutiles'' que sont les vieux étaient en trop et de trop, et la Presse vendue est tombée dans leur piège mortel. Notre bêtise nous tuera, et il ne servira à rien d'écrire en lettres de sang ''Untel ma tuer''... comme on vient de le faire pour Hollande, sur le nucléaire : quand le mal est fait, ''après l'heure, c'est plus l'heure'' !
Couac il en soit (celle-là, je l'aime bien !), seul l'espoir fait... survivre, et demain nous appartient, chers amis octogénaires avancés –que je préfère qualifier de ''Onctueux-génaires'', et bientôt sans âge, puisque nous serons ''non-âgenaires'' en attendant notre ''Centennat-bon-pied-bon-oeil'' qui, si on en croit le poncif bien connu, n'a jamais été aussi près qu'aujourd'hui...  Haut les cœurs, ô mes frères futurs centenaires : la statistique et l'INSEE nous ouvrent tout grand le chemin !
H-Cl.
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nilzou-summary · 28 days ago
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Summary of my blogs
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Note
-> Ce sommaire existe aussi en français ici
-> This summary is also existing in its french (and original) version here
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Last post of the blog
Brest life – Street art and urbex thanks to a bitch (Posted on December 20 2024)
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2024 - Present
-> October 2nd 2024 - The first walk on the dole in Brest city in french Brittany (Posted on October 10th 2024)
-> October 3rd 2024 in the morning - Heading to Costou forest (Posted on October 16th 2024)
-> October 3rd 2024 afternoon - Passing along the Sables rouges beach in low tide (Posted on November 23 2024)
-> Friday 4 October 2024 afternoon - Sharing a journey in full awareness at the Abers ? (Posted on December 8 2024)
-> Brest life – Street art and urbex thanks to a bitch (Posted on December 20 2024)
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2015 - 2016 -> Trip in NZ
WARNING : The English text is just next to the french text in the same acticle. You will need to scroll down
-> 01 - June 6 2015 - Departure party (Posté le 18 juin 2015)
-> 02 - June 22 2015 - The departure day (Posted on july 7 2015)
-> 03 - June 24 2015 - First Neo-zealandese moments (Posted on July 7 2015)
-> 04 - June 30 2015 - Visit of Rangitoto (Posted on July 7 2015)
-> 05 - From July 3 to July 6 2015 - Frist road trip outside Auckland (Posted on july 7 2015)
-> 06 - Hobbiton Movie set (Posted on 8 july 8 2015)
-> 07 - Last moment in Auckland (Posted on July 15 2015)
-> 08 - From July 18 to July 26 2015 - Chill out at Raglan (Posted on july 27 2015)
-> 09 - From July 27 to August 15 2015 - From Raglan to Picton (Posted on August 17 2015)
-> 10 - From August 19 to August 25 2015 - Abel Tasman Coastal Track (Posted on September 1st 2015)
-> 11 - From August 25 to August 29 2015 - Little improvised treck next to Farewell split (Posted on September 17 2015)
-> 12 - From September 2 to September 10 2015 - Passing by the Franz Joseph glacier and Hokitika (Posted on October 25 2015)
-> 13 - From September 10 to ... - Road trip direction Wanaka (Posted on December 8 2015)
-> 14 - Wanaka (Posted on January 30 2016)
-> 15 - For my (fat) daddy (Posted on February 16 2016)
-> 16 - The people... my encounters -> No translation for this text (Posted on May 31 2016)
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actu-juridique · 1 month ago
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France, Conseil d'État, 10ème - 9ème chambres réunies, 29 novembre 2024, 476243
https://justifiable.fr/?p=2013 https://justifiable.fr/?p=2013 #10ème #9ème #chambres #Conseil #dÉtat #France #novembre #réunies Vu la procédure suivante : Mme E… A… D…, M. B… C… et la Confédération des syndicats des travailleurs Polynésie Force-Ouvrière (CSTP-FO) ont demandé au tribunal administratif de la Polynésie française, d’une part, d’annuler l’arrêté n° 7299 MAE de la ministre de la modernisation de l’administration de la Polynésie française du 7 août 2020 portant établissement du tableau d’avancement pour l’accès au grade d’attaché principal au titre de l’année 2018, d’autre part, d’enjoindre à la Polynésie française de prendre un nouvel arrêté dans un délai d’un mois, nommant notamment Mme A… D… et M. C… dans ce grade. Par un jugement n° 2000566 du 8 juin 2021, le tribunal administratif de la Polynésie française a rejeté leur demande. Par un arrêt n° 21PA05009 du 23 mai 2023, la cour administrative d’appel de Paris a rejeté leur requête d’appel. Par un pourvoi sommaire, un mémoire complémentaire et un mémoire en réplique, enregistrés les 24 juillet et 24 octobre 2023 et le 12 juin 2024 au secrétariat du contentieux du Conseil d’État, Mme A… D… et autres demandent au Conseil d’Etat : 1°) d’annuler cet arrêt ; 2°) de renvoyer l’affaire à la cour administrative d’appel de Paris ; 3°) de mettre à la charge de la Polynésie française la somme de 5 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Vu les autres pièces du dossier ; Vu : – la loi organique n° 2004-192 du 27 février 2004 ; – la délibération n° 95-221 AT du 14 décembre 1995 relative aux conditions générales de notation et d’avancement des fonctionnaires de la Polynésie française ; – la délibération n° 95-223 AT du 14 décembre 1995 relative à l’exercice du droit syndical dans la fonction publique du territoire de la Polynésie française ; – la délibération n° 95-226 AT du 14 décembre 1995 portant statut particulier du cadre d’emplois des attachés d’administration de la fonction publique du territoire de la Polynésie française ; – le code de justice administrative. Après avoir entendu en séance publique : – le rapport de Mme Sophie Delaporte, conseillère d’Etat, – les conclusions de M. Frédéric Puigserver, rapporteur public ; La parole ayant été donnée, après les conclusions, à la SCP Célice, Texidor, Perier, avocat de Mme A… D… et autres et à la SCP Doumic-Seiller, avocat de la Polynésie française ; Vu la note en délibéré, enregistrée le 19 novembre 2024, présentée par la Polynésie française ; Considérant ce qui suit : 1. Il ressort des pièces du dossier soumis aux juges du fond que Mme A… D… et M. C… sont attachés du cadre d’emploi de la fonction publique de la Polynésie française, grade dans lequel ils ont atteint le 7ème échelon, respectivement en 2015 et 2014. Ils bénéficient d’une décharge totale d’activité de service pour l’exercice d’un mandat syndical pour la Confédération des syndicats des travailleurs Polynésie Force-Ouvrière (CSTP-FO) depuis 2008. Ensemble avec la CSTP-FO, ils demandent l’annulation de l’arrêt du 23 mai 2023 par lequel la cour administrative d’appel de Paris a rejeté leur appel formé contre le jugement du 8 juin 2021 du tribunal administratif de la Polynésie française ayant rejeté leur demande tendant, d’une part, à l’annulation de l’arrêté du 7 août 2020 de la ministre de la modernisation de l’administration de la Polynésie française portant établissement du tableau d’avancement pour l’accès au grade d’attaché principal au titre de l’année 2018, d’autre part, à ce qu’il soit enjoint à la Polynésie française de prendre un nouvel arrêté portant établissement de ce tableau d’avancement et comprenant leurs noms. Sur le cadre juridique : 2. Aux termes de l’article 2 de la délibération n° 95-221 AT :  » Il est attribué chaque année à tout fonctionnaire en activité ou en service détaché, une note chiffrée suivie d’une appréciation générale exprimant sa valeur professionnelle. / Le pouvoir de notation appartient au chef de service, au président de l’autorité administrative indépendante, au tavana hau ou au directeur d’établissement public dont relève le fonctionnaire. / (…) « . L’article 14 de la même délibération dispose que :  » Pour l’établissement du tableau d’avancement, il doit être procédé à un examen approfondi de la valeur professionnelle de l’agent, compte tenu principalement des notes obtenues par l’intéressé et des propositions motivées formulées par l’autorité d’emploi. (…) « . 3. Aux termes de l’article 16 de la délibération n° 95-226 AT :  » Peuvent être nommés au grade d’attaché principal, après inscription sur un tableau d’avancement, les attachés ayant atteint le 7e échelon de leur grade. / Le nombre des attachés principaux ne peut être supérieur à 30% du nombre des attachés et attachés principaux « . L’article 21 de la même délibération dispose que :  » Les fonctionnaires appartenant au cadre d’emplois des attachés d’administration font l’objet d’une notation, chaque année, de la part de l’autorité territoriale compétente. / Leur valeur professionnelle est appréciée notamment en fonction de leurs aptitudes générales, de leur efficacité, de leur qualité d’encadrement et de leur sens des relations humaines « . 4. Aux termes de l’article 17 de la délibération n° 95-223 :  » Les décharges d’activité de service ne modifient pas la situation statutaire des fonctionnaires concernés. Ceux-ci demeurent en position d’activité dans leur emploi ou cadre d’emplois, et continuent à bénéficier de toutes les dispositions concernant cette position. / (…) / L’avancement des fonctionnaires bénéficiant d’une décharge totale de service pour l’exercice de mandats syndicaux a lieu sur la base de l’avancement moyen des fonctionnaires du cadre d’emplois auquel les intéressés appartiennent. / Par ailleurs, l’agent déchargé totalement de service peut être promu au grade supérieur lorsqu’il est titulaire du grade inférieur depuis un temps égal à celui qui a été, en moyenne, nécessaire aux agents de ce grade demeurés au service pour être promus. / (…) « . 5. Les dispositions citées au point 4 ont pour objet de garantir aux fonctionnaires bénéficiant d’une décharge totale d’activité de service pour l’exercice de mandats syndicaux un déroulement de carrière équivalent à celui des autres fonctionnaires du cadre d’emplois auquel ils appartiennent et visent à les prémunir contre des appréciations défavorables qui pourraient être liées à l’exercice de leur mandat syndical. Elles n’ont ni pour objet ni pour effet de soustraire ces fonctionnaires aux procédures d’avancement qui s’appliquent à tous les fonctionnaires, et de reconnaître à ceux d’entre eux dont l’ancienneté de grade excède l’ancienneté moyenne des agents titulaires du même grade, un droit automatique à l’avancement au grade supérieur, qu’aucun principe ni aucune disposition ne garantit aux fonctionnaires de la Polynésie française, quelles que soient leur situation et leur manière de servir. 6. Par ailleurs, aux termes de l’article 64 de la loi organique du 27 février 2004 portant statut d’autonomie de la Polynésie française :  » Le président de la Polynésie française (…) / (…) est chargé de l’exécution des actes prévus à l’article 140 dénommés  » lois du pays  » et des délibérations de l’assemblée de la Polynésie française et de sa commission permanente. Il exerce le pouvoir réglementaire pour l’application des actes du conseil des ministres. / Il dirige l’administration de la Polynésie française (…) « . Sur le pourvoi : 7. Il résulte des dispositions énoncées aux points 2 à 4 que les fonctionnaires en situation de décharge totale d’activité de service pour l’exercice d’un mandat syndical demeurent en position d’activité dans leur cadre d’emploi et continuent à bénéficier de toutes les dispositions concernant cette position, qu’à ce titre, ils doivent faire l’objet d’une notation annuelle et que, lorsqu’ils sont promouvables au grade supérieur, cette notation doit être prise en compte pour l’établissement du tableau d’avancement. 8. Dès lors, pour assurer la mise en œuvre de ces règles résultant de la lecture combinée des délibérations n° 95-221 AT, 95-223 AT et 95-226 AT citées aux points 2 à 4, le président de la Polynésie française pouvait compétemment, dans le cadre de ses compétences définies par l’article 64 de la loi organique cité au point 6, préciser les modalités de la notation des fonctionnaires bénéficiant d’une décharge totale d’activité de service pour l’exercice d’un mandat syndical. 9. Il ressort des pièces du dossier que la circulaire n° 1431/PR du 8 mars 2004 du président de la Polynésie française, applicable pour la notation des fonctionnaires de la Polynésie française et prise, ainsi qu’il a été dit au point 8, compétemment en application de la délibération n° 95-221 AT, prévoit à cet effet, dans son article 2.II.A, que les fonctionnaires en situation de décharge totale d’activité de service pour l’exercice d’un mandat syndical se voient attribuer, chaque année, par le service en charge de la fonction publique, la note moyenne des fonctionnaires appartenant au même grade et détenant le même échelon. 10. Il résulte de ce qui a été dit aux points 7 à 9 qu’en jugeant que l’inscription au tableau d’avancement au grade d’attaché principal d’un fonctionnaire bénéficiant d’une décharge totale d’activité de service pour l’exercice d’un mandat syndical devait être fondée sur un examen approfondi de sa valeur professionnelle compte tenu de ses notes pendant la seule partie de la période couverte par son ancienneté dans son grade au cours de laquelle il n’a pas bénéficié d’une telle décharge, et en jugeant que les requérants ne pouvaient utilement se prévaloir des dispositions de la circulaire n° 1431/PR du 8 mars 2004 du président de la Polynésie française précitée, alors que cette circulaire leur est opposable et qu’elle prévoit que les agents en situation de décharge totale d’activité de service pour l’exercice d’un mandat syndical doivent continuer à bénéficier d’une note chaque année, la cour administrative d’appel de Paris a entaché son arrêt d’erreur de droit. 11. Il résulte de tout ce qui précède, et sans qu’il soit besoin de se prononcer sur les autres moyens du pourvoi, que les requérants sont fondés à demander l’annulation de l’arrêt du 23 mai 2023 de la cour administrative d’appel de Paris. Sur les conclusions présentées au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative : 12. Il y a lieu, dans les circonstances de l’espèce, de mettre à la charge de la Polynésie française la somme de 3 000 euros au titre de l’article L. 761-1, à verser conjointement aux trois requérants. Les mêmes dispositions font obstacle à ce qu’une somme soit mise à la charge de Mme A… D… et autres, qui ne sont pas la partie perdante dans la présente instance. D E C I D E : ————– Article 1er : L’arrêt du 23 mai 2023 de la cour administrative d’appel de Paris est annulé. Article 2 : L’affaire est renvoyée à la cour administrative d’appel de Paris. Article 3 : La Polynésie française versera à Mme A… D… et autres une somme de 3 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Article 4 : La présente décision sera notifiée à Mme E… A… D…, représentante unique désignée pour l’ensemble des requérants et à la Polynésie française. Copie en sera adressée au ministre auprès du Premier ministre, chargé des Outre-mer. Délibéré à l’issue de la séance du 18 novembre 2024 où siégeaient : M. Rémy Schwartz, président adjoint de la section du contentieux, présidant ; M. Bertrand Dacosta, Mme Anne Egerszegi, présidents de chambre ; M. Olivier Yeznikian, Mme Rozen Noguelou, M. Nicolas Polge, M. Vincent Daumas, M. Didier Ribes conseillers d’Etat ; Mme Sophie Delaporte, conseillère d’Etat-rapporteure. Rendu le 29 novembre 2024 Le président : Signé : M. Rémy Schwartz La rapporteure : Signé : Mme Sophie Delaporte La secrétaire : Signé : Mme Claudine Ramalahanoharana Source link JUSTIFIABLE : Indexation des Jurisprudences depuis le 1er novembre 2024 JUSTIFIABLE enrichit son offre en indexant désormais les différentes jurisprudences publiées depuis le 1er novembre 2024. Cette nouvelle fonctionnalité couvre les décisions rendues par les juridictions françaises, offrant un accès rapide et structuré à une base de données constamment mise à jour. Ce service vise à faciliter la recherche juridique et à garantir aux professionnels du droit, étudiants, et particuliers un accès clair et précis à l’évolution des décisions judiciaires en France. Explorez dès maintenant cette catégorie et restez informés des derniers développements juridiques.
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freelance-informatique · 4 months ago
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Danilo Pereira pose ses valises à Al-Ittihad
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Danilo Pereira, l’international portugais qui a longtemps évolué sous les couleurs du Paris Saint-Germain, a décidé de rejoindre Al-Ittihad. Ce transfert marque la fin d’une aventure parisienne de plusieurs années pour ce milieu de terrain reconverti défenseur, qui a désormais choisi de poursuivre sa carrière en Arabie Saoudite. Retour sur un parcours riche en succès et en rebondissements. Danilo Pereira à Al-Ittihad, mais bien avant une carrière glorieuse Danilo Pereira va jouer pour Al-Ittihad. Né le 9 septembre 1991 en Guinée-Bissau, Danilo Pereira est rapidement devenu un pilier de l’équipe nationale portugaise après avoir été appelé pour la première fois en sélection le 31 mars 2015. Lors de ce match contre le Cap-Vert, bien que le Portugal ait été battu 2-0, Danilo Pereira a démontré une solidité et une régularité qui lui ont permis de s’imposer comme un titulaire indiscutable au sein de la Seleção. Son premier but en sélection, inscrit le 8 juin 2016 lors d’un match amical contre l’Estonie, a marqué le début d’une série de succès pour le joueur et son équipe. Cette même année, Danilo Pereira a fait partie de l’équipe qui a remporté l’Euro 2016, un tournoi où il a joué un rôle non négligeable en participant à presque tous les matchs, à l’exception de la rencontre contre l’Autriche et de la finale contre la France. Cette victoire a été une étape clé dans la carrière de Danilo Pereira, car elle consolide sa réputation sur la scène internationale. L’année suivante, il a été une figure centrale lors de la Coupe des Confédérations 2017, où le Portugal a terminé à la troisième place. Ce tournoi a encore renforcé sa position au sein de l’équipe nationale. En 2019, Danilo Pereira a ajouté un autre trophée à son palmarès en remportant la Ligue des Nations avec le Portugal. Lire aussi : Sadio Mané : d'Al-Nassr à Al-Ittihad ?  Cristiano Ronaldo, la raison ! Un pilier du PSG : 157 matchs et de nombreux titres Arrivé au Paris Saint-Germain en 2020, Danilo Pereira a su s’adapter aux exigences du club parisien et aux défis du football de haut niveau en France. En trois ans, il a disputé 157 matchs toutes compétitions confondues en se distinguant non seulement par sa robustesse en défense mais aussi par sa capacité à jouer en milieu défensif. Sa polyvalence a été un atout majeur pour le PSG, notamment lors des saisons marquées par des blessures et des suspensions au sein de l’effectif. Sous les couleurs parisiennes, Danilo Pereira a enrichi son palmarès avec plusieurs titres de champion de France et des victoires en coupes nationales. Son expérience et sa stature ont été d'in grand apport dans les moments décisifs, ce qui fait de lui un joueur respecté et apprécié par ses coéquipiers et les supporters. Al-Ittihad : Une nouvelle aventure pour le guerrier portugais Le départ de Danilo Pereira pour Al-Ittihad s’inscrit dans la continuité d’une tendance récente où plusieurs joueurs européens de renom choisissent de poursuivre leur carrière en Arabie Saoudite. Al-Ittihad, l’un des clubs les plus prestigieux du pays, a fait de Danilo Pereira une pièce maîtresse de son projet sportif. Le club espère qu’il apportera son expérience et son leadership à l’équipe. Le transfert, estimé à 5 millions d’euros, représente une somme relativement modeste pour un joueur de la stature de Danilo Pereira, mais il démontre aussi la volonté du PSG de se séparer de certains cadres pour renouveler son effectif. Pour Danilo Pereira, ce transfert est l’occasion de découvrir un nouveau championnat et de relever de nouveaux défis dans un environnement différent. Danilo Pereira, des moments moment de joie et tristesse Malgré son départ, Danilo Pereira laisse derrière lui de nombreux souvenirs à Paris. Son passage au PSG restera marqué par sa rigueur défensive et sa capacité à répondre présent lors des grands rendez-vous. Son parcours n’a pas été sans obstacles. Lors de la Coupe du monde 2022, une fracture de trois côtes a mis fin prématurément à sa participation après un premier match où le Portugal avait battu le Ghana 3-2. Cet incident a été un coup dur pour le joueur, mais il a su revenir plus fort, comme en témoigne sa sélection pour l’Euro 2024 sous les ordres de Roberto Martínez. En Arabie Saoudite, Danilo Pereira devra faire face à un nouvel environnement de jeu, avec des attentes élevées de la part des supporters d’Al-Ittihad. Sa capacité à s’adapter rapidement sera décisive pour sa réussite dans ce nouveau chapitre de sa carrière. Un héritage à construire à Al-Ittihad Avec son expérience internationale et son parcours couronné de succès, Danilo Pereira arrive à Al-Ittihad avec l’ambition de contribuer à l’essor du club sur la scène asiatique. Al-Ittihad, qui cherche à rivaliser avec les meilleurs clubs du continent, mise sur l’expérience de joueurs comme Danilo Pereira pour atteindre ses objectifs. Pour le Portugais, cette aventure en Arabie Saoudite est l’occasion de prouver qu’il peut encore jouer à un haut niveau tout en aidant son nouveau club à gravir les échelons du football asiatique. Le défi pour Danilo sera d’apporter sa rigueur et sa discipline à une équipe qui aspire à dominer non seulement en Arabie Saoudite mais aussi en Ligue des champions asiatique. Son leadership sur le terrain et son expérience des grands rendez-vous seront des atouts inestimables pour Al-Ittihad. Voir également : Kevin De Bruyne va-t-il rejoindre Al-Ittihad ? Danilo Pereira, un nouveau cap pour une nouvelle ambition En signant à Al-Ittihad, Danilo Pereira tourne une page importante de sa carrière tout en ouvrant un nouveau chapitre rempli de promesses. Ce transfert marque la fin de son aventure parisienne mais aussi le début d’un défi excitant en Arabie Saoudite. Pour le joueur, il s’agit d’une opportunité unique de continuer à évoluer au plus haut niveau tout en découvrant une nouvelle culture footballistique. Les supporters parisiens garderont certainement un souvenir impérissable de ce joueur solide et fiable, tandis que ceux d’Al-Ittihad attendent avec impatience de voir comment Danilo Pereira saura s’imposer dans leur équipe. Une chose est sûre : le guerrier portugais n’a pas encore dit son dernier mot sur les terrains de football. Read the full article
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leblogdemarinaetjeanmarie · 7 months ago
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MARDI 18 JUIN 2024 (Billet 3 / 4)
« VICE-VERSA 2 » (1h 36min)
Un film d’animation de Kelsey Mann.
Nous avions vu en 2015 le premier « Vice-Versa » que nous avions beaucoup aimé. Dimanche dernier à 16h, en avant-première (mais place réservée au dernier moment, il n’en restait plus qu’une !), JM est allé tout seul voir la suite. Comme le temps était « pourri de chez pourri », Marina n’a pas voulu le suivre.
Pour vous dire ce qu’il en a pensé, lisez ci-dessous la critique que JM a choisie.
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Puberté. Le Studio américain donne corps au chamboulement intérieur lié à l’adolescence.
Mais comment font-ils ? 30 ans qu’on se pose la question. Quel est donc le secret de Pixar pour maintenir un tel niveau d’excellence ? Le défi était pourtant de taille : concevoir la suite de l’un de leurs chefs-d’œuvre, « Vice-Versa », sortie en 2015. Le concept d’origine plaçait déjà la barre très haut : entrer dans la tête de Riley, 11 ans, en matérialisant les différentes émotions qui agitent la fillette. Ainsi, cinq personnages hauts en couleur, Joie, Tristesse, Peur, Dégoût et Colère, se relayent aux commandes de son cerveau selon la situation à laquelle était confrontée la jeune héroïne, bouleversée d’avoir quitté son Minnesota natal pour s’installer avec ses parents en Californie.
Deux années ont passé, Riley est heureuse : elle a été retenue avec ses deux meilleures amies pour effectuer un stage d’été dans le Club de hockey sur glace du lycée qu’elle convoite. Problème, Joie, Tristesse, Peur, Dégoût et Colère sont réveillés en sursaut un matin par une alarme sur le tableau de bord : la puberté ! Ils voient débarquer au quartier général des individus nommé Anxiété, Embarras, Ennui et Envie. La révolution commence…
Pixar démontre une fois de plus sa capacité à se renouveler avec ce récit initiatique qui force l’admiration par son intelligence, son inventivité, son ambition, sa précision. Tout est vrai et si finement observé ! Aussi merveilleux que sophistiqué, débordant d’idées à chaque plan et sublimé par une animation éblouissante, le film en ébullition constante aborde des thèmes profond : l’estime de soi, les émotions exacerbées ou refoulées, la mémoire, le système de croyances, l’imaginaire. En donnant corps, au sens littéral du terme, au conflit intérieur qui chamboule l’adolescente.
Kelsey Mann, le réalisateur : « Quatre ans de travail mobilisant 400 techniciens ont été nécessaires pour que le projet aboutisse. Il y a eu dix versions, admet-il. Je regardais et je changeais tout. La clé du succès ? Ne pas avoir peur de couper. »
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Bien évidemment, la salle 6 du Cinéma Pathé Beaugrenelle (la deuxième plus grande de ce complexe) était bourrée à craquer d’enfants, accompagnés de leur maman, parfois de leurs deux parents. A noter quand même, ici ou là, la présence de couples de jeunes gens tout juste sortis de l’adolescence.
JM a préféré le « 1 », l’originalité du sujet et son traitement y sont sûrement pour quelque chose, mais il a bien apprécié le « 2 ». Par contre, il vous le confirme, ce n’est pas du tout un dessin animé pour les moins de 11 ans. Et encore ! C’est plutôt un film à 80% pour adultes, une belle illustration d’un « Sigmund Freud pour les Nuls ».
« Vice-Versa 2 » sort mercredi, si vous êtes parents ou grands-parents de pré-ados (11-13 ans), et que vous ne savez pas quoi faire avec eux un mercredi après-midi pluvieux, sachez que vous êtes le « public-cible ». Petit plus (ou « moins » selon la façon dont vos têtes blondes ont été élevées…) : les héros… sont des héroïnes… Dans ce dessin animé il n’y a que des filles !
JM lui a donné ❤️❤️❤️,8 sur 5.
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toutmontbeliard-com · 7 months ago
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Le 19, CRAC Montbéliard : programme de juin 2024
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Voici le programme du 19, Centre Régional d’Art contemporain, de Montbéliard de mai 2024 : Assemble, Blood in the Machine , du samedi 8 juin 2024 au dimanche 25 août 2024 Assemble est un collectif pluridisciplinaire travaillant dans les domaines de l’architecture, du design et des arts visuels. Fondé en 2010 pour concevoir un seul projet (The Cineroleum, soit l’occupation temporaire par un cinéma d’une ancienne station-service de Londres), Assemble a finalement livré depuis un ensemble de travaux divers et reconnus par des prix internationaux (dont le Turner Prize en 2015, prestigieuse gratification pour les arts visuels au Royaume-Uni pour The Granby Workshop à Liverpool). Ils promeuvent une méthode de travail démocratique et coopérative qui permet la réalisation de projets artistiques co-construits, à caractère social, et toujours basés sur l’exploration d’un lieu, d’un territoire, d’une situation investiguée « depuis l’intérieur ». Leurs projets allient toutes les échelles de la construction afin de générer des situations « d’apprentissage par le faire ». Avec Blood in the Machine, le collectif poursuit sa démarche habituelle en s'appuyant sur la mémoire industrielle du 19, Crac et son contexte « rurbain » d'implantation. Le projet propose une réflexion plus générale sur l'arrivée de la mécanisation et son impact sur les procédés technologiques et artisanaux excluant les dynamiques et sensibilités humaines. Il ambitionne la ré-humanisation des espaces de production et s'organise autour d'échanges, d'expérimentations et de liens de confiance. Le déjeuner-preview, le jeudi 6 juin de 12h30 à 13h30 : rencontrez le collectif Assemble lors d’un déjeuner convivial au sein de leur exposition. Ce moment de partage est réservé aux professionnels partenaires et aux membres du 19 Club qui souhaitent découvrir les coulisses de la production d’une exposition. Boissons et desserts offerts par le 19 ! Adhésion au 19 Club 15 €/an avec de nombreux avantages toute l’année. Vernissage de l'exposition : vendredi 7 juin à partir de 18h30. Ouvert à tous. ATELIERS COLLABORATIFS, samedi 8 juin 2024 de 14h00 à 18h00 et dimanche 9 juin 2024 de 15h00 à 18h00 Le collectif Assemble considère le centre d’art comme un lieu de production, de conception et d’échanges. Ainsi, venez les rencontrer tout l’été lors d’ateliers collaboratifs au 19, Crac. Gratuit, sur réservation au 03 81 94 13 47 ou [email protected] Prochains ateliers : 18-19 juillet 2024 et 24-25 août 2024. GOÛTER-APÉRO MUSICAL, vendredi 21 juin 2024 de 17h30 à 19h00 Rejoignez-nous en famille après l'école ou entre collègues après le travail pour fêter la musique autour d'un goûter-apéro estival accompagné de la toy-music douce-amère aux accents de voyages oniriques des artistes Klimperei & Madame Patate. Gratuit, au 19, Crac. LA FLAMME, mardi 25 juin 2024 de 14h30 à 15h30 Qui a dit qu'art et sport n'avaient rien à faire ensemble ? A l'occasion du passage de la Flamme Olympique à Montbéliard, le 19, Crac offre à toutes et à tous une performance sportive et ludique de Clara Gensburger. Depuis la Box du 19, grand écran du centre d'art, l'artiste française nous offrira sa lecture artistique et tonique des 36 sports des JO. Gratuit, sur le parvis du 19, Crac. VISITE EN FAMILLE, édition spéciale tout-petits, mercredi 26 juin 2024 de 10h00 à 11h00 Partagez un moment complice et créatif en famille au 19, Crac ! Un temps de visite et de pratique artistique pour découvrir l'exposition entre parents et enfants. Pour cette édition spéciale dédiée aux tout-petits, plongez dans l'exposition de manière ludique et adaptée. Participez à des jeux de construction, profitez d’un parcours de motricité, expérimentez l’espace du 19 sous une forme nouvelle. Jusqu'à 6 ans. Gratuit, sur réservation au 03 81 94 13 47 ou [email protected] infos > 03 81 94 13 47 ou [email protected] ou www.le19crac.com Read the full article
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choses-dingen · 9 months ago
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La Suisse condamnée pour inaction climatique, un tournant juridique. La Cour européenne des droits de l’homme a condamné pour la première fois un État pour son manque de mesures pour le climat. De quoi conforter les juridictions nationales confrontées à ce type de plaintes.
C’est peut-être un tournant pour la jurisprudence climatique sur le continent européen. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), basée à Strasbourg, a condamné mardi pour la première fois un État pour inaction climatique, en l’occurrence la Suisse.
L’affaire avait été initiée par l’association suisse "Aînées pour la protection du climat", regroupant 2.500 femmes seniors. Préoccupées par les conséquences du réchauffement climatique sur leurs conditions de vie et leur santé, elles avaient attaqué la Confédération pour incurie. Une décision qui devrait faire jurisprudence
La Cour a déclaré qu’il y avait eu violation de l’article 6 (droit à un procès équitable) et surtout de l'article 8 (droit au respect de la vie privée et familiale). Elle a procédé par extension, en considérant que les manquements en matière de lutte contre le réchauffement climatique portaient atteinte à la vie privée et familiale. Cette décision juridiquement contraignante devrait faire jurisprudence dans les 46 États membres du Conseil de l'Europe. La décision de la CEDH "n'est qu'un début en matière de contentieux climatique", a salué la militante suédoise pour le climat Greta Thunberg. L'avocat Gerry Liston, de l’ONG Global Legal Action Network (GLAN), y voit pour sa part "l'évolution juridique la plus significative sur le changement climatique depuis la signature de l'Accord de Paris en 2015".
Si la Suisse a été condamnée, deux autres requêtes ont par contre été rejetées par la Cour. La première émanait de l’ancien maire écologiste de Grande-Synthe, Damien Carême, actuellement eurodéputé. Commune du littoral du nord de la France, Grande-Synthe est régulièrement exposée aux inondations. La Cour a estimé que l’ancien maire, qui attaquait les "carences" de l’État français, ne pouvait se prévaloir du statut de victime car il n’habite plus en France.
L’autre requête avait été déposée par six jeunes Portugais âgés de 12 à 24 visant 32 États, pour la plupart européens. Dans ce cas, la Cour reproche aux plaignants de ne pas avoir épuisé toutes les voies judiciaires au niveau national. "C’est une balise importante qui doit permettre de prévenir un afflux de plaintes", indique Delphine Misonne, spécialiste en droit de l’environnement à l’université Saint-Louis à Bruxelles. Un arrêt "très important"
De manière générale, elle estime qu’il s’agit d’un arrêt très important. "La Cour va assez loin dans l’analyse. Dans le cas de la Suisse, elle constate qu’il n’y a pas de quantification, pas de trajectoire, pas de budget carbone et que les mesures pertinentes n’ont pas été prises en temps utile."
Elle observe par ailleurs qu’en ce qui concerne l’article 6, qui porte sur le droit à un procès équitable, "la Cour prend la peine de souligner le rôle clé des juridictions nationales dans la lutte contre le changement climatique". Cet arrêt prend ainsi une résonance particulière par rapport à des affaires en cours dans différents pays européens.
En Suisse, "l’initiative pour les glaciers" exige que le pays n’émette plus aucun gaz à effet de serre à partir de 2050. Ce vote populaire de 2019 a débouché le 18 juin 2023 sur une législation fédérale pour lutter contre le réchauffement, mais qui s’avère difficile à mettre en œuvre.
Un cadre pour les juridictions nationales
En Belgique, une plainte citoyenne, connue sous le nom de "Klimaatzaak" (Affaire climat), a débouché le 30 novembre 2023 sur une condamnation de l’État belge, de la Région flamande et de la Région bruxelloise par la Cour d’Appel de Bruxelles. Celle-ci estime que la politique climatique négligente des autorités est une violation des droits de l’homme et du devoir de diligence. Pour remédier à l’illégalité constatée, la Cour a ordonné une réduction des émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% (par rapport à 1990) d’ici 2030. La Flandre compte cependant se pourvoir en cassation contre cet arrêt.
En Allemagne, la Cour constitutionnelle fédérale allemande a décidé en mars 2021 que la loi fédérale sur la protection climatique de 2019 n’était pas compatible avec les droits fondamentaux des générations futures, en raison de l’insuffisance des mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050.
"La Cour conforte ainsi l’acquis obtenu au niveau des juridictions nationales sur le climat. On dispose à présent d’une réponse claire comme quoi, en cas d’engagement insuffisant dans la lutte contre le réchauffement climatique, on se retrouve avec une violation de l’article 8. Voilà qui devrait faciliter la tâche des juridictions nationales", conclut Delphine Misonne. Dans L'Echo du 10 avril 2024
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breakingnews-fr · 3 years ago
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Union Africaine : Roll Stéphane Ngomat suspendu de l’ECOSOCC pour faute présumée
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Le président du Cluster Paix et Sécurité du Conseil économique, social et culturel de l’Union Africaine, le Gabonais Rouler Stéphane Ngomat est depuis le 21 juin dernier, suspendu indéfiniment en tant que membre de l’ECOSOCC pour faute et violation de l’article 8 du Règlement intérieur de l’ECOSOCC et des dispositions du Code d’éthique et de conduite de l’UA par un panel mis en place par l’union continentale.
Au terme d’une enquête conduite par le Bureau de contrôle interne (OIO) de l’ECOSOCC, conformément à la décision du Conseil exécutif de février 2021, le président du Cluster Paix et Sécurité du Conseil économique, social et culturel, le compatriote Rouler Stéphane Ngomat et six autres membres ont été reconnus coupables de fautes et de violation des normes juridiques de la commission de l’UA.
Selon un avis public signé le 21 juin 2022 et publié sur le site de la Commission le 28 juin, Rouler Stéphane Ngomat a été impliqué dans les cas de mauvaise conduite ci-après, tel que spécifié : abus d’autorité / de fonction et signature illégale de protocoles d’accord avec des tiers au nom de l’ECOSOCC de l’UA ; Convocation illégale de l’Assemblée générale et déstabilisation de l’ECOSOCC ; Utilisation abusive des en-têtes de lettres, du logo, du cachet et du sceau de l’ECOSOCC.
En conséquence, le président du Cluster Paix et Sécurité de l’ECOSOCC et ses six compères ne peuvent représenter l’ECOSOCC à quelque titre que ce soit, ni prendre part aux activités de l’Union africaine et de tous ses organes et institutions pendant la période de suspension. «Conformément à l’article 8 du règlement intérieur de l’ECOSOCC, cette question sera soumise au comité de discipline de l’ECOSOCC afin de mener une enquête sur leur conduite et de déterminer les sanctions appropriées à leur imposer», souligne l’avis public de l’Union africaine.
Les six autres membres suspendus de l’ECOSOCC sont : Tunji Asaolu (Nigeria), John Oba (Nigeria), Abozer Elligai Elmana (Soudan), Abdurrahman Mokhtar (Libye), El Hacene Abdallah Bah Mbareck (Mauritanie) et Shem Ochuodho (Kenya ).
Rouler Stéphane Ngomat a été élu président du Cluster Paix et Sécurité à l’ECOSOCC de l’Union Africaine le 11 décembre 2018, lors de la 2e session ordinaire de la 3e Assemblée générale permanente de l’ECOSOCC tenue à Lusaka, en Zambi. Il a été membre du cluster des affaires politiques et représentant du Gabon à l’UA-ECOSOCC de 2017 à 2018, il est observateur électoral de l’Union africaine dans de nombreux pays africains, il est conseiller en investissement pour la Global Business Roundtable (GBR) pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre depuis 2015, et est consultant chez Ciel-resources international depuis 2015 et Housing Africa Management depuis 2016. Il a été l’ancien secrétaire général de l’Association gabonaise à Johannesburg de janvier 2012 à décembre 2014.
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ouyander · 1 year ago
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Marcelo Bielsa dicte sa loi et met le feu à Leeds. Sur le banc de Leeds depuis l'été 2018, Marcelo Bielsa fait des miracles. Avec son style particulier, l'Argentin a ramené l'écurie anglaise en Premier League. Mais son avenir sur le banc des Peacocks agite son club en coulisses. Marcelo Bielsa sur le bord du terrain Marcelo Bielsa ne fait rien comme personne. Ce serait très mal le connaître. A l'Olympique de Marseille, où il avait claqué la porte après le premier match face à Caen le 8 août 2015, ou encore à la Lazio Rome, où il avait signé avant de démissionner deux jours plus tard en juillet 2016, le natif de Rosario n'a pas hésité à se faire entendre et à agir lorsqu'il n'était pas d'accord. Un vrai personnage donc. Mais aussi un passionné de ballon rond et un technicien avec une philosophie de jeu et un style très personnel. Un style qui a fait d'ailleurs des émules. Leeds est en bonne position pour se maintenir Tottenham - Fulham reporté, la Premier League pourrait s'arrêter à cause du virus Le club de Leeds savait donc où il mettait les pieds quand il a décidé de confier les commandes de son équipe première à Bielsa en juin 2018. En deuxième division anglaise (Championship) à cette époque, les Peacocks comptaient sur El Loco pour leur donner un nouvel élan. Et l'ancien coach de l'OM et du LOSC a tout de suite su conquérir son nouveau club sur comme en dehors des terrains. Après une première saison exceptionnelle, son équipe a échoué lors des playoffs de Championship. Un an plus tard, il réussissait à ramener Leeds en Premier League. A la fois joueuse et spectaculaire, l'équipe de Bielsa était attendue dans l'élite anglaise. Et elle n'a pas déçu, en ouvrant le jeu et en marquant autant de buts qu'elle en prend (40 buts inscrits, 43 encaissés). Avec 32 points au compteur, Leeds United, qui vise le maintien, est actuellement 12ème de Premier League (10 victoires, 2 nuls et 12 défaite). A lire aussi Un entraîneur de football en Écosse reçoit une lettre de haineSadio Mané pèse quelque 81 milliards CFA Si tout semble aller, en coulisses, l'écurie britannique doit gérer le cas de Marcelo Bielsa. Le technicien va arriver en fin de contrat en juin prochain et son club souhaite qu'il étende son bail. Son club veut le prolonger mais étudie déjà d'autres pistes covid-19-en-angleterre-la-premier-league-constate-une-augmentation-de-cas-positifs C'est ce qu'a d'ailleurs assuré le propriétaire de Leeds, Andrea Radrizzani, dans les colonnes de Daily Mail. «Si Marcelo reste, nous en serons ravis. Il sait que nous sommes contents de travailler avec lui. Donc c'est à lui de jouer. On attend sa décision mais dans tous les cas, nous analyserons les options et ce qu'il faudra faire si Marcelo ne veut plus être avec nous. On espère qu'il va continuer mais nous préparons tout de même le club au cas où. Je pense que l'équipe n'a pas fini de grandir. Marcelo n'a pas fini son travail ici». Dans l'attente, le club anglais ne veut pas jouer avec le feu et ne patientera pas aussi longtemps que l'an dernier. Après avoir validé sa montée en Premier League, Leeds a attendu durant des semaines afin de savoir si Bielsa continuait ou non l'aventure. Dix jours avant la reprise du championnat, son club ne savait toujours pas s'il resterait ou non. L'Argentin, lui, voulait prendre son temps et voir s'il serait écouté sur le mercato. Et après que toutes les conditions aient été réunies, il avait étendu son bail pour une saison le 11 septembre. Un épisode que Leeds ne veut donc pas revivre. Mais encore une fois, El Loco n'est pas pressé. C'est ce qu'il avoué à Skysports. Bielsa suit sa logique Liverpool Football Club Le pari du jour du 30 décembre Premier League - Angleterre «La première chose que je veux souligner, c'est que le président m'offre une prolongation et que je la retarde. Cela pourrait être interprété comme le fait que le club ait plus envie que moi de continuer et ce n'est pas le cas.
Je ne veux en aucun cas me positionner au-dessus du club. Je le répète, je ne vais pas gérer d'autres options tant que mon travail ici à Leeds ne sera pas terminé. Il n'y a aucune spéculation de ma part. La deuxième chose est que la décision de travailler dans un club pour une autre année est si importante que vous devez avoir une sécurité claire. Lorsqu'il vous reste un tiers de la saison à jouer, peut-être que pendant cette période, il se produira des choses qui modifieront le jugement sur vous». Celui qui a avoué fin janvier qu'il n'était pas contre rester poursuit : «il est utile de garder cela à l'esprit. C'est mon raisonnement. Si le club a besoin d'une réponse avant la fin de la saison, je répondrais avant la fin de la saison. Mais si cela se produit, je prendrais le temps de leur dire qu'ils devraient réfléchir à ce qui se passe dans la dernière partie de la saison. Dans ce cas, il est possible qu’ils me disent : "ok, nous attendrons la fin de la saison", ou qu’ils me disent : "non, nous devons résoudre ce problème avant la fin de la saison". Si jamais ils ont besoin d'une réponse avant la fin de la saison, alors j'en donnerais une». Il reste donc à savoir si Marcelo Bielsa répondra positivement ou négativement. Leeds espère un signe de sa part mais n'attendra pas indéfiniment... Publié le 24/02/2021 21:00 - Mis à jour à 23:08
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naantokhi · 1 year ago
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Marcelo Bielsa dicte sa loi et met le feu à Leeds. Sur le banc de Leeds depuis l'été 2018, Marcelo Bielsa fait des miracles. Avec son style particulier, l'Argentin a ramené l'écurie anglaise en Premier League. Mais son avenir sur le banc des Peacocks agite son club en coulisses. Marcelo Bielsa sur le bord du terrain Marcelo Bielsa ne fait rien comme personne. Ce serait très mal le connaître. A l'Olympique de Marseille, où il avait claqué la porte après le premier match face à Caen le 8 août 2015, ou encore à la Lazio Rome, où il avait signé avant de démissionner deux jours plus tard en juillet 2016, le natif de Rosario n'a pas hésité à se faire entendre et à agir lorsqu'il n'était pas d'accord. Un vrai personnage donc. Mais aussi un passionné de ballon rond et un technicien avec une philosophie de jeu et un style très personnel. Un style qui a fait d'ailleurs des émules. Leeds est en bonne position pour se maintenir Tottenham - Fulham reporté, la Premier League pourrait s'arrêter à cause du virus Le club de Leeds savait donc où il mettait les pieds quand il a décidé de confier les commandes de son équipe première à Bielsa en juin 2018. En deuxième division anglaise (Championship) à cette époque, les Peacocks comptaient sur El Loco pour leur donner un nouvel élan. Et l'ancien coach de l'OM et du LOSC a tout de suite su conquérir son nouveau club sur comme en dehors des terrains. Après une première saison exceptionnelle, son équipe a échoué lors des playoffs de Championship. Un an plus tard, il réussissait à ramener Leeds en Premier League. A la fois joueuse et spectaculaire, l'équipe de Bielsa était attendue dans l'élite anglaise. Et elle n'a pas déçu, en ouvrant le jeu et en marquant autant de buts qu'elle en prend (40 buts inscrits, 43 encaissés). Avec 32 points au compteur, Leeds United, qui vise le maintien, est actuellement 12ème de Premier League (10 victoires, 2 nuls et 12 défaite). A lire aussi Un entraîneur de football en Écosse reçoit une lettre de haineSadio Mané pèse quelque 81 milliards CFA Si tout semble aller, en coulisses, l'écurie britannique doit gérer le cas de Marcelo Bielsa. Le technicien va arriver en fin de contrat en juin prochain et son club souhaite qu'il étende son bail. Son club veut le prolonger mais étudie déjà d'autres pistes covid-19-en-angleterre-la-premier-league-constate-une-augmentation-de-cas-positifs C'est ce qu'a d'ailleurs assuré le propriétaire de Leeds, Andrea Radrizzani, dans les colonnes de Daily Mail. «Si Marcelo reste, nous en serons ravis. Il sait que nous sommes contents de travailler avec lui. Donc c'est à lui de jouer. On attend sa décision mais dans tous les cas, nous analyserons les options et ce qu'il faudra faire si Marcelo ne veut plus être avec nous. On espère qu'il va continuer mais nous préparons tout de même le club au cas où. Je pense que l'équipe n'a pas fini de grandir. Marcelo n'a pas fini son travail ici». Dans l'attente, le club anglais ne veut pas jouer avec le feu et ne patientera pas aussi longtemps que l'an dernier. Après avoir validé sa montée en Premier League, Leeds a attendu durant des semaines afin de savoir si Bielsa continuait ou non l'aventure. Dix jours avant la reprise du championnat, son club ne savait toujours pas s'il resterait ou non. L'Argentin, lui, voulait prendre son temps et voir s'il serait écouté sur le mercato. Et après que toutes les conditions aient été réunies, il avait étendu son bail pour une saison le 11 septembre. Un épisode que Leeds ne veut donc pas revivre. Mais encore une fois, El Loco n'est pas pressé. C'est ce qu'il avoué à Skysports. Bielsa suit sa logique Liverpool Football Club Le pari du jour du 30 décembre Premier League - Angleterre «La première chose que je veux souligner, c'est que le président m'offre une prolongation et que je la retarde. Cela pourrait être interprété comme le fait que le club ait plus envie que moi de continuer et ce n'est pas le cas.
Je ne veux en aucun cas me positionner au-dessus du club. Je le répète, je ne vais pas gérer d'autres options tant que mon travail ici à Leeds ne sera pas terminé. Il n'y a aucune spéculation de ma part. La deuxième chose est que la décision de travailler dans un club pour une autre année est si importante que vous devez avoir une sécurité claire. Lorsqu'il vous reste un tiers de la saison à jouer, peut-être que pendant cette période, il se produira des choses qui modifieront le jugement sur vous». Celui qui a avoué fin janvier qu'il n'était pas contre rester poursuit : «il est utile de garder cela à l'esprit. C'est mon raisonnement. Si le club a besoin d'une réponse avant la fin de la saison, je répondrais avant la fin de la saison. Mais si cela se produit, je prendrais le temps de leur dire qu'ils devraient réfléchir à ce qui se passe dans la dernière partie de la saison. Dans ce cas, il est possible qu’ils me disent : "ok, nous attendrons la fin de la saison", ou qu’ils me disent : "non, nous devons résoudre ce problème avant la fin de la saison". Si jamais ils ont besoin d'une réponse avant la fin de la saison, alors j'en donnerais une». Il reste donc à savoir si Marcelo Bielsa répondra positivement ou négativement. Leeds espère un signe de sa part mais n'attendra pas indéfiniment... Publié le 24/02/2021 21:00 - Mis à jour à 23:08
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katakaal · 1 year ago
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Marcelo Bielsa dicte sa loi et met le feu à Leeds. Sur le banc de Leeds depuis l'été 2018, Marcelo Bielsa fait des miracles. Avec son style particulier, l'Argentin a ramené l'écurie anglaise en Premier League. Mais son avenir sur le banc des Peacocks agite son club en coulisses. Marcelo Bielsa sur le bord du terrain Marcelo Bielsa ne fait rien comme personne. Ce serait très mal le connaître. A l'Olympique de Marseille, où il avait claqué la porte après le premier match face à Caen le 8 août 2015, ou encore à la Lazio Rome, où il avait signé avant de démissionner deux jours plus tard en juillet 2016, le natif de Rosario n'a pas hésité à se faire entendre et à agir lorsqu'il n'était pas d'accord. Un vrai personnage donc. Mais aussi un passionné de ballon rond et un technicien avec une philosophie de jeu et un style très personnel. Un style qui a fait d'ailleurs des émules. Leeds est en bonne position pour se maintenir Tottenham - Fulham reporté, la Premier League pourrait s'arrêter à cause du virus Le club de Leeds savait donc où il mettait les pieds quand il a décidé de confier les commandes de son équipe première à Bielsa en juin 2018. En deuxième division anglaise (Championship) à cette époque, les Peacocks comptaient sur El Loco pour leur donner un nouvel élan. Et l'ancien coach de l'OM et du LOSC a tout de suite su conquérir son nouveau club sur comme en dehors des terrains. Après une première saison exceptionnelle, son équipe a échoué lors des playoffs de Championship. Un an plus tard, il réussissait à ramener Leeds en Premier League. A la fois joueuse et spectaculaire, l'équipe de Bielsa était attendue dans l'élite anglaise. Et elle n'a pas déçu, en ouvrant le jeu et en marquant autant de buts qu'elle en prend (40 buts inscrits, 43 encaissés). Avec 32 points au compteur, Leeds United, qui vise le maintien, est actuellement 12ème de Premier League (10 victoires, 2 nuls et 12 défaite). A lire aussi Un entraîneur de football en Écosse reçoit une lettre de haineSadio Mané pèse quelque 81 milliards CFA Si tout semble aller, en coulisses, l'écurie britannique doit gérer le cas de Marcelo Bielsa. Le technicien va arriver en fin de contrat en juin prochain et son club souhaite qu'il étende son bail. Son club veut le prolonger mais étudie déjà d'autres pistes covid-19-en-angleterre-la-premier-league-constate-une-augmentation-de-cas-positifs C'est ce qu'a d'ailleurs assuré le propriétaire de Leeds, Andrea Radrizzani, dans les colonnes de Daily Mail. «Si Marcelo reste, nous en serons ravis. Il sait que nous sommes contents de travailler avec lui. Donc c'est à lui de jouer. On attend sa décision mais dans tous les cas, nous analyserons les options et ce qu'il faudra faire si Marcelo ne veut plus être avec nous. On espère qu'il va continuer mais nous préparons tout de même le club au cas où. Je pense que l'équipe n'a pas fini de grandir. Marcelo n'a pas fini son travail ici». Dans l'attente, le club anglais ne veut pas jouer avec le feu et ne patientera pas aussi longtemps que l'an dernier. Après avoir validé sa montée en Premier League, Leeds a attendu durant des semaines afin de savoir si Bielsa continuait ou non l'aventure. Dix jours avant la reprise du championnat, son club ne savait toujours pas s'il resterait ou non. L'Argentin, lui, voulait prendre son temps et voir s'il serait écouté sur le mercato. Et après que toutes les conditions aient été réunies, il avait étendu son bail pour une saison le 11 septembre. Un épisode que Leeds ne veut donc pas revivre. Mais encore une fois, El Loco n'est pas pressé. C'est ce qu'il avoué à Skysports. Bielsa suit sa logique Liverpool Football Club Le pari du jour du 30 décembre Premier League - Angleterre «La première chose que je veux souligner, c'est que le président m'offre une prolongation et que je la retarde. Cela pourrait être interprété comme le fait que le club ait plus envie que moi de continuer et ce n'est pas le cas.
Je ne veux en aucun cas me positionner au-dessus du club. Je le répète, je ne vais pas gérer d'autres options tant que mon travail ici à Leeds ne sera pas terminé. Il n'y a aucune spéculation de ma part. La deuxième chose est que la décision de travailler dans un club pour une autre année est si importante que vous devez avoir une sécurité claire. Lorsqu'il vous reste un tiers de la saison à jouer, peut-être que pendant cette période, il se produira des choses qui modifieront le jugement sur vous». Celui qui a avoué fin janvier qu'il n'était pas contre rester poursuit : «il est utile de garder cela à l'esprit. C'est mon raisonnement. Si le club a besoin d'une réponse avant la fin de la saison, je répondrais avant la fin de la saison. Mais si cela se produit, je prendrais le temps de leur dire qu'ils devraient réfléchir à ce qui se passe dans la dernière partie de la saison. Dans ce cas, il est possible qu’ils me disent : "ok, nous attendrons la fin de la saison", ou qu’ils me disent : "non, nous devons résoudre ce problème avant la fin de la saison". Si jamais ils ont besoin d'une réponse avant la fin de la saison, alors j'en donnerais une». Il reste donc à savoir si Marcelo Bielsa répondra positivement ou négativement. Leeds espère un signe de sa part mais n'attendra pas indéfiniment... Publié le 24/02/2021 21:00 - Mis à jour à 23:08
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